14/11/2023
Entretien de Lionel Baland avec le philosophe néerlandais du droit Paul Cliteur.
Pays-Bas. Entretien avec le philosophe néerlandais du droit Paul Cliteur :
https://www.breizh-info.com/2023/11/14/226686/paul-cliteu...
Paul Cliteur
11:53 | Lien permanent | Commentaires (0)
13/11/2023
Chega est donné à 17 %.
Portugal. Chega est donné à 17 % au sein d'un sondage Aximage pour les législatives de mars 2024.
23:42 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le co-président du parti nationaliste Confédération Krzysztof Bosak est élu vice-président de la Chambre des députés.
Pologne. Le co-président du parti nationaliste Confédération Krzysztof Bosak est élu vice-président de la Chambre des députés. Chaque groupe a un vice-président.
Krzysztof Bosak
(https://www.breizh-info.com/2023/09/19/224683/pologne-krz...)
22:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les citoyens hongrois se verront demander s'ils soutiennent l'adhésion potentielle de l'Ukraine à l'Union européenne.
Hongrie. Les citoyens se verront demander s'ils soutiennent l'adhésion potentielle de l'Ukraine à l'Union européenne lors de la prochaine consultation nationale.
17:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
"C'est précisément pour sécuriser son avenir que le Premier ministre a imaginé l’élection directe du Premier ministre."
Italie. Revue de presse.
Les critiques de la Ligue sur la grève générale organisée par syndicats CGIL et UIL contre la loi de finances sont en Une : « Grève, la Ligue par à l’attaque [des syndicats] » (Corriere della Sera), « Le gouvernement a peur de la grève » (La Repubblica), « Landini veut paralyser l’Italie mais Salvini le bloque » (Giornale). Par ailleurs, les unes mettent en avant les efforts diplomatiques américains pour une trêve entre Israël et le Hamas et la négociation autour des otages qui semble stagner : « Otages, les conditions du Hamas : « Israël doit quitter les hôpitaux » » (La Stampa), « Gaza, inquiétudes autour du sort des otages » (Il Messaggero), « La guerre se fait dans les hôpitaux ; Biden et Xi cherchent une convergence » (Domani).
Les JT couvrent essentiellement la mort d’un nourrisson au Royaume-Uni atteint d’une maladie incurable pour lequel le gouvernement italien avait demandé le maintien en soins intensifs ou le transfert en Italie, la situation des hôpitaux de Gaza et les négociations en cours sur la libération des otages israéliens, et enfin le débat politique soulevé par la Ligue sur la grève générale organisée par syndicats CGIL et UIL.
SONDAGES, La Repubblica, d’I. Diamanti, “Le [régime politique attribuant davantage de prérogatives au chef du gouvernement] plaît moins mais un Italien sur deux est favorable à une élection au suffrage direct [du Président du Conseil] » : « Le climat politique en Italie apparait stable désormais depuis plusieurs mois, tant concernant les tendances électorales que la confiance vis-à-vis du gouvernement et des dirigeants. Des variations légères mais significatives émergent toutefois : la confiance accordée au gouvernement Meloni frôle la majorité absolue (50%), soit 3 points de plus qu’en septembre mais cet indice de confiance n’avait pas été aussi bas depuis le deuxième gouvernement Giuseppe Conte. Les estimations de vote en faveur des différents partis varient très peu et les partis restent très personnifiés autour de la figure du leader. Rien de surprenant donc à ce qu’une large majorité d’Italiens soit favorable à l’élection au suffrage direct du Président du Conseil, comme le prévoit le projet de réforme constitutionnelle approuvé par le gouvernement, qui devra également être approuvé par deux tiers du Parlement, sans quoi il fera l’objet d’une consultation directe des citoyens italiens à travers un référendum. 53% des interrogés se déclarent ‘’d’accord ou tout à fait d’accord’’. A noter toutefois qu’en septembre ils étaient 57% à être favorables. Attention donc à cette majorité incertaine, car ce ne serait pas la première fois qu’une réforme approuvée par le Parlement serait ‘’bloquée’’ par les citoyens qui pourraient en faire un vote de confiance (ou plutôt de censure). Giorgia Meloni a déjà déclaré que, même en cas d’issue négative à ce référendum, elle ne démissionnerait pas. Le parti de Giorgia Meloni, Fratelli d’Italia, reste en tête des sondages malgré un recul constant bien que limité, passant de 30,5% à 28,4% de février à novembre 2023. Il est suivi par le Parti démocrate qui dépasse en novembre 2023 la barre des 20% (contre 17,5% en février). Le Mouvement 5 Etoiles se situe à 16,7% qui recule de 0,5 point par rapport à septembre. La Ligue connait un déclin lent et constant, passant de 8,5% en février à 7,7% en novembre, alors que Forza Italia retrouve une certaine croissance, passant de 6,6% à 7,2% entre septembre et novembre après qu’Antonio Tajani a pris la tête du parti suite à la mort de Berlusconi. Autour du seuil des 3% on retrouve les Verts et la Gauche italienne (3,5%), Azione de Calenda (3,2%) et Italia Viva de Matteo Renzi (3%) avec une inversion des rapports de force puisque puisqu’Azione recule alors qu’Italia Viva monte dans des proportions semblables. Le leader le plus apprécié reste Mario Draghi qui bénéficie de 59% de sympathie, suivi de Giorgia Meloni (50%) et d’Antonio Tajani (43%, en hausse de 3 points depuis septembre). Emma Bonino, du parti +Europa, est quatrième du classement avec une côte de popularité qui passe de 37 à 43% depuis septembre. »
COULISSES, Repubblica, T. Ciriaco : « Manifestations et « large coalition » : Meloni craint l’union des luttes. Des réformes pour essayer de la bloquer » : « Alors qu’elle pensait que cela arriverait encore plus tôt, cela s'est produit par un frais samedi après-midi sur la Piazza del Popolo à Rome. Depuis des mois, le Palais Chigi attendait une « union des luttes » à gauche, après la défaite électorale. Une alliance entre le PD, le M5 et la gauche, ‘bénie’ par le syndicat CGIL. Pressentant ce processus et voyant des signaux alarmants, Giorgia Meloni a décidé de s'exposer. D'accélérer sur l’élection directe du Premier ministre et la loi électorale. Son objectif politique prioritaire est d’empêcher la naissance d'une authentique alliance large, d'une alternative politique qui pourrait être réellement une alternative à son exécutif. Et, aussi, pour bloquer un accord qui impliquerait aussi l’adhésion du troisième pôle. Meloni - et son conseiller Giovanbattista Fazzolari - estiment que la meilleure façon d'y parvenir est d'utiliser les réformes. Il s'agit de saboter - ou du moins de rendre très compliqué - un pacte des oppositions. Quelque chose bouge dans le pays, constate-t-on au Palais Chigi. Les oppositions commencent à agir de manière plus coordonnée. Il y a quelques jours, la majorité a été sauvée au Sénat par deux voix seulement. La marge de la droite n'est pas aussi large et il faut s'attendre à d'autres 'embuscades' dans l'hémicycle. Et puis on entrevoit des sursauts dans la lutte syndicale : les médecins indignés, mais surtout les transports en grève le 17 novembre. La CGIL mène la résistance à la politique du gouvernement autour de la loi de finances, le PD et le M5S soutiennent l'effort. La ligne dure de Matteo Salvini alimente le niveau du conflit. C'est précisément pour sécuriser son avenir que la Première ministre a imaginé l’élection directe du premier ministre, car identifier un candidat commun pour une éventuelle coalition qui irait de la gauche au troisième pôle, est, selon les dirigeants de FDI, bien plus complexe que de garantir le leadership de Meloni à droite. La loi électorale est l'autre pilier de l'opération de boycott de l’« alliance large ». La proposition actuellement à l’étude est de mettre en place un mécanisme qui évite le double tour. Le cas échéant, Meloni autorisera un double seuil : avec 40 % du consensus, celui qui arrive en tête obtiendrait 55 % des sièges. Si personne n'atteint 40 %, une prime sera tout de même déclenchée : avec 33 %, entre 40 et 45 % des députés seront attribués. D'une part, cela oblige le Troisième pôle à choisir, en acceptant une alliance difficile. D'autre part, Calenda et Renzi - ou quiconque se positionnerait au centre - pourraient exploiter un consensus limité pour se rendre indispensable et permettre la naissance d'un gouvernement après le vote, sans être contraints de s'allier avec le PD et le Mouvement 5 étoiles. C'est le sabotage de l’alliance large, qui a commencé il y a quelques semaines, mais qui est devenu plus urgent après la manifestation de Piazza del Popolo. »
COMMENTAIRE, La Stampa, F. Schianchi « Les raisons pour lesquelles, même après le succès de la manifestation de samedi, le chemin pour avoir une grande coalition à gauche est encore long » : « Au lendemain de la manifestation à Rome, la dirigeante du Parti démocrate peut se détendre. La place était pleine et il n’y a eu aucun incident polémique pouvant ternir l’initiative. Par ailleurs, la réponse via les réseaux sociaux de Giorgia Meloni, commençant par un « Chère Elly » – comme si la Présidente du Conseil guettait de près son adversaire – ressemble encore plus à une légitimation, à la reconnaissance du fait que le vrai match politique en Italie se joue entre les deux femmes. Le PD avait besoin d’adresser un signal, de faire comprendre qu’il existe bel et bien et que son peuple est là. Surtout, le PD avait besoin de montrer qu’il est encore le vecteur d’une future alternance. Le tout, maintenant, est de comprendre comment procéder : comment concrétiser les mots de la dirigeante ‘’c’est de cette manifestation que commence une nouvelle phase’’, comment trouver ‘’les convergences avec les autres oppositions’’ et comment réaliser cette large coalition. Ou plutôt cette « juste coalition » dans l’interprétation de Giuseppe Conte. Le chemin est encore long. En effet, les partis centristes ont pris visiblement toute autre voie. Deuxièmement, le dirigeant 5 Etoiles, qui était l’invité spécial de samedi, garde une approche très prudente : le dialogue avec le PD est en cours mais ‘’le M5S ne sera la béquille de quelqu’un’’. Dans la perspective des élections européennes de juin, chacun fera sa campagne en solitaire et tentera de marquer les différences avec les autres pour se distinguer. Il y a compétition souterraine et inévitable entre les dirigeants du PD et du M5S pour diriger la coalition. Sans aller directement aux élections de juin, il ne faut pas oublier les élections régionales qui se tiendront au printemps en Sardaigne, aux Abruzzes, en Basilicate et au Piémont. Le système électoral étant majoritaire et avec un seul tour, les coalitions seront fondamentales. Un accord a en effet déjà été trouvé pour la Sardaigne et les Abruzzes. Comme l’a dit Schlein samedi, il faudra tenter d’impliquer le premier parti italien : celui des abstentionnistes. Pour ce faire, il faudra s’adresser au monde associatif. Le défilé piazza del popolo de ces derniers n’a pas été un hasard. Toutefois, trouver une convergence stable entre les deux principaux partis d’opposition ne sera pas un chemin aisé. »
Giorgia Meloni
ARTICLE, Stampa, D. Ceccarelli, « 180 000 personnes défilent à Paris contre l’antisémitisme. Borne et Le Pen présentes dans le cortège, mais pas Macron. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
15:43 | Lien permanent | Commentaires (0)
12/11/2023
Le MCG Mauro Poggia est élu sénateur.
Suisse. Lors du deuxième tour pour l’élection au Sénat au sein du canton de Genève, le MCG Mauro Poggia est élu. Céline Amaudruz, de l’UDC, n’est, par contre, pas élue.
Mauro Poggia
21:52 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Vlaams Belang a tenu un congrès sur l’immigration.
Belgique. Le Vlaams Belang a tenu un congrès sur l’immigration. Le parti estime que seules les personnes qui résident légalement en Belgique depuis au moins huit ans, qui ont travaillé et cotisé à temps plein pendant au moins trois ans et qui parlent correctement le néerlandais peuvent avoir accès à la sécurité sociale. Selon le Vlaams Belang, il n’y a pas non plus de place pour la migration de main-d’œuvre. Le parti estime que « la robotisation entraînera des réductions significatives des effectifs dans les années à venir » et qu'il faut d'abord mettre à l’emploi les personnes qui ne travaillent pas.
"Flandre flamande"
21:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
Dahme-Spreewald : Steffen Kotré de l'AfD perd lors du second tour de l'élection de l'administrateur d'arrondissement.
Allemagne. Brandebourg. Dahme-Spreewald. Lors du second tour de l'élection de l'administrateur d'arrondissement, le candidat de l'AfD Steffen Kotré perd, avec 35,2 %, face au candidat sans parti Sven Herzberger, qui obtient 64,8 %.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/10/08/dah...)
21:06 | Lien permanent | Commentaires (0)
Article d’Álvaro Peñas sur la situation et les manifestations en Espagne.
Espagne. Article d’Álvaro Peñas sur la situation et les manifestations en Espagne :
https://www.breizh-info.com/2023/11/12/226688/en-espagne-...
13:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
Pays-Bas : sondage pour les élections législatives du 22 novembre 2023.
Pays-Bas. Sondage Maurice De Hond en nombre de sièges pour les élections législatives du 22 novembre 2023. (Total : 150 députés)
(sondage du 11 novembre / sondage précédent / sondage précédent le précédent / législatives de 2021 / différence avec le sondage précédent / différences entre le sondage et les législatives de 2021)
NSC : Nouveau contrat social, de Pieter Omtzigt [autrefois démocrate-chrétien (CDA)]
VVD : libéraux de droite
PvdA : travaillillistes / Groenlinks : écologistes
PVV : patriotes anti-islamisation
BBB : parti des agriculteurs : agrariens de centre-droit
D66 : libéraux de gauche
FvD : Forum voor Democratie : patriotes
CDA : démocrates-chrétiens
PvdD : parti pour les animaux
SP : gauche de la gauche
Volt : pro-européen
Denk : centre-gauche multiculturaliste
CU : Christen Unie : sociaux-chrétiens
SGP : chrétiens protestants
JA 21 : patriotes
BVNL : conservateurs-libéraux patriotes
Bij1 : gauche radicale multiculturaliste
50plus : parti des plus de 50 ans
13:30 | Lien permanent | Commentaires (0)
11/11/2023
Hans-Georg Maaßen de la CDU exige l'expulsion de la CDU de l'ancienne chancelière immigrationniste Angela Merkel.
Allemagne. En tant que dirigeant de l’Union des valeurs conservatrice au sein de la CDU, l'ancien président de l'Office fédéral pour la protection de la Constitution Hans-Georg Maaßen estime que la CDU est responsable de l'immigration de masse et des problèmes et actes de violence qui en résultent. Il exige que l’ancienne chancelière CDU Angela Merkel soit exclue du parti : « Merkel a personnellement empêché que la police fédérale reçoive l'ordre de refouler des migrants aux frontières allemandes. Elle est donc responsable des nombreux meurtres et actes de violence commis depuis lors par ces immigrés étrangers. »
Hans-Georg Maaßen et Angela Merkel, autrefois
18:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
Marche de l'Indépendance à Varsovie.
Pologne.
Le co-président de la Confédération, Krzysztof Bosak, parle.
16:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
Vox récolte des signatures contre l'amnistie.
Espagne. VOX lance une campagne de récolte de signatures, contre l'amnistie, sur les réseaux sociaux et dans la rue.
(https://www.paremoslaamnistia.es/)
"Non à l'amnistie en mon nom."
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/11/08/vox...)
16:16 | Lien permanent | Commentaires (0)
10/11/2023
La Worldwide Freedom Initiative a réuni à Paris différents intervenants.
France et Monde. La Worldwide Freedom Initiative a réuni à Paris ce vendredi 10 novembre 2023 différents intervenants tels que Nicolas Dupont-Aignan, Florian Philippot, Rob Boos, Virginie Joron, Éric Zemmour, Nigel Farage, Balázs Orbán, Laurence Trochu, Jan Skopeček, Jean-Frédéric Poisson, Charles Gave, André Bercoff, ...
(https://wfi2023.org/intervenants/)
23:56 | Lien permanent | Commentaires (0)
Chega est donné à 16,1 %.
Portugal. Chega est donné à 16,1 % au sein d’un sondage Intercampus pour les élections législatives de mars 2024.
23:06 | Lien permanent | Commentaires (0)
La Chambre des députés a adopté une loi qui vise à exclure la fondation liée à l’AfD de fonds publics.
Allemagne. Alors que les fondations liées aux partis reçoivent annuellement 697 millions d’euros du budget fédéral, celle de l’AfD n’obtient rien alors qu’elle y a droit depuis 2021. La Chambre des députés a adopté ce soir une loi qui vise à exclure la fondation liée à l’AfD de ces fonds.
Cette loi lie le financement public des fondations affiliées à un parti à la loyauté envers la Constitution – alors que l’AfD de Thuringe et l’AfD de Saxe-Anhalt sont classées « extrémistes de droite avérées » par l'Office pour la protection de la Constitution respectivement de Saxe-Anhalt et de Thuringe et que l’ensemble de l’AfD est considéré comme un « cas présumé d’extrême droite ».
22:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
La Chambre des députés débat de la suppression de la circonscription 71, au sein de laquelle l’AfD a obtenu un mandat direct.
Allemagne. La Chambre des députés débat de la suppression de la circonscription 71, au sein de laquelle l’AfD a obtenu un mandat direct, et de l’incorporation des morceaux dans d’autres circonscriptions. La Saxe-Anhalt disposerait d’un député fédéral en moins et la Bavière d'un de plus.
22:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
Saxe : les nationalistes de l'AfD sont donnés à 32,5 % ; si le BSW, parti de gauche anti-immigration de Sahra Wagenknecht, se présente, il obtiendra 14,5 % et l'AfD 31 %.
Allemagne. Saxe. Les nationalistes de l'AfD sont donnés à 32,5 %. Si le BSW, parti de gauche anti-immigration de Sahra Wagenknecht, se présente, il obtiendra 14,5 % et l'AfD 31 %.
CDU : démocrates-chrétiens
AfD : nationalistes
Die Linke : post-communistes
SPD : sociaux-démocrates
Grüne : écologistes
FDP : libéraux
BSW : anti-immigration
Andere : autres
21:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
Viktor Orbán : "L’Ukraine est à des années-lumière de l’adhésion à l’Union européenne."
Hongrie, UE. Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a déclaré : « L’Ukraine est à des années-lumière de l’adhésion à l’Union européenne. »
21:01 | Lien permanent | Commentaires (0)
Sahra Wagenknecht estime que le parti écologiste est le pire parmi les partis qui siègent au Parlement.
Allemagne. Sahra Wagenknecht estime que toute coalition de son parti avec le parti écologiste est, pour le moment, impossible et que ce parti est le pire parmi les partis qui siègent au Parlement.
20:37 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Parlement européen lève l'immunité de quatre députés européens du PiS.
Pologne et UE. Le Parlement européen a retiré leur immunité à quatre députés européens du PiS et de Pologne souveraine – un parti issu d’une scission du PiS et qui est un de ses alliés –, poursuivis pour avoir retweeté ou liké un message avec une vidéo électorale dénonçant l’immigration illégale – affirmant qu'un afflux d'immigrés illégaux vers l'Europe pourrait provoquer une augmentation des agressions sexuelles et des agressions violentes.
Les quatre députés européens concernés sont Beata Kempa, Beata Mazurek, Patryk Jaki et Tomasz Poreba. Jaki est un ancien vice-ministre de la Justice, Kempa a été chef de cabinet du Premier ministre et ministre sans portefeuille, Mazurek a été le porte-parole du PiS et Poręba a été directeur de campagne électorale du parti en 2019 et 2023.
20:10 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les demandes d'adhésion au BSW seront possibles dès janvier 2024.
Allemagne. Sarah Wagenknecht déclare que, à partir de janvier 2024, les demandes d’adhésion au BSW seront possibles.
17:42 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'hebdomadaire Der Spiegel titre : "Interdire l'AfD ? Comment la démocratie peut se protéger contre les ennemis de la Constitution."
Allemagne. L'hebdomadaire Der Spiegel titre : « Interdire l'AfD ? Comment la démocratie peut se protéger contre les ennemis de la Constitution. »
16:26 | Lien permanent | Commentaires (0)
"La rencontre entre Meloni et Lagarde."
Italie. Revue de presse.
Les Unes se concentrent sur Gaza et l’annonce d’une « pause » quotidienne de quatre heures des opérations dans le nord : « Israël, des pauses humanitaires à Gaza » (Corriere della Sera, Messaggero), « Otages, Israël s’oppose à une trêve et concède juste 4 heures de pause » (La Stampa, Sole), « Des corridors et une trêve de quelques heures : la CIA, le Mossad et le Hamas négocient » (Avvenire). Les négociations en conseil Ecofin sur le nouveau Pacte de Stabilité sont également citées : « UE : l’Italie reste isolée » (La Repubblica, Il Messaggero), « Giorgetti (Ligue) menace de ne pas signer la réforme sur le Pacte de Stabilité » (La Stampa), « Dette publique, l’Italie tient le cap : le ministre ne se plie pas aux injonctions des Allemands » (Giornale).
Les JT couvrent essentiellement l’affaire d’un nourrisson atteint d’une maladie rare au Royaume-Uni et que l’Italie cherche à transférer en Italie par l’intervention du gouvernement italien, les pauses humanitaires quotidiennes à Gaza annoncées hier, la suspension d’une enseignante dans le Nord de l’Italie suite à la diffusion de propos antisémites, l’alerte météorologique aux fortes pluies en Toscane.
ARTICLE, Corriere della Sera, M. Guerzoni « Audition de sur le canular téléphonique russe à Meloni : ‘’c’est une guerre hybride’’ » : « Il s’agit d’un acte de guerre hybride, fait par des personnes alignées avec l’Etat russe et probablement proches des services de renseignement du Kremlin. C’est la conviction autour de laquelle s’est tenue l’audition au Copasir (comité pour la sécurité de la République) du secrétaire d’Etat au Palais Chigi, Alfredo Mantovano (Indépendant, autrefois Alliance nationale), qui a aussi la délégation aux services de renseignement. Le contenu de l’audition est confidentiel. Le président du Copasir, Lorenzo Guerini (PD) a pris très au sérieux la nouvelle concernant le canular téléphonique et a lancé l’alerte sur le fait que d’autres ‘’activités malveillantes’’ pourraient se reproduire. Des sources du gouvernement assurent que Mantovano a confirmé la véridicité des faits. Sur la perception qu’il s’agissait d’un canular, les doutes de Meloni se sont manifestés vers la fin de l’appel, quand le faux dirigeant africain, avec un accent russe, l’a sollicitée à s’exprimer sur le nationalisme ukrainien, une thématique qui est chère à la propagande poutinienne. Toujours selon Mantovano, la Présidente du Conseil a signalé à son cabinet diplomatique que ‘’quelque chose ne tournait pas rond’’. Le bureau n’ayant pas ravisé des raisons d’alerte, Meloni a estimé bon ne pas en référer aux services de renseignements. Comme nous le savons, la ‘’superficialité’’ dénoncée par Meloni et confirmée par Mantovano ont poussé le responsable du cabinet, l’ambassadeur Talò, à donner sa démission. »
ARTICLE, La Repubblica, « Faux appel à Meloni : un autre ambassadeur en difficulté » de Tommaso Ciriaco et Giuliano Foschini : « De l’audition de Mantovano au Copasir, on repère qu’il y a eu plusieurs erreurs. D’abord, l’ambassadeur italien auprès de l’Union africaine, Alberto Bertoni, avait été contacté pour vérifier le mail envoyé au palais Chigi par lequel les Russes demandaient un contact. L’adresse de l’expéditeur était correcte, vu qu’ils avaient utilisé un proxy. Mais il aurait suffi de vérifier avec le cabinet de Moussa Faki pour comprendre s’il s’agissait d’un piège. Une vérification qui n’a pas été faite. La cellule diplomatique a toutefois donné suite à la demande d’appel. Une source proche du dossier commente : « ce qui n’est pas clair, c’est si notre ambassade a dit que la demande était véridique ou plutôt, ce que l’on soupçonne, que son silence ait été interprété comme un accord ». « Mais deux erreurs majeures ont été commises : de la part de ceux qui n’ont pas répondu à la demande de vérification émanant de Chigi, et de la part de ceux qui ont demandé la vérification ». Mais par ailleurs, la Commission de l’UA avait diffusé le 12 octobre un communiqué alertant sur les impostures : « plusieurs capitales étrangères ont été victimes de sollicitations émanant de fausses adresses de courriel qui prétendent être des mails officiels du vice chef d’Etat Major, pour le compte du président de la Commission de l’UA et qui demandent des appels téléphoniques à des chefs d’Etat étrangers. L’UA rappelle que toutes les demandes à haut niveau de la part du président se font systématiquement à travers les canaux diplomatiques normaux, par note verbale adressée à l’ambassade ».
ENTRETIEN, Stampa, Maria Elisabetta Casellati (Forza Italia), ministre italienne pour les Réformes, « L’élection directe du président du Conseil peut être changée, mais l'opposition ne doit pas se contenter de dire non » : « La ministre des Réformes, Maria Elisabetta Casellati, s'est lancée à corps perdu dans le débat sur l’élection directe du président du Conseil, affirmant que l'impact des modifications de la Constitution serait minime. Le président de la République perd-t-il des pouvoirs, comme l'accusent l'opposition et divers constitutionnalistes ? "Non. L'équilibre entre le Premier ministre et le Parlement sera-t-il compromis ? Absolument pas. Mais l'avenir de l'Italie, avec un "ajustement constitutionnel", sera empreint de "crédibilité, sur le plan économique et politique, que nous ne pouvons pas avoir sans gouvernements stables". Et il dira enfin adieu aux "incivilités, aux intrigues de palais, aux législatures faites de coalitions différentes et improbables" comme celle qu'elle a vécue en tant que présidente du Sénat. "La médiation entre les forces politiques a déjà eu lieu". Mais la nouvelle vient sur les enjeux de la réforme. Sur les sénateurs à vie, pas de retour en arrière, 'nous les abolissons parce qu'avec la réduction du nombre de parlementaires, il faut une forte légitimité démocratique de chaque figure du Palais Madama'. Sur le seuil minimum de la majorité dans la future loi électorale : " On ne peut pas faire un saut dans le vide, passer de 30% dans les urnes à 55% au Parlement serait exagéré". La Ministre confirme être ouverte à des changements parlementaires en collaboration avec les oppositions : "Je suis prête à jouer le rôle de médiateur mais j'aimerais qu'il y ait une réciprocité, que les oppositions se rassemblent. Le débat parlementaire ne doit pas devenir un dialogue de sourds". Les alternatives, pour Casellati, ont déjà été explorées. Le premier ‘’oui’’ au Parlement arrivera "d'ici trois mois, j'espère". Sur le référendum et ses risques, Casellati déclare : "nous ne faisons pas cela pour brandir le drapeau du centre-droit, mais pour brandir celui du peuple italien et avoir enfin une stabilité qui puisse conduire à la crédibilité internationale, au développement économique, à la confiance du marché, à la planification de l'avenir des citoyens et des entreprises, et à des relations vertueuses avec d'autres institutions telles que les universités et les régions. C'est le destin de l'Italie qui est en jeu, pas celui du "centre-droit". Et aux alliés de la Ligue qui craignent que l'autonomie soit mise en veilleuse, Casellati a répondu dans la soirée à SkyTg24 : "Au sein de la majorité, il y a une cohésion tant sur la réforme constitutionnelle que sur l'autonomie différenciée". "Simul stabunt simul cadent' ('Ensemble ils resteront debout ou ensemble ils tomberont', ndt) n'est pas seulement la formule anti-rébellion au sein de la réforme que Meloni aime tant, mais aussi celle dont les alliés ont besoin pour aborder le processus de l’élection directe qui 'd'ici la semaine prochaine', nous assure Casellati, 'atterrira au Sénat'. »
PREMIER PLAN, La Repubblica, de C. Tito, « Les partenaires de l’Italie [déplorent une] ‘’ligne qui n’a pas de sens’’ mais Giorgetti hausse le ton en vue de la négociation sur le Plan de Relance et la Loi de Finances » : « A l’issue de la réunion des ministres européens des Finances, qui ouvre pour la première fois concrètement la voie à la réforme du Pacte de Stabilité, les principaux partenaires européens, à commencer par la France et l’Allemagne, restent abasourdis face aux menaces de Rome d’opposer son véto sur le texte proposé par la présidence tournante espagnole. En effet, un retour aux anciennes règles serait problématique avant tout pour l’Italie, le message adressé aux marchés financiers serait désastreux. Même la BCE, qui est en train de réduire ses achats de titres d’Etat, a expliqué que l’absence d’accord entrainerait des conséquences pour les pays les plus exposés, dont fait partie l’Italie. De plus, les propos du ministre italien de l’Economie lors de la rencontre ne correspondaient en rien à ce qu’il avait laissé entendre à la presse. Une ligne italienne incompréhensible pour ses partenaires, qui isole de fait notre pays. Malgré une bilatérale avec son ‘’collègue’’ français Bruno Le Maire, Giorgetti n’est pas parvenu à une position commune avec Paris qui se trouvait pourtant, du pont de vue des finances publiques, dans une situation semblable à celle de Rome. Le centre-droit italien aurait au moins dû nouer une alliance avec l’Elysée et Madrid mais n’en a pas été capable. Au contraire, la gouvernance économique se retrouve ainsi entièrement entre les mains de la France et de l’Allemagne, dont les deux ministres de l’Economie se rencontreront prochainement à Berlin, sans Rome. Durant l’Ecofin, personne n’a pris la défense du gouvernement Meloni lorsque les pays dits ‘’frugaux’’ ont reproché à l’Espagne une médiation trop clémente. Lors des négociations de ces derniers jours, l’Espagne avait tenu compte des demandes de Paris qui correspondaient involontairement à celles de l’Italie : le plan pour un rééquilibrage du déficit sur 7 ans et non sur 4 pour les pays prévoyant des réformes structurelles dans le cadre du Plan de Relance, le calcul ‘’avantageux’’ de certaines dépenses notamment en matière de défense qui ne pèseront quasiment pas dans le calcul du déficit, la réduction de la dette étalée sur au moins 4 ans et qui se situera autour d’1% annuel avec une certaine flexibilité. Bien sûr, en échange de tout cela la France a concédé à l’Allemagne une forme de ‘’garantie’’ dans la réduction du déficit qui devrait passer en-dessous des 2% au lieu de 3%. Une exigence de Belin qui n’a pas confiance en certains partenaires, à commencer par l’Italie. Notre pays a pourtant presque toujours respecté ce seuil, sauf en période de pandémie. La position de Rome apparait donc inexplicable, de même que les critiques informelles du gouvernement Meloni à l’encontre du commissaire italien des Affaires économiques, Paolo Gentiloni, alors que les ‘’faucons’’ l’accusent au contraire d’être trop conciliant avec son pays. Le double discours de Giorgetti est donc perçu comme une propagande adressée plutôt à l’Italie elle-même et pour maintenir la pression en vue des prochaines échéances, notamment l’avis de la Commission sur la Loi de Finances, les négociations sur les révisions du Plan de Relance, et le MES sur lequel Giorgia Meloni ne s’est pas encore décidée à donner son feu vert, agaçant de plus en plus ses partenaires. La Présidence du Conseil doit se décider : soit elle subit la réforme du Pacte, soit elle la promeut. Mais si la France et l’Allemagne se mettent d’accord, il sera difficile pour quiconque de s’y opposer. »
EN COULISSES, Corriere della Sera, F. Fubini « La rencontre entre Meloni et Lagarde » : « Lors de la dernière réunion européenne, Giorgia Meloni et Christine Lagarde ont eu un échange. Toutes deux partagent un dossier qui leur est cher : les nouvelles règles budgétaires européennes pour lesquelles les ministres de l’Ecofin cherchent un accord d’ici la fin de l’année. L’Italie nourrit des doutes sur la direction de ces pourparlers, notamment la requête allemande de prévoir une « borne » sur le déficit, outre une « sauvegarde » sur la dette, poussant les pays lourdement endettés à un écart bien en dessous des 3% du PIB. Rome craint que cette contrainte engendre des corrections trop brusques aux comptes publics à partir de 2025. Par ailleurs, au niveau européen, un étau simultané de la part de trop de pays pourrait mettre à mal l’économie du continent. Il n’est pas clair si Meloni a fait part de ses craintes à la directrice de la BCE. En tout cas, Mme Lagarde lui a passé un message : ‘’l’accord sur les règles budgétaires est fondamental pour nous’’. Elle a aussi mis au clair que si l’on crée une situation où la BCE doit aider l’Italie sur les marchés, ce sera plus difficile de le faire sans un cadre défini de règles. Le « bouclier » de la BCE est réservé aux pays qui sont déjà en règle avec les normes communautaires ou qui travaillent pour l’être. Si l’ancien pacte de stabilité devait rentrer à nouveau en vigueur, l’Italie aurait bien des difficultés à se remettre en règle. Rome exprime aussi des doutes sur le rôle de Nadia Calvino : celle-ci étant postulante à la présidence de la BCE, elle pourrait utiliser sa médiation pour favoriser sa candidature. Le dossier est en évolution et les ministres allemand et français sont maintenant plus proches, ils se rencontreront la semaine prochaine et pourraient trouveur un accord. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
15:30 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'AfD est opposée à l'entrée de l'Ukraine dans l'Union européenne.
Allemagne et UE. L’AfD critique la prise de position de la Commission européenne par rapport à une future entrée de l’Ukraine au sein de l’Union européenne.
02:45 | Lien permanent | Commentaires (0)