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10/11/2011

5 ème journée de Synthèse nationale à Paris ce 11 novembre 2011.

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Je prendrai la parole à partir de 11h30.

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Les Republikaner opposés à la barre des 5 %.

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Allemagne. Les Republikaner saluent la décision de la Cour constitutionelle qui estime que la barre de 5% nécessaires à un parti politique pour pouvoir obtenir au moins un élu en Allemagne lors des élections européennes est contraire a l’égalité du droit de vote et à l’égalité des partis. Les Republikaner exigent la suppression générale de la barre des 5 %, aussi lors des élections nationales et lors des scrutins pour les parlements de Land  (cette barre des 5 % ne s’applique pas lors des élections municipales).

Manifestation avec Heinz-Christian Strache pour le Tyrol.

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Autriche et Italie. Le FPÖ (Autriche) organise le 11 novembre 2011 une manifestation au Tyrol (dans la partie italienne ou Haut-Adige) en présence du Président du parti Heinz-Christian Strache.

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"Il est à vous. La fidélité au Tyrol ! Double nationalité. Droit à l'autodétermination. Invitation à la manifestation à Neumarkt. Vendredi 11 novembre 2011. Salutation du Député national Werner Neubauer. Discours de HC Strache."

09/11/2011

Leefbaar Rotterdam : stationnement pour les invalides.

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Pays-Bas. Rotterdam. Leefbaar Rotterdam (Rotterdam Vivante) veut que les invalides puissent à partir du 1 janvier 2012 stationner leurs voitures gratuitement lorsqu’ils sont en possession d’une carte de stationnement pour invalides. Pour le moment, les invalides qui disposent de cette carte ne peuvent stationner qu’au sein d’un nombre limité d’endroits prévus à cet effet.

Silvio Berlusconi : « Je pars et je ne serai pas candidat ».

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Entretien de S. Berlusconi avec Mario Calabresi, directeur de La Stampa : « Je pars et je ne serai pas candidat » : « En fin de soirée, on s’attend à trouver un homme abattu et déprimé, mais la voix est vive et les propos sans équivoque : ‘Dès que la loi de stabilité sera adoptée, je démissionnerai et, puisqu’il n’y a pas d’autres majorités possibles, je ne vois que des élections début février, scrutin auquel je ne serai plus candidat.’ Le retrait, dans ses propos, est total et définitif : ‘Notre candidat sera Alfano. Il est accepté de tous et ce serait une mauvaise idée de le griller maintenant en tentant d’imaginer un nouvel exécutif conduit par lui’. ‘Il faut donner des réponses immédiates aux marchés. Je me suis engagé envers l’Europe et je veux tenir ma promesse. J’en appelle à tous, majorité et opposition, pour que les mesures passent au plus vite.’ Les élections ne sont pas automatiques : ‘Certes, le chef de l’Etat fera les consultations, mais je ne vois pas de majorités alternatives possibles : d’un côté, je ne veux pas d’un gouvernement avec le PD et, de l’autre, Casini a dit qu’il ne s’allierait pas avec nous. C’est mathématique.’ Des élections en plein hiver ? ‘Les délais d’adoption de la loi de stabilité devraient être rapides et d’ici à la fin du mois, j’aurai démissionné. Il faut faire vite’. A-t-on vu un ‘coup d’État des marchés’, comme l’ont dit certains des siens ? ‘A vrai dire cette pression est une grande opportunité, les marchés nous poussent à faire les réformes que nous ne sommes pas arrivés à faire. Nous ne devons pas le vivre comme quelque chose d’imposé mais comme une occasion’. Il songe encore à une alliance PdL-Ligue, et pense qu’elle peut gagner : ‘Rien ne dit que les Italiens veuillent d’une alliance allant du centre à Vendola et Di Pietro, mais eux s’y voient déjà, avec Casini au Quirinal. (…) Je suis las de ne plus pouvoir faire la politique que je voudrais. J’ai lu une lettre de Mussolini à sa maîtresse C. Petacci où il écrit qu’il ne compte pour rien, et ne peut faire que des recommandations. Je me suis senti dans la même situation.’ S’il concède que la situation est différente, il juge qu’on a trop affaibli l’exécutif de peur que l’Histoire ne se répète : ‘Un homme qui ne peut pas faire faire à son ministre de l’Economie la politique à laquelle il croit est-il vraiment le chef de l’exécutif ? (…) Il me reste la consolation du record de longévité à la présidence du Conseil’. En réalité, il n’a pas battu Giolitti : ‘Je l’ignorais. Dommage, vraiment dommage. Allez, bonne nuit’. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

10.000 personnes aux 3ème anniversaire du SNS (serbe).

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Autriche et Serbie. Le FPÖ a accepté de se rendre à Nis, dans le Sud de la Serbie, à l’invitation du SNS afin de célébrer le troisième anniversaire de ce parti. 10.000 sympathisants du SNS ont suivi au sein d’un hall sportif le discours de leur Président Tomislav Nikolic. De nombreux ambassadeurs et ambassadrices étaient présents,  parmi lesquels l’Ambassadeur de Russie Aleksander Konuzin, qui a été accueilli par des milliers d’applaudissements. Par contre, l’ambassadeur des Etats-Unis a été reçu par un concert de sifflet. La délégation du FPÖ était dirigée par le Député national  Johannes Hübner. Elle comptait en son sein le Chef de file des élus du FPÖ au sein du Parlement de Vienne Johann Gudenus et le Président du CFP Konstantin Dobrilovic.

 

Le FPÖ et le SNS ont signé en 2011 un accord de partenariat. Le FPÖ entretient également des relations avec le parti Nouvelle Serbie de Velimir Ilic.

 

Nouvelle Serbie :  http://fr.wikipedia.org/wiki/Nouvelle_Serbie

 

CFP : http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2010/06/09/le-fpo-cree-la-cfp.html

 

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Johann Gudenus du FPÖ, le Président du SNS Tomislav Nikolic et Konstantin Dobrilovic

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Konstantin Dobrilovic, l'ambassadeur de Russie Aleksander Konuzin et Johann Gudenus

 

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La délégation du FPÖ parmi les 10.000 sympathisants du SNS

Confirmation du suicide deTamás Eszes.

Hongrie. La police a confirmé que Tamás Eszes, le chef de l’organisation Véderő qui s’est présenté lors de l’élection du Maire de Gyöngyöspata en concurrence avec le candidat du Jobbik, s’est suicidé.

L'article de ce site sur le Premier ministre danois et les islamistes repris sur "Poste de veille" et "Le Post".

L'article de ce site « Le Premier ministre danois appelle les islamistes à quitter le pays. » a été repris par le site québécois « Poste de veille » puis par le site « Le Post ».

 

http://www.postedeveille.ca/2011/11/danemark-le-premier-ministre-appelle-les-islamistes-a-quitter-le-pays.html

 

http://www.lepost.fr/article/2011/11/09/2633312_le-premier-ministre-du-danemark-appelle-les-islamistes-a-quitter-le-pays.html 

Grand Angle : Berlusconi a annoncé sa démission.

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Etats-généraux contre Di Rupo.

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Belgique. Le Vlaams Belang organise un meeting le 20 novembre 2011 à Bruxelles. C’est un retour au sein de la capitale de la Belgique, de la Flandre et de l’Europe, où le Vlaams Belang n’a plus organisé la moindre manifestation publique d'envergure depuis dix ans, car interdite par le régime en place sous le prétexte que le Vlaams Belang « trouble l’ordre public ».  Le Vlaams Belang a introduit un recours devant le Conseil d’État et a obtenu gain de cause et est autorisé à organiser des meetings à Bruxelles.

 

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"Etats généraux contre Di Rupo [futur Premier-ministre belge qui est un socialiste francophone et qui malgré des années d'apprentissage n'est pas capable de parler correctement le néerlandais]. Orateurs : Dominiek Leetens, Bart Laeremans, Barbara Pas, Gerolf Annemans, Bruno Valkeniers. Le 20 novembre 2011 à 14h."

Une délégation du Renouveau Français à la manifestation organisée par les ultranationalistes russes à Moscou.

Russie. Le Renouveau Français a envoyé une délégation à la manifestation organisée par les ultranationalistes russes à Moscou le 4 novembre 2011 :

 http://www.renouveaufrancais.com/new/index.php/component/content/article/34-news/264-russie2011

Silvio Berlusconi «remettra son mandat au chef de l'Etat».

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La présidence de la République italienne a annoncé ce 9 novembre au soir que Silvio Berlusconi «remettra son mandat au chef de l'Etat» après l'adoption par le Parlement des mesures d'austérités promises à l'Union Européenne à Cannes pour éviter la contagion de la crise de l'euro.


08/11/2011

Des militants de Svoboda perturbent une manifestation communiste.

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Ukraine. Kiev. Les militants de Svoboda se sont heurtés à la manifestation communiste en vue de célébrer le 90ème anniversaire de la Révolution d’octobre. Cette manifestation, interdite par la municipalité, a réuni des centaines de communistes portant des panneaux : « Nous avons préservé le Parti communiste, laissez nous recréer l’Union soviétique ! » et  « Longue vie au Parti communiste ! »

 

Les militants de Svoboda ont jeté des œufs sur les communistes. Trois personnes, dont un communiste, ont été arrêtées. Un drapeau communiste a été brûlé.

 

Manifestation communiste :

Ultime croisée des chemins pour un chef isolé.

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« Ultime croisée des chemins pour un chef isolé » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) : « Isolé, abandonné (ou ‘trahi’), avec des marchés enthousiastes à la rumeur de sa démission, le Cavaliere s’agrippe à sa nature combative pour répéter avec l’énergie du désespoir : ‘j’ai les voix’. Il l’a redit hier soir à Calderoli qui lui exposait la nouvelle ligne de la Ligue : qu’il se retire et passe le témoin ‘à un homme de confiance’. Cyniquement, le parti de Bossi veut lui faire porter le chapeau d’un scrutin anticipé, mais l’homme qui, des années, a dominé la scène nationale ne fléchit pas. On en reste à la case départ. La semaine prochaine, Berlusconi veut que la confiance (ou la censure) soit votée au grand jour, d’abord au Sénat, où les chiffres semblent plus stables, puis à la Chambre, ce Far West. Il pense ainsi freiner l’hémorragie qui érode chaque jour sa majorité. Le danger, alors qu’il tente de récupérer des transfuges, est que d’autres se tournent vers l’UdC (Pisanu cite ‘une nouvelle maison commune des catholiques et des libéraux’). Le climat est irréel. Berlusconi veut rendre la fuite des ‘dissidents’ plus ardue et anéantir les formules intermédiaires (exécutif technique, de transition etc.) si le vote à la Chambre le force à démissionner. A ce stade, Berlusconi s’est opiniâtrement refusé à faire le geste généreux que tout le monde lui demande (même Bossi, à sa façon) : sortir de scène et permettre que prenne forme un exécutif porteur de crédibilité. Seules la disponibilité et la bonne volonté du président sortant peuvent aider Napolitano à démêler l’écheveau : sans le concours du PdL et de son poids notable au Parlement, toute issue sans retour immédiat aux urnes est irréaliste. Berlusconi peut démissionner après avoir lancé les mesures européennes et brûler les vaisseaux de la législature, ou bien il peut aider le chef de l’Etat à bâtir une nouvelle majorité, plus ou moins large, qui puisse œuvrer quelques mois au moins. Deux voies très différentes, mais assurément on est au carrefour décisif. Chaque jour perdu nous rapproche d’élections anticipées. En attendant, la loi de règlement devrait passer aujourd’hui, moyennant beaucoup d’abstentions – comme le dit Pannella, ‘un rejet serait irresponsable’. »

 

« Abstention puis motion de censure : PD, 3e pôle et IdV étudient le KO » (Giovanna Casadio, La Repubblica) : « Une journée cruciale où il ne faudra commettre aucune erreur. L’opposition le sait au point que dans le bureau de Fini, hier à la Chambre, Bersani, Casini, Rutelli, Franceschini et Cesa ont étudié toutes les hypothèses pour pousser Berlusconi à la démission, ‘sans lui offrir d’avantages tactiques’, donc tout de suite. C’est le dernier acte du gouvernement Berlusconi mais des surprises peuvent survenir. La stratégie du PD et du 3e pôle, avec l’IdV, est de prouver par le vote d’aujourd’hui sur la loi de règlement le naufrage de l’exécutif. Il n’a plus les voix nécessaires alors que l’opposition tient bon. Les opposants pourraient s’abstenir sur ce texte budgétaire, par sens de l’Etat – idée chère à Napolitano. Si le nombre d’abstentions dépassait les voix de la coalition gouvernementale, la loi serait adoptée mais le constat politique patent serait la liquéfaction de la majorité. Mais l’abstention n’est pas certaine : la décision finale sera connue ce matin après la réunion de présidence du groupe PD, celle des chefs de groupe d’opposition plus 2 libéraux-démocrates et un républicain, et la rencontre entre Bersani et les radicaux Bonino et Pannella – qui prônent l’abstention. Vote cet après-midi. Aujourd’hui, l’opposition décidera de présenter ou non la motion de censure sur les mesures européennes, à voter au plus tard mardi prochain. Elle paraît indispensable sauf si – estiment Bersani, Fini et Casini – le chef de l’Etat devait appeler Berlusconi au Quirinal dès aujourd’hui. Le combat finale est en train de se jouer. Selon Pisanu, ex ministre de l’Intérieur et sénateur PdL, si l’éventuelle motion de censure visait à ‘faire naître un exécutif large et d’unité nationale’, il la voterait. A la réunion des opposants, on a aussi parlé de Gianni Letta, du profil d’un exécutif de transition et de l’inconnue relative aux élections. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Le Premier ministre danois appelle les islamistes à quitter le pays.

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Danemark. Dans un discours tenu lors d’un congrès du parti, le nouveau Premier ministre social-démocrate danois Madame Thorning-Schmid a appelé tous les fondamentalistes musulmans à quitter le pays.

 

Elle a critiqué âprement dans son discours les salafistes et autres groupes extrémistes : « Quand on veut introduire des zones de sharia au Danemark, ce serait peut-être plus simple er meilleur pour tous que les intéressés aillent dans un seul pays où il y a déjà une grande zone unique de charia. Pour les salafistes et autres groupes présentant un caractère dangereux pour la communauté, le message du nouveau gouvernement est clair : « vous détruisez beaucoup de jeunes gens qui veulent faire partie de la communauté danoise.»»

Le Premier ministre souligne ainsi les critiques d’hier du Ministre des affaires étrangères Villy Sövndal et du Ministre de l’intégration et des affaires sociales Karen Haekkerup envers ces groupes religieux, qui, selon un rapport du ministère de l’intégration, sont appelés à devenir un problème croissant au Danemark.

En même temps, Madame Thorning-Schmid annonce une politique de l’immigration de loin plus détendue que celle qui a eu lieu sous le gouvernement de centre-droit, qui était imprégnée par le Parti du Peuple danois.

« La grande majorité des immigrants au Danemark veulent que leurs enfants deviennent une part de leur nouvelle patrie, sans pour autant oublier leurs racines. La grande majorité des immigrés au Danemark veulent trouver un travail et cherche à s’occuper de leur propre famille. Le nouveau gouvernement est aussi un gouvernement pour eux. »

...

Source : http://avpixlatde.wordpress.com/2011/11/07/danemarks-mini...

07/11/2011

Concours de tir de Stingl.

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Autriche. Carinthie. Le FPK organise un concours de tir de Stingl (une sorte de curling) doté de prix.

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Nuit des militants organisée par le Vlaams Belang Jongeren.

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Belgique. Flandre. Lors de la nuit des militants organisée par le Vlaams Belang Jongeren (Jeunesses du Vlaams Belang) ce vendredi 4 novembre 2011 étaient présents Barbara Pas, Barbara Bonte, ainsi que Luc Vermeulen.

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Promo-girls du site Internet Rechtsactueel.

Elections au sein de la Représentation du personnel du Land de l’administration de Carinthie.

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Autriche. Ce lundi 7 novembre et ce mardi 8 novembre 2011 ont lieu les élections au sein de la Représentation du personnel de l’administration du Land de Carinthie. L’Aktionsgemeinschaft Unabhängiger und Freiheitlicher (AUF - Communauté d’Action des Indépendants et des libéraux) participe au scrutin. Andreas Skorianz est le candidat de tête.

 

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"Nous agissons, les autres parlent."

Le Vlaams Belang manifeste contre les abattages rituels.

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Belgique. Ce dimanche 6 novembre 2011, jour de la fête musulmane de l’offrande (Aïd al-Adha ou Aīd al-Kabīr), le Vlaams Belang a manifesté à Meise contre les abattages rituels.VB1.jpg

"Stop aux abattages rituels."

La Freiheitliche und Unabhängige Bauernschaft obtient 23,71 % des voix lors des élections pour la Chambre d’agriculture de Carinthie.

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Autriche. Carinthie. La Freiheitliche und Unabhängige Bauernschaft (Représentation agricole libre et indépendante) a obtenu lors des élections de ce 6 novembre 2011 pour la Chambre d’agriculture de Carinthie 23,71 % des voix, soit un gain de plus de 6 %.

 

Le Président du FPK Uwe Scheuch a déclaré : « Je me réjouis des excellents résultats des libéraux [nationalistes] lors des élections pour la Chambre d’agriculture. Mes remerciements vont à notre candidat de tête Peter Suntinger et à son équipe pour le formidable engagement dans la campagne électorale et le bon travail des dernières années. »

 

Peter Suntinger a déclaré que ce résultat montre que les électeurs apprécient le travail mené par la Représentation agricole libre et indépendante et que le taux d’abstention de 50 % indique que des réformes du fonctionnement de la Chambre d’agriculture de Carinthie doivent être conduites.

Berlusconi dément toute démission.

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Italie. Silvio Berlusconi a démenti toute idée de démission.

Le LAOS fixe 3 conditions pour participer à un gouvernement d'unité nationale.

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Grèce. Le LAOS fixe 3 conditions pour participer à un gouvernement : http://www.news-banques.com/grece-lextreme-droite-lache-l... 

L'agonie du gouvernement Berlusconi.

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« Le gouvernement de plus en plus en péril » (Corriere della Sera)

« Maroni : ‘Inutile de s’acharner, c’est fini’ » (La Repubblica)

« Départs du PdL : les rebelles sont déjà 20 » (La Repubblica)

« FMI et Europe : double surveillance pour l’Italie » (Marco Zatterin, La Stampa)

« Les dangers de l’agonie prolongée » (Marcello Sorgi, La Stampa)

 

 

« La paralysie que l’Italie ne peut se permettre » (St. Folli, Il Sole 24 Ore de dimanche) : « La fin politique de Berlusconi n’est pas une affaire banale. Il s’agit de la personnalité qui, pour le meilleur et pour le pire, a marqué une époque, de la figure dominante des 18 dernières années, chef et même propriétaire, au sens patrimonial, de la droite italienne. Rien d’étonnant à ce que son crépuscule ait valeur de psychodrame ou à ce qu’il soit si difficile d’identifier une issue parlementaire sans scrutin anticipé. En l’état, il n’y aurait qu’une façon de sortir de l’impasse : que tous les partis prennent de la hauteur au nom d’une vision commune de l’Europe pour tenir les engagements pris, en déposant les armes aux pieds du chef de l’Etat et en s’en remettant à ses décisions – issue hautement improbable. Hier encore, G. Napolitano dénonçait le ‘climat de guerre’ dans le pays. Berlusconi n’a pas intérêt à sortir de scène sans lutter ; par tempérament et par calcul, il résistera jusqu’au bout, en tentant d’inculquer aux députés qui le lâchent une idée simple : ‘après moi le déluge’ – les élections et rien d’autre. L’hypothèse que la législature se poursuive avec un autre chef n’est plus guère plausible. Le président du Conseil jouera son dernier acte de résistance, d’abord sur la loi de règlement, puis sur la loi de stabilité (au Sénat et à la Chambre). Le paradoxe est total : d’un côté une majorité qui se dissout mais a encore la force de se battre au Parlement, de l’autre aucune alternative toute prête. Au fond, tout le monde se prépare aux élections sans le dire. Casini et Fini demandent un exécutif sans Berlusconi mais en réalité leur regard est tourné vers les urnes. Idem pour le PD : penser aux élections est la seule façon de faire tenir l’alliance avec Di Pietro et Vendola. A la manifestation de samedi, à Rome, Bersani a fait un discours très européen mais aussi, à l’évidence, électoral. Bref, pas de sursaut, pas de convergence et un élan inexorable vers des élections. Mais on ne se débarrasse pas d’une figure comme Berlusconi par de petits jeux tactiques au jour le jour. Il faudra un affrontement dans les urnes au grand jour. Ensuite seulement on pourra tenter de bâtir une majorité pour l’Europe. Sans barrières idéologiques. »

 

 

« Le dénouement : des élections avec sortie sur le Quirinal » (Lina Palmerini, Il Sole 24 Ore) : « Cette semaine va tourner autour d’une seule question : des élections ou un exécutif de responsabilité nationale ? Le super-amendement et la loi de règlement, attendus pour examen au Sénat et à la Chambre, seront un test crucial pour la majorité. Si, à la Chambre, les chiffres n’y sont pas, on commencera à travailler sur ces deux options. Bien sûr la décision relève du Quirinal, mais chacun a sa vision du ‘happy end’. En faveur des élections, il y a d’abord Berlusconi et la partie du PdL qui lui reste fidèle ; le meilleur indice en est le super-amendement à la loi de stabilité : si le Cavaliere est allé au G20 de jeudi avec un texte à moitié vide par rapport aux engagements de la lettre adressée à l’UE, c’est parce qu’aspirant à des élections il n’a nul intérêt à accabler les Italiens de sacrifices. S’il voulait vraiment tenir jusqu’en 2013, comme il le prétend, il aurait donné plus de gages de rigueur dans le respect des engagements – au lieu de quoi il a exposé l’Italie à passer sous ‘surveillance spéciale’ de l’Europe et du FMI. Conscient qu’il dispose d’une majorité trop fragile, il espère gagner du fait de l’alternative trop à gauche qu’offre l’axe Bersani-Vendola-Di Pietro. Les élections sont la seule carte à jouer pour ne pas finir hors du jeu avec des procès en cours. Elles sont aussi la seule carte pour une Ligue qui n’a aucun intérêt à participer à un exécutif technico-institutionnel avec au programme la réforme des retraites. Bossi sait qu’avec des élections rapides il peut encore déterminer les choix du parti et fixer les équilibres internes en vue de la succession : les élections sont un tonique à prendre tout de suite. Bersani aussi a intérêt à des élections : c’est son heure ; au contraire, en cas d’exécutif de responsabilité nationale, Renzi ou d’autres pourraient menacer son rôle dirigeant. Il n’a rallié qu’à contrecœur les ténors du PD (D’Alema, Veltroni, Letta) partisans d’un exécutif Monti (qui justement pourrait donner au parti le temps de revoir ses alliances et son leadership). Qui ne veut pas des élections ? Une partie du PD qui ne veut pas y aller dans le cadre de l’alliance avec Vendola ou Di Pietro. Et Casini (UDC) qui veut revenir au centre du jeu pour participer à la restructuration du centre droit sans Berlusconi et à un nouveau mode de scrutin proportionnel – le gouvernement technique étant vu comme le moyen de gérer la fin du berlusconisme, permettant ainsi au PdL et aux centristes de se retrouver (pour Casini, une belle rampe de lancement vers le Quirinal. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

06/11/2011

Nouvelles des Hongrois de Slovaquie (suite).

Slovaquie. Le panneau bilingue de noms de lieu enlevé a été remplacé. Les activistes ont dressé un petit panneau en plusieurs langues (slovaque, hongrois, anglais) signalant que le panneau bilingue a été dressé durant 3 jours à cet endroit.

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"Ici s'est dressé durant 3 jours le premier panneau bilingue d'indications routières  de Slovaquie. Erigé par des militants des droits civiques. Enlevé par l'Etat. Qu'il repose en paix."

Un député du Jobbik jette les fleurs déposées devant la statue de Mihaly Karolyi.

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Hongrie. Le Député du Jobbik Balázs Lenhardt jette à la poubelle les fleurs qui ont été déposées près de  la statue de Mihaly Karolyi.  

 

Mihaly Karolyi : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mih%C3%A1ly_K%C3%A1rolyi