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21/04/2013

Geert Wilders reçu comme une star à Volendam.

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Pays-Bas. Province de Hollande du Nord. Volendam. Le président du PVV Geert Wilders s’est rendu à Volendam, un village de pêcheurs, dans le cadre de sa tournée de résistance aux mesures de restriction du gouvernement.  Il a été reçu comme une star.

Depuis la terrasse d’un café, un habitant de la localité lui crie : « Geert, j’ai tous tes disques ! ». De nombreuses personnes veulent se  faire prendre en photo avec Geert Wilders. Un jeune de quinze ans déclare : « Il va sauver notre pays. » Geert Wilders trouve que Volendam est un endroit magnifique et chaleureux et que les gens sont fiers de leur ville [précisons que Volendam n’est pas une ville, mais un village].

Geert Wilders, entouré en permanence de gardes du corps et d’agents de police, comprend pourquoi il est si populaire à Volendam : « Des personnes qui travaillent dur et qui sont fières de leur pays habitent ici. Elles veulent quelque chose d’autre que l’actuel gouvernement. »

Pourquoi Geert Wilders a-t-il choisi Volendam ? Parce qu'il y récolte de nombreuses voix et a pensé qu'il devait s'y montrer.

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Le Parlement serbe tiendra une session à propos de l’accord entre la Serbie et le Kosovo.

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Serbie. Le président du Parlement Nebojša Stefanović (SNS) a indiqué que le Parlement tiendra une session à propos de l’accord entre la Serbie et le Kosovo après que le Parlement et le gouvernement aient exprimé leurs opinions. Les représentants du gouvernement informeront les députés à propos des négociations et de l’accord, ainsi que de la décision du gouvenrment d’accepter ou non cet accord (décision prévue pour ce lundi 22 avril 2013). Nebojša Stefanović a fermement condamné le fait que le Vice-Premier ministre Aleksandar Vučić (SNS) et le Premier ministre socialiste Ivica Dačić ont reçu des menaces [de la part de citoyens serbes].

L'UKIP donné à 17 %.

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Royaume-Uni. Au sein du dernier sondage Opinium/Observer, l’UKIP est donné à 17 %, soit en progression de 1%.

20/04/2013

Wolfgang Schäuble met en garde les électeurs de la CDU/CSU contre un changement vers l'AfD.

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Allemagne. Le Ministre CDU des finances Wolfgang Schäuble met en garde les électeurs de la CDU/CSU contre un changement vers le nouveau parti anti-euro AfD (Alternative für Deutschland – Alternative pour l’Allemagne) : chaque voix perdue pour les partis du gouvernement (CDU, CDU, FDP) expose le pays à ce qu’un autre gouvernement soit élu. Il reconnaît cependant que ce nouveau parti exprime les préoccupations et idées des citoyens et que celles-ci doivent être prises au sérieux.

Pierluigi Bersani se retire de la direction du Parti démocrate.

 

Italie. Le dirigeant du Parti démocrate Pierluigi Bersani a annoncé son retrait de la direction du parti ce samedi 20 avril 2013 après la réélection de Giorgio Napolitano au poste de président de la République. La direction du Parti démocrate se retire en même temps.

Le maire de Florence, Matteo Renzi, pourrait lui succéder.

Napolitano réélu président. Beppe Grillo marche sur Rome.

 

Italie. Lors du quatrième tour de scrutin pour l’élection du président de la République, Romano Prodi n’a pas été élu. Sa candidature a conduit à des divisions au sein du centre-gauche. Le cinquième tour n’a pas non plus permis une élection.

Face à cet échec, le Parti démocrate, de centre-gauche, a demandé au président sortant Giorgio Napolitano, 87 ans, d’assurer un nouveau mandat.

Ce samedi 20 avril 2013 au soir, Giorgio Napolitano a été élu président de la République en obtenant une majorité.

(Les personnes participant à l’élection sont : les 630 députés, les 319 sénateurs (dont 4 sénateurs à vie) et 58 délégués des 20 régions du pays).

Beppe grillo et son Mouvement 5 étoiles ont protesté avec véhémence contre la candidature de Giorgio Napolitano qu’ils considèrent comme une tentative des partis en place d’empêcher le changement. Beppe Grillo appelle sur son blog à une marche sur Rome : « Nous devons être des millions à Rome. Je suis aussi en route pour Rome. Ne me laissez pas seul. Soit nous construisons la démocratie, soit nous mourrons tous. »

Aleksandar Vučić menacé.

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Serbie. Le président du SNS et Vice-Premier ministre Aleksandar Vučić a reçu des menaces de mort, dont certaines visent sa famille, suite à l’accord avec le Kosovo.

Des militants du SRS ont distribué, ce samedi 20 avril 2013, le numéro de portable d'Aleksandar Vučić dans la rue à des passants à Belgrade (en Serbie), Novi Sad (dans la province de Voivodine) et Kosovska Mitrovica (dans la partie serbe du Kosovo).

La police a consulté le parquet afin de savoir comment elle doit réagir.

Aleksandar Vučić : "Il n’est pas vrai que la Serbie a reconnu l’indépendance du Kosovo."

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Serbie. Le Vice-Premier ministre Aleksandar Vučić (SNS) a déclaré qu’il n’est pas vrai que la Serbie a reconnu l’indépendance du Kosovo en initiant un accord avec le Kosovo : « L’équipe de négociation a obtenu la meilleure solution dans le domaine de la protection des intérêts nationaux et de l’État. Nous avons préservé le futur de nos enfants. »

Aleksandar Vučić a mis en avant et ajouté que le Kosovo est une partie de la Serbie : « Ceux qui disent que le Kosovo a été reconnu mentent, vous ne pouvez pas trouver cela où que ce soit au sein de l’accord. »

Tomislav Nikolić déclare qu’il n’était pas possible d’obtenir un meilleur accord.

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Serbie. Le président Tomislav Nikolić (issu du SNS) a déclaré qu’il n’était pas possible d’obtenir dans les circonstances actuelles un meilleur accord à Bruxelles. Il a précisé que la Serbie ne reconnaîtra jamais l’indépendance du Kosovo : « C’était la seule solution possible qui garantit une vie pacifique pour notre peuple et que le Kosovo ne sera jamais reconnu à l’ONU. »

Discours en slovène au Parlement de Carinthie.

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Autriche. Carinthie. Cinq des six députés FPK [au Parlement de Carinthie] ont quitté la salle lorsque le Député écologiste Madame Zalka Kuchling a tenu un discours dans sa langue maternelle, le slovène. Le chef de file du groupe des élus FPK Christian Leyroutz a cherché auparavant à éviter que ce discours soit tenu, car il s’agit selon lui d’un non-respect de la Constitution de Carinthie. Christian Leyroutz examine maintenant la possibilité d’une plainte contre le président du Parlement [de Carinthie] qui a autorisé ce discours.

(Le sud de la Carinthie compte une forte minorité slovène.)

Lors de l’assemblée constitutive de l’actuel Parlement qui s'est déoulée il y a quelques semaines, le gouverneur de Carinthie a tenu un discours en partie dans les deux langues sans que le FPK réagisse.

Accord entre la Serbie et le Kosovo.

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Serbie et Kosovo. La Serbie et le Kosovo sont arrivés à un accord :

http://www.liberation.fr/monde/2013/04/19/accord-entre-se...

Des représentants politiques de la partie serbe du Kosovo ont déclaré, lors d’une conférence de presse, être mécontents de la conclusion de cet accord. Ils n’acceptent pas dans la partie serbe du Kosovo les institutions du Kosovo albanais. Ils se rencontreront ce lundi 22 avril 2013 afin de décider la création d’une assemblée du Nord du Kosovo. L’ensemble des dirigeants des municipalités de la partie serbe du Kosovo ont participé à la conférence de presse, ainsi que le dirigeant du district de Kosovska Mitrovica Bojan Jakovljević (SNS).

19/04/2013

Ruby appelée à témoigner.

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Italie. Le tribunal de Milan a décidé de convoquer le 24 mai 2013 Ruby pour entendre son témoignage dans le procès du « Rubygate » qui vise Silvio Berlusconi et certains de ses proches.

L'UDC divisée sur le remboursement de l'avortement.

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Suisse. L’initiative populaire « Financer l’avortement est une affaire privée », dont l'objet est de supprimer le remboursement de l'avortement, divise les députés UDC. Céline Amaudruz, député UDC, déclare à la tribune du Parlement : « À vous tous, je lance du fond du cœur un appel : « Ne restreignons pas! » À vous Messieurs plus particulièrement, respectez la condition de la femme! » Elle ajoute : « Ce que dit très clairement l’initiative, c’est que l’avortement est mal. Vous avez le droit de le penser et même de le dire, mais le Parlement n’est pas le lieu pour faire, ou pire refaire, le débat moral au sujet de l’avortement. »

D’autres cadres de l’UDC sont également opposés à cette initiative populaire, alors que l’UDC est l’unique parti gouvernemental à soutenir le texte et que le comité d’initiative compte dans ses rangs les Députés UDC Oskar Freysinger, Yvette Estermann et Andrea Geissbühler. Oskar Freysinger refuse d’être coresponsable d’un acte, l'avortement, qu’il « considère comme éthiquement et moralement inacceptable ».

Le texte a été rejeté par 130 voix de député contre 29 et 10 abstentions.

"Allemagne, retour du nationalisme."

 

« Allemagne, retour du nationalisme » (Adriana Cerretelli, Il Sole 24 Ore) : « Dimanche à Berlin, le nationalisme est revenu de manière officielle dans l’arène politique allemande. Avec le visage démocratique et irréprochable d’Alternative pour l’Allemagne, le nouveau parti qui prône le retour à la devise allemande en détruisant de manière ordonnée et pacifique la devise européenne. Un parti qui ne se proclame pas anti-européen mais uniquement anti-euro. Toujours dimanche, dans un château pas loin de Berlin, Angela Merkel clôturait un weekend passé avec le Premier ministre britannique David Cameron et sa famille pour parler d’Europe, des réformes à mettre en chantier et de son avenir (au lieu de le passer avec le président français François Hollande, comme voudrait la tradition). Londres veut renégocier son partenariat et remettre la main sur certaines politiques. La Chancelière souhaiterait éviter cela à tout prix. Alors qu’une grande partie des gouvernements de l’Union saluerait un divorce consensuel et la fin des exceptions britanniques qui entravent les progrès sur la voie de l’intégration. Il ne s’agit pas de simples coïncidences mais de profonds changements qui sont en cours dans l’Allemagne réunifiée : la nouvelle perception de l’Europe et de la défense des intérêts nationaux allemands dans l’UE. Le tabou est donc tombé : aujourd’hui à Berlin le nationalisme fait son retour dans toutes ses expressions, y compris celle qui rêve et qui s’organise en un parti pour le retour du mark, obtenant le consensus potentiel d’un quart des Allemands. L’axe privilégié avec Paris (qui a perdu son rôle de démiurge incontesté du projet européen) étant tombé, le dialogue avec Londres – ancien ennemi d’hier car eurosceptique – devient désormais un choix logique. Et les différences qui les séparent sont beaucoup moins profondes de ce que l’on pourrait croire. L’euro devient de moins en moins un projet politique commun, avec un nationalisme germanique sans complexes ni pudeurs dans une Allemagne de plus en plus ‘anglaise’ en ce qui concerne l’Europe. Qu’Alternative pour l’Allemagne arrive ou pas en septembre à atteindre le seuil de barrage des 5% pour entrer dans le Bundestag, cela passe au deuxième plan. Du reste Bernd Lucke, son chef, est un ancien militant du parti de Mme Merkel. Lucke affirmait hier sous les applaudissements de son public : ‘Si l’euro coule à pic, ce n’est pas l’Europe qui coule mais la Chancelière’. Lucke ne fait que porter le nouvel esprit des temps (qui s’est déjà exprimé dans la gestion de la crise monétaire unique) à ses conséquences extrêmes. La soi-disant responsabilité a pris la place de la vieille solidarité : celui qui se trompe paye l’addition et si les plus forts se renforcent au détriment des plus faibles, tant pis pour ces derniers. Ils auront alors compris la leçon. Cela a été constaté en Grèce et à Chypre. Personne n’a été tendre avec le Portugal ou l’Espagne, du reste. Dans cette logique, la dissolution du club souhaité par Alternative pour l’Allemagne ne semble plus si improbable. Cela est déjà dans l’ordre des choses. C’est uniquement grâce à la majorité de la classe dirigeante allemande – pour qui l’effondrement de l’euro coûterait plus cher que sa survie – que cela n’a pas encore eu lieu. Avec cette Europe qui voit une Allemagne de plus en plus en accord avec ceux qui savent se sauver tous seuls, l’Italie ne devrait pas se leurrer. Elle ne doit pas croire pouvoir s’en sortir avec quelques petites bricoles sur son modèle politique et économique en crise. Ou de faire encore partie du club des grands en tant que cofondateur de l’Union. L’Italie devrait plutôt apprendre à devenir auto-immune de toute aide européenne et marcher toute seule sur ses jambes si elle ne veut pas aller vers des temps difficiles. Bien plus difficiles que maintenant. Le prochain gouvernement ne pourra pas l’ignorer. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Italie : pas de président après trois tours de scrutin.

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Italie. Le troisième tour de scrutin pour l’élection du président italien n’a pas donné de résultats. Après l’échec de Franco Marini lors des deux premiers tours, le centre-gauche a présenté Romano Prodi. Le centre-droit l’a rejeté. À partir du quatrième tour, une majorité de 50 % est nécessaire (alors que lors des premiers tours, une majorité des 2/3 est demandée).

Le BZÖ présente quatre initiatives dans le domaine bancaire.

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Autriche. Le BZÖ présente quatre initiatives dans le domaine bancaire : sauver le secret bancaire, éviter l’Union bancaire,  introduire un système de séparation entre les banques d’investissement et de dépôts et mettre fin aux systèmes qui permettent aux banques d’éviter de payer des impôts ou d’en payer moins.

Le président du parti Josef Bucher déclare que ce ne sont pas les habitants en détresse des pays en faillite qui reçoivent les milliards, mais les banques. Selon Josef Bucher, Chypre devient une deuxième Grèce : baisse du pouvoir d’achat, augmentation des dettes et haut taux de chômage. En Autriche, les citoyens sont, selon Josef Bucher, appelés deux fois à passer à la caisse : des milliards pour les États en faillite et les banques à problèmes, mais aussi à travers des attaques contre l’épargne des gens comme c’est le cas à Chypre. Le modèle appliqué à Chypre menace, selon Josef Bucher, les dépôts au sein de l’ensemble de l’Union européenne et aussi en Autriche : si une banque tombe en faillite, une partie de l’argent des dépôts de clients pourrait être utilisée pour sauver la banque.

Josef Bucher conclut que pour le BZÖ, « il en va de la protection des contribuables et des épargnants. »

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Josef Bucher

Trots obtient le statut d'organisme d’intérêt général.

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Pays-Bas. Trots op Nederland (Trots – Fiers des Pays-Bas) a obtenu le statut d’ « organisme d’intérêt général ». Ce statut fournit des avantages fiscaux aux personnes qui effectuent un don et a également pour conséquence que les dons à cet organisme ne sont pas taxés.

18/04/2013

Franco Marini n'est pas élu président.

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Italie. L’ancien démocrate-chrétien Franco Marini, 80 ans, n’a pas obtenu la majorité des 2/3 lors de l’élection à la présidence de la République. Le Parti démocrate et le Peuple de la Liberté ont pourtant conclu un accord pour élire Franco Marini au poste de président, mais le Parti démocrate est divisé sur la question : le Maire de Florence Matteo Renzi a rejeté l’accord.

Le SNS fier de son président.

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Serbie. Le SNS a déclaré qu’il est fier de son président Aleksandar Vučić « qui sait comment prendre soin de la Serbie. » Le SNS désir un compromis et une solution pacifique à propos du Kosovo. Le SNS approuve le fait que son président, lors des négociations avec le Premier ministre du Kosovo Hashim Thaci, n’a pas répondu à ce que le SNS considère être des insultes.

Patrick Janssens quitte la politique.

 

Belgique. Flandre. Anvers. Patrick Janssens, l’ancien maire socialiste, quitte la politique. Il va réaliser un doctorat, à Londres, en développement de la ville. Il a déclaré à la radio que la probabilité qu’il revienne un jour en politique est faible.

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Patrick Janssens (à gauche sur la photo prise lors de la défaite des élections municipales en octobre 2012) quitte, probablement définitivement, la politique. Il est la victime du national-centriste (N-VA) Bart De Wever.

Filip Dewinter donne une interview à propos des 100 jours de Bart De Wever à la tête d'Anvers.

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Belgique. Flandre. Anvers (Antwerpen). Le chef de file des élus du Vlaams Belang au sein du Conseil municipal d’Anvers Filip Dewinter a donné une interview à la Gazette van Antwerpen (Gazette d’Anvers) à l’occasion des 100 premiers jours du national-centriste flamand (N-VA) Bart De Wever à la tête de la ville. Filip Dewinter déclare : « Il n’est toujours pas question d’une politique de droite ! »

Filip Dewinter dit que la N-VA ne vise pas à gérer la ville correctement en vue de gagner les élections municipales de 2018, mais se concentre sur les élections de 2014 [régionales, nationales et européennes]. Cela provoque, selon Filip Dewinter, une forte pression sur la coalition qui gouverne Anvers [nationaux-centristes + sociaux-chrétiens + libéraux]. Filip Dewinter déclare que Bart De Wever annonce de bonnes choses, mais ne les réalise pas et poursuit dans les faits la politique de l’ancien maire socialiste.

Filip Dewinter parle de disputes entre les partis qui gouvernent Anvers. Ils pensent qu’elles vont s’accentuer. Filip Dewinter reproche à Bart De Wever de ne pas traiter les problèmes à la racine, mais seulement de manière superficielle. Filip De Winter dénonce le fait que Bart De Wever refuse de gouverner avec le Vlaams Belang, ce qui entraine le fait qu’au sein de quatre districts [quartiers] d’Anvers la N-VA gouverne avec la gauche et est exclue de la direction du district de Borgerhout. Filip Dewinter estime que la N-VA est un parti, comme ceux du système, qui tente de s’approprier un maximum de mandats et de pouvoirs. Bart De Wever n’a pas rompu avec les habitudes du passé. Il pouvait donner la présidence du Conseil municipal à l’opposition et laisser des membres de l’opposition occuper des sièges au sein des conseils d’administrations des intercommunales [organes communs à plusieurs municipalités qui gèrent par exemple l’eau, le gaz, l’électricité, la télédistribution, etc…] et il ne l'a pas fait.

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Le nationaliste flamand Filip Dewinter et le national-centriste flamand Bart De Wever.

La Destra s'oppose à Süd-Tiroler Freiheit.

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Italie. Tyrol du Sud / Haut-Adige. Le parti La Destra réagit à la campagne d’affichage de Süd-Tiroler Freiheit qui prétend que le Tyrol du Sud n’est pas l’Italie.

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"Le Haut-Adige est l'Italie".

L’UKIP est donné à 16 %.

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Royaume-Uni. L’UKIP est donné à 16 % au sein d’un sondage Angus Reid, soit en augmentation de 5 points par rapport au mois de janvier 2013. Les travaillistes sont donnés à 39 %, les conservateurs à 29 % et les libéraux-démocrates à 8%.

Le Commissaire aux droits de l'homme du Conseil de l'Europe réclame l'interdiction de l'Aube dorée.

 

Grèce et Conseil de l’Europe. Le Commissaire aux droits de l'homme du Conseil de l'Europe Nils Muiznieks a présenté un rapport qui vise le parti ultranationaliste grec l’aube dorée. Il réclame son interdiction, car ce parti est, selon ses dires, antidémocratique, violent et incite à la haine. Nils Muiznieks appelle également les médias à ne pas trop « faire de publicité à l’Aube dorée ». Crime suprême, qui distingue l’Aube dorée d’autres partis radicaux comme par exemple ceux de la gauche radicale, l’ « Aube dorée refuse la notion d’égalité. »

Nils Muiznieks dénonce le fait que des politiciens du système ont, selon lui, pavé la route pour l’Aube dorée : le Premier ministre conservateur Antonis Samaras (Nouvelle démocratie) a parlé de « récupération des centres villes occupés » par les immigrés. Le Ministre conservateur de l'ordre public Nikos Dendias (Nouvelle démocratie) a déclaré : « Jamais, depuis l'invasion des Doriens il y a 4.000 ans, le pays n'a été sujet à une invasion de cette dimension. C'est une bombe placée dans les fondations de la société et de l'Etat. »

17/04/2013

Geert Wilders se demande si Mark Rutte a mangé des champignons hallucinogènes ou un gâteau à la marijuana.

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Pays-Bas. Le dirigeant du PVV Geert Wilders se demande, lors d'une intervention à la Chambre des députés, si le Premier ministre Mark Rutte a mangé des champignons hallucinogènes ou un gâteau à la marijuana lorsqu’il appelle les gens à stimuler l’économie (Mark Rutte a lancé cet appel après la conclusion de l’accord social). Geert Wilders déclare : « Mark Rutte appelle à acheter cette maison, cette voiture. Mais avec quoi ? Le gouvernement dépossède les gens de leur argent. »

Les Pays-Bas font une pause dans l’austérité :

http://www.la-croix.com/Actualite/Economie-Entreprises/Ec...