02/10/2018
"Tria isolé, l’attaque de Juncker."
Italie. Revue de presse.
Budget/gouvernement/UE : Unes « Coup de froid entre l’Europe et Tria » - ‘’Mattarella convoque Conte (Corriere della Sera), « Guerre ouverte entre L’UE et Rome » - ‘’Juncker : l’euro est en péril’’ (La Repubblica), « Bruxelles juge la loi de finances » - ‘’Tria en difficulté devant l’eurogroupe’’ (La Stampa), « Bruxelles attaque le budget, le Spread à 283 pts » (Sole 24 Ore), « Chaos Spread, L’UE contre l’Italie » - ‘’Tria quitte l’eurogroupe. Salvini : stop aux menaces’’ (Il Messaggero), « Chaos budget, les conditions de Tria » - ‘’Le ministre : sans croissance stop au revenu citoyen et à la réforme des retraites’’ (Il Mattino)
EDITORIAL La Repubblica M. Giannini « Au bord du gouffre » : « Inutile d’être devin pour comprendre que « le budget du peuple » aux frais du peuple italien, a ouvert les portes du gouffre. Les déclarations de Juncker ne sont pas l’expression du défoulement d’un Luxembourgeois intempérant mais la conséquence logique du déchirement politique et arithmétique décidé par le gouvernement M5S-Ligue. La question est plus que jamais le règlement de comptes entre l’Italie ‘’souverainiste’’ et l’orthodoxie de Bruxelles aujourd’hui personnifiée avec détermination par Macron. A long terme, la fracture ne semble pas guérissable. C’est Salvini lui-même qui a fait un saut qualitatif, quand il affirme vouloir « s’en fiche » de Bruxelles. Toutefois, les contrecoups ne doivent pas être sous-estimés. Il suffit de voir les distances prises par le Secrétaire d’Etat Giorgetti (Ligue) ou les préoccupations d’un électorat du Nord et du Nord-Est qui n’a pas l’intention de financier l’assistanat au Sud. Rendez-vous donc en mai pour des élections qui pourraient modifier le visage de l’Europe. On ignore comment l’Italie M5S-Ligue se présentera au rendez-vous ».
COMMENTAIRE La Stampa M. Sorgi « L’échec de la mission pour le Trésor » : « La mission de G. Tria au Luxembourg n’a pas eu le succès escompté. Les membres de la Commission européenne ont clairement dit que les décisions italiennes étaient inacceptables et ne respectaient pas les règles européennes. Tria n’avait pas de marges de manœuvre, pris entre l’étau Salvini-Di Maio. Il était incapable de répondre à plusieurs détails, dont la répartition de l’argent destiné aux investissements et celui aux mesures d’assistanat tels que le revenu citoyen et la réforme des retraites. Bref, le climat entre Bruxelles et Rome est en train de se détérioré rapidement. Nous verrons dans les prochains jours comment et à quelle vitesse. Et nous comprendrons aussi si cela correspond au dessein des deux vice-présidents du Conseil ».
ARTICLE, Corriere della Sera, I. Caizzi : « Tria isolé, l’attaque de Juncker » : « Les ministres des Finances de l’Eurogroupe et la Commission européenne ont critiqué la décision du gouvernement M5S-Ligue d’un déficit à 2,4 % du PIB. Lors d’une réunion à Luxembourg, à laquelle les commissaires UE Dombrovskis et Moscovici avaient également été invités, l’Eurogroupe a donc fait pression sur le ministre de l’Economie Giovanni Tria pour qu’il respecte "les règles" de l'UE sur le budget ", qui sont les mêmes pour tous". Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a mis en garde le gouvernement italien qui doit présenter un projet budgétaire crédible et durable et que Bruxelles doit être stricte et juste avec l'Italie pour éviter une nouvelle crise. Le leader européen a aussi cité la Grèce, en demandant à Rome de maintenir son déficit au plus bas et de réduire sa dette publique, qui représente 131% du PIB, le ratio le plus élevé en zone euro après la Grèce ».
ARTICLE, Corriere della Sera, M. Breda : « Mattarella convoque Conte au Quirinal (présidence de la République). Rencontre sur les choix du gouvernement » : « Suite à la décision du gouvernement italien d’augmenter le déficit budgétaire, pour 2019 et les années à suivre, en le portant à 2,4 % de déficit, le Président de la République Mattarella a convoqué le président du Conseil Conte au Quirinal, pour une rencontre sur les choix du gouvernement, sur la soutenabilité du budget ainsi que sur le décret sécurité. Mattarella, préoccupé pour la situation actuelle, est contrarié. Il a exprimé son mécontentement vis-à-vis des rumeurs qui indiqueraient que le Quirinal serait un partisan de la hausse du spread, qui est arrivé 283 pts, ainsi que le protagoniste d’un ‘’complot pour saboter la loi des finances et exacerber un climat d’aversion médiatique’’ ».
ARTICLE, Il Messaggero, A. Calitri « Le Document économique et financier (Def) favorise la Ligue et les 5 étoiles, la popularité du gouvernement augmente à 47% » : «Le DEF plaît aux Italiens et renforce leur jugement positif sur le gouvernement. Selon un sondage Swg, la Ligue est à 32,2% (+ 0,2%), le M5S à 29,8 (+1,2%). Les oppositions continuent à perdre des points : PD à 15,7 (-0,6%) et FI à 7,3 (-1%) ».
ARTICLE La Stampa F. Grignetti « Afghanistan et Irak : retrait au compte-gouttes des soldats italiens » : « Après avoir confirmé la mission en Libye et débloqué celle au Niger, la ministre de la Défense Trenta est en train de travailler en concert avec Moavero (Affaires étrangères) pour maintenir les engagements considérés comme ‘’stratégiques’’ pour l’Italie. C’est-à-dire : Afghanistan, Irak, Liban et les Balkans. Le décret sur les missions arrivera au Parlement en milieu de semaine. Il y aura des coupes mais rien de draconien : 100 militaires de moins à Kaboul et 50 de moins à Mossoul. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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01/10/2018
L'AfD donnée à 18,5 %.
Allemagne. Un sondage Insa donne l'AfD à 18,5 %.
CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens
SPD : sociaux-démocrates
AfD : patriotes
FDP : libéraux
die Linke : post-communistes
Grüne : écologistes
Sonstige : autres
19:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
"La dette baissera d’un point chaque année."
Italie. Revue de presse.
Budget/gouvernement : Unes « Budget, Di Maio en tranchée » - ‘’Di Maio dénonce un ‘’terrorisme médiatique’’, craintes pour les marchés’’ (Corriere della Sera), « La gauche descend dans la rue » - (La Repubblica), « Le M5S lance le défi au Quirinal : ‘’on souffle sur les braises du spread’’ » (La Stampa), « Tension sur le Spread, la stratégie de Tria » - ‘’Le Ministre tentera de rassurer l’Europe et les marchés’’ (Il Messaggero, Il Mattino).
ENTRETIEN de Giovanni Tria, ministre de l’Economie, Sole 24 Ore de dimanche « La loi de finances n’est pas un défi lancé contre l’UE : la dette baissera d’un point chaque année » : « ‘’Dans la loi de finances que nous sommes en train de mettre en place, il y a une opération de ‘’spending review’’. Cela permettra de trouver des marges de manœuvre pour introduire des mesures de stimulation de la croissance. Ce n’est qu’avec cela que nous pourrons résoudre les problèmes de l’Italie. En augmentant les investissements publics. Sur trois ans, les investissements s’élèveront à 15 milliards et nous récupérerons la moitié de la perte cumulée ces derniers dix ans en termes de PIB. Le pari est donc fondé sur la croissance. Nous tablons sur 1,6% de croissance en 2019. C’est un pari, certes, mais pas sans filets. Nous avons prévu une clause de sauvegarde : si les objectifs de croissance ne sont pas atteints, il y aura des mécanismes automatiques pour freiner la dépense et le déficit’’ »
ENTRETIEN de Giuseppe Conte, président du Conseil, Corriere della Sera de dimanche « La Constitution dicte les principes, la ligne économique relève des gouvernements. Non à des litiges avec l’UE’’ » : « L’objectif de ce budget est de faire baisser la dette en misant sur une croissance économique plus consistante et un développement social plus large. Je suis certain que les investisseurs qui regardent à moyen et long termes trouveront très avantageux d’investir en Italie. Avec le ministre Tria (Economie) nous nous activerons pour expliquer les détails de la loi de finances aux différents interlocuteurs européens et aux investisseurs. Nous sommes conscient d’avoir travaillé avec sérieux et responsabilité ».
ENTRETIEN d’Antonio Tajani, président du Parlement européen (La Stampa): « ‘’ La tenue des comptes nous concerne tous. Le gouvernement doit écouter l’appel du Quirinal ’’ » : «L’appel du Président Mattarella sur la gestion des comptes publics est très important et nous concerne tous, parce qu’elle défend les citoyens, les familles, les entreprises, les retraités, les chômeurs et les épargnants. Le problème n’est pas du tout les 2,4 % de déficit mais plutôt une loi des finances qui n’a aucune ambition, qui ne pourra pas soutenir la croissance et l’économie réelles et sans véritable plan d’investissements pour les grandes infrastructures. Cette loi, qui entend uniquement maintenir les promesses électorales de la Ligue et du M5S, avec assistanat et mesures contre le Nord, est comparable à une loi de régime sud-américain ‘’ ».
ARTICLE Corriere della Sera D. Gorodisky « Le gouvernement verrouille de budget et Di Maio évoque un ‘’complot’’ » : « En attente de l’ouverture de la Bourse et de la confrontation au Luxembourg entre le ministre de l’Economie Tria et ses partenaires européens, le gouvernement a continué hier à hausser le ton en défense de la loi de finances. Di Maio attaque ‘’Le PD et Forza Italia, qui n’arrivant pas à faire une opposition politique, créent un terrorisme médiatique via leurs journaux afin de faire augmenter le Spread pour un autre coup d’Etat financier».
ARTICLE, A. D’Argenio, Repubblica, « Procès de l’Europe à Tria pour le manque de garanties sur la loi de finances Ligue-M5S » : « Le jour du procès européen contre G. Tria, qui s’était engagé, il y a seulement un mois à Vienne, à maintenir le déficit à 1,6% du PIB, est arrivé. Il se présente avec un projet qui le fait s’envoler à 2,4%. Il reste pour Bruxelles l’interlocuteur privilégié du gouvernement italien mais il a cédé à Di Maio et Salvini et a défendu le document économique et financier, d’où l’irritation. Aujourd’hui le problème sera géré avec un ‘’esprit franc et direct’’, disent des sources diplomatiques européennes. Hier ses déclarations ont été lues avec attention par les Européens, qui ont noté, non sans stupeur, l’intention de porter la prévision de croissance à 1,6% grâce aux mesures de la loi de finances. La phrase que l’on entend dans les couloirs de la Commission est ‘’avec ces chiffres, nous serons obligés de rejeter ce budget»
ARTICLE, La Stampa, M. Platero : « Et maintenant l’Italie préoccupe Wall Street » : « La décision du gouvernement italien de revoir à la hausse le déficit budgétaire, pour 2019 et les années à suivre, en le portant à 2,4 % de déficit, préoccupe maintenant Wall Street. Les opérateurs de la Bourse américaine ont déclaré que le gouvernement italien avait affirmé pendant des semaines qu’il respecterait les termes financiers. L’Italie a un problème de croissance et de démographie et, même si le ministre de l’Economie Tria va tenter de rassurer l’Europe et les marchés, le spread va s’orienter à la hausse».
COULISSES, La Repubblica, T. Ciriaco, «Di Maio : le spread ne changera pas la loi de finances. Mais au sein du gouvernement, certains pensent à des retouches » : « Les déclarations de Di Maio sur ‘’le terrorisme médiatique pour faire monter le spread’’ créé par les journaux de ‘’PD et Forza Italia qui ne parviennent pas à faire de l’opposition politique’’ ont déstabilisé le gouvernement, les alliés de la Ligue et même Conte. Mais il le dit surtout pour éviter que la crise financière ne le conduise à devoir réduire le déficit de 2,4% prévu par le document financier. C’est d’ailleurs ce qu’espère le Quirinal et ce que Giorgetti n’exclut pas. Au M5S certains évoquent l’impeachment alors que la Ligue conseille la prudence. Conte est prêt à voler à Bruxelles pour présenter le budget aux dirigeants de l’UE si nécessaire. L’Italie reste en observation spéciale, l’inconnue demeurant le spread. »
COULISSES Corriere della Sera M. Guerzoni et A. Trocino « Le Mouvement se prépare au double test d’UE et de la Bourse : si tout saute, élections anticipées » : « La semaine de la ‘’Grande Peur’’ commence aujourd’hui, avec l’ouverture de la Bourse de Milan, l’Europe qui fait pression, le fantasme du spread et les agences de notation. Après les médias, même le Quirinal finit dans le collimateur. Di Maio, avec les siens, va bien au-delà de ce qu’il écrit dans le blog ‘’Si on fait sauter le budget, qu’ils sachent que nous irons tous aux élections anticipées et, avec nous et la Ligue, on atteint 60% des intentions’’ »
REPORTAGE, La Stampa, C. Bertini, A. Di Matteo : « ‘’ Stop aux tirs amis, il faut de l’unité ‘’. Le PD repart de son peuple » : « Il y avait beaucoup de monde à la première manifestation du PD contre le gouvernement, hier à Rome. Des milliers de militants sont arrivés dans la capitale pour soutenir le parti et manifester contre un gouvernement trop dangereux. Maurizio Martina, secrétaire du PD, accompagné par les slogans de ses partisans qui appelaient à l’unité, a réaffirmé qu’il fallait créer un nouveau PD pour une nouvelle gauche italienne. Il a ajouté que le ministre de l’Economie Tria aurait dû maintenir sa position sur les 1,6 % de déficit pour la loi des finances et que maintenant ce « budget d’arnaque » servira uniquement à augmenter les dettes que les Italiens devront payer ».
ENTRETIEN de Matteo Salvini, vice-président du Conseil et ministre de l’Intérieur « Plus d’agents et plus de caméras pour battre la Camorra » : « ‘’Nous devons montrer que l’Etat travaille mieux que la Camorra et que l’Etat reste une certitude pour le citoyen honnête. La loi de finances permettra aux entreprises d’embaucher plus de jeunes et donc de donner des réponses sur le travail dans des zones où la criminalité s’alimente des besoins et des absences d’opportunité. Je suis superstitieux : je pense que le chemin de la Loi de finances est difficile et plein d’entraves. Je préfère exulter une fois qu’il sera adopté. Quant aux débarquements, le fait que nous soyons passés de 100 000 à 20 000 a réduit de beaucoup les problèmes de gestion interne. Mais l’attention reste vive’’ ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
19:05 | Lien permanent | Commentaires (0)
30/09/2018
Macédoine : résultats du référendum sur l'accord conclu en juin 2018 avec la Grèce.
Macédoine. Le « Oui » à l’accord conclu en juin 2018 avec la Grèce l’emporte lors du référendum du 30 septembre 2018 avec environ 90 %, mais avec une participation faible.
(https://referendum.sec.mk/Referendum/Results?cs=mk-MK&...)
[Ce scrutin consultatif doit désormais être validé par un vote à la majorité des 2/3 des députés.]
23:30 | Lien permanent | Commentaires (0)
Photo : Geert Wilders et Thierry Baudet à la Chambre des députés.
Pays-Bas. Photo du président du PVV Geert Wilders et du président du Forum pour la Démocratie Thierry Baudet.
Geert Wilders et Thierry Baudet
23:00 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'AfD donnée, à 17 %, au-dessus du SPD.
Allemagne. Un sondage Emnid donne l'AfD à 17 %.
CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens
SPD : sociaux-démocrates
AfD : patriotes
FDP : libéraux
die Linke : post-communistes
Grüne : écologistes
Sonstige : autres
14:29 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'épave du véhicule de Jörg Haider est toujours entreposée.
Autriche. Dix ans après le décès de Jörg Haider lors d'un accident de voiture, l'épave du véhicule est toujours entreposée. L'épave avait été achetée pour 40.000 euros par le BZÖ (parti politique fondé à l’initiative de Jörg Haider).
Christian Ragger (ex-BZÖ, ex-FPK), ex-ministre de Carinthie et actuel député national FPÖ, assume les coûts financiers liés à l'entreposage de l'épave.
L'épave le 11 octobre 2008
14:01 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le magazine autrichien Profil consacre sa couverture à Jörg Haider à l'occasion des dix ans du décès de l'ancien gouverneur de Carinthie.
Autriche. Le magazine Profil consacre sa couverture à Jörg Haider à l'occasion des dix ans du décès de celui-ci.
"Les ombres longues de Haider. Jörg Haider est décédé il y a dix ans. Il était l'ancêtre des droites européennes. Les nationaux-libéraux radicaux comme [le ministre FPÖ de l'Intérieur] Herbert Kickl sont mesurés par rapport à lui."
02:22 | Lien permanent | Commentaires (0)
HC Strache sera en Carinthie afin de commémorer les dix ans du décès de Jörg Haider.
Autriche. Le président du FPÖ Heinz-Christian Strache se rendra le 10 octobre 2018, jour de la Fête de la Carinthie, dans cet État autrichien et y recevra, de la Fondation Jörg Haider, la médaille « Jörg Haider » pour avoir fait du FPÖ à nouveau une force politique importante et avoir amené le parti une nouvelle fois au sein du gouvernement national.
02:04 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le gouverneur social-démocrate de Carinthie déposera une couronne de fleurs à l'occasion des dix ans du décès de Jörg Haider.
Autriche. Le gouverneur social-démocrate (SPÖ) de Carinthie déposera une couronne de fleurs le jeudi 11 octobre 2018 à la Vallée des Ours, propriété de la famille Haider, où l'urne contenant les cendres de Jörg Haider se trouve.
01:56 | Lien permanent | Commentaires (0)
29/09/2018
Fête de la famille du vice-chancelier autrichien FPÖ HC Strache."
Autriche. Le vice-chancelier autrichien FPÖ Heinz-Christian Strache organise une fête de la famille le dimanche 7 octobre 2018 à Vienne. Il tiendra à cette occasion un discours.
"Invitation à la fête de la famille du vice-chancelier. "
23:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
Andreas Pöder reprend le slogan de Jörg Haider.
Italie. Tyrol du Sud / Haut-Adige. Le président de la Bürger Union Andreas Pöder utilise un slogan du défunt homme politique autrichien Jörg Haider (FPÖ puis BZÖ), mais légèrement transformé.
"Ils sont contre lui parce qu'il combat pour vous."
"Ils sont contre lui parce qu'il est pour vous. Simplement honnête. Simplement Jörg."
22:25 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les Démocrates suédois appellent à la reconnaissance de Jérusalem en tant que capitale d’Israël.
Suède. Les Démocrates suédois appellent à la reconnaissance de Jérusalem en tant que capitale d’Israël. Une motion en ce sens à été introduite au Parlement par un représentant du parti.
11:29 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'AfD donnée à 16 %.
Allemagne. Un sondage donne l'AfD à 16 %.
CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens
SPD : sociaux-démocrates
AfD : patriotes
FDP : libéraux
die Linke : post-communistes
Grüne : écologistes
Sonstige : autres
01:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
28/09/2018
"Italie : le gouvernement ouvre les vannes budgétaires."
Italie. Le gouvernement ouvre les vannes budgétaires :
http://www.leparisien.fr/international/italie-le-gouverne...
Le vice-Premier ministre du M5S Luigi Di Maio
13:36 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Douze heures de négociation puis la capitulation du professeur Tria."
Italie. Revue de presse.
Budget/gouvernement : Unes « Déficit plus élevé pendant trois ans » - ‘’Le gouvernement décide pour 2,4%, Tria (Indépendant) doit capituler’’ (Corriere della Sera), « Salvini et Di Maio l’emportent. Mattarella à Tria : ‘’tu ne dois pas démissionner’’ » (La Repubblica), « Budget, Salvini et Di Maio plient Tria » (La Stampa), « Budget, déficit à 2,4%, Tria reste » (Sole 24 Ore), « Déficit à 2,4%, Tria accepte » (Il Messaggero), « Plus de déficit pour le revenu et les retraites » (Il Mattino), « La capitulation de Tria » (Il Giornale).
EDITORIAL, M. Zatterin, Stampa, « Le danger de violer les règles » : « Pour « changer l’Italie », il a été nécessaire de déchirer les accords conclus entre le gouvernement Conte et ses partenaires européens et en particulier l’engagement de réduire le déficit en le stabilisant à 0,8% du PIB pris il y a trois mois, et la possibilité offerte par la Commission il y a deux semaines, de passer à 1,6%. L’invitation à ne pas dépasser le seuil de 2%, point de non-retour pour les bonnes relations entre Rome et les autres capitales n’a pas été retenue. Après le décret Salvini, voici la manœuvre Di Maio : les deux vice-présidents du Conseil se sont partagé le « gâteau médiatique ». Ils ont isolé Tria : ils l’ont défié comme s’il s’agissait d’un de ces bureaucrates qu’ils détestent. Et ils ont même obligé le Quirinal à accepter ce qui a fini par apparaître comme un moindre mal. Difficile de croire que la Commission ne nous punira pas pour avoir violé ouvertement les règles, mais ce n’est pas cela que nous devons craindre. L’Italie ne peut pas se permettre une course contre la hausse des taux. Surtout ayant depuis vingt ans ou presque un PIB sous la moyenne européenne. La ‘’nouvelle Italie’’ est davantage seule et menacée. Ils diront que c’est ‘’le peuple qui l’a voulu’’ mais ce sera une maigre consolation si ça va mal. Et le peuple niera l’avoir voulu»
EDITORIAL, Repubblica, F. Manacorda, « Une gifle à l’Europe » : « Le défi à l’Europe est lancé, l’impact sur l’Italie et ses épargnants est une réalité. La protection que le ministre Tria avait réussi à mettre en place finit en morceaux. La moral suasion du Quirinal n’a pas servi à grand-chose. On nous expliquera maintenant que le « budget du peuple » pour utiliser la rhétorique qui plaît à Di Maio, est aussi la condamnation définitive de la dictature de ces techniciens ‘’politisés’’ qui selon l’imaginaire jaune-vert remplissent les couloirs des ministères. Le drapeau des 5 étoiles est plein de ces certitudes, reprises lors d’un direct facebook impressionnant de Di Maio qui porte la démocratie directe dans une nouvelle dimension. Mais qui paiera l’addition ? ‘’Nous avons montré que l’argent est là’’ crie-t-il, oui mais l’argent est dans les mains de qui doit acheter notre dette publique et depuis hier il est plus à trouver. L’addition du spread qui court, nous la paierons nous. »
ANALYSE Sole 24 Ore D. Pesole « Il est légitime d’augmenter le déficit mais uniquement pour la croissance » : « On serait tenté de se demander si tout cela servira à l’Italie. Le problème ne viendra pas de Bruxelles, même si la demande d’une réécriture du budget ne serait pas un bon signal. C’est surtout la réaction des marchés qu’il faudra considérer. La condition pour mériter la confiance des marchés et de Bruxelles est une coupe des dépenses effective, structurelle et d’une taille pouvant financer de manière permanente la réduction du coin fiscal. Il faudrait alors une véritable ‘’spending review’’ ».
ARTICLE, Repubblica, A. D’Argenio, « Et Bruxelles prépare le rejet de la loi de finances » : « Le 16 octobre, Dombrovskis et Moscovici signeront la lettre qu’ils ne s’attendaient pas à signer, à quelques mois de la fin de leur mandat : ils intimeront au gouvernement Conte de modifier la loi de finances en deux semaines, ou ils seront contraints de la rejeter. Et à Bruxelles, on explique que le parallèle avec la France de Macron, utilisé par la Ligue et le M5S contre Tria, ne tient pas la route : les 2,8% annoncés par Paris comprennent une réduction structurelle du déficit de 0,3%. S’ils continuent ainsi, Salvini et Di Maio pourront se targuer d’être le premier gouvernement européen depuis la naissance de l’euro avec une loi de finances rejetée préventivement et qui finit sous procédure avec un déficit sous les 3%. Avec ses meilleures salutations aux marchés.»
COULISSES, Repubblica, T. Ciriaco-C. Lopapa, « Le Quirinal stoppe la démission de Tria, et le ministre accepte : ‘’je reste par esprit patriotique’’» : « L’otage déclaré du chantage politique de Di Maio ? Giovanni Tria. Le Quirinal a essayé de favoriser un accord à 2%. Il craint maintenant que le déficit au-delà de ce seuil serve uniquement à payer le spread. »
EDITORIAL, Corriere della Sera P. Mieli « Un parti à deux têtes » : « Le manque d’une autre majorité politique au Parlement offre à Salvini l’opportunité de bouger de manière autonome, en proposant des objectifs atteignables mais sans dépenses excessives. Cela lui offre par ailleurs un consensus virtuel (celui des sondages). Vice-versa, le M5S se voit contraint d’avancer des requêtes économiques de plus en plus coûteuses et de s’opposer au parti des ‘’comptes en règle’’ dont l’étoile polaire est G. Tria. Il est clair qu’en cas de crise politique, le parti des deux coalitions (centre droit et 5 Etoiles), la Ligue aura une position avantageuse »
COULISSES Corriere della Sera E. Marro « Douze heures de négociation puis la capitulation du professeur Tria » : « C’est l’axe qui s’est imposé, à la fin. Tandis qu’au Palais Chigi Conte et Tria examinaient des différentes hypothèses, les déclarations publiques des deux vice-présidents du Conseil, Di Maio-Salvini, arrivaient sur un dépassement du seuil des 2%. Le conseil des ministres a commencé à 21 heures. Tria, le ‘’ministre technicien’’, s’est trouvé dans l’étau des deux poids lourds politiques du gouvernement : Di Maio et Salvini. On lui a pratiquement imposé de jouer le rôle de notaire. Par ailleurs, Di Maio avait défini Conte, le Président du Conseil, de simple ‘’exécutant’’. Depuis hier, le budget est devenu une affaire politique ».
Déplacement de M. Salvini à Tunis : ARTICLE Il Messaggero C. Mangani « Salvini fait pression sur Tunis sur les rapatriements : « La prochaine étape sera le Niger. Pour l’instant, le ministre de l’Intérieur n’arrive à obtenir qu’une simple promesse de la part de la Tunisie au sujet des rapatriements et des expulsions ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
13:22 | Lien permanent | Commentaires (0)
La CDU et le CSU sont les partis préférés des personnes issues de l’immigration.
Allemagne. Une étude montre que la CDU et le CSU sont désormais les partis préférés des personnes issues de l’immigration, alors qu’en 2016 ces personnes se tournaient avant tout vers les partis de gauche.
CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens
SPD : sociaux-démocrates
Grüne : écologistes
die Linke : post-communistes
AfD : patriotes
FDP : libéraux
Andere : autres
00:20 | Lien permanent | Commentaires (0)
Un autre sondage donne l'AfD à 18 %.
Allemagne. Un sondage GMS donne l'AfD à 18 %.
CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens
SPD : sociaux-démocrates
AfD : patriotes
FDP : libéraux
die Linke : post-communistes
Grüne : écologistes
Sonstige : autres
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27/09/2018
Marcello Foa nommé à la tête de la RAI.
Italie. Marcello Foa est nommé à la tête de la RAI :
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2018/09/26/97002-2018092...
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"Un clash avec l’UE s’annonce."
Italie. Revue de presse.
Budget/gouvernement : Unes « Budget, le défi à Tria (Indépendant) sur le déficit » - Le M5S fait pression pour arriver à 2,4%. Tria devant un carrefour’’ (Corriere della Sera), « Tria assiégé. Di Maio : ‘’je veux un déficit à 2,4%, que les technocrates s’en aillent’’ » (La Repubblica), « Budget, pas d’entente. Tria en doute » (La Stampa), « Déficit, Tria assiégé » (Sole 24 Ore), « M5S-Ligue d’accord sur le 2,4%. Tria ‘’je garderai les comptes en ordre’’ » (Il Messaggero, Il Mattino).
EDITORIAL, La Stampa, M. Sorgi, « Les vérités qui dérangent sur les comptes » : « Un accord sur la loi de finances devrait être trouvé, malgré les scénettes tragi-comiques. D’abord, Tria a dit une vérité dont Salvini et Di Maio devront tenir compte : la question n’est pas d’autoriser une ou deux ou trois décimales de plus à un déficit fixé initialement à 0,9% qui pourrait maintenant doubler, voire plus, se rapprochant des 2% et risquant d’être hors contrôle. Mais, dans ce cas, les promesses électorales de Ligue et Cinq étoiles (flat tax, quota 100 pour les retraites et réforme de la loi Fornero, revenu de citoyenneté) ne seraient pas réalisées. Il s’agit maintenant de comprendre si l’accord entre les deux vice-présidents du Conseil est solide, avec Di Maio qui menace de tout faire sauter et Salvini, c’est surprenant, qui utilise un ton plus conciliant et qui dit être prêt à lutter avec lui jusqu’à la fin. Le changement est assez incompréhensible. La pleine solidarité de Salvini à Di Maio trouve, on le sait, une résistance chez son bras-droit Giorgetti qui a déjà protesté pour la gestion confuse et le retard inadmissible du décret sur Gênes de Conte et Toninelli. Leur rapport fait penser à celui de Gianni Letta avec Silvio Berlusconi : il était le seul à pouvoir le contredire librement, sachant qu’à la fin il devait s’adapter à ses décisions. Entre Di Maio et Giorgetti, nous verrons qui suivra Salvini. »
ARTICLE Corriere della Sera F. Fubini « Un clash avec l’UE s’annonce » : « La Ligue accepte (pour le moment) la vision de la réalité du M5S d’une rupture, après des années de contrôle graduel des comptes publics. Cela était peut-être inévitable car les leaders du M5S ne voient devant eux que le fantôme de la défaite aux élections européennes et la fin de leurs carrières. Hier lorsque s’est diffusée la nouvelle d’un accord qui pourrait encore plus alourdir la dette publique, les marchés ont réagi brusquement. En 20 minutes, les bons du Trésor se sont écroulés et les taux d’intérêts sont montés en flèche. La Commission serait disposée à discuter sur un déficit un peu en dessous de 2 %. Mais elle n’aura devant elle que la voie, inévitable, du rejet de la loi de finances en cas d’objectif d’un déficit à hauteur de 2,4% du PIB. Outre le déficit, il y a aussi la méthode avec laquelle a été écrit le budget, en insultant et en menaçant les experts du ministère de l’Economie. Cela rend le déclassement de la dette italienne pratiquement certain. L’Italie, les yeux fermés, risque de retomber dans les sables mouvants qu’elle connaît trop bien ».
ARTICLE, T. Ciriaco-C. Lopapa, Repubblica, « Di Maio : déficit à 2,4% ou le ministre Tria s’en ira, mais la médiation sur 2% est en cours » :« « Tria, dans tous les cas, veut livrer bataille et ne pas signer un document qui risquerait de faire sauter les comptes du gouvernement. Conte atterrit depuis New York sur ce champ de mines. Pour le M5S, si l’Economie ne va pas au-delà de 2,4 ou 2,5% de deficit, son parti ne votera pas la loi de finances. C’est la surprise au quartier général légiste. La Ligue pense que ‘’le seul qui pourrait prendre la place de Tria est Giorgetti’’. Le ministre de l’Economie lui reste dans la tranchée et n’exclut plus rien. »
ARTICLE Sole 24 Ore B. Romano « L’UE : ‘’une entente uniquement si la dette et le déficit structurel baissent’’ » : « Dans le passé récent, l’exécutif communautaire a trouvé des compromis avec l’Italie. Le problème est qu’à quelques mois des prochaines élections européennes, elle ne voudra pas se montrer trop accommodante avec Rome par crainte de renforcer indirectement les partis les plus extrémistes en Europe du Nord »
ENTRETIEN de Davide Casaleggio, Président de Casaleggio et partenaires gérant la plateforme ‘’Rousseau’’ du M5S, Corriere della Sera « Il faut investir pour la croissance pour ne pas disparaître » : « ‘’Le revenu citoyen est urgent et il ne s’agit pas d’assistanat. Le déficit ? Je suis un entrepreneur et je sais qu’il y a des moments où il faut investir pour ne pas disparaitre. Je pense que l’Italie se trouve dans cette situation. Il est important de comprendre ce qui se passera et prendre des mesures de prévention et de développement. Les divergences entre le M5S et la Ligue ? Il y a un contrat de gouvernement auquel les deux sont liés. Je suis sûr qu’ils le suivront’’ ».
ARTICLE Sole 24 Ore R. Barlaam « Conte à l’Iran : l’Italie aussi veut sauver l’accord » : « Le Président du Conseil italien G. Conte a prononcé son premier discours à la 73e Assemblée générale des Nations Unies. A cette occasion, il a eu deux bilatérales avec Rohani et Al-Sissi. L’Iran est un marché important pour les entreprises italiennes. L’Italie a donc réaffirmé les relations commerciales avec Téhéran. Rome soutient l’accord sur le nucléaire et croit dans la voie du dialogue. Sur ce point, l’Italie est alignée avec l’Europe. Sur le dossier Libye, Conte a obtenu le soutien de l’Egypte d’al-Sissi, un acteur influent dans la région et indispensable. La proposition italienne, soutenue par Le Caire, se heurte en quelque sorte avec la ligne française qui, depuis le temps de Kadhafi, joue un match solitaire, se défiant de l’Europe et des autres partenaires, pour penser aux intérêts économiques de ses entreprises pétrolières, d’infrastructures et de défense’’ ».
ARTICLE, La Repubblica, A. Zampaglione : « Conte : ‘’ L’Italie laissée seule sur les migrants, l’ONU doit être proche des personnes » : « ‘’ Depuis des années l’Italie, souvent seule, a évité la mort de dizaines de milliers de personnes en Méditerranée ‘’ a rappelé le président du Conseil Giuseppe Conte, en participant pour la première fois à l’Assemblée Générale de l’ONU à New York. La migration est l’un des thèmes les plus importants de son premier discours (en italien) : d’un côté il essaye d’écarter tout soupçon de la communauté internationale sur le tournant du gouvernement M5S-Ligue et de l’autre il revendique les mérites de l’action italienne. Pour ce qui concerne les flux migratoires, il souligne l’exigence de passer de la logique de l’assistanat à une perspective de responsabilité et de collaboration, comme celle que l’Italie est en train de promouvoir en Afrique. Un engagement qui contraste avec les accusations du Haut- Commissaire pour les droits de l’homme de l’ONU, Michelle Bachelet, sur les non-conformités italiennes présumées sur les migrants. Même le ministre des Affaires Etrangères, Enzo Moavero Milanesi, a affirmé hier, à New York, que ces accusations sont infondées ».
ARTICLE, La Stampa, C. Bertini « Un manifeste pour refonder l’UE, le front contre les souverainistes est né » - « La Stampa publie en avant-première l’appel signé par Renzi et d’autres leaders progressistes à huit mois du vote européen : ‘’L’Union est suffoquée par les populistes, il est temps de la relancer’’ ». /APPEL, Stampa, (texte complet sur le site Internet du jounal) C. Castaner, M. Renzi, J. Muscat, A. Rivera, G. Verhostadt, O. Chastel, D. Ciolos et A. Pechtold, « En réformant les Traités, nous l’emporterons sur des Salvini et autres Orban : « A huit mois des élections européennes, nous lançons cet appel : nous proposons de refonder l’Europe pour finalement répondre aux attentes des citoyens et pour rejoindre les promesses des pères fondateurs. Il ne s’agit pas seulement de dépasser, une fois pour toutes, les divisions qui ont porté à l’impasse actuelle ; il s’agit de répéter avec force que tous les Orban, Le Pen, Salvini d’Europe ne savent rien faire d’autre qu’incriminer l’Union, sans se mettre d’accord sur une réponse unique. Notre projet de refondation est clair. Nous revendiquons les valeurs fondatrices de paix, liberté, prospérité et solidarité. Huit mois, c’est le délai que nous nous donnons pour le réveil de l’Europe ».
ENTRETIEN de Marcello FOA, président de la RAI, Il Messaggero « Ce sera une RAI peu politisée » : « ‘’Ce sera une RAI peu politisée et très professionnelle. Maintenant, il faut de la méritocratie. Je ne regarderai pas l’appartenance politique des journalistes. Le vrai défi de l’entreprise est de récupérer le retard sur le web. Dans d’autres pays, par exemple en France, quand tu cherches une information, c’est la télévision publique qui te la donne. Ici en Italie, avec la Rai, ce n’est pas le cas’’ ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Matteo Salvini à Tunis.
Italie et Tunisie. Le ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini rencontre ce 27 septembre 2018 à Tunis son homologue tunisien afin de développer une collaboration maximale entre les deux pays dans le domaine de l’immigration, de la sécurité, de la lutte contre le terrorisme et du développement économique.
Matteo Salvini et le ministre tunisien de l'Intérieur
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26/09/2018
Le chef de file des élus de la CDU au sein du Parlement de Saxe n’exclut pas une coalition avec l’AfD.
Allemagne. Saxe. Le nouveau chef de file des élus de la CDU au sein du Parlement de Saxe Christian Hartmann n’exclut pas une coalition avec l’AfD à l’issue des élections pour le Parlement de Saxe de septembre 2019.
21:30 | Lien permanent | Commentaires (0)
Erlangen : un élu expulsé du groupe CSU car favorable à une coalition avec l'AfD.
Allemagne. Bavière. Erlangen. Le groupe des élus de la CSU au sein du Conseil municipal a décidé d’expulser le conseiller municipal Stefan Rohmer car celui-ci a proposé de réfléchir à la formation d’une coalition CDU-AfD au niveau de la Bavière, à l'issue des élections du 14 octobre 2018 pour le Parlement de Bavière.
21:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
Bavière : la CSU donnée à 34 % et l'AfD à 14 %.
Allemagne. Bavière. Un sondage INSA en vue des élections du 14 octobre 2018 pour le Parlement de Bavière donne la CSU à 34 % et l'AfD à 14 %.
CSU : sociaux-chrétiens
SPD : sociaux-démocrates
Freie Wähler : électeurs libres
Grüne : écologistes
FDP : libéraux
die Linke : post-communistes
AfD : patriotes
Sonstige : autres
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Bientôt les 10 ans du décès de Jörg Haider.
Autriche. TVLibertés (France) prépare un reportage à l'occasion des dix ans du décès de Jörg Haider, en se basant sur l'ouvrage que j'ai réalisé et qui a été publié en 2012 Jörg Haider, le phénix. Le livre est toujours disponible.
(https://editions-cimes.fr/home/17-jorg-haider-le-phenix-l...)
(https://www.amazon.fr/J%C3%B6rg-Haider-Ph%C3%A9nix-politi...)
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