Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

29/05/2021

Photos : Filip Dewinter lors de son service militaire.

VB.jpg

Belgique. Flandre. La figure de proue du Vlaams Belang Filip Dewinter lors de son service militaire au sein de l'armée belge, à l'époque de la guerre froide.

FdW 1.jpg

FdW 2.jpg

Italie : évolution des intentions de vote depuis les européennes de 2019.

FI-AN.jpg

Ligue.jpg

M5S.jpg

Italie.

Italie 1.jpg

Parti Démocrate : centre-gauche

M5S : anti-système

Ligue : patriotes

Forza Italia : conservateurs

Frères d'Italie : patriotes

Giorgia Meloni et Santiago Abascal reçus par le Premier ministre polonais.

FI-AN.jpg

Vox.jpg

PiS.jpg

Pologne, Italie et Espagne. Hier soir, la présidente de Frères d’Italie Giorgia Meloni et le président de Vox Santiago Abascal étaient les invités du Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki (Pis).

Pol 1.jpg

Giorgia Meloni,  Mateusz Morawiecki et Santiago Abascal

28/05/2021

"Non à la loi de gauche sur le CO2."

UDC.jpg

Suisse.

UDC 1.jpg

Rencontre entre le président du PiS Jarosław Kaczyński, de Vox Santiago Abascal et de Frères d'Italie Giorgia Meloni.

PiS.jpg

Vox.jpg

FI-AN.jpg

Pologne, Espagne et Italie. Très importante rencontre entre le président du PiS Jarosław Kaczyński, de Vox Santiago Abascal et de Frères d'Italie Giorgia Meloni.

P 1.jpg

P 2.jpg

Giorgia Meloni, Santiago Abascal et Jarosław Kaczyński

P 3.jpg

P 4.jpg

P 5.jpg

Allemagne : les écologistes donnés à 23 %.

AfD.jpg

CSU.jpg

Allemagne.

(https://www.wahlrecht.de/umfragen/landtage/schleswig-hols...)

Allemagne.png

CDU/CSU : démocrates-chrétiens / sociaux-chrétiens

SPD : sociaux-démocrates

AfD : patriotes

FDP : libéraux

die Linke : post-communistes

Grüne : écologistes

Sonstige : autres

"Migrants."

Ligue.jpg

FI-AN.jpg

M5S.jpg

Italie. Revue de presse. 

ARTICLE, Sole 24 Ore  : « Migrants, réunion avec Dbeibah à Rome - Lundi les Libyens se rendront en Italie » : «"Équilibré, efficace et humain" : pour Mario Draghi, ce sont les trois caractéristiques du nouvel accord européen sur les migrants que l'Italie tentera de négocier lors du prochain sommet de l'UE le 25 juin, dans le but aussi d’éviter toute nouvelle controverse de la part de la Lega et de Fratelli d'Italia. Mais jusqu'au 25 juin, a expliqué Draghi, "nous devrons gérer le problème nous-mêmes." Peut-être en concluant des accords bilatéraux tels que celui attendu avec la Libye lundi prochain, lorsque Draghi lui-même rencontrera les ministres des affaires étrangères, Luigi Di Maio, et de l'intérieur, Luciana Lamorgese, et le président du gouvernement de transition libyen, Abdul Hamid Mohammed Dbeibah, à la tête d'une importante délégation de son exécutif. Aujourd'hui, Di Maio sera à Tripoli avec le commissaire européen pour l'élargissement, Oliver Varhelyi, et le ministre maltais des Affaires étrangères, Everist Bartolo, pour entamer des négociations avec l'UE afin d'entrer dans le dialogue méditerranéen et, à long terme, de conclure un accord de partenariat incluant également le contrôle des flux migratoires. Dbeibah insistera très certainement sur le récit libyen selon lequel ce pays est également victime des flux de migrants irréguliers en provenance d'Afrique subsaharienne (Tchad, Niger et Mali). D'où la demande d'aide pour contrôler les frontières au  sud. Lamorgese vise à définir un accord comme celui de Malte en septembre 2019 mais avec des quotas fixes déterminés à l'avance. Les pays appelés à coopérer devraient être - outre la France et l'Allemagne - l'Espagne, le Portugal, la Roumanie, le Luxembourg et l'Irlande. Cette forme de coopération renforcée pourrait être soumise à l'approbation du Conseil européen du 25 juin.  »

ARTICLE, Il Foglio « Le bon pari du décret sur les flux » : « La responsable de l'Intérieur, Luciana Lamorgese, veut donner une solution réglementée au phénomène de la migration, qui ne manquera pas de s'amplifier pendant la saison estivale. S'exprimant à Palerme, elle a déclaré qu' "il est nécessaire qu'il y ait des interventions de partenariat avec les pays de départ des flux, mais aussi des formes légales de flux qui peuvent être des corridors humanitaires". Pour atteindre cet objectif, "le décret sur les flux doit être revu en termes de quotas". Evitant l'extrémisme de ceux qui veulent s'ouvrir à tous de manière indiscriminée et de ceux qui, au contraire, rêvent de construire des murs impossibles au milieu de la Méditerranée, il est possible d'emprunter la voie, même difficile, de la régulation de l'immigration, afin d'opposer à l'immigration illégale une immigration légale et humanitaire organisée. Mais en attendant, il est utile d'établir des accords bilatéraux, comme celui en vigueur avec la Tunisie, qui prévoit des flux et aussi des rapatriements.»

(Traduction : ambassade de France à Rome)

27/05/2021

Santiago Abascal visite la frontière magyaro-serbe.

Vox.jpg

Fidesz.png

Hongrie et Espagne. Le dirigeant de Vox Santiago Abascal a visité le frontière magyaro-serbe avec le ministre hongrois de la Famille Madame Katalin Novák.

H 1.jpg

Santiago Abascal et Katalin Novák

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2021/05/27/san...)

Andreas Kalbitz et Jürgen Elsässer, orateurs chez PEGIDA.

Allemagne. Les invités du rassemblement de PEGIDA à Dresde en Saxe lors du rassemblement du 31 mai 2021 sont l'ancien numéro 2 de l'aile nationaliste de l'AfD Andreas Kalbitz et le rédacteur en chef du magazine Compact Jürgen Elsässer.

PEGIDA.jpg

"Protéger les droits des citoyens, la démocratie & la Constitution. Mettre fin à la politique berlinoise insensée !"

Manifestation du Vlaams Belang après la condamnation de quatre membres du Voorpost.

VB.jpg

N-VA.jpg

Belgique. Flandre. Manifestation du Vlaams Belang après la condamnation de quatre membres du Voorpost :

https://www.lavenir.net/cnt/dmf20210526_01583536/manifest...

Interview d'Anne Trewby, des Antigones, par Lionel Baland.

Breizh-info.png

France. Interview d'Anne Trewby, des Antigones, par Lionel Baland :

https://www.breizh-info.com/2021/05/27/164991/feminisme-a...

Anne Trewby, Le Néo-féminisme à l’assaut d’internet.jpg

"Berlusconi, ses pathologies multiples inquiètent le parti Forza Italia."

Ligue.jpg

FI-AN.jpg

Italie. Revue de presse.

ARTICLE, Corriere della Sera, « Sur les simplifications, voici la stratégie de Draghi » : « Ce matin se tient une réunion au Palais Chigi pour résoudre les questions sur le décret-loi de simplification, que le Premier ministre Mario Draghi voudrait présenter cette semaine en Conseil des ministres. Il s'agit d'une mesure fondamentale, avec le décret-loi sur la gouvernance, pour mettre en œuvre le plan de relance qui repose sur plus de 200 milliards d'euros de ressources européennes jusqu'en 2026, qui seront toutefois transférées à l'Italie en fonction de l'avancement des travaux. Il est donc crucial de simplifier les règles et les procédures pour accélérer leur mise en œuvre. Mais le projet de décret élaboré ces derniers jours a suscité un débat au sein de la majorité et entre le gouvernement et les syndicats, notamment sur la libéralisation de la sous-traitance et le retour au critère du prix maximum. Un choc qui se mêle à celui des licenciements. Le leader de la CGIL, Maurizio Landini, a demandé au gouvernement de convoquer les partenaires sociaux sinon "nous verrons quelles initiatives mettre en place, et je n'en exclus pas une seule", alors que la menace d'une grève générale a déjà été lancée ces derniers jours sur le décret Simplification. Hier, Graziano Delrio (PD) a demandé de "retirer de la discussion l'introduction du rabais maximum qui affecte les principes de qualité et de dignité du travail". L'expérience montre que la remise maximale se traduit paradoxalement par une augmentation du temps, du coût des procédures et ouvre la voie à l'exploitation des travailleurs. Et le leader de la Ligue, Matteo Salvini, qui a demandé ces derniers jours la remise à plat du code des marchés publics, répond au secrétaire du Parti démocrate, Enrico Letta : "Nous pensons que nous pouvons rationaliser les procédures tout en respectant les principes constitutionnels. Pendant ce temps, au Parlement, la tension monte sur le Copasir. Les présidents de la Chambre et du Sénat, Roberto Fico et Elisabetta Casellati, ont demandé à la Ligue de remplacer les deux députés démissionnaires (Volpi et Arrigoni) afin de retrouver le quorum. Mais la Ligue n'a pas l'intention de poursuivre et continue la bataille avec Fratelli ».

ARTICLE, Il Messaggero « Berlusconi, ses pathologies multiples inquiètent le parti Forza Italia » : « D’après le juge enquêteur du procès Ruby-ter ‘’les pathologies multiples [de S. Berlusconi] n'offrent aucune perspective de guérison parce qu'elles sont chroniques’’. Les ‘’Berlusconiens’’ de la première heure ne cachent pas leur inquiétude au sujet de l’état de santé de leur chef. Le dernier ‘’post’’ de Silvio Berlusconi date du 5 avril : depuis, il n’a participé à aucun événement politique. Il pourrait ne pas s’agir uniquement d’une stratégie défensive de ses avocats. L’inquiétude sur l’état de santé du ‘’Cavaliere’’ augmente, notamment maintenant que des manœuvres sont en cours pour séduire les députés de Forza Italia afin qu’ils rejoignent un autre camp, celui de ‘’Coraggio Italia’’ de Brugnaro. Et puis, en septembre il y aura la campagne pour les élections municipales et les négociations pour l’élection du Chef de l’Etat. La position de la coalition du centre droit visait à soutenir la candidature de Berlusconi à la Présidence de la République. C’est une véritable clinique qui a été installée à l’intérieur de sa résidence milanaise, à Arcore. Très peu sont ceux qui peuvent y accéder : ses fils, notamment Marina et Piersilvio, mais aussi la fidèle Renzulli, et le sénateur Ghedini ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Santiago Abascal reçu par Viktor Orban et Katalin Novák.

Vox.jpg

Fidesz.png

Hongrie et Espagne. Le dirigeant du parti nationaliste espagnol VOX Santiago Abascal est reçu à Budapest en Hongrie par le Premier ministre Viktor Orban et le ministre de la Famille Katalin Novák.

Vox 1.jpg

 Viktor Orban et Santiago Abascal

Vox 2.jpg

La Suisse met fin aux négociations sur ses relations avec l’Union européenne.

UDC.jpg

Suisse. L’UDC se réjouit de constater que son combat de plusieurs décennies a finalement porté des fruits : la Suisse met fin aux négociations sur ses relations avec l’Union européenne.

Article d'Álvaro Peñas sur le livre de Giorgia Meloni.

El Correo de Espana.png

FI-AN.jpg

Je suis Giorgia.

Par Álvaro Peñas

« C'était le 19 octobre 2019 et devant moi, sur la Piazza San Giovanni, se tenaient des milliers d'Italiens venus à Rome pour manifester avec nous, le centre droit, leur " fierté italienne " contre la naissance du deuxième gouvernement Conte, le énième qui était passé au-dessus de la tête des citoyens. Sur la place, les drapeaux de Fratelli d'Italia, la Lega et Forza Italia se sont mélangés dans un spectacle émouvant. Un peuple qui se bat pour son droit à compter et à s'autodéterminer, contre ceux qui pensaient pouvoir utiliser les institutions à leur guise. Sur la grande scène installée pour la manifestation, devant deux cent mille personnes, j'ai pris la parole entre Silvio Berlusconi et Matteo Salvini, mes alliés. J'ai parlé pendant une vingtaine de minutes, avec mon cœur, à l'instinct et avec passion. Évidemment, le ton était celui d'une manifestation, mais j'ai essayé, comme toujours, d'esquisser une vision. À cette occasion, j'ai répété une formule que j'avais utilisée lors d'autres événements. J'ai parlé de la valeur de l'identité et de la grande confrontation qui a surgi en ces temps entre ceux qui la défendent, comme nous, et ceux qui cherchent à la détruire, comme nos adversaires. J'ai expliqué que tout ce qui nous fait aujourd'hui est considéré comme un ennemi par une certaine façon de penser, et ce n'est pas un hasard si la famille, la patrie ou l'identité religieuse et de genre sont attaquées. J'ai conclu par ces mots : " Je suis Giorgia. Je suis une femme, je suis une mère, je suis italienne, je suis chrétienne. Ils ne m'enlèveront pas ça." »

Ainsi commence Io sono Giorgia. Le mie radici, le mie idée (Je suis Giorgia. Mes racines, mes idées), le livre de Giorgia Meloni, présidente des Fratelli d'Italia (FdI - Frères d'Italie) et du groupe des Conservateurs et Réformistes européens (ECR), qui s'est déjà vendu à 100 000 exemplaires (5 éditions) en dix jours. Comme tout ce qui vient du patriotisme, de l'opposition à l'agenda mondialiste, le livre a été passé au crible par les commissaires du ministère de la Vérité. En l'occurrence, par les analystes de la plateforme Pagella Politica, un Newtral (plateforme de vérification de données) italien dont le fondateur, Alexios Mantzarlis, dirige aujourd'hui le Poynter Institute aux États-Unis et l'IFCN (International Fact-Checking Network), une organisation qui, en 2017 et selon ses propres dires, a reçu 1,3 million de dollars du Omidyar Network et des Open Society Foundations de George Soros.

Le résultat de leur travail est attendu et prédéterminé. Le livre est trompeur car il contient de "fausses données" sur l'immigration. Examinons quelques exemples de ce que les commissaires appellent des "données fausses". Meloni affirme que 700 000 immigrants illégaux sont arrivés en Italie, un fait irréfutable, mais les critiques soulignent qu'il n'est pas vrai qu'il s'agit d'immigrants illégaux car certains d'entre eux ont obtenu le statut de réfugié. Quel que soit le statut d'une personne, une fois qu'elle est arrivée dans un pays, le fait d'entrer illégalement dans un pays fait d'elle un immigrant illégal. Les commissaires déforment les mots pour les adapter à leurs objectifs et mentent.

Un autre exemple. Meloni affirme que 90% des nouveaux arrivants sont des hommes, mais selon les experts de Pagella Politica, cette affirmation est fausse et les hommes ne représenteraient que 70-75%, le reste étant des femmes et des enfants. Le problème réside dans le terme "enfants". Selon le ministère italien de l'intérieur, le nombre de mineurs non accompagnés est d'environ 20 %, et il s'agit principalement de jeunes d'environ 18 ans, avec très peu de filles parmi eux. Le chiffre de 90% avancé par Meloni n'est donc pas loin de la vérité. Les commissaires mentent encore.

Toutefois, le verdict des commissaires n'a eu aucune incidence sur la vente et la distribution du livre. D'autre part, les médias ont fait une "héroïne" d'une militante de gauche qui tient une petite librairie "Le Torri" à Tor Bella Monaca (Rome) et qui a refusé de vendre le livre de Giorgia Meloni. Un héroïsme digne d'un Achille. Alessandra Laterza dit qu'elle n'a pas l'intention de mettre le livre de Meloni en vitrine parce qu'elle n'est pas à l'aise avec ce monde de pensée, et en même temps elle affirme qu'elle préfère offrir des livres d'un monde "inclusif". Par "inclusif", on entend bien sûr ceux qui pensent comme elle ; pour les autres, la culture de l'exclusion s'applique.....

Mais ni les commissaires du ministère de la Vérité, ni les censeurs inclusifs, ne peuvent changer un fait, à savoir la popularité croissante de Giorgia Meloni et de son parti, et le fait qu'elle pourrait même se présenter au poste de Premier ministre italien. Comme le souligne l'expert des mouvements patriotiques Lionel Baland, les sondages indiquent depuis des mois la somme des deux partis patriotiques italiens, la Lega de Salvini et le FdI de Meloni avec 40% des voix, mais le rapport de force entre les deux formations est en train de changer. La Lega a obtenu 34,26 % aux élections européennes de mai 2019 et se situe désormais à 21-22 %, tandis que le FdI, qui n'a obtenu que 6,44 % aux élections européennes, est désormais à 19 %. Forza Italia de Silvio Berlusconi, troisième membre de l'alliance de centre-droit, obtient plus de 6,5 %. Avec ces pourcentages, l'alliance remporterait les prochaines élections générales, prévues en mai 2023. Le leader du parti ayant obtenu le plus de voix devrait alors obtenir le poste de premier ministre, et si la tendance se poursuit, ce pourrait être le FdI.

Un défi que Giorgia Meloni est heureuse de relever. Dans une récente émission sur la chaîne publique Rai 3, Madame Meloni a déclaré que si elle était élue, ses premières mesures seraient une politique de soutien aux entreprises par une réduction des impôts et de la bureaucratie, et une politique en faveur de la natalité. Elle est également très claire sur la question de l'immigration, comme elle l'a souligné le 18 mai à la lumière des incidents de Ceuta : "Je suis préoccupée par ce qui se passe à Ceuta, où des milliers d'immigrants illégaux poussent vers le territoire espagnol. J'exprime la solidarité des conservateurs européens avec le peuple espagnol pour cette agression inacceptable et je répète qu'il n'y aura pas d'avenir européen si l'immigration incontrôlée n'est pas arrêtée immédiatement." L'étoile de Giorgia Meloni continue de monter. Ses succès en politique nationale et européenne sont une bonne nouvelle pour tous ceux qui défendent la souveraineté nationale et les véritables racines de l'Europe.

Cet article est paru en premier sur EL CORREO DE ESPAÑA, notre partenaire de la COOPÉRATION MÉDIA EUROPÉENNE.

(https://elcorreodeespana.com/politica/239425577/Yo-soy-Gi...)

Io sono Giorgia.jpg

26/05/2021

Quatre membres du mouvement nationaliste flamand Voorpost condamnés à six mois de prison, pour avoir brandi une bannière "Stop à l'islamisation" et distribué des pamphlets contre "l'islamisation de la société".

Belgique. Quatre membres du mouvement nationaliste flamand Voorpost condamnés à six mois de prison, pour avoir brandi une bannière "Stop à l'islamisation" et distribué des pamphlets contre "l'islamisation de la société." :

L'AfD donnée première aussi en Saxe-Anhalt.

AfD.jpg

Allemagne. Après la Saxe, hier, un sondage donne aujourd'hui l'AfD aussi première en Saxe-Anhalt. Les élections auront lieu dans 10 jours, le 6 juin 2021.

(https://www.wahlrecht.de/umfragen/landtage/sachsen-anhalt...)

SA.png

CDU : démocrates-chrétiens

AfD : patriotes

die Linke : post-communistes

SPD : sociaux-démocrates

Grüne : écologistes

FDP : libéraux

Sonstige : autres

Matteo Salvini : "Nous trouverons bientôt des candidatures partagées."

Ligue.jpg

M5S.jpg

Italie. Revue de presse.

La presse italienne consacre ses Unes tout d’abord au Conseil européen, et aux sujets qui y ont été abordés, notamment les questions migratoires et le pass sanitaire européen.

COULISSES, Corriere della Sera, de F. Verderami “Tensions au sein des partis en compétition entre eux. L’irritation du chef du gouvernement suite aux retards sur le calendrier” : “ Le pouvoir use ceux qui ne l’ont pas. Et puisque les partis de la majorité, à ce jour, n’ont pas le pouvoir, ils cherchent l’appui des électeurs et entrent en compétition avec l’exécutif. C’est-à-dire avec Draghi. Le Président du conseil doit ainsi composer avec les manœuvres des forces de sa majorité. Or les petites stratégies de chacun et les désaccords sur les différents décrets (aides aux secteurs économiques, simplification des procédures et du système italien…) risquent d’enrayer toute la machine institutionnelle et de retarder l’ensemble du calendrier pour la mise en œuvre du Plan de relance. Or le calendrier fait pleinement partie de l’accord avec l’UE et le Palais Chigi, qui a un rôle de médiateur, a donc déclaré qu’il ne tolérerait pas d’autres atermoiements. Au début, c’était Matteo Salvini qui menait cette ‘’lutte de gouvernement’’, puis Enrico Letta s’y est mis aussi. Maintenant que les thèmes ont changé (travail, fiscalité, justice…), c’est le Parti démocrate qui se trouve en difficulté et est confronté à un paradoxe : le parti pro-européen par excellence peine à mettre en œuvre des réformes demandées par l’Europe pour mettre fin au système de pouvoir dont le Pd lui-même, de fait, était le gardien. Et le Parti se divise : certains se préparent à sauter le pas, d’autres avertissent Draghi, dénonçant un gouvernement de droite. De façon générale, l’exécutif est conscient que ‘’certaines visions opposées sont sur le point d’exploser’’. Mais il faut être clair, Draghi est un habile médiateur entre ses ministres. L’appui affiché de Luigi Di Maio le montre bien. Ce n’est donc pas le gouvernement en lui-même qui est remis en cause mais la cohésion des forces politiques et des alliances. Hier, la Ligue était tourmentée, aujourd’hui c’est le Parti démocrate, et la roue tourne rapidement. »

ENTRETIEN, il Messaggero, de Matteo Salvini, dirigeant de la Ligue " Pour Rome il n'y a pas que Michetti, il y a aussi la juge Matone " : " Il n'y a pas de problème pour le centre-droit : ces derniers jours, nous avons contacté des représentants de la société civile qui se sont rendus disponibles. Nous trouverons bientôt des candidatures partagées. Nous avons pris quelques jours juste pour évaluer toutes les options et faire le meilleur choix. Michetti est certainement un nom valable, tout comme l'est - par exemple - Simonetta Matone, une juriste estimée qui a été élue femme de l'année dans le Latium en 2005. Permettez-moi de dire que nous sommes également en bonne voie avec le programme. Nous devons bien investir dans le Jubilé 2025 et nous avons déjà fait un pas important : grâce au ministre Garavaglia, nous avons réussi à investir 500 millions du Plan de relance dans le projet Rome » Caput Mundi ». Il y a beaucoup de travail à faire. Nous trouverons bientôt une solution pour Milan aussi. Je suis optimiste et confiant, comme le sont tous les alliés du centre-droit. Il y a une difficulté en amont : les maires sont mal payés malgré l'énorme responsabilité qu’ils assument. Rares sont ceux qui se rendent disponibles, car cela signifie quitter leur emploi et risquer des ennuis. La Ligue a déjà fait quelques propositions : mettre à niveau le salaire des maires des grandes villes avec celui des parlementaires et revoir certains délits à commencer par l'abus de pouvoir. Sur la question du travail, les demandes de la Confindustria sont justifiées car les entreprises ont le droit de se réorganiser pour faire face aux nouveaux défis de l'après-Covid, mais les travailleurs ont besoin de certitude et de pouvoir être relocalisés. Nous avons cumulé du retard, mais on peut et on doit faire plus : je pense au contrat d'expansion - fortement soutenu par la Ligue - qui a enfin été porté au seuil de 100 salariés dans ce décret, mais je pense surtout à l'amortisseur unique. En ce qui concerne les simplifications, avec le modèle de Gênes, nous avons montré au monde que nous pouvons reconstruire un pont en un temps record, sans scandales ni accidents du travail. Les limites doivent être supprimées autant que possible, afin d'éviter qu'une bureaucratie excessive ne freine l'envie de relance de l'Italie. La solution réside dans les règles européennes, qui sont beaucoup plus souples que les nôtres. Dans de nombreux cas, nous utiliserons également des fonds du Plan national de Relance. Nous ne pouvons donc pas nous permettre des règles qui nous pénalisent par rapport aux autres pays.''

COMMENTAIRE, Corriere della Sera, de Massimo Franco, « Le Premier ministre dessine l’Europe post-covid” : “ Mario Draghi revient du Conseil européen de Bruxelles, avec deux priorités : pousser les partenaires à soutenir l'Italie sur l'immigration plus qu'ils ne l'ont fait jusqu'à présent, et les contraindre à une attitude plus dure envers la Russie, tant sur l'espionnage que sur les droits de l'Homme. Le Palais Chigi prévoit une saison qui s'annonce plus difficile et plus incertaine que l'actuelle. Cela explique la prudence du premier ministre lorsqu'il aborde à nouveau le sujet de l'immigration clandestine, en prévenant que "mettre un problème en sommeil ne l'élimine pas." Bien qu'il pense avoir déjà obtenu un demi-oui de l'Allemagne et de la France, il ne se fait pas d'illusion sur la rapidité et la facilité des résultats. Il attend de voir si la volonté "en paroles" se traduira dans les faits. Il pense surtout aux pays du nord de l'Europe, qui sont enclins à éluder la question, en se déchargeant sur les pays méditerranéens. Draghi sait qu'il faut dépasser le principe de la répartition des migrants sur une base volontaire : une mesure qui a donné des résultats pour le moins insuffisants. Par conséquent, "nous continuerons jusqu'au prochain Conseil européen". Mais la force avec laquelle il a reposé le problème a eu un reflet immédiat sur la politique intérieure. La Ligue, qui oscille depuis des semaines entre combattre et gouverner, est avec lui. "Merci à Draghi, qui a mis sur la table à Bruxelles les questions d'immigration, de défense de l'Europe et de ses frontières", a commenté Matteo Salvini. En fait, le premier ministre a défini une attitude "équilibrée, efficace mais surtout humaine" à l'égard des personnes désespérées qui traversent la Méditerranée. Sur la défense des frontières, il a parlé d'un durcissement stratégique avec Moscou. En politique étrangère, il se révèle être non seulement un européiste mais aussi un atlantiste chevronné. Il indique aux alliés continentaux une ligne moins ambiguë sur la Russie [qu’auparavant]. Il a dénoncé un "niveau alarmant d'ingérence" du Kremlin en termes d'espionnage. Et partant des sanctions décidées contre Biélorussie pour l’acte de piraterie aérienne mis en place pour arrêter un dissident, il va plus loin. Il évoque et minimise la menace d'éventuelles réactions de la Russie, alliée de la dictature biélorusse. "Nous sommes un continent fort", a-t-il déclaré. "Nous ne devrions pas nous considérer si faibles lorsque nous prenons des décisions fortes." Cela aussi fait partie de la nouvelle phase qui s'ouvre. »

ARTICLE, La Stampa, « Draghi et Macron parviennent à un accord sur les migrants. "Mais l'Italie reste seule" » : « Un accord de transition qui permettrait de relocaliser les demandeurs d'asile arrivant sur les côtes italiennes est nécessaire immédiatement, mais seulement après une solution à long terme avec les pays désireux d'en faire partie. Mario Draghi sait que la question des migrants occupera une bonne partie de son été. Une saison qui coïncidera avec les adieux d'Angela Merkel, et une campagne électorale - celle des élections locales en Italie - qui conditionnera sa majorité. La vague de débarquements à Lampedusa et dans l'enclave espagnole de Ceuta, les images terribles et "inacceptables" des corps de trois enfants abandonnés sur les plages libyennes poussent le Premier ministre à attirer l'attention de ses partenaires européens, habituellement habitués à tourner la tête. Draghi a commencé par le plus influent et le plus réticent, Emmanuel Macron, celui qui, il y a quelques années, n'a pas hésité à rejeter des migrants à la frontière de Vintimille. Le rendez-vous est fixé à huit heures du matin, dans l'hôtel qui les accueille tous deux à Bruxelles pour le Conseil européen des chefs d'État. Imaginer l'Union d'Orban et de Kurz comme compacte et unie est une pure utopie. Mais Draghi vise quelque chose de plus que la simple relocalisation des migrants sur une base volontaire, celle adoptée avec les derniers accords de Malte et abandonnée avec l'urgence Covid. Ce qu'il faut, c'est au moins "un sous-ensemble de pays qui s'entraident", souligne le Premier ministre. Draghi demande et obtient que la question soit mise à l'ordre du jour du prochain Conseil, le 25 juin. Mais ce ne sera pas une solution rapide. "Nous nous mentirions à nous-mêmes si nous disions que nous allons résoudre la question dans son intégralité", déclare Macron lors de la conférence de presse qui se déroule dans les mêmes minutes. Chacun d'entre eux doit faire face à des problèmes chez lui : dans un an, le président français jouera sa réélection à l'Élysée et craint la concurrence de Marine Le Pen à droite. M. Draghi précise que l'Italie devra faire cavalier seul "au moins pendant un mois". M. Macron affirme que l'Union peut élaborer des "solutions pratiques concernant les relations avec les pays d'origine ou de transit". Il s'agit plus ou moins du schéma que l'Italie discute bilatéralement avec la Tunisie, à savoir des aides, des investissements et des quotas d'immigration régulière en échange d'un contrôle accru des côtes et des frontières. Le 31 mai, M. Draghi rencontrera également le Premier ministre libyen, M. Dbeibah, à Rome, mais il ne peut pas garantir le contrôle de la Libye, où circulent des milices turques et russes. »

ARTICLE, La Stampa, de M. Tropeano "Ligne Turin-Lyon, le oui du gouvernement débloque le tronçon national" : "Le gouvernement a décidé de débloquer la planification du projet national de ligne Turin-Lyon et de participer à l'appel d'offre européen qui met à disposition des ressources supplémentaires pour les projets d'accès pour les pays-membres et qui s'élèveraient à 750 millions d'euros pour l'Italie. La nouvelle sera annoncée ce matin lors de la réunion préparatoire en vue de la Conférence intergouvernementale (CIG) qui se tiendra le 14 juin à Chambéry avec la participation de représentants de la France et de l'Union européenne. Ainsi, selon le ministre des Transports Enrico Giovannini "le tronçon transfrontalier Turin-Lyon se poursuit. Le tronçon national est en cours de réalisation pour une partie, tandis que pour l'autre, dont la finalisation fait défaut, une accélération est nécessaire et c'est là que le dialogue avec les communautés locales devient crucial". Hier après-midi, au ministère, lors d'une réunion à laquelle ont participé les responsables des structures techniques et le chef de la délégation auprès de la CIG, Paolo Foietta, il a été décidé de rendre cette décision opérationnelle. L'Italie participera ainsi à l'appel d'offre public européen et le consortium Rfi devra reprendre le projet mis en attente pendant deux ans par le ministre de l'époque, Danilo Toninelli. Le ministère devrait donc également inclure le tronçon national de la ligne Turin-Lyon dans sa planification nationale. Ce double feu vert devrait être suivi de la nomination, par le ministère, d'un commissaire chargé des rapports avec les autorités locales. Il devrait s'agir d'une nomination sans rapport avec le décret de déblocage des chantiers actuellement en cours. Il s'agira d'une personnalité à mi-chemin entre un technicien et un politique, disposant de larges marges de manœuvre sur le modèle du statut du président de l'Observatoire pour la ligne Turin-Lyon, assuré d'abord par Mario Virano et puis par Foietta".

(Traduction : ambassade de France à Rome)

25/05/2021

L'AfD est donnée premier parti de Saxe.

AfD.jpg

Allemagne. L'AfD est donnée premier parti de Saxe (les élections pour le Parlement de Saxe sont prévues à l'été 2024).

(https://www.wahlrecht.de/umfragen/landtage/sachsen.htm)

Saxe 1.png

CDU : démocrates-chrétiens

AfD : patriotes

die Linke : post-communistes

Grüne : écologistes

SPD : sociaux-démocrates

FDP : libéraux

Sonstige : autres

"Pour le Quirinal, Draghi est en tête également parmi les électeurs de Fratelli d’Italia."

FI-AN.jpg

Ligue.jpg

Italie. Revue de presse.

Le débat politique autour du décret sur les interdictions de licenciement et le maintien des mesures compensatoires, qui ne sera finalement pas reconduit en août, est aussi cité : « Licenciements, la prorogation annulée » - Le Palais Chigi et le ministère des Finances interviennent après une journée de fortes tensions (Sole 24 Ore), « Les regrets de Confindustria : les accords ont été trahis » - Entretien avec le chef du Patronat C. Bonomi. Draghi intervient pour trouver une médiation (Il Messaggero), « Confindustria décide et le gouvernement dispose » - Le ministre Orlando, désavoué sur la prorogation en août, est maintenant obligé de changer la réforme (Fatto Quotidiano).

Enfin, la question migratoire, et notamment les enfants naufragés dont les corps ont été laissés sur des plages en Libye, est également citée avec large couverture photographique en Une : « Le massacre infini des enfants que nous ne voulons pas voir » (La Stampa), « Libye, comment on meurt à Zuwara » - Les photos du dernier naufrage, des corps d’enfants abandonnés pendant trois jour sur une plage (La

ARTICLE, La Repubblica, « Pour le Quirinal, Draghi est en tête également parmi les électeurs de Fratelli d’Italia.  Le rappel de Mattarella [à l’unité] a été apprécié » : « L'élection du prochain président de la République aura lieu en février 2022. Toutefois, le débat se déroule "entre les dirigeants" des partis. Mais pas "chez les citoyens", qui perçoivent cette échéance avec un certain détachement. Cette impression est confirmée par le sondage récemment réalisé par Demos. À la question : "Qui aimeriez-vous voir devenir président de la République l'année prochaine, à l'expiration du mandat de M. Mattarella ? ", près de la moitié des Italiens interrogés, pour être précis : 47%, ne répondent pas, ou ne savent pas quoi dire. D'autres (3%) éludent la réponse : "Aucun". Plus qu'une "réticence", cependant, il s'agit d'une "distance" effective par rapport à la question. Dictée par un manque de connaissances et d'implication. D'autre part, l'Italie est une démocratie représentative. Le président n'est pas élu par les citoyens mais par les parlementaires. En première place, cependant, dans les préférences des Italiens "sur le président à venir", on trouve Mario Draghi. Il est désigné par 13% (de l'échantillon) comme le futur Président de la République. Un peu plus loin, avec 11%, se trouve l'actuel président, Sergio Mattarella. Plus bas, on trouve Giuseppe Conte (6%) et Silvio Berlusconi (5%). Enfin, Emma Bonino. La seule femme sur la liste proposée par les Italiens. Si nous examinons les préférences sur la base de l'orientation du vote, des orientations très différentes apparaissent. La seule constante : Mario Draghi. Parmi les trois premiers du classement défini par les électeurs de tous les partis, Mattarella et Draghi sont cependant en "première" place. Y compris parmi la base de Fratelli, contrairement avec la position du parti. Cependant, cette tendance pourrait souligner une différence entre une évaluation "politique" envers le gouvernement et une évaluation "personnelle" envers Draghi. Mattarella serait, au contraire, re-proposé par les électeurs du Pd et de la Ligue. »

COMMENTAIRE, La Repubblica, de S. Folli « Le paradoxe du centre droit » : « Le paradoxe du centre droit est dans le viseur de tout le monde. Si l’on devait additionner les trois partis qui le composent (Ligue, Fratelli d’Italia et Forza Italia,  il est clair que cette coalition s’apprête à remporter les prochaines élections législatives et par conséquent à assumer la responsabilité du gouvernement dans un futur proche. La rivalité entre Salvini et Meloni semble pourtant ne pas nuire à la coalition, la fluidité de son électorat passant de l’un à l’autre. La somme donne toujours 40%, auquel il faut ajouter 7% des voix de Forza Italia. Le deuxième aspect de cette situation est un manque incroyable d’efficacité. La coalition qui s’apprête à gouverner l’Italie ne parvient pas à s’entendre sur un candidat pour la ville de Rome. Et les choses ne vont pas mieux pour les autres villes. La paralysie des décisions commence à montrer des aspects grotesques car elle se heurte à la force électorale qui devrait pourtant la pousser à faire vite et bien. Si jamais on devait arriver à s’entendre sur un candidat - quelqu’un qui puisse être connu - force est de constater que cette incapacité de décision marque encore une fois les limites de cette classe dirigeante. Le cas de Rome devient ainsi emblématique. Si la gauche a des soucis, la droite fait pire. C’est comme si elle avait peur de détrôner Virginia Raggi. Ceci ne représente certainement pas un bon présage pour l’avenir».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Alice Weidel et Tino Chrupalla conduiront la campagne de l'AfD pour les élections législatives.

AfD.jpg

Allemagne. Alice Weidel et Tino Chrupalla conduiront la campagne de l'AfD pour les élections législatives de fin septembre 2021.

AfD 1.jpg

Tino Chrupalla et Alice Weidel

24/05/2021

"Pour les électeurs du centre-droit, qui doit être le leader du centre-droit lors des prochaines législatives ?"

FI-AN.jpg

Ligue.jpg

Italie.

Italie.jpg

22/05/2021

Björn Höcke, perquisitionné.

AfD.jpg

Allemagne. La maison du président de l’AfD de Thuringe Björn Höcke a été perquisitionnée dans le cadre d’une enquête visant une de ses publications Internet sur laquelle se trouvait la photo du capitaine Carola Rackete avec comme commentaire : « J’ai importé la torture, la violence sexuelle, le commerce d’êtres humains et des meurtres. »
 
Björn Höcke est soupçonné d’avoir stigmatisé ainsi, en tant que criminels, les réfugiés.

Höcke.jpg

Björn Höcke 

Flandre : le Vlaams Belang donné à 24,7 % et la N-VA à 21,5 %.

VB.jpg

N-VA.jpg

Belgique. Flandre. Un sondage De Standaard / VRT donne les deux partis nationalistes flamands premier et deuxième  : le Vlaams Belang à 24,7 % et la N-VA à 21,5 %.

L’autobiographie de la dirigeante de Frères d’Italie Giorgia Meloni s’est vendue à 100.000 exemplaires en 10 jours.

FI-AN.jpg

Italie. L’autobiographie de la dirigeante de Frères d’Italie Giorgia Meloni, Io sono Giorgia (Je suis Giorgia), s’est vendue à 100.000 exemplaires en 10 jours.

Meloni.jpg

(https://www.breizh-info.com/2021/05/18/164455/italie-gior...)