27/08/2020
L’EKRE est donné à 20 %.
Estonie. L’EKRE est donné à 20 % au sein d’un sondage Turu-uuringute AS.
19:09 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les Démocrates suédois sont donnés ensemble à 19 %.
Suède. Les Démocrates suédois sont donnés ensemble à 19 %, au sein d’un sondage Novus.
19:06 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le dirigeant de l’Office fédéral de protection de la Constitution confirme que Kalbitz figure sur une liste de membres de la HDJ.
Allemagne. Le dirigeant de l’Office fédéral de protection de la Constitution Thomas Haldenwang a confirmé officiellement que l’ancien dirigeant du groupe des élus de l’AfD au sein du Parlement de Brandebourg Andreas Kalbitz figure sur une liste de membres de l’organisation radicale interdite depuis lors Heimattreuen Deutschen Jugend (HDJ), alors que Kalbitz avait, dans le passé, affirmé sous serment ne pas avoir été membre de cette organisation. Le parquet de Berlin enquête contre lui pour faux-témoignage. [Cette appartenance supposée à la HDJ a été un des éléments qui a conduit l’AfD à exclure Kalbitz.]
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2020/08/21/le-...)
17:38 | Lien permanent | Commentaires (0)
Pouilles : élections le 20 et 21 septembre 2020.
Italie. Pouilles. Ce 20 et 21 septembre 2020, les électeurs éliront le président de la région et les membres du Conseil régional.
15:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Ecole, le gouvernement ne fait pas ses devoirs."
Italie. Revue de presse.
La réunion entre le gouvernement et les Régions pour mettre en place les règles communes en vue de la rentrée scolaire fait les gros titres des médias italiens. L’ensemble des observateurs relève l’absence d’un accord général ainsi que la possibilité d’arriver à la date du 14 septembre « dans le chaos » (Corriere, Mattino). La hausse des contagions (1 367 nouveaux cas) enregistrée hier est également rapportée : « Ecole, le chaos des mesures » - ‘’Le Gouvernement et les Régions n’arrivent pas à un accord sur les espaces et les masques’’ (Corriere della Sera), « L’école reste à pied » - ‘’Aucun accord gouvernement-régions sur le transport des élèves’’ (La Repubblica), « Rupture entre le gouvernement et les régions » - ‘’Bras-de-fer sur les bancs, les masques et les transports’’ (La Stampa), « Ecole, rien de fait sur le transport public et les masques » (Sole 24 Ore), « Les bancs arrivent, les transports en retard » (Fatto Quotidiano), « Ecole, les transports dans le chaos » (Il Mattino), « Ecole, le gouvernement ne fait pas ses devoirs » (Il Giornale).
ARTICLE, Corriere della Sera, M. Iossa « Hausse des contagions, treize victimes. Record de tampons » : « Les contagions augmentent à nouveau en 24 heures, avec 1 367 nouveaux cas recensés hier (+500) soit le niveau le plus haut depuis début mai. 13 victimes au lieu de 4 d’avant-hier. Record aussi de tests (93 529) réalisés, presque 21 000 de plus que la veille. La Lombardie est à nouveau la région la plus touchée (269 cas), suivie du Latium (162) et de la Toscane (161) ».
ENTRETIEN, Corriere della Sera, de Luigi Di Maio, ministre des Affaires Etrangères et ancien chef politique du Mouvement 5 Etoiles « Le pacte avec Zingaretti doit être respecté. La coupe des parlementaires n’est pas de l’antipolitique » : « ‘’J’ai formé le gouvernement avec Zingaretti et il y avait un pacte : faire avancer les deux dossiers (coupe des parlementaires et réforme électorale, ndt) en parallèle. Pour nous, ce pacte doit être respecté. Nous sommes prêts à voter une nouvelle loi électorale avant la fin de l’été. Si quelqu’un freine, ce n’est pas nous. Quant à la position d’Italia Viva sur la réforme, elle n’a pas dit qu’il n’était pas important de le faire. En ce qui concerne le référendum, toutes les forces politiques qui l’ont voté au Parlement devraient être convaincues de voter oui. Ensuite, s’ils votent une chose en pensant une autre, c’est leur problème et un fait surprenant que les Italiens devraient prendre en considération. Cette réforme rendra le système plus souple et plus efficace, elle réduira les déséquilibres et les inégalités actuels. L’économie d’un demi-milliard d’euros par législature n’est qu’une des raisons, selon moi, et la dernière par ordre d’importance. Les motivations du « Oui » sont si nombreuses et si concrètes qu’elles ne doivent pas tomber dans une approche antipolitique que je trouverais injuste. Les élections régionales ? Le vote aura un poids comme toujours, mais je tendrais à séparer la tenue de l’exécutif des résultats d’élections territoriales’’ ».
ARTICLE, La Stampa, C. Bertini, « Réforme électorale : seuil à 4% et sénateurs à 25 ans » : « Un accord sur la loi électorale pourrait être trouvé au sein de la majorité, introduisant une proportionnelle avec un seuil réduit de 5 au 4%. Mais les discussions à ce propos sont renvoyées après les élections régionales du 20 septembre. Le leader du PD Nicola Zingaretti semble avoir des difficultés à garder son parti compact en faveur de la réduction du nombre des parlementaires. Pour Matteo Renzi, leader d’Italia Viva, il est nécessaire d’éviter, à quelques semaines du rendez-vous électoral, l’éclatement d’un ‘’Vietnam’’ au Parlement, qui pourrait profiter seulement à la droite. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
13:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
26/08/2020
"Expulser les islamistes dangereux."
Allemagne.
"Coûts de la surveillance pour un terroriste de l'Etat islamique importé : 5 millions d'euros. « Expulser les islamistes dangereux. »" Beatrix von Storch
14:38 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Pour G. Meloni, les candidats pour les Pouilles et les Marches sont les siens."
Italie. Revue de presse.
Le Coronavirus, et notamment le débat institutionnel entre le gouvernement et les Régions autour des règles en vue de la rentrée scolaire, domine les gros titres des médias italiens : « Bras-de-fer Régions-Gouvernement sur le port des masques » - ‘’Le président de la Ligurie à la tête des rebelles, réunion avec Conte prévue pour aujourd’hui’’ (La Stampa), « Ecole, chaos sur les bancs » (Sole 24 Ore), « Ecole, les Régions préviennent : ‘’vous ne pouvez pas décider si fermer ou pas’’ – ‘’Le gouvernement se réserve de décider la fermeture en cas de contagions’’ (Il Messaggero), « Alerte contagion dans les discothèques » - ‘’ 58 cas au club Billionaire. Aujourd’hui réunion sur les écoles’’ (Corriere della Sera), « Foyer à Costa Smeralda » - ‘’Briatore hospitalisé’’ (La Repubblica), « Contagions, la Campanie 2e du classement » (Il Mattino).
ARTICLE, Corriere della Sera, M. Iossa « Les nouveaux cas en baisse » : « Hier, 878 nouveaux cas ont été recensés sur 72 mille tampons. Les chiffres du ministère de la Santé ne donnent donc pas une lecture alertée de la courbe de contagions mais marquent plutôt un ralentissement qui paraissait, selon plusieurs, improbable. Les hospitalisations aussi sont beaucoup moins nombreuses par rapport à hier : 13 contre 74. Dans le monde aussi, la situation semble s’améliorer, comme le confirment les dernières données de l’OMS. Le Latium est la première région touchée (+143) suivie par la Campanie (138) et la Lombardie (119) ».
ARTICLE, Sole 24 Ore B. Fiammeri « Le destin de Conte, Zingaretti et Renzi dépendra des Pouilles et de la Toscane » : « G. Conte a tenté par tous les moyens de favoriser l’alliance entre le PD et le M5S. Même s’il n’intervient pas officiellement, il espère dans la victoire du centre gauche dans sa région natale, les Pouilles. Une défaite ici et dans les Marches pourrait mettre en crise le gouvernement. Pour Salvini, si sa candidate devait remporter la Toscane, il redeviendrait le leader incontesté du centre droit. Au cas contraire, son leadership se ternirait. Pour Zingaretti, si le centre gauche devait perdre les Marches et les Pouilles, c’est le leader du PD qui en subirait les conséquences, lui qui se pose en garant de l’alliance avec les 5 Etoiles. Di Maio est prêt à reprendre la tête du M5S en misant sur la victoire du référendum sur la coupe des parlementaires. Pour G. Meloni (Fratelli d’Italia), les candidats pour les Pouilles et les Marches sont les siens. En cas de victoire elle pourrait convoiter la place de Salvini comme leader de la coalition. Enfin Renzi, leader d’Italia Viva, joue son va-tout sur « sa » Toscane. Si son score devait ne pas être flattant (au moins 5%), son avenir politique pourrait être mis en danger ».
ARTICLE, La Repubblica, G. Foschini « Maintenant Di Maio choisit la ligne atlantique sur le 5G et ferme la porte à Huawei » : « La porte n’est pas fermée mais la voie est très serrée pour que Huawei puisse entrer dans le marché italien du 5 G. ‘’L’Italie est ouverte à tout possible investissement favorisant la croissance et l’emploi mais toujours en ligne avec les standards de sécurité nationale et en relation à la collocation euro-atlantique de notre pays’’. C’est ce qu’a expliqué le ministre Di Maio lors de la rencontre à Rome avec son homologue chinois. […]
(Traduction : ambassade de France à Rome)
13:22 | Lien permanent | Commentaires (0)
25/08/2020
"Nous sommes de droite depuis toujours. Nous sommes la droite. Nous sommes l'histoire de la droite italienne."
Italie.
Giorgia Meloni : "Nous sommes de droite depuis toujours. Nous sommes la droite. Nous sommes l'histoire de la droite italienne."
15:18 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Sicile, le gouvernement saisit les juges mais Musumeci ne cède pas."
Italie. Revue de presse.
Le Coronavirus, et notamment la réunion gouvernementale d’hier en vue de la rentrée scolaire de septembre, fait les gros titres des médias italiens. Les frictions entre le Président du Conseil et le chef de Confindustria sont également reprises : « Ecole, recherche d’espace pour d’autres classes » - ‘’Le gouvernement invite les régions à ne pas aller en ordre dispersé » (Corriere della Sera), « Conte place sous tutelle l’école » - ‘’Le Palais Chigi crée une régie ; la ministre Azzolina ‘’sous tutelle’’ ‘’(Il Messaggero), « Le gouvernement récrit le fisc » - ‘’Bientôt une réforme pour simplifier ; Conte affronte les problèmes liés à l’école’’ (La Repubblica), « Frictions Gouvernement-Bonomi » - ‘’Colère de l’exécutif sur les déclarations du chef du Patronat : ‘’il est mal informé, nous n’avons jamais perdu de temps’’ ‘’(La Stampa), « Décret relance, la course à obstacle pour les remboursements de l’assurance-chômage » (Sole 24 Ore), « La semaine décisive » - ‘’L’expert Mastroianni prévient : prudence, nous risquons de passer à 4 mille contagions’’ (Fatto Quotidiano). La formalisation du plan « Sure » par la Commission Européenne, où l’Italie apparait comme le principal bénéficiaire à hauteur de 27 milliards, est également citée. Repubblica publie en Une l’intervention conjointe des commissaires européens P. Gentiloni et N. Schmit « Le bouclier Sure pour sauver l’emploi ».
L’ouverture des journaux télévisés est consacrée au travail du gouvernement pour la mise au point des lignes directrices en vue de l’ouverture des écoles en septembre, à la première expérimentation du vaccin anti-Covid en Italie, aux tensions entre le gouvernement et la Région Sicile sur la question de la gestion des migrants et, en matière de politique étrangère, à l’officialisation de la candidature de Donald Trump pour un deuxième mandat à la Maison Blanche.
ARTICLE, La Stampa, C. Bertini « Du PD à Salvini, nombreux sont ceux qui sont dans l’embarras pour le référendum » : « Selon les sondages les plus accrédités, les électeurs en faveur de la coupe des parlementaires seraient environ 60% et, quoi qu’en disent leurs leaders, ils ne changeront pas d’avis. Ce n’est pas un hasard si Luigi Di Maio a lancé sa campagne en battant sur les thématiques contre la « caste ». Or, à part le Mouvement 5 Etoiles, les chefs de parti sont assez en gêne à l’égard du référendum. Même Forza Italia, qui avait épousé le « Oui », revient maintenant sur ses pas en disant que ‘’la réforme est plutôt mal écrite’’. Salvini explique ‘’par cohérence, je voterai oui, mais c’est aux citoyens de se prononcer’’. Le plus gêné est sans doute le leader démocrate Zingaretti. Son parti avait voté à trois reprises contre la réforme, puis la sensationnelle marche arrière l’année passée après la formation du nouveau gouvernement. Le PD l’avait votée avec la perspective d’un accord avec le M5S sur une loi électorale proportionnelle avec un seuil de barrage à hauteur de 5%, qui a été ensuite sabotée par Renzi. Ce dernier considère la réforme parlementaire ‘’plus inutile que dangereuse’’ ».
ARTICLE, La Stampa, F. Grignetti « Sicile, le gouvernement saisit les juges mais Musumeci ne cède pas » : « Le gouvernement a décidé que ce sera le Tribunal Administratif Régional (TAR) qui tranchera sur l’ordonnance controversée de la région de Sicile imposant aux préfets et au ministère de l’Intérieur de vider d’ici ce soir les centres pour migrants, afin de les déplacer ailleurs mais pas en Sicile. Selon l’Intérieur, Musumeci n’a pas de compétence en matière, même si ce dernier a décidé d’aller de l’avant jusqu’au bout, sachant qu’il peut compter sur la solidarité de tout le centre droit. Salvini, sur les plateaux télévisés, a traité la ministre Lamorgese de ‘’criminelle’’ et a même prôné les administrateurs léghistes de suivre l’exemple de Musumeci et de ‘’faire pareil’’. Musumeci, haussant les tons, a même fait une gaffe, en disant que le gouvernement ‘’pense uniquement aux camps de concentration’’ et provoquant la réponse des ministres qui avaient jusque-là préféré ne pas répliquer : ‘’qu’il se fasse expliquer par son conseiller expert de nazisme et de fascisme de quoi il s’agit’’ ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
14:53 | Lien permanent | Commentaires (0)
24/08/2020
Canton d'Appenzell Rhodes-Intérieures : Ruedi Eberle est reconduit sans vote.
Suisse. Canton d'Appenzell Rhodes-Intérieures. Ruedi Eberle (UDC) est reconduit sans vote au sein de l’exécutif.
23:09 | Lien permanent | Commentaires (0)
László Bíró du Jobbik n'est pas autorisé à se présenter.
Hongrie. Une élection partielle se tiendra le 11 octobre 2020 dans une des circonscriptions afin de déterminer qui succédera à un élu Fidesz décédé dans un accident de la route. La Commission électorale nationale a décidé que la commission électorale locale avait violé la loi, car la demande d'enregistrement de László Bíró (Jobbik) a été soumise par un représentant légal dont le droit de représentation n'est pas actuellement en vigueur, Péter Jakab n’étant pas encore, officiellement, président du Jobbik.
László Bíró du Jobbik, devait se présenter en tant que candidat de la coalition d'opposition face à un candidat du Fidesz.
(https://hungarytoday.hu/by-election-hungary-opposition-jobbik-candidate-biro-tiszaujvaros/à
22:40 | Lien permanent | Commentaires (0)
Salvini : la Hongrie réussit mieux en politique familiale que l'Italie.
Italie et Hongrie. Salvini : la Hongrie réussit mieux en politique familiale que l'Italie :
https://hungarytoday.hu/salvini-hungary-family-policy-ben...
20:08 | Lien permanent | Commentaires (0)
Geert Wilders n'acceptera jamais d'être bailloné.
Pays-Bas.
"Jamais !"
13:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
" Le MES est peut-être nécessaire afin de nous protéger."
Italie. Revue de presse.
Le Coronavirus, et notamment la hausse constante des contagions, 1 210 cas en 24 heures, fait les gros titres des médias italiens : « Contagions, le retour des vacances préoccupe » (Corriere della Sera), « Nouveaux cas, la moitié tombée malade en vacances » (La Repubblica), « Les contagions en hausse, chaos de tests entre le Latium et la Sardaigne » (La Stampa), « le DG de l’OMS Ranieri Guerra : ‘’peu de sanctions, l’Italie à risque’’ (Il Messaggero), « Campanie, boom des cas » - ‘’Les paquebots-Covid depuis la Sardaigne’’ (Il Mattino). La question migratoire, avec le bras-de-fer entre l’Intérieur et la Région Sicile sur la gestion des migrants, et les intempéries dans le Nord Est sont également citées.
ARTICLE, La Repubblica, M. Bocci « Le retour à la maison avec le virus » : « La hausse de la courbe des contagions ne baisse pas. Nous sommes désormais à 1 210 cas en 24 heures. La moitié des malades a pris le virus en vacances. La Lombardie revient à nouveau en tête du classement des régions frappées par le Coronavirus. Entretemps, le Latium et la Sardaigne sont en train de s’accorder pour effectuer des tests rapides sur les routes maritimes dans les deux sens. Par rapport à mars, la plupart des malades sont asymptomatiques ».
ARTICLE, Corriere della Sera, A. Polito « Le MES est peut-être nécessaire afin de nous protéger » : « Jusque-là, le système sanitaire a bien tenu face à la rentrée des vacances en raison de chiffres raisonnables. Mais il faudra bientôt, dans les bureaux de préventions, le double ou le triple de personnel. Car, même si une deuxième vague devait ne pas arriver, le renforcement des ressources humaines et de matériel, dans une phase qui s’annonce longue, est nécessaire. Le ministère de la Santé a présenté au gouvernement son plan de réforme à hauteur de 70 milliards en vue du Recovery Plan communautaire. L’urgence sanitaire nous autorise à prendre en prêt, à des conditions avantageuses, les 36 milliards du Fonds de sauvetage européen MES. Ce serait le cas d’y faire appel et de les transformer en tampons, systèmes de traçage, drive-in et masques ».
ENTRETIEN, Il Fatto Quotidiano de dimanche, de Luigi Di Maio, ministre des Affaires étrangères, « ‘’Le M5S doit s’accroître, on ne gagne pas tous seuls : entente avec le PD sur les maires de 2021’’ » : « ‘’Pour trouver une entente entre le M5S et le PD en vue des élections régionales, il aurait fallu commencer avant, mais c’est compliqué sans une coordination nationale. Il aurait fallu proposer des candidats 5 Etoiles soutenus par les autres, et des candidats d’autres partis soutenus par nous. Le M5S doit s’accroître. Pour les élections municipales de l’année prochaine il faudra faire un raisonnement commun sur les villes, en commençant par Rome, Milan, Turin, Naples et Bologne. Je ne veux pas parler d’entente structurelle. Le M5S doit garder son autonomie au-delà des coalitions traditionnelles. Mais il y a une génération d’élus qui nous demande de faire des alliances dans les territoires et il y a des maires qui doivent être soutenus. Le modèle du gouvernement national doit être répliqué au niveau local’’. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
13:23 | Lien permanent | Commentaires (0)
23/08/2020
Cinq autres minutes de l’ainsi-dénommée vidéo d’Ibiza ont été publiées.
Autriche. Cinq autres minutes de l’ainsi-dénommée vidéo d’Ibiza ont été publiées. Elles montrent que l’ancien président du FPÖ Heinz-Christian Strache et Johann Gudenus n’ont pas pris part à des activités illégales.
23:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
Marco Chiesa est le nouveau président de l'UDC.
Suisse. Marco Chiesa est le nouveau président de l'UDC. C'est une première pour un latin :
https://www.rts.ch/play/tv/19h30/video/marco-chiesa-est-l...
Marco Chiesa
21:53 | Lien permanent | Commentaires (0)
Instagram supprime une vidéo de l’UDC.
Suisse. Instagram supprime une vidéo de l’UDC :
https://www.lenouvelliste.ch/articles/suisse/polemique-in...
21:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
21/08/2020
Le recours en urgence de Kalbitz écarté.
Allemagne. Le numéro 2 de l’AfD Andreas Kalbitz a subi une défaite ce 21 août 2020. En effet, le tribunal de l’État de Berlin a écarté son recours en urgence visant à ce que lui soit rendu son appartenance à l’AfD car celui-ci estime qu’il n’est pas évident d’établir que cette privation de la qualité de membre de l’AfD de Kalbitz est contraire au droit.
La procédure principale dans ce dossier devrait avoir lieu dans quelques mois.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2020/07/30/meuthen-attaque-hocke-6254715.html)
13:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
20/08/2020
"Le gâchis jeune-rouge et les élections régionales en montée."
Italie. Revue de presse.
COMMENTAIRE, La Stampa, M. Sorgi, « Le gâchis jeune-rouge et les élections régionales en montée » : « Les négociations entre le PD et le M5S pour la présentation de candidats communs en vue des élections régionales du 20 septembre semblent avoir échoué. Le souhait exprimé par le président du Conseil Giuseppe Conte lors d’un entretien au Fatto Quotidiano d’assister à la concrétisation d’une entente au moins dans les régions des Pouilles et des Marches, actuellement en main au centre gauche, a engendré à l’apparence un effet opposé. Dans toutes les six régions concernées par le vote, la course aux élections régionales semble alors en montée pour les partis de la majorité ; la difficulté du PD et du M5S à former une alliance pourrait profiter au centre droit, qui fait déjà figure de favori en Vénétie et en Ligurie. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
19:16 | Lien permanent | Commentaires (0)
19/08/2020
"Le gouvernement pris de court, l’inconnue Draghi préoccupe Conte."
Italie. Revue de presse.
Les déclarations de l’ancien président de la BCE, Mario Draghi, lors d’un forum catholique international de réflexion à Rimini, dominent les gros titres des médias italiens. C’est surtout son appel à des choix responsables pour un endettement ‘’positif’’ visant notamment les investissements plutôt que l’assistanat, qui est repris. Certains observateurs soulignent d’un côté l’embarras d’une partie de la majorité (notamment du M5S qui défend le revenu de citoyenneté) ainsi qu’une possible « descente dans l’arène politique » (Repubblica) de l’ancien président de la BCE : « Reprise, la recette de Draghi » - ‘’investissons sur les jeunes, il faut aller au-delà des allocations de chômage’’ (Corriere della Sera), « Draghi surprend le gouvernement » (La Repubblica), « Draghi, le manifeste pour la croissance » - ‘’Les partis froids après l’intervention de l’ancien président de la BCE’’ (La Stampa), « Draghi, les allocations ne suffisent pas, les nouvelles générations sont en danger » (Sole 24 Ore), « Le coup de fouet de Draghi » - ‘’L’ancien président de la BCE demande un majeur engagement envers les jeunes’’ (Avvenire), « Le retour de Draghi » (Il Mattino). La disparition de Cesare Romiti, ancien AD de FIAT et grande figure de l’économie italienne, est aussi largement reprise avec couverture photographique en Une.
L’ouverture des journaux télévisés est consacrée aux discussions sur les mesures anti-Covid, notamment en vue de la réouverture des écoles en septembre, à l’alliance entre le M5S et le PD pour les élections régionales et, en matière de politique étrangère, à l’officialisation de la nomination de Joe Biden comme candidat démocrate en course pour la Maison Blanche.
ENTRETIEN, Fatto Quotidiano, de Giuseppe Conte, Président du Conseil « M5S et PD, s’allier dans les régions est une occasion qu’il ne faut pas gaspiller » : « ‘’J’estime que les partis politiques qui soutiennent le gouvernement doivent tenter de dialoguer également au niveau régional. Se présenter divisés dans les Pouilles ou dans les Marches exposerait au danger de gaspiller une grande occasion. Une synergie au niveau local peut imprimer une forte accélération pour réaliser les stratégies du Green Deal, de l’innovation numérique, des investissements dans les infrastructures, les crèches et les écoles. Ces élections régionales coïncident avec un moment historique pour l’Italie. Nous sommes en train d’élaborer un Recovery Plan, financé par d’importants fonds européens, ce qui constitue la plus grande opportunité pour les nouvelles générations. Les régions seront fortement impliquées dans ces projets. Le gouvernement, la protection civile, les maires et des directeurs d’école sont en train de s’engager au maximum pour assurer une rentrée scolaire en toute sécurité. C’est un défi très important pour l’Italie, qui implique 10 millions de personnes. Nous avons investi 2,9 milliards dans l’école rien que pour la rentrée. Le débat sur le MES ? Je rappelle qu’il s’agit toujours d’un prêt. J’ai confiance sur le fait que les flux de caisse rendent inutile cet ultérieur endettement, aussi parce que les fonds Sure ont déjà été activés et en raison aussi de la perspective du Recovery Fund. Si la situation de la finance publique devait changer, cela sera discuté au Parlement en toute transparence. La réforme constitutionnelle prévoyant une coupe des parlementaires doit être accompagnée d’une réforme électorale qui soit basée sur un critère de représentativité bien dosée. Les partis de majorité ont choisi un mécanisme prévoyant un seuil de barrage à hauteur de 5%¨. Cela me semble une solution équilibrée. La question est maintenant traitée par le Parlement. Les propos de Mario Draghi ? Je suis d’accord avec lui, notamment sur le fait qu’il faut renforcer les instruments pour donner davantage de force et de stabilité à la zone euro et investir avec détermination sur l’instruction et sur la recherche pour assurer un avenir aux jeunes’’ ».
RETROSCENA (coulisses) La Repubblica S. Cappellini « Le gouvernement pris de court, l’inconnue Draghi préoccupe Conte » : « Après son discours d’hier au meeting de Rimini, une indication de changement de cap est bien plus qu’un avertissement au gouvernement. S’agit-il d’un premier pas vers une «descente dans l’arène » ? Est-ce une disponibilité à assumer de futures charges institutionnelles ? Si oui, lesquelles ? Le Palais Chigi ou le Quirinal ? En tout cas, la fermeté avec laquelle Draghi a décidé d’intervenir a bel et bien surpris l’Exécutif. Si les agences ont repris pendant toute la journée ses déclarations, le gouvernement n’a pas pour autant laissé de commentaires. Conte ne craint pas un défi direct avec Draghi et il a raison. Toutefois, il ne pourra pas mettre dans un tiroir l’agenda tracé par l’ancien président de la BCE. Les propos sur les ‘’subventions improductives’’ et sur ‘’la mauvaise dette’’ qui risquent de lester l’Italie jusqu’à la faire couler représentent un post-it sur le risque concret de retards et de superficialité dans le plan pour l’utilisation des ressources allouées par le Recovery Fund de l’UE. Ce n’est pas un hasard si le Commissaire Gentiloni a promptement dit ‘’il faut l’écouter’’. Conte sait bien que les démentis du prestigieux rival ne suffisent pas à éteindre les bruits sur une possible entrée en scène du principal « civil servant » italien. Même au sein du PD il y a une certitude : si Conte devait vaciller, seul Draghi pourrait sauver la législature, peut-être à la tête d’une majorité ‘’Ursula’’, la même qui a voté la Commissaire, et donc élargie à Forza Italia (qui toutefois s’est engagée hier à signer un « contrat anti-combine » avec les autres partis du centre droit pour ne pas soutenir un gouvernement avec ceux qui ne font pas partie de la coalition). Sans oublier les propos de Di Maio en juin après sa rencontre avec Draghi ‘’j’ai eu une très bonne impression’’ qui pourraient représenter un message à l’encontre de Conte ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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18/08/2020
"Onze millions à la Tunisie pour arrêter les migrants."
Italie. Revue de presse.
Le Coronavirus et notamment les nouvelles mesures restrictives du gouvernement pour contrer les contagions dominent les gros titres des médias italiens.
ARTICLE, La Repubblica, M. Bocci « Un seul cas de contagion et ce sera la quarantaine pour tous » : « Il suffira qu’un seul élève soit positif au virus pour que la quarantaine soit décidée pour ceux qui ont eu des contacts étroits avec lui dans les 48h qui ont précédé les symptômes. Soit pour ses camarades de classe et pour les professeurs ayant fait leur leçon dans cette classe. Toutefois, ‘’un simple cas positif ne devrait pas déterminer la fermeture de l’école surtout si la transmission dans la communauté n’est pas élevée’’. Voici l’ébauche du protocole que les experts sont en train d’élaborer. Chaque école devra prévoir une pièce d’isolement. Les parents aussi auront leur rôle : une fois récupéré l’élève, ils devront appeler le médecin ou le pédiatre qui se chargera de prévenir l’unité sanitaire locale (Asl) pour demander le tampon. Si le test s’avère positif, le référent de l’école devra en prévenir le département de prévention et lui adresser ‘’la liste des camarades de classe et des enseignants venus en contact étroit avec l’élève’’. Toujours le référent devra communiquer à l’Asl au cas où un nombre important d’étudiants d’une classe (34,40%) devrait être absents. Il faudra alors lancer une enquête épidémiologique. L’Asl pourra prévoir l’envoi d’unités mobiles pour effectuer les tests diagnostiques auprès de la structure scolaire ».
ENTRETIEN de Graziano Delrio, président du groupe du Parti démocrate à la Chambre, « ‘’Conte doit décider sur le prêt européen. L’alliance avec le M5S, c’est bien mais il faut une identité commune’’», La Stampa : « ‘’Le président du Conseil doit maintenant clarifier et dire si les conditionnalités existent à propos du MES. Les membres du M5S sont très libéraux au sujet du web et étatistes sur tous les autres fronts. Il faut donner un projet fort au gouvernement. Les sondages nous confirment que 80% de notre électorat est favorable à l’alliance avec le Mouvement 5 Etoiles. C’est le moment de hisser le drapeau du tournant écologique et de donner un message clair aux Italiens’’. »
ARTICLE, La Stampa, F. Grignetti, « Onze millions à la Tunisie pour arrêter les migrants » : « Une délégation élargie composée des ministres italiens de l’Intérieur, Luciana Lamorgese, des Affaires étrangères, Luigi Di Maio, et deux commissaires européens, s’est rendue à Tunis pour essayer de conclure un pacte avec le gouvernement tunisien à propos de la gestion des flux migratoires vers l’Europe. Avec la concession d’une aide de 11 millions par l’Italie et de 10 millions par Bruxelles, le dialogue avec la Tunisie a pu se rouvrir sur la base d’un double engagement : du côté européen, débloquer les fonds pour la coopération, en particulier dans les zones les plus défavorisées, et inciter les investissements privés de façon à contrer la crise économique ; du côté tunisien, la promesse de repositionner en mer des bateaux de patrouille et doter les garde côtes de radars pour bloquer les départs à leur source. Pour le ministre Luigi Di Maio ‘’toutes les personnes arrivant en Italie de façon irrégulière ne pourront pas espérer à une régularisation mais seulement à un rapatriement’’. La ministre de l’Intérieur, Luciana Lamorgese, réitérant l’engagement de l’Italie en première ligne pour soutenir la Tunisie à travers des actions concrètes, a souligné cependant qu’un effort supplémentaire se révèle nécessaire pour combattre le trafic des migrants. Dans ce contexte, les protestations des ressortissants tunisiens qui aspirent à quitter leur pays commencent à se lever, voyant en cet accord une entrave à leur liberté de mouvement et à leur droit de partir. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Luigi Di Maio : "Il n’y a pas de place pour quiconque arrive irrégulièrement en Italie."
Italie. Luigi Di Maio (M5S) : « Il n’y a pas de place pour quiconque arrive irrégulièrement en Italie, car entrer en fraude signifie l’expulsion. » :
http://www.fdesouche.com/1414261-italie-luigi-di-maio-il-...
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17/08/2020
" La crise de Salvini, leader d’un parti qui n’a plus de territoire."
Italie. Revue de presse.
Le Coronavirus, et notamment la décision du gouvernement de fermer les discothèques suite à la hausse de la courbe des contagions, domine les gros titres des médias italiens : « Le gouvernement ferme les discothèques » - ‘’Les masques obligatoires le soir. Hier 479 nouveaux cas positifs’’ (Corriere della Sera), « Le gouvernement arrête les danses et impose le masque à la ‘’movida’’ » - ‘’Les masques obligatoires de 18h à 6h’’ (La Repubblica), « Covid, la ligne dure sur les discothèques et la ‘’movida’’ nocturne » (La Stampa), « La Covid fait peur, stop aux danses.
LETTRE de Nicola Zingaretti à La Stampa « Ce n’est pas une alliance de gouvernement qui est en jeu mais la tenue du pays » : « Cher directeur, le choix du PD de former ce gouvernement a été clairvoyant. Il ne faut pas cacher les difficultés et les contradictions, mais sans ce gouvernement nous n’aurions pas su gérer la pandémie : Salvini l’aurait gérée comme Trump ou Bolsonaro. Pensons donc aux mois qui nous attendent : nous ne pouvons pas nous tromper. C’est la tenue du pays qui est en jeu. Il faut que les ressources du Recovery Fund soient utilisées sur des projets crédibles, concrets et avec une valeur stratégique. En ce moment, au Palais Chigi, on travaille en coordination avec Enzo Amendola pour avoir dès septembre un cadre de choix à faire. Le Recovery est l’occasion de rachat de l’Italie : recherche, innovation, école, capital humain, valorisation de nos talents, green economy, numérisation, modernisation de l’Administration publique et construction d’une nouvelle santé publique. Pour cette dernière, il faut activer le MES, qui est une ligne de financement bien plus avantageuse par rapport à la recherche de ressources sur le marché. Et il est sans conditions. Chaque jour de gaspillé est impardonnable ».
COMMENTAIRE, Corriere della Sera, A. Cazzullo, « Mais le PD a-t-il les idées claires ? » : « Le tournant approuvé par les militants du M5S à travers le feu vert à la formation d’alliances n’est pas seulement une affaire interne au Mouvement, mais elle concerne également le PD. Il rend légitime de se questionner sur le futur du ‘’parti du réformisme italien’’, ou sur ce qu’en restera après la naissance d’une alliance organique avec un mouvement qui était désigné comme étant populiste et antieuropéen jusqu’à il y a un an. En août 2019 cet inédit centre-gauche a vu alors le jour, profitant des erreurs de Matteo Salvini, de la volte-face de Matteo Renzi et des réticences des parlementaires, et dépassant les apparentes différences d’opinion. Le PD semble jusqu’à présent avoir changé d’avis sur de nombreuses questions, du leadership de Giuseppe Conte, à la gestion de la société Autostrade et la réduction du nombre des parlementaires. Peut-être qu’il changera sa position également sur d’autres thèmes centraux pour le M5S, comme le revenu de citoyenneté, le projet des grandes œuvres publiques, la réforme fiscale. Dans le contexte présent, le seul véritable moteur de cette alliance semble constitué par la tentative de maintenir la droite à l’opposition. Une action compréhensible mais insuffisante, qui se combine à la détermination conjointe de garder en vie la législature jusqu’en 2022 et de pouvoir choisir les modalités pour dépenser les milliards européens du fonds de relance. Le PD, réintroduit dans le gouvernement après la défaite électorale de 2018, devra cependant faire face à la réalité, ne pouvant pas ignorer l’importance du consensus et des résultats de l’action gouvernementale. »
SONDAGES, La Repubblica, I. Diamanti « La crise de Salvini, leader d’un parti qui n’a plus de territoire » : « L’ancien ministre est désormais davantage populaire au Centre qu’au Nord et, au niveau national, il est devancé en termes de popularité par le président de la région Vénétie, Luca Zaia (56% contre 39%). Le sondage, réalisé par Demos&Pi, nous dit à quel point la popularité de Salvini a baissé en un an (50% en 2019) ainsi que celle de son parti (de 35 à 26%). La Covid a obscurcit les raisons des peurs exploitées par la Ligue et cela représente la première cause de la baisse de popularité en termes électoraux. Salvini doit aussi affronter les problèmes internes au parti, le président vénitien Zaia étant de plus en plus populaire. Toutefois, même si en difficulté, la Ligue demeure le premier parti italien. L’électorat italien est incertain et instable. Tout peut changer ».
ARTICLE, La Stampa, N. Carratelli « Elections régionales, un tiers du pays ira voter, Conte et les jaunes-rouges misent sur un 3 partout » : « Au Palais Chigi et au siège du PD, le pronostic est le suivant : un ex-aequo. Un résultat qui irait bien à Conte, pour la tenue du gouvernement, et à Zingaretti pour son leadership. Bien sûr, une défaite en Ligurie serait cuisante, un nouvel échec de l’alliance avec le M5S. Pour le centre-droit, le succès en Ligurie et en Vénétie est donné pour acquis. Les Pouilles sont le vrai match ouvert. En Campanie, De Luca (PD) maintient son avantage. En Toscane, le candidat de centre-gauche garde lui aussi un avantage et peut compter sur sa région « rouge » par définition ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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"Nous voulons un gouvernement de patriotes."
Italie. Revue de presse.
"Nous voulons un gouvernement de patriotes."
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14/08/2020
"Le tournant de Di Maio qui change le M5S. Oui aux alliances."
Italie. Revue de presse.
ENTRETIEN de Giuseppe Conte, président du Conseil, « ‘’Les coupables seront punis. L’Etat dans la société Autostrade garantira plus de contrôles’’ », La Stampa : « ‘’Les mots du Président Mattarella représentent toujours une motivation pour nous pour garantir qu’une tragédie comparable à celle du Pont Morandi ne se répète plus. La participation de l’Etat dans la société Autostrade va dans cette direction, parce qu’elle contribuera à assurer plus de contrôles et de sécurité sur notre réseau. Sur l’entente entre Atlantia et la famille Benetton, il est important que tous les engagements pris dans la lettre du 14 juillet soient respectés. La procédure de contestation qui a été ouverte sera clôturée seulement au moment de la signature des relatifs accords. Le modèle pour le nouveau pont de Gênes a été gagnant. Avec le décret Simplifications, nous conférons des pouvoirs de gestion et d’exécution à toutes les stations adjugeantes avec la possibilité, si nécessaire, de nommer des commissaires, comme cela a été le cas ici à Gênes. Nous devons nous dépêcher, mais sous le signe de la transparence et de la légalité ’’. »
ARTICLE, Repubblica, A. Cuzzocrea, « Le tournant de Di Maio qui change le M5S. Oui aux alliances. ‘’Il est correct d’évoluer’’ » : « Le M5S semble avoir mis en place au cours des dernières semaines un changement de sa stratégie, intensifiant en premier lieu les relations avec le PD. C’est comme s’il avait mis de côté les doutes sur une entente ‘’à gauche’’, suggérée déjà l’année dernière par le fondateur du Mouvement, Beppe Grillo. Di Maio semble agir désormais comme un ‘’chef politique’’ : à propos des sujets soumis à votation sur la plateforme Rousseau concernant les ententes politiques et la possibilité d’éligibilité à un double mandat, Di Maio a annoncé qu’il exprimera son avis favorable dans les deux cas, déclarant que le ‘’Mouvement évolue et qu’il est en train de prendre conscience que la perte de personnes dotées d’une grande expérience, comme Virginia Raggi, pourrait lui être seulement néfaste’’. C’est un tournant pour le Mouvement, qui pourrait frayer un chemin aussi pour le dépassement des contraintes liées aux mandats des parlementaires et des conseillers ».
ARTICLE, Repubblica, C. Tito, « Du pacte avec Zingaretti naît un nouveau centre gauche. Mais maintenant Conte est plus faible » : « En attendant le résultat de la votation lancée sur la plateforme Rousseau, le choix de Luigi Di Maio semble déjà avoir été fait : un pacte construit secrètement au cours des dernières semaines pour transformer l’alliance gouvernementale entre M5S et PD en une coalition politique et électorale, afin de relancer le système bipolaire des partis, divisé entre centre droit et centre gauche. Selon le ministre des Affaires étrangères, cet accord serait la seule option viable, et pourrait représenter pour lui l’occasion parfaite pour reconquérir le leadership du Mouvement. Dans ce contexte, la figure du président du Conseil Conte semble avoir subi un affaiblissement à l’égard des forces qui le soutiennent. Le PD ne le considère plus le garant de la nouvelle loi proportionnelle qui était à la base du programme qui avait permis la constitution de l’exécutif il y a un an. Le feu vert au Fonds de relance en Europe a ouvert une nouvelle perspective pour la majorité : l’occasion de gérer pour trois ans 200 milliards d’euros oblige ses représentants à détecter de nouvelles formes de cohabitation politique et de nouveaux chemins qui puissent conduire à un équilibre interne au gouvernement jusqu’en 2022. Un front, celui entre le M5S et le PD, qui voit également la participation de Matteo Renzi, leader d’Italia Viva, qui s’est montré disponible, à la surprise des autres partenaires, à une intensification des contacts et à un renforcement de leur coopération ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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