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03/06/2008

Action: nous ne nous laisserons pas prendre notre langue maternelle.

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Aktion: Wir lassen uns unsere Muttersprache nicht nehmen! - Radiospots online!

pressekonferenz_muttersprache_30_05_2008.jpgMit dem Gesetzesdekret Nr. 574, vom 15.7.1988, wurde festgelegt, dass die deutsche Sprache in Süd-Tirol in allen Breichen des öffentlichen Lebens der italienischen Sprache gleichgestellt ist. Obgleich das Recht auf Gebrauch der deutschen Muttersprache somit seit nunmehr fast 20 Jahren gesetzlich bindend ist, sieht die Realität in Süd-Tirol vollkommen anders aus: Das Autonomiestatut wird in diesem wichtigen Bereich täglich außer Kraft gesetzt.
Die Bevölkerung in Süd-Tirol wird täglich mit Situationen konfrontiert, in denen dieses Recht einfach völlig ignoriert und man zum Verzicht auf die eigene Muttersprache genötigt wird. Mehr noch, wer auf die Ausübung seines Rechtes besteht, muss sich nicht selten Beschimpfungen und Beleidigungen gefallen lassen.

Voici la traduction que j'ai réalisée:

Action: nous ne nous laisserons pas prendre notre langue maternelle.

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Avec le décret-loi numéro 574, du 15 juillet 1988, il a été établi que la langue allemande est au Tyrol du Sud, dans tous les domaines de la vie publique, l'équivalent de la langue italienne. Bien que l'utilisation de la langue maternelle allemande est depuis presque vingt ans, de par la loi, contraignante; la réalité au Tyrol du Sud apparaît complètement différente: le statut d'autonomie n'est pas respecté.

La population du Tyrol du Sud est confrontée quotidiennement au fait que ses droits sont complètement ignorés et que l'on sera obligé de renoncer à sa langue maternelle. Encore plus, celui qui veut exercer son droit subit souvent des insultes et des injures.

 

Traduit depuis le site http://www.suedtiroler-freiheit.com/

30/05/2008

La voix du Nord de l'Europe.

            Dans cette nouvelle rubrique, je vous proposerai des informations sur les mouvements politiques du Nord de l’Europe en général, et du monde germanique en particulier. (Norvège, Danemark, Pays-Bas, Bavière, Suisse, Autriche) et notamment la traduction d’informations récoltées sur les sites des partis politiques patriotiques de ces pays.

17/05/2008

La Belgique expliquée.

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                                                                                                                                                                              par Lionel Baland

Au cours des derniers mois, la Belgique a fait beaucoup parler d’elle. Ces tensions, qui paraissent surgir de nulle part, existent en réalité depuis des siècles. Elles sont réapparues, de manière récurrente, au cours de l’histoire. Au sein de cet article, nous allons tenter de fournir des pistes afin de mieux comprendre cet imbroglio incompréhensible qu’est la Belgique.

Dans la Belgique de l’Antiquité vivent les Belges, une peuplade combattue par Jules César. Ensuite, la Belgique fait partie de l’Empire Romain. Lors des invasions germaniques, le pays est submergé par les tribus germaniques. Les langues germaniques s’imposent.

Pourtant, au fil des siècles, une frontière linguistique se forge. D’un côté de cette ligne fictive, les dialectes germaniques l’emportent définitivement sur le latin. De l’autre, les parlés latins reprennent le dessus sur les parlés germaniques.

 

Au XVIème siècle, le latin est remplacé en tant que langue de culture par le français, le néerlandais et l’allemand. Chaque village parle son dialecte latin ou germanique et doit se choisir une langue de culture. Les villages optent pour la langue de culture la plus proche de leur dialecte. Par exemple, un village de dialecte wallon (donc latin) choisit le français comme langue de culture.

 

Des exceptions existent : le village de Baelen qui parle un dialecte allemand décide de prendre le français comme langue de culture, car ce village situé sur la frontière linguistique est proche de Verviers, ville de dialecte latin et de langue de culture française. Des villes ou villages situés sur la frontière linguistique changent de dialecte au cours de l’histoire. Ils sont de dialecte wallon ou flamand, selon les époques.

 

Bruxelles est au départ une ville flamande. Une partie de la population, surtout au sein des couches sociales les plus élevées, parle le français à côté du flamand. C’est également le cas dans d’autres cités de Flandre et même à Maëstricht, ville qui se situe actuellement aux Pays-Bas.

 

En 1815, le congrès de Vienne construit un royaume des Pays-Bas qui comprend les actuels Pays-Bas et la Belgique. Le Luxembourg est octroyé au roi des Pays-Bas avec un statut particulier.

 

En 1830, la révolution belge éclate. Une guerre a lieu et les Néerlandais sont chassés du territoire. La Belgique est consacrée par les puissances internationales. Un roi est trouvé : il règne sous le nom de Léopold Ier. Il est prince allemand, marié avec une princesse anglaise qui est décédée. Il se marie avec la fille du roi des Français. En 1839, un traité régit les relations entre les Pays-Bas et la Belgique. La partie germanophone du Luxembourg devient un État indépendant qui revient au roi des Pays-Bas. La partie francophone du Luxembourg devient belge. Le découpage du Luxembourg entre la partie germanophone et  francophone ne se fait pas seulement sur ce critère et des territoires germanophones se trouvent en Belgique. C’est le cas de la ville d’Arlon.

 

La Belgique de 1830 étant une réaction contre les Pays-Bas, la langue qui prime au sein de l’État belge est le français. La Belgique est un territoire où, selon les régions, la population parle un dialecte de type flamand, latin, allemand ou luxembourgeois et où les langues de culture sont le néerlandais, l’allemand et le français. Á ces différentes composantes le français fut imposé par la bourgeoisie. Á l’école primaire, le français, le néerlandais ou l’allemand sont les langues utilisées. Les études secondaires et supérieures sont seulement possibles en français.

 

Á Bruxelles, ville d’origine flamande, un citoyen a le choix entre mettre son enfant à l’école primaire en français ou en néerlandais, sachant que les études d’un niveau supérieur sont seulement possibles en français. Ce phénomène conduit nombre de Bruxellois à choisir le français comme langue d’éducation pour leurs enfants. La cité se francise progressivement.

 

En Flandre naît, au cours du XIXème siècle, un mouvement nationaliste dont le fer de lance est  la flamandisation de la société et des instances officielles. En effet, comment un agriculteur flamand peut-il être par exemple jugé en français, langue qu’il ne comprend pas ? Le clivage est en premier lieu social. La bourgeoisie est en Flandre, comme dans le reste du pays, francophone. Le peuple en Flandre est de langue flamande.

 

Peu à peu, pas à pas, la conscience du peuple flamand s’aiguise. Hendrik Conscience publie en 1838 Le Lion des Flandres. Cet ouvrage retrace la lutte du peuple flamand, contre l’envahisseur français, et sa victoire lors de la bataille des Éperons d’Or (1302).

 

Lorsque la Première guerre mondiale éclate, les paysans flamands sont envoyés au front combattre les Allemands en étant dirigé par des officiers francophones.  De nombreux soldats flamands meurent car ils ne comprennent pas les ordres qui leurs sont donnés en français par des officiers francophones. D’autres flamands accueillent les Allemands en libérateurs.

 

Les nationalistes flamands enrôlés au sein de l’armée belge sont envoyés au casse-pipe. L’Etat belge est ainsi débarrassé de ces troublions. Les autres, ceux qui ont collaboré avec les Allemands, sont brisés par l’État belge au sortir de la Première guerre mondiale.

 

Lorsque la deuxième guerre mondiale éclate, l’État belge fait arrêter, alors qu’ils sont protégés par la constitution, les députés d’opposition ainsi que de nombreux opposants politiques. Face à l’avancée des troupes allemandes, ces gens sont refilés par l’État belge à la République française. Joris Van Severen, un des chefs de file du nationalisme flamand, est assassiné par des soldats français à Abbeville. Les autres déportés terminent leur périple dans les camps de concentration de la République.

 

Au sortir de la deuxième guerre mondiale, la répression aveugle s’abat sur les nationalistes flamands qui ont choisit de faire un bout de chemin avec l’Allemagne.

 

Mais dés la fin des années 40, le mouvement nationaliste flamand est reconstitué. Le combat se poursuit. Pendant que les nationalistes flamands engrangent des succès, la Flandre devient, au fil des ans, économiquement de plus en plus prospère. L’économie wallonne périclite. 

 

La Flandre prend de plus en plus de poids au sein de l’État belge, mais les zones de langue flamande reculent. De nombreux Bruxellois vont habiter dans la périphérie de Bruxelles, c’est-à-dire en Flandre et ne parlent pas le Flamand. Des communes flamandes de la périphérie bruxelloise sont peuplées de francophones qui refusent de s’exprimer en néerlandais lors de leurs contacts avec les autorités.

 

Bruxelles, devenue capitale de l’Union Européenne, attire de nombreux fonctionnaires et entreprises internationales. Ces ressortissants d’autres pays préfèrent parler le français, langue plus internationale et plus répandue, plutôt que le néerlandais.

 

Les revendications des nationalistes flamands sont tout à fait justifiées et ne sont pas extrémistes. Elles se limitent à la défense de la langue, de la culture et de l’identité flamande au sein de la Flandre et de Bruxelles. Quoi de plus légitime ?

 

Cet article est paru dans Synthèse nationale N°7.

 

1989.

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                                                                                                                                                                           par Lionel Baland

Les années qui se terminent par 89 ont cette particularité de voir advenir des événements majeurs qui influencent considérablement le siècle suivant. 1789: la révolution française. 1889 : la naissance d’Adolf Hitler. 1989: la chute du communisme. Au début de cette année 1989, qui pouvait prévoir l’effondrement, à l’instar d’un simple château de carte, de cet immense empire communiste qui avait placé la moitié de la planète en coupe réglée et était prêt à submerger l’autre moitié ?

1989, c’était il y a moins de vingt ans. Á cette époque, un terrible ennemi se dressait face à nous : le communisme. Depuis 70 ans,  la terreur rouge étendait ses tentacules sur le monde. En plein cœur de l’Europe,  un immense rideau de fer séparait le vieux continent en deux blocs antagonistes. Berlin, symbole de la division de l’Europe,  était coupée, elle aussi, en deux par un mur de la honte.

Derrière le rideau de fer, l’autre Europe était maintenue dans la terreur et l’asservissement. La misère matérielle y côtoyait la détresse morale. Les révoltes des peuples avaient été broyées par les chars du Pacte de Varsovie. Berlin-Est, Poznan, Budapest, Prague résonnaient comme des symboles de la liberté assassinée.

En Europe de l’Ouest, le communisme s’était engouffré dans toutes les brèches idéologiques du régime. Il avait introduit son poison venimeux au cœur de la société en utilisant les médias et l’enseignement. Il avait imposé ses raisonnements au monde occidental. Idéologiquement, l’Occident était déjà conquis.

Face à ce déferlement, seul une poignée de nationalistes et d’anticommunistes luttaient de toutes leurs forces dans un combat inégal dont l’issue laissait peu de doutes. Les Marxistes devaient l’emporter.

Pourtant, en cette fin des années 80, contre toute attente, les premières brèches apparaissent dans le système. La Pologne, foyer de toutes les résistances et la Hongrie connaissent des évolutions.

En juin 1989, Erich Honecker, dirigeant communiste de la République Démocratique Allemande, déclare, lors d’un voyage à Moscou, que le mur de Berlin est encore là pour cinquante ou cent ans. 

Neuf novembre 1989, Berlin-Est. 19h. Les autorités de la R.D.A. annoncent que les candidats à l’immigration peuvent, dés l’instant, passer à l’Ouest en utilisant tous les postes frontières. Personne n’ose y croire. Personne ne bouge.

21h30. Un jeune couple franchi le mur. Des milliers de gens s’engouffrent dans la brèche. Une marée humaine se lance à l’assaut du mur de Berlin. Le mur tombe. Au cours des semaines qui suivent, l’onde se propage à travers l’Europe de l’Est. Les démocraties populaires tombent. Le 25 décembre 1991, l’onde de choc atteint Moscou. L’U.R.S.S. s’effondre.  Le totalitarisme est mort.

Même si les nationalistes et anti-communistes de l’époque n’ont pu contrer ou juguler le communisme, celui-ci, miné de toutes parts s’est écroulé. La situation que nous connaissons à l’heure actuelle est similaire. Une idéologie totalitaire qui a pénétré tous les rouages de la société. Une situation qui apparaît désespérée aux yeux des nationalistes, des résultats électoraux souvent médiocres, une population amorphe qui se désintéresse de la situation générale.

Et pourtant, à l’instar de ce qui s’est passé il y a vingt ans avec le communisme, le système qui régit l’Europe occidentale est miné de toutes parts. Que les listes nationalistes obtiennent de bons scores ou des résultats médiocres lors des élections a une importance toute relative. La société actuelle est un échec cuisant. Ce système vermoulu s’effondrera, comme le communisme s’est effondré dans la honte et la famine, il y a vingt ans. Les faits nous donnerons raison.

Article paru dans Synthèse nationale N°8.

14/05/2008

Création d'un lien

13.05.2008.

Instauration d'un lien depuis le site de Synthèse nationale vers ce site.

09/05/2008

Synthèse nationale n°8

VERS UNE NOUVELLE DROITE POPULAIRE : Synthèse nationale n°8 1503192860.jpg

Au sommaire de ce nouveau numéro (n°8 - mai/juin 2008) de Synthèse nationale, la revue politique et culturelle nationale et identitaire :

- la situation actuelle de la droite nationale et sur la création de la Nouvelle Droite Populaire... (Robert Spieler, Jean-François Touzé, Bruno Mégret)

- l'écologie et la surpopulation... (Jean-Philippe Wagner, Francis Verdavoine-Bourget)

- Mai 1968 (Chantal Spieler, Patrick Gofman, Patrick Parment, Philippe Randa)

- les rubriques consacrées à l'actualité (Arnaud Raffard de Brienne, Pieter Kerstens, Jean-Claude Rolinat) ou à l'histoire (Lionel Baland, Pierre Descaves)

Et bien d'autres sujets traités...

124 pages, 12,00 €

http://synthesenationale.hautetfort.com/

Synthèse nationale N°7

Synth_se_7                               Synthèse nationale n°7 (mars-avril 2008),

12 €, 120 pages.

Dans ce numéro, vous retrouverez :

Lionel Baland, Odile Bonnivard, François Ferrier, Patrick Gofman, Roland Hélie, Patrick Parment, Martin Peltier, Arnaud Raffard de Brienne, Philippe Randa, Jean-Claude Rolinat, Chantal Spieler, Nicolas Tandler, Jean-François Touzé, Patricia Vayssière, Pierre Vial... et la revue des blogs.

Publications de Lionel Baland

Articles au sein de différentes publications:

Ardennes Magazine à Houffalize (Belgique)

Clin d'Oeil à Malmedy (Belgique - Groupe Vers l'Avenir)

La Libre Belgique - Gazette de Liège (Belgique)

Sud (Belgique - Organe de presse du mouvement politique Sud)

C4 (Liège - Belgique)

Reportage de guerre:

Publié dans le journal La Meuse (Liège - Belgique) du 12 octobre 1992.

La Presse rexiste (des débuts au 10 mai 1940) :

Mémoire de fin d'étude de journalisme.

Publié dans la Revue du CLHAM (Liège - Belgique).  

Travail cité à plusieurs reprises dans l'ouvrage de l'historien Mathieu Simons préfacé par le Professeur d'université liégeois Francis Balace Rex et l'ordre nouveau dans l'arrondissement de Verviers, 1935-45 paru aux Editions Vieux Temps à Andrimont en Belgique.

Publié aux éditions Deterna à Paris sous le titre : Léon Degrelle et la presse rexiste (1ère, 2ème et 3ème édition).

Réédition chez L'Æncre en 2021.

Dans ce cadre, réalisation de la préface de la réédition du livre La Révolution du XXème siècle de José Streel aux édition Déterna à Paris.

 Réédition chez L'Æncre en 2021.

Synthèse nationale:  http://synthesenationale.hautetfort.com

Synthèse nationale N°7 : La Belgique expliquée.

Synthèse nationale N°8 : 1989, lorsque l'inimaginable devint réalité.

Synthèse nationale N°9 : En Italie, l’Union des droites est possible.

Synthèse nationale N°10 : Autriche : les nationalistes sont de retour  /  La Transnistrie, un pays illégal.

Synthèse nationale N°11 : Joerg Haider, un mythe est né.

Synthèse nationale N°12 : L'UDC, premier parti de Suisse, dit "non" aux abus.

Synthèse nationale N°13 : Cologne : Pro Köln s'oppose à la construction d'une mosquée géante.

Synthèse nationale N°14 : Le vent du Nord gonfle le voile du nationalisme (I) : la Norvège / Congrès anti-islamisation de Cologne : un succès incontestable, malgré les entraves des autorités et de l'extrême-gauche.

Synthèse nationale N°15 : Le vent du Nord gonfle le voile du nationalisme (II) : le Danemark et Hambourg. / Voyage au pays de Jörg Haider, la Carinthie...

Synthèse nationale N°16 : Heinz-Christian Strache : la deuxième marche sur Vienne a débuté.  

Synthèse nationale N°17 : Russie Unie, le parti de Vladimir Poutine. / Espagne : la résistance identitaire fait irruption dans le paysage politique catalan… (En collaboration avec Enrique Ravello, directeur de la revue espagnole Identidad).

 

Synthèse nationale N°18 : Pia Kjærsgaard, la présidente du Parti du Peuple Danois, donne une interview au Vlaams Belang.

 

Synthèse nationale N°19 : Le nouveau nationalisme russe.

 

Synthèse nationale N°20 : Le Jobbik ou la nostalgie de la Grande Hongrie... / Hongrie : la répression antinationaliste pour cacher les manoeuvres antinationales d'un pouvoir mondialiste... 

 

Synthèse nationale N°21 : La longue route du nationalisme aux Pays-Bas.

 

Synthèse nationale N°22 : La longue route du nationalisme aux Pays-Bas (II).

 

Synthèse nationale 23 : Les partis nationalistes en Pologne après 1989 (en collaboration avec l'écrivain nationaliste polonais Michal Kowalczyk).

 

Synthèse nationale N°24 : Entretien avec le Président du parti nationaliste hongrois Jobbik Gabor Vona. / Un entretien exclusif avec la soeur de György  Budahazy, le prisonnier  politique le plus célèbre de Hongrie.

 

Synthèse nationale N°25 :  L'énigme Otto Rösch et la tache brune du SPÖ.

 

Synthèse nationale N°26 : Les racines brunes du Parti socialiste autrichien.

 

Synthèse nationale N°27 : Pierre Nothomb et la Grande Belgique.

 

Synthèse nationale N°28 : Jörg Haider, l'homme qui ébranla l'Europe.  / Jörg Haider  : répondre aux calomnies de la presse du système. / Interview à propos du livre Jörg Haider, le phénix. Histoire de la famille politique libérale et nationale en Autriche.

 

Synthèse nationale N°29 : Le livre La nouvelle colonisation de Filip Dewinter.

 

Synthèse nationale N°30 : Les racines du Parti social-chrétien autrichien.

 

Synthèse nationale N° 31 : L'Abbé Norbert Wallez.

 

Synthèse nationale N° 32 : Entretien avec Filip Dewinter.

 

Synthèse nationale N° 33 : Fernand Neuray, figure méconnue du nationalisme belge.

 

Synthèse nationale N° 34 : Samoobrona, la troisième voie agrarienne polonaise... (en collaboration avec l'écrivain nationaliste polonais Michal Kowalczyk).

  

Flash infos magazine:

 

Flash infos magazine N° 14: interview.

 

Magazine Non conforme: articles repris dans les N° 80, 81, 82, 83, 84.

 

Jörg Haider, le phénix. Histoire de la famille politique libérale et nationale en Autriche :

 

Parution aux Editions des Cimes à Paris. 192 pages de texte et 16 pages de photos.

 

Invité de l'écrivain Emmanuel Ratier au sein de son émission sur Radio Courtoisie à Paris.

 

L'hebdomadaire parisien Rivarol titre Jörg Haider a-t-il été assassiné ? et consacre une pleine page à une interview sur le livre par le rédacteur en chef Jérome Bourbon.

 

Interview parue sur Novopress et reprise en russe par un site Internet russe.

 

Le magazine Synthèse nationale N° 28 titre également à cette occasion sur le sujet.

 

Conférence en anglais avec traducteur en hongrois à Veröce en Hongrie lors du premier Festival boréal.

 

Invité de l'émission de Martial Bild sur Radio Courtoisie.

 

Donne une conférence lors de la Journée identitaire 2012 à l'invitation de Philippe Vardon.

 

Minute du 19 septembre 2012 titre Jörg Haider, le livre qui conteste la thèse officielle du décès et consacre une page et demi à son interview par le rédacteur en chef Patrick Cousteau.

 

Présent publie au sein de son numéro du 21 septembre 2012 un article de Rémi Fontaine consacré à la sortie du livre.

 

En octobre 2018, TV Libertés diffuse un reportage réalisé par Nicolas de Lamberterie pour cette chaîne sur la base de l'ouvrage Jörg Haider, le phénixhttps://vimeo.com/294580283

 

Minute :

 

Minute 2572 : article d'une page sous pseudonyme : Législatives aux Pays-Bas. Geert Wilders tire à boulets rouges sur l’Union européenne.

 

Minute 2585 : article d'une page : Tornade nationale-centriste sur la Flandre.

 

Minute 2604 : reportage d’un page  Avec Geert Wilders en Allemagne.

 

Ouvrage collectif Face à la crise : une autre Europe!

 

Participation à la rédaction, aux côtés de 30 personnalités françaises et européennes du courant national, du livre publié en 2012 à Paris aux Editions Les Bouquins de Synthèse nationale.

 

Revue du Centre d’Histoire et d’Archéologie Militaires (CLHAM) :

revue du CLHAM Fernand Desonay : des C.A.U.R. au maquis des Ardennes Belges, in : Bulletin d’Information du Centre Liègeois d’Histoire et d’Archéologie Militaires, n° 137, 2014, p. 63-66.

revue du CLHAM Rex en wallon : Joseph Mignolet et Amand Géradin, in : Bulletin d’Information du Centre Liègeois d’Histoire et d’Archéologie Militaires, n° 141, 2017, p. 65-70.

revue du CLHAM Fernand Neuray : figure de proue du nationalisme belge, in : Bulletin d'Information du Centre Liègeois d'Histoire et d'Archéologie Militaires, n° 142, 2017, p. 5-14.

revue du CLHAM L'écrivain liégeois Paul Gérardy a appartenu au Cercle Stefan George, comme Claus von Stauffenberg, le colonel qui a réalisé l'attentat contre Adolf Hitler, in : Bulletin d'Information du Centre Liègeois d'Histoire et d'Archéologie Militaires n° 158, 2024, p. 16-21. 

Xavier de Grunne, de Rex à la Résistance

Xavier de Grunne. De Rex à la Résistance, Godefroy de Bouillon, Paris, 2017.

Pierre Nothomb

Pierre Nothomb, collection Qui suis-je ?, Pardès, Paris, 2019.

La Légion nationale belge

La Légion nationale belge. De l'Ordre nouveau à la Résistance, collection Le devoir de mémoire, Ars Magna, Nantes, 2022.

Revue éléments

éléments Article collectif La fin du populisme de gauche paru au sein du numéro 178 (juin-juillet 2019)

éléments Allemagne : droite patriote (AfD) et gauche anti-immigration (BSW), numéro 210 (octobre-novembre 2024)

Expérience politique

Membre du P.S.C. (Parti Social Chrétien en Belgique francophone) de 1986 à 1993.

Candidat sur les listes de la Ligue.

Secrétaire fédéral du mouvement politique Sud. Siège au comité directeur du P.S.C. avec les ministres, suite à l'accord électoral P.S.C. - Sud. (1999 - 2000).

 

19/05/2025

25.000 personnes ce 9 novembre 2015 à Dresde pour PEGIDA.

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Allemagne. Saxe. Dresde. 25.000 personnes ont pris part au rassemblement de PEGIDA à Dresde ce lundi 9 novembre 2015. Les deux figures de proue du mouvement, Lutz Bachmann et Tatjana Festerling, ont parlé. Lutz Bachmann a abordé les différents événements historiques qui ont eu lieu un 9 novembre, notamment la Nuit de Cristal (1938) et la chute du Mur de Berlin (1989), mais aussi le fait que le 9 novembre 1969,un groupe terroriste d’extrême-gauche a mis une bombe avec minuterie qui miraculeusement n’a pas explosé dans un immeuble d’habitation juif à Berlin. Le 9 novembre 1967, des étudiants gauchistes de l’université de Hambourg ont placé une bannière qui a marqué le début du mouvement de 1968 qui a conduit à la souffrance et à la terreur en Allemagne. Le 9 novembre 1974, le membre emprisonné de l’organisation d’extrême-gauche RAF (Fraction Armée Rouge) Holger Meins est mort d’une grève de la faim. Le 9 novembre 1918, l’Empereur Guillaume II a abdiqué et Friedrich Ebert a pris en main les rênes du gouvernement. Le 9 novembre 1923, le putsch tenté à Munich par Adolf Hitler et Erich Ludendorff a échoué. En 2006, un centre juif a été ouvert à Munich, etc… 

Lutz Bachmann ajoute que le 9 novembre 1938 ne doit pas être oublié, le novembre le plus sombre de l’histoire allemande, selon lui, qui marque le passage de la lumière à l’ombre, de la hauteur aux abysses et du droit au non-droit. Il considère que le 9 novembre 1989 a pu avoir lieu car la population, malgré la répression, a oser montrer son visage.

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Pancartes de l'UKIP lors de la visite d'Angela Merkel et de François Hollande au Parlement Européen.

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Royaume-Uni et Union Européenne. Lors de la visite d'Angela Merkel et de François Hollande au Parlement Européen ce 7 octobre 2015, les députés européens ont placé ces pancartes : 

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"UKIP. EU référendum : votez afin de quitter. Libérez la Grande-Bretagne."

Italie : "Si la vague anti-système augmente."

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Italie. Revue de presse. 

COMMENTAIRE, La Repubblica, S. Folli « Si la vague anti-système augmente » : « Ce qui surprend le plus c’est le consensus constant dont bénéficie le M5S malgré les divisions et les polémiques, malgré une campagne de leur Chef Grillo un peu ternie. L’affaire De Luca en Campanie est la preuve que le renouvellement prêché sur le domaine de l’anti-corruption par le gouvernement n’a été pour l’instant qu’apparence ».  

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Umberto Bossi démissionne de la présidence de la Ligue du Nord.

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Italie. Umberto Bossi démissionne de la présidence de la Ligue du Nord, suite au scandale financier qui touche le parti. Sa décision est irrévocable. Elle a été prise lors d'un conseil fédéral qui s'est tenu jeudi ce 5 avril 2012  

Un triumvirat pourrait prendre la direction opérationnelle de la Ligue, composé de trois cadres du parti : Roberto Maroni (ex-ministre de l'Intérieur du gouvernement Berlusconi), Roberto Calderoli (ancien ministre de la Simplification des lois) et Manuela Dal Lago (ancienne présidente de la Province de Vicenza), annonce le journal milanais La Stampa. Peu de temps après l'annonce de la démission, le Conseil de la Ligue du Nord a déclaré avoir nommé Umberto Bossi "président du mouvement", un titre honorifique.