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13/06/2023

Le président du Vlaams Belang frappé au visage par un policier à Bruxelles.

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Belgique. Le président du Vlaams Belang et député Tom Van Grieken a été frappé au visage par un policier à Bruxelles lors d'une manifestation pour les soins de santé et le député du Vlaams Belang Ellen Samyn a été projeté au sol et aurait reçu un coup de genou de la part d'un policier :

https://twitter.com/vlbelang/status/1668549478578626560

"L’Italie sans Berlusconi." et "Meloni est consciente qu'après le deuil viendra l'instabilité."

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Italie. Revue de presse.

Le décès de Silvio Berlusconi monopolise les Unes - « L’Italie sans Berlusconi » (Corriere della Sera), « Le premier populiste » (La Repubblica), « Le rêve italien. Demain funérailles d’Etat à Milan » (Il Messaggero), « Adieu à Berlusconi, télévision, politique, justice : 40 ans sur le devant de la scène » (Sole 24 Ore), « Berlusconi et la République des bananes : condamné pour fraude fiscale et soupçonné d’avoir financé la mafia, les télévisions maintenant le béatifient » (Fatto Quotidiano).

COMMENTAIRE, Corriere della Sera, M. Franco « Le populisme et l’adhésion aux valeurs occidentales » : « Le fait que Silvio Berlusconi ait forgé non seulement le centre droit mais aussi, indirectement, l’opposition de gauche, fait peser l’incertitude sur le futur. Non seulement celles de Forza Italia –dont il était à la fois le dirigeant et le patron – mais aussi celles de toute la majorité et, en général, du système politique. La rapidité avec laquelle les plus fidèles ont déclaré vouloir incarner la continuité en son nom reflète cette incertitude. Cela renforce l’impression d’un électorat qui se sent orphelin. Le fait d’avoir su fédérer la galaxie anticommuniste a sans doute fait de Berlusconi le précurseur du populisme : un phénomène qui a été copié un peu partout, pas seulement en Italie. Toutefois, malgré la rhétorique antisystème, Berlusconi a gardé une adhésion ferme aux valeurs occidentales. Il est vrai aussi que son rôle dans le PPE et sa posture modérée sont des éléments que ni Meloni ni Salvini  ne parviennent à récupérer pleinement. C’est donc un électorat stratégique qui se retrouve aujourd’hui sans leader et qui sera difficilement récupéré automatiquement par ses alliés. Berlusconi représentait cet élément de stabilité et de garantie d’unité d’une coalition axée à droite. A partir d’aujourd’hui, la compétition entre Meloni et Salvini ne pourra plus compter sur la médiation du leader de Forza Italia mais uniquement celle de la famille et du ministre Tajani (Forza Italia). Pour le reste, la majorité se retrouvera avec un parti objectivement instable. Cela implique que Meloni et Salvini devront recalibrer leur propre identité. C’est là une opération qui sera conditionnée par les élections européennes. Ces dernières nous diront à quel point l’héritage berlusconien parvient à survivre ou s’il se dispersera dans les luttes intestines. »

ANALYSE, Repubblica, T. Ciriaco « Des craintes pour le gouvernement et Meloni est tenté par le parti unique » - « Elle se donne deux mois pour voir si Tajani est capable de tenir Forza Italia. La relation décisive avec Marina Berlusconi » : « Giorgia Meloni est littéralement sous le choc. Désemparée et amère. La mort de Silvio Berlusconi ne peut être qualifiée d'inattendue, mais elle n'en est pas moins soudaine. Et elle se transforme en un énorme problème pour l'exécutif. Forza Italia est en proie à un traumatisme destructeur. La présidente du Conseil choisit donc de gérer ces heures complexes dans un double registre. Elle vise la continuité, pour le côté officiel : pas de parti unique avant les élections européennes, c'est la ligne, avec Antonio Tajani à la tête de Forza Italia. L'option, en revanche, qu'elle évalue déjà confidentiellement envisage un accord entre les deux symboles et une liste unique pour 2024. Une sorte de nouveau PDL, embryon de cette fusion entre conservateurs et populaires qu'elle entend exporter de l'Italie à Bruxelles. Le seul moyen - surtout - d'éviter que l'éclatement de Forza Italia ne mette en péril le gouvernement. Meloni est consciente qu'après le deuil viendra l'instabilité. ‘’La ligne est que nous ne pensons qu'à gouverner’’, a-t-elle écrit à chaud à certains membres de son ‘’cercle magique’’. Elle attend que le fuseau horaire américain soit compatible et appelle Antonio Tajani : ‘’Vous devez envoyer un message de continuité’’. La solution idéale, qui ne prévoit aucun forcing : arriver aux élections européennes avec Tajani à la tête de Forza Italia et attendre pour construire ensuite un parti unique modéré.  Cependant, Forza Italia ressemble déjà à un champ de bataille. Et il est clair que le sort de Tajani dépendra en grande partie de la mesure dans laquelle la famille Berlusconi entend l'aider à ne pas s'effondrer. Sans le soutien moral et matériel de Marina Berlusconi, l’aînée, (l'argent est un enjeu décisif pour la survie du parti), FI n'a aucune chance de survivre à son fondateur. De cela, Meloni a l'intention de discuter avec elle, immédiatement après les funérailles. Le Palais Chigi craint que ce qui reste du berlusconisme ne devienne bientôt l'objet d'autres ‘’OPA’’ hostiles, non seulement de la part de Salvini, qui négocie depuis quelque temps avec des sénateurs, mais aussi de Matteo Renzi, bien décidé à bouleverser les équilibres. Pour cela, il y a le plan B de Meloni: le nouveau parti des conservateurs et des populaires. »

PREMIER PLAN, Corriere della Sera, de S. Montefiori, « L’hommage de Macron et de l’Europe, ‘’je perds un ami sincère’’ déclare Poutine » : « Les mots les plus sincères, parmi les grands pays fondateurs de l’UE, viennent de Paris ‘’avec le Cavaliere disparaît une figure majeure de l’Italie contemporaine, qui avait occupé le devant de la scène pendant de nombreuses années (…)’’ lit-on dans un communiqué de l’Elysée qui évoque aussi les liens de Silvio Berlusconi avec la France et le cheminement européen auquel il était attaché. Marine Le Pen rend hommage à un ‘’parcours fulgurent’’ alors que Nicole Sarkozy, l’ancien président qui avait pour Berlusconi une inimitié solide et réciproque, garde le silence. A gauche, les mots sans concession de Jack Lang se distinguent ‘’Certainement, Berlusconi était un homme de tempérament et de caractère. Son énergie hors pair, son esprit combattif et son intelligence tactique sont louables. Mais la mort d’un homme ne doit pas nous faire oublier la vérité des faits. (…) Berlusconi a tué le cinéma italien.’’ Des propos qui ne font plaisir ni aux amis de Berlusconi, ni au cinéma italien qui ne semble pas mort. L’ancien ministre français de la Culture revendique s’être battu contre ‘’La Cinq’’, la télé commerciale lancée en France par Berlusconi mais freinée par l’opposition politique. Le ton des réactions internationales varie en fonction des visions politiques, mais dans la plupart des cas la dimension hors du commun de l’ancien Président du Conseil est soulignée. George W. Bush ne ‘’s’ennuyait jamais avec Silvio’’ qui a ‘’renforcé les liens entre Italie et Etats-Unis’’, pour Tony Blair il était un ‘’leader compétent, attentif et fidèle à sa parole, malgré les nombreuses controverses. Un homme protégeant fièrement les intérêts de l’Italie mais toujours à la recherche de solution pragmatique à un problème compliqué’’. Parmi les hommages qui rendus, celui de Vladimir Poutine, extrêmement affectueux (‘’une personne chère, un véritable ami, une perte irréparable y compris pour la politique mondiale’’), est embarrassant en ce moment mais rappelle qu’à une autre époque, Poutine avait serré la main du président américain Bush grâce à la médiation de Silvio Berlusconi, lors du sommet historique de Pratica di Mare en 2002. Réaction bien loin de celle de l’Ukraine, où Berlusconi était persona non grata depuis son déplacement en Crimée en 2015. Si l’Allemagne s’est limitée à une phrase du porte-parole du chancelier Scholz, le président hongrois s’est davantage étendu dans un message twitter évoquant un ‘’grand combattant’’. Mark Rutte parle d’un homme politique ‘’surprenant et passionné’’. Les Présidentes de la Commission et du Parlement européen ont également réagi à cette disparition. Enfin, Netanyahu enfin a salué un ‘’grand ami d’Israël, toujours à nos côtés’’. »

ARTICLE, Sole 24 Ore, de M. Perrone, « Tunisie, les pressions de l’Italie, mais les Etats-Unis et le FMI ne cèdent pas » : « Le problème autour de la Tunisie reste bloqué au niveau du bras-de-fer entre Tunis et le FMI qui demande un plan de réformes avant de débloquer les fonds, un prêt massif d’1,9 milliards de dollars. Le vice-président du Conseil et ministre des Affaires étrangères Antonio Tajani tente à son tour d’assouplir la ligne des Etats-Unis, plaidant pour une ‘’solution pragmatique’’ : il faut d’abord injecter des fonds puis faire les réformes, ‘’pour la stabilité du pays et donc de la Méditerranée’’. Pour le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken, il faut d’abord que la Tunisie s’engage sur les réformes, avant de verser les fonds.  Il ne montre pas les signes d’ouverture et de dialogue avec la Tunisie auxquels appelle Tajani. La visite de Tajani doit notamment servir à préparer le terrain pour la visite de Giorgia Meloni en juillet, de l’Ukraine à l’Indopacifique en passant par le climat, sur la Tunisie les points de vue restent divergents. Les fonds mis sur la table par l’UE il y a quelques jours restent conditionnés aux négociations avec le FMI. Giorgia Meloni est toutefois déterminée à travailler pour obtenir un mémorandum d’entente signée par l’UE et la Tunisie au Conseil européen prévu fin juin. Du reste, malgré une légère inflexion des arrivées clandestines, les chiffres du ministère italien de l’Intérieur restent sans appel : 54 804 depuis le début de l’année, dont presque la moitié en provenance de Tunisie. Dans le contexte de la réforme du Pacte sur la migration et l’asile, l’objectif du gouvernement italien est d’insérer la Tunisie parmi les ‘’pays tiers sûrs’’, vers lesquels il sera possible de renvoyer les migrants qui n’auront pas le droit de rester sur le territoire européen. »

ARTICLE, Sole 24 Ore, M. Gaggi,  « Tajani : ‘’Kiev doit être intégré à l'OTAN’’. Le ministre des Affaires étrangères à Washington avec Blinken. La visite de la présidente du Conseil Meloni en juillet est en cours de préparation. » : « En cas de succès, la contre-offensive ukrainienne, en plus de renforcer la position de Kiev en vue des négociations, pourrait pousser Poutine à changer de cap en ouvrant la voie aux efforts diplomatiques. C'est ce qu'a déclaré le secrétaire d'État américain Antony Blinken lors d'une rencontre avec des journalistes à l'issue de la visite de notre ministre des affaires étrangères (et vice-président du Conseil) Antonio Tajani à Washington. M. Blinken a ajouté qu'entre-temps, le soutien devait être maximisé : ‘’Un soutien militaire pour donner, également à l'avenir, un fort pouvoir de dissuasion à Kiev face à la Russie. Mais aussi un soutien économique et politique, car l'Ukraine doit être capable de se projeter dans l'avenir et pas seulement de survivre’’.  M. Tajani a également réitéré le soutien total de l'Italie à Kiev et son engagement à travailler au niveau militaire, économique et politique pour parvenir à une "paix juste" qui ne récompense pas l'envahisseur. Il a soutenu fermement la nécessité d'avancer vers la création d'un ‘’Conseil OTAN-Ukraine, premier pas vers l'intégration : une adhésion opérationnelle pour renforcer également l'échange d'informations et l'échange politique’’. En bref, Tajani a apporté à Washington l'espoir européen que l'intégration de l'Ukraine dans l'UE soit soutenue par des garanties sécuritaires et économiques. Une préoccupation partagée par M. Blinken, même si, pour l'heure, les États-Unis visent avant tout des livraisons directes d'armes afin d'offrir à l'Ukraine de demain une sécurité fondée sur sa puissance militaire. La rencontre a eu lieu quelques heures après le décès de Silvio Berlusconi, et a contraint Tajani à écourter sa visite, sautant des réunions au Fonds monétaire et avec le Congrès et les autorités économiques. Elle a servi à préparer la visite de Meloni et à renforcer la coopération italo-américaine sur tous les fronts, à commencer par la Méditerranée, qui est cruciale pour les nombreuses crises en Afrique qui alimentent les flux migratoires. Sur la question du soutien à la Tunisie, qui risque le défaut de paiement et donc le chaos avec une nouvelle déstabilisation de l'Afrique du Nord, M. Blinken a déclaré au Corriere : ‘’Je partage les préoccupations de l'Italie et j'apprécie le travail accompli par la délégation européenne dirigée par Giorgia Meloni et Ursula von de Leyen. Nous voulons que la Tunisie se rétablisse, mais elle doit décider où elle veut aller’’. En bref, alors que le financement de 1,9 milliard de dollars du Fonds monétaire reste bloqué en attendant que le gouvernement tunisien prenne des mesures, les États-Unis demandent un signal que le président Saied n'a pas encore donné. »

ARTICLE, Sole 24 Ore, M. Valsania « La rencontre de Tajani avec Blinken : ‘’une solidarité stratégique entre l’Italie et les Etats-Unis’’» : « L'axe entre Washington et Rome est assuré par de solides relations économiques. Les États-Unis sont le premier partenaire commercial de l'Italie en dehors de l'UE, avec des échanges qui ont augmenté de 38% l'année dernière pour atteindre 90 milliards d'euros, et le troisième marché pour les exportations de produits italiens. Mais ce sont les urgences politiques qui dominent aujourd'hui. M. Tajani a réaffirmé l'"harmonie" avec Washington sur la guerre en Ukraine, pour une paix future juste et durable qui signifie "la liberté du peuple qui a souffert de l'invasion". Il a également décrit une unité de vues sur "la paix et la stabilité" dans la région indopacifique ainsi qu'en Méditerranée, à commencer par la Tunisie en crise qui est "une priorité" pour l'Italie. A. Blinken a déclaré qu'il admirait ‘’le leadership fort et fondé sur des principes" de la Présidente du Conseil Giorgia Meloni sur l'Ukraine. Meloni devrait se rendre prochainement à la Maison Blanche, peut-être en juillet, selon M. Tajani lui-même. Le secrétaire d'État américain a rappelé que l'Italie avait accueilli de nombreux réfugiés en provenance de Kiev. Il a souligné à son tour le soutien commun à la paix et à la stabilité en Afrique du Nord. En ce qui concerne la Tunisie, il a exprimé sa "préoccupation commune concernant la situation économique" et a salué le "travail accompli par l'Italie et l'UE" dans les négociations avec le pays, espérant que le gouvernement tunisien serait en mesure de parvenir à un accord sur les plans de réforme afin de recevoir l'aide nécessaire du Fonds monétaire international. A. Tajani a souligné l'engagement de l'Italie et de l'Europe à "ouvrir la voie à un accord" avec le FMI.   Le dialogue s'est poursuivi. M. Blinken a rappelé que l'Italie sera à la tête du G7 en 2024, citant de nombreuses questions majeures sur la scène mondiale, de la sauvegarde de la démocratie à la sécurité climatique et alimentaire, parmi les questions qui peuvent être abordées en tant que "partenaires très proches". »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Article de Lionel Baland : "Allemagne : un front transversal entre les nationalistes et la gauche patriote ?"

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Allemagne.  Un front transversal entre les nationalistes et la gauche patriote ? Histoire du front transversal, depuis les années 1920 jusqu'à nos jours, en passant par la fondation  du national-bolchévisme ainsi que la création du parti écologiste en 1980 :

https://www.breizh-info.com/2023/06/13/221273/allemagne-u...

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Publiée sous la direction d'Ernst Niekisch, Widerstand comprend des articles des frères Ernst et Friedrich Georg Jünger.

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Ernst Niekisch

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Karl Otto Paetel

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Le parti écologiste Die Grünen, né en 1980, est issu d'un front transversal

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Sahra Wagenknecht

12/06/2023

Des cadres importants du parti post-communiste Die Linke s’opposent à la prise de position de ce parti à l’encontre de Sahra Wagenknecht.

Allemagne. Des cadres importants du parti post-communiste Die Linke s’opposent à la prise de position de ce parti à l’encontre de Sahra Wagenknecht.

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Sahra Wagenknecht

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/06/11/l-a...)

Les nationalistes de l'AfD sont donnés premiers en vue des élections municipales de juin 2024 en Saxe, avec 27 %.

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Allemagne. Saxe. Les nationalistes de l'AfD sont donnés premiers en vue des élections municipales de juin 2024 en Saxe, avec 27 %.

(sondage actuel à gauche, élections de 2019 à droite)

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CDU : démocrates-chrétiens

Die Linke : post-communistes

SPD : sociaux-démocrates

AfD : nationalistes

FDP : libéraux

Grüne : écologistes

Électeurs libres

pirates

Die Partei : satirique

autres

(https://www.wahlkreisprognose.de/2023/06/12/sachsen-afd-bei-kommunal-und-landtagswahlen-vorn-cdu-in-schlagdistanz/)

Les nationalistes de l’AfD sont donnés premiers à Dresde et Chemnitz en vue de l’élection, en juin 2024, des conseils municipaux.

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Allemagne. Saxe. Les nationalistes de l’AfD sont donnés premiers à Dresde et Chemnitz en vue de l’élection, en juin 2024, des conseils municipaux.

(https://www.wahlkreisprognose.de/2023/06/12/sachsen-afd-bei-kommunal-und-landtagswahlen-vorn-cdu-in-schlagdistanz/)

Saxe : l'AfD donnée à 32,5 %.

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Allemagne. Saxe. Les nationalistes de l'AfD sont donnés premiers à 32,5 % pour les élections pour le Parlement de Saxe prévues à l'automne 2024.

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CDU : démocrates-chrétiens

AfD : nationalistes

Die Linke : post-communistes

SPD : sociaux-démocrates

Grüne : écologistes

FDP : libéraux

Autres

(https://www.wahlkreisprognose.de/2023/06/12/sachsen-afd-bei-kommunal-und-landtagswahlen-vorn-cdu-in-schlagdistanz/)

Selon la ZDF, les scores élevés de l'AfD dans l'Est de l'Allemagne dissuadent les travailleurs qualifiés d'y aller travailler.

Allemagne. La chaîne publique allemande de télévision ZDF affirme que, si l’Est de l’Allemagne manque de travailleurs qualifiés, c’est à cause des salaires qui ne sont pas assez élevés et parce que le parti nationaliste AfD a augmenté ses scores dans les sondages : « La force de l'AfD dans les sondages en a dissuadé beaucoup de se déplacer vers l'Est. »

(Vidéo, à partir de 6’39’’ : https://www.zdf.de/nachrichten/heute-19-uhr/heute-19-uhr-...

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Les médias du régime semblent oublier que Silvio Berlusconi était lié au dirigeant socialiste Bettino Craxi.

En 1984, Bettino Craxi est devenu le parrain de Barbara Berlusconi. En 1990, lors de la célébration du mariage de Silvio Berlusconi avec Veronica Lario, Anna, l’épouse de Bettino Craxi, et Gianni Letta ont été les témoins de la mariée, tandis que Bettino Craxi et Fedele Confalonieri l'ont été pour le marié.
 
Suite au fait que le système politique a été empoté par l’ « Opération mains propres » au début des années 1990, Berlusconi a eu peur que les communistes arrivent au pouvoir et démantèlent son empire de presse. Il a donc soutenu les néo-fascistes du MSI, puis se rendant compte que ces derniers ne pouvaient pas obtenir une majorité, a lancé un parti dénommé Forza Italia dont l’hégémonie culturelle est celle d’une entreprise.
 
Il a mis ensuite en place une coalition avec les autonomistes/indépendantistes de la Ligue du Nord et avec les néo-fascistes du MSI, devenant les post-fascistes de l’Alliance nationale.
 
Le grand changement a résidé dans le fait que le centre-droit berlusconien a accepté des alliances avec le MSI/Alliance nationale et la Ligue du Nord, alors que l’ancienne démocratie-chrétienne l’évitait, préférant s’allier aux autres partis du système, le dirigeant démocrate-chrétien Aldo Moro, assassiné par les Brigades rouges, envisageant même un rapprochement – dénommé « Compromis historique » – avec les communistes.
 
Ce changement, voyant une alliance entre le centre-droit et les nationalistes, a aussi eu lieu en Autriche en 2000. En France, en Belgique et en Allemagne, il n’a toujours pas vu le jour, les partis nationalistes y étant maintenus systématiquement hors d’alliances avec le centre-droit.
 
En 2008, j’avais publié dans le magazine français Synthèse nationale, n° 9, un article intitulé « En Italie, l’union des droite est possible. » Je pense que le qualificatif qui peut être lié au nom de Silvio Berlusconi est « l’insubmersible », car il ne coulait jamais politiquement, malgré les écueils qu’il a rencontrés.
 
Lionel Baland
 

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Bettino Craxi et Silvio Berlusconi

"Décès de Silvio Berlusconi et mission à Tunis." et "Le consensus pour l’envoi d’armes à Kiev augmente, les électeurs de Fratelli d’Italia sont parmi les plus réticents."

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Italie. Revue de presse.

La mission, hier, à Tunis, de la Présidente de la Commission Européenne U. von der Leyen, de la Présidente du Conseil italienne G. Meloni et du Premier ministre des Pays-Bas M. Rutte en vue d'un accord sur les conditions d'un soutien financier pour lutter contre la l’immigration clandestine fait les gros titres « Migrants, entente à moitié » (Corriere della Sera), « La Tunisie prend de court Meloni et l’UE : « non à l’échange argent-migrants » » (La Stampa).

Les JT couvrent essentiellement le décès de Silvio Berlusconi, survenue ce matin, à travers des éditions spéciales sur les différentes chaînes. La mission à Tunis de la Présidente de la Commission Européenne U. von der Leyen, de la Présidente du Conseil G. Meloni et du Premier ministre des Pays-Bas M. Rutte, et la contre-offensive ukrainienne sont également citées.

Le décès de Silvio Berlusconi ce matin à l'hôpital San Raffaele de Milan domine le fil d'actualité sur Twitter, avec de très nombreux messages de condoléances pour sa disparition, tant de la part des membres du gouvernement et alliés politiques du président de Forza Italia et ancien président du Conseil, que des représentants de l'opposition. L’hashtag #SilvioBerlusconi domine.

PREMIER PLAN, La Stampa, di F. Olivo, « La Tunisie à l’Europe ‘’nous n’acceptons pas de migrants en échange d’argent’’ » : « Après une déclaration conjointe en vue d’un futur mémorandum d’entente, l’hôte tunisien refroidit l’atmosphère : ‘’nous n’acceptons pas de migrants en échange d’argent’’. L’Union européenne s’est présentée au Palais présidentiel avec 150 millions d’euros destinés aux caisses sinistrées de l’Etat tunisien, plus 100 millions d’euros pour le contrôle de l’immigration irrégulière. En cas d’accord avec Washington, l’UE est prête à une intervention plus massive. Giorgia Meloni est retournée en Tunisie après cinq jours seulement, cette fois accompagnée de deux partenaires jugés stratégiques en vue du Conseil européen à la fin du mois qui devra aborder la question migratoire : Ursula von der Leyen et Mark Rutte. ‘’Nous ne serons pas la garde de frontière des autres Etats’’ a dit le président tunisien avant l’arrivée du trio avant de le répéter dans un communiqué à l’issue de leur visite : ‘’la solution soutenue secrètement par certains d’accueillir les migrants en Tunisie en échange de sommes d’argent est inhumaine et inacceptable’’. La rencontre a lieu à l’écart de la presse, les journalistes ne sont pas admis et les déclarations à l’issue des trois leaders européens sont diffusées en streaming sans possibilité de poser de questions. C’est une décision explicite de la présidence tunisienne. Comme lors de la visite précédente, mardi dernier, Giorgia Meloni évite ensuite de rencontrer les journalistes à l’Ambassade d’Italie, peut-être pour éviter l’embarras avec les hôtes peu sensibles à la liberté de la presse. Giorgia Meloni annonce que ‘’Rome sera prête à organiser la conférence internationale sur l’immigration et le développement’’. Von der Leyen donne quelques précisions sur les négociations en cours ‘’La Commission européenne déterminera l’assistance macro financière dès que l’accord nécessaire aura été trouvé. Nous sommes prêts à mobiliser jusqu’à 900 millions d’euros, en plus du soutien au budget de l’Etat des 150 millions’’. Mark Rutte est le seul à soulever de façon nette la question des droits de l’homme. La droite se réjouit de cette mission, ‘’nouveau succès important pour la politique étrangère italienne’’. Un triomphalisme qui ne convainc pas l’opposition ‘’sur l’immigration il n’y a aucun changement majeur’’ dit le leader du M5S Giuseppe Conte. ‘’Aucune institution italienne ou européenne ne peut ignorer une telle violation des libertés démocratiques et des droits de l’homme’’ critique Laura Boldrini du Parti démocrate. »

COULISSES, La Stampa, « Le leader arabe fait encore monter le prix mais les pays du Nord s’y opposent » : « Face aux trois leaders arrivés d’Europe, le président tunisien s’est voulu clair ‘’vous venez ici pour les migrants. Mais la Tunisie ne sera pas votre garde de frontière’’. Le leader, connu pour sa rhétorique vive voire agressive, a relativement baissé le ton vis-à-vis de la délégation reçue hier. En privé, il s’est dit disponible au dialogue, notamment grâce au travail diplomatique mis en œuvre par l’Italie depuis plusieurs mois. Saied est un interlocuteur compliqué et sa conduite d’hier le montre. Après avoir reçu les trois dirigeants, il n’est pas présent lors des déclarations à l’issue de la rencontre puis remet les compteurs à zéro avec un communiqué refroidissant les attentes européennes. Saied ne cède rien sur les réformes demandées par le FMI, invoquant le risque de révoltes sociales ingérables, une analyse que la diplomatie italienne comprend et, de fait, partage. Si d’une part Saied s’adresse à l’opinion tunisienne en refusant brutalement l’offre de la délégation européenne, d’après Rome c’est aussi une manière de faire monter son prix. A ce stade, les fonds offerts par Bruxelles sont trop peu, ‘’c’est un habile négociateur’’ disent des sources proches du gouvernement. Le triomphalisme de la droite italienne vient du fait que la présence de von der Leyen et Rutte montre que la Tunisie n’est pas seulement le problème de l’Italie. Meloni pense qu’avec la visite d’hier elle a un atout en vue du Conseil européen de la fin du mois. Mais de lourdes inconnues persistent, à commencer par la réticence des pays du Nord à débourser près d’un milliard d’euros pour les caisses d’un président aussi controversé. Bien que dérisoire, Saied a apprécié la somme déjà mise sur la table, un signal clair y compris pour les Etats-Unis : pour l’UE il s’agit d’une région stratégique. Depuis 2023, après l’élection du gouvernement de droite, les arrivées clandestines en Italie en provenance de Tunisie ont bondi, dépassant largement les chiffres pour lesquels, sous Mario Draghi, Giorgia Meloni et Matteo Salvini demandaient la démission de l’ex-ministre de l’Intérieur Luciana Lamorgese. Il y a urgence donc. Antonio Tajani, vice-président du Conseil et ministre des Affaires étrangères revendique le mérite d’avoir rétabli le contact avec le chef d’Etat isolé. »

ENCADRE, La Stampa, « ‘’Les fonds seront conditionnés aux réformes’’ la négociation de Tajani (Forza Italia) à Washington » : « La proposition italienne sur la crise en Tunisie de verser une première tranche de financements du FMI maintenant et de conditionner la suivante à la réalisation des réformes, sera au cœur de la visite de trois jours d’Antonio Tajani aux Etats-Unis. Il rencontrera le secrétaire d’Etat Antony Blinken et la directrice du FMI. L’Italie avance selon deux axes : convaincre Saied de mener les réformes nécessaires pour moderniser son pays, et assouplir la rigide position du FMI et des Etats-Unis qui demandent des garanties sur le plan des droits humains. Ce dialogue s’insère dans le cadre plus large de la stratégie pour consolider la coordination avec les alliés américains sur les principaux dossiers internationaux. L’Afrique et la Méditerranée donc, mais aussi l’Ukraine et le Moyen-Orient, la Chine et l’Indopacifique. »

ANALYSE, La Repubblica, C. Tito « Le voyage en Tunisie de von der Leyen inquiète les Pays du Nord, notamment sur le respect des droits » : « Le message de la Présidente de la Commission à la veille de sa mission à Tunis était très simple ‘’ce sera juste une courte rencontre’’, afin de relativiser son importance. L’objectif était notamment d’apaiser le mécontentement de plusieurs gouvernements de l’Union, notamment des pays du Nord, car les méthodes du dirigeant tunisien Saïed ne plaisent à personnes et sont même inacceptables pour certaines chancelleries européennes. Certains ont déploré un ‘’double jeu d’Ursula’’. En effet, la campagne électorale a commencé aussi pour von der Leyen, qui brigue un second mandat. A ce stade, la Présidente de la Commission ne veut contrarier personne, pas même l’Italie de Meloni. On reproche alors à von der Leyen d’offrir la visibilité réclamée par Giorgia Meloni. La présence du Premier ministre hollandais Mark Rutte – qui représentait aussi un peu l’Allemagne du social-démocratique Scholz – s’explique aussi par la volonté veiller à ce qu’il n’y ait pas de concessions disproportionnées en reconnaissant la légitimité démocratique de Saïed. Si le FMI réclame des garanties sur les réformes économiques pour le versement de ses fonds, l’Europe demande pour sa part des garanties sur le respect de l’Etat de droit. A moins d’un an des élections européennes, le dossier migratoire s’invite dans la compétition politique. L’enjeu concerne les plus hautes charges institutionnelles de l’Union Européenne et personne ne souhaite contribuer à la campagne du gouvernement de droite de Giorgia Meloni. »

ENTRETIEN, il Messaggero, Guido Crosetto (Frères d’Italie), ministre de la Défense, « Les États-Unis doivent débloquer des fonds, l’Europe joue son avenir » : « L’Europe doit aider la Tunisie et l’Afrique ou elle n’aura pas d’avenir. Elle ne peut pas seulement se préoccuper de l’augmentation du nombre de débarquements sur ses côtes, elle doit aussi penser au destin d’un Continent qui, d’ici 15-20 ans, comptera 2 milliards d’habitants. Si l’Europe n’agit pas, elle abandonnera l’Afrique aux influences de la Russie et de la Chine, qui veulent l’exploiter comme le faisaient les colonialistes européens du siècle dernier. Le manque d’aides de la part de l’Occident ne met pas seulement la Tunisie en difficulté, mais l’Occident lui-même d’ici quelques années. En Afrique, la préoccupation première de l’OTAN est la déstabilisation du Sahel par le terrorisme et l’ingérence de puissances étrangères. L’immigration clandestine contrôlée par les organisations criminelles est un effet collatéral et nous en avons saisi la potentielle gravité parce que nous sommes la nation la plus proche.’’ »

ENTRETIEN, Corriere della Sera, F. Lollobrigida (Frères d’Italie), ministre de l’Agriculture, « Vis-à -is de l’UE, notre rôle est stratégique. Nous devons être pragmatiques avec la Tunisie » : « Aujourd’hui, l’Europe passe par l’Italie pour traiter avec l’Afrique et l’Afrique passe par l’Italie pour traiter avec l’Europe. Le gouvernement italien occupe un rôle stratégique dans la région méditerranéenne, et l’Europe lui en est reconnaissante. La mission de von der Leyen et Rutte, avec la médiation de Meloni, donne ainsi à l’Italie une position centrale dans les dynamiques européennes. Avec cet accord entre l’UE et la Tunisie, cette dernière peut enfin entrevoir de bonnes perspectives d’avenir. C’est une relation bilatérale permettant aux deux membres d’en tirer des avantages : le développement économique pour la Tunisie est un frein à l’immigration illégale pour nous. Le gouvernement italien a réussi à impliquer la Commission européenne sur le thème de l’immigration, une harmonie que nous ne connaissions pas depuis une dizaine d’année. Nous devons être pragmatiques avec la Tunisie, nous avons le devoir d’interagir avec un gouvernement reconnu et nous devons prendre compte le fait que les pays africains ont confiance en l’Italie. Si G. Meloni a refusé de s’exprimer devant des journalistes, cela ne l’empêche pas de donner des réponses dans les faits, avec transparence et sans fuir le débat. Le gouvernement a commencé à planifier des décrets-flux migratoires pour répondre aux exigences des entreprises, notamment en matière d’immigration légale. Avec l’Ambassadeur du Bangladesh, nous prévoyons l’instauration de flux d’immigrants qui viendront travailler en Italie avec en échange une facilitation des rapatriements des criminels ou de migrants clandestins. Concernant les missions de promotion des produits agroalimentaires italiens à l’étranger, nous travaillons beaucoup avec l’Afrique et notamment avec l’Algérie. Le continent possède 60 % des terres cultivables de la planète mais n’a pas les connaissances pour les rendre productives ».

SONDAGES, Repubblica, I. Diamanti « Le consensus pour l’envoi d’armes à Kiev augmente, les électeurs de Fratelli d’Italia sont parmi les plus réticents » : « La guerre en Ukraine dure depuis presque un an et demi et le débat politique en Italie reste tendu, y compris au sein des différents partis. Comme au PD avec la nomination du nouveau vice-chef de groupe à la Chambre Paolo Ciani, qui a affirmé que ‘’sur les armes à Kiev il est possible de changer d’avis’’, soulevant des critiques à l’intérieur et à l’extérieur du parti. Par ailleurs, l’opinion publique en Italie s’est montrée depuis le début incertaine et divisée. Un récent sondage IPSOS nous dit qu’en général, 50% des sondés se disent favorables à l’envoi d’aides militaires à l’Ukraine, avec une hausse d’un point par rapport à février dernier. En revanche, le maintien des sanctions contre Moscou connait une petite baisse, de 61 à 60%. 31% des sondés se disent contraires à toute forme de pression, militaire (à travers l’envoi d’armes) ou en faisant appel aux sanctions. Le sondage Ipsos met également en lumière l’orientation des sondés selon l’appartenance politique. Parmi les électeurs de Fratelli d’Italia, le soutien pour des aides militaires à Kiev est plutôt tiède (48%) alors qu’il est plus élevé chez les électeurs de Forza Italia (84%) et de la Ligue (53%). Concernant le maintien des sanctions contre la Russie, là aussi il y a des différences importantes : 53% pour les électeurs de Fdi, 65% pour les électeurs de Forza Italia et 66% pour les électeurs de la Ligue. Concernant les partis d’opposition, 60% des électeurs du PD sont favorables aux aides militaires et 80% se disent pour le maintien des sanctions, alors que pour le M5S les chiffres sont plus bas, respectivement 37% et 60%. Désormais, la guerre en Ukraine apparait moins proche qu’au début du conflit et il est de moins en moins au centre du débat politique. »

ENTRETIEN, La Repubblica, du Cardinal Matteo Zuppi, émissaire du Pape en Ukraine « Notre initiative de paix pour chercher une paix qui soit juste. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

En réaction à la percée de l'AfD à Sonneberg, le ministre-président post-communiste de Thuringe estime que cette circonscription a besoin de main d'oeuvre et de l'euro.

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Allemagne. Thuringe. Le ministre-président post-communiste (Die Linke) de Thuringe Bodo Ramelow estime, suite à l’arrivée en première position à l’issue du premier tour de scrutin du candidat de l’AfD lors de l’élection de l’administrateur de la circonscription de Sonneberg, que cette dernière a besoin de main d’œuvre et que le fait qu’un candidat d’un parti désirant sortir de l’euro obtienne ce résultat va à l’encontre des intérêts économiques de cette circonscription.

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/06/11/le-...)

Silvio Berlusconi est décédé.

Italie. Silvio Berlusconi est décédé.

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11/06/2023

Municipales au Luxembourg : Déi Konservativ n'a pas d'élu et l'ADR obtient 9 conseillers municipaux.

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Luxembourg. Lors des élections municipales, les patriotes de Déi Konservtiv se sont présentés dans 2 municipalités (Differdange et Pétange) et n’ont pas eu d’élu. Les conservateurs de l’ADR, favorables à l’Europe des nations, obtiennent 9 conseillers municipaux (les noms des municipalités sont écrits en luxembourgeois)

  • Patrick Kohn à Beetebuerg
  • Michel Lemaire  à Clierf
  • Rosella Spagnuolo à Diddeleng
  • Bernard Schmit à Esch-Uelzecht
  • Fernand Kartheiser à Käerjeng
  • Amilcar Caetano à Keel
  • Tom Weidig à Lëtzebuerg-Stad
  • Mara Schammo à Suessem
  • Jeff Engelen à Wëntger

[L’ADR est membre du Parti des conservateurs et réformistes européens (ECR), comme Frères d'Italie et Vox (Espagne).]

(https://adr.lu/adr-erfreet-iwwer-gutt-resultat-bei-de-gem...)

(https://elections.public.lu/fr/elections-communales/2023/...)

Les patriotes de l'AfD donnés à 20 %.

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Allemagne. Le meilleur sondage de la semaine pour le parti patriotique AfD, le donne deuxième du pays à 20 %.

(https://www.wahlrecht.de/umfragen/yougov.htm)

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SPD : sociaux-démocrates

CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens

Grüne : écologistes

FDP : libéraux

AfD : patriotes

Die Linke : post-communistes

Électeurs libres

Autres

20:34 Publié dans Web | Lien permanent | Commentaires (0)

Le candidat de l'AfD arrive premier lors du premier tour de l'élection de l'administrateur du district de Sonneberg.

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Allemagne. Thuringe. District de Sonneberg. Lors du premier tour de l'élection de l'administrateur du district, le candidat du parti nationaliste AfD arrive premier, avec 46,7 %, et affrontera, lors du deuxième tour, le candidat démocrate-chrétien de la CDU.

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Die Linke, Grüne : post-communistes, écologistes

AfD : patriotes

CDU : démocrates-chrétiens

SPD : sociaux-démocrates

(https://wahlen.thueringen.de/datenbank/wahl1/wahl.asp?wahlart=LR&wJahr=2023&zeigeErg=WK&wknr=072)

"Tu n'es pas encore membre ? Participe maintenant."

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Allemagne.

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"Tu n'es pas encore membre ? Participe maintenant."

Le parti social-démocrate autrichien estime que l’'immigration n'est pas un problème pour le moment.

Autriche. Le nouveau président du parti social-démocrate SPÖ Andreas Babler estime que l’'immigration n'est pas un problème pour le moment, du moins pas un gros problème. Selon lui, le nombre de demandes d’asile est désormais faible et d’autres problèmes, comme l’inflation, sont plus importants.

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(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/06/05/aut...)

BIW et Bündnis Deutschland fusionnent.

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Allemagne. Bürger in Wut, actif au sein de l’État de Brême et fondé il y a 19 ans par Jan Timke, fusionne avec Bündnis Deutschland. Les membres des deux partis ont voté, lors de deux scrutins séparés, en faveur de cette fusion. Le parti portera le nom Bündnis Deutschland.

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/05/15/l-a...)

Interview de László Toroczkai, président de Mi Hazánk, par Yann Vallerie.

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Hongrie. Interview du président de Mi Hazánk László Toroczkai par Yann Vallerie :

https://www.breizh-info.com/2023/06/09/221138/laszlo-toro...

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László Toroczkai

"L’avenir de Die Linke est un avenir sans Sahra Wagenknecht."

Allemagne. La direction du parti post-communiste Die Linke estime, à l’unanimité, que « L’avenir de Die Linke est un avenir sans Sahra Wagenknecht. » et appelle cette dernière à renoncer à son mandat de député.

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Sahra Wagenknecht

10/06/2023

Brandebourg : l'AfD donnée première, à égalité avec les sociaux-démocrates du SPD.

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Allemagne. Brandebourg. Les nationalistes de l'AfD sont donnés premiers, à égalité avec les sociaux-démocrates du SPD, pour les élections pour le Parlement de Brandebourg de septembre 2024.

(https://www.wahlrecht.de/umfragen/landtage/brandenburg.htm)

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SPD : sociaux-démocrates

AfD : nationalistes

CDU : démocrates-chrétiens

Grüne : écologistes

Die Linke : post-communiste

Électeurs libres

FDP : libéraux

Autres

La Hongrie est aux côtés de la Pologne dans son refus d'accepter le plan de l'Union Européenne de relocalisation de migrants.

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Hongrie et Pologne. La Hongrie est aux côtés de la Pologne dans son refus d'accepter le plan de l'Union Européenne de relocalisation de migrants et de payer les 22.000 euros par migrant non relocalisé.

Interview de Stephen Nikola Bartulica de Domovinski Pokret par Álvaro Peñas.

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Croatie. Interview de Stephen Nikola Bartulica de Domovinski Pokret par Álvaro Peñas :

https://www.breizh-info.com/2023/06/10/221230/croatie-nou...

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Stephen Nikola Bartulica

Sahra Wagenknecht ne répond pas à la question portant sur la création d’un nouveau parti politique.

Allemagne. Interrogée par Die Welt, la figure de proue post-communiste Sahra Wagenknecht s’est vue poser, à plusieurs reprises, des questions portant sur le fait qu’elle pourrait, éventuellement, créer un nouveau parti politique. Elle n’a pas apporté de réponse à cette question, tout en précisant que son rôle futur sera décidé avant la fin de l'année.

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Sahra Wagenknecht

(https://www.welt.de/politik/deutschland/video245777286/Sa...)

Flandre : les deux partis nationalistes donnés ensemble à plus de 44 %.

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Belgique. Flandre. Un sondage Het Laatste Nieuws, VTM NIEUWS, Le Soir et RTL donne le Vlaams Belang à 22,7 % et la N-VA à 21,8 %.

(Par rapport au sondage de mars 2023, le Vlaams Belang perd 2,3 points)

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(variations par rapport aux élections de 2019. Le scrutin aura lieu dans un an.)

Vlaams Belang : nationalistes flamands

N-VA : nationalistes flamands

Vooruit : socialistes, désirant s'attaquer à l'immigration incontrôlée

CD&V : démocrates-chrétiens

PvdA (PTB, en français) : marxistes

Open VlD : libéraux

écologistes

(https://www.hln.be/binnenland/de-grote-peiling-slechtste-...)