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21/06/2011

Retour volontaire au pays.

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Belgique. Flandre. Le Vlaams Belang a débuté ce 21 juin 2011 sa campagne intitulée « Retour satisfait au pays ». Selon le parti, les immigrants doivent pouvoir choisir entre l’assimilation et le retour au pays d’origine. Un fond, financé par l’argent accordé à l’aide au développement,doit être créé afin d’assurer le retour volontaire. Des dirigeants du parti ont distribué des tracts à Borgerhout, un quartier d’Anvers à forte proportion d’immigrés. 

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Le Vlaams Belang gagne devant le Conseil d’État.

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Belgique. Le Vlaams Belang a obtenu gain de cause devant le Conseil d'Etat. Le parti nationaliste flamand touchera sa dotation publique, malgré la tentative des partis francophones et du Sp.a (Parti socialiste flamand) de faire perdre au Vlaams Belang ses subventions publiques : http://www.rtbf.be/info/belgique/detail_le-conseil-d-etat...

Le PVV opposé à la subsidiation d'un festival multiculturel.

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Pays-Bas. Les Députés du PVV Van Klaveren et Driessen ont posé des questions au ministre des affaires étrangères à propos des subsides accordés à un festival multiculturel par la mairie d’Amsterdam. Ils ont demandé que la somme en question soit retirée de l’argent que le fond des communes (municipalités) donne à la ville d’Amsterdam.

L’Etat de police pensé par les nostalgiques de Mani Pulite prend forme.

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« L’illusion de tenir jusqu’à 2013 » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) : « Peu à peu, le cadre s’effiloche. L’enquête P4, l’arrestation de Lele Mora [agent d’acteurs proche de Berlusconi] bien que non politique, sont autant de mauvais signes pour le Cavaliere. S’agissant de Libye, les déclarations très nettes du chef de l’Etat contredisent la Ligue. Bref, tout évolue très vite. Berlusconi et Bossi, voulant achever la législature, se soutiennent l’un l’autre, chacun avec sa tactique – la Ligue a besoin d’adrénaline, d’où ses ‘ultimatums’ ‘incontournables’. Mais l’objectif de 2013, de plus en plus lointain, paraît, plus qu’un espoir, une illusion. A Pontida, les cris de ‘sécession’ ont surpris Bossi, traces d’un passé dont il s’est détaché – sachant notamment que son état de santé ne lui permet pas le retour à une ligne ‘révolutionnaire’. Pour la Ligue, aujourd’hui, dire ‘sécession’, c’est revenir à l’isolement et à la radicalité identitaire : la Padanie aux padans, en somme. Comme la droite isolationniste aux Etats-Unis, Bossi demande le retrait italien de la mission militaire en Libye, faisant un lien entre la guerre et les vagues de migrants sur nos côtes. Maroni pilote la ligne léghiste sur ce point bien plus délicat que le bras de fer grotesque sur le transfert de ministères au Nord. Le chef de l’Etat a rappelé les engagements internationaux pris par l’Italie – sous-entendu : on ne badine pas avec la politique étrangère. Autre sous-entendu : si l’on veut changer d’avis, c’est au Parlement d’en débattre. Autrement dit : gare au populisme – ce qui vaut aussi s’agissant des clandestins et de leur ‘refoulement’ en mer. Le ministre de l’Intérieur, dont le rôle s’étoffe après Pontida, sait la voie étroite mais mise sur un compromis possible, sur les réfugiés comme sur les frappes en Libye. En l’état, l’engagement italien dure jusqu’en septembre, après on verra. A l’automne, bien des problèmes se poseront, et dans tous les champs d’action du gouvernement. »

 

« L’incroyable enquête sur la P4 – Tous visés : Gelmini, Carfagna, Prestigiacomo, D’Alema, Bocchino etc. » (Alessandro Sallusti, Il Giornale) : « 19 000 pages d’écoutes : les enquêteurs napolitains ont battu un record, jetant la justice italienne dans un cercle incroyable. Tant d’efforts pour démontrer que Bisignani, lobbyiste au long cours, connaissait et parlait avec les gens importants : ministres, politiciens, journalistes, financiers. Il faisait son travail. En fait, il serait juste accusé de complicité (d’avoir informé certains, dont Letta, d’enquêtes en cours). Malgré tout, le procureur Woodcock sert toute cette paperasse à l’opinion, des ragots judiciaires qui deviennent en quelques jours une vraie bombe médiatique. Tel voit sa vie privée dévastée, tel autres son activité professionnelle : des mots en liberté, et des opinions qui deviennent condamnations sans qu’un indice ou une décision de justice ait prouvé quoi que ce soit. Outre le désir de spectacle et de notoriété, l’objectif est clair : déstabiliser, semer la confusion et faire peur. L’Etat de police pensé par les nostalgiques de Mani Pulite prend forme. A l’époque, la méthode était féroce : je te mets en prison et tu avoues. Aujourd’hui, elle n’est moins rude qu’en apparence : je te mets sur écoute des jours et des mois, je te déconsidère aux yeux de tes associés, de tes amis, de tes parents en révélant tout, qu’il y ait ou non délit. Un coup d’Etat judiciaire en règle. Nul n’en réchappe : un haut responsable (Letta), des ministres et sous-secrétaires (Gelmini, Prestigiacomo, Carfagna, Santanché), un opposant qui dérange (D’Alema), une étoile montante (Montezemolo) mais un seul mis en examen, Mauro Moretti, n°1 des Chemins de Fer. Pour tous les autres, aucune accusation. Le message des magistrats est clair : ici c’est nous qui commandons, c’est nous qui décidons qui arrêter. Et que personne n’essaie de résister ou alors des tiroirs il pourrait sortir de nouvelles bandes. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

20/06/2011

Timo Soini probable candidat aux élections présidentielles finlandaises de 2012.

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Finlande. À la fin d’octobre 2011, le Parti des vrais Finlandais se réunira afin de désigner son candidat pour les élections présidentielles de 2012. Timo Soini sera probablement le candidat désigné.

Retour satisfait au pays.

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Belgique. Flandre. Ce 20 juin 2011 a été donné le départ de la campagne du Vlaams Belang « Retour satisfait au pays».  L’objectif est de permettre aux migrants installés légalement en Belgique, mais qui ont la nostalgie de leur pays d’origine, de renter dans leur patrie. Les différentes possibilités de retour son présentées au sein du dépliant. La conférence de presse aura lieu ce mardi 21 juin 2011.

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Retour satisfait au pays.

Filip Dewinter reçoit le prix Oriana Fallaci à Milan.

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Ce 20 juin 2011, la figure de proue du Vlaams Belang (Flandre-Belgique) Filip Dewinter a reçu des mains d’Armando Manocchia, president de la foundation Una Via Per Oriana, le prix Oriana Fallaci. Cette distinction est remise annuelement à une personnalité qui s’est distinguée dans son combat pour l’islam. Oriana Fallaci était un journaliste italien qui a  écrit à la fin de sa vie des livres contre l’islam. Parmi les personnes qui ont reçu, dans le passé, le prix figurent Geert Wilders, Bat Ye’or, Robert Spencer et Alexandre del Valle. 

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Filip Dewinter reçoit le prix des mains d'Armando Manocchi.

Réunion perturbée à Biberist.

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Suisse. Des protestataires anti-UDC perturbent une réunion UDC :

 http://www.tdg.ch/depeches/suisse/protestataires-anti-udc...

L’UDC donnée à 28,7%.

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Selon le sondage Isopublic, publié par "Le Matin Dimanche" et la "SonntagsZeitung", l'UDC recueille 28,7% d'intentions de vote. Elle atteint de ce fait presque son record des élections législatives de 2007 de 28,9%. Le baromètre politique a été réalisé par l'Institut Isopublic auprès de 1255 électeurs en Suisse romande et en Suisse alémanique. La marge d'erreur est de 2,85%.

Pour saluer la visite à Paris de Vladimir Poutine :

203552_223420714342950_8011619_n.jpgMardi 21 juin, de 10 h 30 à 13 h 30, rendez-vous au Pont de l'Alma (côté 8ème arrondissement).

Le 21 Juin prochain doit avoir lieu Place du Canada l’inauguration du monument à la mémoire du Corps expéditionnaire russe qui s’est distingué aux côtés de nos armées lors de la Première Guerre mondiale.

Cette inauguration est pour nous le symbole fort de cette amitié qui unit nos peuples, amitié scellée par le sang versé.

Le Premier Ministre russe Vladimir POUTINE fera le déplacement, c’est, pour lui aussi une des marques de l’Histoire qu’il ne faut pas reléguer dans les tiroirs.

Le Collectif France Russie appelle ses ami(e)s à se réunir pour témoigner qu’une nouvelle fois, nous sommes présents et que nous n’avons pas oublié les sacrifices du peuple russe.

Le rendez-vous du Collectif est aux abords du Pont de l’ALMA (côté 8ème arrondissement) à 10h.30, nous irons ensuite en délégation jusqu’à la Place du Canada.

Longue vie à l’Amitié Franco Russe !

Venez avec des drapeaux russes et français !

Source : http://www.collectiffrancerussie.com/category/la-vie-du-c...

Pontida.

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« Même si Pontida n’est pas le jugement dernier, la suite reste obscure » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore de samedi) : « Pontida s’annonce ambigu. En un sens, Berlusconi a raison : ce ne sera pas la fin de l’alliance PdL-Ligue. L’activisme léghiste des dernières heures, de la Libye à l’intransigeance anti-immigration, donne le ton : Bossi n’a pas l’intention de rompre mais il lui faut des thèmes à brandir pour calmer sa base. De ce fait, la ‘vérification’ de mercredi au Parlement devrait être indolore et la pause estivale calme. Mais l’exécutif reste en proie à des contradictions de fond, de nature stratégique. Elles ont d’abord trait à la Ligue, mal à l’aise dans une alliance trop peu productive par rapport aux attentes alimentées dans la base. Le fédéralisme reste un objet mystérieux dont on ne sait quand il arrivera à améliorer la qualité de vie au Nord (tout ce qui intéresse la Ligue). Et l’angoisse est vive face aux 40 Md€ à économiser, comme l’exige l’UE, d’ici 2014. Entre les impératifs du pays et la faiblesse du président du Conseil, le fossé est grand. L’enquête en cours impliquant le palais Chigi suggère la fin d’une époque, à l’italienne, avec les magistrats aux portes. Même si Pontida ne marque pas l’heure du jugement dernier, la suite reste imprévisible. Le plan d’économies de Tremonti requiert un cadre politique fort et résolu et un leadership adapté – or rien de tel. Il n’y a pas assez de ressources pour la réforme fiscale évoquée, inspirée seulement par le besoin désespéré de l’axe PdL-Ligue de regagner du terrain. Conclusion : la crise reste virtuellement ouverte, même si Berlusconi survit à Pontida, et l’automne s’annonce lourd de périls. La cohésion nécessaire fait défaut. Napolitano l’a laissé clairement entendre : même sans exécutif d’union nationale, on doit pouvoir ‘œuvrer ensemble’ au bien commun face aux problèmes de fond. Ces derniers sautent aux yeux, mais où est passé l’esprit de responsabilité nationale ? ».

« Deux Ligues très indécises » (Ilvo Diamanti, La Repubblica) : « Hier, à Pontida, se sont affrontées deux Ligues cohabitant dans le même parti et souvent dans les mêmes personnes. L’image était éloquente : d’un côté, la Ligue de lutte et de protestation, les militants sur le pré criant ‘Sécession !’ ; de l’autre, la Ligue de gouvernement : le ‘mouvement révolutionnaire’ indépendantiste et le ‘parti normal’ institutionnalisé’. Bossi a exprimé les idées prudentes de la seconde avec le langage explicite de la première ; point de contact entre les deux : l’idée du ‘syndicat du Nord’ défendant les intérêts ‘padans’ (d’où l’attention portée aux éleveurs, l’appel insistant à baisser les impôts, la polémique contre la guerre en Libye, qui amène des migrants). Mais à Pontida les deux Ligues peinent à rester unies. Aux cris de ‘Sécession !’, Bossi répond, modestement, en promettant de transférer des ministères à Monza. Et la mise en garde lancée à Berlusconi (pas forcément candidat en 2013, dit Bossi) est faite pour la ‘Ligue d’opposition’ qui siffle le nom du Cavaliere et acclame ‘Maroni à Chigi’. Le message : la Ligue n’appuiera Berlusconi que s’il respecte les intérêts et revendications du syndicat du Nord – mais ces mots sont voués à être suivis de peu d’effet. Car les revendications nordistes sont impraticables : le simple transfert de ministères se heurte à des difficultés (la Ligue elle-même a voté le texte ‘Rome capitale’) ; idem pour la réforme fiscale, dans cette passe délicate au plan financier, sachant qu’il faut aussi ménager le Sud, vivier pour le PdL. En 1999, la Ligue, sécessionniste et isolée, plafonna à 3%. Voilà pourquoi Bossi lance des mots de lutte en usant d’arguments de gouvernement, tactiques : pas d’élections maintenant, car ‘la gauche gagnerait’ – sans compter, entre nous, le mal qu’aurait Bossi à convaincre les siens de quitter le gouvernement, et l’impact énorme qu’aurait au plan local une rupture de l’axe avec le PdL. D’où, à Pontida, un avenir flou : la Ligue d’opposition voudrait jouer seule contre tous, la Ligue de gouvernement n’y songe pas un instant, le syndicat du Nord pose à la majorité des conditions que le PdL ne peut accepter. Nul n’est assez fort pour s’imposer ni pour rompre. Ainsi l’exécutif – et le pays – sont-ils voués à naviguer à vue. Tant qu’ils y parviendront. »

(Traduction : ambassade de France à Rome).

19/06/2011

Le FA obtient un représentant au sein de Linz-AG.

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Autriche. Lors de l’élection du Conseil d’entreprise de Linz-AG, les 8 et 9 juin 2011, le FA, syndicat proche du FPÖ, obtient pour la première fois un représentant.

Conférence de presse du Jobbik avant la Gay Pride.

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Hongrie. Budapest. Dóra Dúró et Előd Novák du Jobbik ont tenu, dans la rue, une conférence de presse avant le début de la Gay Pride. Derrière eux se trouvaient trois membres de la Garde hongroise tenant un panneau sur lequel est écrit « Les autres peuvent marcher ». L’objet de la conférence de presse est de dénoncer la politique de double standard du gouvernement hongrois qui refuse les marches de la Garde hongroise mais autorise la Gay Pride.

Vladimir Poutine à Paris le 21 juin 2011.

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Le Premier ministre François Fillon, recevra M. Vladimir Poutine, président du Gouvernement de la Fédération de Russie

 

Mardi 21 juin 2011

 

Programme

 

Inauguration du monument à la mémoire du corps expéditionnaire russe de la Première guerre mondiale

 

9h30 : Hôtel de Matignon :

 

remise des badges à la presse (aucun badge ne sera remis sur le site)

départ de la presse en bus pour le Pont des Invalides (Angle cour de la Reine – Avenue Franklin Roosevelt)

11h00 : Pont des Invalides :

 

accueil de M. Vladimir Poutine, président du Gouvernement de la Fédération de Russie, par le Premier ministre

hymnes nationaux

revue des troupes

dévoilement du monument par un soldat français et un soldat russe

discours du Premier ministre

discours de M. Vladimir Poutine, président du Gouvernement de la Fédération de Russie

"Chant du départ" de l’armée russe

12h00 : Fin de la cérémonie :

 

départ de la presse pour l’Hôtel de Matignon

12h10 : Hôtel de Matignon : accueil de M. Vladimir Poutine, président du Gouvernement de la Fédération de Russie, par le Premier ministre - prise d’images

 

12h15 : Entretien avec M. Vladimir Poutine, président du Gouvernement de la Fédération de Russie

 

12h50 : Conférence de presse conjointe

 

 

13h20 : Déjeuner (hors presse)

18/06/2011

Timo Soini réélu à la tête du Parti des vrais Finlandais.

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Finlande. Lors du Congrès du Parti des Vrais Finlandais à Tampere, le 18 juin 2011,  Timo Soini a été réélu à la présidence du parti. 1.000 personnes ont participé au congrès. Timo Soini a émis le désir que plus de femmes soient inclues au sein de la direction du parti. Le Parti des Vrais Finlandais se trouve dans l’opposition. Six partis ont conclu un accord afin de constituer un gouvernement.

L’ADR donné à 8,4%.

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Luxembourg. Selon un sondage Sonndesfro réalisé pour le Tageblatt, l’ADR passerait de 6,31 à 8,4 % (par rapport à un précédent sondage) et obtiendrait un siège supplémentaire au sein du Parlement luxembourgeois. L'ADR détient 4 des 60 sièges au sein du Parlement luxembourgeois.

Retour sur la conférence de presse HC Strache-Marine Le Pen.

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Pourquoi la télévision publique autrichienne a-t-elle attaqué le Président du FPÖ Heinz-Christian Strache lors de la conférence qu’il a tenu en commun, au sein du Parlement européen de Strasbourg, avec Marine Le Pen ?

 

Les sondages politiques réalisés en mai 2011 donnaient le FPÖ en première position. Il s’agissait donc de ressortir, une fois de plus, le national-socialisme du placard, afin de placer le FPÖ hors du jeu politique.

 

Les écologistes ont fourni les munitions. Au sein de deux municipalités de Basse-Autriche, les écologistes ont proposé de supprimer la citoyenneté d’honneur d’Adolf Hitler, lors de la réunion des conseils municipaux de ces deux municipalités. Le FPÖ a refusé de participer à cette mascarade. En effet, Adolf Hitler n’est plus citoyen d’honneur de ces deux municipalités depuis la période de l’après-guerre.

 

Lors de la conférence de presse donnée par HC Strache et Marine Le Pen, un journaliste de l’ORF, la radiotélévision publique autrichienne, est venu avec cette histoire afin de tenter de discréditer le FPÖ, tant au niveau autrichien qu’européen.

 

Rappelons que, lorsqu’au début de l’année 2000, le FPÖ, dirigé à l’époque par Jörg Haider, est entré au sein du gouvernement autrichien dans une coalition avec les conservateurs, le parti social-démocrate autrichien (SPÖ) a lancé une campagne de diffamation à travers l’Europe afin que l’Autriche soit mise au ban des nations. L’Autriche a alors subi des sanctions internationales et européennes.

 

Quant au journaliste de l’ORF, il a déclaré, suite à cette affaire, qu’il « n’avait fait que son travail » (sic). Le sommet de l’hypocrisie revenant au journal allemand die Welt (Le Monde) qui a prétendu que les patriotes avaient créé un incident lors de la conférence de presse (http://www.welt.de/politik/ausland/article13420494/Rechtspopulisten-machen-Pressekonferenz-zum-Eklat.html).

Les Pays-Bas disent adieu au multiculturalisme.

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Pays-Bas. Un vent nouveau traverse l’Europe. Angela Merkel, David Cameron et Nicolas Sarkozy ont annoncé la faillite de la société multiculturelle.

 

Aux Pays-Bas, la politique de Geert Wilders commence à porter ses fruits. Le gouvernement CDA-VVD (Parti démocrate-chrétien - Parti libéral (de droite)) soutenu de l’extérieur par le PVV de Geert Wilders a mis officiellement fin à la société multiculturelle, au sein d'une note à propos de l’intégration.

 

Le Ministre des affaires étrangères CDA Piet Hein Donner dit que les immigrés doivent être eux-mêmes responsables de leur intégration. Le Premier ministre VVD Mark Rutte décrit l’idée de la société multiculturelle comme étant « une idée enterrée ».

 

Le gouvernement va combattre les mariages forcés et il y aura à partir du 1 janvier 2013 une interdiction du port de la burqa.  Les immigrants doivent apprendre le néerlandais et s’intégrer. Les subsides aux associations qui sabotent l’intégration seront réduits ou supprimés. Les valeurs néerlandaises seront placées au cœur de la nouvelle politique d’intégration.

Les Démocrates suédois donnés à 6,5%.

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Suède. Un sondage réalisé auprès de 1.000 personnes, par la société de sondage Skop, donne les Démocrates suédois à 6,5%, soit +0,6% par rapport au sondage précédent.

Nigel Farage à Paris : changement de lieu.

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La visite de Nigel Farage de l’UKIP (Royaume-Uni) à Paris, ce 20 juin 2011, aura lieu au 92 rue Saint-Dominique. Métro La Tour Maubourg. Organisation : Cercle Aristote.

17/06/2011

Un local loué pour une fête de l’UDC saccagé.

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Suisse. Un local loué pour une fête de l’UDC a été vandalisé : http://www.tdg.ch/inconnus-saccagent-local-loue-fete-udc-... 

9% des Allemands ont confiance en la politique.

Allemagne. La confiance des citoyens envers la politique en Allemagne est, d’après une étude du l’institut de sondage de Nuremberg GfK,  encore plus basse qu'avant. Seulement 9% des personnes interrogées ont encore confiance en la politique.

En attendant Pontida.

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« Bossi sibyllin, ses ultimatums trahissent ses difficultés » (Massimo Franco, Corriere) : « La Ligue entretient le suspense avant le rassemblement de Pontida et annonce que, pour la première fois, seul Bossi s’exprimera – pour faire taire les rumeurs sur un chef contesté dans une Ligue en proie à la tentation des courants. Objectif : suggérer que, même affaibli, le parti, a en main les clefs de l’exécutif et le sort de Berlusconi. Mais les déclarations de Bossi, rares et sibyllines, reflètent plutôt le mal qu’il éprouve à rompre avec le PdL, et plus la faiblesse et la frustration de la Ligue que son rôle stratégique. Au mieux peut-il espérer des concessions de Berlusconi à propos d’immigration ou de fin de la mission en Libye. Quand, hier, Bossi a baissé le pouce, geste interprété comme un indice possible de la fin de l’alliance, les ministres Ligue et Berlusconi ont démenti – mais si le second parle d’une attaque contre les médias, Maroni dit, mystérieux, ‘je vous renvoie à Pontida’, façon d’éveiller l’intérêt en élevant la tension. Hier, Bossi a arraché un durcissement des sanctions contre les clandestins et La Padania a titré ‘Stop à la guerre en Lybie’, mais c’est surtout pour prévenir la contestation à Pontida. A l’arrière-plan, l’enquête sur la ‘P4’ impliquant G. Letta ajoute une inconnue à celle ouverte par l’affrontement entre l’Etat et Lorenzo Bini Smaghi, membre du conseil exécutif de la BCE, à qui Berlusconi demande de se retirer (en faveur d’un Français) pour permettre la nomination de Mario Draghi à la présidence. Mais Bini Smaghi résiste et l’initiative, même si elle partait d’une bonne intention, risque d’ouvrir un contentieux aux effets imprévisibles. »

 

« Berlusconi : ‘J’aurais presque envie de quitter l’Italie’ » (A. La Mattina, La Stampa) : « Berlusconi sait que les ‘révélations’ de Bisignani feront du bruit, sent la nasse se resserrer autour de Gianni Letta et de lui-même et craint que certains ministres ne soient inquiétés. A Bossi, il dit que ce n’est pas le moment de poser des conditions intenables et l’autre l’aurait rassuré. Qu’on ne se méprenne pas sur son geste du pouce : la fin de l’exécutif n’est pas en vue à Pontida, même si Berlusconi répète qu’ils sont nombreux à vouloir sa tête – ‘mais ils ne l’auront pas’, ajoute-t-il, ‘car personne n’a d’alternative prête’. Objectif : passer l’été avec, au pire, des élections en avril 2012. L’idée est de survivre jusqu’à l’an prochain et de calmer la Ligue en lui jetant en pâture l’accord d’aujourd’hui entre Frattini et le CNT libyen pour la réadmission des migrants. Le plus gros cadeau fait à Bossi vient de Tremonti, qui a promis un assouplissement du pacte de stabilité pour les communes vertueuses – tout en expliquant que ce devrait être discuté à Bruxelles. Berlusconi devra aussi contenter Bossi par un nouveau mode de scrutin, mais c’est sur le front des missions militaires que le problème est le plus délicat – même si le Cavaliere assure, là encore, qu’une solution sera trouvée. Bref, il est sûr de sortir indemne du rassemblement léghiste du 19. Du reste, s’il n’avait reçu d’assurances de Bossi, la majorité n’aurait pas fixé un vote de confiance mercredi sur le texte développement. S’il tremble, c’est de l’enquête impliquant Letta, avec le risque qu’on publie des écoutes compromettantes. Il y voit une attaque à son encontre, comme à propos du rachat de Mondadori. ‘Si ce n’était pour mes enfants, j’aurais déjà tout vendu, Mondadori, Mediaset, et je serais parti !’, a-t-il confié ces jours-ci. On parle de Frattini pour le ministère de la justice. »

 

« Libye : assemblée des chefs de tribu à Rome » (Vincenzo Nigro, La Repubblica) : « Ni la guerre ni les bombardements n’arrivent à convaincre Kadhafi de quitter le pouvoir. De son côté, la diplomatie tente de dessiner l’après-Kadhafi. Frattini, chef de la diplomatie italienne, signera ce vendredi à Naples un accord sur l’immigration clandestine avec Jalil, président du CNT libyen. C’est le premier signe d’une disponibilité des rebelles à gérer avec les Italiens un phénomène de plus en plus accablant pour le gouvernement. L’accord, dont La Repubblica a eu connaissance, n’est pas un texte concrètement exécutoire, mais il paraît avoir une double signification politique : il confirme avant tout l’engagement de la Libye de l’après-Kadhafi contre le trafic d’êtres humains et il marque le succès de la Farnesina à impliquer les rebelles, en un sens, dans le débat politique intérieur italien. L’accord sera de nature à rassurer la Ligue et à permettre à l’exécutif de maintenir son implication dans les opérations militaires en Libye. Un texte, donc, immédiatement exploitable par la direction de la Ligue, qui pourra s’en prévaloir auprès de sa base à Pontida. ‘Les 25, 26 et 27 juin nous faciliterons l’organisation à Rome d’une Conférence du dialogue libyen à laquelle participeront environ 300 représentants de toutes les régions et de toutes les sensibilités politiques de Libye’, affirme Frattini. ‘Nous pensons que la feuille de route pour la construction d’un processus démocratique de nature à doter la Libye d’une constitution bien à elle et d’un processus de mise en place d’institutions démocratiques ne doit pas attendre la fin des opérations militaires’. L’idée de cette grande assemblée a été décidée le 12 juin, lors d’une réunion à Rome dont les principaux instigateurs sont l’ancien ambassadeur de Kadhafi à l’ONU et l’ambassadeur libyen à Rome. En attendant, Kadhafi est toujours là et les opérations militaires en Libye commencent à poser de sérieux problèmes aux gouvernements des Etats membres l’OTAN. »

 

(traduction : ambassade de France à Rome).

16/06/2011

Article du Courrier des Balkans sur la rencontre Strache-Nikolic.

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Autriche et Serbie. Article du Courrier des Balkans (le vocabulaire utilisé et la conclusion sont ceux de la presse du régime) sur la rencontre Strache-Nikolic  :

http://balkans.courriers.info/article17741.html

Des organisations nationalistes ont manifesté devant le Q.G. des services secrets hongrois.

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Hongrie. 300 personnes, membres du HVIM, de la Garde nationale hongroise, du Jobbik ont manifesté devant le siège des services secrets hongrois afin de dénoncer les attaques menées par cet organisme contre les organisations nationalistes. 

Le Député du Jobbik Tamás Sneider a déclaré que rien n’a changé en matière d’écoute depuis l’époque du communisme. Le Député du Jobbik Gyula Zagyva a demandé pourquoi les services secrets persécutent les patriotes qui défendent leur pays plutôt que des organisations qui trahissent leur pays. Le Président du HVIM et élu régional du Jobbik László Toroczkai a également pris la parole.