28/02/2024
Le député nationaliste bulgare de Renaissance Stanislav Stoyanov interrogé par TVLibertés.
Bulgarie. Entretien de Nicolas de Lamberterie sur TVLibertés avec le député nationaliste bulgare de Renaissance Stanislav Stoyanov :
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27/02/2024
Sardaigne : la candidate du M5S et du centre gauche gagne les élections régionales.
Italie. Sardaigne. La candidate du M5S et du centre gauche gagne, avec très peu de voix de différence, les élections régionales du 25 février face au candidat du centre droit. Au sein du centre droit, Forza Italia obtient plus de voix que la Ligue.
(https://www.corriere.it/elezioni/2024/regionali/sardegna/...)
22:14 | Lien permanent | Commentaires (0)
Un député de l'AfD refusé d'entrée dans la maison de Thomas Mann.
Allemagne. L'institution culturelle, financée par l'argent des impôts allemands, qui gère la maison de l’écrivain Thomas Mann à Los Angeles a refusé l'entrée à un député de l'AfD, alors qu’une visite était prévue dans le cadre d'un déplacement de la commission culturelle de la Chambre des députés aux États-Unis.
Thomas Mann
21:38 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'Association allemande des journalistes appelle les médias à dénoncer en permanence les intentions prétendument extrémistes de l'AfD.
Allemagne. L'Association allemande des journalistes (DJV) appelle les médias à dénoncer « en permanence » les intentions prétendument extrémistes de l'AfD en réaction à un article du Süddeutsche Zeitung, selon lequel le parti pourrait être classé comme « extrémiste de droite avéré » dans tout le pays : il faudrait que l'information figure dans les articles « comme un avertissement évident sur les paquets de cigarettes ».
En 2019, cette association estimait que l’origine ethnique des criminels d’origine étrangère devait être gardée, autant que possible, secrète.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/02/26/l-o...)
21:05 | Lien permanent | Commentaires (0)
"La Sardaigne punit Meloni."
Italie. Revue de presse.
Les élections régionales en Sardaigne, marquées par la victoire de la candidate du centre-gauche Alessandra Todde (M5S), font les gros titres : « La surprise Todde, un revers pour la droite » (Corriere della Sera), « La Sardaigne punit Meloni » (Repubblica), « Sardaigne, un revers pour le gouvernement » (La Stampa), « La Sardaigne au centre gauche » (Messaggero), « La droite marque contre son propre camp » (Giornale), « Un coup d’arrêt » (Avvenire). La protestation des agriculteurs à Bruxelles est aussi citée : « Le mouvement des tracteurs encercle Bruxelles, l’UE annonce de nouvelles règles » (Messaggero). Enfin, dans les pages intérieures, plusieurs journaux reviennent sur la conférence en soutien à l’Ukraine d’hier soir : « L’hypothèse de militaires OTAN en Ukraine » (Corriere) ; « Macron ouvre à l’hypothèse de troupes de l’OTAN » (Messaggero), « Un changement de cap proposé par Macron aux leaders : « on n’exclut pas l’envoi de troupes » (Stampa), « Un sursaut stratégique » (Foglio).
Les JT couvrent essentiellement les élections régionales en Sardaigne avec la victoire de la candidate de centre-gauche Todde, la manifestation à Bruxelles des agriculteurs avec aussi la reprise des déclarations de G. Meloni pour ‘’revoir la PAC et soutenir les salaires des agriculteurs’’, les frappes de l’armée israélienne au Liban, et la conférence de Paris en soutien de l’Ukraine.
COMMENTAIRE, Repubblica, S. Folli « Sardaigne : c’est une nouvelle page blanche qui s’ouvre » : « Pour la première fois, Giorgia Meloni a commis une grave erreur, notamment sur le terrain qui en théorie devrait être le plus naturel pour elle : la gestion de sa popularité et la capacité d’interpréter les signaux envoyés par un électorat qui demande des choses simples et concrètes. L’échec est douloureux, au moment où la Présidente du Conseil s’apprête à se rendre aux Etats-Unis avec tous les dossiers de politique internationale en suspens. Meloni pourrait être tentée de hausser les épaules et aller de l’avant. Mais ce serait une autre erreur. C’est une défaite qui est grave au regard des circonstances dans lesquelles elle a eu lieu et du défi en cours au sein même de la coalition. Meloni voulait en effet donner le coup de grâce à son rival Salvini. S’il est trop tôt pour dire que le déclin du « melonisme » a commencé, la saison où les divergences étaient observées avec indulgence est toutefois révolue : maintenant, Salvini (qui n’a rien gagné mais qui peut se réjouir de la défaite de Meloni) sera de plus en plus déterminé à exiger le partage de toutes les décisions du gouvernement. Le pacte de la coalition devra être revu, y compris du point de vue des relations personnelles. Il faudra bien plus qu’un petit-déjeuner au Palais Chigi ou d’un Conseil des ministres plus long pour résoudre les questions épineuses. Par ailleurs, dans la perspective des élections européennes, il faut s’attendre à ce que le dirigeant de la Ligue intensifie ses contacts avec l’extrême-droite européenne, à commencer par les Allemands de l’AfD. Il le fera dans le but mettre en difficulté le pragmatisme de Meloni, notamment ses bonnes relations avec Ursula von der Leyen. Pour la Présidente du Conseil, un sursaut s’impose. Concernant les partis d’opposition, entre Schlein et Conte, c’est plutôt ce dernier qui est le vrai gagnant : il a su montrer que la coalition à gauche (« la coalition large ») ne fonctionne que lorsqu’elle est guidée par le M5S. Dans le cas contraire, il y aura toujours une raison pour ne pas s’unir, en laissant Schlein seule avec son opposition interne au sein du PD. La coalition de centre-gauche en Sardaigne sera difficilement exportable au niveau national. »
ARTICLE Repubblica, A. Fraschilla : « La Ligue s'effondre et Forza Italia la dépasse mais Salvini réagit : maintenant, il faut sécuriser Zaia " » : « Matteo Salvini et ses proches tentent de se rassurer, malgré les résultats bien inférieurs par rapport à il y a cinq ans en Sardaigne (11 % lors des dernières régionales, et moins de 5 % hier) et la honte de voir Forza Italia les dépasser, alors que le parti est orphelin de son leader Silvio Berlusconi. Salvini pense déjà à une stratégie pour exploiter ce vote dans son rapport de force au sein de la coalition et en vue des nombreux problèmes qu'il voit apparaître à l'horizon pour le parti et sa direction. Son entourage lui suggère de se concentrer sur ce qui s'est passé en Sardaigne pour dire à Giorgia Meloni qu'il ne faut pas faire "trop de calculs" et se concentrer sur des choix sûrs et gagnants dans certaines régions : "En commençant par la Vénétie, en misant sur Luca Zaia et en approuvant au Parlement le troisième mandat des gouverneurs". C’est cette ligne que suivra le leader de la Ligue après la Sardaigne : se relancer sur le troisième mandat qui permettrait d'obtenir la plus grande région d'ici 2025, la Vénétie. Il faut aussi éviter un changement de candidat, comme cela s'est produit en Sardaigne où c’est le candidat de Fratelli d'Italia qui a finalement été choisi. Pour la Vénétie, Meloni aurait déjà un nom en tête, le sénateur Luca De Carlo. La relance du troisième mandat permettra également au ministre d’occuper Zaia, son principal rival en interne pour la direction du parti. Depuis hier, Salvini, au sein du centre-droit, n'a plus seulement comme problème celui de retrouver sa place dans sa relation avec la Première ministre mais aussi la crainte d’être dépassé par Forza Italia d'Antonio Tajani. Ce n'est pas une coïncidence si un fidèle du secrétaire de FI, le chef du groupe au Sénat Maurizio Gasparri, a déjà botté en touche hier soir, rejetant même l'idée de reconduire Solinas comme le souhaitait Salvini. La Ligue et Fratelli d’italia se sont trompées. Et peut-être que le candidat aurait pu être un membre de Forza Italia, soit Pietro Pittalis ou Ugo Cappellacci. C'est dire le climat qui règne à droite après les élections en Sardaigne. Hier soir, Tajani s’est dit ‘’certain qu'il n'y aura pas de répercussions sur le gouvernement’’ », tout en mettant en garde Meloni : « maintenant, allons-y pour gagner en Basilicate où je suis absolument convaincu que le candidat sera Vito Bardi », son fidèle. »
ARTICLE, Repubblica, G. Colombo : « Treize milliards d’économies pour sauver le PNRR. Les administrations qui seront en retard devront rembourser les fonds » : « Le dossier du PNRR se concentre désormais sur la chasse aux responsables des retards dans la réalisation des projets qui ont été financés. Le ministre Raffaele Fitto parle de 'responsabilisation', mais la nouvelle mesure introduite dans le décret visant à accélérer les dépenses ressemble à un ultimatum. Pour les ministères, mais aussi pour les municipalités et les autres acteurs de la mise en œuvre des projets du PNRR : ceux qui ne respectent pas les objectifs fixés devront restituer les ressources obtenues, quitte à payer de leur poche. La "menace" est brandie avec un mécanisme précis : si la Commission européenne constate 'la non-réalisation ou la réalisation incomplète' d’un projet, l’Etat demandera à l'administration de rendre les montants reçus. Sous la supervision de la structure de mission, le Palais Chigi pourra également décider d'effectuer des inspections et des contrôles ponctuels dans les ministères et les municipalités. Des commissaires arriveront aussi dans trois ministères pour accélérer certains investissements et le gouvernement pourra revendiquer des pouvoirs de substitution s'il constate des 'retard ou des incohérences' par rapport aux calendriers des interventions. Avec le décret approuvé hier, le Conseil des ministres cherche aussi à trouver des fonds pour les nouveaux projets et à récupérer les sommes allouées à ceux qui ont été annulés. Il s’agit d’un casse-tête complexe, qui est la conséquence de la révision du Plan voulu par le gouvernement et qu'il est maintenant en train de résoudre en soustrayant des ressources à d'autres investissements ou en utilisant des fonds non dépensés. Le secteur des infrastructures est parmi les plus touchés avec 2.2 milliards en moins pour investir dans les chemins de fer régionaux, la surveillance des ponts et viaducs, l’électrification des quais et d’autres travaux dans les ports. Les 250 millions d'euros prévus pour les zones touchées par le tremblement de terre (L'Aquila et le centre de l'Italie) sont également supprimés. Au total, ce sont environ 13 milliards qui ont été repris d'autres fonds pour financer les coûts des nouvelles mesures. »
ARTICLE, Corriere della Sera, M. Guerzoni « Mattarella invite l’UE à accélérer sur le pacte pour la migration et l’asile » : « A l’occasion de sa visite d’Etat à Chypre, Sergio Mattarella a évoqué le « plan Mattei » qui est cher à Meloni. Cela n’a pas dû échapper au Palais Chigi, après l’appel du Président de la République au ministre de l’intérieur Piantedosi (Indépendant) sur l’affaire de la gestion par la police de la manifestation des étudiants à Pise, et le coup de froid entre les partis de droite et le Quirinal. ‘’Le plan Mattei a été lancé pour collaborer avec les pays du Continent africain de manière à impliquer toute l’Union Européenne’’ a-t-il souligné à l’issue de sa rencontre avec son homologue Cyprien Christodoulides. A cette occasion, il a invité Bruxelles à mettre en action le nouveau pacte sur la migration et l’asile qui est ‘’très urgent’’ et il a invoqué un changement de vitesse afin que le phénomène « désordonné et tumultueux de l’immigration géré par les passeurs » puisse se transformer « en une arrivée ordonnée en Europe selon les exigences des Etats qui les accueillent de manière légale’ ». Mattarella a attribué à Chypre un rôle fondamental de ‘’plaque tournante de la sécurité énergétique de l’Union’’. Car l’île est particulièrement exposée aux vents de guerre qui soufflent en ce moment. Les deux présidents ont évoqué le Proche Orient, partageant l’exigence d’arriver à un cessez-le-feu pour résoudre ce conflit en évitant un embrasement de la région. L’agression russe en Ukraine a elle aussi été évoquée. Mattarella a répété ‘’le plein soutien’’ de l’Italie à Kiev. »
ARTICLE, Corriere della Sera, S. Montefiori : « L'hypothèse d’envoyer des troupes de l'OTAN en Ukraine » : «[…} Certains pays comme la France envisagent l'idée, d'autres comme l'Allemagne l'excluent clairement. ''Il n'y a pas de consensus aujourd'hui pour envoyer des troupes, mais en perspective, rien ne doit être exclu. Nous ferons tout ce qu'il faut pour que la Russie ne gagne pas cette guerre" a déclaré le président français. […] »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Le PVV de Geert Wilders est donné à 49 sièges de députés, le Forum voor Democratie à 3 et JA21 à 1.
Pays-Bas. Le PVV de Geert Wilders est donné à 49 sièges de députés sur 150, le Forum voor Democratie de Thierry Baudet à 3 et JA21 à 1 au sein d'un sondage Ipsos I&O et EenVandaag.
PVV : patriotes anti-islamisation
PvdA : travaillillistes / Groenlinks : écologistes
VVD : libéraux de droite
NSC : Nouveau contrat social, de Pieter Omtzigt [autrefois démocrate-chrétien (CDA)]
D66 : libéraux de gauche
BBB : parti des agriculteurs : agrariens de centre-droit
CDA : démocrates-chrétiens
SP : gauche de la gauche
Denk : centre-gauche multiculturaliste
PvdD : parti pour les animaux
FvD : Forum voor Democratie : patriotes
SGP : chrétiens protestants
CU : Christen Unie : sociaux-chrétiens
Volt : pro-européen
JA 21 : patriotes
13:44 | Lien permanent | Commentaires (0)
26/02/2024
La présidente du conseil de l'Église évangélique d'Allemagne partage l'avertissement des évêques catholiques à propos du vote pour l'AfD.
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23:01 | Lien permanent | Commentaires (0)
Tamás Sulyok devient président de la Hongrie.
Hongrie. Tamás Sulyok devient président de la République.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/02/10/kat...)
22:27 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le BSW dispose des signatures certifiées nécessaires afin de se présenter aux élections européennes.
Allemagne. Le BSW dispose des signatures certifiées nécessaires afin de se présenter aux élections européennes.
22:23 | Lien permanent | Commentaires (0)
Berlin : un directeur d'école pousse les élèves à prendre part à une manifestation contre l’AfD.
Allemagne. État de Berlin. Un directeur d’école endoctrine les élèves de son établissement contre l’AfD et les pousse à prendre part à une manifestation contre l’AfD.
22:05 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'Office fédéral de protection de la Constitution tente de classer l’ensemble de l'AfD en tant que "de tendance extrémiste avérée".
Allemagne. Selon le quotidien Süddeutsche Zeitung, l'Office fédéral de protection de la Constitution tente de classer l’ensemble du parti patriotique AfD en tant que « de tendance extrémiste avérée ».
21:56 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le gouvernement du Brandebourg désire étendre les pouvoirs de l'Office pour la protection de la Constitution.
Allemagne. État du Brandebourg. Le gouvernement du Brandebourg désire étendre les pouvoirs de l'Office pour la protection de la Constitution afin de mieux surveiller les flux financiers au sein du courant national. Des enquêtes sur les flux financiers devraient être possibles lorsqu’il existe un « danger potentiel », alors qu’elles ne le sont, jusqu’à présent, que sur la base d’« incitations à la haine et à la violence ».
De plus, les données de base des comptes devraient, à l'avenir, pouvoir être consultées auprès de l'Office fédéral central des impôts.
20:32 | Lien permanent | Commentaires (0)
Deux bistros du Bade-Wurtemberg refusent de servir des bières aux partisans du parti patriotique AfD.
Allemagne. Deux bistros du Bade-Wurtemberg refusent de servir des bières aux partisans du parti patriotique AfD.
16:44 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Coups de matraques : le gouvernement défend le ministre Piantedosi."
Italie. Revue de presse.
La polémique autour de la gestion par les forces de police d’une manifestation étudiante à Pise contre le conflit à Gaza, qui a fait plusieurs blessés, fait les gros titres : « Charges à Pise, une enquête est ouverte » (Corriere della Sera), « La manifestation contre les coups de matraque [organisée devant le ministère de l’Intérieur] » (Repubblica), « Coups de matraques : le gouvernement défend le ministre Piantedosi (Indépendant) » (La Stampa), « Coups de matraque à Pise, un bug des autorités » (Domani). Le Corriere reprend en Une les propos du président V. Zelensky lors de sa conférence de presse d’hier à Kiev : « « En Italie il y a trop de personnes qui soutiennent Poutine » ».
ARTICLE, Corriere della Sera, A. Polito « Une proposition bipartisane sur la réforme du « Premierato » » : « C’est l’article 138 de la Constitution qui nous explique que la meilleure façon de modifier les institutions est de recourir au vote à la majorité des deux tiers dans chacune des deux Chambres. Les « pères » constituants nous ont dit explicitement qu’il est préférable d’avoir un large accord pour modifier les règles du jeu commun. Par conséquent, en l’absence de cette condition, il faut alors revenir à la source de la souveraineté populaire et soumettre la réforme de loi constitutionnelle au référendum. Il est donc utile qu’un groupe de travail bipartisan propose à Giorgia Meloni et aux dirigeants des partis d’opposition un parcours pour chercher un accord sur le « Premierato ». Le message est à peu près le même de plusieurs côtés : : la faiblesse congénitale de l’exécutif rend les gouvernements fragiles et renforce les nombreux titulaires du pouvoir de véto. Ce groupe bipartisan est composé de fondations et d’organisations avec des représentants appartenant aux deux blocs politiques, ainsi qu’au monde de la société civile. Ils ont eu le mérite de se concentrer sur ce qui les unissait et qui pourrait également unir les partis. Leur proposition est d’imiter les expériences des gouvernements parlementaires les plus efficaces en Europe. Il faut notamment corriger la principale limite du projet de loi du gouvernement, à savoir la nécessité de commencer par l’élection directe du Premier ministre au lieu de définir ses pouvoirs. La proposition consiste à donner une légitimation électorale très forte au chef du gouvernement. Les partis politiques feraient bien de les écouter. »
PREMIER PLAN, Corriere della Sera, L. Cremonesi : « Zelensky ‘’ Merci à l’Italie, mais dans votre pays il y en a beaucoup qui soutiennent Poutine » : « '' La présidente Giorgia Meloni soutient sans aucun doute l'Ukraine, je viens de la rencontrer alors qu’elle est présidente du G7 et nous avons également signé un accord de coopération bilatérale. Nous lui en sommes très reconnaissants. Cependant, nous savons qu'en Italie, il y a beaucoup de partisans de Poutine et en Europe aussi. Pour les identifier tous, nous préparons une liste, qui ne concerne pas seulement l'Italie, et que nous présenterons à la Commission européenne. Parviendrez-vous à les faire taire ? Pourrez-vous faire comprendre à vos opinions publiques que la Russie n'est pas seulement une menace pour l'Ukraine, mais pour vous tous ? Les sociétés européennes sont-elles prêtes à relever ce défi ? Il me semble que vous ne l'êtes pas encore, vous les Italiens, les Allemands et d’autres ''. Voici ce que Volodymyr Zelensky a répondu à la question que le Corriere lui a posé en conférence de presse, sur le rôle que pourrait jouer l’Europe dans la défense de l’Ukraine si Trump gagnait les élections et décidait d'arrêter d'envoyer des armes. "Il y a des types d'armes que seuls les Américains peuvent offrir, par exemple les batteries de missiles Patriot. Mais en Europe aussi vous avez de très bonnes armes. Par exemple, les Allemands pourraient nous fournir leurs batteries anti-aériennes, mais je ne sais pas s'ils veulent les enlever de leur ciel. J'ai également constaté qu'au cours du dernier mois, les Européens ont décidé d’augmenter la production de munitions.'' Zelensky a fortement voulu cette conférence à l’occasion du deuxième anniversaire de l'invasion russe ; il a livré un message très clair : l'Ukraine peut encore gagner et l'aide militaire des alliés fera la différence. Une nouvelle contre-offensive ennemie est attendue "au début de l'été ou à la fin du mois de mai". "Nous serons prêts. Nous la combattrons.'' Après cela, les Ukrainiens passeront à la contre-attaque. " Mais la guerre est également menée par le biais de la diplomatie, comme le souligne son ministre des affaires étrangères, Dmytro Kuleba. "Nous ne devons pas perdre l'avantage de l'initiative diplomatique", déclare-t-il en annonçant la possibilité qu’une conférence de paix soit organisée en deux étapes : une conférence préparatoire en Suisse au printemps et une autre en été. Toutefois, à ce stade, il ne semble pas y avoir de marges réelles pour un dialogue avec Poutine." »
ARTICLE, Corriere della Sera, S. Montefiori : « Les premiers ministres à l’Élysée, Rome envoie l’adjoint de Tajani (Forza Italia) » : « Aujourd'hui, la France accueille à Paris un sommet extraordinaire des alliés de l'Ukraine pour adresser un message à la Russie : nous ne sommes pas fatigués, votre victoire n'est pas du tout à portée de main et nous ferons tout pour l'éviter, dans l'intérêt de l'Ukraine et dans le nôtre. Ces dernières semaines, la Russie a multiplié les provocations à l'encontre de l'Occident, pas seulement en Ukraine, et il existe une volonté déclarée d’y répondre de façon plus importante et différente. Au point que même l'envoi de soldats européens en Ukraine n'est plus un sujet tabou : "Il faudra voir comment le débat évolue", déclare une source à l'Élysée, "mais à un moment où nous disons que la stabilité et la sécurité de l'Europe sont en jeu en Ukraine, nous devons naturellement prendre toutes les dispositions nécessaires pour mieux la soutenir. Selon des modalités que nous ne pouvons pas prédéterminer". Le principe d'aider l'Ukraine sans entrer en guerre avec la Russie demeure, car personne ne souhaite une escalade, "mais les modalités du soutien doivent être analysées en tenant compte de toutes les nécessités ". Le président Macron en discutera cet après-midi avec le chancelier allemand Olaf Scholz, le premier ministre espagnol Sanchez et d'autres premiers ministres européens, les présidents roumain, polonais, lituanien et finlandais, le ministre britannique David Cameron, un sous-secrétaire américain et, pour l'Italie, le vice-ministre des affaires étrangères Edmondo Cirielli. L'absence de la Présidente du Conseil italienne à Paris intervient alors que Macron n'a pas assisté au sommet virtuel du G7 présidé par Meloni elle-même depuis Kiev samedi. Outre les problèmes d'agenda, les alliés sont appelés à résoudre les difficultés de coordination en matière d'armes et de munitions s'ils veulent faire un bond en avant dans leur opposition à la Russie. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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25/02/2024
Chega donné à 19 %.
Portugal. Un sondage Duplimétrica donne Chega troisième à 19 % pour les élections législatives du 10 mars 2024, soit + 12 points par rapport aux élections de 2022.
23:41 | Lien permanent | Commentaires (0)
Nordharz : le candidat de l’AfD perd très largement, lors de l’élection directe du maire, face au candidat sans parti.
Allemagne. Saxe-Anhalt. Nordharz. Le candidat de l’AfD perd très largement, lors de l’élection directe du maire, face au candidat sans parti.
21:46 | Lien permanent | Commentaires (0)
Wanzleben-Börde : le candidat de l'AfD à la mairie arrive troisième.
Allemagne. Saxe-Anhalt. Wanzleben-Börde. Lors du premier tour de l’élection directe du maire, le candidat de l’AfD arrive troisième avec 17,82 %. Il ne prendra donc pas part au second tour.
(https://wahlen.landkreis-boerde.de/20240225/15083531/prae...)
21:38 | Lien permanent | Commentaires (0)
Sahra Wagenknecht ne désire pas voir le BSW gouverner en Thuringe avec l’AfD.
Allemagne. Sahra Wagenknecht, du parti de gauche anti-immigration BSW, déclare au Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung : « La grande majorité des électeurs de l’AfD ne sont pas des radicaux de droite. »
Elle ne désire pas voir le BSW gouverner en Thuringe avec l’AfD à l’issue des élections de septembre 2024 car l’AfD est, selon elle, contrôlée en Thuringe par des radicaux. Elle n’exclut cependant pas que des motions soient adoptées avec les voix conjointes du BSW et de l’AfD.
Sahra Wagenknecht considère que la coprésidente de l’AfD Alice Weidel ne représente pas des opinions radicales, mais plutôt des positions conservatrices et économiquement libérales. Weidel ne développe pas des thèses ethnicistes, alors que, selon Sahra Wagenknecht, la figure de proue de l’AfD en Thuringe, Björn Höcke, le fait.
Sahra Wagenknecht estime que l’aile nationaliste prend de plus en plus le contrôle de l’AfD.
21:22 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le chef de file des élus sociaux-démocrates SPD au Parlement de l’État de Berlin désire ancrer la lutte contre "l'islamophobie et le racisme" dans la Constitution.
Allemagne. État de Berlin. Le chef de file des élus sociaux-démocrates SPD au Parlement de l’État de Berlin Raed Saleh désire ancrer la lutte contre « l'islamophobie et le racisme » dans la Constitution de l'État de Berlin.
17:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Vlaams Belang porte plainte pour diffamation contre la présidente du parti socialiste.
Belgique. Flandre. Le Vlaams Belang porte plainte pour diffamation contre la présidente du parti socialiste Vooruit, qui a répondu par l'affirmative dans un entretien au quotidien De Tijd lorsqu'elle s'est vue demander si le président du Vlaams Belang, Tom Van Grieken, est raciste.
16:30 | Lien permanent | Commentaires (0)
Liechtenstein : 2/3 des électeurs ont refusé d'élire directement les ministres.
Liechtenstein. Lors d’un référendum, 2/3 des électeurs ont refusé d'élire directement les ministres.
14:42 | Lien permanent | Commentaires (0)
24/02/2024
Santiago Abascal rencontre Donald Trump.
Espagne et États-Unis. Le dirigeant de Vox Santiago Abascal (Espagne) a rencontré, durant 15 minutes, l'ancien président des États-Unis Donald Trump à Washington, dans le cadre de la Conférence d'action politique conservatrice (CPAC), le principal événement du mouvement conservateur aux États-Unis.
Santiago Abascal et Donald Trump
21:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Avec le FPÖ à la tête du gouvernement, la neutralité de l'Autriche renaîtra !"
Autriche.
Le président du FPÖ Herbert Kickl : "Avec le FPÖ à la tête du gouvernement, la neutralité de l'Autriche renaîtra !"
19:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
Geert Wilders modifie sa position à propos de l'Ukraine.
Pays-Bas et Ukraine. Le dirigeant du PVV Geert Wilders n’est pas satisfait de l'accord de sécurité de dix ans que le gouvernement sortant conclura avec l'Ukraine, car il estime qu’un gouvernement sortant ne peut pas conclure un tel accord.
Cependant, Geert Wilders se dit, pour la première fois, prêt à parler de « toute forme d'aide » à l'Ukraine, y compris d'aide militaire, alors que, jusqu’à présent, le PVV considérerait que l’Ukraine ne devait recevoir qu’un soutien politique.
Alors que le PVV de Geert Wilders soutient l’Ukraine face à la Russie, le Forum voor Democratie de Thierry Baudet désire que les Pays-Bas restent neutres et s’oppose à « tout soutien à la guerre que les États-Unis conduisent par procuration contre la Russie ».
16:27 | Lien permanent | Commentaires (0)
Un député AfD rappelé à l'ordre pour avoir montré un drapeau allemand à la Chambre des députés.
Allemagne. Le député de l’AfD Martin Reichardt a été rappelé à l’ordre par la présidence de la Chambre des députés pour avoir montré un drapeau allemand lors d’une intervention à la tribune de cette institution.
15:51 | Lien permanent | Commentaires (0)