03/06/2024
"La Ligue attaque Mattarella."
Italie. Revue de presse.
L’attaque de la Ligue appelant le Président de la République italienne à démissionner après que Sergio Mattarella ait mis en avant la souveraineté européenne dans son discours à l’occasion de la Fête de la République, et les réactions politiques des alliés et de l’opposition font la Une de la presse italienne : « Mattarella, tempête sur la Ligue » (Corriere della Sera), « L’attaque souverainiste contre le Quirinal » (La Repubblica), « La Ligue attaque Mattarella » (La Stampa), « La Ligue s’en prend à la Présidence de la République au sujet de l’UE, Antonio Tajani (Forza Italia) est glacial, Elly Schlein attaque [Meloni] » (Il Messaggero)
Les JT couvrent essentiellement la polémique autour des propos de la Ligue à l’égard du président de la République Sergio Mattarella dans le cadre des festivités du 2 Juin et les réactions de la classe politique, la situation au Proche-Orient avec les négociations en cours pour une trêve et la poursuite des raids israéliens, mais aussi l’élection de la candidate progressiste Claudia Sheinbaum au Mexique, dans un contexte tendu, et la mise en place aujourd’hui des incitations à l’achat de véhicules plus verts.
PREMIER PLAN, Corriere della Sera, de V. Pïccolillo, « Matteo Salvini contre la Présidence de la République ; pour l’opposition, c’est inacceptable » : « Hier, jour de la Fête de la République, le sénateur de la Ligue Claudio Borghi a appelé le chef de l’Etat Sergio Mattarella à démissionner. Une attaque jugée "très grave" par les oppositions. Dans la soirée, Matteo Salvini, corrige le tir et affirme qu’il ‘’ne s’agit pas de demander la démission" du Président mais ne dément pas pour autant la ligne du sénateur léghiste. A l’occasion des célébrations du 2 juin [Fête de la République italienne], Sergio Mattarella s’était adressé aux préfets évoquant ‘’l'élection du Parlement européen’’ et ‘’la souveraineté de l'UE". Un message repris hier par le chef d'état-major, Giuseppe Cavo Dragone : "Les Pères fondateurs étaient conscients des risques et des limites de la fermeture et du repli sur la sphère nationale, ils rêvaient d'une Italie ouverte vers l'Europe". S. Mattarella loue par ailleurs une ‘’Constitution clairvoyante et sage’’, fruit de ‘’la lutte pour la libération". Il rappelle que "l'indépendance et la liberté sont des conquêtes qui doivent être défendues chaque jour". Claudio Borghi réagit sur les réseaux sociaux ‘’si le président pense vraiment que la souveraineté appartient à l'UE et non à l'Italie, par cohérence, il devrait démissionner", attirant immédiatement l’attention des institutions et des partis politiques. Interrogé sur ces déclarations du sénateur léghiste, Matteo Salvini ne le désavoue pas : "nous célébrons aujourd'hui la République italienne. Aujourd'hui, c'est la fête des Italiens, pas de la souveraineté européenne’’. Tout en tentant de calmer le jeu (il n’y a "pas de controverse avec le président de la République"), il confirme que, pour lui, la souveraineté nationale italienne "passe avant toute autre appartenance", même s’il rejette l'appel à la démission. La réaction de l’opposition est immédiate : Giuseppe Conte (M5S) s’indigne d’une ‘’attaque sans précédent", et la secrétaire démocrate Elly Schlein demande à la Présidente du Conseil de "tirer les choses au clair" et de "prendre ses distances" vis-à-vis des propos de son vice-Président du Conseil. Les Verts demandent la démission de M. Salvini qui "ne peut pas représenter l'Italie et ne peut pas rester au gouvernement". Hier, Giorgia Meloni avait quant à elle, souligné que le 2 juin nous rappelait "la première idée de l'Europe", celle qui tirait sa force "notamment de la spécificité des États-nations. Peut-être devrions-nous revenir à cette idée". Antonio Tajani, vice-premier ministre et coordinateur de Forza Italia, est intervenu en solidarité avec le président Mattarella : "Nous sommes italiens et européens, c'est notre identité. C'est notre civilisation. Tout choix anti-européen porte préjudice à l'Italie. M. Mattarella a raison de souligner notre horizon européen". »
Claudio Borghi
COULISSES, Corriere della Sera, de M. Galluzzo, “La Présidente du Conseil ne réagit pas tout de suite mais fait ensuite pression sur Matteo Salvini, ‘’nous ne voulons pas la démission [du chef de l’Etat]’’ déclare-t-il finalement » : « Alors que la polémique a déjà éclaté et que l’ensemble de l'arc constitutionnel se déchaîne contre la Ligue et Salvini, Giorgia Meloni décide que la simple ligne du silence ne sera pas suffisante, qu'une correction de trajectoire est nécessaire. Dans le milieu de l’après-midi, Giorgia Meloni fait comprendre au chef de la Ligue que même si elle peut être d'accord sur certains points - elle qui, après tout, a fait plus d'une déclaration contre l'UE et contre l'excès de législation et de souveraineté des institutions européennes - mais que s'en prendre au chef de l'Etat, le jour de la Fête de la République, allant jusqu’à demander sa démission, va trop loin. En moins de deux heures, le vice-Président du Conseil fait ‘’marche-arrière’’, notamment parce que ce soir Meloni s’exprimera à la télévision et devra elle aussi parler d'Europe, critiquant un excès de souveraineté de l'UE, mais certainement pas en s’en prenant à Sergio Mattarella, avec qui les relations et la coopération sont fructueuses. Des proches de Giorgia Meloni observent par ailleurs que, lors de la réception dans les jardins du Quirinal ce week-end, de nombreux leghistes étaient absents, en particulier ses membres les plus importants, ce qui n'est pas passé inaperçu, comme si l'attaque contre Mattarella se tramait déjà. Ce qui est certain, c'est que le sujet de la souveraineté européenne s’imposera à nouveau avant et après les élections du 9 juin. D’après certains membres de Fratelli d’Italia, Giorgia Meloni aurait déjà pris la décision de saisir la Cour constitutionnelle contre les règles européennes dans le conflit sur l’attributions des concessions balnéaires. Ce serait un coup de théâtre, après des années de promesses de la Présidence du Conseil, et après que Giorgia Meloni ait elle-même assuré qu’elle se conformerait aux exigences européennes. »
Matteo Salvini
COULISSES, La Repubblica, de T. Ciriaco, « Le silence de Meloni, la crainte de l’après-élections et le spectre des pouvoirs forts, ‘’je ne suis pas là pour faire de la figuration’’ insiste la Présidente du Conseil » : « Ce n'est vraiment pas une bonne période pour Giorgia Meloni. Dernier incident en date, très grave, l’attaque de Matteo Salvini hier contre Sergio Mattarella. De la folie, pour Giorgia Meloni qui estime que c’est une chose d’être souverainiste et nationaliste, comme elle le fait elle-même, mais que c'en est une autre de s'en prendre au Président de la République. Pendant plusieurs heures, elle se demande si elle doit prendre la défense du chef de l'État. Finalement, elle demande à son vice-Président du Conseil de corriger le tir mais évite de s'exposer publiquement. Elle ne téléphone même pas au Président pour lui exprimer sa solidarité et se dissocier des leghistes. En réalité, elle veut éviter de diviser la droite et défier son allié coûterait trop cher en termes politiques alors qu’elle tente depuis des jours de se débarrasser de cette image institutionnelle. Mais quel silence embarrassant. D’autres sujets d’inquiétudes pointent à l’horizon : un G7 qui s’annonce compliqué et qui pourrait être un semi-échec ; le ministre de l’Economie qui alerte sur l’état des caisses publiques... Mais même si rien ne va, Giorgia Meloni est là, pugnace et déterminée à jouer tous ses atouts. Elle a transformé le vote aux européennes en référendum ; elle rêve d’un plébiscite mais cela pourrait se finir en désaveu. La rumeur que, comme Pedro Sanchez et Rishi Sunak, elle pourrait convoquer des élections dès début 2025 commence à circuler. Fratelli d’Italia craint avant tout de ne pas parvenir à se défaire de leur passé et de passer sous le seuil des 26% ; loin des 30 auxquels ils rêvaient initialement. Le scrutin s’annonce difficile, entre désillusion dans le Nord Est, qui avait offert de bons résultats à FdI aux précédentes élections, et abstentionnisme estival. Mais tout cela, ce ne sont que des suppositions et des conjectures alors qu’un signal bien concret arrive en revanche du ministère de l’économie : il n’y plus un euro pour financer de nouvelles politiques. En témoigne l’envie de quitter son poste qui taraude le ministre de l’économie, Giancarlo Giorgetti, ainsi que les avertissements de Bankitalia, qui veut attirer l’attention du gouvernement sur la dette élevée, la fin de la flexibilité liée à la pandémie, et les procédures pour infraction qui arrivent de Bruxelles et viennent prendre à la gorge les rêves de Giorgia Meloni. Et puis il y a le G7, dont elle ne parle pas, et à raison : les sherpas ne parviennent pas à trouver de compromis sur la question des actifs russes ou sur les armes envoyées à l’Ukraine (l’Italie est le seul pays qui refuse d’autoriser les frappes dans le territoire russe). Antonio Tajani reste sur sa ligne : ‘’Nous devons aussi penser aux dizaines d’entreprises italiennes qui opèrent en Russie’’. Et c’est pour toutes ces raisons que Giorgia Meloni mise tout sur les réseaux sociaux, sur « Telemeloni », sur les attaques à Elly Schlein… avec pour seul objectif de ne pas passer sous les 26%. Elle a accéléré les décrets, défié les juges et installé des tensions entre émissaires du gouvernement et du Quirinal. Plus aussi sûre qu’avant de remporter largement les élections, elle veut encore croire au ‘’seuil des 30%’’ et à une hypothétique remontée dans la semaine. Ce qui est sûr, c’est qu’elle n’acceptera pas de s’embourber, et peu habituée qu’elle est à la discussion, elle pourrait être tentée de renverser la table, notamment parce qu’un mauvais résultat lui ferait perdre l’avantage dans les négociations en vue de la nouvelle Commission, alors même que la Présidence du Conseil soutiendrait en coulisse la candidature d’Elisabetta Belloni. »
ARTICLE, il Messaggero, A. Bulleri, « L’inconnue de l’abstention et la mobilisation du gouvernement » : « C’est le spectre qui hante l’ensemble du paysage politique, mais qui risque de toucher surtout le gouvernement et les partis dont la base électorale se trouve dans le Sud, d’après les experts : l’abstention. Ce n’est pas une nouveauté. Depuis les premières élections européennes en 1979, l’intérêt des Italiens pour le scrutin est allé décroissant, passant de 85.7% à 54.5% en 2019. Cette année, la barre symbolique des 50% pourrait être franchie, en particulier chez les moins de 35 ans. ‘’Le ton de cette campagne peut sembler faible, mou aux Italiens’’ d’après Antonio Noto de Noto Sondaggi pour qui ‘’il manque un thème fort, aucun parti n’a de mesure phare’’. Et les partis les plus pénalisés par cette abstention sont souvent les partis de gouvernement. Selon Carlo Buttaroni, ‘’les élections européennes sont vécues comme des élections de mi-mandat, et il est courant que les soutiens du gouvernement soient plus enclins à rester chez eux que ses opposants, qui se déplacent davantage’’. Toutefois, ce n’est pas une règle générale, puisqu’en 2014 et en 2019, Matteo Renzi et Matteo Salvini étaient tous les deux sortis vainqueurs du scrutin. Il pourrait donc y avoir des surprises. Et puis il y a l’autre facteur clef : le Mezzogiorno. ‘’Au sud et dans les îles, la baisse de l’affluence est beaucoup plus marquée que dans le reste du pays’’ explique Lorenzo Pregliasco. ‘’C’est pourquoi les partis ancrés au Sud craignent l’abstention aux Européennes. Il y a cinq ans, cela a favorisé le PD mais joué en défaveur du M5S’’. C’est pour ça que Forza Italia, bien implanté au Sud, redoute la faible affluence. Toutefois, ‘’au Sud, le vote de préférence pèse plus qu’au Nord, et un candidat fort peut entraîner avec lui sa liste, même avec un abstention importante’’.
PREMIER PLAN, Corriere della Sera, de F. Verderami, « Une nouvelle batterie de Samp-T sera livrée à l’Ukraine, le gouvernement italien pose des limites : ‘’seulement pour un usage défensif’’ » : « Le gouvernement italien lancera le nouveau paquet d'aide à l'Ukraine après le G7 du 13 au 15 juin prochain. Le plan d’aide à Kiev comprendra notamment une deuxième batterie de Samp-T, le système sol-air de moyenne portée, utile pour la défense anti-missile et anti-aérienne. Des sources proches du gouvernement affirment que l'exécutif a annoncé sa décision à Washington et à Kiev, et que les alliés auraient remercié Rome pour sa contribution active à la défense de l'Ukraine. Le ministre de la défense, Guido Crosetto, devrait donc signer le neuvième décret dans quelques semaines, après les élections européennes. Il était clair en effet que les retards sur l’approbation de ce paquet étaient liés à l’échéance électorale, et il était tout aussi clair qu'en vue du sommet de l'OTAN en juillet en particulier, il était nécessaire de donner un signal aux partenaires occidentaux. Par ailleurs, l'invitation de Meloni à Zelensky pour le G7 témoigne de la volonté de la Présidente du Conseil de souligner la proximité et la solidarité de Rome vis-à-vis de Kiev face à la Russie. Il s’agit du reste d’une contribution très importante, tant pour ceux qui se défendent contre les attaques aériennes de Moscou que pour ceux qui continuent à soutenir la résistance. L'Italie ne dispose en effet que de cinq batteries Samp-T et celle qui sera livrée à l'Ukraine se trouve actuellement au Koweït d’où elle sera déplacée. Il s’agit d’un effort d’autant plus considérable que, structurellement, la Défense italienne dispose de peu d'armes. Depuis le début de la guerre, les limites sont évidentes et l'on ne compte plus le nombre de fois où le ministre Crosetto a soulevé la question devant le Parlement. Malgré cela, le gouvernement italien a fait savoir aux États-Unis et à l'Ukraine qu'il inclurait en outre un autre lot de missiles Shadow dans le paquet d'aide. Tout cela suggère que l'Italie, après les élections européennes, s'alignera sur les positions des alliés. Certes, Rome a répété que Kiev devait se limiter à un usage "défensif" des armes fournies. Les missiles en question ont une portée de deux cents kilomètres. Placés à l'ouest, ils ne couvriraient que le territoire ukrainien mais installés dans la région de Kharkiv, ils pourraient frapper le sol russe et anéantir les bases depuis lesquelles Moscou lance ses frappes contre la deuxième ville la plus peuplée d'Ukraine. Une question rendue encore plus sensible par la campagne électorale menée par Matteo Salvini, avec pour objectif clair de mettre en difficulté les autres partis de gouvernement, sans tenir compte du rôle et des engagements de l'Italie vis-à-vis de l’OTAN, que Meloni entend quant à elle respecter. La position du ministre des Affaires étrangères A. Tajani, qui rappelle que les Ukrainiens ne sont pas autorisés à frapper le territoire russe avec "nos armes", semble avant tout une tentative d'apaiser la controverse politique interne. D'ailleurs, le coordinateur national de Fratelli d’Italia, Giovanni Donzelli, estime que "plus qu'une question de Constitution, il s’agit d’une question de mandat parlementaire". Le Présidence du Conseil s’inquiète avant tout d'éviter une escalade du conflit, sans se dissocier de ses partenaires. Mais un ministre influent du gouvernement italien indique que la plus grande inquiétude sur le plan international vient d’ailleurs : "Tout en discutant de l’Ukraine, nos yeux sont rivés sur l’action de la Chine dans le Pacifique ; l'Occident retient son souffle quant au sort de Taïwan. Et les signes ne poussent pas à l'optimisme". »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Des "antifas" attaquent une veillée organisée sur les lieux de l'attaque islamiste.
Allemagne. Alors que le policier victime de l’attaque islamiste succombait dans un hôpital à ses blessures, des autodénommés « antifas » défilaient sur les lieux de l’attaque et s’en prenaient à une veillée organisée par l’organisation de jeunesse de l’AfD. Plusieurs participants ont été frappés par les antifas et un d’entre eux s’est retrouvé à l’hôpital.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/06/03/alo...)
13:46 | Lien permanent | Commentaires (0)
Alors qu'il luttait contre la mort, le policier Rouven L. n'a reçu aucune visite de responsables politiques.
Allemagne. Alors qu'il luttait durant 48 h contre la mort et que sa compagne se tenait à ses côtés, le policier Rouven L. n'a reçu aucune visite du chancelier social-démocrate Olaf Scholz, du ministre fédéral social-démocrate de l'Intérieur Nancy Faeser ou du ministre-président écologiste du Bade-Wurtemberg Winfried Kretschmann.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/06/03/le-...)
13:19 | Lien permanent | Commentaires (0)
Après l'attaque islamiste à Mannheim, le maire se déclare "pour la diversité" et "contre la division".
Allemagne. Après l'attaque islamiste à Mannheim qui a conduit à la mort d'un policier, le maire démocrate-chrétien (CDU) de la ville se déclare « pour la diversité » et « contre la division ».
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/06/03/le-...)
12:08 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le policier poignardé lors de l'attaque islamiste à Mannheim contre Michael Stürzenberger est mort.
Allemagne. Le policier poignardé lors de l'attaque islamiste à Mannheim contre Michael Stürzenberger est mort.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/05/31/mic...)
00:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
02/06/2024
Geert Wilders souhaite à Michael Stürzenberger un bon rétablissement.
Pays-Bas et Allemagne. Le président du PVV Geert Wilders souhaite, sur Twitter, à Michael Stürzenberger un bon rétablissement et espère qu'il sera bientôt à nouveau en bonne santé.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/05/31/mic...)
13:01 | Lien permanent | Commentaires (0)
Michael Stürzenberger est présenté en tant qu'islamophobe surveillé par les services secrets.
Allemagne. Au sein du JT de la chaîne publique ARD, la victime de l'attaque islamiste au couteau, Michael Stürzenberger, est présentée en tant qu'islamophobe surveillé par les services secrets bavarois.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/05/31/mic...)
12:53 | Lien permanent | Commentaires (0)
Lors de l'attaque au couteau, un assistant de Michael Stürzenberger a attrapé, par erreur, quelqu’un d’autre que l’agresseur.
Allemagne. Lors de l'attaque au couteau, un assistant de Michael Stürzenberger a attrapé, par erreur, quelqu’un d’autre que l’agresseur islamiste et l'a frappé. Le policier a alors sauté sur lui et a ensuite été poignardé par l'agresseur islamiste.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/05/31/mic...)
12:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
Nancy Faeser est opposée à la diffusion de la vidéo de l'attaque au couteau.
Allemagne. Le ministre social-démocrate de l’Intérieur Nancy Faeser (SPD) estime que la diffusion de la vidéo de l’attaque au couteau nuit à la victime et à l’agresseur et peut conduire à plus de division dans la société. De plus, elle déclare que le partage d’un tel contenu va à l’encontre des lois sur la protection de la vie privée et de la dignité humaine.
Nancy Faeser
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/05/31/mic...)
12:26 | Lien permanent | Commentaires (0)
01/06/2024
L’AfD dénonce le fait que l’Ukraine soit désormais autorisée à frapper des cibles en Russie avec des armes allemandes.
Allemagne. L’AfD dénonce le fait que l’Ukraine soit désormais autorisée à frapper des cibles en Russie avec des armes allemandes.
21:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
La chaîne de télévision publique Westdeutscher Rundfunk a décidé de flouter les images de l'agresseur au couteau de Mannheim, mais pas celles des victimes patriotes.
Allemagne. La chaîne de télévision publique Westdeutscher Rundfunk a décidé de flouter les images de l'agresseur au couteau de Mannheim, mais pas celles des victimes patriotes. Raison invoquée : ces faits actuels sont plus importants que les intérêts des personnes concernées qui se sont placées, en prenant part à ce rassemblement, en situation semi-publique.
20:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le policier grièvement blessé lors de l'attaque de Mannheim a été plongé dans le coma artificiel.
Allemagne. Le policier grièvement blessé lors de l'attaque de Mannheim a été plongé dans le coma artificiel. Sa vie est donc toujours en danger. Il a été poignardé au cou et à la tête par l'agresseur afghan avec un couteau d'environ 30 centimètres de long. Un mandat d’arrêt a été émis contre ce migrant arrivé en 2014. Parmi les cinq autres victimes, une a pu quitter l’hôpital.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/05/31/mic...)
18:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
De nombreuses personnes ont pris part à la marche pour la paix du Fidesz à Budapest.
Hongrie. De nombreuses personnes ont pris part à la marche pour la paix du Fidesz à Budapest.
18:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'AfD donnée à 16 % et le BSW à 7 %.
Allemagne. Sondage pour des élections législatives.
(https://www.wahlrecht.de/umfragen/insa.htm)
SPD : sociaux-démocrates
CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens
Grüne : écologistes
FDP : libéraux
AfD : patriotes
Die Linke : post-communistes
Électeurs libres
BSW : gauche anti-immigration
Sonstige : autres
18:16 | Lien permanent | Commentaires (0)
Entretien de Lionel Baland avec la tête de liste du Vlaams Belang pour les élections européennes Tom Vandendriessche.
Belgique et UE. Flandre. Entretien avec la tête de liste du Vlaams Belang pour les élections européennes Tom Vandendriessche :
https://www.breizh-info.com/2024/06/01/233617/tom-vandend...
15:11 | Lien permanent | Commentaires (0)
Lors de l'attaque islamiste contre Michael Stürzenberger, le policier qui se bat désormais pour sa vie a complètement échoué. L'agresseur était déjà sous contrôle et aurait pu être arrêté.
Lors de l'attaque islamiste contre Michael Stürzenberger, le policier qui se bat désormais pour sa vie a complètement échoué. L'agresseur était déjà sous contrôle et aurait pu être arrêté :
https://www.facebook.com/helmutgernot.tegetmeyer.7/videos...
12:25 | Lien permanent | Commentaires (0)
Photo de Geert Wilders et de Michael Stürzenberger.
Allemagne et Pays-Bas. Une photo que j'ai prise en 2013 à Bonn de Geert Wilders et de Michael Stürzenberger, lors d'un rassemblement organisé par le Bürgerbewegung Pax Europa qui organisait hier le meeting au cours duquel Michael Stürzenberger a été attaqué au couteau par un islamiste.
Geert Wilders et Michael Stürzenberger
11:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
Michael Stürzenberger a été opéré et reste hospitalisé.
Allemagne. Michael Stürzenberger a été opéré hier durant deux heures et demi et reste hospitalisé. Ses jours ne sont pas en danger.
(https://www.youtube.com/watch?v=-IMv2wBd3Cg)
Michael Stürzenberger sur son lit d'hôpital
11:32 | Lien permanent | Commentaires (0)
31/05/2024
Le président du syndicat de la police estime que l'attaque au couteau contre le stand anti-islamisation est un "heurt entre des extrémistes".
Allemagne. Le président du syndicat de la police estime que l'attaque au couteau contre le stand anti-islamisation est un « heurt entre des extrémistes », plaçant l'assaillant et les victimes sur le même pied.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/05/31/mic...)
20:34 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'interdiction d'entrée en Allemagne de Martin Sellner est illégale.
Allemagne et Autriche. Le tribunal administratif de Potsdam a approuvé une requête en urgence déposée par l’identitaire autrichien Martin Sellner contre l’interdiction d'entrée dans toute l'Allemagne dont il est victime.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/03/19/mar...)
20:28 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Matteotti, Meloni brise le tabou."
Italie. Revue de presse.
La presse titre largement sur l'accord de Washington pour que des armes américaines puissent frapper des cibles en territoire russe pour défendre Kharkiv : « Biden dit oui à l’Ukraine pour frapper la Russie » (Corriere della Sera, Quotidiano Nazionale), « Russie, des jeux atomiques [de dissuasion] » (Repubblica). La condamnation de Donald Trump par la justice américaine est aussi citée : « Trump jugé coupable pour 34 chefs d’accusation » (Repubblica), « Trump, une condamnation historique » (Corriere). Enfin, les commémorations du 100e anniversaire de l’assassinat du sénateur Giacomo Matteotti, victime emblématique du régime mussolinien font aussi la une : « Matteotti, le tournant de Meloni qui reconnait la responsabilité du fascisme » (Stampa), « Matteotti, Meloni brise le tabou » (Messaggero).
Les JT couvrent essentiellement le procès de Donald Trump, reconnu coupable des 34 chefs d’accusation le visant, la guerre en Ukraine et l’évolution de la position américaine sur l’utilisation d’armes occidentales au-delà de la frontière russe, avec l’autorisation donnée à Kiev d’utiliser le matériel américain pour frapper des objectifs russes mais uniquement dans la région de Karkhiv, ainsi que le Proche-Orient, où Israël poursuit ses raids pendant que le leader de l’opposition à Benjamin Netanyahou, Benny Gantz, plaide pour des élections anticipées.
ARTICLE, La Stampa, F. Olivo « Réformes, Meloni critique l’ingérence de la Conférence des Evêques » : « Les ingérences du Vatican, les enquêtes des magistrats, les critiques venant de l’opposition et l’impolitesse de certains présidents de région. A l’approche des élections, Giorgia Meloni passe à l’attaque. En réaction aux déclarations du Cardinal Matteo Zuppi, qui avait dit que ‘’les équilibres institutionnels doivent toujours être modifiés avec beaucoup d’attention’’, Meloni répond durement ‘’je ne sais pas au juste quelles sont les inquiétudes de la Conférence épiscopale, puisque cette réforme ne concerne pas les relations entre l’Etat italien et le Saint-Siège. Laissez-moi dire aussi que l’Etat du Vatican n’est pas une république parlementaire et personne n’a exprimé des inquiétudes à ce propos, donc, faisons en sorte que personne ne s’inquiète de rien’’. Les sondages ne sont pas aussi bons qu’espéré et les attentes de FdI ont été revues à la baisse avec un objectif de 26% des voix. Raison pour laquelle Meloni a décidé de s’exposer à l’occasion d’une intervention médiatique lui permettant de faire passer un message politique plus direct et simple. Sur les plateaux de Rete 4, Meloni peut ainsi défendre ses réformes en cours. La présidente du Conseil aborde notamment la réforme de la justice : ‘’nous avons décidé de modifier la sélection des membres du Conseil Supérieur de la Magistrature et de la faire par tirage au sort, car nous voulons libérer la magistrature du problème des courants politisés’’. Concernant l’enquête pour corruption visant le président de la région Ligurie Giovanni Toti, Meloni souligne ‘’j’aimerais bien qu’il n’y ait pas un délai aussi important entre le début de l’enquête et un avis de parution qui tombe en pleine campagne électorale’’. Elle appelle ainsi la magistrature à prendre ses responsabilités, y compris l’affaire du sermon d’un imam à l’université de Turin ‘’je souhaite que l’Etat italien puisse encore faire respecter les règles car la propagande jihadiste chez nous n’est pas tolérée et je m’attends à ce qu’il y ait au moins un magistrat qui s’occupe de cette affaire'’. Puis, à l’encontre du dirigeant du M5S, elle déclare que ‘’sur la pauvreté, Giuseppe Conte est expert en mensonge : nous avons augmenté les salaires les plus bas tandis que son gouvernement dépensait des centaines de milliards pour rénover les habitations secondaires’’. Meloni s’en prend aussi à Elly Schlein ‘’sur le salaire minimum elle ment, et c’est une bonne nouvelle : si quelqu’un ment, cela veut dire qu’il n’a pas grand-chose à dire’’. Enfin sur le président de la région Campanie De Luca, elle se défend [pour avoir repris les propos de ce dernier en se présentant : « je suis cette c. de Meloni, enchantée »] ‘’je le referais cent fois, pas pour moi mais pour toutes les femmes que l’on pense pouvoir insulter librement. Le temps où les femmes subissaient les intimidations est révolu !’’ »
COULISSES, Corriere della Sera, de F. Verderami, « Le plan B de la Présidence du Conseil pour la Commission européenne : un candidat extérieur à l’exécutif » : « Il arrive souvent qu’un leader politique déclare avoir une solution en tête avant de l’avoir réellement, c’est le cas de Giorgia Meloni lorsqu’elle a annoncé avoir ‘’une idée’’ pour la Présidence de la Commission européenne. En réalité, c’est surtout un ‘’profil-type’’ qu’elle a en tête. Elle sait du reste que même après le scrutin, elle ne pourra pas balayer toutes les réserves autour de son candidat. Les élections du 9 juin détermineront les rapports de forces entre les (nombreuses) familles européennes mais les négociations seront menées par les gouvernements de chaque pays et le Parlement, or Strasbourg jouera cette fois un rôle important, plus que par le passé. Selon les projections d’Europe Elects, les Populaires, Socialistes et Libéraux devraient obtenir la majorité absolue avec 404 sièges sur 720 et U. von der Leyen pourrait ainsi être reconfirmée pour un second mandat. N’oublions pas toutefois que le vote est secret et qu’au Parlement européen les ‘’francs-tireurs’’ sont historiquement nombreux. La candidature d’U. von der Leyen aura donc besoin du soutien d’un autre groupe, comme les Verts ou les Conservateurs dirigés par Giorgia Meloni. Or si la présidente sortante de la Commission européenne devait échouer, le PPE qui bénéficie de la majorité relative, devra proposer un autre candidat. Antonio Tajani pourrait en faire partie. Giorgia Meloni ne pourra alors pas tout de suite proposer son propre candidat face à son adjoint à la Présidence du Conseil et ministre des Affaires étrangères. Pourtant, la Présidente du Conseil qui avait laissé entendre ces dernières semaines que le candidat qu’elle voulait promouvoir à la Présidence de la Commission serait extérieur au gouvernement. En réalité, elle ne souhaite pas modifier la structure de son exécutif pour des raisons politiques car cela pourrait avoir un effet domino sur l’ensemble des équilibres de la majorité, voire aboutir à un pénible remaniement. Cela laisse entendre qu’elle préfère le ‘’plan A’’ pour la Commission européenne, soit la reconduction d’U. von der Leyen. Les jeux de pouvoir à Bruxelles pourraient même lui permettre de décrocher une vice-présidence pour l’Italie, qui sait. Mais la Présidente du Conseil pourrait surtout gagner en crédit pour protéger son commissaire en vue des délicates auditions au Parlement européen. Une audition qui n’a rien d’une formalité, comme s’en souvient Emmanuel Macron : il y a 4 ans, la commissaire qu’il avait indiquée, Sylvie Goulard, avait finalement trébuché au terme d’un règlement de compte organisé par le chef du PPE, M. Weber. Un affront que le Président français avait dû subir, malgré le fait qu’il était alors un leader puissant en Europe et non un souverainiste isolé. Meloni n’a pour l’instant identifié que le profil de son futur commissaire, ce que confirme un important membre de son parti Fratelli d’Italia, et la liste des candidats potentiels serait longue, du chef des renseignements Belloni à l’ancienne ministre Moratti. »
ARTICLE, il Messaggero, M. Ajello : « Les élections européennes et la compétition italienne pour savoir qui est le plus pacifiste » : « Plus la Russie progresse dans sa guerre, plus l’Europe et l’OTAN lèvent les tabous sur une défense militaire plus franche de l’Ukraine, plus Moscou émet des menaces terrifiantes, comme celle d’une attaque nucléaire, et plus la campagne italienne pour les européennes s’axe sur le pacifisme. Ce pacifisme sans limite était, au début du long chemin vers les élections européennes, l’apanage d’une certaine gauche aveugle, idéologique et démagogue. Mais plus on avance et plus le pacifisme électoral se diffuse dans toute la classe politique. C’est là la vraie surprise de cette fin de campagne, la compétition effrénée de tous contre tous pour savoir qui est le plus opposé à la guerre. Au Parti Démocrate, la secrétaire Elly Schlein est dans l’embarras face aux propos de l’ex-rédacteur en chef de Avvenire, journal catholique et pacifiste : « Si les alliances, au lieu de promouvoir l’humanité, promeuvent la guerre, alors il faut les dissoudre », a-t-il déclaré. Si « la ligne qui vaut est celle du parti, et nous sommes pour la défense de l’Ukraine et la recherche de la paix », comme l’a rappelé la secrétaire générale, il plane comme une gêne dans ce parti divisé entre néo-pacifistes et soutiens indéfectibles de l’Ukraine. Mais le pacifisme philo-russe d’un homme comme Vannacci, candidat de la Ligue, existe aussi et donne au camp néo-pacifiste une impression de déjà-vu – celle d’un axe Ligue-M5S où Giuseppe Conte attaque les gouvernements occidentaux qui seraient en train de nous « entraîner vers la troisième guerre mondiale ». Même Giorgia Meloni, qui insistait sans faillir sur le soutien à l’Ukraine, parle moins de ce sujet dernièrement, puisqu’elle sait que le pacifisme de ses alliés pourrait saper ses résultats électoraux. Il faudra toutefois rester vigilant au poids de ces questions dans les urnes. Antonio Noto, analyste extrêmement attentif à l’actualité, explique que ‘’ce ne sont pas les revirements de ces derniers jours qui changeront la donne, les partis qui se sont déjà positionnés sur la question de la paix sont les plus à mêmes d’attirer ce genre de voix’’. Et il ajoute : ‘’dans cette campagne, il manque un thème fort. Face au vide ambiant, la question de la paix est au centre des élections, mais je ne parlerais pas d’un tournant pacifiste, plutôt d’une volonté de rassurer de la part des partis’’. Même Antonio Tajani, européiste et atlantiste convaincu, s’efforce de rassurer en répondant aux pressions de l’OTAN que ‘’la constitution nous empêche d’utiliser des armes contre la Russie’’. Pour Noto, ‘’l’interventionnisme qui se diffuse dans les institutions internationales et européennes inquiète l’électorat italien, et les partis se livrent donc une bataille à celui qui réussira le mieux à le tranquilliser’’. Mais certains, à défaut de rassurer les foules, les échauffent, car le pacifisme est une des faces du populisme. »
ARTICLE, Sole 24 Ore, L. Palmerini, « Les réponses en suspens de la Présidente du Conseil à propos de l’OTAN et de Kiev » : « Les élections européennes mettent sur le devant de la scène les dilemmes que pose la guerre en Ukraine et, surtout, l’utilisation d’armes fournies par l’OTAN pour frapper le territoire russe. La peur d’une escalade, qui est très partagée par les Italiens, pousse Meloni à se désolidariser de Stoltenberg ou d’Emmanuel Macron. Mais alors qu’adviendra-t-il après le scrutin ? Pourra-t-elle vraiment se détacher de Washington et des alliés ? À la vue des choix faits jusqu’ici, il est probable qu’elle conserve sa ligne atlantiste. En effet, c’est grâce à celle-ci qu’elle a obtenu le soutien des Etats-Unis et de l’UE, grâce à sa position pro-Kiev qui lui garantit une sorte de ‘’certificat de fréquentabilité’’ internationale. Un véritable bouclier pour le gouvernement, malgré sa dette publique et la présence d’un vice-président du conseil, Matteo Salvini, au passé prorusse. Mais, même si elle représente la garantie que cette digue ne se brisera pas, comment interpréter sa prise de distance avec le chef de l’OTAN ? On le sait, les campagnes sont souvent le temps des mensonges, ce sont donc les déclarations post-élections qui compteront, et elles seront déterminées par les équilibres politiques européens à l’issue du vote. Hier encore, Viktor Orban déclarait : « le futur de la droite en Europe est entre les mains de deux femmes : Marine Le Pen et Giorgia Meloni, tout dépendra de leur capacité à collaborer ». Mais comment coopérer sur les questions extérieures ? Orban, Meloni et Le Pen ont tous les trois des positions différentes sur la question ukrainienne. L’enjeu sera donc le suivant : le 9 juin, quelle forme aura cette alliance des droites, et qui fera des concessions à qui ? Difficile d’imaginer Giorgia Meloni prendre ses distances avec les choix qu’elle a fait jusque-là pour s’aventurer dans les terres inconnues des souverainistes, surtout quand une période compliquée semble s’ouvrir pour le pays qui va devoir faire face à l’entrée en vigueur du pacte de stabilité. »
ENTRETIEN, La Stampa, d’Adolfo Urso, ministre des entreprises et du Made in Italy « L’Europe doit agir rapidement et imposer des droits de douane contre les véhicules chinois » : « ‘’À propos de la production des semi-conducteurs, à Catane nous aurons l'investissement le plus important autorisé par la Commission européenne qui fera de la vallée de l'Etna le plus grand pôle de microélectronique de la Méditerranée, avec à ses côtés la plus grande usine photovoltaïque d'Europe, 3Sun d'Enel, sur la production de laquelle les aides publiques de la Transition 5.0 sont orientées. D'ici la fin de l'année, nous pourrons compter sur au moins 10 milliards d'investissements dans la microélectronique en Italie. Concernant les primes pour l’achat de voitures électriques, le plan a été conçu pour les modèles construits en Italie. Sur les voitures chinoises, il faut imposer des droits de douane, comme l’a dit hier le commissaire Dombrovskis. Biden les a portés à 105%, il faut que l’Europe s’active à son tour.’’ »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Michael Stürzenberger attaqué au couteau par un islamiste.
Allemagne. Le militant anti-islamisation et ancien président du parti patriotique Die Freiheit Michael Stürzenberger a été attaqué au couteau à Mannheim lors d'un rassemblement anti-islamisation du Bürgerbewegung Pax Europa. La police a tiré sur l'assaillant islamiste :
Il est ici à côté de moi et tient le panneau lors d'une manifestation à Munich :
Lionel Baland et Michael Stürzenberger
Michael Stürzenberger a refondé en 2012 le mouvement de résistance au national-socialisme la Rose blanche aux côtés de Susanne Zeller-Hirzel, la grande amie de Sophie Scholl. Susanne Zeller-Hirzel était membre durant la guerre de la Rose blanche.
13:10 | Lien permanent | Commentaires (0)
Santiago Abascal reçu par Benjamin Netanyahu.
Espagne et Israël. Le dirigeant de Vox Santiago Abascal a été reçu par le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu :
https://www.lorientlejour.com/article/1415491/polemique-e...
Santiago Abascal et Benjamin Netanyahu
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30/05/2024
Le futur gouvernement néerlandais cherche une majorité au Sénat.
Pays-Bas. Le futur gouvernement néerlandais cherche une majorité au Sénat. Le parti anti-islamisation PVV, le parti libéral de droite VVD et le parti des agriculteurs BBB disposent de 30 sièges sur 75, alors que le NSC n’en a pas.
En conséquence, il manque 8 sièges à la coalition. Les deux autres partis patriotiques représentés au Sénat, JA21 et le Forum voor Democratie, disposent de respectivement 3 et 2 sièges et le parti chrétien protestant SGP de 2 sièges. Reste à trouver 1 siège ailleurs.
20:00 | Lien permanent | Commentaires (0)
Reportage de TV Libertés sur les élections européennes aux Pays-Bas avec intervention de Lionel Baland.
Pays-Bas. Reportage de Nicolas de Lamberterie sur les élections européennes aux Pays-Bas (de 13’25’’ à 18’21’’) :
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