25/02/2024
Nordharz : le candidat de l’AfD perd très largement, lors de l’élection directe du maire, face au candidat sans parti.
Allemagne. Saxe-Anhalt. Nordharz. Le candidat de l’AfD perd très largement, lors de l’élection directe du maire, face au candidat sans parti.
21:46 | Lien permanent | Commentaires (0)
Wanzleben-Börde : le candidat de l'AfD à la mairie arrive troisième.
Allemagne. Saxe-Anhalt. Wanzleben-Börde. Lors du premier tour de l’élection directe du maire, le candidat de l’AfD arrive troisième avec 17,82 %. Il ne prendra donc pas part au second tour.
(https://wahlen.landkreis-boerde.de/20240225/15083531/prae...)
21:38 | Lien permanent | Commentaires (0)
Sahra Wagenknecht ne désire pas voir le BSW gouverner en Thuringe avec l’AfD.
Allemagne. Sahra Wagenknecht, du parti de gauche anti-immigration BSW, déclare au Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung : « La grande majorité des électeurs de l’AfD ne sont pas des radicaux de droite. »
Elle ne désire pas voir le BSW gouverner en Thuringe avec l’AfD à l’issue des élections de septembre 2024 car l’AfD est, selon elle, contrôlée en Thuringe par des radicaux. Elle n’exclut cependant pas que des motions soient adoptées avec les voix conjointes du BSW et de l’AfD.
Sahra Wagenknecht considère que la coprésidente de l’AfD Alice Weidel ne représente pas des opinions radicales, mais plutôt des positions conservatrices et économiquement libérales. Weidel ne développe pas des thèses ethnicistes, alors que, selon Sahra Wagenknecht, la figure de proue de l’AfD en Thuringe, Björn Höcke, le fait.
Sahra Wagenknecht estime que l’aile nationaliste prend de plus en plus le contrôle de l’AfD.
21:22 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le chef de file des élus sociaux-démocrates SPD au Parlement de l’État de Berlin désire ancrer la lutte contre "l'islamophobie et le racisme" dans la Constitution.
Allemagne. État de Berlin. Le chef de file des élus sociaux-démocrates SPD au Parlement de l’État de Berlin Raed Saleh désire ancrer la lutte contre « l'islamophobie et le racisme » dans la Constitution de l'État de Berlin.
17:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Vlaams Belang porte plainte pour diffamation contre la présidente du parti socialiste.
Belgique. Flandre. Le Vlaams Belang porte plainte pour diffamation contre la présidente du parti socialiste Vooruit, qui a répondu par l'affirmative dans un entretien au quotidien De Tijd lorsqu'elle s'est vue demander si le président du Vlaams Belang, Tom Van Grieken, est raciste.
16:30 | Lien permanent | Commentaires (0)
Liechtenstein : 2/3 des électeurs ont refusé d'élire directement les ministres.
Liechtenstein. Lors d’un référendum, 2/3 des électeurs ont refusé d'élire directement les ministres.
14:42 | Lien permanent | Commentaires (0)
24/02/2024
Santiago Abascal rencontre Donald Trump.
Espagne et États-Unis. Le dirigeant de Vox Santiago Abascal (Espagne) a rencontré, durant 15 minutes, l'ancien président des États-Unis Donald Trump à Washington, dans le cadre de la Conférence d'action politique conservatrice (CPAC), le principal événement du mouvement conservateur aux États-Unis.
Santiago Abascal et Donald Trump
21:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Avec le FPÖ à la tête du gouvernement, la neutralité de l'Autriche renaîtra !"
Autriche.
Le président du FPÖ Herbert Kickl : "Avec le FPÖ à la tête du gouvernement, la neutralité de l'Autriche renaîtra !"
19:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
Geert Wilders modifie sa position à propos de l'Ukraine.
Pays-Bas et Ukraine. Le dirigeant du PVV Geert Wilders n’est pas satisfait de l'accord de sécurité de dix ans que le gouvernement sortant conclura avec l'Ukraine, car il estime qu’un gouvernement sortant ne peut pas conclure un tel accord.
Cependant, Geert Wilders se dit, pour la première fois, prêt à parler de « toute forme d'aide » à l'Ukraine, y compris d'aide militaire, alors que, jusqu’à présent, le PVV considérerait que l’Ukraine ne devait recevoir qu’un soutien politique.
Alors que le PVV de Geert Wilders soutient l’Ukraine face à la Russie, le Forum voor Democratie de Thierry Baudet désire que les Pays-Bas restent neutres et s’oppose à « tout soutien à la guerre que les États-Unis conduisent par procuration contre la Russie ».
16:27 | Lien permanent | Commentaires (0)
Un député AfD rappelé à l'ordre pour avoir montré un drapeau allemand à la Chambre des députés.
Allemagne. Le député de l’AfD Martin Reichardt a été rappelé à l’ordre par la présidence de la Chambre des députés pour avoir montré un drapeau allemand lors d’une intervention à la tribune de cette institution.
15:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
23/02/2024
La Conférence épiscopale allemande de l'Église catholique appelle les chrétiens à s'engager contre l'AfD.
Allemagne. La Conférence épiscopale allemande de l'Église catholique appelle les chrétiens à s'engager contre l'AfD et rejette la conception de « l’existence de peuples qui pourraient être nettement différenciés des autres peuples par leur essence et leurs modes de vie culturels ».
21:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les patriotes de l'AfD votent contre la légalisation du cannabis et la gauche-anti-immigration du BSW pour.
Allemagne. Les élus sociaux-démocrates (SPD), écologistes, libéraux (FDP), post-communistes (Die linke) et du parti anti-immigration BSW ont voté en faveur de la légalisation de la consommation de cannabis. Les démocrates-chrétiens de la CDU, les sociaux-chrétiens de la CSU et les patriotes de l’AfD s’y sont opposés.
20:49 | Lien permanent | Commentaires (0)
Dans l'Est de l'Allemagne, les nationalistes de l'AfD sont donnés à 28,5 % et la gauche anti-immigration du BSW à 18 %.
Allemagne. Dans l'Est (à droite), les nationalistes de l'AfD sont donnés à 28,5 % et la gauche anti-immigration du BSW à 18 %.
(Ouest/Est)
SPD : sociaux-chrétiens
CDU : démocrate-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens
Grüne : écologistes
FDP : libéraux
AfD : nationalistes
Die Linke : post-communiste
BSW : gauche anti-immigration
Andere : autres
Le même sondage réalisé en novembre 2023 :
(https://www.revue-elements.com/un-nouveau-parti-populiste...)
18:42 | Lien permanent | Commentaires (0)
Thuringe : l'AfD donnée à 47,5 % chez les 18 à 29 ans.
Allemagne. Thuringe. Sondage selon l'âge pour les élections du 1 septembre pour le Parlement de Thuringe : 47,5 % pour les nationalistes de l'AfD chez les 18 à 29 ans.
Die Linke : post-communiste
AfD : nationalistes
CDU : démocrate-chrétiens
SPD : sociaux-chrétiens
Grüne : écologistes
FDP : libéraux
Un autre parti
Ne sait pas
15:39 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Parlement albanais a ratifié l'accord de coopération avec l'Italie contre l'immigration clandestine et la traite des êtres humains.
Albanie et Italie. Le Parlement albanais a ratifié l'accord de coopération avec l'Italie contre l'immigration clandestine et la traite des êtres humains.
Les socialistes, qui gouvernent l'Albanie, ont voté pour la ratification et les conservateurs contre.
14:24 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Entre élections régionales et européennes, l’axe entre Fratelli d’Italia et Forza Italia pour contrer la Ligue."
Italie. Revue de presse.
Le rejet de l'amendement de la Ligue, par Fratelli d’Italia et Forza Italia, demandant d’augmenter la limite des mandats des présidents de région à trois (au lieu de deux actuellement), fait les gros titres « Le « non » au troisième mandat divise la majorité » (Corriere della Sera), « La crise du troisième mandat » (Repubblica), « Le duel sur le troisième mandat : l'isolement de Salvini et les tensions au sein du PD » (Stampa). L'état d'avancement des projets du Plan de Relance National (PNRR) est aussi cité « PNRR, seulement 11% du fonds a été dépensés » (Sole 24 Ore), « Meloni : « PNRR il faut maintenant accélérer » » (Messaggero). Les suites du décès de l'opposant russe A. Navalny sont aussi en Une : « Le corps de Navalny montré à la mère, l'ombre d'un chantage » (Corriere), « La mère de Navalny : « ils veulent faire des obsèques secrètes » » (Repubblica), « Navalny : Biden insulte Poutine et le Tzar menace la France » (Giornale).
Les JT couvrent essentiellement l’incendie meurtrier à Valencia, l’entretien de la Présidente du Conseil G. Meloni hier soir à l’émission Porta a Porta revenant sur le rejet par la commission Affaires constitutionnelles au troisième mandat pour les Présidents de région et les enjeux la réforme constitutionnelle qui accorderait davantage de pouvoir au Président du Conseil, les suites du décès de l'opposant russe A. Navalny et les nouvelles sanctions américaines contre la Russie.
COULISSES, Messaggero, de F. Malfetano, « Entre élections régionales et européennes, l’axe entre Fratelli d’Italia et Forza Italia pour contrer la Ligue » : « Au Sénat hier on n’a pas assisté au dernier acte de la bataille sur le troisième mandat [des présidents de région]. A peine la possibilité de dépasser l’actuelle limite écartée, le vice-président de la Commission Affaires constitutionnelles, Paolo Tosato, a déclaré ‘’nous nous fions au seul jugement qui compte en démocratie, à savoir le vote populaire’’. La Ligue n’est donc pas disposée à renoncer au contenu de l’amendement créé sur mesure pour Luca Zaia, président de la région Vénétie. La Ligue ne semble pas non plus se rendre compte du poids politique du revers essuyé au sein de la majorité. Au point que Matteo Salvini se mouille en personne (‘’il n’y aura aucun problème au sein de la majorité si la loi pour un troisième mandat ne passe pas au Parlement’’) avant de revenir à la charge : ‘’la proposition a été rejetée en commission, on en reparlera au Parlement qui est souverain, et les citoyens sauront quoi faire’’. Après avoir tendu plusieurs fois la main à son allié, Fratelli d’Italia reste désormais impassible et se prépare même à ériger un véritable mur contre la Ligue si elle présentait à nouveau l’amendement lors de l’examen au Sénat du décret sur les élections. La direction de Fratelli d’Italia n’exclue pas de demander la confiance sur le projet de loi, ce qui fait prévaloir la version originale du texte et exclue tous les amendements. Il s’agit toutefois d’une issue que la Présidente du Conseil et ses proches tenteront d’éviter jusqu’au dernier moment, alors que la tension monte déjà dangereusement. Ces dernières semaines, la Ligue a été mise à l’écart par Fratelli d’Italia et Forza Italia avec la candidature en Sardaigne du proche de Meloni, Truzzu, à la place de Christian Solinas, dure à accepter pour la Ligue, et la distance nette prise Meloni et Tajani vis-à-vis des positions de Salvini sur la Russie. Malgré les propos du ministre Fratelli d’Italia Luca Ciriani pour dédramatiser (‘’il n’y aura pas de répercussions sur l’activité du gouvernement’’), la tentative de reléguer la Ligue au second plan est assez évidente. En Europe, Salvini s’est mis tout seul à l’écart en se positionnant du côté d’Identité et Démocratie, mais en Italie, tout va se jouer en Vénétie. Si l’actuel président de région Luca Zaia est a priori désormais hors-jeu (mais il est certain que cela ne sera pas si simple), Fratelli d’Italia pourrait bien remporter sa première région dans le Nord de la Péninsule et surtout conquérir le fief historique de la Ligue. Ce serait le couronnement du ‘’nouvel équilibre’’ du centre-droit évoqué à plusieurs reprises par Meloni, entre autres. Le rôle de Forza Italia sera crucial pour que cela de crée pas une fracture irréparable entre les alliés au gouvernement. Il faudrait par exemple une phase de transition en Vénétie pour éviter l’implosion après Zaia et le face à face entre un candidat de Fratelli d’Italia et un candidat de Forza Italia pourrait finalement servir à mettre en valeur une troisième option, appréciée de la Présidente du Conseil et soutenue par les différents partis : Matteo Zoppas, actuellement président de l’ICE, l’agence pour la promotion à l’étranger et l’internationalisation des entreprises italiennes. »
EDITORIAL, S. Folli, Repubblica, « Fracture à droite et doutes à gauche » - « La scission au sein du centre-droit n'est pas une surprise. Sur le fameux "troisième mandat" des présidents de région, elle était inévitable, à moins d’un report du vote en commission Affaires constitutionnelles. Mais le vote a eu lieu, la fracture aussi. L'amendement de Salvini a sombré, mais le gouvernement a tenu. Une fois de plus, le vrai perdant est le leader de la Ligue : Salvini n'a pas su protéger ses '’gouverneurs'’ et il devra affronter, dans un an, le cas d’une personnalité aussi populaire que Luca Zaia (Président de Vénétie) qui se retrouvera sans poste » : « Certains imaginent à long terme une sorte d'’’alliance’’ des administrateurs locaux contre Salvini : il a marginalisé la Ligue à l'extrême droite ; il a conclu avec Poutine un pacte si contraignant qu’il se doit de le défendre dans l'affaire Navalny ; et il se retrouve dans une impasse, ayant perdu – semble-t-il – plus de deux tiers des intentions de vote que la Ligue recueillait à son âge d'or. Mais à qui profite le nouvel incident qui secoue la majorité gouvernementale ? Elly Schlein et Giuseppe Conte ne forment toujours pas de coalition, pas d’alternative viable au centre-droit donc. Renzi (Italia viva) attaque : si l'opposition avait voté de manière unie pour l'amendement de la Ligue, peut-être que l'exécutif Meloni serait tombé. Les événements d'hier montrent que l’opposition n’est pas prête. La lutte pour le pouvoir entre Meloni et son rival se poursuit et ne cessera pas tant que l'un des deux ne sera pas éliminé. Salvini apparaît le plus en danger : il est le plus faible, le plus menacé par les juges pour le Pont sur le détroit de Messine, le moins doté d'une vision à moyen terme ; et comme si cela ne suffisait pas, le plus empêtré dans une politique étrangère pro-russe qui n'est pas compatible avec un pays membre de l'OTAN, surtout dans une phase de fortes tensions internationales. Même à gauche, la politique étrangère reste un point d’achoppement irrésolu Pour revenir à la droite, même une défaite en Sardaigne ne redonnerait pas à Salvini son lustre d'antan. La chute de Truzzu offrirait certes d'excellents arguments à ceux qui affirment que la relation spéciale que Giorgia Meloni entretient depuis un an et demi avec une part importante de l'opinion publique touche à sa fin. La Ligue ne représenterait cependant pas une alternative. Après le blocage du troisième mandat et au-delà de la Sardaigne, le gouvernement Meloni ira de l'avant, même s'il est meurtri. Et s'il devait s'effondrer un jour, il n'y aurait pas, cette fois, d'exécutif technique à l'horizon ».
ARTICLE, Il Foglio, « Meloni décide de miser sur Kiev le jour du sacre de Trump à la conférence des Républicains » : « La coïncidence n'arrange rien : alors que Giorgia Meloni présidera sa première réunion du G7 sur l'Ukraine, à Washington Donald Trump clôturera la conférence des Républicains. En Amérique, Meloni a envoyé une délégation de parlementaires de Fratelli d'Italia pour représenter l'Ecr, le parti des conservateurs européens dont elle est la présidente. Mais les propos de Steve Bannon ‘’L’Ukraine est un pays corrompu’’ ancien idéologue du magnat et invité au meeting de Fdi Atreju en 2018, ont alarmé la Présidence du Conseil italien. C'est pourquoi la Présidente du Conseil semble avoir décidé de ne pas envoyer de message vidéo à la CPAC. Le court-circuit pourrait être dévastateur : le samedi 24 février marque les deux ans de l'invasion de l'Ukraine par la Russie. La Présidente du Conseil veut célébrer l'engagement de l'Italie aux côtés de Zelensky, au point de signer un accord bilatéral de sécurité, comme l'a annoncé le ministre des affaires étrangères Antonio Tajani. Les paroles de Trump sont attendues avec une certaine anxiété. Cependant, si la ligne était celle exprimée par Bannon, il pourrait y avoir un décalage : d’une part Joe Biden en visioconférence avec Meloni, d’autre part le candidat républicain attaquant l'envoi d'armes à Kiev et réitérant peut-être sa non-hostilité à l'égard de Moscou. »
ARTICLE, La Stampa, de M. Bresolin, « Le chef de la mission part pour la Cour des comptes, Rome n’abritera plus le siège de l’autorité européenne anti-blanchiment » : « Une journée en demi-teinte pour le gouvernement italien à Bruxelles : hier matin, le Parlement européen a donné son feu vert pour la nomination de Carlo Alberto Manfredi Selvaggi en tant que juge italien à la Cour des comptes européenne, dont la candidature avait été proposée par l'exécutif de Giorgia Meloni sous les protestations de l'opposition. Puis ça a été la douche froide : les ambassadeurs des 27 pays membres et les députés européens ont voté le déplacement de la nouvelle autorité de lutte contre le blanchiment à Francfort, décevant définitivement les espoirs de Rome, qui était en lice avec sept autres villes. Le départ de Manfredi Selvaggi à la Cour des comptes européenne aura des conséquences en Italie, où il dirigeait depuis mai dernier la structure de mission du Plan de Relance. Le gouvernement devra maintenant lui trouver un remplaçant, les deux fonctions étant incompatibles. Le soutien du ministre Raffaele Fitto (Frères d’Italie) à Manfredi Selvaggi n’avait pas plu au sein de la Cour des comptes italienne, le gouvernement ayant aussi ignoré les deux candidatures proposées par les juges-comptables. De plus, Manfredi Selvaggi passera à l'organisme européen qui a justement pour mission de contrôler l'utilisation des fonds européens. Après avoir revendiqué son indépendance, le candidat a reçu le soutien du PPE, des conservateurs et des souverainistes - les trois groupes auxquels appartiennent les partis au gouvernement - mais aussi des libéraux de RenewEurope. La formation proche de Macron a donc préféré ne pas entraver Meloni. ‘’Avec cette nomination, le contrôlé devient le contrôleur’’ soulignent le Parti démocrate et le Mouvement 5toiles qui dénoncent ‘’un conflit d'intérêt qui soulève des doutes légitimes sur l'indépendance des juges européens". En revanche, la candidature de Rome pour accueillir le siège de l'autorité européenne anti-blanchiment a été rejetée. Selon un nouveau système créé précisément pour éviter les polémiques qui avaient fait suite à l'attribution de l'Agence des médicaments (Ema) à Amsterdam (contre Milan), les 27 ambassadeurs et 27 députés européens ont voté hier soir parmi les 9 villes candidates. Francfort a remporté une large majorité de voix (28) devant Madrid (16), Paris (6) et Rome (4). Il y a trois semaines, les différents pays avaient été auditionnés afin de présenter leurs candidatures respectives. Les ministres des finances allemand, espagnol et français avaient participé, alors que l’Italie n'était pas représentée par le ministre Giancarlo Giorgetti, mais par le maire de Rome, Roberto Gualtieri.
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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22/02/2024
Le 22 février 1943, les patriotes membres de la Rose blanche Hans et Sophie Scholl et Christoph Probst étaient exécutés.
Allemagne. Le 22 février 1943, les patriotes membres de la Rose blanche Hans et Sophie Scholl et Christoph Probst étaient exécutés. Hans Hirzel, aussi membre de la Rose blanche, a été le candidat en 1994 du parti patriotique Die Republikaner à la présidence de la République.
Rendons hommage à Susanne Zeller-Hirzel, membre de la Rose blanche, qui a été membre du parti patriotique Die Republikaner et du mouvement anti-islamisation Bürgerbewegung Pax Europa. Susanne Zeller était une amie de Sophie Scholl. Elle est morte en 2012.
Susanne Zeller-Hirzel, sœur de Hans Hirzel
La Rose blanche tire ses racines de la culture du bündische Jugend et du mouvement chrétien.
(https://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%BCndische_Jugend)
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2012/09/20/le-...)
23:13 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'Office bavarois de protection de la Constitution reconnaît qu'il est à la limite de ses capacités en raison de l'observation de l'AfD.
Allemagne. Bavière. L'Office bavarois de protection de la Constitution reconnaît qu'il est à la limite de ses capacités en raison de l'observation de l'AfD.
22:58 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le ministre-président post-communiste de Thuringe voit dans le renforcement de l'AfD un danger pour l'économie et la prospérité en Allemagne.
Allemagne. Thuringe. Le ministre-président post-communiste de Thuringe Bodo Ramelow (Die Linke) voit dans le renforcement de l'AfD un danger pour l'économie et la prospérité en Allemagne.
22:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le maire de Düsseldorf blâmé pour avoir appelé les employés de la ville à participer à une manifestation contre l'AfD.
22:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Vlaams Belang place des panneaux de nom de lieu avec le nom d’Anvers écrit en arabe.
Belgique. Flandre. Anvers. La section d’Anvers du Vlaams Belang a placé, durant la nuit, des panneaux de nom de lieu avec le nom d’Anvers écrit en arabe, afin de dénoncer l’islamisation et le grand remplacement.
22:13 | Lien permanent | Commentaires (0)
Qui veut voter pour le BSW ?
Allemagne. Un sondage Allensbach montre que les électeurs potentiels du BSW de Sahra Wagenknecht proviennent de tous les groupes sociaux. Les femmes et les hommes y sont répartis presque également, tout comme les différents groupes de revenus.
Parmi les personnes qui envisagent de voter pour le BSW, 25 % ont voté pour les démocrates-chrétiens de la CDU lors des élections fédérales de 2021, 19 % pour les sociaux-démocrates du SPD, 15 % pour les patriotes de l’AfD et 14 % pour les post-communistes de Die Linke.
69 % des électeurs potentiels du BSW déclarent vouloir exprimer leur mécontentement à l'égard de la politique actuelle, 59 % affirment « Sahra Wagenknecht me convainc en tant que personne » et 22 % se disent « convaincus par le parti et ses positions ».
14:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Tensions au sein de la majorité sur la réforme électorale pour l’élection des présidents de région."
Italie. Revue de presse.
Les reconstructions autour du décès de Navalny « Navalny tué par un coup de poing au cœur » (Stampa), « Nalvalny, nouvelle hypothèse : un coup de poing au cœur l’aurait tué. Tensions entre Moscou et la Farnesina » (Corriere), font la une mais plusieurs autres sujets se partagent les gros titres ce matin : la plainte déposée à Rome par les partis d’opposition contre la réalisation du Pont de Messine « Le duel sur le Pont » (Corriere della Sera), les tensions au sein de la majorité sur la réforme électorale pour l’élection des présidents de région « Réformes, la Ligue fait bloc » (Repubblica). Le durcissement des règles et des modalités de la sous-traitance dans les chantiers est aussi cité : « Le tour de vis sur la sécurité » (Messaggero), « Le ‘’Far West’’ des chantiers : 76% des sous-traitances sont hors la loi » (Stampa) et enfin la réforme de la fiscalité « Des sanctions désormais plus légères pour les retardataires » (Sole 24 Ore, Messaggero).
ARTICLE, Sole 24 Ore, « Pont sur le détroit de Messine, ouverture d’une enquête à Rome » : « Le parquet de Rome a ouvert une enquête, sans suspect ni infraction pénale pour le moment, suite à une plainte déposée par le député européen Angelo Bonelli (Verts et Alliance de Gauche), la secrétaire du PD Elly Schlein et le secrétaire du Parti de la Gauche Italienne Nicola Fratoianni sur le projet de construction du pont sur le détroit de Messine et d'éventuelles irrégularités dans la conception du pont sur le détroit. Son contenu est à l’étude. ‘’Monsieur le ministre Salvini", a déclaré M. Bonelli "le pont n'est pas un droit, c'est seulement votre exigence politique. Les Italiens demandent des chemins de fer qui fonctionnent, un système sanitaire qui fonctionne, des écoles qui ne tombent pas en ruine". Des proches de la Ligue ont répondu "Le PD et la gauche sont contre les grands travaux publics, le travail et le développement du pays. Ils se révèlent être des ennemis de l'Italie. Leurs menaces ne nous arrêteront pas. Nous continuons à travailler pour débloquer et achever tous les travaux qui ont été suspendus depuis trop longtemps". »
ARTICLE, Sole 24 Ore, G. Negri « Justice, le Conseil Supérieur de la Magistrature rejette le projet de loi Nordio » - Dans le collimateur, l'abrogation de l'abus de pouvoir et les nouveautés en matière de trafic d'influence : « L'avis du Conseil Supérieur de la Magistrature, approuvé hier soir par l'assemblée plénière avec six abstentions, rejette une grande partie du projet de loi Nordio, actuellement en discussion à la Chambre après avoir été adopté au Sénat. A commencer par la disposition emblématique, l'abrogation de l'abus de pouvoir. Certains des principaux arguments en faveur de l'annulation sont démontés : du pourcentage élevé de licenciements (l'avis rappelle que le chiffre national pour tous les délits est de 62% et que la grande capacité du pouvoir judiciaire à agir comme un filtre dès la phase d'enquête est déjà un signe important), à la désormais proverbiale "peur de signer", qui est loin d'être évitée étant donné que l'abus est souvent contesté en même temps que d'autres délits. En ce qui concerne les obligations internationales, le projet actuel de directive anti-corruption exigerait que chaque État membre prévoie des sanctions pénales pour les comportements abusifs "qui incluraient certainement celles visées à l'actuel article 323 du code pénal". Si la proposition de directive de la Commission européenne, actuellement soumise au Conseil de l'Union en première lecture, est approuvée dans le texte proposé, un problème de compatibilité entre la solution d'abrogation et le droit de l'Union européenne pourrait se poser". En ce qui concerne les amendements sur le trafic d'influence, la nature exclusivement économique du pot de vin versé ou promis au médiateur n'est pas convaincante, ce qui apparaît, entre autres, en décalage avec les dispositions des conventions et directives internationales qui ne font référence qu'à la notion d'avantage, sans être trop spécifique. Quant à l'exclusion des écoutes téléphoniques des personnes non directement impliquées, il faut considérer que l'évaluation de la pertinence pour l'enquête, condition qui permet d'inclure dans le procès-verbal également des personnes autres que les parties, "est une notion en soi élastique, destinée au stade de l'écoute à être encore plus nuancée, puisque le cadre de l'enquête est en cours de définition". »
COMMENTAIRE, Corriere della Sera, M. Franco « L’Europe lance un avertissement à Poutine » : « La présidence italienne du G7 débute non seulement sous le signe de l'atlantisme de Giorgia Meloni, mais aussi de l'euroscepticisme et de l'indulgence de son adjoint Matteo Salvini à l'égard de V.Poutine. On pourrait même penser que les propos déconcertants exprimés par le dirigeant de la Ligue après la mort du dissident Navalny sont aussi, mais pas seulement, le résultat d'une volonté de se démarquer de son alliée, la Présidente du Conseil, et d'une tentative de jeter une ombre sur la crédibilité de Meloni auprès de l'OTAN et sur ses ambitions européennes. Il s'agit d'une stratégie risquée, voire autodestructrice. Le sentiment d'isolement de la Ligue ne fait qu’augmenter et cela finit par faire retomber les accusations de proximité avec Poutine sur Salvini, alors qu’une petite partie du grand groupe d'"amis" que Poutine ne cesse de revendiquer en Europe occidentale. Le fait que U. von der Leyen ait souligné la nécessité de donner plus de poids à "l'Europe de la défense" sonne comme un avertissement à ceux qui, dans la nébuleuse populiste, martèlent depuis longtemps le "non" à l'aide militaire au gouvernement de Kiev. C’est une position sur laquelle la Ligue et les Cinq Étoiles de Giuseppe Conte se sont souvent retrouvés. Il est vrai que les jugements les plus déconcertants suite à la mort de Navalny sont venus principalement de la Ligue et de l'AfD allemande. Le défi, cependant, concerne un spectre plus large de partis. Il n'y a pas de place pour les prises de distances et les écarts, a prévenu Mme von der Leyen, et "la défense sera l'un des piliers de l'action européenne. Les gens veulent que notre défense reste transatlantique, mais qu'elle devienne plus européenne". Cette approche correspond à celle de la Présidence italienne du Conseil. Mais elle pose la question de la relation entre les Populaires et les Conservateurs, le groupe présidé par Meloni. Von der Leyen le dit clairement et Manfred Weber, président du PPE, surenchérit : ‘’Orbán est le problème ! Il est la voix de Poutine dans l'UE. Un seul veto ne peut pas bloquer les sanctions, l'élargissement et les réformes. Nous devons dépasser le système de vote à l'unanimité pour qu'il ne puisse plus faire de chantage". Un message qui s'adresse à tous, y compris à la Présidente du Conseil italien qui tente de jouer les médiateurs entre le Hongrois Orbán et l'Europe. »
SONDAGE, La Stampa, de M. Bresolin, « L’Europe ne croit pas à une victoire de Kiev, l’accord de l’UE sur le fonds pour les armes à l’Ukraine est reporté » : « […] L'accord a été à nouveau reporté et le mécanisme est bloqué pour le moment. Ursula von der Leyen, interrogée sur la possibilité d'étendre la coalition au groupe des conservateurs (Ecr) auquel appartient Fratelli d'Italia a affirmé ‘’travailler avec les partis pro-européens, pro-OTAN et pro-Ukraine, et avec ceux qui soutiennent clairement nos valeurs contre les amis de Poutine". ‘’Le problème c’est Orban’’ n’a pas hésité à ajouter Manfred Weber, touchant une corde sensible pour les Conservateurs, le dirigeant hongrois étant à l’origine d’"une lutte interne au sein du groupe ECR, de même que le soutien à Poutine’’. U. von der Leyen a également évoqué l'hypothèse qu’ ‘’après les élections, certains partis quittent l'Ecr pour rejoindre le PPE". Le soutien à l’Ukraine est donc une condition nécessaire pour la prochaine présidence de la Commission, même si les signes de scepticisme des électeurs sont évidents. […] »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Serpil Midyatli met en garde face à la montée en puissance de l’AfD et du nationalisme.
Serpil Midyatli
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Rhénanie du Nord-Westphalie : le ministre de l’Enseignement appelle les enseignants à prendre part, aussi avec leurs élèves, à des manifestations contre le nationalisme.
Allemagne. Rhénanie du Nord-Westphalie. Le ministre démocrate-chrétien (CDU) de l’Enseignement Dorothee Feller appelle les enseignants à prendre part, aussi avec leurs élèves, à des manifestations contre le nationalisme, y compris contre l’AfD.
14:02 | Lien permanent | Commentaires (0)