16/01/2024
Les patriotes de l'AfD sont donnés à 25 % et la gauche anti-immigration du BSW à 8 % !
Allemagne. Les patriotes de l'AfD sont donnés à 25 % et la gauche anti-immigration du BSW à 8 % !
SPD : sociaux-démocrates
CDU : démocrates-chrétiens
Grüne : écologistes
FDP : libéraux
AfD : patriotes
CSU : sociiaux-chrétiens (Bavière)
Die Linke : post-communistes
Freie Wähler : Électeurs libres
BSW : gauche anti-immigration
Andere : autres
15:46 | Lien permanent | Commentaires (0)
Katalin Novák reçoit Robert Fico.
Hongrie et Slovaquie. La présidente hongroise Katalin Novák a reçu le Premier ministre social-démocrate slovaque Robert Fico qui dirige un gouvernement qui comprend des nationalistes du SNS.
15:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
Bade-Wurtemberg : l'AfD donnée à 26 %.
Allemagne. Bade-Wurtemberg.
Grüne : écologistes
CDU : démocrates-chrétiens
SPD : sociaux-démocrates
FDP : libéraux
AfD : patriotes
Freie Wähler : Électeurs libres
Andere : autres
[Le parti de gauche anti-immigration BSW est donné à 2 %.]
15:24 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Le Pen et le discret message à la Présidente du Conseil italienne." et "Le Fidesz souhaitait rejoindre l'Ecr."
Italie. Revue de presse.
La diffusion par le Hamas d’une vidéo montrant trois otages israéliens fait les gros titres de plusieurs quotidiens : « Gaza, l’arme des otages » (Corriere della Sera, La Repubblica) « Les vidéos macabres sur les otages » (Avvenire), « La dernière horreur du Hamas » (Il Giornale). Les sujets économiques sont également cités « L’Allemagne en récession et avec une industrie mise à mal » (Sole 24 Ore), « Le sommet de Davos qualifie d’« injuste » la réforme fiscale de Meloni [selon un rapport présenté au sommet]» (La Stampa), « MES, l’Italie en quête d’un accord avec l’UE ; Giorgetti (Ligue) cherche 20 milliards à Davos » (Domani), « Mer Rouge, la crise impacte les ports italiens » (Messaggero).
COMMENTAIRE, La Repubblica, de S. Folli, « Le ‘’premierato’’ [système politique conférant davantage de poids au Président du Conseil] à l’essai en Sardaigne » : « Le psychodrame en cours en Sardaigne peut aussi être lu comme la ligne de partage entre le vieux centre-droit tel que l’a façonné Silvio Berlusconi des années durant, et le nouveau centre-droit ‘’mélonien’’. En apparence semblables, ils présentent des différences notoires et destinées à se creuser. Le fondateur de Forza Italia respectait somme toute le principe de la coalition : réunir des partis qui voulaient s’allier, laissant à chacun sa part du pouvoir, tant qu’ils ne remettaient pas en cause son leadership. A sa façon, il avait inventé un système génial qui plaçait Forza Italia au centre du paysage politique italien, tout en tissant une relation spéciale avec ses partenaires. Cela a donné lieu à des années de gouvernements compliqués, avec quelques succès relatifs mêlés à des crises récurrentes. Ces dernières années, on peut dire que le ‘’berlusconisme’’ s’était essoufflé, au point qu’on a cherché à jeter les bases d’un nouveau mouvement centré sur la figure du leader, avec des alliés ainsi devenus des rivaux ou des concurrents. Giorgia Meloni prend la relève après le déclin de Berlusconi. Après une rapide ascension et un passage au second plan de Matteo Salvini, Giorgia Meloni remportait les élections il y a un peu plus d’un an en montrant tout de suite qu’elle ne voulait pas répéter les erreurs de l’époque Berlusconi. Son idée de coalition n’est pas celle du centre-droit d’origine, elle ne se laissera acculer par ses partenaires : ‘’je ne suis pas vulnérable au chantage’’ a-t-elle répété de façon presque excessive. Un message davantage adressé au turbulant Salvini qu’au docile Tajani. Meloni entend dépasser les limites de la coalition classique en renforçant les pouvoirs du Président du Conseil et en limitant ceux de ses partenaires. Elle compte pour cela sur une loi électorale qui doit introduire ce système du ‘’premierato’’, définissant une figure de leader qui n’a pas beaucoup de temps à perdre avec les partis minoritaires. A ce stade, le projet de loi doit encore être examiné par le Parlement et présenterait une telle quantité de points problématiques qu’il ne serait pas acceptable pour la majorité elle-même. Mais Giorgia Meloni ne veut pas y renoncer, forte des sondages témoignant de la faveur des Italiens. En attendant le passage au Parlement, on observe déjà sur le terrain une Présidente du Conseil tentant d’imposer sa volonté aux alliés qui protestent, sans crainte de trop tirer sur la corde. C’est ce qui se joue [à l’approche des élections régionales] en Sardaigne, véritable laboratoire de ce système. Nous assistons en avant-première au fonctionnement de l’Italie quand le rôle de la coalition aura été redimensionné, ce qui devra probablement passer par l’introduction d’une nouvelle loi électorale. »
ARTICLE, La Repubblica, d’A. Ginori, « Le Pen et le discret message à la Présidente du Conseil italienne, des tentatives de dialogue en vue des européennes, ‘’désormais c’est elle qui nous adresse des signaux’’ » : « Il y a des tentatives de dialogue entre Marine Le Pen et Giorgia Meloni. La communication n’a pas encore été établie mais la leader française prend connaissance avec satisfaction des récents propos de Meloni qui, lors de sa conférence de presse de début d’année, a voulu souligner ‘’l’évolution intéressante’’ du Rassemblement national. ‘’Par le passé, elle était bien plus réticente à émettre des signaux d’ouverture’’ ironisent des proches de Le Pen. ‘’Nous voulons aussi travailler avec Giorgia Meloni’’ a affirmé hier lors de son rendez-vous rituel de début d’année le jeune président du parti Jordan Bardella. Marine Le Pen avait quant à elle déclaré un jour à Repubblica ne ‘’pas être le sosie de Meloni’’. Son entourage souligne qu’il n’y a encore aucun accord concret. Le Pen et Meloni se connaissent bien et n’ont pourtant pas eu de contacts directs depuis l’arrivée au pouvoir de la Présidente du Conseil italienne qui a cherché à grand peine de nouer des liens avec Emmanuel Macron. Mais la perspective de la campagne des européennes ouvre de nouveaux horizons. Le Pen a besoin de ‘’s’institutionnaliser’’ et Meloni représente un appui politique précieux. Bardella a participé il y a quelques mois au rassemblement léghiste des souverainistes à Florence mais hier c’est Meloni qu’il a mis en avant (‘’elle a géré une situation financière délicate’’) tout en soulignant que Salvini a une ‘’réponse plus dure’’ face à l’immigration. Depuis Paris, les contacts avec Fratelli d’Italia ne sont plus exclus, sur fond d’éternelles tractations pour rapprocher les deux groupes souverainistes au Parlement européen. ‘’Impossible de dire s’il y aura fusion ou non avant les résultats du 9 juin’’ souligne Bardella. Un rapprochement du RN et de Fratelli d’Italia pourrait mettre en difficulté le parti rival Reconquête, alors que Marion Maréchal, mariée à un député européen Fratelli d’Italia, sera tête de liste aux européennes. Marine Le Pen ne serait du reste pas mécontente de rompre le lien fragile entre Meloni et Macron, qui ont, non sans peine, normalisé leurs relations et parviennent à travailler ensemble sur certains dossiers. Macron mise sur le fait que Meloni puisse rejoindre la ‘’majorité Ursula’’ pour une réélection de l’actuelle présidente de la Commission européenne ou, qui sait, celle d’un candidat comme Mario Draghi. Pour Meloni aussi il sera difficile d’ignorer un résultat spectaculaire de Le Pen, si les sondages se confirmaient. »
Marine Le Pen et Jordan Bardella
ENTRETIEN, Corriere della Sera, de J. Bóka, Ministre des Affaires européennes de Hongrie : « Kiev ne gagnera pas sur le terrain, l’Europe doit modifier sa stratégie. Sur le refus d'Orban sur les aides à l’Ukraine, nous ne l’utilisons pas à des fins internes », par F. Fubini,: « Q : La Hongrie présente une nouvelle proposition sur le financement de l'Ukraine. Comment cela fonctionnerait ? R : "Notre position est que l'UE ne doit pas financer l'Ukraine. L'UE devrait financer sa propre stratégie pour l'Ukraine. Et cela pourrait également inclure une assistance financière ou d’un autre genre à l'Ukraine ". "Orbán estime que la stratégie initiale, fondée sur l'hypothèse d'une victoire de l'Ukraine sur le terrain et d'un changement politique en Russie, ne fonctionne pas. Nous devons donc nous adapter. Entre-temps, la situation en Ukraine évolue rapidement." "La proposition de la Commission prévoit un financement pour une période de quatre ans, alors qu'il est impossible de prévoir l'évolution et les besoins de l'Ukraine quatre ans à l'avance. Par conséquent, une planification plus prudente pourrait concerner des périodes financières plus courtes et revoir les politiques à la fin de chaque période. Nous pensons également qu'il faudrait créer un fonds spécial avec la participation des Etats européens et des "acteurs financiers internationaux". "Notre Premier ministre a déclaré à plusieurs reprises que la Hongrie n'était pas opposée au soutien de l'Ukraine et que le gouvernement hongrois envisagerait de participer à ce fonds." Q : Orbán donne l'impression qu'il oppose son veto à l'aide européenne à l'Ukraine afin de forcer la Commission et les autres gouvernements à donner leur feu vert aux fonds bloqués en Hongrie en raison de la violation de l'État de droit. R : "Ce n'est pas le cas. Nous considérons qu’il s'agit de questions totalement distinctes et nous pensons que nous sommes tout à fait en mesure de recevoir des fonds européens, de quelque nature qu'ils soient." "Il est dans l'intérêt stratégique de la Hongrie d'avoir une entité stable entre l'UE et la Russie, entre la Hongrie et la Russie, et que cette entité soit ancrée autant que possible dans les structures européennes. D'autre part, il n'y a pas de solution militaire à ce conflit, il n'y a qu'une solution politique. Et cela nécessite un dialogue entre les parties, qui à son tour nécessite un cessez-le-feu immédiat comme base pour une solution durable". Q : Êtes-vous en discussion pour unir le parti d'Orbán, le Fidesz, avec l'Ecr (Conservateurs et réformistes européens) de Giorgia Meloni ? R : "Oui, le Premier ministre a déclaré publiquement que le Fidesz souhaitait rejoindre l'Ecr. Cela élargirait nos possibilités sur la scène politique européenne et nous pourrions contribuer à présenter une alternative conservatrice. Bien sûr, l'option de l'adhésion est discutée à différents niveaux politiques". Q : Même avec des représentants italiens ? R : "Oui". »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Le 22 janvier, Ego Non et Lionel Baland prendront part au Libre journal de Romain Petitjean.
Allemagne.
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15/01/2024
"Remigration" est le gros mot de l'année 2023.
Allemagne. Pour la 32ème fois, le gros mot de l’année a été désigné. « Remigration » est choisi comme le gros mot de 2023, même s’il n’a dominé dans les médias qu’à partir de janvier 2024.
18:31 | Lien permanent | Commentaires (0)
Alice Weidel rencontre des agriculteurs qui manifestent devant la Porte de Brandebourg à Berlin.
Allemagne. La co-présidente de l'AfD Alice Weidel rencontre des agriculteurs qui manifestent devant la Porte de Brandebourg à Berlin.
Alice Weidel
18:01 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'AfD de l'Est en faveur de la "remigration".
Allemagne. Est. Les présidents des groupes des élus du parti nationaliste AfD au sein des 5 Parlements des États de l'Est prennent position en faveur de la "remigration" en indiquant que cette dernière est à l'ordre du jour et sera appliquée lorsque l'AfD sera au pouvoir.
17:25 | Lien permanent | Commentaires (0)
Lionel Baland sur Radio Courtoisie à propos du complot médiatique monté contre l'AfD.
Allemagne. Mon intervention dans Ligne Droite de Corentin Perrigny sur Radio Courtoisie à propos du complot médiatique monté contre l'AfD.
15:53 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Ce sera un anniversaire plutôt tendu pour Giorgia Meloni."
Italie. Revue de presse.
La campagne pour les élections régionales, sur fond de débat autour de la réforme sur l’autonomie différenciée des régions, fait les gros titres de plusieurs quotidiens : « Le gouvernement oublie le Sud, les ZES privées de 20 milliards d’euros » (La Repubblica), « Meloni rêve de s’imposer en Vénétie avec un « doge brun » après l’ère de Zaia » (Domani), « Elections régionales, c’est le bras-de-fer [au sein de la droite] » (Mattino), « Le général Vannacci se porte candidat pour la Ligue » (Il Giornale). Les primaires du Parti républicain américain sont également citées : « Trump lance sa campagne électorale, entre spectacle et menaces » (Corriere della Sera), « Iowa, Trump promet du pétrole et des frontières fermées » (Repubblica).
ARTICLE, La Repubblica, L. De Cicco « Elections régionales : après le bras-de-fer pour la Sardaigne, celui pour la Basilicate commence » : « Ce sera un anniversaire plutôt tendu pour Giorgia Meloni, qui fête aujourd’hui ses 47 ans, puisqu’il faudra retrouver l’unité au sein de la majorité. Les alliés sont fébriles, après une semaine de tensions avec la Ligue qui voulait imposer son candidat en Sardaigne pour les régionales, c’est maintenant au tour de Forza Italia, qui fait pression pour imposer son candidat en Basilicate. La question de la limite des trois mandats reste en suspens et Fratelli d’Italia ne souhaite pas l’éliminer, au grand dam du président de la Vénétie, le léghiste Luca Zaia. Matteo Salvini perçoit cela comme un véritable affront à son égard. Il revient donc à Meloni de faire retomber la tension au sein de la coalition, même si elle n’a aucune intention de faire marche arrière sur un point : à droite, les rapports de force ont changé et c’est désormais Fratelli d’Italia qui mène le jeu. Meloni rencontrera ses alliés Tajani et Salvini demain, en Conseil des ministres. Avant ou après, une réunion cruciale sur les élections régionales devrait se tenir. Meloni veut toutefois exclure des discussions la limite des trois mandats, et ce malgré les pressions de la Ligue, qui a déjà déposé une proposition de loi à la Chambre. La stratégie de Fratelli d’Italia serait alors de laisser en suspens ce texte, sans l’approuver avant l’échéance de 2025, lorsque se tiendront les élections en Vénétie. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
Giorgia Meloni
15:40 | Lien permanent | Commentaires (0)
14/01/2024
Le chancelier social-démocrate Olaf Scholz prend part à une manifestation contre l'AfD.
Allemagne. Le chancelier social-démocrate Olaf Scholz et le ministre écologiste des Affaires étrangères Madame Annalena Baerbock ont pris part à Potsdam à une manifestation contre le parti patriotique AfD.
23:16 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'UDC porte plainte contre les mots croisés du Nouvelliste.
Suisse. L'UDC porte plainte contre les mots croisés du Nouvelliste :
https://www.rhonefm.ch/valais/plainte-penale-coupe-de-sub...
21:37 | Lien permanent | Commentaires (0)
Marie-Agnès Strack-Zimmermann, tête de liste du parti libéral FDP, précise avoir déclaré : "Plus le tas de merde est gros, plus il y a de mouches dessus !"
Allemagne. Marie-Agnès Strack-Zimmermann, tête de liste du parti libéral FDP pour les élections européennes, précise qu'elle a déclaré : « Plus le tas de merde est gros, plus il y a de mouches dessus ! » à propos de la situation politique actuelle, tout en ne mentionnant pas de parti.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/01/14/une...)
21:09 | Lien permanent | Commentaires (0)
Arrondissement de Saale-Orla : Uwe Thrum de l'AfD arrive 1er lors du 1er tour de l'élection de l'administrateur.
Allemagne. Thuringe. Circonscription de Saale-Orla. Lors du premier tour de l'élection de l'administrateur d'arrondissement, le candidat de l'AfD Uwe Thrum arrive premier, mais n'atteint pas les 50 %. Le deuxième tour aura lieu le 28 janvier 2024.
Die Linke : post-communistes
AfD : nationalistes
CDU : démocrates-chrétiens
SPD : sociaux-démocrates (candidate qui se présente en tant qu'indépendante pour le SPD)
"Fort pour l'endroit/la région !"
20:19 | Lien permanent | Commentaires (0)
Une dirigeante du parti libéral FDP estime que le parti patriotique AfD est un "tas de merde".
Allemagne. Marie-Agnès Strack-Zimmermann, député et membre de la direction du parti libéral FDP, estime que le parti patriotique AfD est un « tas de merde ».
17:58 | Lien permanent | Commentaires (0)
Enquête de Leefbaar Rotterdam auprès des électeurs ayant choisi pour la première fois le parti.
Pays-Bas. Rotterdam. Leefbaar Rotterdam conduit une enquête auprès de personnes qui ont voté, lors des élections municipales de 2022, pour la première fois pour ce parti, afin de connaître leur motivation.
16:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les patriotes de l'AfD donnés à 18 % et la gauche anti-immigration BSW à 14 %.
Allemagne.
SPD : sociaux-démocrates
CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens
Grüne : écologistes
FDP : libéraux
AfD : patriotes
Die Linke : post-communistes
Électeurs libres
BSW : gauche anti-immigration
autres
15:18 | Lien permanent | Commentaires (0)
André Ventura est réélu président de Chega.
Portugal. André Ventura est réélu président de Chega.
00:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le FPÖ donné à 32 %.
Autriche. Les patriotes du FPÖ sont donnés à 32 % pour des élections législatives.
FPÖ : patriotes
SPÖ : sociaux-démocrates
ÖVP : conservateurs/sociaux-chrétiens
NEOS : libéraux
écologistes
00:13 | Lien permanent | Commentaires (0)
13/01/2024
Rencontre du Nouvel An 2024 du FPÖ.
Autriche. Le FPÖ a tenu sa rencontre du Nouvel An.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/12/12/ren...)
15:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
350 personnes ont manifesté devant la Chancellerie en faveur d’une interdiction de l’AfD.
Allemagne. 350 personnes ont manifesté devant la Chancellerie à Berlin en faveur d’une interdiction de l’AfD.
13:30 | Lien permanent | Commentaires (0)
12/01/2024
Manifestation de partisans du PiS contre la prise de contrôle de la télévision publique par le nouveau gouvernement.
Pologne. Des partisans du parti conservateur Droit et Justice (PiS) sont descendus dans la rue à Varsovie ce jeudi 11 janvier 2024 pour protester contre la prise de contrôle de la télévision publique par le nouveau gouvernement.
21:37 | Lien permanent | Commentaires (0)
Geert Wilders a reçu l'ambassadeur d'Ukraine.
Pays-Bas. Le dirigeant du PVV Geert Wilders a reçu dans son bureau à la Chambre des députés l’ambassadeur d’Ukraine et lui a exprimé son respect pour le combat conduit par le peuple ukrainien pour la liberté et la récupération totale de sa souveraineté nationale.
21:28 | Lien permanent | Commentaires (0)
Lionel Baland au sein du JT de TV Libertés à propos de la situation politique aux Pays-Bas.
Pays-Bas. Mon intervention sur TV Libertés au sein du sujet de Nicolas de Lamberterie portant sur la situation politique aux Pays-Bas et la tentative de formation d'un gouvernement dirigé par Geert Wilders (à partir de 10'40'') :
19:18 | Lien permanent | Commentaires (0)
"L’ombre des arrivées clandestines en 2023 plane sur la réunion consacrée aux flux migratoires."
Italie. Revue de presse.
La crise au Proche-Orient fait les gros titres de plusieurs quotidiens : « Gaza, le bras-de-fer sur le génocide » (La Repubblica), « Israël à la barre » (Avvenire), « Les navires de l’Europe dans la Mer Rouge » (Stampa), « ONU, un procès aux victimes » (Giornale), « Israël accusé de génocide à La Haye » (Domani). D’autres sujets sont également cités « Elections régionales, aucun accord n’a été trouvé » (Corriere della Sera), « Automobile, la Chine est le leader mondial avec 30 millions de véhicules vendus » (Sole 24 Ore). Enfin, le remaniement gouvernemental en France est cité en Une et dans les pages intérieures de certains quotidiens « Paris, le virage à droite » (La Repubblica), « La France d’Attal rêve d’un renouveau » (La Stampa), « Attal surprend la France et nomme comme ministre son ex-compagnon » (Messaggero).
ARTICLE, Sole 24 Ore, L. Palmerini « L’ombre des arrivées clandestines en 2023 plane sur la réunion consacrée aux flux migratoires » : « Il était question d’un déjeuner entre les dirigeants de la majorité pour faire le point sur les élections régionales. Or, le Palais Chigi a précisé hier qu’il s’agissait en réalité d’une réunion entre Meloni et les deux vice-présidents du Conseil Tajani (Forza Italia) et Salvini sur le dossier migratoire et que les candidatures n’avaient pas du tout été évoquées. Visiblement, il est encore trop tôt pour aborder le dossier le plus chaud du moment, celui des élections régionales. Mieux vaut se concentrer sur celui des migrants, s’agissant du plus important engagement de Meloni sur lequel elle est en compétition avec son allié Salvini. ‘’Je ne suis pas satisfaite des résultats’’ a-t-elle reconnu lors de la conférence de presse du 4 janvier. Comment la blâmer ? En 2023, première année de son gouvernement, les arrivées ont augmenté malgré des mesures mises en place rapidement. Il y a d’abord eu le décret sur les ONG, considérées comme un facteur d’attraction, puis le décret contre les passeurs après la tragédie de Cutro, et enfin l’accord avec la Tunisie où elle s’était rendue avec Ursula von der Leyen, sans obtenir de succès. L’année dernière, le record des 155 000 arrivées a terni la stratégie mélonienne. C’est ce qui explique l’annonce surprise de l’accord avec Tirana, avec la création de deux centres de détention entièrement aux frais de l’Italie. Le Parlement italien devra ratifier cet accord : le gouvernement veut accélérer sur ce dossier malgré les critiques exprimées par certains juristes. Il est évident qu’elle doit pouvoir mener sa campagne électorale en se targuant d’avoir obtenu des résultats avec les premiers navires de migrants débarquant en Albanie. La candidature de Meloni dépend aussi de cela : seules des solutions fortes pouvant être revendiquées justifieront sa candidature comme tête de liste. Il y a aussi le « Plan Mattei », l’autre dossier majeur de la stratégie Meloni. Lors de la conférence de presse du 4 janvier, elle avait affirmé que son ‘’objectif est de travailler sur l’Afrique’’, or, jusque-là, l’exécutif n’a travaillé que sur la gouvernance. Il faut donc accélérer et c’est ce qu’on a vu lors de la réunion d’hier. La campagne électorale coïncidera avec la saison printanière et estivale et il faudra à tout prix éviter les images de débarquements sur les côtes italiennes. »
ARTICLE, Avvenire, D’Angelo et Marcelli, « L’UE met en garde l’Italie sur l’abolition de l’abus de pouvoir » : « Les polémiques ont fini par arriver jusqu’à Bruxelles. Le porte-parole de la Commission européenne Christian Wigand assure être ‘’au courant’’ de la réforme de la justice italienne sur les délits pouvant concerner l’administration et des changements qui pourraient ‘’dépénaliser d’importantes formes de corruption et avoir un impact sur la capacité d’identifier des cas de corruption’’. L’UE continuera ainsi de ‘’suivre la suite des étapes’’ de la réforme, soulignant que ‘’la lutte contre la corruption est une priorité majeure de la Commission Européenne’’. En Italie, le dirigeant du M5S Giuseppe Conte a alerté sur la possibilité que cette réforme puisse ‘’effacer quelques 3 600 sentences de condamnation’’, tandis que les sénateurs 5 Etoiles de la Commission justice ont évoqué ‘’un démantèlement des normes contre la corruption et les délits des cols blancs notamment avec la réforme sur les écoutes qui demeurent l’obsession de la droite, d’Azione et d’Italia Viva’’. Au sein du PD, malgré la ligne officielle de la direction, certains maires démocrates se sont félicités de ce projet de réforme. C’est la responsable pour les affaires juridique Deborah Serracchiani qui a rappelé les membres de son parti à l’ordre : ‘’l’abrogation de l’abus de pouvoir est une mauvaise réponse à une demande légitime’’. »
ARTICLE, Repubblica, D. Longhin « L'ancienne aciérie Ilva revient à l'État : ‘’Mittal doit se retirer, un divorce consensuel ou la nomination d’un commissaire" » : « L'ère ArcelorMittal dans l'ancienne usine Ilva est terminée. Pour le gouvernement Meloni, il n'y a pas d'autre solution. Le géant franco-indien, qui a remporté l'appel d'offres en 2017, doit quitter Acciaierie d'Italia à Tarente. Au cours des quatre derniers mois, la perspective a changé : d'abord, l'exécutif a essayé de calmer le jeu et de faire en sorte que l'actionnaire majoritaire reste. Aujourd'hui, la seule voie possible est celle de la séparation. Une voie que le ministre des Entreprises, Adolfo Urso, avait déjà indiqué dans la matinée lors d'une réunion au Sénat, en parlant d'"une intervention radicale", de la nécessité de "changer l'équipage à la barre de l'ex-Ilva pour inverser le cours des choses". Urso avait souligné qu'"il n'est plus possible de partager la gouvernance avec ArcelorMittal". Le divorce peut se faire de manière consensuelle, avec une solution partagée par les juristes d'Invitalia et d'ArcelorMittal, qui demande une compensation à l'Etat, d'ici mercredi prochain. Sinon, pour le gouvernement, la rupture aura lieu de toute façon. Dans ce dernier cas, le recours à la gestion extraordinaire et à une tutelle de l’Etat par la nomination d’un commissaire n'est pas à exclure. Une solution, que l'exécutif peut activer à tout moment, mais qui, pour les syndicats, "serait un désastre". Le 18 janvier, les secrétaires des trois syndicats de la métallurgie seront à nouveau réunis au Palais Chigi. C’est une question de stratégie : la volonté de rechercher une solution juridique qui satisfasse tous les acteurs est réelle, et éviterait ainsi le poids de la surcharge judiciaire. "Nous travaillons activement pour tracer le chemin sur l'avenir de l'usine dans un cadre clair et défini qui a comme premier objectif d’assurer la continuité de la production de l'usine", explique le Palais Chigi. L'exécutif a également garanti la protection de l'emploi et la sécurité des travailleurs ; une façon d’attirer également de nouveaux partenaires industriels privés. Le gouvernement, comme l’a affirmé le secrétaire d’Etat Mantovano, a souligné qu'en toute circonstance, l'État apportera l'argent nécessaire pour soutenir les activités de l’ex-Ilva. »
ARTICLE, Il Foglio, D. Carretta « Meloni peut jouer un rôle de médiateur entre l’Union et Orban » : « A Bruxelles comme dans les autres capitales européennes, on s’attend à ce que Meloni puisse intervenir rapidement en utilisant sa proximité politique avec Orban pour pousser ce dernier à lever son véto au paquet d’aides à l’Ukraine. D’après Bloomberg, la présidente du Conseil italien serait en train de travailler en coulisses. Elle aurait offert pour ce faire son accord à l’entrée du parti Fidesz dans le groupe souverainiste des Conservateurs et Réformateurs Européens (ECR) après les élections du 9 juin. C’est la course contre la montre car, en absence d’accord au prochain Conseil Européen du 1er février, Kiev pourrait se retrouver sans argent pour payer les retraites et les salaires. Un ministre impliqué dans les négociations, qui souhaite rester anonyme, nous révèle que ‘’face à Orban, il est utile de miser sur Meloni car plusieurs choses se font en petit format’’. Ce qui se traduit par un dialogue à trois Scholz-Macron-Meloni avant le grand format du Conseil Européen. La Présidente du Conseil ‘’est pleinement engagée et représente un pont avec Orban en raison de son appartenance politique’’, fait-on savoir. Pour sa part, le Premier Ministre hongrois sait qu’il a besoin d’alliés en Europe. Ses relations avec Meloni sont bonnes. Par ailleurs, la Présidente du Conseil a toujours justifié les décisions adoptées par son homologue hongrois, même celles qui se retournaient contre l’Italie, comme le véto qu’il avait opposé aux conclusions sur les migrations lors du Conseil Européen de juin dernier. Avec la perte de son allié polonais le PiS, désormais à l’opposition, et avec un allié tel que le Slovaque Fico – qui n’est pas un poids lourd – Orban a besoin de protection. Pour sa part, Meloni sait qu’elle peut jouer plusieurs cartes avec Orban pour se rendre utile à la cause ukrainienne et pour augmenter son influence dans l’UE. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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