20/05/2024
Le Forum voor Democratie demande que Geert Wilders soit désigné formateur.
Pays-Bas. Le dirigeant du Forum voor Democratie Thierry Baudet déclare que son parti introduira, ce mercredi à la Chambre des députés, une motion afin que Geert Wilders soit nommé formateur car le parti de ce dernier, le PVV, a gagné les élections législatives.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/05/20/le-...)
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Le futur Premier ministre néerlandais se retire.
Pays-Bas. Suite à une attaque de la presse mettant en cause son honnêteté, le futur Premier ministre Ronald Plasterk se retire.
Ronald Plasterk
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/05/16/gee...)
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/11/27/l-e...)
19:46 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Meloni lance un appel aux droites : changeons l’UE."
Italie. Revue de presse.
L’accident d’hélicoptère qui a entrainé la mort du président iranien et du ministre des affaires étrangères fait la une de la plupart des quotidiens : « Iran, le drame du président » (Corriere della Sera), « Iran, le mystère autour de Raisi » (Repubblica), « Raisi disparu, l’Iran sans tête » (Stampa). La convention des conservateurs à Madrid et notamment le message vidéo de la présidente du Conseil fait également la une : « Meloni : changeons l’Europe » (Messaggero), « Meloni et l’Europe : elle s’est trompée sur tout » (Libero), « Meloni lance un appel aux droites : changeons l’UE » (Quotidiano Nazionale), « Meloni et Le Pen : ensemble nous lançons un défi à l’Europe » (Repubblica).
PREMIER PLAN, La Repubblica, « Les États-Unis et Israël en alerte sur la stabilité de l'Iran "Il faut éviter l'escalade » par Paolo Mastrolilli : « […] La Première ministre Giorgia Meloni a demandé une réunion ce matin avec le vice-Premier ministre et ministre des affaires étrangères Antonio Tajani (Forza Italia), le ministre de la défense Guido Crosetto (Frères d’Italie), le ministre de l'intérieur Matteo Piantedosi (Indépendant), le sous-secrétaire Alfredo Mantovano (Indépendant, autrefois Alliance nationale) et la communauté du renseignement afin d'analyser l'évolution de la crise. L'incident n'aurait pas pu survenir à un moment plus délicat. M. Raisi est considéré comme un membre de l'aile dure de Téhéran, très proche du chef spirituel Khamenei, dont il était également, selon certaines rumeurs, candidat à la succession. Washington lui attribue le virage hostile de la République islamique, qui a fait échouer les négociations pour ressusciter l'accord nucléaire du Jcpoa. Les analystes américains sont désormais convaincus que le Hamas a déclenché son massacre du 7 octobre également pour aider l'Iran, qui voulait ainsi boycotter les négociations américaines avec l'Arabie saoudite, qui avaient atteint un stade avancé pour garantir à Riyad une protection sécuritaire contre Téhéran, et la reprise du processus de création de l'État palestinien, en échange de la normalisation des relations avec Israël. »
ARTICLE, Corriere della Sera, « Mains libres sur les alliances, Meloni se veut le "pont entre les modérés et les souverainistes“ » par Monica Guerzoni : « La scène est toujours celle de l'ultra-droite espagnole de Vox. Mais à la place du leader de l'opposition qui, en juillet 2022, haranguait les "patriotes" dans un crescendo de non et de décibels, à faire trembler les coffres et les chancelleries européennes, il y avait hier une première ministre plus prudente, déterminée à compter dans le futur gouvernement à Bruxelles et au Parlement européen. “Buenos dias patriotas", c'est ainsi que Meloni a salué les onze mille personnes présentes à "Europa Viva 2024", organisé par les populistes et nationalistes de Vox. La première candidate apparaît sur une vidéo et est saluée comme celle qui a réussi, la première femme de droite à diriger un pays fondateur de l'UE. Et patience si, dans la grande liesse des drapeaux et des ovations, le nom de l'invitée d'honneur apparaît à l'écran mal prononcé comme "Géorgie", comme le pays du Caucase en flammes à cause d’une loi pro-russe. Mme Meloni s'exprime en espagnol, ne harangue pas la foule et veille à ne pas mélanger l'agenda du chef de parti avec celui du chef de gouvernement. Elle s'adresse au "cher Santiago, mon ami", ce même Santiago Abascal qui, en septembre 2022, a épinglé comme des "médailles sur sa poitrine" les accusations portées contre ses patriotes d'être "machistes, franquistes, racistes et fascistes". La première ministre qualifie de "très similaires" les parcours politiques des deux partis, Vox et FdI. Elle se souvient de l'époque où la gauche européenne, "principale responsable du déclin" du continent, accusait les conservateurs de vouloir "détruire l'Europe". Et il a exhorté ses alliés à monter au créneau : "Aucun changement en Europe n'est possible sans les conservateurs". Les oppositions prédisent que l'Italie finira isolée à cause des "amitiés indigestes" de la locataire du Palais Chigi, des nationalistes de la trempe d'Abascal, Milei, Le Pen et Orbán. Elle, en revanche, n'a pas peur et est candidate pour servir de "charnière" entre les dirigeants de l'UE et les dirigeants moins gouvernementaux. Selon Carlo Fidanza, chef de la délégation de FdI, "nous visons à construire une majorité alternative de centre-droit en Europe également, sans faillir aux principes cardinaux des conservateurs de l'UE". La législature qui s'achève, attaque Meloni, "a été caractérisée par des priorités et des stratégies erronées". Et certainement pour son amie "Ursula", que la première ministre ne nomme jamais, ses oreilles sifflent fort. Le 4 janvier, Mme Meloni s'est déclarée prête à voter pour Mme von der Leyen. Et maintenant que l'étoile de la présidente sortante brille beaucoup moins, elle garde les mains libres. “Nous attendons le vote des citoyens", explique froidement Antonio Giordano, député FdI et secrétaire général du groupe Ecr. Et à la question de savoir comment Meloni s'y prendra pour voter pour les postes de direction de l'Union, elle prend son temps. Les proches de Meloni ont des doutes sur la réélection d’Ursula von der Leyen, compte tenu aussi du détachement dont a fait preuve Antonio Tajani lors de la venue de von der Leyen à Rome. Il y a une autre femme dans les horizons européens : Marine Le Pen. Les deux, c'est bien connu, ne s'aiment pas, mais sous la scène madrilène, le président du Rassemblement national a déclaré qu'avec Meloni "il y a des points communs". De la rivalité à l'idylle ? Entre Rome et Bruxelles, certains raisonnent sur l'hypothèse d'un nouveau groupe européen qui naîtrait de la fusion entre Meloniens et Lepéniens, mais les « fratelli » assurent qu'il n'y a rien de tel à l'horizon et expliquent que 'Marine devait mettre un bémol à l'attaque en trahison faite contre Giorgia lors des meetings de Salvini en février. Pour gagner l'Elysée, Marine Le Pen a besoin de se démarquer définitivement de ses positions pro-russes antérieures et s'ouvre donc à Meloni pour s'ouvrir au front occidental. Meloni serait prête à dialoguer avec Le Pen, parce qu'elle ne veut pas d'ennemis à droite et parce qu'il regarde vers le Parlement européen, où FdI et le Rassemblement national auront des groupes importants et où ils pourront unir leurs forces contre les socialistes sur des batailles communes. A condition que Le Pen lève les ambiguïtés sur l'Ukraine. Forza Italia est déjà sur le qui-vive et Maurizio Gasparri le dit clairement : "Le Pen est hostile à l'UE, comment pourrions-nous gouverner ensemble ?". »
ARTICLE, La Repubblica, « La direction des droites radicales : la première ministre lance le défi mais risque l'isolement » par Tommaso Ciriaco et Anais Ginori : « La coordination des droites radicales s'est mise en marche, sous les applaudissements des post-franquistes de Vox. On saura où elle mènera après le 10 juin. Mais le projet de Giorgia Meloni tient en quelques mots : additionner les voix des conservateurs et celles de l'ultra-droite de Marine Le Pen pour peser sur les dossiers qui passeront au Parlement européen. Une sorte de bloc minoritaire de 135 eurodéputés. L'autre objectif est de partager avec l'ultra-droite le profil des commissaires exprimés par les pays à direction conservatrice (quatre sur vingt-sept) avec l'ambition d'infléchir la ligne de la Commission sur quelques thèmes partagés : hostilité au Green Deal, droits civiques, immigration. En revanche, il n'est pas du tout certain qu'un groupe uni puisse voir le jour ou que les Français rejoignent le groupe ECR en cours de législature. Les Italiens n’en voudraient pas, la fille de Jean-Marie y pense. Ce qui est sûr, c'est que le projet de Meloni de toute façon risqué. Elle pourrait se retrouver à nouveau isolée, exclue des pays qui dirigeront vraiment l'Union au cours des cinq prochaines années. À Madrid, rien n'est laissé au hasard. Dans son discours, Mme Meloni évite de critiquer durement l'ennemi juré de Mme Le Pen, Emmanuel Macron. Elle veut éviter les incidents diplomatiques. De même, elle ne mentionne jamais l'Ukraine : les chers amis de Vox ne soutiennent pas Kiev. Au contraire, la première ministre piétine le travail de la Commission : c'est une critique implicite d'Ursula von der Leyen, un signe de méfiance à son égard, une ouverture à Le Pen. Qui veille également à ne pas exagérer, à poursuivre la voie de la "normalisation" en vue de la présidentielle de 2027 : après avoir pris ses distances avec l'Afd, elle prononce désormais des propos moins radicaux et n'exagère pas non plus à l'encontre de l'Elysée. C'est la preuve que les deux délégations se sont mises d'accord sur les discours, pour éviter de se gêner mutuellement. C'est le fruit du dialogue", note Antonio Giordano, secrétaire de l'Ecr. Mais pour Meloni, traiter avec Le Pen efface d'un coup dix-huit mois de politique, d'équilibrisme et de sourires diplomatiques accordés à Macron. Un retournement fondé sur l'espoir que le vote du 9 juin rendra la droite indispensable et poussera la "majorité Ursule" - composée de libéraux et de populaires- à frapper à la porte d'Ecr. Le problème - le pari, en fait - est qu'à ce jour aucun sondage ne confirme cette tendance. Et en effet, les socialistes sont décisifs dans tous les scénarios. Et puis aucune Commission ne négocierait avec la galaxie à droite des conservateurs. Alors pourquoi Meloni radicalise-t-elle sa campagne dès le stade de Vox, aux côtés de Le Pen et en mettant son visage sur le "non" à l'hypothèse d'un accord avec le Pse ? D'une part, parce qu'elle a subi ces dernières semaines un veto similaire de la part des socialistes et qu'elle tente de le compenser. En partie, parce qu'il mise sur l'échec de Macron et imagine que l'effondrement électoral du président français va rebattre les cartes à Bruxelles. Mais c'est précisément dans ce raisonnement que réside le pari : les sondages le disent, c’est l'accord entre Macron, Scholz et le Polonais Tusk qui permettra tout accord éventuel pour la Commission. La radicalisation de Meloni éloigne Rome de cette salle de contrôle. Dans le même temps, Meloni agit ainsi pour répondre à une nécessité politique interne : frapper Salvini. En fait, le dialogue avec Le Pen clôture l'incident d'il y a quelques mois, lorsque la Française a défié le Meloni, sous les applaudissements de la Ligue : cette fois-ci, c'est Salvini qui n'est même pas invité. Et c'est Meloni - qui a également réalisé l'erreur d'avoir ouvert les portes de l'Ecr à Zemmour, qui risque de ne pas passer la barre - qui traite directement avec ceux qui, en théorie, devraient être le principal allié de la Ligue. Salvini s'en aperçoit et tente de s'incruster : "Marine est sage", affirme-t-il, "maintenant tous les partis de centre-droit disent non à la gauche et à Macron". La réaction de Forza Italia est glaciale : "Marine est hostile à l'Europe, comment pourrions-nous gouverner ensemble ? »
Giorgia Meloni en vidéo lors du rassemblement organisé par Vox en présence de Marine Le Pen
ENTRETIEN, Il Messaggero, de Adolfo Urso (Frères d'Italie), ministre des entreprises et du made in Italy : "Tavares doit augmenter la production en Italie. Un autre acteur est en route" par Umberto Mancini : « Les usines Stellantis ne tiendront que si les niveaux de production sont augmentés, avec de nouveaux modèles électriques mais aussi hybrides. […] »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Geert Wilders : "Pas en mon nom !"
Pays-Bas et UE. Alors que Charles Michel présente, sur Twitter, les condoléances de l'Union européenne, suite à l'accident d'hélicoptère en Iran, le président du parti néerlandais anti-islamisation PVV Geert Wilders écrit : « Pas en mon nom ! »
12:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
Rassemblement de la N-VA en Wallonie.
Belgique. Wallonie. Le parti nationaliste flamand N-VA, qui se présente lors des élections législatives du 9 juin 2024 aussi en Wallonie, a organisé à Namur en Wallonie, ce samedi 19 mai 2024, un rassemblement électoral. Les dirigeants [flamands] de la N-VA n'étaient pas présents.
La figure de proue de la N-VA en Wallonie est l'écrivain Drieu Godefridi. La N-VA développe des idées libérales en matière économique et sociale, contrairement à l'autre parti nationaliste flamand, le Vlaams Belang, qui met en avant des idées sociales.
Drieu Godefridi
12:34 | Lien permanent | Commentaires (0)
19/05/2024
Vox organise Viva 24.
Espagne et Monde. Lors de l’événement organisé par le parti nationaliste espagnol Vox, le ministre israélien du Likoud Amichai Chikli, le président argentin Javier Milei, le dirigeant de Vox Santiago Abascal, Marine Le Pen du Rassemblement national et André Ventura du parti nationaliste portugais Chega ont pris la parole. Le Premier ministre italien Giorgia Meloni (Frères d'Italie) et le Premier ministre hongrois Viktor Orbán (Fidesz) se sont exprimés en vidéo.
Santiago Abascal et Marine Le Pen
Le président argentin Javier Milei
18:32 | Lien permanent | Commentaires (0)
Santiago Abascal et Marine Le Pen rencontrent le ministre israélien Amichai Chikli.
Espagne, France et Israël. Le dirigeant de Vox Santiago Abascal et Marine Le Pen ont rencontré le ministre israélien des Affaires de la diaspora et de la Lutte contre l'antisémitisme Amichai Chikli (Likoud).
Amichai Chikli, Marine Le Pen et Santiago Abascal
17:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
Marine Le Pen attaque en justice le parti Chez nous.
France et Belgique. Le parti Chez nous est attaqué en justice par Marine Le Pen, qui lui reproche d’utiliser son image et de prétendre qu’elle soutient ce parti actif politiquement en Wallonie, alors que cela n’est pas le cas :
https://www.rtbf.be/article/le-rassemblement-national-de-...
De plus, Chez nous a recruté dans les milieux nationalistes radicaux, ainsi que des personnes au passé judiciaire chargé.
Le tract incriminé :
17:16 | Lien permanent | Commentaires (0)
Remigijus Žemaitaitis est arrivé quatrième avec 9,3 % lors du premier tour des élections présidentielles en Lituanie.
Lituanie. Lors du premier tour des élections présidentielles du 12 mai 2024, le candidat Remigijus Žemaitaitis est arrivé quatrième avec 9,3 %. Il était autrefois membre du parti national-conservateur Ordre et justice. Il est désormais à la tête du parti nationaliste lituanien Nemuno aušra (L' Aube de Nemunas).
Remigijus Žemaitaitis
15:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le maire d'Essen désire être à "l'avant-garde" des manifestations d'antifas et de gauche contre l'AfD.
Allemagne. Après avoir tenté d’interdire la conférence fédérale de l’AfD qui doit se tenir en juin à Essen, le maire démocrate-chrétien (CDU) de cette ville désire être « à l'avant-garde » des manifestations d'antifas et de gauche contre l’organisation de la conférence.
14:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Notre pays d'abord !"
Allemagne.
"Notre pays d'abord ! Pensons l'Europe d'une nouvelle façon "
12:31 | Lien permanent | Commentaires (0)
18/05/2024
"Le PVV choisit les Pays-Bas."
Pays-Bas.
"Le PVV choisit les Pays-Bas."
19:25 | Lien permanent | Commentaires (0)
Santiago Abascal et Javier Milei se sont rencontrés.
19:19 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les écologistes estiment que le gouvernement fédéral et les gouvernements des États fédérés doivent collecter des informations sur l'AfD.
Allemagne. Le parti écologiste estime que le gouvernement fédéral et les gouvernements des États fédérés doivent collecter de manière exhaustive et systématique des informations sur l'AfD afin de pouvoir obtenir, à terme, l’interdiction de ce parti.
De plus, il veut lutter contre la presse patriotique et demande la mise en place d’une « unité de détection précoce pour la désinformation ».
18:13 | Lien permanent | Commentaires (0)
Luxembourg : l'ADR et déi Konservativ sont présents sur les bulletins de vote pour les élections européennes.
Luxembourg. Le parti national-conservateur ADR et le parti nationaliste déi Konservativ sont présents sur les bulletins de vote pour les élections européennes.
13:28 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le FPÖ donné à 31 %.
Autriche. Sondage pour des élections législatives :
FPÖ : patriotes
SPÖ : sociaux-démocrates
ÖVP : sociaux-chrétiens / conservateurs
écologistes
Neos : libéraux
Bier : satirique
KPÖ : communistes
12:30 | Lien permanent | Commentaires (0)
17/05/2024
Un élu AfD blessé suite à une attaque au cendrier.
Allemagne. Mecklembourg-Poméranie occidentale. Martin Schmidt, député AfD au Parlement du Mecklembourg-Poméranie occidentale, a été grièvement blessé dans un restaurant par un opposant politique qui lui a lancé un lourd cendrier en verre « de toutes ses forces » sur la tête.
19:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
L’avocat de Björn Höcke introduit un recours devant la Cour fédéral.
Allemagne. L’avocat de Björn Höcke introduit un recours devant la Cour fédérale contre la condamnation de son client pour avoir déclaré : « Tout pour l'Allemagne ! »
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/05/14/bjo...)
18:53 | Lien permanent | Commentaires (0)
44 % sont favorables à une interdiction de l’AfD et 50 % y sont défavorables.
Allemagne. Un sondage FGW indique que 44 % sont favorables à une interdiction de l’AfD et 50 % y sont défavorables.
18:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Choisissez pour les Pays-Bas."
18:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Des frontières sûres. Une patrie sûre."
Allemagne. Saxe.
18:17 | Lien permanent | Commentaires (0)
"L’annulation par la RAI du débat télévisé entre G. Meloni et E. Schlein."
Italie. Revue de presse.
Le discours du Président de la République Sergio Mattarella à l’Université La Sapienza fait les gros titres de la presse « Mattarella : « il faut condamner toute forme de violence » » (Corriere della Sera), « Mattarella à la Sapienza : « il faut un cessez-le-feu immédiat » » (Sole 24 Ore), « Mattarella : « les droits humains valent indépendamment des frontières » » (Messaggero). L’attaque contre le Premier ministre slovaque Robert Fico fait aussi la une : « Attentat contre Fico, les craintes en Europe » (Corriere), « Selon Moscou, Fico serait victime de la russophobie » (Repubblica). L’annulation par la RAI du débat télévisé entre G. Meloni et E. Schlein après l’avis défavorable de l’autorité de la régulation des médias, alors que plusieurs dirigeants politiques avaient dénoncé le non-respect du principe d'équité, est aussi citée : « RAI, le duel télévisé est annulé en raison du véto des exclus » (Messaggero). Les suites de l’enquête pour corruption visant le président de la région Ligurie Giovanni Toti font la une de Repubblica : « Gênes, l’audition de Spinelli devant le juge sur ses relations avec Toti ».
ARTICLE, Corriere della Sera, A. Logroscino « L’irritation de Fratelli d’Italia qui annonce le stop à d’éventuels débats télévisés » : « La réaction que laisse filtrer FdI nous en dit beaucoup sur l’irritation de Giorgia Meloni et de son entourage : ‘’stop aux pertes de temps’’. Si le duel télévisé avec Elly Schlein ne peut pas se faire sur la télévision d’Etat, la Présidente du Conseil ne participera à aucun débat. Le raisonnement est le suivant : cela serait trop chronophage pour la Présidente du Conseil, outre le fait de devoir choisir un plateau télévisé privé par rapport à un autre, ce qui serait impoli. Les représentants de FDI à la commission de vigilance de la RAI ont diffusé hier un communiqué ‘’Meloni a été la première à donner sa disponibilité pour une confrontation avec la principale force politique d’opposition en vue du rendez-vous électoral. Hélas, l’autorité AGCOM a repris les argumentations de ceux qui voulaient empêcher ce débat télévisé. Fdi prend acte de cette décision.’’ L’invitation de Schlein à participer au duel télévisé avait comme but de polariser le défi : cela aurait présenté la dirigeante du PD comme la seule et directe adversaire de la cheffe du gouvernement, malgré le système électoral proportionnel. Les analystes avaient en effet souligné qu’un tel duel aurait surtout profité à Schlein. C’est la raison pour laquelle la dirigeante du Parti démocrate a fortement critiqué ‘’ces leaders qui préfèrent renoncer à une confrontation’’. Les proches de Meloni et de Schlein se retrouvent ainsi à partager un sentiment d’irritation. »
ENTRETIEN, La Stampa, d’Elena Cattaneo, Sénatrice à vie « Je partage l’alerte lancée par la sénatrice Segre, cette réforme du « Premierato » de Meloni n’existe dans aucun autre Etat » : « ‘’L'élection directe du Président du Conseil, telle qu'elle est proposée aujourd'hui, priverait les citoyens d'une représentation parlementaire autonome. Le Parlement malade peut et doit être soigné, c'est un devoir politique. Mais en 11 ans dans cette Assemblée, je l'ai vu privé de sa fonction législative par l'utilisation, qui est maintenant devenue la règle, d'instruments conçus par les constituants comme exceptionnels : les décrets de loi. C'est pourquoi j'ai dit que tout renforcement du Président du Conseil devait s'accompagner de mesures destinées à contrebalancer ses nouveaux « superpouvoirs ». Avec cette réforme, nous aurions un Président du Conseil qui serait le chef du gouvernement, avec un pouvoir de vie et de mort sur le Parlement, capable avec sa majorité d'élire le président de la République, les membres de la Cour constitutionnelle et des autres contre-pouvoirs. C’est un modèle constitutionnel qui n'existe nulle part dans le monde. La solution à l'instabilité doit être recherchée dans le maintien de l'équilibre des forces et des pouvoirs, et non dans un nouveau déséquilibre.’’ »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Le drapeau LGBTQA+ flotte sur la mairie de Ripoll.
Espagne. Catalogne. Ripoll. Le drapeau LGBTQA+ flotte sur la mairie de Ripoll dirigée par Sílvia Orriols du parti nationaliste catalan, anti-immigration et défenseur des droits des femmes et LGBTQA+ face à l'islam, Aliança Catalana.
12:49 | Lien permanent | Commentaires (0)
Entretien de Lionel Baland avec Nicolas Bay de Reconquête.
France. Entretien avec Nicolas Bay de Reconquête :
https://www.breizh-info.com/2024/05/17/233029/nicolas-bay...
Nicolas Bay
07:04 | Lien permanent | Commentaires (0)
16/05/2024
Geert Wilders a présenté le contenu de l’accord gouvernemental.
Pays-Bas. Geert Wilders a présenté le contenu de l’accord gouvernemental, en présence des chefs de file des trois autres partis politiques qui ont pris part à cet accord.
Il contient des dispositions restrictives en matière migratoire, des investissements dans le domaine des soins de santé, notamment pour les personnes âgées, des mesures en vue de rendre les habitations à nouveau abordables et la garde des enfants quasi gratuite. L’abrogation de dispositions écologistes est également prévue.
21:13 | Lien permanent | Commentaires (0)