26/02/2019
Salvini : "Je ne retournerai jamais avec le centre-droit."
Italie. Revue de presse.
Presse écrite : Les résultats des élections régionales en Sardaigne font la Une de l’ensemble des médias italiens. La presse souligne notamment la défaite du M5S, passé de 42,5% aux élections législatives de 2018 à 11%, et la victoire de la coalition de la droite. Certains observateurs envisagent des répercussions au sein du gouvernement, le rapport de force s’étant désormais inversé entre le M5S et la Ligue : « Le centre droit l’emporte, le M5S dans le chaos » - ‘’La colère de Grillo contre Di Maio : vite un directoire’’ (Corriere della Sera), « M5S à son plus bas, Di Maio remis en doute » - ‘’Salvini : je ne retournerai pas avec Berlusconi’’ (La Repubblica), « Berlusconi à Salvini : ‘’maintenant c’est toi qui risque’’ » - ‘’Forza Italia à son allié de coalition : les gens ont ouverts les yeux sur les désastres du gouvernement’’ (La Stampa), « La Sardaigne au centre droit. M5S : Di Maio remis en cause » (Il Messaggero), « Débâcle M5S, Di Maio remis en cause » (Il Mattino), « La droite se reprend la Sardaigne, flop M5S » (Fatto Quotidiano), « Sardaigne, le M5S coule » (Avvenire), « Le gouvernement vacille » - ‘’En Sardaigne la coalition de gouvernement vacille. Haute tension. Tria (Indépendant) défend la TAV [Ligne à grande vitesse Lyon-Turin] et les ministres 5 Étoiles se mettent en colère (Il Giornale).
Journaux télévisés : Ils traitent principalement des résultats des élections régionales en Sardaigne et de la mise en garde du ministre Tria sur la TAV. Ils évoquent également Jeremy Corbyn, opposant de Theresa May, qui serait prêt à soutenir un nouveau référendum pour éviter le Brexit sans accord.
Réseaux sociaux : Ils traitent principalement des élections en Sardaigne, ainsi que de l’attaque de deux hommes armés d’un camion-citerne transportant du lait en Sardaigne.
ARTICLE La Repubblica S. Folli « Le conflit des deux gouvernements » : « Jusqu’à hier, le ministre Tria, comme le ministre des affaires étrangères Moavero et parfois même le Président du Conseil Conte, semblaient par moment, les représentants d’un gouvernement appartenant à un univers parallèle. Ce qu’ils disaient et faisaient était souvent séparé de l’activité de l’autre gouvernement, celui géré et monopolisé par les deux vice-présidents du Conseil Di Maio et Salvini. La liaison ferroviaire Lyon-Turin reste emblématique de ce double registre : une analyse coûts-bénéfices qui tente de cacher sous une couverture technique un « non » qui est exclusivement politique. Jusqu’à samedi dernier, Di Maio était un leader en déclin mais encore en position de force. Maintenant, c’est un personnage amoindri à 10%, comme le pourcentage de voix recueilli en Sardaigne. Maintenant, tous au gouvernement lèvent la tête et se sentent davantage libres pour soutenir la ligne du bon sens qui était jusqu’à hier mal vue. Il est probable que Salvini, même avec quelques contradictions, soutiendra toute initiative pour remettre en marche la machine industrielle. Le résultat des électeurs sardes pourrait faire sauter le gouvernement. Mais c’est justement ce qu’ils ne feront jamais pour ne pas compléter leur suicide politique car désormais leur « saison » antisystème est révolue. Par ailleurs, en Sardaigne, Forza Italia a perdu des voix mais celles dont elle dispose encore, lui permettent de ne pas se faire écraser par la Ligue, empêchant le ministre de l’Intérieur [Matteo Salvini] de modeler la droite à sa main. L’objectif est peut-être reporté après les élections européennes, mais le vote en Sardaigne illustre une droite berlusconienne qui résiste ».
ARTICLE, Sole 24 Ore, L. Palmerini, « Comment Salvini peut pousser les 5 Étoiles à la rupture » : « Le résultat d’hier en Sardaigne a confirmé la confiance des électeurs en la coalition de droite et la désaffection envers les 5 Étoiles, mettant Salvini face à la même question : pendant combien de temps encore et à quel prix peut-il continuer à jouer les deux rôles au niveau national et territorial ? Ce sont surtout les propos d’hier du Secrétaire d’Etat [à la présidence du Conseil des ministres] G. Giorgetti (Ligue) depuis Londres qui intéressent : « nous allons droits sur notre chemin, les électeurs nous choisissent. Si les autres ont quelques problèmes, il est juste qu’ils décident eux-mêmes comment les résoudre ». Giorgetti n’a pas seulement dit que la faiblesse de l’allié était désormais un dossier ouvert, mais que cela aura également une conséquence sur le gouvernement. Pourquoi Giorgetti est-il allé à l’étranger pour rassurer les investisseurs internationaux, chose qui relève plutôt d’un ministre de l’Economie ? Car le représentant de la Ligue est le visage le plus rassurant pour les marchés. C’est un choix concerté avec Salvini. Dans le gouvernement, il y a un glissement de l’équilibre politique vers la Ligue. Politique mais aussi économique. La Ligue veut s’emparer du rôle de premier plan. La stratégie de Salvini est de pousser le M5S à faire des choix sur une série de dossiers économiques »
ENTRETIEN, Matteo Salvini, vice-président du Conseil italien, ministre de l’Intérieur, Repubblica, « Je ne retournerai jamais avec le centre-droit. Le Trésor ? J’ai confiance dans le ministre » : « ‘’Je ne retournerai jamais avec la vieille droite, cela doit être clair. Nous gouvernons ensemble dans les régions et les villes, ça s’arrête là’’. Même si les 11% obtenus sont loin des 27 des Abruzzes, Salvini dit ‘’si ça c’est un flop, il est bienvenu, j’en voudrais beaucoup des comme ça’’. Sur le gouvernement, ‘’j’ai donné ma parole et elle est valable cinq ans, pas cinq mois, il y a une alliance de gouvernement et nous entendons respecter notre engagement’’, et encore ‘’le vote en Sardaigne a été un vote local, qui n’a pas d’incidence sur les choix nationaux. Je ne me sens pas plus fort et Luigi (Di Maio) ne doit pas se sentir plus faible’’. Sur la loi de finances : ‘’avec Conte et Di Maio nous parlerons d’économie’’- ‘’pas de loi de finances corrective prévue’’. Sur la TAV : ‘’nous sommes en train d’y travailler, je reste convaincu que la haute vitesse porte emploi et développement. Je ferai tout pour qu’elle se réalise, même avec des coupes et des économies’’ ».
ARTICLE, A. Cuzzocrea, Repubblica, « Le M5S et ces 300 000 voix perdues. Di Miao attaqué se blinde » : « L. Di Maio est mis sur la touche avec un résultat funeste : ne pas réussir à être la première liste en Sardaigne, s’arrêter à 9,7% avec un candidat à 11,2 %, perdre 300 000 voix par rapport à l’an passé : c’est une défaite inimaginable pour le M5S. Le chef politique sait qu’il a commis des erreurs de communication et il accélère sur une réorganisation qui est en réalité la construction d’une forteresse et il ne fait ainsi que s’affaiblir à l’intérieur du mouvement. Certains craignent qu’il ne mette le mouvement dans les mains de Salvini. La war room du Palais Chigi [siège du Premier ministre] semble vouloir opérer un changement de stratégie. Exemples : le rapport avec les entreprises, Maio a dit à Boccia (Confindustria) ‘’parlons-en’’ ; la campagne pour les Européennes commencée de manière erronée. Lors de sa rencontre avec l’Ambassadeur français au Palais Chigi, le leader M5S a fait machine arrière sur de nombreux points, à partir des Gilets jaunes que F. Castaldo (M5S), vice-président du Parlement européen, a lui-même renié ».
ARTICLE, Corriere della Sera, P. Foschi : « Fico met en garde : c’est la démocratie. Mais pour Di Maio le ‘’ M5S va de l’avant ‘’ » : « Le résultat des élections régionales en Sardaigne confirme l’effondrement du M5S, passé de 42,5% aux élections législatives de 2018 à 11%. Le M5S est dans le chaos, le leader Di Maio est remis en cause et Beppe Grillo, en colère, affirme qu’il faut organiser rapidement un directoire. En effet, les dissidents du Mouvement, par la voix de Paola Nugnes, sénatrice proche du président de la Chambre Roberto Fico, ont attaqué le leadership de Di Maio, alors que le vice-président du Conseil a montré sa tranquillité, au moins formellement. Il a déclaré qu’il y avait beaucoup de monde qui espérait que le M5S meure mais qu’il était bien vivant et continuait son parcours de changement du pays ».
RETROSCENA (coulisses), La Stampa, I. Lombardo « Le bouc émissaire est Tria. Di Maio : « s’il veut, il peut partir ». Et le directoire se réunit à 10h » - « Le TAV secoue le M5S : le détenteur du Trésor attaque, étincelle dans le gouvernement. Aujourd'hui sur le blog les nouvelles règles, demain le vote. Avec un œil sur le Piémont » : « Mais pourquoi a-t-il dit ça ? S'il veut partir, et qu'il veut nous forcer à demander sa démission, nous allons le satisfaire. Ça ne prendra qu'un instant ». La réaction de Luigi Di Maio dure aussi un moment, furieux des déclarations faites par Giovanni Tria à l'émission de la Quarta Repubblica. Le leader politique du M5S est barricadé lors d'une réunion ininterrompue avec son cabinet de guerre, avec l'intention d'expulser le cauchemar sans fin des élections régionales. Cette fois-ci, il ne veut pas commettre la même erreur commise dans les Abruzzes. La Sardaigne était une catastrophe attendue, une preuve de plus que tout doit changer au niveau local, afin que tout le M5S puisse rester tel qu'il est, au gouvernement. Il se peut que le ministre de l'Économie choisisse le mauvais lundi pour rappeler aux 5 étoiles que rejeter la TAV pourrait avoir des répercussions désagréables : « l'analyse coûts-avantages ne m’intéresse pas. Le problème, c'est que personne ne viendra en Italie pour investir si le pays montre qu'un gouvernement ne respecte pas les engagements, change les contrats et les lois et les rend rétroactives. C'est là le problème, pas la TAV ». Alitalia ? « Elle ne doit pas être publique, une solution de marché doit être trouvée, dans le respect des règles communautaires ». Il n'aime pas la solution du ministre du Développement économique Luigi Di Maio, qui prévoit l'implication de Ferrovie dello Stato, Poste, du Trésor autour de 15% puis EasyJet et Delta comme partenaires industriels minoritaires. « Bien sûr, il préfère le partenariat avec Lufthansa » évoque un membre de l’équipe de Di Maio, alors qu'il est décidé de confier au ministre Toninelli la réponse sur la TAV : « Tria a oublié qu'il existe un contrat gouvernemental. Tiens-t'en à ça ». Nous sommes à un pas de l'expulsion. Les 5 étoiles se demandent s'il faut aller jusqu'à demander sa démission. Mais quelqu'un signale à Di Maio les conséquences sur les marchés. Pour l'instant, Tria est prévenu ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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25/02/2019
Christian Solinas est élu président de la Sardaigne.
Italie. Le candidat du centre-droit à la présidence de la Sardaigne Christian Solinas (Parti sarde d'action), qui siège au Sénat dans le groupe de la Ligue, est élu ce 24 février 2019.
Lors de l'élection de l'assemblée de Sardaigne, la Ligue obtient 11,4 %, le Parti sarde d'action 9,9 %, Frères d'Italie 4,72 % et le M5S 9,7 %.
(https://www.corriere.it/elezioni-2019/risultati-regionali...)
Christian Solinas et le dirigeant de la Ligue Matteo Salvini
23:20 | Lien permanent | Commentaires (0)
Autriche : plus de la moitié des détenus sont des étrangers.
Autriche. Plus de la moitié des détenus sont des étrangers. 45,3 % sont Autrichiens, 18,8 % sont des ressortissants d’autres pays de l’Union Européenne et 35,5 % de pays non-membres de l’Union Européenne.
22:37 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le FPÖ écrit à l'ambassadrice d'Israël.
Autriche et Israël. Le secrétaire général du FPÖ Christian Hafenecker a écrit à l’ambassadrice d’Israël afin de lui expliquer que le FPÖ rejette toute forme d’extrémisme de droite et que des forces politiques hostiles au FPÖ tentent de faire passer le FPÖ pour un parti radical.
22:10 | Lien permanent | Commentaires (0)
De pro NRW à die Linke.
Allemagne. L’ancien secrétaire général de pro NRW Tony-Xaver Fiedler est désormais candidat aux élections municipales à Arnstadt en Thuringe pour les post-communistes de die Linke. En 2015, il avait été le candidat au poste de maire de Essen en Rhénanie du Nord-Westphalie de pro-NRW. Au cours de sa jeunesse, il a été lié aux patriotes du parti die Republikaner et aux nationalistes durs de la DVU.
Affiche de Tony-Xaver Fiedler lorsqu'il était chez pro NRW
20:25 | Lien permanent | Commentaires (0)
Anvers compte, désormais, plus d’habitants d’origine étrangère que d’autochtones.
Belgique. Flandre. La ville d’Anvers (Antwerpen) compte, désormais, plus d’habitants d’origine étrangère (étrangers, nouveaux belges et personnes dont un ou deux des parents ont une autre nationalité) que d’autochtones. Trois enfants de moins de dix ans sur quatre ont, dans cette ville, une origine étrangère.
[Lors des élections municipales de 2018, les deux partis nationalistes flamands N-VA et Vlaams Belang ont obtenu ensemble 45,8 %, soit 35,3 % pour la N-VA et 10,5 % pour le Vlaams Belang.]
20:05 | Lien permanent | Commentaires (0)
En attendant les résultats des élections en Sardaigne.
Italie. Revue de presse.
Presse écrite : Les résultats des élections régionales en Sardaigne font la Une de l’ensemble des médias italiens. Les commentateurs insistent tout particulièrement sur « l’effondrement » du mouvement 5 Étoiles qui totaliserait moins de 20 % des votes, alors que la droite arriverait en tête avec 40 % et la gauche serait à plus de 35 % environ : « Sardaigne, défaite des 5 Étoiles » (Corriere della Sera), « Vote en Sardaigne : effondrement du M5S. Les sondages : duel Solinas (centre-droit) et Zedda (centre-gauche) » (La Repubblica), « La Sardaigne abandonne les Cinq Étoiles » (La Stampa), « Effondrement du M5S, centre-droit en tête » (Il Messaggero), « Cinq Étoiles, l’effondrement continue » (Il Mattino), « Sardaigne, la gauche met en difficulté la droite, un autre effondrement des Cinq Étoiles » (Il Fatto Quotidiano).
Journaux télévisés : Ils traitent principalement du dépouillement des bulletins des élections régionales en Sardaigne et de la chute du M5S dans les sondages ainsi que de la recherche de trois jeunes disparus en mer. Ils évoquent également le fait que Giuseppe Conte répète qu’il n’y aura aucune modification du budget.
Réseaux sociaux : Ils traitent principalement des élections régionales en Sardaigne. Sur Twitter, le hashtag les plus utilisé est #ElezioniRegionaliSardegna.
ARTICLE, Repubblica, C. Tito, « La défaite met le gouvernement en danger » : « Trois compétitions électorales ont eu lieu depuis début 2019. Des Abruzzes à la Sardaigne, le résultat a été sans appel : les Italiens donnent un coup au M5S, en divisant par deux le nombre de voix obtenues il y a moins d’un an. Et surtout, ils redessinent le « tripolarisme » qui s’est affirmé dans notre pays en 2013 et en mars 2018. Il s’agit dorénavant d’un nouveau « tripolarisme » avec deux jambes plus fortes : celle du centre droit et celle du centre gauche. Et une autre minoritaire, sous les 20%. La crise de l’exécutif Conte est mise en évidence par le vote sarde, avec la décadence du M5S. Le jugement des électeurs italiens n’a rien à voir avec un problème de présence du M5S sur le territoire (sinon les élections des maires de Turin et Rome devraient également être lues comme étant le fruit du hasard). La désillusion de nombreux soutiens du M5S est le miroir fidèle de la critique de l’alliance avec la Ligue, de la subordination politique à Salvini, des choix incohérents par rapport à la ligne de Grillo. Le M5S paie les incertitudes et les approximations avec lesquels la majorité actuelle a dirigé jusque-là l’Italie. Le passage de la simple protestation au gouvernement est plus compliqué. Par-dessus tout, il est dorénavant clair que la somme des deux populismes provoque un effet d’unification, qui s’est unifié autour du sujet qui apparait comme le plus fort. Du reste, il ne peut y avoir qu’un seul chef. Celui-ci prend de l’ampleur dans l’annonce de propositions qui n’ont pas besoin d’être appliquées mais qui doivent être crues à court terme : c’est la force de Salvini. Le M5S est de plus en plus replié dans la liturgie idéologique d’Internet dans laquelle croient uniquement Casaleggio et Di Maio. Et le défi n’est pas la transformation du mouvement, qui est déjà un parti, mais bien la crise du gouvernement ».
EDITORIAL, La Stampa, M. Sorgi « Rien ne sera comme avant » : « Un face à face centre-droit et centre-gauche, le premier en léger avantage et le second à sa poursuite, avec le candidat, Zedda qui pourrait même l'emporter sur Solinas, grâce au vote séparé et à la prime prévue par la loi électorale. De prime abord, on dirait que l’avancée de Salvini qui paraissait inexorable, connait un ralentissement. Les efforts du leader légiste et son Ministre de l’Agriculture pour résoudre la protestation des producteurs de lait, n’ont été récompensé comme il fallait s’y attendre. Les votes de ces rebelles indomptables, qui imitent les gilets jaunes français dans la frange la plus extrême, ne sont pas allés au M5S. En reva nche, la paix signée par Di Maio avec l'ambassadeur français C. Masset avait comme prix l'autocritique de l'alliance superficielle du M5S avec les manifestants violents à Paris. Le pacte Salvini-Di Maio est destiné à tenir un peu plus longtemps, mais aussi à changer sa nature. Il n'y a pas d'avantage à tirer d’une rupture, pour les deux vice-premiers ministres, ni à court, ni à moyen terme. Di Maio, après la scission des militants sur la plate-forme Rousseau pour le choix du sauvetage du ministre de l'Intérieur, est aux prises avec un conflit interne qui jusqu'à présent a du mal à s'organiser ».
RETROSCENA (coulisses), La Stampa, A. La Mattina « Le premier coup de frein à la Ligue. Les doutes de Salvini sur le candidat » : « Ça va être une nuit d'inquiétude. Peut-être Matteo Salvini s'est-il rendu compte que Christian Solinas n'était pas le meilleur candidat possible. Si les vraies voix, que nous ne connaîtrons qu'aujourd'hui, confirmaient les sondages, il gagnerait de justesse. Entre autres, Solinas obtiendrait un pourcentage inférieur à celui de la coalition de centre-droit. Il ne peut pas s’en féliciter comme cela a été le cas lors des dernières élections régionales dans les Abruzzes où il est devenu le premier parti avec 26%. Salvini s’est rendu compte que le choix de Solinas n'était pas excellent mais le pacte entre la Ligue et le Parti d'action sarde, dont Solinas est le secrétaire, a permis à la Ligue de mettre les pieds sur l'île dès le 4 mars. Solinas a été surnommé « l'homme invisible ». Salvini ne l'a jamais mentionné dans les rassemblements et son nom ne figurait pas sur les affiches de la Ligue. Et s'il s'agit d'un ou deux points d'avantage, ce serait un demi-échec pour les objectifs que Salvini s'était fixés. Le vice-premier ministre de la Ligue est déçu. L’enracinement territorial aurait fait défaut. La Ligue et le centre-droit, cependant, ont compté sur le leadership de Salvini qui, pour la première fois, a pu enregistrer un revers ».
RETROSCENA, Corriere della Sera, A. Trocino « Le nouveau coup pour Di Maio. Et la minorité aiguise ses armes » : « Une très lourde défaite, pire encore que celle des Abruzzes. La liste du M5S semble être à la traîne derrière la ligne Maginot du désespoir, soit 20%. Un seuil psychologique sous lequel Luigi Di Maio espérait ne pas tomber. Aussi parce qu'il est difficile de le comparer à ce qui s'est passé il y a moins d'un an, le 4 mars 2018, lorsque le Mouvement a obtenu 42 % sur l'île. Peu de consolation, vu le triomphe de l'allié. La défaite a été donnée par certains dirigeants, qui ont en fait disparu. A tel point que le député sarde Nardo Marino s'est plaint ces derniers jours du « manque de structure et de coordination ». C'est exactement ce que Di Maio essaie de faire maintenant, avec la réorganisation du Mouvement. Trop tard pour la Sardaigne ».
ARTICLE, Fatto quotidiano, P. Zanca « Zedda poursuit Solinas. Le Mouvement glisse sous les 20% » : « Le dépouillement n'a commencé que ce matin à 7 heures. Les sondages de sortie parlent. Cela suit largement les sondages publiés ces dernières semaines : le candidat de centre-droit est en tête, entre 37 et 41 % des voix, mais celui du centre-gauche le suit à très courte distance, tandis que les 5 étoiles restent très loin du podium, bien en dessous de 20 % ».
ARTICLE/RENCONTRE, Corriere della Sera (de dimanche), M. Franco : « Conte : ‘’ Mon gouvernement ne tombera pas ‘’ » : « ‘’ Le gouvernement ne tombera pas, même pas après les élections européennes. Fitch nous a classés comme un pays stable mais avec des perspectives négatives, liées surtout à l’instabilité politique. Moi, je n’arrive vraiment pas à voir cette instabilité. Je suis convaincu que le gouvernement continuera parce que l’impulsion du changement et des réformes ne s’est pas épuisée. L’avis de Fitch est aussi valable que d’autres opinions politiques. La campagne électorale pour les élections européennes sera longue et compliquée et les forces de la majorité pourraient recevoir un consensus proportionnellement différent par rapport aux élections politiques du 4 mars de l’année dernière. Mais, même si cela devait arriver, cette expérience de gouvernement n’en serait pas conditionnée. J’ai le soutien de leaders politiques responsables qui ne commettront jamais l’erreur de faire tomber ce gouvernement, qui a encore beaucoup de choses à faire. Je ne sous-estime pas du tout le spread, mais il ne peut pas conditionner tous les choix de politique économique et j’exclu une loi de finances rectificative ’’».
RETROSCENA (coulisses) La Stampa de samedi « Di Maio signe la paix avec la France et dément la ligne de Di Battista » : « Oublié les guerres coloniales, le Français qui a affamé les africains ou le Président Macron qui se rend au Venezuela pour faire comme Sarkozy en Libye. Le menu à la sauce anti-française préparé par Alessandro Di Battista a été indigeste pour Di Maio. Il est difficile de ne pas voir dans la rencontre de courtoisie au Palais Chigi de Di Maio avec l’ambassadeur français Christian Masset, voulue par le leader 5 Etoiles, une entreprise réparatrice. […]. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Moldavie : le parti du président Igor Dodon arrive premier lors des législatives.
Moldavie. Lors des élections législatives du 24 février 2019, le Parti des socialistes de la république de Moldavie du président de la République Igor Dodon (qui entretient de bonnes relations avec des patriotes d’Europe occidentale) arrive premier avec 31,15 % des voix.
(https://pv.cec.md/cec-template-proportionale-rezultate-pr...)
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24/02/2019
L'AfD désire que l'excédent budgétaire allemand soit rendu aux citoyens.
Allemagne.
"58 milliards d'excédent budgétaire ! Rendez aux citoyens leur argent !"
21:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
Pays-Bas : les patriotes donnés à 36 sièges sur 150.
Pays-Bas. Le sondage Maurice de Hond de ce 24 février 2019 donne le PVV de Geert Wilders à 18 sièges sur 150 (soit - 2 par rapport aux législatives de 2017) et le Forum voor Democratie à 18 sièges (soit + 16). Les partis du gouvernement [VVD-CDA-D66-CU] sont donnés ensemble à 47 sièges sur 150 (soit - 29).
VVD : libéraux de droite
PVV : patriotes
Groenlinks : écologistes
FvD : patriotes
PvdA : travaillistes
SP : gauche de la gauche
CDA : démocrates-chrétiens
D66 : libéraux de gauche
Partij voor dieren : partis pour les animaux
Denk : parti qui défend les Néerlandais d'origine étrangère
Christen Unie : protestants
50plus : parti des pensionnés
SGP : protestants
Autres partis
13:25 | Lien permanent | Commentaires (0)
23/02/2019
L'AfD donnée à 12 %.
Allemagne. Les patriotes de l'AfD sont donnés à 12 % au sein d'un sondage Forsa.
CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens
SPD : sociaux-démocrates
AfD : patriotes
FDP : libéraux
die Linke : post-communistes
Grüne : écologistes
Sonstige : autres
21:08 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'UDC toujours donnée premier parti de Suisse.
Suisse. Le baromètre électoral de la SSR donne l’UDC premier parti de Suisse, à 27 % (en recul de 2,4 points par rapport à 2015).
(https://www.arcinfo.ch/dossiers/elections-federales-2019/...)
13:00 | Lien permanent | Commentaires (0)
22/02/2019
Frères d'Italie adhère à l'ACRE.
Italie et Union Européenne. Lors du congrès de l’Alliance des Conservateurs et des réformistes en Europe (ACRE) qui s'est tenu ce 22 février 2019 à Rome, Frères d’Italie a formalisé son entrée au sein de ce groupe.
[Parmi les partis composant l’ACRE figurent le PiS (Pologne) et le Parti conservateur (Royaume-Uni).]
La dirigeante de Frères d'Italie Giorgia Meloni signe le document
Giorgia Meloni
Giorgia Meloni
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2019/02/20/con...)
22:26 | Lien permanent | Commentaires (0)
Publicité électorale de la Ligue sur Internet.
Italie. Sardaigne. Publicité électorale de la Ligue sur Internet pour les élections régionales de Sardaigne de ce 24 février 2019 :
"Pour ceux qui veulent repeupler la Sardaigne avec les migrants : votez Parti Démocrate [centre gauche]. Pour tous les autres : ce dimanche de 7 à 22 h votez pour la Ligue !"
22:04 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'AfD donnée à 10 % pour les élections européennes.
Allemagne. Un sondage Forschungsgr. Wahlen pour les élections européennes de 2019 donne l'AfD à 10 %.
CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens
SPD : sociaux-démocrates
AfD : patriotes
FDP : libéraux
die Linke : post-communistes
Grüne : écologistes
Sonstige : autres
18:12 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'AfD donnée à 13 % pour des législatives.
Allemagne. Un sondage Forschungsgr. Wahlen pour des élections législatives donne l'AfD à 13 %.
CDU : démocrates-chrétiens / CSU : sociaux-chrétiens
SPD : sociaux-démocrates
AfD : patriotes
FDP : libéraux
die Linke : post-communistes
Grüne : écologistes
Sonstige : autres
18:08 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Le parti souverainiste Vox à la conquête de l’Espagne !"
18:04 | Lien permanent | Commentaires (0)
1/3 des expulsés reviennent en Allemagne.
Allemagne. L'AfD dénonce le fait qu' 1/3 des expulsés reviennent en Allemagne.
"Comme un boomerang, de retour dans le système social allemand : 1/3 des expulsés reviennent !"
17:49 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Grillo à Di Maio : avec la Ligue il faudrait peut-être arrêter là."
Italie. Revue de presse.
Presse écrite : La motion conjointe du M5S et de la Ligue, adoptée hier à la Chambre, sur la nécessité de renégocier le projet de la liaison ferroviaire Lyon-Turin (TAV) fait les gros titres des médias transalpins. La presse écrite évoque la position de la Ligue, cette dernière étant toujours intentionnée à terminer les travaux. Elle évoque par ailleurs la prudence du Président du Conseil G. Conte sur les autonomies régionales : « La motion M5S-Ligue qui bloque la TAV » - ‘’Conte freine sur l’autonomies régionales : il faudra des mois » (Corriere della Sera), « TAV, les entreprises du Nord menacent le lock-out : ‘’ne bloquez pas les chantiers’’ » (La Stampa), « Retraites : 8 500 enseignants s’en vont » - ‘’La TAV ‘’gelée’’ par la motion M5S-Ligue’’ (Il Messaggero) « Le décret divisant l’Italie bloqué par Conte » - ‘’La loi sera écrite par le Parlement’’ (Il Mattino), « Salvini paye la facture : stop à la TAV et aux autonomies » (Il Giornale), « Ligue et M5S : la TAV doit être renégociée » (Avvenire).
Liaison ferroviaire Lyon-Turin/ gouvernement. ARTICLE Il Messaggero M. Conti « La France et les entreprises en tranchée contre le report » - ‘’Le mandat de Conte pour renouer avec Paris’’ : « Pas un mot sur la TAV, qui désormais devient l’emblème de la possibilité d’investir en Italie. Hier après-midi, le ministre Toninelli a cependant promis une décision ‘’au maximum dans deux semaines’’. Ce qui veut dire que le M5S a l’intention de rapprocher le plus possible le choix de la TAV au vote qui aura lieu sur l’affaire Diciotti. La tension au sein du Mouvement est forte. Pour tenir les siens unis, Di Maio peut céder bien peu à son allié. La TAV, comme l’autonomie régionale, sont des arguments pouvant peser lourdement sur le M5S. Un secrétaire d’Etat 5 Etoiles qui fréquente assidûment le Palais Chigi assure ‘’nous arrivons au mois de mai et, après les élections européennes, nous ferons démarrer les travaux pour le chantier Lyon-Turin’’. Le problème est comment convaincre les Français de ce report. Les relations avec le gouvernement Macron ne sont pas des meilleures et certains au sein de l’exécutif interprètent les pressions de Bruxelles comme l’envie exclusivement française de ne pas vouloir céder ultérieurement en termes de délais. Di Maio fera une tentative aujourd’hui, en rencontrant l’ambassadeur français en Italie, Christian Masset, et parler également d’une rencontre entre Conte et Macron ».
ARTICLE Sole 24 Ore B. Fiammeri « TAV, on travaille à une entente mais uniquement pour reporter le décret sur les appels d’offre » : « Toninelli travaille à une ‘’solution partagée d’ici deux semaines’’. L’objectif est de consentir au consortium italo-français Telt de publier les appels d’offre sans pour autant les attribuer avant les élections européennes. Le ministre des Infrastructures cherche une issue pour éviter les contrecoups, du moins dans l’immédiat. Pour la Ligue, la solution serait de commencer déjà la procédure des appels d’offre et compléter l’évaluation en jonglant les élections européennes : il y aura bien un report mais sans prendre une décision formelle ».
ARTICLE La Stampa A. Rossi « Les entreprises du Nord : ‘’trahis par Salvini, nous sommes prêts au lock-out » : « Voici la proposition provocatrice des petites entreprises turinoises après la décision du gouvernement de reporter le chantier. Une mobilisation qui va du Piémont à la Vénétie. Le Maire de Milan, Sala, a rencontré pour sa part son homologue de Lyon, G. Collomb. A cette rencontre étaient présents aussi les sommets de Confcommercio, les chefs industriels de Turin et d’Assolombarda et plusieurs représentants des syndicats. Un message clair lancé à Salvini ».
ARTICLE, La Repubblica, T. Ciriaco, C. Lopapa : « Oui à la motion anti-TAV, mais entre-temps le gouvernement débloque les appels d’offre » : « De fait, il s’agit de la première action politique qui débloque la réalisation du projet et ce feu vert serait apprécié aussi par le ministère des Transports et des Infrastructures, surtout après l’annonce, de la part des entreprises du Nord, de la possibilité d’une grève des entrepreneurs et la menace de fermeture ».
ENTRETIEN de Mariastella Gelmini, chef de groupe Forza Italia à la Chambre, « Il ne s’agit pas uniquement un arrêt sur la ligne Lyon-Turin, nous sommes au Moyen-âge » (Sole 24 Ore) : « ‘’La TAV est un projet qui fait partie d’un traité approuvé par le Parlement, sur lequel l’Europe et la France ont fait des investissements. La TAV signifie rendre plus rapide le transport de marchandise et assurer plus de compétitivité à nos entreprises. Ils sont en train d’assumer une grave responsabilité : bloquer ce chantier en pleine récession est une décision folle. C’est l’avenir de 50 mille emplois qui est en jeu’’ ».
ARTICLE Il Messaggero D. Pirone « Conte démonte l’autonomie » : « Il s’agit d’un coup de frein sensationnel, pas seulement à cause du ton employé, que certains observateurs attribuent à la ‘’moral suasion’’ du Quirinal. L’autonomie régionale ne pourra pas remettre en discussion dans le temps (comme cela était prévu initialement) la qualité des services publics au niveau national. Plusieurs problèmes doivent être affrontés, encore. Notamment les méthodes de calcul sur la distribution des ressources car la moyenne nationale peut nuire aux régions les plus pauvres. Mais aussi le rôle des commissions paritaires entre Etat et Régions. C’est la ministre 5 Etoiles Erika Stefani qui l’avoue ‘’il n’y a pas de textes sur cette réforme car l’accord n’est pas là’’ ».
ARTICLE, Il Messaggero, S. Canettieri « Grillo à Di Maio : avec la Ligue il faudrait peut-être arrêter là. Stop à la limite des deux mandats »
: « Quatre heures de rencontre entre Beppe Grillo, Davide Casaleggio et Luigi Di Maio hier sur la terrasse de l’hôtel-restaurant ‘’Forum’’ pour jeter les bases pour ‘’innover’’. L’expérience de maire ne sera pas prise en considération dans la limite des deux mandats. Les charges ‘’maire’’ et ‘’élu’’ pourront ainsi se sommer dans un calcul différent. Du coup Raggi pourrait même songer à un deuxième mandat. Casaleggio a obtenu que le rôle de la plateforme Rousseau (à laquelle les parlementaires devront verser chacun 300 € tous les mois) reste central dans cette phase. Dans l’hypothèse d’élections anticipées, Di Maio ne pourra pas se représenter, tout en restant le chef politique. Cela est aussi une autre arme dans les mains de Salvini. Or, Grillo est très préoccupé et a confessé sa tentation de ‘’débrancher la prise’’ au gouvernement M5S-Ligue : la peur est de passer sous la barre des 20% aux élections européennes. Dimanche se tiendront les élections en Sardaigne (où la débâcle est déjà prévue) et aujourd’hui Di Maio devrait s’y rendre, après avoir rencontré au Palais Chigi l’ambassadeur français Christian Masset, rentré à Rome après la déchirure avec l’Italie en raison du soutien 5 Étoiles aux gilets jaunes ».
ARTICLE/ANTICIPATION, La Repubblica, G. Tizian, S. Vergine : « ‘’ De l’argent russe à la Ligue de Salvini ‘’. La négociation secrète avec Moscou
» : « L’hebdomadaire L’Espresso de dimanche prochain publie une enquête sur les négociations secrètes entre la Russie et la Ligue dans le but de financer le parti de Salvini. Un échange commercial en apparence comme les autres mais, derrière les trois tonnes de gaz à céder à une entreprise italienne de la part d’une société russe, il y aurait le plan pour soutenir la campagne électorale des souverainistes dirigés par le vice-président du Conseil Salvini. Le protagoniste de ces négociations est Gianluca Savoini, ancien porte-parole de Salvini et fondateur de l’association Lombardie-Russie, qui, sans avoir un rôle officiel dans le parti ou dans le gouvernement, a toujours été présent lors des visites de Salvini à Moscou ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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21/02/2019
Matteo Salvini à Cagliari.
Italie. Ce 21 février 2019, le dirigeant de la Ligue Matteo Salvini a tenu un meeting à Cagliari en Sardaigne pour les élections régionales de Sardaigne du 24 février 2019.
Gilet aux couleurs de la Sardaigne
23:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Danemark renforce une nouvelle fois sa politique visant à limiter l'immigration.
Danemark. Le Parlement a voté ce jeudi 21 février 2019 à une large majorité un renforcement de mesures visant à restreindre l’immigration. Les aides financières seront une fois de plus réduites et les expulsions seront conduites de manière encore plus rapide.
[Le gouvernement minoritaire de centre-droit est soutenu de l’extérieur par le parti patriotique Parti du Peuple danois.]
22:56 | Lien permanent | Commentaires (0)
KH Bolldorf dirige la Commission des Affaires étrangères de l'AfD au sein du Parlement de Hesse.
Allemagne. Hesse. Karl Hermann Bolldorf de l'AfD dirige la Commission des Affaires étrangères de l'AfD au sein du Parlement de Hesse.
22:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les dirigeants du centre-droit et leur candidat au poste de président de Sardaigne.
Italie. Les dirigeants du centre-droit Matteo Salvini (Ligue), Giorgia Meloni (Frères d'Italie) et Silvio Berlusconi (Forza Italia) et le candidat du centre-droit au poste de président de Sardaigne Christian Solinas (Parti sarde d'action) pour les élections du 24 février 2019 :
22:24 | Lien permanent | Commentaires (0)
Affiches du Forum voor Democratie.
Pays-Bas. Des affiches du Forum voor Democratie sont distribuées à travers les Pays-Bas et vue des élections provinciales du 20 mars 2019.
Sur les affiches : Thierry Baudet
22:04 | Lien permanent | Commentaires (0)
Daniela Santanché à propos de la TAV.
Italie. Daniela Santanché de Frères d'Italie estime que prendre du temps sur la liaison ferroviaire Lyon-Turin (TAV) signifie perdre du temps pour les Italiens.
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