Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

05/12/2016

Italie : les votes pour le "Oui" ou le "Non" selon l'appartenance politique lors du référendum.

M5S.jpg

Forza Italia.png

Ligue du Nord.jpg

Italie. Les votes pour le "Oui" ou le "Non" selon l'appartenance politique lors du référendum du 4 décembre 2016 :

Italie 1.jpg

PD : Parti Démocratique (centre-gauche)

M5S 

FI : Forza Italia

Lega : Ligue du Nord

Altri elettori : autres électeurs

Divers partis demandent que des élections législatives soient organisées.

Ligue du Nord.jpg

Forza Italia.png

M5S.jpg

Italie. La Ligue du Nord, le chef de file des parlementaires de Forza Italia Maurizio Gasparri et le M5S demandent que des élections législatives soient organisées.

Silvio Berlusconi et Matteo Salvini revendiquent le leadership du centre-droit.

M5S.jpg

Ligue du Nord.jpg

Forza Italia.png

Italie. Revue de presse.

Référendum constitutionnel/démission de Matteo Renzi: UNES : « La vague du ‘’non’’, Renzi démissionne » (Corriere della Sera), « Le non triomphe, Renzi démissionne » (La Repubblica), « L’avalanche du ‘’non’’, Renzi annonce ‘’je démissionne’’ » (La Stampa), « Le ‘’non’’ s’envole, Renzi tombe » (Il Messaggero), « L’Italie a choisi pour le ‘’non’’, Renzi démissionne » (Sole 24 Ore), « Renzi rentre chez lui » (Il Giornale), « La Constitution l’emporte sur Renzi 59 à 41 » (Il Fatto Quotidiano). 

Référendum constitutionnel/Démission de Matteo Renzi:

La Repubblica, Mario Calabresi « Le danger d’un saut dans l’inconnu » : « Il y a un an, le Président du Conseil avait eu la malencontreuse idée de transformer le référendum constitutionnel en un plébiscite. Or aucun des Présidents ou Premiers ministres actuels  ne gouverne avec un consensus supérieur à 40%. La démission de Renzi était par conséquent un choix inévitable. Il faut ajouter qu’il s’agit là d’un vote qui n’a rien à voir avec le mérite de cette réforme constitutionnelle. Le camp du « non » regroupe aussi bien ceux qui ne veulent rien changer que ceux qui souhaitent renverser la table. Maintenant, le risque est celui d’un retour à l’instabilité : un scénario dont l’Italie n’a vraiment pas besoin. A l’horizon, il n’y a aucune idée forte pour répondre à la crise que connait l’Italie. Grillo n’en a pas, Salvini non plus. Il faut espérer que la droite (comme en France) et la gauche mettront en avant des options rationnelles et que l’on œuvrera pour contrer les populismes. De cette journée historique, il y a surtout un fait surprenant : le taux de participation des Italiens». 

ARTICLE, La Repubblica T. Ciriaco « L’après-Renzi » : « Afin d’éviter des élections anticipées, le chef de l’Etat explorera la possibilité de faire naître un gouvernement assurant la stabilité et affrontant le problème de la loi électorale. Le mode de scrutin dit ‘’Italicum’’ ne vaut pas pour le Sénat. L’énorme revers subi rend impossible le retour de Renzi au Palais Chigi. Une chose est claire, aucun gouvernement ne pourra se mettre en place contre Renzi et contre le PD, qui demeure le parti majoritaire au Parlement. L’issue naturelle pourrait être celle de la nomination du ministre de l’Economie Pier Carlo Padoan. Sinon, il y a la figure institutionnelle de Piero Grasso, président du Sénat, qui peut compter sur une bonne relation avec les oppositions. Le nom de Graziano Delrio (Infrastructures et transports), l’un des ‘’renzien’’ du début, est aussi évoqué, tout comme celui du chef de la diplomatie Paolo Gentiloni. Le nom de Dario Franceschini est moins probable. Et plusieurs représentants du PD sont en train d’évoquer le retour de Romano Prodi ». 

ARTICLE, Corriere della Sera A. Cazzullo “ Les erreurs du leader” : « Le président du Conseil est resté seul contre tous. Invoquer un plébiscite à l’occasion du référendum constitutionnel était imprudent. Il a déterminé sa stratégie comme si l’Italie n’avait pas changé depuis les dernières élections européennes lors desquelles le PD avait obtenu 41% des voix. Il a surestimé sa côte de popularité et sous-estimé la détresse sociale. Il faut lui reconnaitre, toutefois, d’avoir assumé immédiatement la défaite ». 

ARTICLE, La Repubblica G. Casadio « L’affrontement au sein du PD » : « Pour Pier Luigi Bersani, ancien secrétaire du PD qui a choisi le camp du ‘’non’’, la défaite du ‘’Oui’’ et de Renzi ne peut pas ne pas avoir de conséquences au sein du parti. La course pour la reconquête du parti par la minorité « la plus à gauche » ne fait que commencer. Bersani et D’Alema jugent que le leadership de Renzi est arrivé à sa fin, d’où l’hypothèse d’un secrétaire de transition jusqu’au prochain congrès. Dans la course il y a Martina, Speranza, Rossi et Orlando ». 

ARTICLE, La Repubblica C. Lopapa « Le centre droit » : « Silvio Berlusconi revendique le mérite d’avoir convaincu les modérés à voter pour le ‘’non’’ et plaide maintenant pour une modification de la loi électorale dite ‘’Italicum’’. Le « Cavaliere » veut tirer bénéfice de cette victoire indiquant qu’il est prêt à un gouvernement de coalition. C’est son grand retour, il y croît depuis qu’il avait répété à Salvini (Ligue du Nord) ‘’le leader c’est moi’’. Mais Matteo Salvini revendique lui aussi le mérite de cette victoire, il a été le premier à apparaître à la télévision et il a invoqué les élections anticipées ». 

(Traduction : ambassade de France)

Matteo Renzi annonce sa démission.

Italie. Le Premier ministre Matteo Renzi annonce sa démission du gouvernement après la large victoire du « Non » au référendum en Italie.

Les hommes ont voté Hofer et les femmes Van der Bellen.

FPO.jpg

Autriche. Lors du deuxième tour bis des élections présidentielles de ce 4 décembre 2016, 56 % des hommes et 38 % des femmes ont voté pour le patriote Norbert Hofer.

Autriche 1.jpg

Autriche : les résultats par Länder.

FPO.jpg

Autriche. Les résultats par Länder (sans les votes par correspondance) : Norbert Hofer (FPÖ) est premier dans 5 des 9 Länder.

Autriche 2.jpg

(http://orf.at/wahl/bp16/#ergebnisse/0)

Autriche : flux électoraux entre les deux deuxièmes tours de la présidentielle.

FPO.jpg

Autriche. Les flux électoraux entre les deux deuxièmes tours de la présidentielle.

Autriche 1.jpg

Hofer (FPÖ)

Van der Bellen

Nichtwähler = abstentionnistes

04/12/2016

Norbert Hofer a perdu les élections présidentielles.

FPO.jpg 

Autriche. Le candidat FPÖ aux élections présidentielles Norbert Hofer a perdu le deuxième tour des élections présidentielles de ce 4 décembre 2016 : 

http://orf.at/wahl/bp16/#projection

Marcus Pretzell à propos de Facebook et Twitter.

AfD.jpg

Allemagne. Le Député européen de l’AfD Marcus Pretzell estime que Twitter est un média qui sert à faire réagir les journalistes. Ses tweets ont déjà rempli de nombreuses pages de journaux. Par contre, Facebook lui permet de diffuser plus de contenu et d’agir de manière moins provocante.

Les sanctions contre Filip Dewinter, Anke Van dermeersch et Jan Penris confirmées.

Vlaams Belang.jpg

Belgique. Flandre. Le conseil de parti du Vlaams Belang a confirmé ce samedi 4 décembre 2016 les sanctions prononcées le 20 novembre à l'encontre de Filip Dewinter, Anke Van dermeersch et Jan Penris suite à leur visite en Grèce. Seul le remplacement d'Anke Van dermeersch en tant que sénatrice de communauté a été annulé pour des raisons technico-juridiques.

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2016/11/23/ank...)

L'assassin et violeur de Fribourg en Brisgau est un réfugié afghan.

Allemagne. Bade-Wurtemberg. L'assassin par noyade et violeur de l'étudiante allemande en médecine Maria L. (Maria Ladenburger) à Fribourg, le 15 novembre 2016, vient d'être arrêté et confondu par son ADN. Il s'agit d'un Afghan de 17 ans arrivé en 2015.

Maria Ladenburger avait travaillé au sein du groupe d'aide aux réfugiés de Fribourg en Brisgau, comme le montre son appartenance au groupe Facebook de cet organisme.

Maria Ladenburger 2.jpg

Maria Ladenburger

Maria Ladenburger 1.jpg

Le PVV donné à 34 sièges sur 150.

PVV.jpg

VNL.jpg

Pays-Bas. Le PVV de Geert Wilders est donné au sein du sondage Maurice de Hond de ce 4 décembre 2016 à 34 sièges de député sur 150 et Voor Nederland (VNL) à 1 siège.

"Ta patrie. Ta voix."

FPO.jpg

Autriche.

FPÖ 1.jpg

"Ta patrie. Ta voix. 4 décembre. Norbert Hofer."

03/12/2016

Geert Wilders cherche des candidats pour les municipales.

PVV.jpg

Pays-Bas. Le dirigeant du PVV Geert Wilders cherche dans l’ensemble du pays des personnes qui désirent se présenter sur des listes du parti lors des élections municipales de 2018. Un rapprochement pourrait avoir également lieu entre des partis politiques patriotiques locaux et le PVV. 

[Le PVV n’est pour le moment présent qu’au sein des conseils municipaux d’Almere et de La Haye.]

02/12/2016

Norbert Hofer : "Ta patrie a besoin de toi maintenant."

FPO.jpg

Autriche. Le candidat du FPÖ au deuxième tour bis des élections présidentielles Norbert Hofer a déclaré, lors du meeting de fin de campagne de son parti qui s’est déroulé ce vendredi 2 novembre 2016 dans une salle du centre de Vienne, vouloir dépoussiérer l’Autriche. Il s’est exprimé sous le slogan « Ta patrie a besoin de toi maintenant. »

FPÖ 1.jpg

Norbert Hofer : "Ta patrie a besoin de toi maintenant."

Interview de Mischaël Modrikamen par TV Libertés.

TVLibertés.jpg

PP.jpg

Belgique francophone. Interview du président du Parti Populaire Mischaël Modrikamen par TV Libertés : 

 

 

"Le vote de l’étranger est clos : une hausse de l’affluence qui frôle 40%."

M5S.jpg

Italie. Revue de presse. 

Référendum constitutionnel: UNES : « Renzi : la réforme comme garantie de la stabilité » (Corriere della Sera), « Derniers duels, bras-de-fer Renzi-Grillo. Une hausse de votes depuis l’étranger » (La Repubblica), « Le dernier duel Renzi-Grillo » (La Stampa), « Renzi-Grillo, le duel » (Il Messaggero). 

 

Référendum constitutionnel :

ARTICLE, La Repubblica A. D’Argenio « Le vote de l’étranger est clos : une hausse de l’affluence qui frôle 40% » : « Un grand nombre d’Italiens de l’étranger ont participé au vote référendaire. Il y aurait environ 1.6 million de bulletins de votes, qui seront stockées dans un hangar à l’aéroport de Fiumicino. Ils seront ouverts en même temps que les bulletins du scrutin national. Le taux de participation a été de 42% en Suisse, 37% en Grande-Bretagne. Selon les prévisions, il y aurait un écart de 500 000 voix en faveur du ‘’oui’’. Entretemps, les partisans du ‘’non’’ menacent de faire des recours au cas où l’impact du vote des italiens de l’étranger devait s’avérer décisif ».

 

ENTRETIEN de Matteo Renzi, Président du Conseil italien « Je ne serai jamais quelqu’un qui vivote. Avec la victoire du Oui la stabilité sera assurée » (Corriere della Sera) : « Le résultat du référendum constitutionnel aura une énorme importance : il déterminera les 20 prochaines années. Contrairement à Grillo, j’invite les Italiens à voter avec la tête et avec le cœur. Non aux insultes, oui aux raisonnements. Je voudrais laisser à mes enfants une Italie plus facile à comprendre et plus forte. Cette réforme peut faire vraiment la différence. Si le ‘’Oui’’ l’emporte, l’Italie sera plus forte. Si c’est le ‘’Non’’, le risque d’un saut dans le noir est évident. Si nous gagnons, nous pourrons avoir de meilleures cartes à jouer en Europe, à commencer par le défi sur l’immigration et sur la croissance. En cas de victoire du non ? Je peux assurer la stabilité, mais pas l’immobilisme. Avec mon gouvernement l’Italie a redémarré, l’économie va mieux, nous avons 1% de croissance, un résultat que des observateurs de renom considéraient impossible. Mais s’il faut vivoter, d’autres personnes seront plus aptes que moi ».

 

ENTRETIEN de Jacques Attali, économiste français, « Le  ‘’Non’’ serait une catastrophe. Matteo a eu tort à personnaliser le vote» : « ‘La réforme constitutionnelle est une très bonne réforme, contrairement à la réforme de la loi électorale qui est plus dangereuse parce qu’elle pourrait donner trop de pouvoir à un seul parti. Le référendum n’est pas un bon instrument pour gouverner, les électeurs ont tendance à répondre à celui qui pose la question et non à la question. En cas de victoire du Non, des élections anticipées seraient inévitables et le M5S de Grillo pourrait l’emporter, conduisant l’Italie hors de la monnaie unique : cela serait une catastrophe. Renzi a fait la même erreur que Cameron parce que réformer par le référendum n’est jamais une bonne idée.’’ »

 

ENTRETIEN de Pier Ferdinando Casini, président de la commission des Affaires Etrangères au Sénat « Réformes, dernière occasion. Notre ‘’Oui, un ‘’non’’ à Grillo » (Il Messaggero): « ‘ Les raisons pour voter ‘’Oui’’ au référendum sont nombreuses et très importantes. Le ‘’Oui’’ est un vote de stabilité et un ‘’non’’ à Grillo et à son M5S. Nous avons enfin la possibilité de réaliser des réformes mais si le ‘’Non’’ l’emporte, ce sera la fin du changement et de la réputation de l’Italie. L’attention du monde entier pour l’Italie est grande, surtout après le Brexit et l’élection de Trump. Le référendum sera le banc d’essai de la capacité italienne à avancer et sortir de ses vices traditionnels. Renzi ne doit pas démissionner mais gouverner jusqu’à 2018 mais si le ‘’Non’’ emporte, il évaluera la situation avec le Président de la République Mattarella, parce qu’ils se soucient de l’Italie et pas de leurs destins personnels.’’ » 

(Traduction : ambassade de France)

Giorgia Meloni poursuit sa campagne pour le "Non".

FI-AN.jpg 

Italie. La dirigeante de Frères d'Italie-Alliance Nationale Giorgia Meloni poursuit sa campagne pour le « Non » lors du référendum constitutionnel de ce 4 décembre 2016.

FI 1.jpg

Geert Wilders : "Ma voix est la voix de beaucoup."

PVV.jpg

Pays-Bas.

PVV 2.jpg

Geert Wilders : "Ma voix est la voix de beaucoup [de personnes]."

Norbert Hofer opposé à la peine de mort.

FPO.jpg

Autriche. Interrogé sur la question, le candidat du FPÖ à la présidence de la République Norbert Hofer s’est déclaré opposé à la réintroduction de la peine de mort.

01/12/2016

"Les Pays-Bas doivent être à nouveau à nous."

PVV.jpg

Pays-Bas. 

PVV 1.jpg

"Les Pays-Bas doivent être à nouveau à nous. Notre argent pour nos gens. Nos soins [de santé]. Nos pensions. Notre culture. Nos frontières. Notre sécurité."

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2016/11/29/les...)

Alessandra Mussolini quitte le PPE.

Forza Italia.png

CSU.jpg

Italie, Allemagne et Union Européenne. Le Député européen Alessandra Mussolini (Forza Italia), petite fille de Benito Mussolini, quitte le groupe du PPE (Parti Populaire Européen) au Parlement européen et siégera en tant qu’indépendante. Elle entend ainsi protester contre le fait que le Ministre allemand des finances Wolfgang Schäuble (CDU) soutient le « Oui » lors du référendum constitutionnel du 4 décembre 2016. Elle trouve cette ingérence dans les affaires intérieures italiennes inacceptable. De plus, elle trouve inacceptable que le chef de file des élus du PPE au Parlement européen, l’Allemand Manfred Weber (CSU), devienne président du Parlement européen. Elle désire qu’un Italien occupe ce poste.

[Forza Italia est favorable au « Non » lors du référendum constitutionnel.]

Alessandra.jpg

Alessandra Mussolini

"Sans argent liquide, ils savent tout sur toi !"

AfD.jpg

Allemagne.

AfD 1.png

"La suppression de l'argent liquide est "la surveillance totale". Sans argent liquide, ils savent tout sur toi !"

"Berlusconi pour un nouveau pacte avec le PD, la colère de Salvini."

Forza Italia.png

Ligue du Nord.jpg

M5S.jpg

FI-AN.jpg

Italie. Revue de presse.

Référendum constitutionnel : 

RETROSCENA (coulisses) La Repubblica C. Tito « La stratégie de Renzi : ‘’avec le vote de l’étranger, il est possible de gagner’’ » : « Il s’agit d’un million et demi de voix. Pour Renzi, il s’agit de ‘’ce 3% qui peut changer la donne’’. Les discours du président du Conseil et les préoccupations des opposants à la réforme confirment que ce point est devenu le noyau dur de la bataille entre le Oui et le Non. Les partisans du Non invitent le gouvernement à être vigilants sur les bulletins de votes expédiés par la poste en raison d’un ‘’risque de falsification’’ ». 

ARTICLE, La Repubblica C. Lopapa « Berlusconi pour un nouveau pacte avec le PD, la colère de Salvini » : « Au cours de l’émission télévisée de RaiUno [Porta a Porta, ndt.], le leader de Forza Italia a indiqué les conditions nécessaires pour la mise en place d’un nouveau pacte du ‘’Nazareno’’ au lendemain du vote référendaire. Quoi qu’il arrive, le 5 décembre constituera un « Big Bang » entre FI et la Ligue du Nord, bien que ces deux partis soutiennent le ‘’non’’ à la réforme constitutionnelle. Et Berlusconi explique que ‘’lundi je serai gagnant, que ce soit le « non » ou le « oui » qui l’emporte, car Renzi aura toujours besoin de nos voix pour revoir les règles électorales’’. Berlusconi mise tout sur un mode de scrutin proportionnel, afin de repasser dans le camp de la majorité et si possible avec un gouvernement de coalition. Salvini, de son côté, réitère l’exigence de primaires pour le centre droit : ‘’Toti, Fitto et Meloni partagent mon avis’’ ». 

[Le pacte du « Nazareno » est dans le jargon des journalistes italiens un accord politique entre Matteo Renzi et Silvio Berlusconi qui date de janvier 2014 en vue de mener à bien une série de réformes et qui a eu cours jusqu’en février 2015.]

[Giovanni Toti : Forza Italia ; Raffaele Fitto : président de Conservateurs et réformistes, scission de Forza Italia ; Giorgia Meloni : dirigeante de Frères d’Italie-Alliance Nationale.]

Commune de Rome/Mouvement 5 Etoiles

ARTICLE, La Repubblica G. Vitale « Le Capitole tremble » : « Le Capitole est déjà éprouvé par les enquêtes de l’autorité anticorruption sur Raffaele Marra sur les frères Marra. Et les conseillers municipaux du Mouvement 5 Etoiles confirment que le climat est très tendu ‘’sur les nominations. « Virginia Raggi a fait plusieurs erreurs et tôt ou tard elle devra payer ». Après le référendum constitutionnel, la trêve entre le M5S et la maire de Rome cessera et le conflit sera alors inévitable. Trop de frictions pendant ces 5 premiers mois, trop de diktats, trop de querelles internes ». 

Russie 

ENTRETIEN de Sergei Lavrov, ministre des Affaires Etrangères russe « La Russie est prête pour un nouveau dégel avec les Etats-Unis » (Corriere della Sera): « Nous sommes prêts à faire notre part pour que les relations entre la Russie et les Etats-Unis soient plus stables. Dans le monde contemporain, la sauvegarde de la stabilité et de la sécurité, ainsi que la mise en place de solutions efficaces aux problèmes-clé dépendent beaucoup de nos deux pays. Sur la Syrie, depuis le début la Russie a soutenu et continue à soutenir une solution politico-diplomatique par le biais d’un dialogue inclusif à l’intérieur de la Syrie. Sur les sanctions contre la Russie, il est singulier que l’Italie, jadis 4e partenaire commercial, soit devenu le 6e, devancé justement par les Etats-Unis. C’est la preuve que Washington, promoteur d’une grande partie des sanctions anti-russes, n’en souffre pas économiquement ». 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Pierre Puget rejoint le parti La Droite.

La droite.jpg

Belgique. Wallonie. Le Député au Parlement wallon Pierre Puget, qui avait quitté le Parti Populaire, rejoint le parti La Droite : 

http://www.lalibre.be/actu/politique-belge/l-ex-depute-pp...

[Le Parti Populaire dispose toujours d’un député au Parlement national.]