17/11/2021
Immigration : la Hongrie à nouveau condamnée par l'UE pour sa loi "Stop Soros".
Hongrie. Immigration : la Hongrie à nouveau condamnée par l'UE pour sa loi « Stop Soros » :
https://francais.rt.com/international/92703-immigration-h...
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16/11/2021
Frères d'Italie et la Ligue donnés deuxième et troisième.
Italie.
Parti Démocrate : centre-gauche
Frères d'Italie : patriotes
Ligue : patriotes
M5S : anti-système
Forza Italia : conservateurs
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"La crainte que la question du Quirinal se transforme en un imbroglio se fait de plus en plus grande."
Italie. Revue de presse.
Le plan du gouvernement pour contrer la hausse des contaminations de Covid fait toujours les gros titres de la presse italienne : « Quatre régions pourraient basculer en zone à risque » - Le taux de contagion s’élève à 2,4%. Le Frioul-Vénétie-Julienne, la Ligurie, la Val d’Aoste et le territoire de Bolzano pourraient passer en zone jaune. L’étau se resserre sur les contrôles du pass sanitaire dans les transports (Corriere della Sera), « La preuve d’une intention de violence de la part des antivax » (Enquête) - Des perquisitions à l’encontre de militants extrémistes ont été effectuées dans toute l’Italie. Ils incitaient à la violence sur les réseaux sociaux (La Repubblica), « La troisième dose après 5 mois » - Le conseiller sanitaire pour la région Latium, A. D’Amato, lance un appel pour avancer les délais de rappel en raison de la hausse des cas. L’étau se resserre sur les transports : un maximum de 2 personnes dans les taxis et un contrôle du pass sanitaire avant la montée dans les trains (Il Messaggero), « Le Frioul pourrait basculer en zone jaune. Durcissement des contrôles sur les transports » (Il Giornale).
ENTRETIEN, Corriere della Sera, de Giuseppe Conte, président du Mouvement 5 Etoiles « Je dis oui à la proposition d’un accord proposé par Enrico Letta mais il faut aussi une nouvelle Constitution avec la contribution de Berlusconi » : « J’estime qu’il est utile de se rencontrer entre leaders politiques afin d’assurer une adoption plus rapide de la loi de finances. Je suggère toutefois d’inclure, lors de ces rencontres, aussi les chefs de groupe. Cas cela pourrait être perçu autrement comme un geste d’impolitesse institutionnelle envers le Parlement qui a pour mission d’adopter la loi de finances. Je suis donc favorable à la proposition d’Enrico Letta mais je profite de l’occasion pour lancer un dialogue aussi avec les partis d’opposition pour se pencher sur les réformes constitutionnelles. Il n’y a rien de plus important que de mettre les gouvernements en condition de travailler et de pouvoir programmer les réformes nécessaires. Le système, tel qu’il fonctionne actuellement, ne va pas. Nous ne pouvons pas être compétitifs au niveau international avec le problème historique de l’instabilité politique due au chantage des petits partis. Il y a maintenant un plan d’investissements du Plan de relance qu’il faut réaliser d’ici 2026. Si nous continuons avec une « espérance de vie » des gouvernements italiens d’une année en moyenne, nous n’y arriverons jamais. Avant moi, parmi les leaders des partis, il y a d’anciens Présidents du Conseil, comme Enrico Letta et Silvio Berlusconi : ils ont eux aussi subi l’instabilité de l’exécutif. Le moment est parfait : quels meilleurs interlocuteurs pour aborder la réforme constitutionnelle ?’’»
PREMIER PLAN, La Repubblica, de T. Ciriaco, « La prudence de Draghi sur la proposition d’un accord avec les leaders de la majorité pour le vote de la Loi de Finances » : « Mario Draghi n’a pas encore décidé, faisant preuve d’une prudence qui se mêle au doute. Il attend d’abord de voir si les six leaders de la majorité adhéreront à la proposition de Letta pour un accord garantissant le vote de la Loi de Finances. Or Matteo Renzi s’est limité à demander à Ettore Rosato de se prononcer au nom d’Italia Viva et Giuseppe Conte n’a pas encore répondu. Mario Draghi tend à voir d’un bon œil toute tentative de dialogue au sein de sa majorité. Toutefois la ‘’méthode Draghi’’ repose habituellement sur deux axes : les problèmes concernant l’action parlementaire sont résolus à travers le dialogue au Parlement. Les problèmes d’ordre politique sont quant à eux résolus en mobilisant l’exécutif, en organisant des réunions au gouvernement et en impliquant les ministres représentant les différents partis. Draghi n’a donc pas de raison d’abandonner cette méthode qui fonctionne. Les partis s’attendent à ce que le Président du Conseil n’ait aucune envie de se compliquer la vie en convoquant une réunion qui pourrait comporter de nombreux risques et peu d’avantages. Le principal risque est dû au fait de réunir quatre anciens Présidents du Conseil – Letta, Conte, Renzi, et peut-être Silvio Berlusconi- plus un ancien vice-président, Salvini, et de s’exposer à leurs rivalités et tensions à l’approche du vote pour la Présidence de la République. Mais Letta insiste sur le fait qu’il s’agit pour sa part d’une proposition ouverte. »
COMMENTAIRE, La Repubblica, S. Folli « Le Quirinal et la leçon de De Gasperi » : « Les jours passent et la crainte que la question du Quirinal se transforme en un imbroglio inimaginable pouvant mettre en danger à la fois S. Mattarella et M. Draghi se fait de plus en plus grande. Jamais auparavant le système politique n’avait été aussi divisé. Qu’on le veuille ou non, la stabilité du système repose sur l’actuel Chef de l’Etat et sur le Président du Conseil. Quand Enrico Letta propose une sorte de pacte entre les partis de la majorité pour identifier ensemble la solution la plus juste pour le Quirinal, il va dans la bonne direction. Toutefois, le scepticisme demeure car Letta n’a pas la force politique qu’avait par exemple De Mita en 1985 quand il avait imposé le nom de Cossiga au premier scrutin. Encore plus loin dans le passé, en 1948, Alcide De Gasperi n’aurait eu aucun mal à se faire élire Chef de l’Etat. Toutefois, il était bien conscient du fait que le grand défi de la reconstruction de l’Italie ne pouvait passer que par le Palais Chigi. Par ailleurs, il n’est pas dit que celui qui prendra le Quirinal est celui qui s’y porte candidat. Il suffit de voir l’expérience amère de Benedetto Croce. Si l’enjeu est la stabilité politique comme condition pour une reprise économique et sociale, le bon sens suggère d’altérer le moins possible l’équilibre atteint aujourd’hui. »
COMMENTAIRE, Corriere della Sera, M. Franco « La recherche éperdue d’une entente pour le Quirinal » : « Plus on s’approche de la date pour élire le Chef de l’Etat, plus l’absence de stratégie politique capable de réunir une majorité et d’arriver à une candidature devient évidente. La proposition d’Enrico Letta a suscité un consensus large mais devra faire face aux stratégies et aux intérêts divergents, voire opposés, des partis. A bien y réfléchir, le problème n’est pas de savoir jusqu’à quand il est possible de voir dans le Président du Conseil ce garant du pays face aux marchés financiers et à l’Europe. Mais plutôt à quel point sa position institutionnelle donnera de la force à son action et aux structures mises en place pour gérer les fonds européens. Sur ce point, les certitudes vacillent déjà. Penser que l’horizon de l’exécutif et de sa majorité atypique puisse arriver jusqu’au terme naturel de la mandature en 2023 dépend du résultat des élections à la Présidence de la République. Cette incertitude est aussi caractérisée par la crainte au sein du parti de majorité relative, le M5S, qui est bien conscient d’avoir gaspillé un tiers de son consensus. L’influence de Di Maio sur une bonne partie de ses groupes parlementaires nait d’un instinct de survie et de la méfiance à l’idée de voir Draghi élu au Quirinal. Le danger est réel que la crise persiste après le scrutin de janvier censé redessiner les équilibres de l’Italie »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
12:23 | Lien permanent | Commentaires (0)
Bulgarie : les nationalistes de Renaissance obtiennent 13 députés.
Bulgarie. Lors des élections législatives du 14 novembre 2021, le parti nationaliste Renaissance obtient 4,86 % et 13 sièges, soit +13. D’autres partis nationalistes ou patriotiques n’obtiennent pas de siège : le VMRO - Mouvement national bulgare décroche 1,08 %, Ataka obtient 0,46 %, le Front patriotique récolte 0,33 %, Volya obtient 0,27 %.
(https://results.cik.bg/pvrns2021/tur1/rezultati/index.html)
01:13 | Lien permanent | Commentaires (0)
15/11/2021
La Pologne commencera en décembre à construire un mur à la frontière avec le Bélarus
Pologne et Belarus. La Pologne commencera en décembre à construire un mur à la frontière avec le Bélarus :
https://www.laprovence.com/actu/en-direct/6561341/la-polo...
23:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
La Commission européenne propose de payer 2 % des coûts du mur frontalier polonais.
UE et Pologne. La Commission européenne propose de payer 2 % des coûts du mur frontalier polonais. En échange, la Pologne devra modifier la loi autorisant les refoulements de migrants. Elle devra également autoriser le personnel de Frontex à traiter les demandes d'asile. La Pologne dit : « Non ».
23:37 | Lien permanent | Commentaires (0)
Judit Varga rencontre le dirigeant de Vox Santiago Abascal.
Espagne et Hongrie. Le ministre hongrois de la Justice Judit Varga (Fidesz) rencontre le dirigeant de Vox Santiago Abascal.
Judit Varga et Santiago Abascal
23:25 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'Irak évacuera les Irakiens de la frontière entre le Belarus et l'Ukraine.
Irak et Belarus. Les autorités irakiennes ont annoncé que le 18 novembre 2021, le premier vol spécial de Belarus vers l'Irak évacuera les citoyens irakiens de la frontière avec la Pologne.
20:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Berlusconi divise le centre-droit : "Draghi devrait rester aussi au-delà de 2023". Salvini n’est pas d’accord."
Italie. Revue de presse.
Le plan du gouvernement pour contrer la hausse des contaminations (+7 569 nouveaux cas en 24 heures), fait les gros titres de la presse italienne : « Pass sanitaire, voici les nouvelles règles » - Sa validité sera plus courte et les tests seront plus fréquents. Voici le plan pour mettre en sécurité l’Italie à Noël (Corriere della Sera), « Covid, voici le plan pour l’hiver » - L’octroi du pass sanitaire sera lié exclusivement aux vaccins et pas aux tests de dépistage si les hospitalisations devaient augmenter (Il Messaggero). Le débat autour de l’élection du Président de la République, et notamment la proposition du leader du PD d’une entente entre les partis de majorité pour adopter ensemble la loi de finances avant de se pencher sur le Quirinal, est également cité « La droite répond favorablement à la proposition d’Enrico Letta » - Tajani et Salvini demandent une réunion sur l’économie. Un accord a été trouvé pour défendre le revenu de citoyenneté (La Stampa), « Berlusconi cherche à maintenir le gouvernement et relance le rôle de Draghi au Palais Chigi (Il Giornale), « Berlusconi souhaite que Draghi reste au Palais Chigi au-delà de 2023 et divise la droite (La Repubblica).
PREMIER PLAN, Corriere della Sera, de M. Guerzoni et F. Sarzanini « Troisième dose pour tous, accélération de la part du gouvernement, la durée de validité du pass revue à la baisse et les tests rapides remis en cause. »
ARTICLE, La Repubblica, de V. Conte, « Les leaders de la majorité nouent un ‘’pacte de gouvernement pour garantir le passage du budget de l’Etat’’ » : « Le Sénat commencera demain l’examen de la Loi de Finances s’élevant à 30 milliards d’euros, mais les menaces de blocage politique planent déjà. Sur fond d’agitation en vue de la présidentielle qui approche, l’hypothèse d’un ‘’pacte pour le budget’’ progresse. En effet, aussi bien Berlusconi que Salvini ou encore Renzi, ont accepté la proposition d’Enrico Letta pour une entente facilitant un accord entre groupes parlementaires sur le vote de la Loi de Finances, ainsi que d’autres mesures en lien avec le Plan de Relance. Il s’agirait d’un pacte impliquant également Mario Draghi et la Présidence du Conseil entend évaluer la proposition à condition qu’il y ait un accord entre les six leaders des partis de la majorité. Or, Giuseppe Conte et Roberto Speranza ne se sont pas encore prononcés, et Salvini lui-même continue de porter certaines revendications qu’il sait déstabilisantes pour le vote de la Loi de Finances, comme sur le revenu de citoyenneté ou les retraites. Ce dernier point est en effet le plus épineux, cristallisant le mécontentement de la plupart des syndicats et une rencontre avec Draghi est prévue pour demain. Le Mouvement 5 Etoiles semble pour sa part déterminé à obtenir une révision du bonus écologique de l’Etat, le ‘’Superbonus 110%’’. »
ARTICLE, Repubblica, de T. Ciriaco, « Berlusconi divise le centre-droit : ‘’Draghi devrait rester aussi au-delà de 2023‘’. Salvini n’est pas d’accord. » : « ‘’Nous sommes les premiers défenseurs de ce gouvernement. Nous sommes persuadés que le gouvernement Draghi doit se poursuivre jusque 2023 et même au-delà‘’ a déclaré le leader de FI lors d’un évènement du parti. Or, ses alliés souverainistes n’ont certainement pas le même scénario en tête. Matteo Salvini semble de plus en plus vouloir quitter la majorité pour aller vers des élections anticipées. De même que Giorgia Meloni, qui serait disposée à soutenir Draghi au Quirinal à condition que l’on se rende de suite aux urnes. En somme, malgré une unité de façade, le centre-droit doit composer avec de profondes divisions. Berlusconi ne fait que répéter à quel point il croit en son élection au Quirinal. En réalité, il doit faire face à de nombreux obstacles, notamment la recherche de voix, actuellement insuffisantes malgré tous les calculs. Mais le problème est surtout de nature politique : la seule évocation d’une arrivée de Berlusconi au Quirinal aurait pour effet de désintégrer l’unité nationale et conduire nécessairement à convoquer des élections. La thèse de Mario Draghi semble se confirmer : la crise sera inévitable si la majorité se divise sur les élections du Quirinal. Tous les raisonnements semblent ainsi favoriser un Mattarella bis ou une élection de Draghi. Il est sans doute possible que Berlusconi en soit parfaitement conscient et qu’il soit en train de jouer sur plusieurs fronts comme à son habitude. Cette fois-ci aussi, son véritable objectif pourrait être tout autre : sa nomination comme sénateur à vie, un rêve que le Cavaliere caresse depuis longtemps. »
ARTICLE, La Repubblica de samedi, T. Ciriaco et A. Ginori « Draghi : les arrivées des migrants sont insoutenables, l’UE doit trouver une solution’’ » : « Le souhait est d’avoir un Noël pouvant offrir aux Libyens les premières élections ‘’libres, crédibles et inclusives’’, comme prévu par la déclaration finale de la Conférence internationale sur la Libye présidée par E. Macron, M. Draghi et A. Merkel. Un sommet décisif afin de tenter de mettre en sécurité les élections prévues le 24 décembre. Draghi et Macron ont d'abord eu une rencontre en tête-à-tête, seuls, pour se coordonner, un autre signe de la "convergence" (le mot a été employé par Macron) entre Rome et Paris. "Si on ne s’entend pas, on n'aide pas la Libye", a commenté le Président du Conseil italien. En coulisses, cependant, la lecture de la situation libyenne n'est pas parfaitement alignée. Alors que M. Macron a insisté sur la date du 24 décembre, M. Draghi a confirmé l'"urgence" du vote mais s'est montré plus nuancé quant à une échéance stricte, sachant qu’une pression forcée pourrait déclencher de nouvelles violences. Finalement, la médiation italienne s'est avérée décisive, traduite dans la déclaration finale par une référence au "début" des élections présidentielles et parlementaires en Libye à partir du 24 décembre et à la nécessité que les résultats des deux élections soient annoncés en même temps. A la veille du sommet de Paris, Haftar a donné un signe de bonne volonté en annonçant le départ de trois cents mercenaires présents sur le territoire pour soutenir son armée. La Turquie a toutefois exprimé de nouvelles réserves. Erdogan continue d'affirmer que les soldats envoyés ont été demandés par le gouvernement de Tripoli. Le chemin de la stabilisation de la Libye est encore semé d'embûches »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
16:38 | Lien permanent | Commentaires (0)
14/11/2021
Allemagne : 50 % des non-vaccinés ont voté AfD lors des législatives.
Allemagne. L'institut Forsa a conduit une analyse du vote des personnes non-vaccinées lors des élections législatives de 2021 : 50 % ont voté AfD.
AfD : patriotes
Grüne : écologistes
die Linke : post-communistes
SPD : sociaux-démocrates
CDU / CSU : sociaux-chrétiens / démocrates-chrétiens
FDP : libéraux
Sonstige : autres
23:29 | Lien permanent | Commentaires (0)
Viktor Orbán : "Nous insistons sur le fait qu'en Hongrie le mariage est l'union d'un homme et d'une femme."
Hongrie. Le Premier ministre Viktor Orbán : « Nous insistons sur le fait qu'en Hongrie le mariage est l'union d'un homme et d'une femme, la mère est une femme et le père est un homme. Laissons nos enfants tranquilles ! »
23:14 | Lien permanent | Commentaires (0)
Déclaration du ministre hongrois de la Justice Judit Varga lors du 29ème congrès du Fidesz.
Judit Varga
21:22 | Lien permanent | Commentaires (0)
Des messages provenant de haut-parleurs informent les migrants illégaux qu'il n'y aura pas de passage vers l'Allemagne via la Pologne.
Pologne. Des messages provenant de haut-parleurs informent, à travers la frontière avec le Belarus, les migrants illégaux qu'il n'y aura pas de passage vers l'Allemagne via la Pologne.
18:43 | Lien permanent | Commentaires (0)
13/11/2021
Photo : des soldats polonais défendent les confins orientaux.
Pologne.
19:44 | Lien permanent | Commentaires (0)
12/11/2021
Cette nuit, comme les précédentes, l'armée polonaise garde la frontière orientale, face au Belarus.
Pologne. Cette nuit, comme les précédentes, l'armée garde la frontière orientale, face au Belarus.
18:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
Photo : Sylvi Listhaug cuisine.
Norvège. La présidente du Parti du Progrès Sylvi Listhaug cuisine à son domicile :
17:41 | Lien permanent | Commentaires (0)
Hongrie : le gouvernement plafonne le prix du carburant.
Hongrie. Le gouvernement plafonne le prix du carburant :
https://visegradpost.com/fr/2021/11/12/hongrie-le-gouvern...
15:17 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Les paroles du Président de la République excluent définitivement un Mattarella bis."
Italie. Revue de presse.
Le débat politique autour de la prochaine élection du Président de la République, et notamment l’annonce par le président Mattarella qu’il ne resterait pas à son poste au-delà du terme de son mandat à l’occasion du 20e anniversaire de la disparition de l’ancien président Giovanni Leone, fait la Une des quotidiens italiens : « Mattarella éloigne la possibilité d’un second mandat » - Le Président met fin à toute hypothèse d’un bis au Quirinal (Corriere della Sera, La Stampa, Il Messaggero), « Mattarella exclut un second mandat » - Le Président rend hommage à son prédécesseur Leone et exclut une participation à la course pour le Quirinal (La Repubblica). La hausse des nouveaux cas de Covid (8 569 et 67 victimes en 24 heures) en Italie, mais aussi en Europe, et les prévisions de croissance de la Commission Européenne, de 6,2%, pour l’Italie sont également citées en Une.
PREMIER PLAN, Corriere della Sera, de F. Caccia et A. Logroscino, « Les pôles vaccinaux rouvrent, les centres mobiles et les pharmacies restent mobilisés, l’Italie se prépare à la troisième dose ».
COULISSES, La Repubblica, de S. Cappellini, « Les craintes des partis. Le gouvernement sera en fin de vie si Draghi ne va pas au Quirinal. » : « Les paroles du Président de la République excluent définitivement un Mattarella bis, et compliquent définitivement une situation déjà délicate. C’est donc l’autre scénario qui se profile : Draghi au Quirinal. Celui-ci n’a jamais exprimé le souhait d’être élu à la Présidence de la République. Il ne l’a pas non plus exclu. Cependant, au gouvernement, personne ne pense que l’ancien directeur de la BCE puisse volontairement quitter son poste en 2022 avec un Plan de Relance en cours d’installation et une urgence sanitaire qui reprend. Draghi au Quirinal pose la question de son difficile remplacement, et pour l’instant, il est impossible de parler d’un accord sur le potentiel prochain Président du Conseil. Toutefois, s’il ne devait pas être élu au Quirinal, il risquerait d’en sortir affaibli et pourrait provoquer le déchainement de ses adversaires. Le Quirinal 2022 demeure un rébus dont personne n’a la solution. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
14:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le président patriote polonais Andrzej Duda s'est rendu à la frontière.
Pologne. Le président patriote Andrzej Duda s'est rendu à la frontière avec le Belarus pour rencontrer les gardes-frontières et les militaires qui protègent la frontière.
05:39 | Lien permanent | Commentaires (0)
10/11/2021
Varsovie : cérémonie à la veille de la Fête nationale de l'indépendance.
Pologne. Ce soir, à la veille de la Fête nationale de l'indépendance, alors que la frontière orientale est assiégée, une cérémonie se déroule à Varsovie, en présence du ministre de la Défense Mariusz Błaszczak.
23:25 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Vlaams Belang désire voir l’armée belge être déployée sur la frontière polonaise.
Belgique et UE. Le Vlaams Belang désire voir l’armée belge être déployée sur la frontière polonaise, afin d’aider la Pologne à repousser l’immigration clandestine. Le parti désire également que des murs frontaliers soient construits sur les frontières extérieures de l’UE.
16:06 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Le Président contre le marécage."
Italie. Revue de presse.
Les JT couvrent essentiellement le débat politique autour de la loi de Finances avant son passage au Parlement, l’appel du Président de la République S. Mattarella contre les violences des opposants du pass sanitaire, la conférence des maires italiens à Parme en vue de la rencontre avec le Président du Conseil Mario Draghi de jeudi autour du plan de relance et du plan anti-pandémique et la hausse des contagions de Covid en Italie, notamment à Trieste, dans les Marches et le Piémont.
PREMIER PLAN, La Repubblica, d’A. Ziniti, « Le ministère de l’Intérieur freine les anti-pass sanitaire ‘’Stop aux cortèges en centre-ville et le port du masque doit être respecté lors des sit-in’’ » : « Suite aux incidents à Milan et à Trieste, le ministère de l’Intérieur s’apprête à émettre un arrêté visant à éviter le blocage des centre-villes. Les organisations de commerçants dénoncent notamment les pertes économiques dues à ces cortèges. Les manifestations resteront autorisées mais devront se tenir loin des principaux axes commençants, des sièges des institutions ou de tout point sensible. Les organisateurs devront négocier avec les préfets également concernant les horaires. Par ailleurs, le respect des règles sanitaires devra être observé, à commencer par le port du masque, y compris en extérieur en cas de rassemblement. L’arrêté prévoit des contrôles stricts et les sanctions seront effectives. Les nouvelles directives entreront en vigueur dès ce week-end. De façon générale, les contrôles portant sur le pass sanitaire devront aussi être renforcés partout où il est obligatoire. Si les maires sont satisfaits de cette nouvelle impulsion de la Ministre de l’Intérieur, les anti-pass sont sur le pied de guerre. »
ARTICLE, La Repubblica, de G. Foschini « Les projecteurs du COPASIR pointés sur Renzi ‘’Ses activités à l’étranger représentent un risque pour l’Italie’’ » : « Hier, le COPASIR, le Comité pour la sécurité de la République, a officiellement soulevé deux questions concernant des hommes politiques qui auraient pu mettre en danger la sécurité nationale italienne. Il s’intéresse, d’une part, aux informations sensibles que Matteo Renzi aurait pu divulguer à des gouvernements étrangers, notamment au gouvernement Saoudien, alors qu’il était sénateur et membre de la commission des Affaires étrangères et de Défense. D’autre part, aux financements que le Mouvement 5 Etoiles aurait reçus, il y a une dizaine d’années, de l’ancien dirigeant vénézuélien, Hugo Chavez. Le Parquet de Florence avait enquêté sur la première affaire qui est désormais close. Le Parquet de Milan tente actuellement de déterminer si les faits concernant le M5S, niés par Davide Casaleggio, sont avérés ou non. Après avoir auditionné le directeur des services de renseignements italiens, Giovanni Caravelli, le Comité a recouru à une procédure peu courante en demandant aux magistrats des deux villes de faire remonter tous les éléments selon lesquels la sécurité nationale aurait pu être compromise. Le COPASIR recevra donc tous les actes de l’enquête des magistrats de Florence, alors que l’enquête du Parquet de Milan, elle, ne fait que commencer. »
ENTRETIEN de Renato Brunetta, ministre de la Fonction publique, F. Fubini, Corriere, “Sur le revenu de citoyenneté nous avons mené une véritable révolution, en renforçant les centres pour l’emploi ‘’afin de faire les vérifications nécessaires sur les bénéficiaires’’ du revenu et ‘’d’identifier les demandeurs d’emplois auxquels proposer une solution’’ : « L’été dernier, Luigi di Maio, son ex-ennemi, lui a proposé de revoir le revenu de citoyenneté. C’est ainsi qu’est arrivé un projet représentant un compromis, hier, sur la table de Mario Draghi : chaque bénéficiaire du revenu devra se présenter une fois par mois au centre pour l’emploi pour s’informer des offres ; des agences privées pourront être aussi consultées ; 5 euros seront soustraits à l’allocation au premier refus d’emploi, tandis qu’au 2ème celle-ci sera supprimée ; chaque euro ainsi économisé sera reversé dans les fonds de politiques pour l’emploi. ‘’Parvenir à faire une nette distinction entre demandeurs d’emplois et ceux qui ne le sont pas a été notre première grande innovation : 1,68 million de familles perçoivent aujourd’hui le revenu, pour un total de 3,8 millions de personnes impliquées mais seul un tiers pourrait travailler parmi les bénéficiaires. Les politiques actives du travail doivent intervenir à ce sujet’’. Concernant Salvini : ‘’je suis inquiet car il souhaite réunir les droites pour se substituer au PPE dans la gouvernance de l’Union’’ ».
ENTRETIEN de Silvio Berlusconi, ancien président du Conseil, A. Minzolini, Giornale, « Draghi travaille bien avec des résultats excellents : il doit rester à la présidence du Conseil » - « Il serait irresponsable d’interrompre son travail. La personne nommée au Quirinal représente l’Italie entière, au-delà des partis » - « C’est le vaccin qui permet de lutter contre le virus et le pass nous permet de repartir : il faut en faire un certificat sanitaire » - « Le président de Forza Italia se penche sur la situation politique et sociale : ‘’la majorité a accepté des compromis pour privilégier l’unité nationale, mais nombre de nos indications ont été acceptées. Le centre droit est en mesure de proposer des candidatures à la hauteur pour le Quirinal. Le revenu de citoyenneté a donné lieu à des abus honteux » : « Concernant l’Europe : ‘’la Ligue a un rôle, une histoire et une place internationale différents de Forza Italia, ce qui ne nous a pas empêché de gouverner ensemble le pays et beaucoup d’importantes régions italiennes, aujourd’hui encore’’. Quant au gouvernement Draghi : ‘’je n’ai rien à reprocher à ce gouvernement qui fait vraiment tout ce qu’il peut, tout en accueillant favorablement
COMMENTAIRE, La Repubblica, de Carlo Bonini, « Le Président contre le marécage” : “Comme souvent tout au long de son mandat, le Président Sergio Mattarella a tenu un discours hier à Parme dont le sens était cristallin. Les violences commises par les anti-vaccins et les anti-pass sanitaire n’ont rien à voir avec la dialectique démocratique ni avec une légitime ‘’opinion dissidente’’ dont l’expression est garantie par la Constitution. Les mots de Mattarella condamne l’agression ‘’inadmissible’’ de la communauté et la menace qu’ils représentent en termes de diffusion du virus. Mais remettent surtout au centre de l’attention politique les questions de sécurité sanitaire, de la reconstruction du pays, de la défense des libertés alors que tous semblent à ce jour obnubilés par la course présidentielle. Un comportement de la part de la majorité qui a pour effet, au moment le plus délicat et peut-être le plus décisif, de mettre à mal la capacité de décision et l’élan réformiste du gouvernement. Le Président démontre ainsi qu’il a conscience de la difficulté de cette phase, marquée par la recrudescence du virus, par une autorité des forces publiques mise à mal par les attaques répétées de la Ligue et de Fratelli d’Italia et la tiède défense des autres partis, et par l’alarmante faiblesse structurelle du tissus territorial et des communes, épine dorsale du pays. Reste à voir si les mots du Président permettront un réveil de la majorité entraînée dans un jeu mortifère par la Ligue, l’agenda lunaire de Berlusconi et l’oscillation constante des 5 Etoiles. Autrement, non seulement le gouvernement Draghi mais le pays tout entier risque de s’enfoncer dans ce marécage. Bruxelles demande le strict respect des échéances et le virus n’attend pas. Il faut des mots clairs et un comportement cohérent, Mattarella en a fait preuve. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
15:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
09/11/2021
Le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki s'adresse aux troupes à la frontière.
Pologne. Le Premier ministre Mateusz Morawiecki s'adresse aux troupes à la frontière.
15:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Des centaines de migrants à la frontière entre Pologne et Biélorussie."
Italie. Revue de presse.
Les nouvelles mesures adoptées par le gouvernement pour contrer la quatrième vague de Covid font toujours les gros titres des médias italiens : « L’étau se resserre sur les manifestants antivax » - Le ministère de l’Intérieur prend de nouvelles mesures. Accélération sur la troisième dose de vaccin (Corriere della Sera), « La troisième dose bientôt pour les plus jeunes » - Le commissaire extraordinaire pour la pandémie, F.P. Figliuolo, annonce les objectifs d’ici Noël : atteindre 90% d’immunisés avec au moins une dose de vaccin (La Stampa). La hausse du coût de l’énergie est également en Une : « Hausse du prix de l’énergie, les entreprises sont à genoux » - Les prix des matières premières mettent en difficulté les entrepreneurs. Le gouvernement annonce un fonds d’aide à hauteur de 6 milliards (La Repubblica), « Voici l’effet de l’inflation : le pain, le lait et la viande sont plus chers » - La flambée du prix de l’énergie rehausse le coût de la vie à +4%. Confcommercio lance un cri d’alerte (Il Messaggero). Enfin, la COP26 de Glasgow, et notamment l’intervention de B. Obama, est citée avec couverture photographique en Une : « Climat, Obama pointe l’inertie des Grands » (La Stampa, La Repubblica).
ARTICLE, Il Sole 24 ore, de B. Romano, « Des centaines de migrants à la frontière entre Pologne et Biélorussie. » : « Ce qui s’est produit hier à la frontière entre la Pologne et la Biélorussie représente une grave crise politique. La Pologne accuse la Biélorussie d’instrumentaliser les migrants qui souhaitent entrer en Europe en les incitant à traverser la frontière. Ursula von der Leyen s’était déjà exprimée à ce propos en qualifiant d’ ‘inacceptable’ l’instrumentalisation politique des migrants par la Biélorussie. Minsk dément toute accusation. Cette affaire présente plusieurs intérêts : tout d’abord, le rapport très compliqué qu’entretient l’UE avec la Biélorussie. À Bruxelles, les 27 étudient de nouvelles sanctions contre Minsk et elles pourraient être discutées par les Ministres des Affaires Etrangères dès lundi prochain. L’autre aspect concerne la Pologne : Bruxelles soupçonne une instrumentalisation politique de cette affaire aussi de la part de Morawiecki. Le refus de la part des Etats européens de soutenir la Pologne permet à l’exécutif polonais de se renforcer aux yeux de l’opinion publique en se présentant comme capable de défendre seul l’intégrité du territoire national. La Commission européenne craint une crise humanitaire. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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08/11/2021
Angela Merkel : "Oui, nous l’avons fait."
Allemagne. La chancelière sur le départ Angela Merkel a déclaré à la Deutsche Welle, qui l’interrogeait sur l’ouverture des frontières en 2015 et son « Wir schaffen das » (Nous le ferons) : « Oui, nous l’avons fait. Mais nous étions vraiment beaucoup. »
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