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26/04/2022

Le président du parti socialiste flamand ne se sent plus en Belgique lorsqu'il roule à Molenbeek.

Belgique. Le président du parti socialiste flamand Conner Rousseau : « Quand je roule à Molenbeek, je ne me sens aussi plus en Belgique. »

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"Salvini, isolé, cherche la fusion avec Forza Italia et une entente avec le PPE."

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Italie. Revue de presse. 

L’agression russe en Ukraine et notamment les frappes ukrainiennes sur deux dépôts de pétrole en Russie font les gros titres de la presse italienne. Les tensions dans la région séparatiste de Transnistrie sont également citées, les observateurs soulignent la crainte d’un élargissement du conflit « Etats-Unis et Russie, c’est le défi total » - Washington veut maintenant affaiblir Moscou. Des frappes ukrainiennes contre Poutine. Des tirs de roquettes aussi dans la région de la Transnistrie (Corriere della Sera), « Des frappes contre Poutine » - Kiev attaque deux dépôts de pétrole en Russie, Moscou répond en attaquant les lignes ferroviaires pour bloquer la fourniture d’armes. L’attentat en Transnistrie risque d’élargir le conflit en Moldavie (La Repubblica), « Des bombes en Transnistrie, voici le nouveau front » (La Stampa), « La guerre arrive en Russie » - Des explosions et des incendies sur le territoire russe laissent penser à un sabotage interne (Il Messaggero). Les célébrations pour la Fête de la Libération, ainsi que les propos du Président de la République S. Mattarella, établissant un parallèle entre la résistance italienne de 1943-1944 et celle ukrainienne d’aujourd’hui, sont largement citées dans les pages intérieures.

 

PREMIER PLAN, Corriere della Sera, de M. Guerzoni, « Luigi Di Maio travaille à un plan avec Ankara » : « Luigi Di Maio évoque une ‘’voie diplomatique étroite et difficile’’, mais le ministère des Affaires étrangères continue à œuvrer pour un plan italien en vue de rétablir la paix. Le ministre a évoqué avec ses équipes deux axes auquel le gouvernement italien travaillerait en étroite collaboration avec les ambassadeurs à Kiev et à Moscou. Les gouvernements russe et ukrainien doivent savoir que l’Italie est pleinement disponible pour réactiver la voie des négociations. ‘’Il faut des négociations immédiates entre les parties et les Nations unies afin d’obtenir un cessez-le-feu’’ insiste Di Maio à huis clos, ‘’ce serait le signal que Moscou est disposé à trouver un accord de paix’’. Mais le ministre a pour ambition parallèle d’établir une seconde table des négociations, cette fois entre ‘’la Russie, l’Ukraine et les pays garants’’, où Ankara aurait un rôle central. Le ministre italien des Affaires étrangères estime en effet que la Turquie est ‘’fondamentale’’, étant le pays membre de l’OTAN qui dialogue le plus avec la Russie de Poutine et que ce canal de communication doit absolument être maintenu. Le ministre et le Président Draghi collaborent étroitement pour consolider les relations avec la Turquie et les contacts entre les deux pays sont de plus en plus intenses. Par ailleurs, Erdogan doit téléphoner aujourd’hui à Poutine afin de le convaincre d’un cessez-le-feu. La Farnesina prépare également le délicat voyage de Draghi à Kiev, difficile à la fois sur le plan logistique et de la sécurité. Di Maio a par ailleurs exprimé son soulagement quant à la victoire d’Emmanuel Macron sur Marine Le Pen qui représente ‘’un phare y compris pour l’Italie face à une guerre qui efface les valeurs démocratiques […] or le souverainisme ne ferait que nous isoler et serait dévastateur’’. Quant aux sanctions contre la Russie, le ministre confirme la ligne dure ‘’l’Italie n’opposera pas son véto à l’embargo sur le gaz russe’’. Avec Draghi, ils continuent à demander un plafonnement des prix du gaz russe. Enfin, il a cœur le défi de mettre fin au ‘’mécanisme archaïque’’ du vote à l’unanimité des 27, estimant que ce ‘’blocage de décisions historiques à cause d’un seul pays n’est plus acceptable’’.

COMMENTAIRE, La Repubblica, d’I. Diamanti, « Vers la Sixième République » : « L’issue des élections présidentielles françaises a été un soulagement pour de nombreux citoyens et observateurs, en France mais pas uniquement. Le Rassemblement National de Marine Le Pen est l’héritier du Front National fondé par son père Jean-Marie et occupe l’extrême-droite du paysage politique français. Le parti a récemment revu ses positions pour le moins critiques concernant l’UE afin de se rendre plus crédible en Europe et en France. Une orientation semblable à celle de Matteo Salvini et de la Ligue, qui était notamment passée de ‘’parti du Nord’’ à ‘’parti national’’. Le résultat obtenu par l’extrême-droite est considérable, notamment par rapport aux précédentes élections. Symétriquement, Macron l’emporte mais ce n’est pas un triomphe comme en 2017. Il a perdu le consensus des jeunes, des classes populaires, des zones péri-urbaines, des plus petites villes et des zones rurales. Il faudra attendre pour voir si Macron parviendra vraiment à gouverner le pays puisque cette fois il a surtout été élu pour ‘’faire barrage à Le Pen’’, comme il l’a reconnu lui-même. Il convient de réfléchir au profond changement du système démocratique français en quelques années, qui porte à établir un parallèle avec l’Italie, comme le souligne volontiers Marc Lazar. Tout d’abord, les partis qui ont guidé et orienté la politique au cours de la V° République ont presque disparus, les actuels Républicains et Parti socialiste. L’histoire de la V° République semble destinée à s’achever. Bien que les règles électorales et la Constitution n’aient pas changé, une sorte de Sixième République se dessine, dans laquelle, comme en Italie, le désenchantement politique mis en évidence par l’abstention, atteint son plus haut niveau depuis 1969. La défiance vis-à-vis de l’Etat et de la politique est devenue déterminante et l’on ‘’vote désormais par défaut’’, comme l’a dit le journaliste Francesco Maselli. En sommant les résultats de Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon et Éric Zemmour, le vote anti-système a nettement dépassé les 50%. Le laboratoire italien a donc fait école et il est désormais difficile d’envisager l’avenir en France aussi. »

COMMENTAIRE, Corriere della Sera, d’A. Cazzullo, ‘’Le vote pro-européen de la France et les ambiguïtés des souverainistes » : «Bien que le score de Marine Le Pen soit de plus en plus haut, une majorité des Français sait bien que l’Europe est son destin, qu’elle est le seul moyen de donner à la France un rôle d’envergure mondiale, de financer la dette publique, de négocier les fournitures de vaccins ou de gaz avec plus de force, ou encore de faire face aux flux migratoires. Mais il n’est pas certain que les souverainistes italiens l’aient compris eux aussi. Or les sondages prévoient leur victoire dans quelques mois, contrairement à Marine Le Pen. Avec les centristes de Berlusconi, ils auront la majorité au Parlement. Pourtant, en Europe, ce ne sont pas les souverainistes qui commandent. Parmi les trentenaires, la génération de la précarité, Marine Le Pen a prévalu et ce sont les plus de 65 ans qui ont fait la différence, qui s’inquiètent de la montée de l’extrême-droite. C’est une génération qui a peur de rouvrir la plaie de la collaboration de Vichy et de l’Algérie française. Marine Le Pen tient ces questions à l’écart, contrairement à son père et à Zemmour, mais cela pèse quand même. Matteo Salvini et Giorgia Meloni devraient en tirer les leçons : s’ils aspirent à être à la tête du premier parti d’Italie, ils doivent rompre tout lien avec ceux qui ne partagent pas les fondements de la République, comme la Libération du nazi-fascisme fêtée hier. Dans ces élections, Marine Le Pen a soulevé les bonnes questions mais donné les mauvaises réponses : sans l’Europe, les économies vaudraient encore moins, les prix seraient encore plus élevés, sans l’Europe, la France compterait moins et Poutine représenterait une menace encore plus grave. Les souverainistes italiens semblent encore entre deux eaux, entre européisme et euroscepticisme, même si Giorgia Meloni a spécifié que Marine Le Pen ne la représentait pas. Giuseppe Conte lui-même, allié du PD depuis des années, refuse de choisir (contrairement à Luigi Di Maio, rapidement passé des gilets jaunes à Macron).  Quelle ligne la Ligue et Fratelli d’Italia choisiront pour la campagne électorale ? Quel gouvernement formeraient-ils, européen ou lepéniste ? Dialogueraient-ils avec Macron ou avec Orban ? Le numéro deux de la Ligue soulignait hier combien le PPE est en crise un peu partout. Pour remporter les élections et gouverner, la droite européenne est amenée à s’unir et à se refonder. Deux piliers ne peuvent toutefois pas être remis en cause : la fidélité à l’OTAN, pour le bras de fer avec la Russie et peut-être demain avec la Chine, et la construction européenne, pour mettre en sécurité la dette publique, l’épargne privée, la croissance liée au plan de Relance.  Autrement, ce serait une erreur impardonnable de l’Italie. »

ARTICLE, La Repubblica, par E. Lauria « Marine Le Pen battue ; Salvini, isolé, cherche la fusion avec Forza Italia et une entente avec le PPE » : « ll a porté le T-shirt de Poutine puis le masque de Trump, a soutenu Marine Le Pen jusqu'au bout et l'a félicitée pour sa défaite honorable : "En avant ensemble". Les incursions de Matteo Salvini de l'autre côté de la frontière n'ont pas été particulièrement heureuses jusqu'à présent. Mais le dirigeant de la Ligue continue à représenter une droite souverainiste et populiste que ses alliés italiens ont abandonnée. Giorgia Meloni, leader d'un nouveau parti conservateur qui vise à rompre avec l'extrémisme, a déclaré très tôt que Le Pen ne la représentait pas. Silvio Berlusconi, pour sa part, n'a jamais caché qu'il soutenait Macron, et ses fidèles ont d'ailleurs immédiatement exprimé leur enthousiasme pour la reconduction du président français. L'issue de la course à l'Elysée, si elle confirme les divisions du centre-droit italien, place le leader de la Ligue dans une condition d'isolement. Et devant à un carrefour. Avec la défaite de Marine Le Pen, il doit abandonner le projet d’un regroupement unique de la Droite au Parlement européen et devra se replier sur une option modérée, reposant sur une alliance avec le PPE. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

25/04/2022

"L'inflation nous menace tous."

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Allemagne.

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"L'inflation nous menace tous. Stopper maintenant les vecteurs de l'augmentation des prix."

2e Forum européen de la politique locale, à Rosenheim en Bavière.

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Allemagne. Des représentants de partis patriotiques européens se sont rencontrés ce samedi 23 avril 2022 lors du 2e Forum européen de la politique locale à Rosenheim en Bavière, dans le but de développer une stratégie paneuropéenne et d'échanger des expériences. 

L’événement a été organisé et animé par le député européen de l’AfD Markus Buchheit (Allemagne). 

Virginie Joron du Rassemblement national (France) est intervenue sur la question des enjeux politiques dominants en France et Filip Brusselmans du Vlaams Belang (Flandre-Belgique) sur le développement d'un mouvement politique. 

Les invités ont ensuite discuté de l'avenir des forces patriotiques européennes avec le député européen du FPÖ Harald Vilimsky (Autriche), puis avec la présidente de la Fondation Desiderius Erasmus Erika Steinbach (Allemagne), à propos du travail de préparation politique, du rôle des fondations et des ressources intellectuelles correspondantes, ainsi que de la mise en réseau des forces patriotiques en Europe.

Maximilian Krauss du FPÖ (Autriche), membre du Parlement de l’État de Vienne/Conseil municipal de Vienne, et Jeremy Pedersen du Dansk Folkeparti (Danemark) ont parlé des organisations de jeunesse des partis.

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Erika Steinbach (AfD), Mads Engelund Larsen (Parti du Peuple Danois), Johannes Hübner (FPÖ), Harald Vilimsky (FPÖ), Virginie Joron (RN), Jeremy Pedersen (Parti du Peuple Danois) et Markus Buchheit (AfD).

Subissant un léger recul électoral, le SDS du Premier ministre nationaliste slovène Janez Janša est envoyé dans l'opposition.

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Slovénie. Lors des élections législatives de ce 24 avril 2022, le parti SDS du Premier ministre nationaliste Janez Janša recule légèrement, passant de 24.92% en 2018 à 23,53 % en 2022, tout en gagnant 2 sièges par rapport à 2018. Le SDS a désormais 27 sièges sur 90.

Parmi les deux formations alliées au SDS au sein du gouvernement sortant, seule Nouvelle Slovénie arrive à se maintenir au sein du Parlement en reculant légèrement en %.

Le parti nationaliste SNS, qui n’était pas dans le gouvernement, tout en lui apportant son soutien, s’effondre de 4,2 % à 1,5 % et n’atteint pas le seuil électoral de 4 % permettant d’obtenir des élus.

Le Mouvement liberté, un parti écologiste récemment créé, emporte le scrutin et obtient 41 sièges sur 90 et pourra s'allier à un ou deux autres partis de gauche pour gouverner.

(https://volitve.dvk-rs.si/#/rezultati)

24/04/2022

"Le déclin n'est pas une fatalité."

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Italie.

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Giorgia Meloni : "Le déclin n'est pas une fatalité."

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2022/04/22/fre...)

Espagne : la fin du cordon sanitaire contre Vox.

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Espagne. Article d'Olivier Bault dans Présent :

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Janez Janša et sa femme ont voté.

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Slovénie. Le Premier ministre nationaliste Janez Janša et sa femme ont voté pour les législatives. 

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23/04/2022

Le roman "1984" de George Orwell est censuré par l'université de Northampton.

Royaume-Uni. Le roman 1984 de George Orwell est censuré par l'université de Northampton qui le classe comme « dangereux », car pouvant être « offensant et perturbant ».

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"43.000 demandeurs d'asile enregistrés en Grèce vivent en Allemagne."

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Allemagne.

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"43.000 demandeurs d'asile enregistrés en Grèce vivent en Allemagne. Chiffres de la semaine. AfD."

Réponse de l’écrivain belge Lionel Baland à l’écrivain belge Vincent Engel.

Réponse de l’écrivain belge Lionel Baland à l’écrivain belge Vincent Engel :
 
En tant qu’écrivain belge, vous vous inquiétez de la mainmise de Vincent Bolloré sur une partie de l’édition française, mais vous ne dénoncez pas le contrôle par le système de la quasi-totalité de l’édition et de la presse belge francophone.
 
Vous assimilez ce que vous appelez « l’extrême-droite » – précisons que les idées d’extrême-droite consistent à vouloir revenir à la situation d’avant la Révolution française, avec des auteurs contre-révolutionnaires comme Joseph de Maistre, Louis de Bonald et Antoine de Rivarol, ce qui n’a rien en commun avec le nationalisme, représenté par Marine Le Pen, né avec la Révolution française, puis en Allemagne avec Johann Gottlieb Fichte, en réaction à l’occupation napoléonienne – au « nazisme », alors que le national-socialisme n’était pas une idéologie nationaliste mais impérialiste visant à détruire les États-nations. Rappelons que les nationalistes belges Charles Claser et Robert Lentz ont fondé la Résistance pendant que les communistes restaient jusqu’en juin 1941 dans l’attentisme, que les politiciens du régime détallaient à Londres et que le dirigeant du parti socialiste Henri De Man chantait les louanges de la Collaboration. Quant aux adeptes de l’Ordre nouveau, qui n’ont rien en commun avec les nationalistes, ils sont allés en partie dans la Collaboration, en partie dans la Résistance, en partie dans l’attentisme – comme le montrent les travaux du professeur Francis Balace, ainsi que mes ouvrages consacrés aux mouvements de Résistance d’Ordre nouveau belge : le MNR/NKB, la Phalange et la Légion nationale.
 
Notons, par ailleurs, que vous passez sous silence les abominations du communisme à travers la planète tout au long du XXe siècle, ainsi que le pacte de non-agression signé entre l’URSS et le IIIe Reich.
 
Si le néo-libéralisme a bien, comme vous l’affirmez, conduit l’électorat populaire dans les filets des partis nationalistes, la gauche, que vous représentez, en est responsable puisqu’elle n’a plus voulu protéger le prolétariat face à un afflux de migrants sous-prolétaires précarisés organisé par la finance internationale afin de le pressuriser. Cette même gauche, internationaliste, n’a pas non plus combattu les délocalisations massives d’entreprises vers les pays à bas salaires. Cette gauche, bourgeoise et intellectuelle, coupée de la réalité des travailleurs, ne les représente plus et ces derniers préfèrent le bouclier nationaliste, plutôt qu’une gauche complice, dans les faits, de la finance internationale mondialiste.
 
Quant à votre affirmation prétendant que les idées nationalistes seraient inapplicables, elle relève de la propagande et pas des faits, puisque celles-ci ont cours en Pologne, Hongrie et Slovénie au grand bonheur des peuples de ces États-nations.
 
Ajoutons que le socialisme, que vous prônez, ne peut être réalisé que par l’État et que les personnes qui partagent vos idées devraient défendre l’État-nation et le souverainisme, plutôt que se réjouir, au nom de l’internationalisme, du démantèlement de l’État-nation par le néo-libéralisme en vogue parmi les partis politiques du système.
 
 

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22/04/2022

Frères d'Italie organisera à Milan une congrès programmatique. 

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Italie. Du vendredi 29 avril au dimanche 1 mai 2022, Frères d'Italie organise à Milan une congrès programmatique. 

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Giorgia Meloni

Le tribunal de l’État de Berlin rejette la demande d’Andreas Kalbitz.

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Allemagne. Le tribunal de l’État de Berlin a rejeté la demande d’Andreas Kalbitz de recouvrement de son appartenance à l’AfD. Le juge a déclaré qu’Andreas Kalbitz a fait de fausses déclarations lorsqu’il a adhéré à l’AfD en 2013.

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Andreas Kalbitz avait été éjecté de l’AfD pour avoir caché lors de son adhésion au parti une ancienne appartenance à la Heimattreuen Deutschen Jugend (HDJ) et aux Republikaner.

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2021/02/12/la-...)

AfD : "Pas d'armes lourdes pour l'Ukraine !"

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Allemagne et Ukraine. Le groupe des élus de l'AfD à la Chambre des députés s'oppose à la livraison d'armes à l'Ukraine.

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Alice Weidel : "Pas d'armes lourdes pour l'Ukraine ! Les armes ne créent pas la paix !"

Matteo Salvini et Viktor Orban se rencontrent à Rome.

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Italie et Hongrie. Matteo Salvini et Viktor Orban se rencontrent à Rome :

https://www.euractiv.fr/section/politique/news/les-leader...

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Le pape François a reçu le Premier ministre hongrois Viktor Orban.

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Vatican et Hongrie. Le pape François a reçu le Premier ministre hongrois Viktor Orban :

https://www.7sur7.be/monde/le-pape-a-recu-le-premier-mini...

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Victor Orban et le pape François

"La majorité est agitée par le retour des populismes."

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Italie. Revue de presse.

L’offensive russe sur la ville de Marioupol, et notamment le drame des derniers résistants assiégés et la crainte d’un nouveau massacre de civils, fait les gros titres des quotidiens italiens. « Nous sommes assiégés, mais Marioupol résiste » - Le Tsar proclame la chute de la ville mais Kiev et Washington démentent. Le drame de ceux qui n’arrivent pas à s’enfuir (Corriere della Sera), « Borrell : Poutine, tu ne gagneras pas » - Le Haut-Représentant de l’UE annonce que l’aide militaire à Kiev augmentera tant que les Russes ne se retireront pas. Poutine renonce à attaquer l’aciérie de Marioupol « la ville est désormais entre nos mains ». Une fosse commune avec des milliers de victimes aurait été trouvée (La Repubblica), « A Marioupol il n’y a que le silence » - Poutine demande à Shoïgu d’épargner l’usine-tombeau. Zelensky s’adresse à l’UE « il nous faut 7 milliards par mois » face aux pertes économiques (La Stampa), « Poutine annonce « Marioupol est entre nos mains » » - Washington dénonce le bluff du Kremlin. Mystère sur la mort de trois oligarques (Il Messaggero), « Le bluff de Poutine qui n’attaque pas l’usine pour faire croire à un triomphe » (Il Giornale). Repubblica, avec Funke et Ouest-France, met en Une l’entretien du Président Emmanuel Macron sur la guerre en Ukraine « Travaillons pour la paix » - C’est à nous de dialoguer avec Poutine (La Repubblica). Enfin, la campagne pour les élections présidentielles françaises est citée en Une par certains quotidiens et largement dans les pages intérieures des principaux journaux.

PREMIER PLAN, La Repubblica, de T. Ciriaco et S. Mattera, « L’Italie envisage désormais d’envoyer des armes plus lourdes à la résistance ukrainienne. » 

COMMENTAIRE, Corriere della Sera, M. Franco « La majorité est agitée par le retour des populismes » : « Les images qui nous arrivent du M5S et de la Ligue nous indiquent un retour à leurs pulsions d’antan, populistes, souverainistes, eurosceptiques et anti-Otan. Les 5 Etoiles, sur le plan international, dévoilent leur composante pro-Poutine en demandant d’arrêter l’envoi d’armes à l’Ukraine et en invoquant sa reddition face à l’agression russe. Son dirigeant G. Conte montre quant à lui une équidistance plutôt singulière sur les élections présidentielles françaises alors que son parti lui demande de clarifier sa position sur l’Otan. Ce sont là des faits qui confirment une régression du Mouvement, qui tente de récupérer l’hémorragie d’électeurs en reprenant les thématiques de son populisme d’origine. Pour la Ligue, les accolades hier à Rome entre son chef Salvini et le président V. Orban, le plus pro-Poutine d’Europe de l’Est, ont suscité des doutes. Salvini a provoqué la perplexité en soulignant ‘’ la pleine harmonie avec Orban’’ allant de la ‘’lutte contre l’immigration illégale’’ à la défense ‘’des valeurs et des racines de l’Occident’’. Quant à la situation internationale, il s’est borné à souligner la ‘’sagesse du Pape’’ qui a demandé ‘’le cessez-le-feu’’. Pas un mot de condamnation à l’encontre de Poutine. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

21/04/2022

Allemagne : plus de 140 procédures d’enquête contre des personnes utilisant publiquement le "Z" de l’offensive russe en Ukraine.

Allemagne. Plus de 140 procédures d’enquête ont été lancées contre des personnes utilisant publiquement le « Z » de l’offensive russe en Ukraine. 

Début avril 2022, un chauffeur de camion autrichien arrêté sur un parking d’autoroute en Bavière avec un autocollant « Z » et un autre « Fuck Nato » (baise l’OTAN) a dû enlever ces derniers et laisser une caution de 2.500 euros car il ne réside pas en Allemagne.

Tino Chrupalla appelle les électeurs français à voter pour Marine Le Pen.

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Allemagne et France. Le co-dirigeant de l'AfD Tino Chrupalla appelle les électeurs français à voter pour Marine Le Pen lors du second tour de l'élection présidentielle.

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"Votez Marine ! Chers Français, votez pour Marine Le Pen !"

"Les femmes irlandaises ne sont pas en sécurité dans l'Irlande multiculturelle."

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"Les femmes irlandaises ne sont pas en sécurité dans l'Irlande multiculturelle."

Tino Chrupalla apprécie le fait qu'Olaf Scholz fasse preuve de retenue dans l’envoi d’armes lourdes à l’Ukraine.

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Allemagne et Ukraine. Le co-dirigeant de l’AfD Tino Chrupalla apprécie le fait que le chancelier social-démocrate allemand Olaf Scholz fasse preuve de retenue dans l’envoi d’armes lourdes à l’Ukraine.

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Le député suédois des Démocrates suédois Charlie Weimers réagit à ce propos et estime que les patriotes doivent soutenir les patriotes et pas les impérialistes comme Vladimir Poutine.

Le Forum voor Democratie estime que les Pays-Bas ne peuvent accueillir des centaines de milliers d’Ukrainiens.

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Pays-Bas. Le Forum voor Democratie dénonce le fait que le gouvernement ouvre la porte à des centaines de milliers d’Ukrainiens que le pays ne peut, selon le Forum voor Democratie, accueillir par manque d’habitations. Le parti plaide en faveur de l’accueil des réfugiés ukrainiens dans les pays situés près de l'Ukraine.

"Avec ou sans Rome : l'obligation du masque à l'école doit cesser !"

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Italie. Tyrol du Sud / Haut-Adige.

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"Avec ou sans Rome : l'obligation du masque à l'école doit cesser !"

La presse italienne commente le débat Macron-Le Pen.

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Italie. Revue de presse. 

L’offensive russe dans l’Est de l’Ukraine, et notamment l’essai d’un nouveau missile balistique par Moscou, fait les gros titres des quotidiens italiens : « Donbass, l’avancée russe subit un coup d’arrêt » - Les troupes sont enlisées, d’autres armes sont fournies à l’Ukraine mais Poutine teste un super-missile (Corriere della Sera), « La course aux armes » - Poutine dégaine le missile intercontinental Sarmat et prévient : il peut battre toute sorte de résistance (La Repubblica), « Le défi de Poutine » - Un super missile a été testé mais les sanctions affaiblissent l’économie russe (Sole 24 Ore), « Le défi de Poutine » - La Russie teste un super missile pouvant parcourir 5 000 kilomètres en 15 minutes (Il Messaggero), « L’Allemagne abandonne l’envoi d’armes » - Scholz interrompt l’envoi d’armes à Kiev alors que Draghi veut envoyer l’artillerie lourde (Fatto Quotidiano). Le débat télévisé d’hier soir entre M. Le Pen et E. Macron est aussi largement cité. Les observateurs relèvent dans l’ensemble « un vrai débat qui ne change pas les équilibres électoraux» (Repubblica) et qui a vu le Président sortant « être celui qui convainc le plus mais peu empathique » (Corriere), « plus incisif notamment en politique étrangère » (Stampa), dans « un débat où la Russie était au centre des arguments » (Sole 24 Ore) : « Moscou, économie et environnement : Macron attaque mais Le Pen résiste » (Corriere della Sera), « Macron accuse Marine Le Pen pendant le duel télévisé : vous êtes avec le Kremlin (La Repubblica), « Voile, roubles et retraites, Macron remporte le duel avec Marine Le Pen » (Il Messaggero)« Le débat télévisé avant le second tour » - Macron attaque : de l’argent russe à Le Pen, mais celle-ci nie tout lien avec Moscou (Il Messaggero).

 

ARTICLE, Corriere della Sera, d’A. Cazzullo, « Le Président sortant marque davantage de points mais son attitude de prof ne séduit pas » : « Sur le volet économique, Macron bat Marine Le Pen à plate couture. Ce n’est pas surprenant puisqu’Emmanuel Macron est un technocrate, ancien ministre des Finances et président de la République alors que Marine Le Pen est une leader politique qui a fait de la propagande toute sa vie. Macron a tenté sans vraiment y parvenir de ne pas trop prendre des airs de professeur. Il se limite à souligner les contradictions de son adversaire, comme sur la suppression de la TVA qui profiterait davantage à la grande distribution qu’aux consommateurs. Et Marine Le Pen se perd également sur les questions géopolitiques ou environnementales, notamment en s’attaquant à l’Europe. D’un point de vue linguistique, c’est la même chose : Macron est plus précis, émaille son discours de chiffres, de sigles, mais ne touche pas le cœur des téléspectateurs. Le Pen est plus directe, basique et immédiate mais elle s’embrouille parfois, perd ses mots. Elle est à l’aise avec les slogans, moins avec les raisonnements. Quant à l’attitude, le Président sortant ne résiste pas longtemps, finissant par renoncer à son aplomb présidentiel, et l’interrompt sans cesse alors qu’elle apparait plus décontractée, gesticule, sourit mais n’a pas la stature présidentielle. Lui n’arrive pas à se débarrasser de l’image de président des riches ; elle se veut plus rassurante et protectrice et soulève même la question des jeunes et de leurs souffrances au cours de ces années de pandémie. Les deux candidats ont un échange intéressant sur l’Europe, mais rien de très novateur sur les idées, en particulier pour Macron. La vision qu’il a de l’Europe est bonne mais son insistance sur le ‘’couple franco-allemand’’ n’est pas très agréable. De façon générale, sur la vision de chacun, on pourrait éventuellement reprocher à Emmanuel Macron de se projeter trop loin mais les idées de Marine Le Pen, de la relance du charbon à la France puissance mondiale détachée de l’Europe, appartiennent assurément au monde d’hier. »

ARTICLE, Il Foglio, de Giuliano Ferrara, « Le Pen tient tête à Macron et la précision à outrance n’est pas si efficace » : « S’il n’est pas possible de dire qui l’emportera dans les urnes, il semblerait qu’hier se soit Marine qui l’ait emporté. Une petite vengeance froide, cinq ans plus trad. Et ce malgré son nom, son parcours, ses idées, ses liens périlleux en France et à l’étranger, sa volonté de fermer un des pays les plus ouverts au monde, malgré les tendances souverainistes et le programme économique digne du Moyen-Age. Macron reste le président des riches et elle la candidate du peuple. Elle commence en faisant référence au peuple, semble sereine, se lance dans une longue tirade sur la précarité, la souffrance, la concorde et la justice, mais c’est efficace. Lui est plus formel, soulignant les crises inédites, la France qui doit être renforcée et devenir une grande puissance écologique du XXIème siècle. Moins efficace mais très sérieux. Chacun se lance dans la joute verbale, Le Pen est sérieuse, pas sarcastique, elle encaisse les coups mais avec un style présidentiel. Elle réplique sur la TVA mais sent qu’elle est moins crédible sur ces thèmes, s’emmêle sur d’autres questions économiques, un terrain trop glissant pour elle. Lui l’attaque sur les compétences, elle en appelle à son ancrage dans la vraie vie. Très calme, elle dit des choses connues mais le dit bien. Lui est très académique, sournois, ironique, mais habile et technique. Il s’adresse aux informés, aux villes, à ceux qui savent ou veulent savoir. Elle a changé par rapport au débat d’il y a 5 ans, plus crédible, et cela ne passe pas inaperçu. On se gardera bien toutefois de dire à ce stade qui prendra le dessus dimanche. »

COMMENTAIRE, La Repubblica, S. Folli « Regarder Paris en pensant à Rome » : « Même ceux qui le nient sont en train de regarder avec attention ce qui se passe de l’autre côté des Alpes. Il est clair que les élections présidentielles en France sont pleines de messages directs et indirects vers l’autre versant des Alpes. Une France avec une présidente d’extrême droite serait le phare de tous les partis extrémistes éparpillés dans l’Union. En Italie, nous verrons alors Salvini (Ligue) sortir de l’ombre où il a été absorbé depuis quelque temps. Quant à Meloni (Fratelli d’Italia), elle serait appelée à garder une cohérence et à rester froide à l’égard de Marine Le Pen. En tout cas, un tel scénario pousserait le centre droit devant un dilemme : se transformer en force conservatrice et libérale ou bien suivre le sillage du Rassemblement National. Au centre gauche, parmi ceux qui soutiennent Macron, figure Enrico Letta (PD) mais surtout Matteo Renzi (Italia Viva), qui voit une possibilité de redorer son image et sa popularité. Certains, comme Gozi, Calenda, Bonino et Dalla Vedova, estiment qu’une victoire de Macron favoriserait la naissance d’une fédération libérale et démocratique de leurs (petits) partis avec un PD enfin indépendant du M5S ou du moins en laissant aux 5 Etoiles un rôle marginal. Par ailleurs, le leadership de Giuseppe Conte semble en forte difficulté. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

20/04/2022

"Enfin la fin de l'obligation du port du masque à l'école."

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Autriche. Haute-Autriche. Le vice-gouverneur FPÖ de Haute-Autriche Manfred Haimbuchner :

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"Depuis longtemps superflu : enfin la fin de l'obligation [en Autriche] du port du masque à l'école."