18/08/2023
Entretien de Lionel Baland avec le député européen de Fratelli d'Italia Carlo Fidanza.
Italie. Entretien avec le député européen de Fratelli d'Italia Carlo Fidanza :
https://www.breizh-info.com/2023/08/18/223628/carlo-fidan...
Carlo Fidanza et Giorgia Meloni
12:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
Un présentateur de RTL fabrique un faux tweet attribué à Frauke Petry.
Allemagne. Un présentateur de la chaîne de télévision RTL a fabriqué un faux tweet raciste attribué à l’ancienne dirigeante de l’AfD Frauke Petry afin de la discréditer.
Frauke Petry
(https://jungefreiheit.de/kultur/medien/2023/rtl-petry-mod...)
00:11 | Lien permanent | Commentaires (0)
17/08/2023
Pologne : l’organisation des quatre référendums à la même date que les élections législatives a été votée.
Pologne. L’organisation des quatre référendums à la même date que les élections législatives a été votée.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/08/16/pol...)
23:43 | Lien permanent | Commentaires (0)
Mi Hazánk organise une conférence internationale au Parlement hongrois et une visite de la barrière frontalière.
Hongrie et UE. Le parti nationaliste hongrois Mi Hazánk organise une conférence internationale au Parlement hongrois le 26 août 2023 et une visite de la barrière frontalière le lendemain matin.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/08/17/thi...)
23:37 | Lien permanent | Commentaires (0)
Pays-Bas : le nouveau dirigeant du parti démocrate-chrétien CDA exclut toute coopération avec le PVV et le Forum voor Democratie.
Pays-Bas. Le nouveau dirigeant du parti démocrate-chrétien CDA Henri Bontenbal exclut toute coopération avec les patriotes du PVV de Geert Wilders et avec le Forum voor Democratie dont Thierry Baudet est la figure de proue.
17:11 | Lien permanent | Commentaires (0)
Thierry Baudet présentera à Budapest la traduction en hongrois de son livre sur la Covid.
Hongrie et Pays-Bas. La figure de proue du Forum voor Democratie Thierry Baudet présentera, en compagnie d'un des dirigeants du parti nationaliste hongrois Mi Hazánk Mozgalom présidé par László Toroczkai, le 25 août 2023 à Budapest, la traduction en Hongrois de son ouvrage consacré à la Covid et préfacé par Steve Bannon.
L'ouvrage paraît aussi en anglais :
L'ouvrage en néerlandais :
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2023/07/04/l-i...)
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2022/03/10/l-o...)
14:41 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Europe, Tajani met en garde la Ligue et FdI : "Jamais d'accord avec l'Afd, ça me dégoûte.""
Italie. Revue de presse.
La flambée des prix de l’essence ainsi que l’opposition des compagnies aériennes à la mesure gouvernementale contre le renchérissement du prix des vols font les gros titres : « L’essence sans freins » et « La révolte des compagnies aériennes » (Stampa), « La bataille des prix » (Corriere della Sera), « Renchérissement du prix de l’essence pour les vacances. Conflit avec les compagnies sur le prix des vols » (Il Messaggero), « Prix de l’essence, nouvelles augmentations » (Il Sole 24 Ore). Le dépassement du seuil des 200 000 signatures par la pétition des partis d’opposition sur le salaire minimum fait aussi la Une. Enfin, l’augmentation du nombre de migrants arrivés en Italie en 2023 par rapport à 2022 est également citée en Une.
Les JT couvrent essentiellement la hausse du coût de l’essence, l’arrivée d’une nouvelle vague de chaleur en Italie et la décision de l’Inde de ne pas inviter l’Ukraine à la prochaine réunion du G20.
PREMIER PLAN, Corriere della Sera, « Carburants : seize augmentations pour l'essence. Inflation importante pour l’alimentation et les billets d’avion » par Fausta Chiesa et Valeria Sforzini : « De l'essence en libre-service à 2,7 euros le litre : le prix pratiqué à la station-service Villoresi Ovest, sur l'autoroute A8 Varese-Milan, est peut-être un cas limite, mais il risque de devenir l'emblème de la hausse des prix de cet été. Hier, Fitch ratings a notamment amélioré de 0,1 point de pourcentage l'estimation du PIB potentiel à moyen terme de l'Italie, compte tenu de l'amélioration de la tendance en matière d'investissement. Notre pays a été le seul, avec la France, à voir ses projections augmenter, face aux estimations négatives des huit autres économies analysées dans les "Perspectives économiques mondiales". Comment expliquer la hausse de l’essence ? Le fait qu'à partir du 1er janvier 2023, la réduction d'accises qui valait 30 centimes par litre n'a pas été refinancée. La fédération des gestionnaires de station-service a déclaré que « rien n'a pu contrer les augmentations dues à la hausse des produits sur les marchés internationaux", "le moment est venu pour le gouvernement d'examiner sérieusement l'hypothèse de mettre la main sur la fiscalité des carburants, même si ce n'est que temporairement". Dans les supermarchés, "après la hausse d'octobre-novembre 2022, les prix se sont stabilisés à des niveaux élevés", explique Daniele Erasmi, président de Confesercenti Fiesa, la Fédération italienne des spécialistes de l'alimentation. Le ralentissement de l'inflation n'a pas conduit à une réduction des coûts égale à l'augmentation du début de l'année". Les produits de première nécessité sont ceux qui subissent les plus fortes hausses de prix. Avec une production réduite de moitié en Espagne, le prix de l'huile d'olive extra vierge a augmenté de 20 à 25 %", ajoute M. Erasmi. - Les pâtes ont continué à augmenter de 20 % depuis l'automne dernier, tandis que les couches et le lait pour bébés restent à plus 18 % malgré la réduction de la TVA sur les produits pour bébés". Les vols sont un autre sujet brûlant : si l'augmentation moyenne en août est de 40 à 50 %, parmi les vols intérieurs à destination des îles, neuf sur dix dépassent désormais la limite fixée par le gouvernement qui était de +200% maximum. L’association des compagnies aériennes Airlines for Europe, est intervenue en réaction à cette mesure. Dans une lettre adressée à la Commission européenne, elle s'est déclarée "préoccupée", expliquant que cette mesure ne "garantit pas la liberté tarifaire des compagnies". »
PREMIER PLAN, Corriere della Sera, « Urso (Frères d'Italie) : des hausses excessives ? Nous envoyons la garde des finances. Nous n'acceptons pas le chantage des lobbies et des multinationales » par Enrico Marro : « Le décret sur le plafonnement du prix des billets d’avion, selon Urso, "est pleinement conforme aux directives européennes sur la protection des consommateurs". Et ce n'est pas tout. Le ministre observe que la critique vient en particulier de Ryanair, "la compagnie sanctionnée onze fois ces dernières années par l'Autorité antitrust précisément en raison de phénomènes de distorsion du marché". Urso est convaincu que les effets du plafonnement de l'algorithme se feront bientôt sentir (le décret a été publié au Journal officiel le 10 août), ce qui "évitera la répétition d'augmentations de prix totalement anormales comme celles qui se sont produites après les inondations en Émilie-Romagne ou le déraillement du train de marchandises à Florence", événements qui avaient interrompu le trafic ferroviaire et coïncidé avec une flambée des prix des billets d'avion. Concernant l’alimentation, qui enregistre encore des augmentations de plus de 10 % alors que l'inflation est tombée à 5,9 %, le gouvernement souhaite conclure en septembre le pacte anti-inflation avec l'ensemble de la chaîne d'approvisionnement, afin de déclencher à partir du 1er octobre la liste des produits à prix réduits. Il faudra toutefois l'accord des industries manufacturières. “Ce sont les mêmes, précise M. Urso, qui ont signé le pacte en France. Je m'attends donc à ce qu'ils fassent de même en Italie". En attendant, l'action de contrôle se poursuit, ajoute le ministre, et d'autres mesures pourraient arriver avec la manœuvre budgétaire, "parce que ce gouvernement n'accepte pas le chantage des lobbies ou des multinationales : le Far West, c'est fini". Les alertes des citoyens sur le site web du ministère jouent également un rôle important, selon M. Urso. “Ils nous ont envoyé la photo du distributeur vendant de l'essence à 2,7 euros le litre et nous avons envoyé la Guardia di Finanza. Cela prouve que le panneau indiquant le prix moyen des carburants que les stations-service doivent afficher depuis le 1er août fonctionne". Mais comment expliquer alors l'augmentation continue des prix à la pompe ? "Les prix ont moins augmenté qu'à la source. Et si l'on retire les accises, on constate que le prix industriel du carburant en Italie est inférieur à celui de la France, de l'Allemagne et de l'Espagne".
ARTICLE, La Repubblica, « Europe, Tajani met en garde la Ligue et FdI : "Jamais d'accord avec l'Afd, ça me dégoûte" par Matteo Pucciarelli : « Le vice-premier ministre Antonio Tajani donne de nouveaux signes d'impatience à l'opinion publique. Invité à la Versiliana de Marina di Pietrasanta, le secrétaire de Forza Italia continue non seulement à critiquer la taxe sur les suprofits, mais ajoute quelques réflexions sur la politique internationale qui sonnent comme un avertissement clair à ses compagnons de route de la droite. "La seule façon possible d'avoir une alternance en Europe est de trouver un accord entre les populaires, les conservateurs et les libéraux. Moi, dit le ministre des affaires étrangères, grâce à ces votes, j'ai déjà battu les socialistes et Salvini n'a pas voté pour moi parce qu'il a dit que nous étions égaux. Je n'en veux pas à Matteo, mais je tiens à réaffirmer que, pour ma part, il n'y a pas d'hésitation à l'égard des socialistes. Personne en Europe ne passera jamais un accord avec Le Pen et Alternative für Deutschland, parce que dire qu'il faut mettre un enfant handicapé dans une classe d'enfants handicapés pour ne pas nuire aux enfants normaux, c'est une honte et pour moi, c'est dégoûtant". Ce "truc me rend malade", dit-il, en référence à la proposition ahurissante lancée en Allemagne par Björn Höcke, est un jugement sans appel visant les alliés internationaux de la Ligue, qui ont certainement les mêmes racines politico-idéologiques que Fratelli d'Italia. Meloni elle-même, parlant de Marine Le Pen dans son interview, avait précisé qu'il n'y avait pas de veto de sa part en vue d'un éventuel changement d'équilibre dans l'UE après les élections européennes de 2024. Et Tajani, qui est vice-président (c'est-à-dire vice-président du Parti populaire européen) du parti au pouvoir à Bruxelles, lance ainsi une nouvelle pique au couple souverainiste. »
COMMENTAIRE, La Repubblica, « Le prix de la paralysie » par Walter Galbiati : « Il est difficile pour un gouvernement qui compte dans ses rangs des négationnistes du climat et un premier ministre qui ne mentionne jamais explicitement le sujet du changement en cours, mais se contente de parler d'une "réalité climatique imprévisible", de mettre en place la politique nécessaire pour contrer les changements dont nous sommes tous témoins. Une étude publiée l'année dernière par l'université de Dartmouth a révélé qu'au cours des vingt dernières années, les vagues de chaleur, causées par le changement climatique provoqué par l'homme, ont coûté à l'économie mondiale un montant estimé à 16 000 milliards de dollars. Une étude de l'Organisation internationale du travail (OIT), l'agence des Nations unies pour les travailleurs, a montré que d'ici 2030, l'équivalent de plus de deux pour cent des heures de travail dans le monde seront perdues chaque année, soit parce qu'il fait trop chaud pour travailler, soit parce que les travailleurs sont contraints de travailler à un rythme plus lent. La Harvard Business Review a calculé que le préjudice mondial s'élèverait à 4 000 milliards de dollars supplémentaires. D'autre part, il n'est pas nécessaire de faire une étude pour se rendre compte qu'en Italie, les régions les plus touchées par la baisse de productivité due à la chaleur seront les régions du sud de l'Italie, où s'il est vrai que l'habitude de travailler à des températures plus élevées est plus grande, il est également vrai que les journées meurtrières sont en train de devenir la norme. Il n'existe actuellement aucune politique au niveau national pour traiter ces questions. Il existe seulement la possibilité de recourir au fonds de licenciement, lorsque les températures dépassent 35 degrés, mais il s'agit d'un outil de restriction peu utilisé car les demandes doivent émaner d'employeurs qui travaillent principalement dans des secteurs tels que l'agriculture et la construction, dont les périodes les plus chargées coïncident avec les mois les plus chauds de l'année. La ministre du travail, Marina Calderone, n'a rien fait à ce sujet, si ce n'est de supposer que les heures des licenciements pour cause de canicule seraient considérées comme n'entrant pas dans le calcul des semaines de la période mobile de deux ans. C'est-à-dire comme des heures supplémentaires par rapport à celles qui sont normalement prévues. La Banque d'Italie a lancé un appel pressant à l'action en calculant, dans une étude, l'impact de la chaleur sur l'économie italienne. Si l'augmentation de la température devait rester similaire à l'actuelle (environ +1,5 degré), le PIB italien ralentirait de 2,8 à 9,5 % d'ici 2100. La chaleur pénalise principalement le secteur agricole (plus présent dans le Sud), mais a également des effets négatifs sur l'industrie et les services. »
ARTICLE, La Repubblica, A. Fraschilla, « Matteo Salvini finance les infrastructures du nord en retirant 2,5 milliards aux fonds destinés au sud » : « Le ministère des Infrastructures dirigé par Matteo Salvini est à la recherche de fonds pour garantir certains travaux prévus par le Pnrr, notamment dans le domaine ferroviaire. C’est ainsi, dans la plus grande discrétion, que le feu vert a été donné pour un remaniement des allocations d'un montant de 2,5 milliards d'euros : des ressources soustraites pour des travaux dans le Centre et le Sud afin de soutenir immédiatement certaines interventions majeures dans le Piémont, en Lombardie et en Vénétie. "C'est un mauvais choix de retirer de l'argent à ceux qui ont des retards historiques en matière d'infrastructures, afin de soutenir une seule partie du pays", a déclaré le député Marco Simiani (PD), qui a soulevé l'affaire et déposé une question parlementaire pour comprendre les raisons qui sous-tendent la décision du ministère de transférer de l'argent vers le Nord, alors que Matteo Salvini est occupé par la campagne médiatique pour le pont sur le détroit de Messine. Les 2,5 milliards d’euros seront immédiatement affectés à d'autres travaux : 1,1 milliard d'euros, soit près de la moitié du montant des fonds déplacés, sera consacré à la ligne à grande vitesse Vérone-Padoue et à la traversée de Vicenza. Le ministère des Infrastructures et des Transports a répondu dans une note : "Aucun des travaux prévus dans le Pnrr ne sera annulé. Tout au plus, ils seront financés avec d'autres fonds pour respecter les accords avec l'Europe et assurer la réalisation de l'infrastructure". Il est rappelé que c'est précisément le ministère’’ qui a assuré l'utilisation des fonds européens et s'est même dit prêt à en gérer d'autres, par exemple pour renforcer le plan de réaménagement des habitations et des banlieues". Un objectif important du nord au sud, après des décennies d'investissements médiocres". »
Matteo Salvini
ARTICLE, La Stampa, S. Riformato, « Le ministère de l’Intérieur envisage un nouveau décret pour faciliter les expulsions. Rapatriements pour les migrants faisant l’objet d’une procédure judiciaire » : « L’intervention annoncée par Giorgia Meloni et le ministre de l’Intérieur Matteo Piantedosi (Indépendant) d’ici septembre ressemblera sensiblement aux décrets sécurité précédents : une partie sera dédiée à la gestion des flux migratoires et l’autre concernera de nouvelles dispositions pour la protection et le renforcement des forces de police. Sur le front de l’immigration, l’objectif réaffirmé reste le même : « des expulsions plus rapides » synthétise le sous-secrétaire à l’Intérieur Nicola Molteni (Ligue). A Pozzallo, en Sicile, les travaux pour le premier centre de détention administrative des migrants en attente des mesures d’expulsion ont commencé, comme annoncé par le commissaire à l’urgence immigration Valerio Valenti. Les fonctionnaires du ministère de l’Intérieur étudient avec le ministère de la Justice une ‘’simplification procédurale’’ pour éloigner du pays les sujets dangereux. Aujourd’hui, les migrants en attente de procès ne peuvent pas être expulsés. Mais les expulsions subissent les mêmes difficultés qu’à l’accoutumée : peu d’accords avec les pays d’origine et des obstacles pratiques dans l’organisation. Le ministre de l’Intérieur Piantedosi se réjouit malgré cela d’avoir obtenu « au cours de la dernière année une augmentation des expulsions de 30 % ». En nombre absolu, cela signifie qu’entre janvier et juillet 2022, 2000 migrants en situation irrégulière ont été rapatriés contre 2500 sur la même période cette année. L’augmentation de 30 % signifie 500 personnes en plus. Un chiffre qui s’efface devant celui des 12 000 migrants débarqués sur les côtes italiennes durant le mois d’août, plus de 100 000 depuis le début de l’année 2023, soit plus du double par rapport à l’année dernière (+ 107%). Un facteur évident est l’instabilité en Tunisie, qui est devenu, devant la Libye, le premier pays de départ des migrants vers l’Italie. Le gouvernement nie cependant que l’accord signé en juillet avec le président tunisien Kaïs Saied tarde à produire ses effets. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
13:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
Entretien de Lionel Baland avec le député européen du Rassemblement National Thierry Mariani.
France et UE. Entretien avec le député européen du Rassemblement National et ex-ministre UMP Thierry Mariani :
https://www.breizh-info.com/2023/08/17/223585/thierry-mar...
Thierry Mariani
Jordan Bardella, Marine Le Pen et Thierry Mariani
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16/08/2023
Estonie : le parti nationaliste EKRE est donné premier à 25,2 %.
Estonie. Le parti nationaliste EKRE est donné premier à 25,2 % au sein d’un sondage Norstat.
20:22 | Lien permanent | Commentaires (0)
Allemagne : un ultranationaliste a été attaqué à la machette à Chemnitz, ce mardi à 15h dans un parc, par des individus masqués et a perdu trois doigts.
Allemagne. Saxe. Un ultranationaliste, Alexander W., a été attaqué à la machette à Chemnitz, ce mardi à 15h dans un parc, par des individus masqués et a perdu trois doigts.
19:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
Pologne : la Confédération propose des questions alternatives à celles du PiS pour les référendums.
Pologne. La Confédération estime que les questions des référendums proposées par le PiS sont une farce et un élément de la campagne électorale. Elle propose ses propres questions :
Êtes-vous favorable au paiement de prestations sociales aux immigrés ?
Êtes-vous favorable à l'indexation de l'allocation 500+ à 800+ ?
Êtes-vous favorable à la limitation de l'utilisation des espèces ?
Soutenez-vous l'interdiction d'immatriculation des voitures thermiques à partir de 2035 ?
17:37 | Lien permanent | Commentaires (0)
Pologne : le sujet des quatre référendums.
Pologne. Les quatre référendums annoncés porteront sur :
• plan UE de répartition des migrants
• Âge de départ à la retraite
• Maintien de la barrière à la frontière avec la Biélorussie
• Privatisation des entreprises d'État
13:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Chiffre de la semaine. 82.198 enfants sont nés en 2022 en Autriche alors que 112.272 demandes d'asile ont eu lieu la même année."
Autriche.
"Chiffre de la semaine. 82.198 enfants sont nés en 2022 en Autriche alors que 112.272 demandes d'asile ont eu lieu la même année."
12:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Le choix de Giorgia Meloni de taxer les superprofits des banques agite ses alliés."
Italie. Revue de presse.
Les divisions au sein du gouvernement Meloni sur la taxation des banques et les alliances pour les élections européennes font les gros titres : “Le choix de Giorgia Meloni de taxer les superprofits des banques agite ses alliés. Le mécontentement de la Ligue : nous ne sommes pas ses servants”(Corriere della Sera), “Tajani : Giorgia Meloni et moi nous avons des opinions divergentes sur les banques et Marine Le Pen” (La Repubblica), “Tajani : je dis non à l’Etat interventionniste” (Il Messaggero). Les coulées de boue qui se sont abattues sur la ville de Bardonecchia dans le Piémont sont également citées en Une, avec couverture photographique en appui : “Le tsunami de boue sur Bardonecchia : “c’est un miracle qu’il n’y ait pas eu de victimes”” (Il Messaggero), “Bardonecchia, la boue et la peur” (La Stampa), “Tempête et coulée de boue sur Bardonecchia” (Corriere della Sera). Enfin, les déclarations de Roberto Mancini sur les raisons de sa démission en tant que sélectionneur de l’équipe italienne de football font aussi la Une.
Les JT couvrent essentiellement le départ en vacances des Italiens pour la deuxième quinzaine d’août, marquée par plusieurs cas de noyades ; les coulées de boue qui se sont abattues sur Bardonecchia, dans le Piémont; l’éruption de l’Etna en Sicile ; l’augmentation du litre d’essence à 2,72 euros sur l’autoroute A8 et la plainte d’une association de consommateurs ; et l’alourdissement du bilan humain des incendies à Hawaï, qui s’élève à 101 morts.
ENTRETIEN, Il Messaggero (15 août 2023), de Matteo Piantedosi (Indépendant), ministre de l’intérieur : "Accélérons les reconductions de migrants illégaux. Pour les passeurs, le crime de piraterie" par Mario Ajello : « Lors de la réunion avec les maires, je leur ai dit que pas un euro de financement ne sera perdu pour les projets des villes et aucun de ces projets ne sera perdu. Des projets ont été sortis du PNRR car les délais pour la réalisation des travaux n’étaient pas compatibles. Il n’y aura pas de report non plus sur les travaux prévus pour la restructuration des périphéries urbaines. Sur le volet sécurité, nous prévoyons globalement de prendre une mesure d'ici le mois de septembre pour renforcer notre dispositif, avec davantage de recrutements et de ressources financières. En ce qui concerne plus particulièrement l'immigration, nous renforcerons le système d'expulsion, en particulier des personnes qui se sont révélées dangereuses, et nous fournirons des ressources et des procédures plus rapides pour la création des centres de rétention, les centres où sont détenus les immigrés en situation irrégulière à expulser. Nous proposerons en concertation avec le ministère de la Justice un nouveau texte, destiné à être approuvé d'ici le mois de septembre. Nous avons déjà obtenu une augmentation de 30 % des expulsions l'année dernière. Nous voulons augmenter ce pourcentage. Grâce au décret Cutro, nous avons étendu le réseau de premier accueil en Calabre et en Sicile, ce qui nous a permis de gérer le phénomène de manière plus ordonnée. Sur le nombre de débarquements en Italie, c'est le résultat d'une pression migratoire historique liée à une crise socio-économique dramatique en Tunisie. La preuve en est que si les statistiques suivaient celles des autres pays de départ traditionnels (Algérie, Libye, Turquie, etc.), les données sur les arrivées dans notre pays seraient même en recul. La Tunisie est une anomalie. De nombreux bateaux de pêche ont une autre activité. Nous avons découvert l'activité d'équipages de bateaux de pêche qui escortent au large des côtes des nuées d'embarcations qui sont vidées de leurs moteurs, en vue du sauvetage des migrants par nos garde-côtes. Il y a quelques jours, en liaison avec le parquet d'Agrigente, nous avons mis en place une patrouille de police avancée en haute mer avec la police, la Guardia di Finanza et la marine. Ces opérations de lutte contre les actes réels de piraterie ont déjà permis l'arrestation de plusieurs personnes. Les pirates recyclent les moteurs et les bateaux. Si l'on rompt le cycle d'approvisionnement des trafiquants, on peut s'attendre à une réduction des débarquements. Le délit de piraterie retenu par le parquet d'Agrigente est particulièrement grave et passible d'une peine de 10 à 20 ans de prison. Nous sommes convaincus que cette sévérité et notre détermination absolue à la mettre en pratique peuvent avoir un effet dissuasif fondamental. Concernant les ONG, l'application du décret de février sur le code de conduite des ONG avait pour seul but d'affirmer que, dans un scénario aussi complexe, il n'y avait pas d'entités privées agissant de manière autonome, en échappant à la coordination des autorités nationales prévue par le droit international. A présent, même les ONG agissent selon les directives des garde-côtes italiens. Et si l'on considère le nombre de sauvetages en mer, les ONG n'effectuent aucun travail de suppléance particulier. Le sauvetage en mer est assuré par l'État : sur 72 046 sauvetages dans la zone Sar, la quasi-totalité a été effectuée par l'État, tandis que les ONG en ont effectué 4 113. »
Matteo Piantedosi
COMMENTAIRE, La Repubblica (15 août 2023), C. Tito, « Des erreurs qui se paient » : « La tromperie est maintenant dévoilée. Les données sur les débarquements de migrants en 2023 sont impitoyables. Elles réduisent à néant non seulement les promesses faites par la droite lors de la dernière campagne électorale, mais surtout l'arrogance avec laquelle elles ont été prononcées. Près de 100 000 débarquements au cours des sept premiers mois de l'année. Un record. Au cours de la même période de 2022, il y en a eu moins de la moitié (48 000), et en 2021, à cause de la pandémie, encore moins. L'incapacité de la droite italienne à gérer un phénomène complexe et à obtenir l'aide de l'UE se traduit désormais dans les faits. Dans le même temps, l'UE s'avère absente. Par choix, mais aussi par contrainte. En fait, les insuffisances ne manquent pas dans une Communauté qui continue de privilégier les intérêts nationaux et la méthode intergouvernementale. Mais l'exécutif italien n'a rien fait pour briser le moule. Il a d'abord cédé aux pulsions les plus réactionnaires et les plus viscérales du front souverainiste avec la Hongrie et la Pologne, puis s'est enfermé dans l'immobilisme. Il s'est rendu compte avec une extrême lenteur - cela s'est passé au dernier Conseil européen de juin - que le pacte avec le Hongrois Orbán et le Polonais Morawiecki avait des pieds d'argile. Giorgia Meloni a donc accepté l'inaction en la présentant comme un grand succès. "La dimension extérieure de la question migratoire était impensable il y a encore quelques mois et elle est aujourd'hui partagée par tous", a-t-elle déclaré le 30 juin. Mais qu'est-ce que la "dimension extérieure" ? C'est un concept présent dans les documents des institutions européennes depuis des années, mais c'est surtout une déclaration de principe stérile. Nous sommes pris au piège des mouvements dits secondaires, c'est-à-dire des migrants qui arrivent sur nos côtes et se rendent ensuite illégalement dans d'autres pays. L'Italie ne fait rien pour empêcher ces mouvements. Le récent mémorandum signé en Tunisie en présence de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et du Premier ministre néerlandais de l'époque, Mark Rutte, montre toutes ses limites. À commencer par le maigre montant mis à la disposition du gouvernement tunisien : 150 millions. Ce n'est rien quand on sait que l'Allemagne, à l'occasion de la crise migratoire syrienne, a réussi à faire mettre 6 milliards sur la table en faveur de la Turquie. Une série, en somme, d'erreurs de calcul et d'occasions manquées qui retombent exclusivement sur le Palais Chigi. Et qui ont été accompagnées d'au moins deux autres erreurs politiques. La décision de ne pas inviter la France à la conférence sur les migrants qui s'est tenue à Rome était inutilement provocatrice. Enfin, la dernière ouverture de crédit accordée par la présidente du Conseil à la cheffe de file de l’extrême droite française, Marine Le Pen, représente également une nouvelle chute en termes de fiabilité. Car cette droite dans les chancelleries les plus importantes et les plus incisives d'Europe représente une frontière infranchissable. Meloni l'a franchie. Et maintenant, elle ne peut pas s'attendre à recevoir un quelconque soulagement en retour. Sur les migrants et pas même sur les dossiers les plus délicats en discussion dans l'Union, comme la réforme du pacte de stabilité. »
ARTICLE, Il Corriere della Sera version en ligne (16/08), C. Zapperi, « La pétition des partis d’opposition sur salaire minimum dépasse les 200 000 signatures » : « La pétition mise en ligne par les partis d’opposition pour soutenir le projet de loi commun sur le salaire minimum a atteint et dépassé les 200 000 signatures au cours des vacances d'août. ‘’Un grand résultat qui montre que le pays est avec nous. Continuez à signer" écrivait Carlo Calenda, secrétaire d'Azione, sur X. Pour la première fois, la bataille sur le salaire minimum unit les oppositions (à l’exception d’Italia Viva de Renzi). La pétition du Pd, du M5S, d'Azione et de l’Alliance des Verts et de la Gauche (Avs) a été officiellement lancée vendredi dernier (11 août), après la discussion au palais Chigi avec la présidente du Conseil Giorgia Meloni. L'idée de Giorgia Meloni de confier au Conseil national de l’Économie et du Travail (Cnel), dans un délai maximum de 60 jours, l'élaboration d'une proposition de loi "sur le travail pauvre" n'a pas convaincu les dirigeants de l'opposition qui, en réponse, ont décidé de lancer une collecte de signatures en faveur d'un salaire horaire minimum de 9 euros.»
ENTRETIEN, Il Messaggero (15 août 2023), de Antonio Tajani (Forza Italia), Vice-président du Conseil et ministre des affaires étrangères : « "Forza Italia est prête à modifier la taxe sur les surprofits ; il y aura une discussion avec les banques" par Corrado Castiglione : « Monsieur le Ministre, quelles sont les chances d'un accord de paix en Ukraine ? "Un accord ne semble malheureusement pas du tout proche, car pour entamer des négociations de paix, il faut être deux. Bien sûr, quelques timides avancées sont réalisées, comme ce fut le cas à Djeddah, où un envoyé de Pékin était également présent. Nous regardons nous-mêmes avec beaucoup d'attention les nombreuses initiatives prises par la Chine et la Turquie. D'autre part, il n'est même pas possible de penser qu'un accord puisse être conclu avec une reddition inconditionnelle de Kiev. Un accord ne peut être conclu qu'avec le retrait des troupes russes du territoire ukrainien. Nous sommes favorables à une solution pour la création d'un corridor en mer Noire. Nous avons insisté sur la sauvegarde de la centrale nucléaire de Zaporizhzhya, mais pour l'instant la paix est encore loin". Sur le chapitre Afrique : quelles avancées voyez-vous dans la mise en œuvre du plan Mattei ? "Le plan Mattei se poursuit et doit être absolument bénéfique pour les deux parties. L'Italie se tourne vers l'Afrique sans visées colonisatrices. La preuve en est la volonté de renforcer la présence des industries, non seulement pour l'extraction des matières premières mais aussi pour les processus de raffinage. Nous n'avons pas l'intention de piller un territoire qui, au contraire, doit être soutenu sur la voie du développement économique. Notre stratégie est celle d'une présence forte et notamment sur le front de la paix, du climat, sur l'atténuation des risques environnementaux. La Méditerranée ne doit plus être un cimetière, et nous voulons lutter fermement contre le trafic d'êtres humains et d'armes". C'est là que se trouve la grande opportunité du G7. "À partir du 1er janvier 2024, l'Italie présidera ce forum qui réunit les sept pays les plus industrialisés du monde. Nous voulons avoir un rôle moteur pour relever les défis de l'avenir. Je peux prévoir que, parmi les réunions préparatoires au sommet des chefs d'État, il sera bientôt confirmé que la réunion des ministres des affaires étrangères des sept pays se tiendra à Capri.". Forza Italia n'était pas d'accord sur la taxe sur les surprofits. Je comprends la position de la première ministre, mais nous ne changerons pas d'avis. Nous avons déjà défini une série d'amendements pour que les citoyens puissent continuer à bénéficier du soutien du système de crédit. Il y a trois moyens : tout d'abord, nous demandons d'exclure de l'imposition les banques qui ne sont pas sous le contrôle de la BCE. Il s'agit des petites institutions. Celles qui collectent principalement l'épargne des Italiens du Centre et du Sud et qui sont plus proches des besoins des familles et des entreprises. Et ce sont précisément ces banques qui pourraient souffrir le plus des conséquences de la mesure. Elles finiraient par être plus exposées que les mêmes banques étrangères présentes en Italie. Nous nous efforcerons de faire en sorte que la taxe soit déductible des impôts. Enfin, il doit s'agir d'une mesure unique. Au sein de la majorité, nous sommes des alliés, mais chacun d'entre nous a sa propre identité politique. Forza Italia est l'expression d'une pensée libérale, pro-européenne et modérée, pleinement cohérente avec son appartenance au PPE. La Ligue ou Fratelli d'Italia ont leur propre identité. Pour nous, l'État doit fixer les règles, mais il ne doit pas être interventionniste. Enfin, Forza Italia veut continuer à être l'âme populaire de la coalition. Nous ne sommes pas en compétition électorale avec nos alliés. Il est certain que la collaboration, la consultation préalable sur chaque aspect de l'activité gouvernementale sont la méthode nécessaire pour renforcer nos succès".
Antonio Tajani
ARTICLE, Il Giornale, P. Napolitano, « La visite éclair de Giorgia Meloni en Albanie pour rencontrer le Premier ministre Edi Rama et la tentative d’apaiser les alliés sur la taxe sur les superprofits des banques » : « Aller-retour express en Albanie pour la Présidente du Conseil Giorgia Meloni. La cheffe du gouvernement a suspendu ses vacances dans les Pouilles pour répondre à l'invitation du Premier ministre albanais, Edi Rama. Une visite éclair de quelques heures à Vlora, perle surplombant la mer Adriatique et la mer Ionienne, pour une rencontre privée avec son homologue dans la résidence d'été du gouvernement albanais. De nombreux dossiers ont été mis sur la table des négociations bilatérales, de l'agriculture à la lutte contre le trafic de drogue. L'adhésion de l'Albanie à l'Union européenne est une question prioritaire. La présidente Meloni a garanti un soutien total au processus d'intégration, qui doit être achevé d'ici 2030. Le lieu du G7 de 2024 a également été défini : le choix, pour des raisons de sécurité, s'est porté sur Borgo Egnazia, dans les Pouilles. Sur le plan intérieur, dans l'interview accordée aux principaux quotidiens lors de son séjour à Ceglie Messapica, Giorgia Meloni a clarifié un certain nombre de points qui ont rendu nerveuse la majorité ces derniers jours. Meloni a revendiqué le choix de l'introduction d'une taxe sur les superprofits des banques. Quant à la dissidence de Giancarlo Giorgetti, ministre de l’Économie : "il était pleinement impliqué en tant que ministre rédacteur de la mesure’’, précise la locataire du Palais Chigi. La dirigeante de Fdi reconnaît toutefois les intérêts de Forza Italia : 'Il peut certainement y avoir une question de méthode'’. Et elle profite de la triple interview (Repubblica, Stampa et Corriere) pour dissiper les malentendus avec la Ligue sur le projet d'alliances européennes : ‘’Je ne mets pas de veto (en référence à Marine Le Pen)’’ »
Edi Rama et Giorgia Meloni
(Traduction : ambassade de France à Rome)
12:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
15/08/2023
La tête de liste de l'AfD pour les élections européennes, Maximilian Krah, est proche idéologiquement du chef de file de la tendance nationaliste de l’AfD Björn Höcke.
Allemagne et UE. La tête de liste de l’AfD pour les élections européennes, Maximilian Krah, est né à Dresde en Saxe. Il est proche idéologiquement du chef de file de la tendance nationaliste de l’AfD Björn Höcke.
Maximilian Krah rejette l’UE actuelle, qui est, selon lui, un monstre bureaucratique qui défend un agenda qui va à l’encontre des idéaux et de l’esprit européen : climat, idéologie du genre, immigration et guerre. De plus, il dénonce le fait que cette UE tend à devenir un super-État. Il désire une refondation européenne basée, à l’intérieur, sur la préservation des différences et, à l’extérieur, sur l’unité et qui n’est pas un vassal des États-Unis. Il estime que les élections européennes de 2024 constituent pour les partis patriotiques une opportunité afin de briser le cordon sanitaire qui les frappe.
Maximilian Krah
12:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
Dominik Nepp demande des changements dans l’attribution des habitations sociales, en les réservant aux citoyens autrichiens.
Autriche. État de Vienne et municipalité de Vienne. Le président du FPÖ de l’État de Vienne et de la municipalité de Vienne Dominik Nepp demande des changements dans l’attribution des habitations sociales, en les réservant aux citoyens autrichiens.
12:06 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le groupe d’action d’agriculteurs Farmers Defence Force rallie le BVNL.
Pays-Bas. Le groupe d’action d’agriculteurs Farmers Defence Force a décidé de ne pas créer un parti, mais de rallier le BVNL. La dirigeante de la Farmers Defence Force, Sieta van Keimpema, sera troisième sur la liste du BVNL lors des élections législatives.
02:49 | Lien permanent | Commentaires (0)
Lettonie : le Premier ministre démissionne.
Lettonie. Le Premier ministre, à la tête de la coalition dont les nationaux-conservateurs de l’Alliance nationale sont membres, a démissionné. Il devrait être remplacé par une autre personne à ce poste.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2022/12/14/let...)
02:39 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les deux co-présidents de la Confédération, Krzysztof Bosak et Slawomir Mentzen, sont en tournée électorale à travers le pays.
Pologne. Les deux co-présidents de la Confédération de la liberté et de l'indépendance, Krzysztof Bosak et Slawomir Mentzen, sont en tournée à travers le pays.
Robert Winnicki a été contraint, en mai 2023, suite à des problèmes graves de santé liés au cœur, de quitter son poste de président du parti Ruch Narodowy – une des composantes de la Confédération – et a été remplacé à ce poste par Krzysztof Bosak. Robert Winnicki, pour des raisons de santé, ne sera pas candidat lors des élections législatives.
Slawomir Mentzen dirige le parti Nowa Nadzieja (Nouvel espoir), autrefois appelé KORWIN.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2022/10/16/s%C...)
00:31 | Lien permanent | Commentaires (0)
14/08/2023
Brandebourg : l'AfD donnée à 28,5 % pour les élections municipales.
Allemagne. Brandebourg. L'AfD est donnée à 28,5 % pour les élections municipales de juin 2024.
Sondage actuel / élections de 2019
SPD : sociaux-démocrates
AfD : nationalistes
CDU : démocrates-chrétiens
Grüne : écologistes
Die Linke : post-communistes
Électeurs libres
FDP : libéraux
Autres
Carte : Dans 16 des 18 municipalités et arrondissements, l'AfD arrive première. Le SPD dans les deux autres : à Potsdam et à Prignitz.
(https://www.wahlkreisprognose.de/2023/08/14/brandenburg-a...)
23:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
Brandebourg : un parti autour de Sahra Wagenknecht obtiendrait 19,5 %.
Allemagne. Brandebourg. Si un parti formé autour de la post-communiste dissidente Sahra Wagenknecht voyait le jour, il obtiendrait dans le Brandebourg, lors d'élections pour le Parlement du Brandebourg, 19,5 %. L’AfD aurait 22 % au lieu de 30 %.
SPD : sociaux-démocrates
AfD : nationalistes
CDU : démocrates-chrétiens
Grüne : écologistes
Die Linke : post-communistes
Électeurs libres
FDP : libéraux
Parti de Sahra Wagenknecht
Autres
(https://www.wahlkreisprognose.de/2023/08/14/brandenburg-a...)
23:34 | Lien permanent | Commentaires (0)
"#L'AfD maintenant. Qu'attends-tu ?"
Allemagne.
"Édition limitée disponible immédiatement ! #L'AfD maintenant. Qu'attends-tu ?"
(https://www.wir-lieben-deutschland.de/t-shirt-jetzafd.html)
17:11 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Meloni : pas de véto de principe sur Marine Le Pen [en vue des alliances en Europe]."
Italie. Revue de presse.
L’entretien de la Présidente du Conseil Giorgia Meloni accordé à trois quotidiens nationaux fait les gros titres « Meloni revendique la paternité de la taxe sur les surprofits » (Corriere della Sera, La Stampa), « Meloni : pas de véto de principe sur Marine Le Pen [en vue des alliances en Europe] » (La Repubblica). Les suites du débat sur les fonds du Plan de relance (PNRR) sont aussi en Une « PNRR, la révolte des communes [sur les chantiers en attente] » (La Repubblica), « Deux milliards pour les banlieues » (Il Messaggero). Enfin, la démission de Roberto Mancini de son poste de sélectionneur de l’équipe italienne de football est largement citée avec couverture photographique en Une.
ENTRETIEN, La Repubblica / La Stampa/ Corriere della Sera, de Giorgia Meloni, présidente du Conseil: "Je ne crains pas une rentrée de protestation sociale. Sur les banques, c’est moi qui ai décidé" : « Madame la présidente, sur le salaire minimum, l'opposition vous accuse de refuser le débat et relance sa pétition. Quel était l'objectif de la réunion de vendredi ? "Je ne suis pas surprise par la réaction de la gauche : l'opposition veut faire de la politique au lieu de s'attaquer réellement au problème. Elle sait que le salaire minimum ne résout pas le problème de la main d'œuvre pauvre, mais elle vous dit que parce qu'elle a lancé une pétition, elle progresse. J'ai dit une chose précise : donnons soixante jours au Cnel, d’ici la loi de finances donc, pour faire une proposition globale de lutte contre le travail pauvre qui peut inclure, pour certaines catégories, la question du salaire minimum". Vous ne rejetez donc pas cette mesure, mais de manière limitée. "Ce que j'exclus, c'est que l'on puisse traiter, avec une mesure unique et généralisée, le salaire minimum, un problème qui existe et qui est celui des bas salaires. Paradoxalement, le salaire minimum, ainsi conçu pourrait améliorer la rémunération de moins de travailleurs que ceux qui ont effectivement des salaires trop bas. Quand je dis cela, la gauche répond qu'elle collecte des signatures. D'accord... J'ai des doutes sur qui veut vraiment lutter contre le travail pauvre. Je donne quand même mandat au Cnel sur ce sujet". Le CNEL n'est pas la troisième chambre, selon Schlein. Laissons tomber. Je ne comprends pas certaines choses. Dans le projet de loi de l'opposition, par exemple, il y a un fonds pour indemniser les entrepreneurs qui doivent augmenter leurs salaires. Je dis que c'est bien, mais il n'y a pas de couverture de cette mesure dans le texte. J'ai interrogé mes interlocuteurs de gauche à ce sujet, mais ils m'ont répondu que c’est au gouvernement de la trouver. C’est quand même curieux : j’appellerais cela le jeu de la patate chaude. Si vous imaginez une dépense, vous devez me dire comment vous la soutiendrez". En septembre, c’est une loi de finances avec peu de moyens qui se profile, comme vous l'avez vous-même fait savoir aux autres partis. Y a-t-il de l'argent pour réduire structurellement les charges salariales ? La reconduction de la réduction des charges salariales reste l'une de mes priorités. C'était également le cas lors de la loi de finances précédente, au cours de laquelle nous avons abordé des questions telles que la détaxation des primes de productivité et de la prime à l'énergie. Ma ligne est de concentrer tous les fonds sur les bas salaires. J'en ai également parlé aux chefs de la majorité, afin de m'assurer que tout le monde partage cet objectif. Ensuite, nous déciderons des mesures". Inflation et arrêt de la croissance : ne craignez-vous pas un automne chaud ? "Non, voyez-vous, si l'un des principaux syndicats appelle à manifester contre la loi de finances avant même qu'elle ne soit écrite, il y a peut-être un problème d'opposition de principe. Je pense que les Italiens voient que le gouvernement fait de son mieux. Le PIB croît en fait plus que dans les autres grandes démocraties, nous avons des antécédents en matière d'emploi et de contrats stables". En fait, les derniers chiffres de la croissance indiquent un ralentissement. "Je le répète, les chiffres sont meilleurs que ceux de certains partenaires européens. Et puis, bien sûr, il y a la conjoncture internationale : si l'Allemagne entre en récession technique, il y aura des effets sur nous. Nous sommes des économies interconnectées". Après les critiques des banques et de la presse internationale, referiez-vous la loi sur les surprofits ? "Bien sûr que je la referais. Parce que je crois que les bonnes choses doivent être faites. C'est un message que nous devions envoyer. Il n'y a pas d'intention punitive à l'encontre du système bancaire. Suite à la décision discutable de la BCE de relever les taux d'intérêt, ce qui a entraîné une augmentation du coût de l'argent, une distorsion a été créée : les banques ont augmenté les taux d'intérêt sur les prêts hypothécaires mais n'ont pas augmenté ceux sur les dépôts, en faveur des épargnant. Certains disent qu’il s’agit d’une mesure socialiste. Pour autant que je me souvienne, les socialistes n'ont pas taxé les banques, mais leur ont donné des ressources publiques. Tajani n'a pas apprécié et FI a parlé d'une mesure-surprise à ne pas répéter. "Tajani a parlé d’un problème de méthode, je comprends. J'ai associé la majorité dans une moindre mesure [par rapport à d’habitude] parce que la question, disons-le comme cela, ne devait pas trop « circuler ». Je l'ai expliqué à Antonio. C'était une affaire délicate, j'en prends l'entière responsabilité. Giorgetti a-t-il été informé ? Bien sûr, c'est lui le ministre qui a dû rédiger la mesure, mais dans ce cas, je n'ai pas fait toutes les réunions que j'ai l'habitude de convoquer". On a parlé d'une alliance Meloni-Salvini [sur cette mesure]. Je vous le dis clairement : c'est une initiative que j'ai prise. La querelle sur les alliances en vue des élections européennes agite la majorité. Salvini déclare que ceux qui ne veulent pas de Le Pen et de l'Afd favorisent les socialistes. Une alliance avec des droites qui font de l’œil à Poutine est-elle possible ? "Il est trop tôt pour en parler. Je veux faire grandir les conservateurs et je vois qu'en Europe le réalisme de ceux qui défendent nos positions gagne du terrain. Nous ferons les accords quand le poids des différents groupes politiques seront connus. Nous voulons construire une majorité homogène en termes de valeurs. Je ne crois pas aux grands accords, vu aussi comment ils ont fonctionné en Italie". En résumé, opposez-vous un veto à Le Pen ? Je n'ai aucune raison d'opposer un veto à qui que ce soit, je n'ai pas cette autorité. Et de toute façon, je ne m'en occupe pas pour l'instant. » Les maires ne cessent de s'alarmer des 16 milliards en moins attendus du Pnrr. "Nous n'avons rien supprimé, je rassure les maires. Les travaux seront réalisés. Le fait est que, par rapport aux objectifs du Pnrr - qui sont stratégiques, d'innovation, d'infrastructure - les projets à mille euros pour des barrières n’ont pas leur place. Ce n'est pas ce que le PNRR est censé faire. C'est la raison pour laquelle nous déplaçons ces interventions vers d'autres postes du budget de l'État". La question des travaux après les inondations en Émilie-Romagne fait l'objet d'un rude affrontement entre institutions. Bonaccini [président de la région, ndlr] demande à vous voir à nouveau. Allez-vous dire oui ? Franchement, je ne comprends pas pourquoi Bonaccini me demande une réunion. Peut-être parce qu'il ne reconnaît pas la figure du commissaire extraordinaire (Figliuolo, ndlr) ? Avez-vous entendu Bonaccini qualifier La Russa d'inapte à la fonction de président du Sénat ? "Non, cette information m’avait échappé. Bonaccini est très nerveux, vous savez, et je ne pense pas qu'il le soit à cause des fonds pour la reconstruction de la région. Je pense qu'il l'est à cause des choix que nous avons faits sur le commissaire à la reconstruction ». L’enjeu n’est-il pas de récupérer l'Émilie-Romagne, l'un des rares fiefs de gauche qui subsistent en Italie, lors des prochaines élections ? Non, c'est une question que je ne me suis pas posée. Ce n'est pas mon style. Le problème est précisément le suivant. Si quelqu'un veut faire des polémiques politiques sur la reconstruction, il est libre de le faire. Mais qu'il sache qu'il le fait au détriment des citoyens". Le Niger est en plein chaos. Une action militaire contre le coup d'Etat, à laquelle la France semble penser, est-elle envisageable ? Sur le Niger, je serais prudente. Les débarquements que votre gouvernement était censé contenir sont incessants. Y aura-t-il de nouvelles initiatives contre le trafic de migrants lorsqu'ils reprendront ? "L'approche sécuritaire ne suffit pas. C'est pourquoi j'insiste sur le plan Mattei, qui n'est pas menacé par la crise au Niger. Nous travaillons, ce sera une grande opportunité pour le développement d'une Afrique qui ne fait plus confiance à l'Occident, qui jusqu'à présent a été bon pour donner des conseils mais moins pour apporter de l’aide. Le travail est long et ardu. A l'automne, il y aura de nouvelles initiatives". Le premier anniversaire de votre gouvernement approche : on parle d'un remaniement qui pourrait être déclenché par les développements de l'affaire Santanché. Il s'agit de rumeurs fantaisistes dans la presse à potins. Je n'ai jamais pensé, depuis que je suis chef de gouvernement, à un remaniement" ».
Giorgia Meloni
ENTRETIEN, La Stampa, de Matteo Renzi, dirigeant d’Italia Viva et ancien président du Conseil « Meloni est comme la Belle au bois dormant et la gauche finit par faire son jeu » : « ‘’Sur le salaire minimum, Meloni a décidé de renvoyer la balle au CNEL, le conseil national pour l’économie et l’emploi, délégitimant de fait sa majorité et sa ministre du Travail. C’est par ailleurs la méthode choisie qui me surprend : avec les parlementaires en vacances, Meloni a invité les partis d’opposition en les recevant dans la Salle verte du palais Chigi, comme s’ils étaient des représentants syndicaux. Où est passé la centralité du Parlement ? Les syndicats négocient, les partis font de la politique. Meloni s’est moquée des partis d’opposition en les convoquant un 11 août et puis en confiant le dossier au CNEL. Je dirais à Meloni : tu es au pouvoir, tu n’es pas un centre de recherche, tu as même une ministre du travail. Si tu as une idée, tu la proposes sans passer par la plus inutile des institutions de la Constitution. Meloni ressemble à la Belle au bois dormant, alors qu’elle est au gouvernement depuis un an. J’ai l’impression que la Présidente du Conseil n’a pas bien fait ses comptes avec la prochaine loi de finances. D’après mes calculs, il manque plus de trente milliards. Où va-t-elle trouver l’argent ? Comment va-t-elle financer la baisse des impôts ? La taxe sur les surprofits des banques, telle que conçue, coûte à l’Etat plus de ce qu’elle peut faire comme recettes. Meloni a perdu sa crédibilité internationale pour suivre les sondages. C’est un dommage causé à l’image non seulement de Meloni mais de toute l’Italie. Concernant les élections de juin 2024, Italia Viva veut jouer un match décisif en Europe en occupant le centre. Alors que Forza Italia est alliée avec les souverainistes. Si nous atteignons le seuil des 4%, nous pourrions ambitionner une présence significative au sein des institutions européennes. Je suis optimiste. Voici mes prévisions : d’ici un an, Meloni sera encore au gouvernement, il y aura un remaniement. Alors qu’en Europe, les centristes, même italiens, seront décisifs.’’ »
ENTRETIEN, Il Corriere della Sera, de Carlo Nordio, ministre de la Justice (Fdi) : « Je trouve étrange que l’on me définisse comme le père fouettard des procureurs. Les inspections [dans les cas de fuites d’informations] sont un moyen de dissuasion », par V. Piccolillo : « J'ai annoncé des inspections spéciales dans des cas de fuites d’informations et de diffusion d’enregistrements confidentiels, qui ont heureusement diminué au cours des derniers mois, peut-être aussi grâce à cette dissuasion qui, manifestement, fonctionne. Mais qu'un ministre qui a été procureur pendant 40 ans devienne le "père fouettard" de ses collègues est une idée pour le moins fantasque. Je ne reviendrai pas sur l’enquête Open [le ministre Nordio a demandé hier que des mesures disciplinaires soient engagées à l’encontre des procureurs enquêtant sur les présumés financements illégaux de la fondation Open, qui finançait les campagnes de l’ancien président du Conseil Matteo Renzi, ndlr]. J’entretiens en tout cas des relations « utiles » avec la magistrature. Avec la Présidente du Conseil nous sommes en parfaite harmonie et nous nous parlons régulièrement. Nous ferons les réformes, conformément au calendrier. Tout a été fait par ailleurs pour prévenir le double suicide qui a eu lieu à la prison « delle Vallette » [à Turin, ndlr]. Mais la prévention des suicides est pratiquement impossible. Il faut cependant reconnaître que notre situation carcérale est le résultat de décennies d'indifférence, sans parler des erreurs, des négligences et des "économies" exagérées. Nous avons augmenté les effectifs, embauché du personnel, et surtout conçu un système de construction de prisons pour remédier à la surpopulation. Si nous pouvons continuer à travailler ainsi, nous verrons les premiers résultats dans un délai raisonnable. »
ENTRETIEN, Sole 24 Ore, de Tommaso Foti, chef de groupe de Fratelli d’Itaia à la Chambre des Députés « Nous accueillerons 8 à 10 000 travailleurs réguliers chaque année pour faire face aux exigences des chantiers du Plan de Relance » : « Au-delà des quotas fixés par le décret réglant les flux, il y aura 8 000 voire 10 000 travailleurs extracommunautaires en Italie grâce à la nouvelle loi prévue par le décret sur l’administration et prévoyant l’octroi d’un visa aux salariés des entreprises italiennes ou des entreprises à participation publique, selon ce qu’affirme Tommaso Foti. ‘’C’est surtout dans le secteur du bâtiment : la plupart des travailleurs embauchés par des entreprises italiennes dans les pays extracommunautaires est engagée dans le secteur et il faut faire face au manque de main-d’œuvre nécessaire pour réaliser les œuvres et les infrastructures du PNRR. Ce décret permet de faire entrer en Italie des travailleurs pleinement formés et qui connaissent déjà leur métier. C’est important, notamment en fonction de la spécialisation nécessaire pour les projets du PNRR. C’est un peu comme s’il s’agissait d’un appel d’offre sélectif. Ce sont les entreprises qui choisissent et l’expérience d’au moins 12 mois servira à faire une pré-sélection.’’ »
ARTICLE, Corriere della Sera, R. Frignani « Les arrivées ont été multipliées par deux et les Balkans sont une nouvelle route » : « Des 68 571 réfugiés arrivés en Europe pendant ces six premiers mois de l’année, 50 405 sont passés par l’Italie, notamment via la Méditerranée. L’Italie se confirme encore une fois comme le pays européen préféré des passeurs. Les autres pays européens ont des chiffres bien moins importants : l’Espagne (7 291), la Grèce (4 985), Chypre et la Bulgarie (environ 6 000 à eux deux). Ces données publiées par le ministère de l’Intérieur certifient l’impact de la vague migratoire sur nos frontières. Par rapport à l’année passée, les arrivées ont augmenté de 111% par rapport à la même période de 2022. Les traversées organisées par les passeurs ont eux-aussi doublé par rapport à l’année passée : sur 44 arrivées ce week-end, 40 provenaient de la Tunisie. Les autorités de ce pays ont cependant récupéré 38 528 migrants (+161% par rapport à l’année passée), ce qui est en partie le fruit des négociations conduites par l’Italie. La Libye aussi a connu une hausse en pourcentage de ses départs en direction de l’Italie (+23%) mais avec moins de sauvetages par rapport à 2022 (-16%). Les données certifient aussi la baisse du nombre de personnes sauvées par les ONG en un an : on est passé de 14 000 à 8 168 pour la première période de l’année. Voici les chiffres des personnes sauvées par les ONG : 623 par l’« Ocean Viking », 106 par « Humanity 1 », 76 par « Life Support », 59 par « Astral », 49 par le « Geo Barents », 54 par « Nadir » et 46 par « Mare Go ». A signaler la baisse des départs depuis l’Algérie. Le ministère de l’Intérieur signale aussi une hausse des identifications à la frontière avec la Suisse (3 425 personnes soit +146%), avec la Slovénie (4 850 personnes soit +57%) contre à une baisse à la frontière autrichienne (-15%) et française (-9%). »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Entretien de Lionel Baland avec le président du parti nationaliste roumain AUR George Simion.
Roumanie. Entretien avec le président du parti nationaliste roumain AUR George Simion :
https://www.breizh-info.com/2023/08/14/223523/george-simi...
George Simion
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13/08/2023
Céline Amaudruz et Michael Andersen ont un enfant.
Suisse. Céline Amaudruz (UDC) et Michael Andersen (UDC) ont un enfant.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2021/09/12/mar...)
23:39 | Lien permanent | Commentaires (0)