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12/12/2016

Diner à Paris pour le 70ème anniversaire du MSI.

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France et Italie.

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10/12/2016

Geert Wilders désire devenir le prochain Premier ministre des Pays-Bas.

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Pays-Bas. Le président du PVV Geert Wilders déclare au quotidien néerlandais De Telegraaf qu’il désire devenir le prochain Premier ministre des Pays-Bas à l’issue des élections législatives : 

http://www.rtl.be/info/belgique/faits-divers/pays-bas-gee...

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"Et je vous dis à tous : un énorme merci ! énorme merci pour tous vos soutiens."

Des produits alimentaires du Kremlin vendus en ligne.

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Russie. Des produits alimentaires consommés au Kremlin seront disponibles à l’achat : 

https://news.sfr.fr/actualites/monde/les-yaourts-de-vladi...

Les patriotes du FPÖ restent donnés à 35 %.

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Autriche. Le premier sondage réalisé après le deuxième tour bis des élections présidentielles montre que, malgré la défaite du candidat du FPÖ Norbert Hofer, son parti est toujours donné à 35 % dans un sondage pour les élections législatives. Cette étude d'opinion, commandée par l’organe de presse Österreich, donne les sociaux-démocrates du SPÖ à 26 %, les sociaux-chrétiens / conservateurs de l’ÖVP à 18% et les écologistes à 13 %. Le parti libéral Neos est donné à 7 %.

09/12/2016

Le M5S désire un référendum sur l'euro.

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Italie. Alessandro Di Battista, un des dirigeants du M5S de Beppe Grillo, demande qu’un référendum soit organisé afin de savoir si l’euro doit être supprimé au profit d’une monnaie nationale.

Geert Wilders est déclaré coupable de discrimination.

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Pays-Bas. Le président du PVV Geert Wilders est déclaré coupable de discrimination à l'encontre de Marocains, mais aucune peine n'est prononcée contre lui. Geert Wilders a annoncé son intention de faire appel.

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2016/11/17/pro...)

Vers un gouvernement Renzi bis ?

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Italie. Revue de presse.

Crise gouvernementale: UNES : « Crise, on accélère : lundi le mandat pour le gouvernement » (Corriere della Sera), « Quirinal pressé, en avant avec Renzi » (La Repubblica), « Crise, Renzi assiégé au sein du PD » (La Stampa), « Premières consultations au Quirinal, on travaille pour un gouvernement technique » (Sole 24 Ore), « Calendrier serré, pression sur Renzi » (Il Messaggero).

Crise gouvernementale:

RETROSCENA (Coulisses), La Repubblica G. De Marchis « Encore Renzi, uniquement pour se diriger vers des élections : première option du Quirinal » : « Le Président du Conseil est face à un dilemme : diriger la phase de transition mais brûler son image ? L’idée du Quirinal serait de former un nouveau gouvernement Renzi. Le risque serait, en revanche, que son retour immédiat en tant que président du Conseil puisse lui coûter cher en termes d’image par rapport aux électeurs. Pour cette raison Renzi se trouve face à un grave dilemme : accepter ou non un gouvernement ‘’Renzi-bis’’ ». 

ARTICLE, Sole 24 Ore, B. Fiammeri  « Crise gouvernementale : en lice Gentiloni, Delrio et Padoan» : « Le Président de la République Sergio Mattarella accélère les consultations pour trouver une issue à la crise politique. Le chef de l’Etat, arbitre de cette situation, poursuit ses rencontres avec les partis politiques pour trouver rapidement une solution. Parmi les différentes hypothèses, il y a la possibilité d’un gouvernement ‘’Renzi-bis’’, mais l’ancien président du Conseil n’est pas encore sûr d’accepter. D’autres candidats, toujours du PD, première force politique au Parlement, pourraient être Gentiloni, ministre actuel des Affaires Etrangères, Delrio, ministre des Infrastructures et Pier Carlo Padoan, ministre de l’Economie, très en vue surtout pour son engagement dans les questions économiques italiennes, le sauvetage des banques et les échéances de l’UE ». 

RETROSCENA (Coulisses), La Stampa, F. Martini « PD, pacte entre les minorités anti-élections. Renzi encerclé » : « Le mouvement de ‘’fronde’’ en cours au sein du PD essaie de devenir majoritaire et M.Renzi, qui sent arriver la tempête, veut tenter de piloter la crise, même si les dernières images le montrent en papa attentionné, cherchant à sublimer son adieu. Il doit aussi prendre en compte un chef de l’Etat bien décidé à jouer son rôle sans interférences, il l’a compris et depuis Pontassieve, il souligne : ‘’avec le Quirinal, un pacte de fer est siglé’’. Or un vrai tremblement de terre est en cours au sein du PD : d’abord, le courant D. Franceschini (Culture) et celle d’A. Orlando (Justice) a rompu politiquement avec Renzi, une rupture significative car ils ont une forte présence parlementaire. Mais la deuxième nouveauté est la plus dangereuse pour Renzi : le duo a établi un pacte de consultation avec la minorité de Bersani et D’Alema (ces deux derniers avaient rompu depuis des années). Renzi a donc un œil sur le parti, un autre sur le Quirinal. A l’issue de la première journée de consultations, un gouvernement mené par une des personnalités dont Renzi avait laissé échapper le nom, Padoan ou Gentiloni, semble proche. Deux noms que Renzi a ‘’calé’’ pour éloigner celui de Franceschini. Mais il a des réserves sur Padoan (trop lié à D’Alema dit-on au palais Chigi) tandis que sur Gentiloni est considéré par les « frondeurs » comme trop proche de Renzi. La cote de Delrio est en train de remonter pour un possible compromis, jusqu’aux élections qui auraient déjà une date : le 4 juin 2017». 

ARTICLE, La Stampa, F. Festuccia « Franceschini se défend : ‘’je ne fais pas de complots’’ » : « La tension est montée d’un cran entre Renzi et Franceschini, accusé de mettre en place un pacte avec Berlusconi. Le ministre de la Culture rétorque : il a répété à plusieurs reprises que ‘’sans Renzi, il n’y a pas d’issue à la crise’’ et que ‘’en cas de défaite au référendum, Renzi ne devrait pas démissionner’’  ». 

ANALYSE, Il Messaggero, M. Ajello « Mattarella, l’arbitre de la crise » : « Le Président de la République est discret mais persévérant. Même les leaders les plus durs, de Grillo à Salvini, en passant par Meloni ne l’ont jamais agressé. Au cours de ces deux dernières années, il a réussi (et le test du tremblement de terre du Centre de l’Italie a été la preuve de sa capacité à être en harmonie avec le pays réel) à prendre un rôle qui le démarque de l’establishment détesté par les Italiens».  

Migrants 

ARTICLE, La Repubblica C. Nadotti « Sondage : ‘’Trop d’étrangers, Italie première en Europe pour la xénophobie  » : « Plus de la moitié  des Italiens ne se sentent plus chez eux parce qu’ils considèrent  que trop de réfugiés se trouvent en Italie. Les résultats d’un sondage en ligne de la société ‘’YouGov’’ nous place en premier rang  en Europe en tant que pays xénophobe (52 %). France, Allemagne et Espagne suivent avec respectivement  47 %, 44 % et 38 % ». 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

08/12/2016

HC Strache rencontre l'ambassadeur de Chine.

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Autriche et Chine. Le président du FPÖ Heinz-Christian Strache a rencontré ce 8 octobre 2016 l'ambassadeur de Chine.

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07/12/2016

Matteo Renzi démissionne.

Italie. Le Premier ministre de centre-gauche Matteo Renzi (Parti Démocrate) démissionne. Il écrit sur Twitter « Budget approuvé. À 19H la démission formelle. Merci à tous et vive l'Italie. »

Mattarella : non au vote anticipé.

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Italie. Revue de presse. 

Référendum constitutionnel/crise gouvernementale: UNES : « Mattarella : ‘’les élections anticipées inconcevables’’ » - ‘’Le Chef de l’Etat prévient, Renzi invoque un gouvernement de responsabilité nationale’’ (Corriere della Sera), « Mattarella et le PD freinent Renzi » (La Repubblica), « Elections, Mattarella freine Renzi » (La Stampa), « Tensions entre le Quirinal et le Palais Chigi » - ‘’Renzi propose un gouvernement d’unité ou des élections anticipées. Mattarella demande d’abord une nouvelle loi électorale’’ (Sole 24 Ore), « Mattarella : non au vote anticipé » (Il Messaggero). 

Référendum constitutionnel/ crise gouvernementale: réactions nationales :

ARTICLE, La Repubblica T. Ciriaco et U. Rosso “Le stop du Quirinal aux élections immédiates. Renzi freiné également par le PD » : « La tentative de « blitz » électoral souhaitée par Matteo Renzi a été bloquée par le chef de l’Etat, qui a également pu compter sur une offensive farouche des ténors du PD (notamment Franceschini) contre le président du Conseil. Le reste sera déterminé par la Cour Constitutionnelle, qui a fixé pour le 24 janvier la date de son avis sur la légitimité de la loi électorale dite « Italicum ». Cela représente un coup fatal aux tentations d’élections anticipées. Mattarella rappelle à Renzi que la stabilité ne prévoit pas de saut dans l’inconnu. Pour lui, il est impossible de ne pas d’uniformiser les modes de scrutin de la Chambre et du Sénat, et donc il est impossible d’aller au vote ; d’où la nécessité d’un nouveau gouvernement. Pour Mattarella, le premier choix serait un gouvernement Renzi-bis. Sinon, le président du Sénat Pietro Grasso serait le candidat le plus probable. Quant à Padoan, il semble difficile qu’il obtienne la nomination [du Quirinal]. Mais il semble difficile de résoudre cette énigme sans d’abord éteindre l’incendie du PD». 

ARTICLE, Corriere della Sera D. Martiniano “Renzi : un gouvernement de coalition ou élections anticipées” : « La ‘’bombe’’ est arrivée hier à 16 heures, quand la Cour Constitutionnelle a fait savoir qu’elle se prononcera sur la légitimité de la loi électorale le 24 janvier, faisant sauter le calendrier de Renzi. Donc, c’est seulement après cette date qu’il sera possible au Parlement de modifier les lois électorales de la Chambre et du Sénat. Cela fait entrevoir des élections anticipées en mai (proches du G7 de Taormina) voire en été. Sur ce scénario, Mattarella a annulé tous ses engagements et a laissé entendre qu’il entamera les consultations pour la formation du nouveau gouvernement au plus vite».

ARTICLE, Sole 24 Ore, D. Stasio  « Italicum, la Cour Constitutionnelle va décider le 24 janvier prochain» : « Après le référendum, une nouvelle loi électorale devra être adoptée en Italie. Hier, la Cour Constitutionnelle a annoncé que l’audience sur la loi électorale actuelle, l’Italicum, aura lieu le 24 janvier prochain, en mettant ainsi l’accent sur la collégialité d’une décision qui, officiellement, relève des pouvoirs du président de la Cour. L’effet sur des élections anticipées est clair, il est techniquement impossible de pouvoir établir une date avant la fin du printemps. Matteo Salvini, leader de la Ligue du Nord, déclare que c’est une folie d’attendre un mois et demi pour prendre une décision. » 

ARTICLE, La Repubblica G. Casadio « Bersani : ‘’Que le PD ne se divise pas et non à un gouvernement avec Berlusconi » : « La ligne de la minorité du PD est ‘’d’aller de l’avant avec la majorité parlementaire qu’il y a’’. C’est Pier Luigi Bersani qui le dit et Roberto Speranza qui le répète. Mais il y a aussi un certain embarras : la gauche du parti souhaite éviter les élections anticipées mais ne souhaite pas l’entente avec Berlusconi. Le seul qui est ouvert à un élargissement de la majorité est Gianni Cuperlo. La gauche ‘’dem’’ veut un PD nettoyé du ‘’renzisme’’ et est à la recherche d’un leadership alternatif pouvant bénéficier d’un large soutien ». 

ARTICLE, Corriere della Sera E. Buzzi “M5S, confrontation à couteaux tirés. Fico défie Di Maio » : « La réunion des parlementaires du Mouvement 5 Etoiles laisse entrevoir un affrontement : si Grillo répète comme un mantra le mot ‘’unité’’, les tensions restent très élevées : le Mouvement s’apprête à dresser une liste de possibles ministres en vue d’élections anticipées et les critères de sélections seront cruciaux. Les ténors du mouvement répètent toutefois ‘’aucune alliance n’est possible’’ ». 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

06/12/2016

Les plus diplômés ont le moins voté pour Norbert Hofer.

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Autriche. Comportement électoral selon le niveau d'études lors du deuxième tour bis des élections présidentielles :

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enseignement primaire : 53 % ont voté pour Norbert Hofer

apprentissage : 64 % ont voté pour Norbert Hofer

ayant poursuivi leur scolarité sans obtenir le baccalauréat : 51 % ont voté pour Norbert Hofer

baccalauréat : 26 % ont voté pour Norbert Hofer

haute-école : 17 % ont voté pour Norbert Hofer

Norvège : entente pour le nouveau budget.

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Norvège. Les conservateurs et le Parti du Progrès, qui constituent ensemble le gouvernement minoritaire, sont arrivés à s’entendre à propos du nouveau budget avec les deux petits partis qui soutiennent le gouvernement de l’extérieur.

Serbie ; les élections présidentielles doivent avoir lieu en mai 2017.

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Serbie. Les élections présidentielles doivent avoir lieu en mai 2017.

[L'actuel président Tomislav Nikolić est issu du SNS.]

Tobias Andersson : "Les Suédois seront minoritaires chez eux dans 20 ans."

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Suède. Interview par TVLibertés de Tobias Andersson, président de la Jeunesse des Démocrates suédois :


Le gouvernement est un rêve concret pour le M5S.

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Italie. Revue de presse.

ARTICLE, La Repubblica G. De Marchis « Mais Renzi veut les élections anticipées ‘’je ne laisserai pas cette arme à Grillo’’ » : « Les différentes stratégies, du Quirinal et du président du Conseil, commencent à voir le jour. Mattarella a reproché au président du Conseil d’avoir annoncé à la  télévision le choix de démissionner. Le président du Conseil est disposé même à conserver son poste à condition d’un accord prévoyant des élections à brève échéance. S’agissant de la loi électorale, Renzi estime que le prochain avis de la Cour Constitutionnelle dictera automatiquement les modifications à apporter. Le dernier mot revient au PD».  

ARTICLE, La Stampa I. Lombardo « Le M5S fait pression sur Mattarella : ‘’Que la Cour Constitutionnelle se prononce aussi sur l’Italicum’’ » : « Le gouvernement est un rêve concret. Beppe Grillo y croit ainsi que les élus du M5S à la Chambre. L’avalanche du ‘’Non’’ au référendum a fait changer de stratégie et Grillo a fini par adopter la loi électorale ‘’Italicum’’, tant critiqué jusque-là mais qui favoriserait nettement le Mouvement. D’où l’idée de faire pression sur le Chef de l’Etat pour que la Cour Constitutionnelle se prononce au plus vite sur la légitimité de la loi électorale actuelle ». 

(Traduction : ambassade de France à Rome) 

[Italicum : un scrutin à forte dose majoritaire à deux tours avec prime de majorité.]

05/12/2016

Geert Wilders souhaite une excellente soirée de Saint-Nicolas.

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Pays-Bas.

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"Je souhaite à chacun une agréable soirée de cadeaux de Saint-Nicolas."

Italie : les jeunes ont voté "Non".

Italie. 68 % des personnes âgées de 18 à 34 ans, 63 % des personnes âgées de 35 à 54 ans et 49 % des plus de 54 ans ont voté pour le "Non" lors du référendum constitutionnel. 

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Comportement électoral d'après la préférence de parti.

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Autriche. Lors du deuxième tour bis des élections présidentielles de ce 4 décembre 2016, 10 % des électeurs sociaux-démocrates, 45 % des électeurs sociaux-chrétiens, 99 % des électeurs FPÖ et 1 % des électeurs écologistes ont voté pour Norbert Hofer.

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"Comportement électoral d'après la préférence de parti. En cas d'élections législatives anticipées, à quel parti accorderiez-vous votre voix?"

SPÖ : sociaux-démocrates

ÖVP : conservateurs/sociaux-chrétiens

FPÖ : patriotes

Grüne : écologistes

Les électeurs de Norbert Hofer sont pessimistes.

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Autriche. Les électeurs de Norbert Hofer sont pessimistes :

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"Qu'attendez-vous pour les cinq prochaines années? Votre qualité de vie personnelle s'améliorera, se détériorera, ne changera pas."

verbessern : s'améliorer

verschlechtern : se dégrader

nicht verändert : ne pas changer

keine Angabe : pas de données"

85 % des ouvriers ont voté pour Norbert Hofer.

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Autriche. Lors du deuxième tour bis des élections présidentielles, 85 % des ouvriers, 40 % des employés, 34 % des fonctionnaires, 49 % des indépendants et 44 % des retraités ont voté pour Norbert Hofer.

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Arbeiter : ouvrier

Angestellte : employé

Öff. Bedienstete : fonctionnaire

Selbständige : indépendant

In Pension : retraité

Norbert Hofer obtient ses meilleurs résultats chez les 30 à 59 ans.

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Autriche. Lors du deuxième tour bis du scrutin présidentiel du 4 décembre 2016, le candidat du FPÖ Norbert Hofer a obtenu ses meilleurs résultats chez les 30 à 59 ans.

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jusque 29 ans

de 30 à 59 ans

à partir de 60 ans

Italie : les votes pour le "Oui" ou le "Non" selon l'appartenance politique lors du référendum.

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Italie. Les votes pour le "Oui" ou le "Non" selon l'appartenance politique lors du référendum du 4 décembre 2016 :

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PD : Parti Démocratique (centre-gauche)

M5S 

FI : Forza Italia

Lega : Ligue du Nord

Altri elettori : autres électeurs

Divers partis demandent que des élections législatives soient organisées.

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Italie. La Ligue du Nord, le chef de file des parlementaires de Forza Italia Maurizio Gasparri et le M5S demandent que des élections législatives soient organisées.

Silvio Berlusconi et Matteo Salvini revendiquent le leadership du centre-droit.

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Italie. Revue de presse.

Référendum constitutionnel/démission de Matteo Renzi: UNES : « La vague du ‘’non’’, Renzi démissionne » (Corriere della Sera), « Le non triomphe, Renzi démissionne » (La Repubblica), « L’avalanche du ‘’non’’, Renzi annonce ‘’je démissionne’’ » (La Stampa), « Le ‘’non’’ s’envole, Renzi tombe » (Il Messaggero), « L’Italie a choisi pour le ‘’non’’, Renzi démissionne » (Sole 24 Ore), « Renzi rentre chez lui » (Il Giornale), « La Constitution l’emporte sur Renzi 59 à 41 » (Il Fatto Quotidiano). 

Référendum constitutionnel/Démission de Matteo Renzi:

La Repubblica, Mario Calabresi « Le danger d’un saut dans l’inconnu » : « Il y a un an, le Président du Conseil avait eu la malencontreuse idée de transformer le référendum constitutionnel en un plébiscite. Or aucun des Présidents ou Premiers ministres actuels  ne gouverne avec un consensus supérieur à 40%. La démission de Renzi était par conséquent un choix inévitable. Il faut ajouter qu’il s’agit là d’un vote qui n’a rien à voir avec le mérite de cette réforme constitutionnelle. Le camp du « non » regroupe aussi bien ceux qui ne veulent rien changer que ceux qui souhaitent renverser la table. Maintenant, le risque est celui d’un retour à l’instabilité : un scénario dont l’Italie n’a vraiment pas besoin. A l’horizon, il n’y a aucune idée forte pour répondre à la crise que connait l’Italie. Grillo n’en a pas, Salvini non plus. Il faut espérer que la droite (comme en France) et la gauche mettront en avant des options rationnelles et que l’on œuvrera pour contrer les populismes. De cette journée historique, il y a surtout un fait surprenant : le taux de participation des Italiens». 

ARTICLE, La Repubblica T. Ciriaco « L’après-Renzi » : « Afin d’éviter des élections anticipées, le chef de l’Etat explorera la possibilité de faire naître un gouvernement assurant la stabilité et affrontant le problème de la loi électorale. Le mode de scrutin dit ‘’Italicum’’ ne vaut pas pour le Sénat. L’énorme revers subi rend impossible le retour de Renzi au Palais Chigi. Une chose est claire, aucun gouvernement ne pourra se mettre en place contre Renzi et contre le PD, qui demeure le parti majoritaire au Parlement. L’issue naturelle pourrait être celle de la nomination du ministre de l’Economie Pier Carlo Padoan. Sinon, il y a la figure institutionnelle de Piero Grasso, président du Sénat, qui peut compter sur une bonne relation avec les oppositions. Le nom de Graziano Delrio (Infrastructures et transports), l’un des ‘’renzien’’ du début, est aussi évoqué, tout comme celui du chef de la diplomatie Paolo Gentiloni. Le nom de Dario Franceschini est moins probable. Et plusieurs représentants du PD sont en train d’évoquer le retour de Romano Prodi ». 

ARTICLE, Corriere della Sera A. Cazzullo “ Les erreurs du leader” : « Le président du Conseil est resté seul contre tous. Invoquer un plébiscite à l’occasion du référendum constitutionnel était imprudent. Il a déterminé sa stratégie comme si l’Italie n’avait pas changé depuis les dernières élections européennes lors desquelles le PD avait obtenu 41% des voix. Il a surestimé sa côte de popularité et sous-estimé la détresse sociale. Il faut lui reconnaitre, toutefois, d’avoir assumé immédiatement la défaite ». 

ARTICLE, La Repubblica G. Casadio « L’affrontement au sein du PD » : « Pour Pier Luigi Bersani, ancien secrétaire du PD qui a choisi le camp du ‘’non’’, la défaite du ‘’Oui’’ et de Renzi ne peut pas ne pas avoir de conséquences au sein du parti. La course pour la reconquête du parti par la minorité « la plus à gauche » ne fait que commencer. Bersani et D’Alema jugent que le leadership de Renzi est arrivé à sa fin, d’où l’hypothèse d’un secrétaire de transition jusqu’au prochain congrès. Dans la course il y a Martina, Speranza, Rossi et Orlando ». 

ARTICLE, La Repubblica C. Lopapa « Le centre droit » : « Silvio Berlusconi revendique le mérite d’avoir convaincu les modérés à voter pour le ‘’non’’ et plaide maintenant pour une modification de la loi électorale dite ‘’Italicum’’. Le « Cavaliere » veut tirer bénéfice de cette victoire indiquant qu’il est prêt à un gouvernement de coalition. C’est son grand retour, il y croît depuis qu’il avait répété à Salvini (Ligue du Nord) ‘’le leader c’est moi’’. Mais Matteo Salvini revendique lui aussi le mérite de cette victoire, il a été le premier à apparaître à la télévision et il a invoqué les élections anticipées ». 

(Traduction : ambassade de France)

Matteo Renzi annonce sa démission.

Italie. Le Premier ministre Matteo Renzi annonce sa démission du gouvernement après la large victoire du « Non » au référendum en Italie.