12/12/2021
La dirigeante de Frères d'Italie Giorgia Meloni à l'Atreju 2021.
Italie. La dirigeante de Frères d'Italie Giorgia Meloni à l'Atreju 2021.
12:52 | Lien permanent | Commentaires (0)
11/12/2021
L'AfD va recevoir la présidence de la commission de l'Intérieur : critiques de l'Union et de die Linke.
Allemagne. L'Union (CDU-CSU) et les post-communistes de die Linke ont vivement critiqué l'attribution de la présidence de la commission de l'Intérieur de la Chambre des députés à l'AfD.
Le député CSU Madame Andrea Lindholz estime que c'est un scandale de sécurité que cette commission soit laissée « à un parti qui regorge d'extrémistes » et a ajouté que « Ironiquement, l'AfD, dont la moitié est surveillée par l'Office pour la protection de la Constitution, doit diriger le contrôle parlementaire des autorités de sécurité à l'avenir. »
L'expert de l'Intérieur de la CDU, Wolfgang Bosbach, a déclaré au Kölner Stadt-Anzeiger : « Bien sûr, l'AfD a également droit à des présidents de commission. Mais il est incompréhensible de confier à un parti qui est en grande partie sous la surveillance de l'Office de protection de la Constitution, parmi toutes les commissions, la commission chargée de l'Office de protection de la Constitution.»
17:19 | Lien permanent | Commentaires (0)
Giorgia Meloni et Matteo Salvini à l'Atreju 2021.
Italie. La dirigeante de Frères d'Italie Giorgia Meloni et le dirigeant de la Ligue Matteo Salvini à l'Atreju 2021 à Rome.
12:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
10/12/2021
Angela Merkel souhaite écrire une autobiographie.
Allemagne. Après avoir quitté ses fonctions, la chancelière Angela Merkel (CDU) souhaite écrire une autobiographie racontant les grandes crises politiques survenues lorsqu’elle dirigeait le pays.
17:18 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Les élections du Quirinal se tiendront du 18 au 28 janvier. Mattarella confirme qu’il fait ses adieux au Pape."
Italie. Revue de presse.
La presse italienne ouvre sur le déblocage d’un fonds d’aides pour les familles face à la hausse des prix de l’énergie, annoncé par le gouvernement : « Un milliard pour les factures » - De nouvelles ressources à hauteur de 3,8 milliards. Un décret sera adopté pour limiter la flambée des prix (Corriere della Sera), « Factures, Draghi augmente d’un milliard le bouclier contre la flambée des prix » - La mesure sera effective dès janvier (La Stampa), « 1,8 milliards supplémentaires contre la hausse du prix de l’énergie » (Sole 24 Ore). La sanction prononcée par l’antitrust italien contre Amazon est aussi citée « L’antitrust défie Amazon » - Une amende record à hauteur de 1,12 milliards d’euros a été infligée au colosse pour abus de position dominante (La Repubblica), « Amazon, une amende record par l’antitrust italien » (Sole 24 Ore). Enfin, la campagne contre la pandémie de Covid est aussi évoquée « Urgence sanitaire, l’hypothèse d’un prolongement des mesures » - Face à la hausse des nouveaux cas, les mesures exceptionnelles seront valables jusqu’en avril. Les hôpitaux commencent à être saturés (Il Messaggero), « Le gouvernement déniche les malades du Covid grâce au pass sanitaire » (Fatto Quotidiano).
PREMIER PLAN, Corriere della sera, de G. A. Falci, « Les élections du Quirinal se tiendront du 18 au 28 janvier. Mattarella confirme qu’il fait ses adieux au Pape » : « Le 16 décembre 2021, Mattarella sera reçu par le Pape au Vatican. Il s’agit sans doute de l’énième confirmation que le président n’a aucune intention de reconduire son mandat. Un des noms qui commence à avoir de plus en plus de succès est celui de l’actuelle Ministre à la Justice, Marta Cartabia. La Ministre a été chaleureusement applaudie lors de la kermesse de Fratelli d’Italia, Atreju, et a reçu, hier, le soutien de Carlo Calenda. Bien que Berlusconi reste le nom de référence pour le centre-droit, la position de Matteo Salvini, qui assure que la Ligue votera de façon ‘’compacte’’, reste encore assez floue. La date à laquelle Roberto Fico (M5S) convoquera la première séance commune de la Chambre et du Sénat est encore inconnue. Le mandat de Mattarella se terminera le 3 février et la règle prévoit que les élections se tiennent la deuxième et la troisième semaine qui précèdent la fin du mandat. Les élections devraient donc avoir lieu entre le 18 et le 28 janvier. »
ENTRETIEN, Corriere della sera, d’Enrico Letta, secrétaire du PD « Une large majorité pour le Quirinal. Il faut également dialoguer avec Meloni. Je ne m’attendais pas à la grève » : « Il est trop tôt pour parler du Quirinal. Nos priorités sont actuellement la troisième dose, la loi de finances et travailler pour que l’argent du PNRR bénéficie aux Italiens. À la vue de ce que je viens d’énoncer, il serait bon que le président soit élu par une large majorité et qu’il dispose d’un ample soutien. Et donc cela signifie que nous devons, par exemple, dialoguer aussi avec Giorgia Meloni. La décision de Conte (de ne pas se présenter à Rome ndlr) ne change rien à notre perspective de refonder une large coalition de centre-gauche. Je ne m’attendais pas à la grève des syndicats CGIL et UIL. Je respecte énormément l’autonomie des organisations et n’exprime aucun jugement à ce sujet. En même temps, je suis pour l’unité des syndicats, et nous travaillerons à la recomposer dans les semaines à venir. Cela dit, je défends les décisions prises par le gouvernement, c’est notre mission et la mission de la politique. J’estime que la loi budgétaire – qui a déjà été remaniée et qui sera améliorée au Parlement – est une bonne loi pour le pays, car elle intervient sur des sujets importants et sensibles. La présence du PD est indispensable, mais il est difficile pour nous de peser et d’avoir des ententes. Le nombre de parlementaires du PD est largement inférieur par rapport à notre poids dans le pays. J’estime que nous avons fait de notre mieux. Notre vraie priorité est la jeunesse. En Italie, on devient autonome aux alentours de 30 ans. Dans des pays tels que la France ou l’Allemagne, c’est plutôt aux alentours de 23-25 ans. Notre objectif est d’aller vers une indépendance à 25 ans. Je souhaiterais ne plus voir de stages non rémunérés en 2022. Nous devons redonner de l’espoir aux jeunes. Vous avez vu à quel point ils se sont mobilisés pour le climat ou pour Patrick Zaki ? »
ARTICLE, Corriere della Sera, « Sur la fin de vie, un premier oui (mais sans le centre-droit) » : « Le projet de loi sur le suicide assisté a reçu un premier feu vert, en étant approuvé par les commissions conjointes de la justice et des affaires sociales. Le lundi 13 décembre, il sera soumis à la Chambre des députés. Il n'y a pas eu de surprise : la majorité de centre-gauche a voté pour et le centre-droit contre. L'accord conclu par les groupes a également été respecté : le centre-droit s'était engagé à ne pas entraver le processus parlementaire par de l'obstructionnisme. Les deux rapporteurs, Alfredo Bazoli (PD) et Nicola Provenza (M5S), se sont déclarés satisfaits. Le texte est intitulé "Dispositions relatives à la mort volontaire médicalement assistée". Elle prévoit qu'une personne peut choisir volontairement de mourir. Avec, bien sûr, des critères très stricts. "Nous avons réussi à modifier ces critères : nous avons obtenu que pour mettre fin à la vie, il faille des pathologies irréversibles et un pronostic défavorable, alors qu'auparavant il était écrit que c’était soit l'un soit l'autre. Il en va de même pour la souffrance physique et psychologique", déclare Roberto Bagnasco, chef du groupe FI à la commission des affaires sociales. Il a ajouté : "Cela dit, Forza Italia est contre le texte, même s'il donne la liberté de vote et j'espère que les autres partis feront de même". Le texte envisage également l'objection de conscience pour les médecins et le personnel de santé et la non-punition rétroactive de ceux qui ont déjà pratiqué le suicide assisté. Entre-temps, la Cour suprême a validé hier les signatures (1,2 million) recueillies par l'association Coscioni pour le référendum sur l'euthanasie. »
PREMIER PLAN, La Repubblica, « L'antitrust punit Amazon d'une amende de 1,2 milliard d'euros pour ses abus. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
12:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
09/12/2021
HC Strache publie un livre sur l’attentat médiatique d’Ibiza.
Autriche. L’ancien président du FPÖ et ex-vice-chancelier Heinz-Christian Strache publie un livre de 300 pages sur l’attentat médiatique d’Ibiza, dont il a été la victime :
« L'attentat d'Ibiza à l'été 2017 et la publication de courts extraits vidéo manipulés ont mis fin en mai 2019 à la coalition de centre-droit réussie de l'ÖVP et du FPÖ. Grâce au travail minutieux de vrais journalistes d'investigation, qui ont désormais publié la vidéo complète, HC Strache est depuis longtemps réhabilité. Dans ce livre, il raconte pour la première fois sa version des événements de cette époque et donne également un aperçu de ce qui s'est passé dans les coulisses. Il devient clair que l'attaque d'Ibiza n'était pas une farce de petits criminels, mais qu'en réalité, il s'agissait d’un contexte beaucoup plus vaste. »
"Ce qui s'est vraiment passé et pourquoi je continue à me battre pour vous. L'Attentat d'Ibiza."
18:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Les trois scénarii avec le système électoral dit "Mattarellum"."
Italie. Revue de presse.
La presse italienne titre largement sur la campagne vaccinale du gouvernement, notamment sur la recherche de doses de vaccins en prévision de la hausse des contaminations et du succès de la campagne pour la troisième dose : « Vaccins, le record des 100 millions de doses a été atteint » - mais les contagions augmentent en Italie, 17 959 nouveaux cas en 24 heures (Corriere della Sera), « Le gouvernement est à la cherche d’un nombre supérieur de vaccins » - La campagne d’immunisation atteint les 500 000 doses par jour mais les réserves diminuent. Le gouvernement fait pression sur les groupes pharmaceutiques (La Repubblica), « Le variant Omicron est présent dans six régions » - 17 cas ont été identifiés, dont 3 dans le Latium. Pfizer annonce une protection totale avec la troisième dose (Il Messaggero). La libération du jeune chercheur égyptien Patrick Zaki, étudiant à l’université de Bologne et dont la détention depuis 22 mois faisait l’objet d’une vaste campagne de mobilisation en Italie, est aussi largement citée avec couverture photographique en Une : « Zaki : je remercie l’Italie pour son soutien » (Corriere della Sera, Repubblica, Stampa, Messaggero).
ARTICLE, La Repubblica, G. Vitale « Les trois scénarii avec le système électoral dit « Mattarellum » » : « Si les élections devaient avoir lieu demain, au vu des récents sondages, il serait bien difficile de faire des pronostics. Tout dépend de la composition des coalitions. La société Youtrend propose une simulation de ce qui pourrait se passer en incluant la réduction du nombre de parlementaires, la réorganisation des collèges et le droit de vote aux jeunes âgés de 18 ans pour le Sénat. Le premier scénario serait celui d’une grande coalition du centre. Il s’agit sans doute du moins probable, quoi qu’en disent Renzi, Toti et les autres. Si le pôle centriste composé d’IV, +Europa, FI et Coraggio Italia devait se présenter uni, personne n’aurait la majorité absolue. En revanche, la coalition PD-M5S obtiendrait une majorité relative. La coalition Ligue-FdI s’imposerait uniquement au Nord, dans le Latium (mais pas dans les grandes villes telles que Rome, Milan et Turin) mais aurait très peu de voix dans le reste du pays. Le scénario B prévoyant un centre droit uni (FI, Ligue et FdI), l’emporterait sur les deux autres. Enfin, le plan C prévoyant une large coalition PD, M5S, LeU avec Italia Viva, + Europa et Azione, verrait cette dernière s’imposer nettement sur celle du centre droit. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
13:16 | Lien permanent | Commentaires (0)
08/12/2021
Article d'Álvaro Peñas sur la Pologne et les femmes.
Pologne. Violences domestiques : la Pologne, un pays modèle dans l’Union Européenne en matière de protection des femmes :
https://www.breizh-info.com/2021/12/07/175736/violences-d...
13:44 | Lien permanent | Commentaires (0)
07/12/2021
Thierry Baudet est en voyage de noce aux Bimini aux Bahamas.
Pays-Bas et Bahamas. Le dirigeant du Forum voor Democratie Thierry Baudet est en voyage de noce avec sa femme, Davide, aux Bimini aux Bahamas.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2021/11/25/le-...
21:14 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Di Maio : le centre-droit est divisé au sujet du Quirinal. Berlusconi fait les louanges du M5S."
Italie. Revue de presse.
À la une de la presse italienne ce matin, on souligne la montée de la tension entre le gouvernement et les syndicats sur la loi de finances et l’annonce par les principales organisations d’une grève générale le 16 décembre : « Le monde syndical défie Draghi » - Grève générale annoncée par la CGIL et l’UIL pour le 16 décembre contre les arbitrages du gouvernement sur le budget. La CISL reste en retrait. Pour le palais Chigi, ce choix est absolument injustifié (La Repubblica). « La grève générale de la CGIL et de l’UIL déconcerte le gouvernement » (Il Messaggero), « Les syndicats divisés annoncent une grève générale, la colère du gouvernement » (Corriere della Sera), « Les syndicats défient Draghi : c’est la grève » - Ils défileront le 16, mais la CISL se défile ; pour le premier ministre, ce mouvement n’est pas motivé ». La presse titre également sur les suites de la mise en place depuis hier de l’obligation de présentation des pass sanitaires dans les transports : « Sur le pass sanitaire, il n’y aura pas de dérogations », le gouvernement répond aux régions sur les contrôles des pass des étudiants (Corriere della Sera). « Super green pass, des contrôles à la chaine » (Il Sole 24 Ore), « De faux pass en cadeau à noël, l’enquête de la police postale, des QR codes contrefaits mis en vente pour 100 euros ». (Il Messaggero).
COMMENTAIRE de Massimo Franco, Corriere della sera, « Les ambiguïtés des relations entre la gauche et les proches de Grillo » : « Livrer le siège de Rome – où le PD gagne depuis toujours – à Conte devait être la sublimation de l’alliance entre le PD et le M5S et garantir un certain contrôle des parlementaires 5 étoiles à la veille des élections du Quirinal. Jusqu’à hier matin, il semblait que l’accord n’attendait que les ultimes détails. Mais dans les heures qui ont suivi, les complications sont survenues et les ‘doutes’ de Conte se sont transformées en ‘’non’’. Cette affaire permet de souligner les ambigüités qui existent entre la gauche et le M5S. Alors que l’ancien Président du Conseil essaye de cultiver son alliance avec le PD, des manœuvres pour s’accaparer des sous-groupes au sein du M5S surgissent de tous côtés. Hier, Berlusconi a reconnu au M5S d’avoir permis à un malaise social de s’exprimer et que celui-ci mérite du respect. Il a même rapproché le M5S de FI, qui serait également né en réaction à une ‘’certaine politique’’. En somme, le Cavaliere se présente comme celui qui, depuis 1994, s’engage dans une refondation du système. Mais le problème est que tout cela appartient au passé : entretemps, FI a considérablement réduit sa base et a été l’une des voix les plus critiques envers le M5S, accusé de tous les maux. Mais il est aussi possible que Berlusconi compte sur le fait que le M5S lui-même ait changé et vieilli. Il s’est essoufflé et a perdu des voix. Et le désespoir est tel qu’il n’exclut plus personne. »
ENTRETIEN, La Stampa, de Matteo Renzi, dirigeant du parti « Italia Viva », "Conte manque de courage, il craint l'épreuve du vote. Nous avons maintenant besoin d'un pôle centriste" : « Connaissant son manque de courage légendaire, je ne suis pas surpris que Giuseppe Conte renonce à se présenter (au siège laissé vacant par Gualtieri, du PD, ndlr). C'est un homme qui vit des sondages mais terrorisé par l’idée de se mesurer aux citoyens. Il vit de likes, mais il craint le vote. Pour ma part, je dis non aux alliances avec les souverainistes et les populistes parce que je pense que le peuple réformateur obtiendra un résultat décisif pour gouverner. Pas seul, bien sûr. La même chose se produit un peu dans toute l'Europe. Notre modèle, c'est Macron, pas Le Pen ou Hidalgo, pour le dire en français. Peut-être qu'avec les cinq étoiles nous gagnons quelques circonscriptions. Mais l'Italie perd. L'expérience populiste et souverainiste a échoué. Le PD devrait essayer de gagner les élections en prenant la tête du pôle réformiste comme nous l'avons fait en 2014, en obtenant 41%. Aujourd'hui, il me semble qu'ils se contentent de la moitié de ces votes. Et qu'ils courent après les étoiles filantes du M5S. Je suis favorable au dialogue avec tous les partis sur l’élection au Quirinal, de Meloni et Salvini aux joueurs dissidents : on choisit l'arbitre ensemble. Ce pôle réformateur doit être représenté aux élections. Le peuple du bon sens doit devenir un pôle politique. Ce n'est pas facile, mais je donnerai un coup de main dans un esprit d'équipe. Pour ma part, je pense que, Draghi ou pas Draghi, si les leaders des partis veulent des élections - et ils les veulent même s'ils ne le disent pas -, il y a un risque de vote en 2022. Aussi parce que Conte ne tiendra pas jusqu'en 2023, que Letta doit tenir un congrès, et Meloni perd des voix dans les sondages. Nous verrons, nous sommes prêts de toute façon. »
ARTICLE, La Repubblica, de Gianluca di Feo, « Un navire italien en Libye transportant une unité ‘’anti-passeurs’’ » : « S’agissant d’une opération secrète, toute annonce avant qu’elle n’ait été menée à bien a été évitée. Pourtant, une photo a été publiée sur twitter : l’image d’un grand navire militaire italien dans un port libyen. D’après La Repubblica, il s’agit du ‘San Giorgio’ à Tripoli pour une mission bien spéciale. Une centrale mobile pour la coordination des secours en mer a été envoyée au gouvernement libyen : une série de containers avec des terminaux informatiques et des équipements radio de dernière génération dans le but d’ ‘’élever le niveau de sécurité de la navigation en Méditerranée et en particulier dans le canal de Sicile’’. Il prêtera main forte à la Garde côtière de Tripoli dans ses interventions, notamment pour lutter contre l’immigration clandestine. La centrale a été financée par l’UE dans le cadre d’un accord géré par le ministère italien de l’Intérieur. Elle marque la reprise des initiatives européennes et italiennes en Libye, à quelques jours d’élections qui seront décisives pour le pays. Lorsque notre marine avait quitté Tripoli, Ankara avait consolidé son influence dans la région. Mais les choses commencent à changer et notre diplomatie a joué un rôle clef, pouvant servir de prémisses pour repousser l’activisme turc en Libye. Les activités de la Garde côtière libyenne font toutefois l’objet de nombreuses accusations de la part de ONG dénonçant les traitements inhumains des migrants bloqués en mer. Le Parlement européen suit donc cette initiative avec attention. La Commission voit cette centrale comme le point de départ d’une réforme des interventions libyennes en mer, qui prévoit aussi des entraînements menés par l’Italie pour les officiers. Mais sans une action d’ampleur et organique, il restera difficile de protéger les droits des migrants. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
16:06 | Lien permanent | Commentaires (0)
Interview par Lionel Baland du député européen RN Julie Lechanteux à propos de "Les Femmes avec Marine".
France. Interview du député européen RN Julie Lechanteux à propos de « Les Femmes avec Marine » :
https://www.breizh-info.com/2021/12/07/175732/marine-le-p...
Julie Lechanteux
11:10 | Lien permanent | Commentaires (0)
06/12/2021
Le programme de l'Atreju 2021.
14:01 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Forum voor Democratie de Thierry Baudet atteint les 50.000 membres.
Pays-Bas. Le Forum voor Democratie de Thierry Baudet atteint les 50.000 membres. Il était déjà le premier parti du pays en nombre de membres.
13:41 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Salvini est irrité par la stratégie de Forza Italia. Les convoitises sur le Quirinal divisent les alliés."
Italie. Revue de presse.
PREMIER PLAN, Corriere della Sera, de R. Frignani, « Des transports aux restaurants, des unités spéciales chargées des contrôles. »
PREMIER PLAN, Repubblica, de M. Bocci, « Le pass sanitaire monte dans les bus et les métros. Des agents mobilisés pour le contrôle. »
PREMIER PLAN, Corriere della Sera, de F. Savelli, « La campagne de vaccination connait une accélération portée par l’administration des doses de rappel, ‘il y a des stocks encore pour deux semaines’.»
ARTICLE, La Repubblica, E. La « Salvini est irrité par la stratégie de Forza Italia. Les convoitises sur le Quirinal divisent les alliés » : « Le dirigeant de la Ligue préfère ne pas commenter les déclarations du vice-président de Forza Italia, A. Tajani [‘’Seul Draghi peut maintenir l’unité du gouvernement, il doit poursuivre son mandat jusqu’en 2023’’]. Et s’il ne veut pas commenter, c’est en raison de ce qui se profile derrière ces propos : une tentative de favoriser l’élection de Berlusconi au Quirinal. Salvini a déjà promis son soutien à la candidature du « Cavaliere », mais veut aussi jouer un rôle central dans les négociations. De manière officielle, Salvini veut préserver l’unité de la droite mais il sait aussi que pour élire un Président de la République, il faut un consensus large. C’est pourquoi il ne partage pas l’idée de Forza Italia de barrer la route à une élection de Draghi au Quirinal. Salvini, tout comme Letta, Conte et Renzi, sait que le nom de l’ancien banquier de la BCE est le plus populaire aujourd’hui. Le problème est que pour faire élire Draghi, il faut d’abord assurer aux députés et aux sénateurs qu’il n’y aura pas d’élections anticipées le lendemain de ce scrutin. Même si pour le dirigeant de la Ligue, l’idée n’est pas en elle-même si mauvaise. Autrement, il n’est pas impossible que la Ligue rejoigne Fratelli d’Italia dans l’opposition si Franco ou Cartabia devaient remplacer Draghi au Palais Chigi. Le risque d’une impasse institutionnelle demeure élevé. Giorgia Meloni veut elle aussi jouer un rôle central et a lancé un meeting de Fratelli d’Italia qui durera sept jours et qui recevra environ une centaine d’invités dont plusieurs ministres et dirigeants de parti ».
ENTRETIEN, La Repubblica, d’Antonio Tajani, vice-président de Forza Italia « Seul Draghi peut préserver l’unité du gouvernement » : « ‘Sur Draghi, je pense que personne d’autre n’a le prestige et la capacité de négociation nécessaires pour diriger un gouvernement d’unité nationale. Il s’agit d’une majorité hétérogène qui s’est formée avec l’objectif principal de vaincre la pandémie et préparer le plan de relance. Seule une personnalité comme Draghi peut faire travailler ensemble Salvini, Letta, Renzi et Bersani. Et cela d’autant plus qu’à l’approche de la fin naturelle de la mandature, chaque parti voudra marquer sa propre identité. Nous devons arriver jusqu’en 2023 car l’urgence n’est pas terminée et nous ne pouvons pas renoncer à Draghi. Je dis cela indépendamment de celui qui ira au Quirinal. Vous savez ce que je pense : outre Draghi, Berlusconi est le seul en mesure d’être élu Chef de l’Etat. Ce sont les sondages qui le disent. Il y a de plus en plus de gens qui considèrent Berlusconi en tant que personnalité impartiale qui travaille pour l’intérêt national, un entrepreneur et un homme de sport. Par ailleurs, à ce stade Berlusconi n’a fait que sourire à ceux qui ont proposé cette solution [sa candidature ; ndt.]. Il est encore trop tôt pour en parler mais nous souhaitons une candidature soutenue par l’ensemble du centre droit. »
ARTICLE, La Repubblica, de G. Vitale « A la Chambre, Conte en lice sur le siège de Gualtieri, avec la bénédiction du Parti démocrate » : « Il ne s’agit pour le moment que de rumeurs mais l’annonce officielle ne devrait pas tarder : Giuseppe Conte pourrait bien être le candidat représentant le centre-gauche aux élections partielles à Rome, prévues le 16 janvier, historiquement considérée comme une forteresse démocrate. Il s’agit d’une candidature pensée afin de renforcer l’alliance entre les démocrates et le Mouvement 5 Etoiles, notamment en vue de la désignation du Président de la République. Mais Carlo Calenda est prêt à défier l’ancien Président du Conseil Giuseppe Conte dans sa conquête du siège laissé vacant par le nouveau maire de Rome Roberto Gualtieri. L’idée viendrait du PD et les principaux membres du parti y seraient tous favorables, Letta, Zingaretti, Franceschini, et naturellement Gualtieri, mais aussi Speranza de LeU. Giuseppe Conte a demandé du temps avant de se prononcer publiquement et, en attendant, le Mouvement ne fait aucun commentaire. Le défi n’est pas évident, surtout sans l’approbation de l’ancien démocrate et leader d’Azione, Calenda, qui refuse catégoriquement d’apporter son soutien et devrait donc annoncer le candidat de son parti dans les prochaines heures. Il dénonce une ‘’soumission du PD vis-à-vis du Mouvement 5 Etoiles’’. Ses proches affirment qu’il est prêt à défier personnellement Conte. Une possibilité qui pourrait remettre en cause la décision des 5 Etoiles, lesquels semblent désormais hésiter. Il semblerait que le parti de Renzi ne soit pas particulièrement favorable non plus, certains demandant une ‘’candidature réformiste afin d’empêcher la droite de gagner. »
SONDAGE, Repubblica, d’I. Diamanti, « Des alliances plus difficiles à gauche. Dans le panorama politique, la droite est plus reconnaissable. » : « Concernant les élections du président de la République, un récent sondage Demos révèle que Draghi est le candidat favori des Italiens, mais qu’il n’est préféré que par une minorité. On est bien loin de la première République, lorsqu’au gouvernement centriste de la DC s’opposait le PCI devenu imprésentable à la suite de la chute du mur de Berlin. Berlusconi aussi avait recréé une opposition similaire, entre les siens et les ‘’héritiers du PCI’’, comme il définissait le centre-gauche. Mais ce mur aussi est tombé, et depuis, le panorama politique italien apparaît instable et orphelin de références politiques. Ainsi, depuis un an, le pays est gouverné par un Président du Conseil sans parti ou orientation politique, soutenu par une majorité quasi-unanime. Un gouvernement de presque tous mais privé de centre. Aujourd’hui, moins de 10 % des électeurs se reconnaît dans le centre. Les sondés préfèrent se situer à droite ou à gauche, mais surtout ‘’en dehors’’. Ce n’est pas un hasard si, depuis une dizaine d’années, on a vu s’imposer des leaders et des partis qui se présentent comme « anti-politiques ». Et voilà donc qu’au sein de l’espace politique, ce n’est qu’au centre-droit que se distinguent des références précises. Ainsi, la candidature de Berlusconi apparait comme une stratégie vouée à souder des rapports instables. Quant à la gauche, engagée dans un projet de refondation du PD, elle apparaît moins unie : chez les électeurs de ce dernier parti, la sympathie envers le M5S reste assez limitée. Quant au parti de Matteo Renzi, Italia Viva, sa position reste floue. Proche du centre, il regarde avec attention du côté de FI pour construire une base moins précaire et limitée que son ‘’parti personnel’’ actuel. Il peut cependant profiter d’un système politique fragmenté et instable et il l’a déjà fait lorsqu’il a provoqué la crise de gouvernement qui a mené à la fin du précédent gouvernement et à la formation de l’actuel.»
(Traduction : ambassade de France à Rome)
13:24 | Lien permanent | Commentaires (0)
05/12/2021
Début de l'Atreju 2021.
22:58 | Lien permanent | Commentaires (0)
Robert Simons, tête de liste de Leefbaar Rotterdam.
Pays-Bas. Rotterdam. Le chef de file des élus de Leefbaar Rotterdam au sein du Conseil municipal Robert Simons sera tête de liste du parti lors des élections municipales de 2022.
01:08 | Lien permanent | Commentaires (0)
Marine Le Pen rencontre le dirigeant du PIS Jarosław Kaczyński et le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki.
France, Pologne et UE. Dans le cadre du sommet de Varsovie, Marine Le Pen rencontre le dirigeant du PIS Jarosław Kaczyński et le Premier ministre PiS Mateusz Morawiecki.
00:52 | Lien permanent | Commentaires (0)
Photo : Tom Van Grieken et Viktor Orbán.
Hongrie, Belgique et UE. Le président du Vlaams Belang Tom Van Grieken et le Premier ministre hongrois Viktor Orbán lors du congrès de Varsovie.
00:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
La photo du sommet de Varsovie.
Pologne et UE.
Laura Huhtasaari, Les Finlandais, Finlande / Santiago Abascal, Vox, Espagne / Jarosław Kaczyński, PiS, Pologne / Viktor Orbán, Fidesz, Hongrie / Mateusz Morawiecki, PiS, Pologne / Marine Le Pen, Rassemblement national, France / Marlene Svazek, FPÖ, Autriche / Tom Van Grieken, Vlaams Belang, Belgique / Martin Helme, EKRE, Estonie / Valdemar Tomaševski, Lituanie, Action électorale polonaise de Lituanie / Cristian Terheş, PNT-CD, Roumanie.
00:09 | Lien permanent | Commentaires (0)
04/12/2021
Hongrie : les autorités ont arrêté en 2021 112.000 personnes qui ont traversé illégalement la frontière ou ont tenté de le faire.
Hongrie. Les autorités ont arrêté en 2021 112.000 personnes qui ont traversé illégalement la frontière - ou ont tenté de le faire - et 1500 passeurs. Dans la plupart des cas, il s'agit de groupes violents et les passeurs induisent en erreur les migrants avec de fausses infos.
22:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
Article du Point sur le rassemblement de partis patriotiques à Varsovie.
UE et Pologne. Article du Point sur le rassemblement de partis patriotiques à Varsovie :
https://www.lepoint.fr/politique/a-varsovie-l-extreme-dro...
00:19 | Lien permanent | Commentaires (0)
03/12/2021
Marine Le Pen à Varsovie.
Pologne et France. Marine Le Pen à Varsovie.
Au Mémorial des victimes du ghetto de Varsovie
Marine Le Pen devant le monument consacré aux victimes du massacre de Katyn.
Marine Le Pen et le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki
23:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
Luxembourg : progression de l'ADR.
Luxembourg. Un sondage TNS-Ilres donne l’ADR à 11,3 % (soit une augmentation de 3 points par rapport aux législatives de 2018) et déi Konservativ à 0,5 %.
23:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Que se passera-t-il dans la deuxième quinzaine de janvier, lorsque le vote pour le Président de la République aura lieu ?"
Italie. Revue de presse.
La presse italienne titre largement sur les nouvelles mesures pour contrer la pandémie qui entreront en vigueur le 6 décembre ainsi que celles adoptées dans les autres pays de l’UE : « Hôpitaux, la pression monte » - Les admissions en soins intensifs augmentent. Record de vaccins injectés. La campagne vaccinale pour les enfants commencera le 16 décembre. Toute l’Europe est en zone rouge sauf l’Italie et l’Espagne (Corriere della Sera), « L’Europe des vaccins obligatoires » - Après l’Autriche, l’Allemagne aussi imposera le vaccin. Pour le Palais Chigi, la question se posera pour les travailleurs à partir du mois de janvier. Les nouveaux cas positifs augmentent : environ 17 000 en 24 heures (La Repubblica), « Zaia : nos agences sanitaires locales n’effectueront pas de test de dépistage pour les antivax » - Le président de la Région Vénétie choisit la ligne dure mais s’oppose à l’introduction de l’obligation vaccinale (La Stampa), « Covid, l’Allemagne impose le confinement pour les antivax » (Sole 24 Ore), « Bus et locaux publics, voici le plan pour les contrôles » - Les vigiles et les forces de l’ordre seront déployés. Le président du premier syndicat patronal demande que le pass sanitaire différencié soit étendu à tous les travailleurs (Il Messaggero), « Merkel fait l’éloge de l’Italie sur sa gestion de la pandémie » - Pass sanitaire différencié : voici les nouvelles règles pour les contrôles (Il Giornale). Enfin, le quotidien romain Il Messaggero publie en Une l’entretien du commissaire européen pour l’Economie Paolo Gentiloni « Le Pacte de stabilité sera moins rigide ».
PREMIER PLAN, Il Messaggero, de M. Evangelisti, “Il y aura davantage de contrôles : plus d’agents dans les bus, les transports et les restaurants. »
COMMENTAIRE, La Repubblica, de Stefano Folli, « Une voie rationnelle pour un nouveau mandat de Mattarella » : « Un épisode mineur, sauf pour les personnes directement concernées, s'est déroulé hier au Sénat, confirmant le climat peu serein dans les rangs de la majorité. Le jeu des "franc tireurs" a empêché le président de la Lazio, Lotito, d'obtenir justice pour le siège auquel il aspire depuis longtemps. Toutefois, lors du vote à bulletin secret, les décisions prises par le comité chargé des désignations ont été annulées et l'affaire est devenue houleuse. Or, au-delà des raisons et des torts, le fait est que les relations entre le PD et Italia Viva, alliés dans la majorité qui soutient Draghi, sont usées au point de ne plus tenir, même sur une question aussi mineure. La question est inévitable : que se passera-t-il dans la deuxième quinzaine de janvier, lorsque le vote pour le Président de la République aura lieu ?A présent, on a perdu l'ancienne discipline dans les partis. Il est vrai que les parlementaires n'ont, comme on le sait, aucune envie d'être renvoyés chez eux en cas de dissolution anticipée des chambres. Tout comme il est vrai - et ici Enrico Letta a raison - que le législateur aurait peu de chances de survivre à l'effondrement de la grande majorité qui soutient Draghi. Imaginer un grand accord de type Ciampi semble pour l'instant un exercice louable mais futile tant les inconnues sont nombreuses sur le M5S, le PD, le jeu d’Italia Viva. Berlusconi ne renoncera certainement pas à jouer un rôle de premier plan dans ce qui pourrait être la dernière étape importante de sa vie politique. Garder le centre-droit attaché à sa candidature ne le mènera pas au Quirinal - il le sait au fond de lui - mais cela lui permettra d’être l'interlocuteur du centre-gauche pour toute solution réaliste. Il faudra passer par lui, plus que par Salvini ou peut-être Giorgia Meloni. La voie à suivre ne serait pas un renouvellement pur et simple du mandat de Mattarella, auquel le président est opposé, mais un accord sur le projet de révision constitutionnelle qui supprimerait le semestre blanc et interdirait en même temps la réélection du président en exercice. S'il y a un accord de principe sur le projet de loi qui est déjà au Sénat, Mattarella pourrait rester en fonction jusqu'à la fin du processus, qui coïncide plus ou moins avec la fin de la législature en 23. La modification de la Constitution sur ce point précis justifierait sa démission. »
ARTICLE, Corriere della Sera, « Renzi et Toti tissent leur toile en vue de l’élection au Quirinal » : Matteo Renzi, amateur de vitesse et de tactique parlementaire, veut s’occuper du vote à la présidentielle. Les rencontres entre Italia viva et Coraggio Italia, la formation dirigée par le gouverneur de la Ligurie Giovanni Toti et le maire de Venise Luigi Brugnaro, se succèdent. L'ancien premier ministre est en bons termes non seulement avec le premier citoyen de la capitale vénitienne, mais aussi avec le maire de Gênes, Marco Bucci, qui est lié à Toti. Les trois sont en contact et se consultent mutuellement. Davide Faraone et Gaetano Quagliariello, au Palazzo Madama, Maria Elena Boschi et le président des députés de Coraggio Italia Marco Marin, à Montecitorio, travaillent sur l'idée d'une fédération entre leurs groupes respectifs. Une fédération qui n'a pas (encore) de valeur politique, mais qui devrait naître en fonction de l'élection du successeur de Sergio Mattarella : elle regrouperait de plus de soixante-dix grands électeurs. Un groupe parlementaire pas indifférent, au cas où, en janvier, pour choisir le nouveau président de la République, on procéderait au quatrième tour de vote, c'est-à-dire celui où la majorité des deux tiers exigée par la Constitution n'est plus nécessaire et où plus de soixante-dix voix pourraient faire la différence. Pour Renzi, "le centre existe déjà. Quelqu'un la représentera. J'aimerais qu'il s'agisse d'un centre pluriel, comme l'a fait Macron en France. Mais cet espace existe déjà et sera déterminant lors de la prochaine législature. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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02/12/2021
L’ancien chancelier conservateur autrichien Sebastian Kurz annonce son retrait de la vie politique.
Autriche. L’ancien chancelier conservateur Sebastian Kurz (ÖVP) annonce son retrait de la vie politique.
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