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21/07/2020

"Arrêtons le business de l'immigration clandestine. Blocus naval immédiat."

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Italie.

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"Arrêtons le business de l'immigration clandestine. Blocus naval immédiat."

"L’accord trouvé au Conseil européen sur le Recovery fund à hauteur de 750 milliards."

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Italie. Revue de presse.

Les télévisions et les médias en ligne annoncent, de même que la plupart des quotidiens, « l’accord trouvé dans la nuit par les leaders au Conseil européen sur le Recovery fund à hauteur de 750 milliards » soulignant la satisfaction exprimée par le président du Conseil italien - « Conte : avec 209 milliards nous pouvons faire repartir l’Italie » - « Conte : c’est le meilleur accord possible (Corriere.it, Repubblica.it), « Italie : 200 milliards du fonds européen » - Conte exulte : les fonds du MES ne seront plus nécessaires. Entretien avec Renzi : ‘’nous sommes en train de battre les souverainistes’’ » (Stampa), « Plus de fonds, moins de vétos : l’accord est là » (Messaggero), « Conte ramène à la maison 36 milliards en plus » (Fatto).

ARTICLE, La Repubblica, T. Ciriaco, « Conte crie victoire mais il faut rapidement des ressources. Zingaretti demande le MES » : « ‘’Un succès absolu’’ selon le président du Conseil italien Conte et sa délégation, l’accord obtenu au sein du Conseil européen contient des chiffres très positifs pour l’Italie, qui confirme les milliards non remboursables déjà prévus par le projet ordinaire et gagne 39 milliards supplémentaires pour des prêts à des taux très avantageux. Dans le paquet de mesures proposé par le président du Conseil européen, Charles Michel, seulement un problème persiste : les délais pour obtenir les fonds, qui pourraient en ce sens arriver à Rome seulement au cours des neuf prochains mois. Pour repérer les ressources nécessaires au sauvetage d’une économie massacrée, les représentants de Pd et d’Italia Viva soutiennent la nécessité de recourir immédiatement au MES. Conte pense au contraire à une solution alternative, se passant du fonds de sauvetage, pour lui de moins en moins rentable ».

ARTICLE, Corriere della Sera, F. Fubini, « Combien d’argent entrera (vraiment) dans les caisses des Italiens » : « La partie d’aides non remboursables diminue d’environ 50 milliards mais pour l’Italie c’est une surprise : les fonds à sa disposition peuvent passer de 173 milliards d’euros, selon la proposition de la Commission européenne, à 209 milliards, dont 81,4 sous la forme de transferts directs de budget et 127 en tant que prêts. Ce sont ces derniers à augmenter notablement, tandis que les aides diminuent légèrement. L’augmentation potentielle s’explique parce que dans le compromis une partie des aides est partagée sur la base de la progression de l’économie pendant les années 2020 et 2021. Les prévisions de la Commission sont aussi confirmées : au cours des deux prochaines années, l’Italie aura la performance la plus dramatique parmi tous les pays de l’Union. Le fonds de relance, que le gouvernement ne peut pas refuser, nécessite de réformes précises, que le MES au contraire, de plus en plus refusé par l’Italie, n’exigerait pas. »

COMMENTAIRE, Corriere della Sera, M. Franco : « Si le destin du gouvernement reste suspendu à la négociation » : « Mark Rutte, Premier ministre hollandais, n'est pas le seul à jouer le jeu européen en vue des élections. Pour tous les leaders réunis à Bruxelles, ces quatre jours de sommet sont une extension de la politique intérieure ainsi que la police d'assurance envers leurs Parlements et l'opinion publique. Personne ne peut se permettre de sortir de ces négociations comme un perdant et Giuseppe Conte est le premier à le savoir. Ce compromis lui permettrait de revendiquer un tournant : pour la première fois, l'Europe " socialise " la dette. Depuis juin 2018 jusqu'à aujourd'hui, le président du Conseil a cherché à être accrédité en tant que garant dans les relations entre l'Italie, la Commission UE et la BCE et à donner également un soutien aux gouvernements alliés. L’opposition de pays tels que les Pays-Bas n'est pas seulement à l'égard de l'Italie mais surtout de l'Allemagne et de son choix d'un axe avec la France. La survie de Conte est liée à un résultat tangible sur les aides financières à distribuer pour l'urgence coronavirus et avoir trouvé un accord signifie se représenter en tant qu'interlocuteur des institutions continentales, apaiser les tensions avec l'opposition et repousser le fantôme d'une coalition élargie avec un président du Conseil diffèrent, en essayant de projeter l'exécutif au-delà de 2020. Sa détermination est née aussi de cette conscience même si les variables sont nombreuses et très lourdes, à partir des élections régionales de septembre, un défi difficile pour la majorité. La crise économique actuelle va peser aussi sur cette situation et il sera donc très important de connaître le montant des fonds alloués à l'Italie, mais surtout le moment où ils arriveront. La question du recours au MES pour soutenir la santé est, pour le moment, reporté dans le but d'éviter de diviser le M5S et la majorité. Le soutien de Forza Italia est connu et hier Giorgia Meloni, leader de Frères d’Italie a, elle aussi, déclaré que " si Conte défend les intérêts du peuple italien, il nous trouvera à ses côtés ". Elle a donc été plus ouverte que Matteo Salvini, peut-être juste pour se donner un rôle plus indépendant par rapport au leader de la Ligue, prisonnier d'une dérive de plus en plus anti-européenne ».

ENTRETIEN, La Stampa, de Matteo Renzi, leader d'Italia Viva: « " Blitz anti-majoritaire de PD et M5S, ainsi ils nous poussent au grand centre " » : «" L'accord trouvé dans la nuit par les leaders européens est un bon compromis et Conte a eu le soutien de tout le pays. Je suis très satisfait, nous sommes en train de battre les souverainistes mais le vrai pari est de savoir comment tout cet argent sera dépensé. Je continue de penser que le MES est utile, si l'Europe a montré qu'elle est présente il faut alors accepter le MES avec la même philosophie, conscients qu'il sera utilisé pour les dépenses sanitaires. Il faut commencer à travailler sur les infrastructures, sur la relance des chantiers, de la numérisation et des hôpitaux. Il faut arrêter les polémiques absurdes. Maintenant, la véritable priorité est celle de donner un nouvel espoir aux personnes. Nous sommes pour la loi des maires mais parler aux citoyens de la loi électorale en ce moment, alors que le gouvernement se bat pour obtenir les milliards de l'Europe, est absurde. Il faut surmonter les difficultés et soutenir le gouvernement sans ouvrir une discussion sur le vote. Il y a beaucoup de questions à affronter maintenant, cette phase est très compliquée et je préfère parler de travail et non pas de circonscriptions électorales. Italia Viva est décisive pour le centre gauche et elle le prouvera avec ses voix lors des prochaines élections, en démentant les sondages "».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

20/07/2020

Tino Chrupalla dénonce les violences survenues à Francfort-sur-le-Main.

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Allemagne. Le co-président de l’AfD Tino Chrupalla dénonce les violences survenues à Francfort-sur-le-Main, qui ont conduit à l’arrestation de 39 personnes, parmi lesquelles les individus d’origine étrangères sont surreprésentés, comme l’a indiqué le chef de la police de Francfort :

https://www.sudouest.fr/2020/07/19/video-allemagne-une-fe...

Fin 2019, l'AfD comptait 34.751 membres.

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Allemagne.

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"Évolution du nombre de membres 2018-2019."

SPD : sociaux-démocrates

CDU : démocrates-chrétiens

CSU : sociaux-chrétiens

Grüne : écologistes

FDP : libéraux

die Linke : post-communistes

die Partei : anti-système satirique

AfD : patriotes

Sommet européen : Orban accuse les Pays-Bas de vouloir "punir" la Hongrie.

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Hongrie, Pays-Bas, Union Européenne. Le Premier ministre hongrois Viktor Orban accuse les Pays-Bas de vouloir « punir » la Hongrie :

https://www.levif.be/actualite/europe/sommet-europeen-orb...

"Il suffit d’un Rutte pour tuer l’Europe."

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Italie. Revue de presse.

Le Conseil Européen, et notamment les négociations « à outrance » sur les aides communautaires face à la crise sanitaire et économique, domine les gros titres des médias italiens. La presse nationale relève dans l’ensemble une Europe « divisée » (Repubblica) et un accord au rabais pénalisant notamment l’Italie. Selon le Sole, la résistance des pays « frugaux », notamment des Pays-Bas, s’expliquerait par une volonté de « briser l’axe franco-allemand », le Recovery Fund cachant une  « véritable réforme structurelle dans le processus d’intégration par le biais d’émission conjointe de dette »  : «  Négociations pour l’accord dans un climat de soupçon » - ‘’Conte prévient Rutte : ‘’tu seras responsable des spéculations en bourse’’ (Corriere della Sera), « L’Europe divisée » - ‘’Troisième jour de confrontation. La dernière tranchée italienne : 70 milliards à fonds perdu’’ (La Repubblica), « L’Europe joue son va-tout »- ‘’Conte attaque Rutte : ne dépasse pas la limite’’ (La Stampa), « Sommet européen, bras-de-fer sur les crédits à fonds perdu » (Sole 24 Ore), « L’Europe malade d’égoïsme » (Il Mattino), « Il suffit d’un Rutte pour tuer l’Europe » (Fatto Quotidiano), « Beaucoup d’impôt et pas d’Europe » - ‘’Pas d’entente après trois jours et le gouvernement décide de ne pas reporter les impôts’’ (Il Giornale).

ARTICLE, La Repubblica, A. D’Argenio, « Aides de l’UE. Tous contre les pays frugaux » : « Après trois jours de discussions, les Etats européens essaient de clore aujourd’hui l’entente pour la répartition du Fonds de relance. Les pays frugaux, représentés par Suède, Autriche, Pays-Bas et Danemark auxquels s’ajoute la Finlande, ont déjà obtenu une réduction de 100 milliards par rapport aux 500 milliards prévus initialement pour les aides non remboursables mais ils persistent pour obtenir une ultérieure réduction, afin d’atteindre 350 milliards d’aides et 350 milliards de prêts. Les représentants des pays du Sud, soutenus par la Chancelière allemande et le Président français, ont fait front commun, imposant de ne pas descendre sous le seuil des 400 milliards pour les aides directes, seule garantie pour préserver les plans de réformes pour la transition écologique et la numérisation. Le président du Conseil européen, Charles Michel, a mis alors sur la table une nouvelle ébauche de compromis : 400 milliards pour les aides et 350 pour les prêts, même si le point d’arrêt pourrait coïncider avec 360-370 milliards pour les deux composantes. La présidente de la BCE, Christine Lagarde, a préparé les marchés au pire des scénarios et a souligné : ‘’Il vaut mieux parvenir à un accord ambitieux, même si cela nécessite plus de temps’’ ».

ARTICLE, Sole 24 Ore I. Bufacchi « La colère de Merkel et la solidarité qui risque de s’égarer » : « A. Merkel a expliqué à nouveau le concept-clé de la proposition franco-allemande du 18 mai dernier ‘’évitons que les dettes nationales ne montent trop rapidement dans les pays les plus frappés par la crise du coronavirus’’. L’échec serait, pour elle, une défaite personnelle. Si elle a réussi à convaincre l’aile droite de son parti et de la CSU bavaroise, cela ne lui a pas encore réussi à Bruxelles ».

ANALYSE, Sole 24 Ore A. Geroni « L’axe franco-allemand dans le collimateur des Pays-Bas » : « En réalité, le Premier ministre hollandais a dans son collimateur l’axe franco-allemand, créateur d’un plan de sauvetage de l’Europe qui est quelque chose de bien plus important car il ouvre à des changements structurels dans le processus d’intégration par le biais d’un émission conjointe de dette sou le parapluie de la Commission. Nous sommes proches de l’idée d’une Europe de responsabilités partasgées, y compris des risques, et de solidarité à l’égard des pays les plus frappés par la pandémie ».

EDITORIAL, La Repubblica, d’Ezio Mauro « L’Europe et les nouveaux nationalismes » : « Plus qu’un problème économique ou financier, le Conseil des Chefs d’Etat et de gouvernement affronte un problème d’autorité tout à fait nouveau. C’est un nouveau nationalisme non souverainiste mais électoral qui est en train d’émerger, qui enlise les Etats en les poussant au nom du consensus des respectifs électorats à récupérer du pouvoir à l’égard de la Commission et de la Banque Centrale Européenne ».

COULISSES, La Repubblica, T. Ciriaco, « La tranchée de Conte pour l’Italie. 70 milliards non remboursables. Et il accuse Rutte : « C’est ta faute » : « Malgré les confrontations et les différences de ton, les négociations au sein du Conseil européen se poursuivent, leur renvoi pouvant engendrer des effets néfastes pour les marchés. Selon les données fournies, à travers les programmes pour le fonds de relance l’Italie sauverait au moins 70 milliards de ressources non remboursables et 110-120 de prêts. Dans le pays, les chefs de délégation s’efforcent de donner l’image d’un Etat compact. Si Dario Franceschini (Pd) et Luigi Di Maio (M5S) déclarent leur soutien total à l’action de Conte, le signal le plus intéressant provient de Silvio Berlusconi (Forza Italia), qui a donné mandat de proclamer une trêve publique avec le gouvernement. Le président du Conseil évalue alors la possibilité de profiter de cet éventuel accord pour activer le MES avant septembre, afin d’obtenir les 37 milliards utiles pour remodeler la santé ».

ARTICLE, Le Repubblica, I. Diamanti, « Le consensus de Palais Chigi. Conte est en tête du classement des 25 dernières années » : « Giuseppe Conte a fait face à des polémiques et à des difficultés pendant le sommet de l’UE en cours à Bruxelles. Cependant, il est très apprécié en Italie. Selon un sondage conduit par Demos au fil des dernières semaines, Conte est considéré « le meilleur président du Conseil de 1994 jusqu’à nos jours, remportant la première place devant Silvio Berlusconi et Romano Prodi. La popularité de Conte serait dictée par le rôle de référence qu’il a joué pendant l’émergence du Coronavirus, se mettant en ce sens à la tête d’un « gouvernement d’urgence ». »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

19/07/2020

Le Vlaams Belang s'oppose à d'éventuels paiements réparatoires au Congo.

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Belgique. Le Vlaams Belang s'oppose à des paiements réparatoires au Congo, ancienne colonie belge.

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"Pas de paiements réparatoires au Congo."

Pays-Bas : les patriotes donnés ensemble à 30 sièges sur 150.

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Pays-Bas. Le sondage Maurice de Hond de ce 19 juillet 2020 donne le PVV de Geert Wilders à 18 sièges sur 150 et le Forum voor Democratie de Thierry Baudet à 12 sièges sur 150.

Matteo Salvini rencontre aussi ce dimanche des citoyens.

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Italie. Ce dimanche 19 juillet 2020, Matteo Salvini rencontre des compatriotes.

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Matteo Salvini à Ceglie Messapica

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Matteo Salvini à Fasano

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Matteo Salvini à Alberobello

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18/07/2020

Höcke et Kalbitz à Altenbourg.

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Allemagne. Ce jeudi 16 juillet 2020, une manifestation réunissant, à Altenburg (Altenbourg) en Thuringe, sous la devise « L’union fait la force », le numéro un et le numéro deux de l’aile nationaliste de l’AfD, respectivement Björn Höcke et Andreas Kalbitz, a attiré 400 manifestants et 1.200 contre-manifestants.

Höcke a réclamé la fin des mesures coercitives contre le coronavirus et a dénoncé le fait que les autorités ont construit un règne de la peur et refusent de traiter les vrais problèmes qui se posent à la société. Kalbitz a dénoncé les inepties autour du genre.

L'AfD donnée à 7 % dans l'Ouest de l'Allemagne.

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Allemagne. Ouest. Un sondage Forsa donne, dans l 'Ouest de l'Allemagne, les démocrates-chrétiens de la CDU et les sociaux-chrétiens de la CSU ensemble à 39 %, les écologistes à 20 %, les sociaux-démocrates du SPD à 14 %, les patriotes de l'AfD à 7 %, les libéraux du FDP à 7 %, les post-communistes de die Linke à 6 %.

L'AfD donnée à 19 % dans l'Est de l'Allemagne.

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Allemagne. Est. Un sondage Forsa donne, dans l'Est de l'Allemagne, les démocrates-chrétiens de la CDU à 33 %, les patriotes de l'AfD à 19 %, les post-communistes de die Linke à 16 %, les sociaux-démocrates du SPD à 13 %, les écologistes à 9 % et les libéraux du FDP à 4 %.

Le ministre-président post-communiste de Thuringe fait un doigt d’honneur à un député de l'AfD.

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Allemagne. Thuringe. Le ministre-président post-communiste Bodo Ramelow a fait un doigt d’honneur au député du Parlement de Thuringe de l’AfD Stefan Möller et l’a qualifié d’« ignoble salaud » en réaction au fait que Möller a mis en avant que Ramelow était autrefois sous observation de l’Office de protection de la Constitution.

Italie : Frères d'Italie poursuit sa croissance au détriment de la Ligue.

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Italie. Un sondage Tecnè donne la Ligue à 24,9 % et Frères d'Italie à 16 %.

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Ligue : patriotes

Parti Démocrate : centre-gauche

Frères d'Italie : patriotes

M5S : anti-système

Forza Italia : conservateurs

17/07/2020

Hongrie : le Fidesz perd sa « super-majorité » au Parlement.

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Hongrie. Le Fidesz perd sa « super-majorité » au Parlement :

https://visegradpost.com/fr/2020/07/16/hongrie-le-fidesz-...

Deux N-VA gouverneurs de province.

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Belgique. Le N-VA Jos Lantmeeters devient gouverneur de la province du Limbourg et le N-VA Jan Spooren gouverneur de la province du Brabant flamand.

Barbara Pas (Vlaams Belang) dénonce la politisation de ces nominations.

"L’argent de la Ligue, soupçons sur les fonds noirs."

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Italie. Revue de presse.

Le Conseil Européen, et notamment la rencontre, hier à Bruxelles, entre G. Conte et le Président de la République fait les gros titres des médias. Les observateurs relèvent dans l’ensemble une rencontre « positive » ainsi qu’un « pacte » entre Rome et Paris pour demander des temps courts sur l’approbation des aides européennes, en raison aussi de possibles spéculations financières : « Bras-de-fer Italie-Pays-Bas » -‘’Rutte veut le droit de véto. Pour Conte cela va contre les règles européennes. Axe avec Macron’’ (Corriere della Sera), « Aides, le cas italien divise l’UE » - ‘’Conte cherche le soutien de Macron et attaque les Pays-Bas : ils ne respectent pas les règles’’ (La Repubblica), «  Conte : ‘’Les 750 milliards sont intouchables’’ » - ‘’L’Italie et la France préviennent les pays frugaux’’ (La Stampa) « Recovery Fun, la BCE fait pression sur les réformes » (Sole 24 Ore), « Recovery Fund, le mur des Pays-Bas et de la Hongrie. Le plan B des Allemands » - ‘’ Conte chez Macron pour éviter un report’’ (Il Messaggero, Il Mattino).

L’ouverture des journaux télévisés est consacrée au Conseil Européen pour l’adoption des aides économique face à l’épidémie, à la légère hausse des contagions en Italie, ainsi qu’à la fermeture des frontières italiennes aux pays des Balkans, et aux intempéries.

ARTICLE, Sole 24 Ore G. Pelosi « Stratégies et veille de consultations : Conte rencontre Macron » : « ‘’Aidons-nous réciproquement pour faire adopter rapidement le Recovery Fund, c’est le moment de décider’’. Cette phrase peut résumer la demande que le Président du Conseil Conte a adressée hier soir au Président français. Les deux sont les principaux promoteurs de la lettre des Neufs sollicitant tous les Etats membres à une réponse efficace et rapide pour relancer l’économie européenne suite à l’épidémie. Le timing du Recovery Fund unit comme jamais auparavant Conte et Macron en ce moment particulier. Si Conte a un besoin absolu pour les dynamiques internes de rentrer à Rome avec un accord, Macron aussi est conscient du fait que son leadership, en partie affaibli, pourrait subir un lourd contrecoup en cas d’absence d’entente ».

ARTICLE, La Stampa M. Bresolin et I. Lombardo « Conte et Macron : c’est l’avenir de l’UE qui est en jeu » : « G. Conte vient de sortir du bilatéral avec Emmanuel Macron. Le pacte avec lui semble tenir : ‘’les 750 milliards sont intouchables’’ promet le Président français. Et Conte le répète avec des mots qu’il prononcera aujourd’hui ‘’Nous devons dire non à l’Europe des vétos, où chacun peut démonter morceau par morceau l’accord’’. Pour Conte, au sujet des « pays frugaux » ‘’s’ils cèdent sur quelque chose qui nous intéresse, nous pouvons céder nous aussi sur quelque chose qui est important pour eux’’. ‘’Nous devons parvenir à boucler d’ici cette fin de semaine’’ est-il convenu avec Macron ».

ARTICLE, Corriere della Sera L. Salvia « La réaction de Conte qui rencontre Macron : ‘’il faut faire vite’’» : « Le Président du Conseil vient de terminer son entrevue avec le Président français Emmanuel Macron à la veille du Conseil Européen. L’Italie et la France se retrouvent sur la même ligne mais il n’est pas dit que cela suffise. Les requêtes que l’Italie mettra sur la table aujourd’hui, avec le soutien d’Emmanuel Macron, ne sont pas partagées par tous. Sur le montant, l’Italie est pour ne pas céder d’un millimètre. Et puis il y a les conditionnalités, un terme vague qui peut aller d’un contrôle général des politiques où investir (l’hypothèse soutenue par l’Italie) jusqu’à une contrepartie en réformes structurelles qui est celle évoquée par Lagarde. L’Italie fait pression pour que le contrôle reste dans les mains de la Commission. Car le risque que cela passe dans les mains du Conseil pourrait déclencher un mécanisme de vétos pouvant nous nuire ».

ARTICLE, Repubblica T. Ciriaco et A. Ginori « Le pacte de Conte avec Macron : bouclier rapidement et éviter la réaction des marchés » : « La rencontre avec le Président Macron se passe bien. Conte reconnait que l’Italie se présente au Conseil dans l’espoir d’une « rencontre fructueuse » mais il ne cache pas vouloir rapidement l’adoption du Recovery Fund pour sauver son gouvernement. Il a besoin d’un accord ‘’d’ici quelques jours’’ a-t-il dit à Macron. ‘’Nous ne pouvons pas permettre aux pays frugaux de démonter morceau par morceau le projet. Nous devons boucler maintenant, sans un report en septembre. Ni l’Italie ni l’Europe pourraient tenir debout. Tout peut sauter’’. Conte soulève ainsi une préoccupation partagée avec le Président français. Le nouveau gouvernement Castex a en projet un plan de relance à hauteur de 100 milliards dont un tiers pourrait être financé par les 40 milliards que le Recovery Fund alloue à la France. L’objectif politique, assure Macron à Conte, est de ‘’faire vite’’. L’avocat promet vouloir ‘’défendre’’ les 750 milliards d’euros du plan européen, notamment les 500 à fonds perdu promus par l’Allemagne. Contrairement à Conte, elle soutient le projet de compromis de Charles Michel dans la partie de l’approbation des plans nationaux de la part du Conseil Européen à majorité qualifiée. Sur le mécanisme de la gouvernance, les distances demeurent. Mais sur le front du timing, Conte et Macron se trouve sur la même ligne. Voulant éviter d’exposer l’Italie aux spéculateurs pendant l’été, Conte demande à Macron du ‘’courage’’ pour arriver à un pacte avec une négociation à outrance ‘’il faut un accord ambitieux et il le faut maintenant. Nous ne pouvons pas continuer à rechercher un point de rencontre entre les 27 pays sinon l’Europe est finie’’. Pour Conte, sans un Recovery Fund convainquant, le gouvernement devrait accélérer sur l’activation du plan de sauvetage MES. La majorité a déjà vu une fissure hier au Sénat sur le décret « Relance », adopté à 159 voix, soit une de moins par rapport à ceux nécessaires pour adopter le MES ».

ARTICLE, Il Messaggero, A. Pollio Salimbeni, « Mur des Pays-Bas et de la Hongrie. Ainsi apparaît le plan B de Merkel » : « Aujourd’hui, c’est le jour de la suspense avec l’ouverture du Conseil européen de Bruxelles et une opposition évidente de Hollande et Hongrie par rapport aux autres Etats membres. La première isolée à propos de la gouvernance des opérations contre la crise, la deuxième à l’égard des obligations sur le respect de l’état de droit pour accéder aux fonds européens. Le résultat de la réunion d’aujourd’hui apparaît incertain mais les 27 sont bien conscients qu’ils ne peuvent pas échouer. La chancelière Angela Merkel est alors prête à faire recours à un plan B pour surmonter les éventuelles impasses dans les négociations notamment en matière financière, la grande opposition étant sur le volume des opérations contre la crise : d’un côté, les pays « frugaux » souhaitent réduire la partie des aides ; les pays du Sud, de l’autre, essaient de garder le montant inchangé. La prépondérance des aides par rapport aux prêts pourrait alors résister mais tout dépendra de la médiation sur la gouvernance. »

ARTICLE, Repubblica, S. De Riccardis-L. De Vito, «"s, enquête sur trois consultants » - E. Lauria, « L’été amer de Salvini entre problèmes judiciaires et baisse de popularité » : « Matteo Salvini craint une seule chose : une campagne électorale avec le souffle des magistrats dans son cou. D’être suivi par le spectre de l’enquête de Milan. Dès qu’il a appris l’arrestation du consultant Luca Sostegni, il s’est défendu de le connaître. Il est inquiet de devoir se défendre de nouveaux soupçons sur la gestion administrative de la Ligue sur les financements de son parti. Dans les sondages il est par ailleurs en baisse avec une perte de presque 12 points en un an, des 38% de juillet 2019 aux 26,3 d’il y a deux jours (source Swg) ».

ARTICLE, Il Messaggero, M. Evangelisti : « Le plan du gouvernement : des zones rouges et des tests rapides dans les aéroports » : « L'épidémie de coronavirus n'est pas encore terminée et il est désormais clair que l'hypothèse d'une réduction de la courbe épidémique à zéro est un objectif irréalisable. Les écoles rouvriront également en septembre et nous retournerons dans des lieux fermés où la transmission du virus sera plus facile. Ainsi, le gouvernement italien est en train d'étudier un plan pour des interventions rapides et limitées, comme la création des zones rouges pour les territoires en difficulté et les tampons rapides dans les aéroports pour ceux qui arrivent des pays extra-UE. La propagation du virus est particulièrement préoccupante pour les États avec lesquels nous avons de nombreux échanges, comme Israël et Espagne. Selon Walter Ricciardi, conseiller du ministre de la Santé Speranza, il existe un certain nombre de nouveaux outils de diagnostic qui peuvent être utilisés pour effectuer les contrôles en quelques minutes. Le gouvernement exclut un nouveau confinement généralisé, qui a été utilisé dans une situation exceptionnelle, tandis que d'autres solutions peuvent désormais être envisagées pour rendre l'impact de l'automne moins traumatisant et pour réduire autant que possible la courbe des contagions ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

"Nous n’avons pas besoin de plus de migrants, mais de Catalans. Pour une politique nataliste."

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Espagne. Catalogne.

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« Nous n’avons pas besoin de plus de migrants, mais de Catalans. Pour une politique nataliste. »

Matteo Salvini poursuit ses rencontres avec les citoyens.

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16/07/2020

Le Fidesz donné à 52 % et le Jobbik à 7 %.

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Hongrie. Un sondage Závecz, réalisé du 13 au 15 juillet 2020, donne le Fidesz du Premier ministre Viktor Orban à 52 % et le Jobbik à 7%.

Yvan Perrin acquitté.

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Suisse. Yvan Perrin de l'UDC acquitté alors qu'il était poursuivi pour ne pas avoir effacé des commentaires sur Facebook :

https://www.rtn.ch/Scripts/Index.aspx?id=5051904&fbcl...

"Autostrade, Conte fait plier les 5 Etoiles."

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Italie. Revue de presse.

La décision du groupe Atlantia (famille Benetton) de céder sa part dans Autostrade per l’Italia (Aspi), évitant ainsi la révocation des concessions pour l’exploitation des autoroutes fait les gros titres des médias. Les observateurs relèvent l’entrée de l’Etat dans Autostrade par le biais de la Caisse de Dépôts et de Prêts (CDP). Les oppositions dénoncent, pour leur part, le ‘’cadeau’’ du Gouvernement au groupe Atlantia, qui évite la révocation des concessions et qui a vu son action grimper (+25%) à la Bourse de Milan : « Autostrade, le tournant et les doutes » - Benetton promet le pas en arrière, satisfaction de Conte, doutes de Di Maio’’ (Corriere della Sera), « Autostrade, le contrôle passe à la CDP » (La Repubblica), «  Autostrade, De Micheli : ‘’aucune expropriation pour les Benetton’’ »  (La Stampa, Sole 24 Ore), « Autostrade, Conte fait plier les 5 Etoiles » - ‘’ Conte satisfait, les « grillini » mécontents’’ (Il Messaggero, Il Mattino), « Pas d’expropriation » - ‘’L’Etat paiera cher les parts de Benetton’’ (Il Giornale).

ARTICLE, La Repubblica, G. Pons : « Autostrade, le contrôle passe à la CDP qui met quatre milliards » : « L’accord entre le gouvernement Conte et les dirigeants d’Autostrade per l’Italia (Aspi) et Atlantia est enfin conclu. Le gouvernement a donc rejeté l’idée de la révocation des concessions pour l’exploitation des autoroutes et a décidé d’accepter l'offre de dédommagement de 3,4 milliards pour l'effondrement du pont Morandi et la possibilité pour la CDP de devenir un actionnaire de référenceCDP, de propriété publique, aura 33% d'augmentation de capital et la famille Benetton a promis un pas en arrière et descendra au quota de 10 % dans Autostrade. L’accord prévoit aussi une réduction des péages autoroutiers de 5 %. Dans le plan élaboré par le gouvernement, il y aura 14,5 milliards d'investissements et 7 milliards pour l'entretien. La Bourse de Milan a bien accueilli cette décision et a vu les actions du groupe Atlantia grimper à + 25 % ».

ENTRETIEN, Corriere della SeraL. Salvia, de Luigi Di Maio, ministre des Affaires étrangères : « Résultat très positif. J’exclus que le gouvernement puisse tomber. Maintenant il faut baisser les péages » : « Je suis très satisfait du résultat atteint sur l’accord Autostrade. L’Etat a fait l’Etat, il a travaillé pour défendre l’intérêt commun. Maintenant il faut baisser les tarifs autoroutiers et les péages, améliorer notre système d’infrastructures. Avoir menacé la révocation a permis sans doute d’obtenir dans la négociation les conditions pour atteindre le point final : exclure la famille Benetton d’Autostrade. J’exclus qu’un résultat satisfaisant, tel l’accord sur Autostrade, puisse être une raison pour faire tomber le gouvernement ».

ENTRETIEN, La Repubblica, d’Alfonso Bonafede, ministre de la Justice : « "Maintenant le gouvernement est plus uni, aucun remaniement n'est nécessaire" » : «" Les Italiens peuvent être fiers d'un gouvernement qui a atteint un résultat objectivement historique et tout le monde a compris que l'exécutif ne travaille que pour l'intérêt public. Notre but n'était pas la révocation mais plutôt d'amener la famille Benetton à accepter nos conditions. L’Etat entre dans Autostrade par le biais de la Caisse de Dépôts et de Prêts (CDP) qui deviendra l’actionnaire de référence. Nous transformons ainsi ASPI en une société publique avec l'État comme partenaire public important. Le gouvernement est uni et compact et a été capable de prendre des décisions très difficiles à un moment très délicat de la crise du coronavirus. Il est normal qu'il y ait des positions contradictoires et des divergences ; nous sommes unis et nous trouvons toujours une synthèse qui n'est jamais un compromis au rabais ‘’».

EDITORIAL, Corriere della Sera, M. Franco : « Le risque de statisme » : « La question est épineuse mais inévitable : c’est l’Etat ou le statisme qui l’a emporté ? Les réactions de triomphe des 5 Etoiles cachent l’insatisfaction pour le pourcentage de participation qui reste encore dans les mains de la famille Benetton et pour la révocation des concessions évitée sur laquelle ils comptaient. Le Président du Conseil a répondu en disant vouloir voir la substance et en qualifiant tout le reste de ‘’slogans’’, ce qui est un message adressé surtout à l’intérieur du M5S. Quant au ‘’tournant historique’’ évoqué par le Palais Chigi, il est facile d’y voir le soulagement d’avoir clôturé l’un des dossiers que le gouvernement laisse trainer depuis des mois. Reste à savoir s’il s’agit là d’une volonté systématique de récupérer les industries en perte, (une sorte d’assistanat destiné à se heurter aux règles européennes), ou d’une exception qui n’ouvrira pas les portes au statisme ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

15/07/2020

Beatrix von Storch de l’AfD a couvert une partie d'un monument dédié à Karl Marx.

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Allemagne. Beatrix von Storch de l’AfD a couvert une partie du monument dédié à Karl Marx situé à Berlin sur la Strausberger Platz, afin de mettre en avant, en cette époque au cours de laquelle des éléments de gauche s’en prennent aux monuments, le fait que l’icône de la gauche Karl Marx était raciste et antisémite.

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"Autostrade, bras-de-fer au sein du gouvernement."

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Italie. Revue de presse.

L’entente dans la nuit en Conseil des ministres sur les concessions d’exploitation des autoroutes fait les gros titres des médias. Les observateurs relèvent un plan prévoyant la sortie graduelle du groupe Benetton et l’entrée de la Caisse de Dépôts et de Prêts (CDP), qui ouvrirait la voie à une participation de l’Etat. « Autostrade, l’Etat s’invite » (La Repubblica), « Autostrade sera une compagnie publique » - ‘’Entrée de la CDP et les Benetton en minorité » (La Stampa), « Autostrade, bras-de-fer au sein du gouvernement » - ‘’Gualtieri tente la médiation’’ (Corriere della Sera), « Autostrade, la dernière proposition du gouvernement : entrée de la DCP dans le capital » (Sole 24 Ore), « Autostrade, nationalisation et sortie des Benetton d’ici un an » (Il Messaggero).

RETROSCENA (coulisses), La Repubblica, M. Sorgi : « Di Maio défie Conte : ‘’il voulait tout faire sauter’’ » : « Des coupes et des coups de canifs, pour le gouvernement jaune-rouge. A l’Ambassade de France en Italie, hier après-midi, l’on fêtait la prise de la Bastille. Conte marchait lentement d’un salon à l’autre de l’Ambassade. Roberto Gualtieri se repose, épuisé et un peu décoiffé. Plus loin, il y a Luigi Di Maio, Paola De Micheli, Maria Elena Boschi. Ils se sont disputés, tous contre tous, pendant une journée entière. Pendant que le soleil se couche sur le Palais, Conte discute aimablement avec Boschi et Gualtieri : les mêmes avec qui il s’était accroché sur l’imbroglio d’Autostrade, semblent avoir fait la paix. Pas Di Maio. Il dit en privé ‘’l’accord sur les Benetton était déjà conclu, puis Conte a tout changé parce que, assure-t-il avec les siens, il serait en train de faire une campagne électorale au sein du M5S. Entretemps les 5 Etoiles veulent la tête de la ministre des Transports De Micheli (PD) après la lettre qu’elle a adressée à Conte pour le prévenir des coûts exorbitant en cas de révocation de la concession à Atlantia ».

IL RETROSCENA (Coulisses), La Stampa, J. Iacoboni, « Contacts avec le président du Conseil. Ainsi Letta organise les nouveaux responsables » : « Ce sont des jours décisifs pour la majorité qui soutient le président du Conseil, impliqué dans les discussions sur les dossiers Autostrade et le MES. En vertu des rumeurs d’un possible remaniement de gouvernement, Forza Italia essaie d’emprunter la voie de la médiation avec les représentants de la majorité : pas directement à travers son leader, Silvio Berlusconi, mais grâce à Gianni Letta, son bras droit, qui a déjà eu différentes occasions d’échanger directement avec le président Conte et le ministre des Affaires étrangères Luigi Di Maio ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

14/07/2020

"Les mesures du gouvernement à l'époque du coronavirus."

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Italie.

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"Les mesures du gouvernement à l'époque du coronavirus. Italiens : distanciation sociale, 2 mois de lockdown, obligation du port du masque, amendes élevées pour les contrevenants. Clandestins : ports ouverts pour tous, aussi pour les positifs au virus et des milliers de débarquements en quelques mois ! Trouver la différence !"