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28/03/2010

Congrès européen de pro NRW à Gelsenkirchen.

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Allemagne. Lors du congrès organisé ce samedi par pro NRW (Pour la Rhénanie du Nord – Westphalie) au château Horst à Gelsenkirchen, en Rhénanie du Nord – Westphalie, les participants ont voté à l’unanimité la demande d'introduction d’une initiative populaire en vue de l’interdiction de la construction de minarets.

De plus, les représentants de la direction de pro NRW, du Vlaams Belang, du FPÖ ainsi que d’autres partis patriotiques d’Europe, ont décidé d’organiser, dés que l’Union Européenne aura introduit les mesures permettant de le faire, une consultation populaire au sein des pays de l’Union européenne en vue de l’interdiction de la construction de minarets. Une conférence sera organisée à Bruxelles. Les forces patriotiques seront ainsi les premières à utiliser ce nouveau moyen de la démocratie directe, prévu par le Traité de Lisbonne, sur la scène européenne.

 

Le congrès a réuni 300 délégués et invités. Le Président de pro NRW Markus Beisicht a été acclamé. La conférence de presse qui a eu lieu en marge de la manifestation a attiré un fort intérêt des médias.

26/03/2010

« Duel en Lombardie : derby PdL-Ligue à qui aura Milan ».

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« Pour Berlusconi, une veillée d’élections troublée par Fini et la Ligue » (Amedeo La Mattina, La Stampa) : « Au PdL monte la crainte que Berlusconi ne s’aligne trop sur Bossi, et qu’après les régionales il ne lui laisse l’Agriculture puis, en 2011, la mairie de Milan. L’histoire du ‘dépassement’ par la Ligue au Nord rend les troupes nerveuses, même si le Cavaliere continue d’en écarter l’éventualité, ajoutant : ‘une Ligue satisfaite sert la stabilité du gouvernement’. Au PdL, on juge humiliantes certaines postures de Bossi, dont on voudrait éviter que Berlusconi ne finisse par devenir l’otage. Veille de scrutin lourde d’attentes et de soucis pour les hommes du PdL. Le résultat influera sur les relations épineuses avec Fini – que Berlusconi, depuis Bruxelles, minimise : ‘je n’ai pas eu l’occasion de parler avec Fini ; pour moi, il n’y a pas de dissension, je n’ai jamais rien dit de négatif’. Mais il a aussi rappelé qu’il y avait des règles à respecter, dont celle de laisser le peuple choisir quel présidentialisme il veut (l’idée des ‘kiosques’) et dit en coulisses : ‘Gianfranco ne s’est donc pas rendu compte que nous étions en campagne ?’ En fait, ils ne se sont pas parlé ces derniers jours, ‘question de fierté’, dit un homme du Cavaliere : sur les réformes, l’un attend que l’autre appelle. Selon Alfano, la majorité ne perdra pas de temps en palabres interminables sur la réforme de la justice. Maintenant, le problème de Berlusconi est que le résultat ne compromette pas son leadership. Optimiste en public, il se montre prudent en privé. Il a encore attaqué l’UdC, alliée selon les régions à droite ou à gauche, jugeant que ses listes devaient ‘être isolées et ne pas peser dans les conseils régionaux’. Même celles alliées au PdL ? »
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« Berlusconi : ‘Fini ? C’est le parti qui décide’ » (Gerardo Pelosi, Il Sole 24 Ore) :

« Le seul mot commun utilisé par Berlusconi et Fini à la veille des régionales est ‘optimisme’. Pour Fini, cependant, cet optimisme est circonscrit à la victoire de Polverini dans le Latium. A Bruxelles, en marge du Conseil européen, Berlusconi s’exprime clairement, et c’est un message pour le cofondateur du PdL : ‘dans un grand parti, on peut discuter de tout mais ensuite c’est la majorité qui décide’. Fini, de son côté, à un meeting de soutien à R. Polverini, a lancé une invitation à calmer le jeu : ‘le scrutin de dimanche est à bien des égards politique mais n’oublions pas qu’il servira uniquement à gouverner une région et non le monde entier’. Selon lui, même si ‘tout est toujours ramené à des élections générales’, ‘il faut se rappeler que l’on vote pour le gouvernement d’une région’. Fini s’est d’autre part félicité que G. Letta ait apprécié son appel à éviter ‘une approche propagandiste’ sur les réformes constitutionnelles. Par ailleurs, un petit ‘roman policier’ a animé la journée : un communiqué, qui devait partir de Bruxelles mais a finalement été publié depuis le Palais Chigi, où Berlusconi dit que ‘voter UdC signifie seulement favoriser la gauche’, avant qu’un rectificatif ne soit publié. Pour Casini, toutefois, Berlusconi ‘est à mi chemin entre le désespoir et la confusion’. »

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« Maroni : ‘pour nous, gagner c’est gouverner le Piémont et la Vénétie’ » (Lorenzo Salvia, Corriere della Sera) :

« Invité de l’émission de Mentana sur la web-tv du Corriere, R. Maroni, ministre de l’Intérieur, estime essentiels au centre droit le Piémont et la Vénétie, où sont en lice deux candidats de la Ligue : L. Zaia et R. Cota. La Ligue dépasserait-elle le PdL au Nord ? L’objectif lui semble plausible – ‘dans de nombreuses régions, nous sommes déjà le premier parti’, mais cela n’aurait pas, à ses yeux, d’incidence sur la majorité : ‘il n’y aura pas de répercussions, quoi qu’il advienne, sur les relations au sein du gouvernement ; une victoire de la Ligue servirait juste à convaincre nos alliés d’aller plus vite sur la réforme de l’Etat’. Sur l’hypothèse d’un intérêt de la Ligue pour la mairie de Milan : ‘je ne pense qu’au lendemain, il reste 12 mois avant les municipales’. Sur les écoutes : ‘elles sont utiles et doivent se poursuivre dans la lutte contre la mafia, mais en veillant à éviter tout abus’. »

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« Duel en Lombardie : derby PdL-Ligue à qui aura Milan » (Elisabetta Soglio, Corriere Della Sera) :

« Les parieurs lombards s’intéressent plus au duel PdL-Ligue qu’aux chances du centre-gauche. L’attention se focalise sur les résultats à Milan, où les municipales approchent. Pour Bossi : ‘si nous faisons le plein de voix, Berlusconi nous donnera la mairie’. Et tous les responsables en visite à Milan sont confrontés à cet enjeu. Du chef-lieu lombard, PF Casini a répété ‘l’UDC est l’alternative à la Ligue’. M. Lupi, responsable national PdL, rappelant la chute électorale qui a suivi les 4 ans de gestion de Formentini, Ligue, élu à l’époque de Tangentopoli, a remarqué ‘on a déjà eu un maire léghiste, ça nous a suffi’. La Ligue, qui a obtenu 11,8% aux dernières européennes et près de 13% aux provinciales, veut dépasser ce résultat ; elle a intensifié sa présence sur le territoire, en ouvrant de nombreux sièges, dans les banlieues et aux alentours. La Ligue ne vise pas que la Lombardie. Pour Formigoni, président sortant, les électeurs centre droit sont déçus par la gestion Moratti ; ce n’est un hasard si, lors de l’ouverture de la campagne, il a jugé ‘critique’ la situation de Milan – où l’écart par rapport à son concurrent principal est moitié moindre que dans le reste de la région. Un débat à distance, chiffres en main, avec L. Moratti a démontré que tout compte fait les dernières provinciales ne s’étaient pas si mal passées. Le règlement de comptes commence lundi. »

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(Traduction : ambassade de France à Rome.)

Première journée de la fin de semaine de résistance européenne en Rhénanie du Nord – Westphalie.

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Allemagne. Ce vendredi, six manifestations ont eu lieu afin de sensibiliser l’opinion publique.

9.25 : les participants convergent vers Oberhausen afin de se retrouver à 10h devant le Centre Camii et la Mosquée bleue.

10.30 : manifestation à Herten devant la Mosquée bleue.

 

10.40 : Manfred Rouhs ouvre la manifestation devant 70 auditeurs à Herten. Werner Neubauer, député national autrichien (FPÖ), s’apprête à prendre la parole. Il est le président de l’association « SOS occident. »

11.00 : à Oberhausen, le Conseiller municipal de Cologne Bernd M. Schöppe dirige la manifestation qui réuni 80 personnes.

11.30 : la réunion à Herten se termine. Plusieurs discours y ont été prononcés. Les représentants des médias sont présents.

11.55 : à Mülheim, une délégation flamande dirigée par Filip Dewinter rejoint des partisans de pro-NRW. Ils se rendent devant la mosquée Fatih.

12.05 : le “Rheinische Post” écrit sur son site Internet que la police de Duisbourg s’attend ce dimanche à la plus grande intervention de son histoire. Plus de 30 policiers avec des chiens devraient protéger la manifestation.

12.20 : les manifestations à Gelsenkirchen et à Mülheim ont débuté. C’est un succès.

13.45 : les deux manifestations à Gelsenkirchen  et Mülheim se terminent.

14.40 : à Bochum, le convoi de pro-NRW doit être détourné à cause d’une contre-manifestation. La manifestaion est ouverte offciellement à Bochum.

15.20 : à Essen-Katernberg, la manifestation a débuté.

15.55 : les manifestations à Bochum et Essen se terminent.

Le bilan de la journée est clair : c’est la victoire de la démocratie, de l’État de droit et de la liberté d’expression, qui ont été défendus de manière exemplaire par pro NRW et la police.

Débat de l'Alliance France Europe Russie.

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L'Alliance France Europe Russie a organisé un débat ce 20 mars 2010 : http://www.alliance-france-europe-russie.org/n191-retour-...
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L'auteur du livre "La nouvelle Europe, Paris-Berlin-Moscou" était présent.

« parce que nous défendons les Flamands ».

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Le slogan « parce que nous défendons les Flamands » se trouve au centre de la nouvelle campagne qui vise à placer le Vlaams Belang, de nouveau, au centre du débat politique.  Les thèmes principaux du partis sont toujours d’actualité : réforme de l’État, droit à la sécurité, rejet de l’islamisation.

 

Dans le haut de l’affiche se trouvent trois cases écrite dans 3 langues différentes : français, arabe et chinois. Le français représente la problématique belge. L’arabe est utilisé afin de montrer l’opposition du parti à l’islamisation de la société et son engagement en vue de la défense de notre identité. Le chinois sert à dénoncer les délocalisations d’entreprises vers les pays à bas salaires. Le slogan « Parce que nous défendons les Flamands » permet au parti de se poser en défenseur du peuple.


Le 18 avril 2010, le parti organise un congrès à Anvers.

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"Parce que nous défendons les Flamands."
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Le parti se positionne en tant que social et populaire, qui veut encrer l'argent, le capital et les emplois flamands en Flandre. La Flandre doit avoir une fiscalité, des coûts salariaux, une sécurité sociale et une politique de l'emploi qui lui sont propres.

L'UDC rejette l'accord de double imposition avec l'Allemagne.

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Voici un communiqué de l'UDC, premier parti du pays, 29% des voix :

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L'UDC est surprise et même consternée de voir le conseiller fédéral Merz et le ministre allemand des finances Schäuble se mettre d'accord sur un accord de double imposition. Aussi longtemps que la responsabilité des autorités allemandes dans l'affaire du vol de données bancaires suisses n'est pas tirée au clair et que l'Allemagne ne s'engage pas dans l'accord à renoncer à utiliser des données bancaires volées, il est hors de question pour l'UDC de signer un traité de double imposition avec ce pays. L'UDC rejettera de toute manière un accord qui élimine le principe de la double incrimination et qui ne fait pas de distinction entre la soustraction fiscale et la fraude fiscale.

Geert Wilders annule son voyage à Los Angeles le 1 mai 2010.

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Geert Wilders, le chef du PVV, ne participera pas à la première du film qui lui est consacré. Martin Mawyer, le dirigeant du CAN (Christian Action Network), une des organisations impliquées dans la réalisation du film, aurait tenu dans les années 90 des propos contre les homosexuels.

 

Martin Mawyer nie avoir tenu de tels propos.

 

Geert Wilders ne veut pas que sa présence à la présentation du film laisse penser qu’il approuve de tels propos. Il n’est pas en mesure de déterminer si ces propos ont été tenus ou pas. Il ne sait qui il doit croire et annule sa présence à cette première.

Manipulation de la télévision d’État autrichienne contre le président du FPÖ (VII).

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Le FPÖ pense faire accompagner les équipes de l’ORF, la radiotélévision publique autrichienne, qui filment lors de manifestations organisées par le FPÖ, d’une équipe de télévision du FPÖ. Cela afin d’éviter des manipulations de la part de l’ORF.

Manifestation contre Barbara Rosenkranz à Vienne.

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Une manifestation d’opposition à la candidate du FPÖ à l’élection présidentielle autrichienne, Barbara Rosenkranz, organisée à Vienne a réuni plusieurs milliers de personnes. Dans les sondages, Barbara Rosenkranz est créditée de 20% des voix.
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Manifestation à Vienne contre la candidate du FPÖ à l'élection présidentielle.

25/03/2010

L'UDC Suisse rejette la prolongation de la durée de fonction du président de la Confédération.

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Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse, 29 % des voix :
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L'UDC rejette la prolongation de la durée de fonction du président de la Confédération, tout comme le projet d'engager des secrétaires d'Etat supplémentaires. Ces changements ne résolvent en rien les problèmes de conduite stratégique que rencontre le gouvernement actuel. Bien au contraire, la prolongation de la durée de fonction du président créerait un déséquilibre au sein du Conseil fédéral. De surcroît, ce nouveau type de président étendrait surtout son activité à la politique étrangère et provoquerait un gonflement de la bureaucratie pour soutenir l'activité présidentielle. L'UDC s'oppose aussi avec véhémence à l'engagement de secrétaires d'Etat supplémentaires. Là encore, on assisterait à un alourdissement inopportun de l'appareil administratif et à un transfert inacceptable de la responsabilité politique du Conseil fédéral vers l'administration. L'UDC réclame des personnalités fortes au Conseil fédéral et estime que le meilleur moyen d'y parvenir est de faire élire les conseillers fédéraux par le peuple. Il faut aussi améliorer la fonction s'assistance et de coordination de la Chancellerie fédérale. La situation actuelle pourrait être améliorée par l'élection du chancelier fédéral par le Conseil fédéral.
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Le Conseil fédéral a accumulé ces derniers mois les échecs dans sa conduite stratégique - crise libyenne, attaques contre la place financière suisse, etc. Une prolongation de la durée de fonction du président de la Confédération, un projet rejeté à plusieurs reprises durant les cent ans écoulés, ne résout pas ce problème. En réalité, les changements proposés déclencheraient avant tout un inutile activisme politique et provoqueraient un gonflement de la bureaucratie autour de la fonction présidentielle. Le rôle modérateur et coordinateur que devrait jouer le président dans le collège gouvernemental n'en serait pas renforcé. Avec l'engagement de secrétaires d'Etat supplémentaires, l'appareil étatique s'alourdirait encore plus. Le Conseil fédéral délèguerait des responsabilités et renforcerait l'influence de l'administration au lieu de gouverner lui-même. L'UDC s'oppose catégoriquement à un tel procédé. L'idée de multiplier les secrétaires d'Etat en leur donnant de nouvelles compétences a elle aussi été rejetée à plusieurs reprises dans le passé. En 1996, les citoyennes et citoyens suisses ont refusé par 60, 6% un tel projet.

Le programme de la fin de semaine de résistance européenne en Allemagne.

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Le programme de la fin de semaine de résistance européenne en Allemagne :
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Le vendredi 26 mars 2010 :

 

manifestation à Herten et Oberhausen à 10h.

manifestation à  Gelsenkirchen und Mühlheim an der Ruhr à 12h.

manifestation à  Bochum à 14h.

 

Le samedi 27 mars 2010 :

 

conférence internationale au château Horst à Gelsenkirchen à 15h. (http://www.schloss-horst.de/index.php?id=26)

 

Le dimanche 28 mars 2010 :

 

marche à Duisbourg - Marxloh à 11h.

Umberto Bossi : "au Nord, la Ligue dépassera le PdL."

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« Duel Berlusconi-Bossi sur une avance de la Ligue au Nord » (Barbara Fiammeri, Il Sole 24 Ore) :
« U. Bossi n’hésite pas : ‘je reste un allié fidèle à Berlusconi mais, au Nord, la Ligue dépassera le PdL, c’est assez logique.’ Ce succès, assure-t-il, ne changera rien pour l’exécutif ; mais il est très clair : le futur ministre de l’agriculture, comme L. Zaia, sera léghiste. Bossi est bien conscient du poids de la Ligue sur le centre droit. Berlusconi ne paraît pas si enthousiaste que Bossi le prétend : selon lui, il n’y aura pas de primauté de la Ligue et, de toute façon, l’alliance est ‘stratégique pour réformer le pays’. Toutes ses interventions d’hier, notamment à Bari, étaient axées sur les réformes : d’abord, la ‘grande, grande réforme de la justice’, mais aussi le présidentialisme. Berlusconi revendique son choix de s’en remettre aux ‘kiosques’ installés dans les rues d’Italie pour décider de la voie à prendre : ‘on m’a critiqué car j’ai dit que ce serait aux citoyens de décider si le chef de l’Etat ou le président du Conseil sera ou non élu directement par eux. Je suis fier de ces critiques car je suis sûr de la justesse de ma position’. Claire référence à G. Fini, qui parle de ‘réformes inspirées par l’esprit constituant, l’intérêt général et le bien commun, dans le respect de la dialectique entre cultures et forces politiques’. Berlusconi, lui, à l’offensive, demande un ‘choix net’ contre la gauche, ‘les magistrats et les parquets qui tentent’ de le ‘détruire’, la ‘barbarie’ des écoutes. »

« La colère du Cavaliere contre Gianfranco : ‘il y en a qui jouent pour perdre’ » (Francesco Bei, La Repubblica) :« L’idée d’un règlement de comptes imminent plane sur le PdL. Malgré les tentatives de certains, tel Bondi, de calmer le jeu, l’approche des élections paraît attiser les différends entre Berlusconi et le président de la Chambre. Sans directement se référer à Fini, Berlusconi s’est exclamé : ‘certains semblent vouloir jouer pour perdre’. Il s’est senti trahi par la dernière déclaration de Fini sur la nécessité d’éviter ‘toute approche propagandiste’ sur la réforme de la Constitution et, dans le cercle des intimes de Berlusconi, monte le soupçon que Fini veut tirer profit d’une éventuelle défaite aux régionales. » 

(Traduction : ambassade de France à Rome.)

Grand rassemblement européen ce week-end dans la Ruhr en Allemagne.

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Un grand rassemblement européen aura lieu dans la Ruhr, en Allemagne, ce vendredi, samedi et dimanche. Divers dirigeants de partis patriotiques européens seront présents.

Pour voir le programme de la manifestation : http://ndp-infos.over-blog.com/

Le FPÖ veut que la Grèce réintroduise son ancienne monnaie.

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Le FPÖ veut que la Grèce quitte la zone Euro et réintriduise son ancienne monnaie. Le Député européen du FPÖ Andreas Mölzer a plaidé, au cours d’une émission, en faveur de cette idée.
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Le porte-parole du FPÖ dans le domaine financier, Lutz Weinzinger, a exigé, au nom de son parti, l’exclusion de la Grèce de la zone Euro. Pour le FPÖ, les pays de la zone Euro dont la politique économique et financière est désastreuse doivent être forcé de réintroduire leur ancienne monnaie.

Manipulation de la télévision d’État autrichienne contre le président du FPÖ (VI).

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Le FPÖ a amené devant le Parlement la manipulation orchestrée à l’encontre de son président par la télévision publique autrichienne ORF. Le FPÖ dénonce la manœuvre organisée afin de discréditer le FPÖ, mais également la manipulation du son de la vidéo présentée par l’ORF après l’incident. Selon le FPÖ, certains propos des provocateurs auraient été retirés de la bande son.
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Le FPÖ réclame une enquête afin de déterminer s’il n’y a pas eu d’autres cas.

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Le Président du FPÖ Heinz-Christian Strache expose les faits au Parlement.

24/03/2010

Le PdL fixe la barre à quatre régions.

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« Le PdL fixe la barre à quatre régions » (Ugo Magri, La Stampa) :
« Il y a encore un mois le Cavaliere ambitionnait de remporter 6 régions. Puis il y eut le cafouillage des listes et le grand dégoût des électeurs face à cette démonstration d’incompétence. Depuis, plus rien n’est comme avant. Au point que Berlusconi se contenterait désormais de sauver les meubles : éviter ‘une défaite à plate couture’ serait vendu comme une victoire. Nouvel objectif officiel : 4 régions – Lombardie et Vénétie plus Campanie et Calabre, où la dispersion des forces est telle qu’un coup de théâtre paraît exclu. Pour donner un sens aux trois prochaines années de la législature, Berlusconi a besoin d’un nouveau mandat plein, d’un signe concret de soutien populaire. Remporter 6 régions au lieu de 4 lui donnerait un tonus exceptionnel. Il aurait les cartes en main pour réformer la Constitution. Mais s’en tenir à 4… Dans le clan finien, on ne fait pas mystère qu’avec un résultat minimaliste, une réflexion agitée s’ouvrirait au sein du parti. 4 régions et le PdL est condamné à la stagnation, à la répétition du final inactif que Berlusconi connut entre 2004 et 2006. Berlusconi se bat avec fougue pour arriver au moins à 5. Les Pouilles pourraient l’aider. Dans son espoir opiniâtre, il rêve d’emporter le Latium mais l’idéal serait de vaincre au Piémont – pour fidéliser la Ligue, d’où le meeting d’hier à Turin. »
  

Entretien avec S. Bondi, ministre de la Culture et coordonnateur PdL, dans Il Foglio – « Le pacte réformiste entre le Cavaliere, Fini et Bossi après les élections » :
« Un nouveau pacte en 3 points : réforme institutionnelle, fiscale et judiciaire. Berlusconi fera les réformes ‘même au prix d’un référendum’. Fini soulève des questions importantes de stratégie, de programme et de principes – des forces pour un grand parti, pourvu qu’on les aborde dans un esprit de coopération en vue d’un programme commun. Berlusconi au Quirinal et Fini à la présidence du Conseil ? Des hypothèses. Les voies de la politique sont souvent imprévisibles. A l’époque constituante, le souvenir du fascisme avait abouti à renforcer les assemblées par rapport au gouvernement. Aujourd’hui, le pouvoir exécutif est quasi impuissant, avec un judiciaire absolument indépendant, en mesure de casser les décisions du Parlement – un problème pour la souveraineté populaire. L’élection directe du chef de l’Etat, ou du président du Conseil, serait une façon de regagner en légitimité démocratique. Ces 3 ans diront si le berlusconisme aura réussi à réformer et moderniser l’Italie. Le dialogue avec l’opposition serait souhaitable et nécessaire, si nous étions un pays normal. Mais l’opposition ne s’est pas réformée, elle est la proie du justicialisme extrémiste de Di Pietro et de la culture radicale. Cette gauche ne sera jamais prête aux réformes dont le pays a besoin. Si gouvernement et majorité réussissent à unir leurs forces pour un grand projet réformateur, le peuple suivra. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome).

Almere : un informateur désigné.

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Pays-Bas. Almere. Hans Andersson a été désigné informateur en vue de former une coalition. Sécurité, enseignement, emploi, cohésion sociale sont les thèmes centraux des négociations.

Manipulation de la télévision d’État autrichienne contre le président du FPÖ (V).

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Le reportage de l’ORF qui a mené à l’incident tentant à discréditer le FPÖ sera diffusé ce jeudi par l’ORF, la radiotélévision autrichienne.

L’émission sera suivie d’un débat auquel participeront le Président du FPÖ Heinz-Christian Strache, un représentant du Parti conservateur (ÖVP) et des dirigeants de la chaîne de télévision.

Italie : un enfant de 5 ans appelé "Silvio Berlusconi".

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Italie. Un ouvrier d'origine ghanéenne vivant en Italie a décidé d'appeler son fils de bientôt cinq ans du prénom de "Silvio Berlusconi".

23/03/2010

Un film sur Geert Wilders.

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Pays-Bas. Le 1 mai 2010, le chef du PVV Geert Wilders assistera à Los Angeles, aux États-Unis, à la première d’un film réalisé sur lui. Le documentaire dure environ une heure. Geert Wilders trouve que c’est un grand honneur d'être le sujet d'un film. Le film contient une interview de Geert Wilders, des discours qu’il a tenu et des interviews qu’il a données à des chaînes de télévision.
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Voir la vidéo de la bande de lancement : http://www.youtube.com/watch?v=iyLxfZwofNE&feature=pl...

Manipulation de la télévision d’État autrichienne contre le président du FPÖ (IV).

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L’ORF (radiotélévision publique autrichienne) a placé en ligne sur son site Internet la vidéo sur laquelle on voit les provocateurs manipulés par l’ORF. (La vidéo ne fonctionne pas pour le moment).
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Heinz-Christian Strache, le président du FPÖ, affirme que le son de la vidéo mise en ligne a été manipulé par l’ORF. Il propose de confirmer cela sous le contrôle d’un détecteur de mensonges.

 

Herbert Kickl, le secrétaire général du FPÖ, reproche également à l’ORF d’avoir refusé une confrontation télévisée entre les deux candidats à l’élection présidentielle, le président de la République sortant (SPÖ – Parti social-démocrate) et la candidate FPÖ Barbara Rosenkranz.

Fini calme le jeu.

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« Fini calme le jeu : ‘réformes utiles, mais pas tout de suite’ » (Antonella Rampino, La Stampa) :

« Au lendemain de la manifestation du PdL, Fini montre qu’il est bien présent, sachant qu’il faudra faire les réformes en tenant compte du PD, mais surtout de la Ligue, après les régionales. Berlusconi pense à son avenir, accéder à la Présidence de la République avec des pouvoirs renforcés. Fini s’inquiète pour l’avenir et le profil politique du centre droit. Il pense qu’il est prématuré d’en parler parce que l’opposition n’est pas disposée à suivre la majorité sur cette voie. Berlusconi s’inspire du modèle américain, alors que le présidentialisme finien est sur le modèle français. Fini sait qu’en Italie les réformes faites par la majorité ne portent pas bonheur. L’unique solution est de mener à bien les réformes avec l’opposition. Le résultat des élections et la manière dont l’opposition abordera le problème seront primordiaux. Il faudra commencer par la réforme du mode de scrutin, à moins que Berlusconi ne sorte grand vainqueur des régionales. »

 

« Entretien avec S. Berlusconi, président du Conseil, dans La Stampa – « A cause des magistrats, j’ai dû me jeter encore une fois dans la mêlée » :

« Notre gouvernement a su gérer la crise. Elle est derrière nous et nous avons approuvé une loi pour relancer l’économie. R. Cota est l’homme qu’il faut pour libérer le Piémont de son isolement et de la marginalité où la gauche l’a plongé. Bossi est un allié loyal. Si la Ligue se renforce, le PdL et le gouvernement seront plus forts eux aussi. Dans un grand parti comme le nôtre il est naturel d’avoir des positions différentes, comme avec Fini, l’important est de rester unis. Je trouve vexant de parler de succession face à un leader en pleine forme et avec une cote de popularité à 62%. L’élection directe du chef de l’Etat, ou du président du Conseil, serait un plus pour notre démocratie, mais nous devons encore en discuter. La réforme de la justice est une urgence pour notre pays et je la mettrai en chantier immédiatement après les élections. Malheureusement, les leaders du PD, aussi bien Veltroni que Bersani, ne parviennent pas se libérer de l’extrémisme, comme maladie infantile du communisme (Lénine). Nous avons toujours cherché le dialogue mais avec cette opposition il n’est pas possible. Nous avions le devoir d’essayer d’intervenir au niveau des listes électorales avec un décret et je dois reconnaître que le chef de l’Etat a fait preuve, à cette occasion, d’un grand sens de l’Etat et de la démocratie. La décision de la RAI de bloquer certains débats télévisés est juste, on ne peut pas utiliser l’argent public pour des émissions idéologiques faites d’insultes et de calomnies. Je suis le conseil de Bossi et je fais attention en parlant au téléphone mais c’est bien triste. Nous allons changer cela au plus tôt. C’est urgent et indispensable. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome.)

Siv Jensen tient un discours lors du Forum mondial 2010 de l'AEI.

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Norvège. Siv Jensen, la dirigeante du Parti du Progrès, a tenu un discours lors du Forum mondial 2010 organisé par le think-thank AEI (AEI – www.aei.org). Le Forum mondial s’est tenu à Sea Island, en Géorgie, aux États-Unis, du 4 au 7 mars 2010. Siv Jensen  a été invitée à prendre la parole lors de la session « Est-ce que l’Alliance atlantique appartient au passé ? ».

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Parmi les autres personnes invitées à prendre la parole, se trouvaient l’ancien Maire de New York Rudy Giuliani, le Sénateur Joseph I. Lieberman, l’ancien Gouverneur du Massachusetts Mitt Romney, l’ancien conseiller de George Bush Karl Rove et l’ancien Ambassadeur des Etats-Unis John R. Bolton.

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Manipulation de la télévision d’État autrichienne contre le président du FPÖ (III).

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(Suite de l’article « Manipulation de la télévision d’État autrichienne contre le président du FPÖ (II). »)
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Voici une photo qui montre qu’un des provocateurs disposait d’un micro placé sur sa veste par l’ORF, la radiotélévision autrichienne.

22/03/2010

Le BZÖ de Carinthie s’est reformé.

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La première réunion de la présidence du BZÖ de Carinthie depuis la scission s’est tenue ce lundi. La direction comprend 20 membres. Le BZÖ est représenté dans l’ensemble des circonscriptions de Carinthie. 1000 personnes sont membres ou cadres du BZÖ de Carinthie.
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Le BZÖ s’en tient à son catalogue d’exigences en cinq points : la diminution de moitié des subventions accordées aux partis politiques, la réduction du nombre de membres du Parlement et du gouvernement de Carinthie, la suppression des conseils de circonscription et des conseils d’écoles, la réintroduction de l’objectivation dans la nomination et la promotion des fonctionnaires et la suppression des privilèges des fonctionnaires.