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06/03/2010

Le FPK soutient la candidate du FPÖ à l'élection présidentielle.

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Autriche. Uwe Scheuch, le chef de file du FPK, soutient la candidature de Barbara Rosenkranz (FPÖ) à la présidence de la République d'Autriche.

Basse-Autriche : élections municipales dans une semaine.

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Les élections municipales en Basse-Autriche auront lieu dans une semaine. Le thème principale du FPÖ est la protection des frontières.
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"Nous sommes la patrie"

23:03 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0)

Lorraine : Annick Martin soutenue par des patriotes venus de France et d'Europe.

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Le rassemblement politique de ce vendredi à Metz en Lorraine, en vue de soutenir la liste électorale (http://non-aux-minarets-en-lorraine.fr/ ) menée par Annick Martin (MNR), a accueilli différents patriotes venus de France et d'Europe. Parmi ceux-ci figurent le Président de pro NRW (Pour la Rhénanie du Nord – Westphalie) Marcus Beisicht (Allemagne) ainsi que Hilde De Lobel et Filip Dewinter du Vlaams Belang (Flandre – Belgique).

 

Martine Lehideux représentait le PdF et Robert Spieler la NDP.

 

Une conférence de presse a eu lieu avant la réunion électorale.

 

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Les patriotes venus de France et d'Europe soutiennent la liste menée par Annick Martin.

 

(Source : Synthèse nationale)

Le candidat MCG au Conseil administratif de Thônex reçoit un coup de pouce de l’UDC.

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Voici un article de la Tribune de Genève :

Grande première à Thônex ! Le candidat MCG au Conseil administratif, Jean Villette, vient de recevoir un coup de pouce de l’UDC. Le parti appelle en effet ses adhérents à voter pour lui le 21 mars. «Après avoir reçu M. Villette, nous avons constaté qu’il partageait nos idées, notamment en termes de sécurité», souligne Eric Leyvraz, président de l’UDC. «Comme nous n’avons pas de candidat et que l’Entente ne nous a rien demandé, l’UDC appelle donc ses électeurs à lui apporter leurs suffrages».

Ce soutien est accueilli avec satisfaction au MCG par son président Eric Stauffer : « L’Entente peut commencer à se faire du souci à Genève ». Selon Eric Leyvraz toutefois, le rapprochement entre les deux formations n’est pas définitif : « Nous jugerons au coup par coup, commune par commune », explique-t-il.

A noter qu’aux dernières élections cantonales, l’UDC et le MCG ont rassemblé environ 23% des électeurs, contre quelque 36% pour l’Entente et près de 35% pour la gauche.

Geert Wilders présente son film "Fitna" à la Chambre des Lords.

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Geert Wilders, le chef de file du PVV, s’est rendu à Londres afin de présenter son film Fitna à la Chambre des Lords. En février 2009, Geert Wilders avait été recalé par les autorités britanniques à l’aéroport de Heathrow. Un juge a ensuite annulé l’interdiction de voyage.

 

Geert Wilders a été invité par deux membres de la Chambre des Lords : le Président de l'UKIP Malcolm Pearson et Caroline Cox. Cette dernière considère que la visite de Geert Wilders est une victoire de la liberté d’expression.

 

Geert Wilders a utilisé la présentation de son film Fitna au Royaume-Uni afin d’affirmer une nouvelle fois ses positions par rapport à l’islam.

 

S’il devenait Premier ministre des Pays-Bas, ses premières mesures seraient de fermer les écoles islamiques, l’arrêt de l’immigration en provenance des pays musulmans et l’arrêt de la construction de mosquées. Il estime que lorsque la Turquie entrera dans l’Union européenne, les Pays-Bas devront en sortir.

 

http://www.rtl.nl/components/actueel/rtlnieuws/miMedia/2010/week09/Fri18.persconferentie-wilders-pvv-islam-turkije-erdogan.xml

05/03/2010

Le Peuple de la Liberté chute de 3 points dans les sondages.

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« La peur du PdL : un imbroglio qui leur coûte 3 points » (Francesco Verderami, Corriere Della Sera) : « Plus que les enquêtes sur les marchés publics du G8, que le procès Mills, que les polémiques avec l’opposition, que les lois sur mesure, c’est l’imbroglio sur les listes qui a fait chuter de 3 points le PdL. Pour Berlusconi, il s’agit d’une erreur stratégique de communication, ‘nous, majorité, avons donné l’idée que nous n’étions même pas capables de présenter des listes’. Or les difficultés médiatiques ne sont que l’écho de difficultés politiques, et recentrer la campagne ne suffira pas. Maintenant que le Cavaliere s’est exposé au point d’aller au Quirinal, seul le règlement de l’affaire lombarde et de la liste PdL du Latium pourrait lui assurer une opération à solde positif. A moins qu’il ne décide de polariser le combat électoral en prenant le ‘peuple’ à témoin, avec la magistrature pour cible. Mais son vrai problème est l’affrontement au sein du parti : tout tourne autour du duel Berlusconi-Fini, avec pour effet une chute de 3 points, sans qu’on sache où ils veulent en venir. Tous deux disent n’avoir pas le choix, Berlusconi car il gouverne et Fini pour ne pas renier son credo du bipolarisme. Reste le conflit et son impact possible sur le gouvernement. Le résultat des élections aura une influence sur la suite de cette législature, mais certains ont la sensation qu’il s’agit du même syndrome que celui qui avait frappé l’Ulivo en 1997 : ‘croyant que Berlusconi était définitivement hors jeu et qu’ils gouverneraient 20 ans, ils ont commencé à se disputer le pouvoir ; mais il n’en est pas allé ainsi et tous ont tout perdu. »
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(Traduction : ambassade de France à Rome.)

Marco Pastors obtient plus de 50.000 voix.

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Marco Pastors, le chef de file de Leefbaar Rotterdam (Rotterdam vivante), est, parmi les candidats de tous les partis présents à Rotterdam, celui qui a obtenu le plus de voix de préférences : 51.799, le double de son opposant direct, le tête de liste du PvdA (Parti socialiste), qui obtient 24.598 voix.

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Marco Pastors est le chef de file de Leefbaar Rotterdam (Rotterdam vivante).

Geert Wilders renonce à son mandat de conseiller municipal.

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Geert Wilders a obtenu 13.000 voix à La Haye (Den Haag). Il est élu au Conseil municipal de la ville, mais renonce à son mandat.

Vidéo de la soirée du PVV à Almere.

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Vidéo de la soirée électorale du PVV à Almere :

http://www.telegraaf.nl/video/binnenland/6211069/__De_Roon_spreekt__PVV_triomfeert__.html

Pour des raisons de sécurité, la presse est tenue à l'écart, par la police, dans un coin du café et ne peut pas adresser la parole aux personnes présentes. Raymond de Roon est la tête de liste du PVV à Almere. Raymond de Roon et Geert Wilders parlent devant le public.

Le Président italien s'inquiète de la percée du PVV néerlandais.

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Le Président italien Giorgio Napolitano a fait part de son souci à propos des résultats du PVV de Geert Wilders lors des élections municipales aux Pays-Bas.

Pays-Bas : première victime des élections.

La tête de liste du SP, un parti situé sur la gauche du PvdA (Parti socialiste), pour les prochaines élections législatives a décidé de jeter le gant. Elle ne sera pas la tête de liste et quitte la politique.

Filip Dewinter félicite le PVV.

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Filip Dewinter du Vlaams Belang félicite le PVV et Geert Wilders pour le résultat obtenu par le parti lors des élections municales aux Pays-Bas.

Italie : sauver les élections.

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 Des élections à sauver » (Massimo Franco, Corriere della Sera) :
« Le double rejet des recours en Lombardie et au Latium a de quoi préoccuper. Certes, la mauvaise gestion des candidatures est difficilement contestable. Mais les conséquences politiques de ce mécompte prennent un tour imprévu et inquiétant, qui appelle chacun à prendre ses responsabilités. La majorité, d’abord, qui doit reconnaître ses erreurs au lieu d’agiter l’idée de manifestations en forme de rites d’auto-absolution. L’opposition paraît montrer en l’espèce un peu de sens des responsabilités : Di Pietro a dit préférer gagner ‘sur le terrain, non dans un bureau’ et Bersani a demandé de ne pas chercher de ‘faits pouvant troubler la physionomie du vote’. Mais l’idée que Formigoni soit exclu du scrutin à cause de 250 signatures invalides sur 3 500 semble absurde – pour les électeurs plus encore que pour la majorité. Le PdL présentera un recours au Tribunal administratif régional mais on reste abasourdi face à tant d’à-peu-près dans la préparation du scrutin, en Lombardie comme dans le Latium. Les remèdes ne sont pas faciles. La question est désormais plus politique que procédurale : seul un règlement consensuel peut éviter une campagne empoisonnée et faussée. Les divisions au sein du PdL sont à éviter, la coalition berlusconienne doit envoyer un signal d’unité interne, en appeler à l’opposition pour éviter une dérive qui délégitimerait tout le monde, et remédier à ce que Napolitano lui même qualifie d’imbroglio. Il serait bon de trouver une solution propre à garantir le droit de vote, fondamental en démocratie, avant que le tribunal régional et le Conseil d’Etat ne tranchent définitivement et ne privent la politique de son rôle et de ses marges de manœuvre. »

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« Berlusconi : ‘c’est un coup d’Etat’. Il pense à un décret ou à un accord sur le report » (Marco Galluzzo, Corriere Della Sera) :

« Après cinq jours de silence, Berlusconi pourrait décider aujourd’hui de descendre dans l’arène et de politiser l’affaire de l’exclusion des listes PdL. Pour résoudre les imbroglios du Latium et de Lombardie, il envisage une intervention normative, un décret interprétatif des normes d’acceptation des listes électorales ou même un décret-loi comme celui de 1995 (qui profita aux radicaux) qui avait prolongé d’une semaine les délais de présentation des listes, voire un léger report des élections. Depuis hier, le climat a changé. Le PD serait prêt à trouver un accord avec le gouvernement pour régler le problème, ouverture que même Di Pietro paraît confirmer, avec pour corollaire une élection immédiate à Bologne. En attendant, le Cavaliere est invité au marathon ‘pour Polverini’ et aurait promis d’y faire un saut. En tout cas, il a décidé de réunir les parlementaires PdL ce soir, en présence de GF Fini. Curieuse campagne : aucun débat télévisé et des meetings électoraux réduits au minimum pour raisons de sécurité. Dans ce contexte, la situation du PdL est en suspens, mais nombreux sont ceux qui pensent qu’après les élections, Berlusconi règlera des comptes sur les incapacités internes et avec le président de la Chambre. Il y en a qui lui conseillent de revenir à FI, d’autres de revoir entièrement les instances dirigeantes, voire de réaliser des primaires internes. Bien des conseils mais, pour l’heure, aucune décision en vue. »

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« La Russa accuse la Ligue : ‘peu d’aide de leur part’ » (Marco Cremonesi, Corriere Della Sera) :

« Hier, jusqu’à 17h, Radio Padania s’étonne de ‘l’amateurisme’ du PdL. Mais quand tombe la nouvelle du rejet du recours de R. Formigoni, le ton change, avec des mots comme ‘vol de démocratie, ‘manœuvres’, ‘complot’, ‘coup d’Etat’. En apprenant qu’au Piémont la liste Nadia Cota a été acceptée en concurrence avec celle de R. Cota, candidat sur les listes PdL-Ligue, les léghistes sont furieux. R. Calderoli explose : ‘une région passe encore, deux c’était déjà trop, mais avec l’histoire du Piémont, ça commence à sentir le roussi… comme si on voulait nous voler les élections’. Avant d’annoncer un possible retrait de son parti des élections. Et Radio Padania continue à outrance en lisant des passages de l’interview d’I. La Russa à Il Riformista : ‘sur les 1500 signatures qu’elle devait recueillir au départ, la Ligue en a donné 300, dont seulement 30 valides’. Radio Padanie rectifie ‘la Ligue a procuré plus de signatures que demandé ; la prochaine fois, que nos amis du PdL évitent de faire tout au dernier moment en se disputant sur les candidatures…’. Autre propos de La Russa, visant cette fois l’opposition : ‘il y en a qui pour éviter de perdre préfèrent concourir seuls, mais c’est l’opposé de la démocratie – ou la ‘démocratie populaire’ à la soviétique…’ »

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« Le ‘parti jamais né’ vers le règlement de comptes » (Barbara Fiammeri, Il Sole 24 Ore) :

« L’imbroglio électoral n’est que la dernière goutte, qui n’a pas encore fait déborder le v ase à cause des élections. ‘Mais après tout va changer’ entend-on en haut lieu. Ce que Tremonti appelle ‘monarchie anarchique’ est en train de démontrer son pouvoir destructeur. Les berlusconiens pensent que le succès du PdL ne vient pas du parti mais du Cavaliere. Aujourd’hui, FI a disparu et le PdL est plus anarchique que monarchique. Tous les clubs et mouvements sont nés de l’immobilisme du parti – comme s’il fallait aller faire ailleurs de la politique. GF Fini, clair dans ses critiques, à la différence d’autres, fut le premier. Le dualisme éclate au grand jour ; pour Il Giornale, ‘les difficultés du PdL viennent de Fini’. Mais en est-il vraiment ainsi ? Qu’a-t-il à voir avec la guerre du PdL en Sicile entre anciens de FI, ou dans l’affrontement Formigoni-Moratti à Milan ? Et l’ascension de la Ligue au centre-nord vient-elle seulement des positions de Fini sur l’immigration ? Une Ligue qui est à deux doigts de dépasser le PdL, lequel est en perte de vitesse s’agissant du nombre d’adhérents. En 2007-2008, FI avait 411 000 inscrits, AN 600 000. Berlusconi avait fait l’addition et annoncé que le PdL arriverait rapidement à 1 million. Or, en politique, 1+1 ne fait pas toujours 2. La fusion censée partir de la base s’est au contraire révélée un produit de laboratoire. Au total se sont mélangés 30% de FI, 10% AN, plus quelques broutilles. La composition des listes aux régionales a obéi à la même logique, et le résultat est sous nos yeux. »

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(Traduction : ambassade de France à Rome.)

04/03/2010

Leefbaar Rotterdam appelle les électeurs témoins de fraudes à informer le parti.

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Leefbaar Rotterdam appelle les électeurs témoins de fraudes à informer le parti. Le chef de file de Leefbaar Rotterdam demande que la future coalition en vue de gouverner la ville soit réalisée par un formateur indépendant.

 

Le Parti socialiste (PvdA) et Leefbaar Rotterdam obtiennent chacun 14 sièges. Le total des sièges est de 45. Le PvdA ne veut pas gouverner avec Leefbaar Rotterdam, mais Leefbaar Rotterdam accepte de gouverner avec le PvdA.

 

Si le PvdA reste sur ses positions, quatre partis devront participer à la prochaine coalition, afin d’obtenir plus de la moitié des 45 sièges du Conseil municipal.

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"Leefbaar Rotterdam (Rotterdam vivante), parce que nous aimons cette ville."

Geert Wilders : "terminer ce que Pim Fortuyn a commencé".

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Geert Wilders, le chef de file du PVV, a déclaré qu’il veut terminer ce qu’avait commencé Pim Fortuyn avant son assassinat.

 

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Pim Fortuyn, assassiné en 2002, a ouvert la voie.

La Haye : le Parti libéral veut attendre avant de reconduire la coalition qui gouverne la ville.

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Pays-Bas. La Haye. Le VVD (Parti libéral) veut que le Parti socialiste (PvdA) participe à des négociations incluant aussi le PVV de Geert Wilders. Le VVD réagit à la volonté du Parti socialiste (PvdA) de tenter de voir si une coalition incluant 3 partis de gauche et le VVD est possible.

 

Le VVD dit qu’il est irresponsable d’adopter une telle attitude au lendemain des élections municipales qui ont vu la percée du PVV de Geert Wilders et le recul des trois partis qui gouvernaient jusqu’à présent Rotterdam (parmi lesquels le PvdA et le VVD).

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Le Député Sietse Fritsma, tête de liste du PVV de Geert Wilders lors des élections municipales à La Haye.

3 victoires pour les patriotes aux Pays-Bas.

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Le PVV de Geert Wilders est arrivé en deuxième position lors du scrutin européen et est donné premier parti du pays dans des sondages consacrés aux prochaines élections législatives, qui auront lieu dans trois mois.

 

Lors des élections municipales qui ont eu lieu ce mercredi, le PVV a décidé de ne se présenter que dans deux villes : Almere et La Haye (Den Haag). Á Rotterdam, le PVV a appelé ses électeurs à voter pour le parti Leefbaar Rotterdam du défunt Pim Fortuyn.

 

Le PVV a renoncé à se présenter un peu partout et obtenir ainsi des centaines de conseillers municipaux. C’est un choix stratégique. De plus, Geert Wilders a exigé l’interdiction du port du foulard dans les administrations publiques des deux villes où le PVV se présentait au suffrage des électeurs. Cela afin de rendre difficile, au sein des deux villes où le PVV est présent, la formation d’une majorité municipale incluant le PVV.

 

Le PVV est premier à Almere et deuxième à La Haye. Á Rotterdam, Leefbaar Rotterdam est deuxième, juste derrière les socialistes du PvdA.

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Geert Wilders

03/03/2010

L'UDC Suisse donne le ton en politique de l'immigration.

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Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse, 29% :
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L'UDC a posé divers accents aujourd'hui durant la session extraordinaire tenue à sa demande sur le thème de l'immigration. Elle a ainsi confirmé son rôle de leader en politique d'asile et des étrangers. Plusieurs de ses propositions ont été acceptées. Ainsi le Conseil fédéral a été chargé de soumettre à l'UE un projet de révision de l'accord sur la libre circulation des personnes dans le but d'alléger la charge croissante que l'immigration fait peser sur les institutions sociales suisses. Le Conseil national a également donné son soutien à des interventions UDC demandant la réduction de la durée de séjours des ressortissants UE au chômage, l'accélération de la procédure d'asile et un meilleur contrôle des imams en Suisse. En outre les étrangers ne recevront à l'avenir un permis d'établissement en Suisse que s'ils peuvent faire état de connaissances suffisantes dans une langue nationale. L'UDC est en revanche choquée par l'attitude du Conseil national concernant les sans-papiers. Elle combattra avec véhémence la tendance croissante à légaliser le séjour de personnes vivant clandestinement en Suisse.

Geert Wilders attendu à La Haye et Almere.

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Pays-Bas. Almere. Des dizaines de personnes attendent au café Get Down Le chef du PVV Geert Wilders. Les candidats de la liste PVV de Almere y sont rassemblés.  La sécurité autour du café est élevée. Les personnes qui désirent entrer dans le café passent sous un portique de sécurité et son fouillées.

 

Geert Wilders est également attendu par ses partisants à la Haye . Il doit y arriver vers 23h30.

Conclave du BZÖ.

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Lors du conclave du BZÖ qui s’étale sur deux jours et a lieu à Bad Waltersdorf, les responsables du parti ont décidé une politique d’immigration claire. Le président du BZÖ, Joseph Bucher, a déclaré à ce propos : « C’est indispensable et honorable. Ce n’est pas inhumain. C’est démontré par des pays comme le Canada ou l’Australie.» Le thème du conclave est « Asyle, intégration et immigration.»

 

Le BZÖ veut instaurer le chèque pour les étrangers. Le BZÖ pense que l’Autriche ne doit prendre que les meilleurs. La politique d’immigration doit être menée en fonction des intérêts du pays et pas en fonction de l’intérêt des immigrés.

 

Un système de cotation doit être établi en fonction de la volonté d’intégration, la connaissance de la culture et des lois,...

 

Le président du BZÖ veut faire adopter par le parti une politique d’immigration sans populisme. (Il sous entend que le FPÖ a adopté une politique populiste en la matière). « Il ne doit pas y avoir une politique d’immigration vers l’État social autrichien, mais une immigration qualifiée vers un État performant. »

Rotterdam : participation en hausse.

La Haye. La participation au scrutin municipal a été plus importante que prévue. Les bureaux de vote ferment à 21h.

Geert Wilders a voté ce matin à La Haye.

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Ce matin, Geert Wilders, le chef de file du PVV s’est rendu aux urnes à la mairie de La Haye (Den Haag). Il a voté pour la tête de liste du PVV à La Haye Sietse Fritsma.

 

Geert Wilders a déclaré : « le soleil brile. Cela convient au vent frais que le PVV veut amener à La Haye (Den Haag) et Almere. Chaque voix compte, aussi au Conseil municipal. Je suis très content si nous pouvons être un facteur d’intérêt à La Haye et Almere. »

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Voir la vidéo : http://www.pvv.nl/index.php?option=com_content&task=v...

La liste PdL de la province de Rome reste exclue.

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« Partie difficile dans le Latium pour un PdL qui ne convainc pas Fini » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) : « Il est rare que le président de la Chambre, co-fondateur du parti majoritaire, dise en pleine campagne : ‘j’ai de l’attachement pour mon parti, mais il ne me plaît pas’, et ce alors même que le PdL est en plein chaos à Rome, ancien bastion d’Alleanza nazionale. Dans l’affaire un peu grotesque des listes électorales, certains problèmes, à Rome et à Milan, paraissent surmontables, d’autres moins : , à moins d’une solution improbable au niveau du tribunal administratif. Lla liste PdL de la province de Rome reste excluee tort causé au PdL s’aggrave chaque jour. Une victoire de Polverini, probable il y a peu, se complique. A la tête des institutions, les approches divergent : Napolitano a dit qu’il revenait aux seuls juges de régler la controverse ; Schifani, président du Sénat, souhaite au contraire que ‘le fond prévale sur la forme’ ; quant à Fini, il se tait sur le cas d’espèce mais sans ménager ses critiques au PdL. On voit mal cela durer 3 ans encore après les régionales, alors même que la Ligue s’apprête, elle, à recueillir les fruits d’une cohésion et d’une organisation plus solides que chez son allié berlusconien ; au soir du 29 mars, elle pourrait être le premier parti au nord, face à un PdL peut-être plus vulnérable que prévu au centre-sud. D’où l’enjeu crucial du Latium : Polverini victorieuse pourrait sauver les équilibres fragiles du PdL ; sa défaite accélérerait la crise structurelle d’un parti qui ne plaît pas même à son co-fondateur et ne tient que sur le charisme de Berlusconi. La bataille romaine revêt donc une claire portée nationale. Après une sérieuse défaite sur le thème du respect des règles, le PdL peut maintenant soit aggraver les choses par une série d’erreurs dictées par la peur, soit livrer une campagne digne avec les listes qui subsistent. Jeu ouvert, mais requérant de l’intelligence politique. »

« Exclue aussi la liste principale de R. Polverini » (Paolo Bricco, Celestina Dominelli, Il Sole 24 Ore) :

« U. Bossi, ministre des réformes, parle ‘d’amateurs en déroute’. R. Polverini a aussitôt eu un entretien avec Berlusconi, qui l’aurait encouragée à ne pas se démoraliser, l’assurant qu’il l’épaulerait. Berlusconi est furieux : ‘trop d’erreurs qui n’aident pas l’image du parti’. Il est de plus en plus convaincu qu’il existe un projet précis visant le PdL, et que la magistrature tire parti de détails pour les frapper encore, lui et son parti. Le PdL perd deux candidats cruciaux. La loi constitutionnelle de 1999 est claire : les candidats à la présidence sont tête de liste régionale. L’exclusion, à ce stade, des listes principales, équivaut à l’exclusion des candidats à la présidence. Sans compter qu’elle se répercute sur les listes par province qui doivent être obligatoirement reliées aux listes principales et se trouvent ainsi gelées dans l’attente du verdict, attendu pour aujourd’hui à Rome et demain à Milan. Cette exclusion a déchaîné un déluge de réactions. Les coordonnateurs PdL ont stigmatisé ‘un fait sans précédent qui provoquerait de graves dégâts politiques’. R. Schifani, président du Sénat, veut ‘garantir le droit de vote’. Pour PL Bersani, ‘tous, y compris les principaux personnages de l’Etat, doivent s’en remettre à la loi’. Et R. Maroni, ministre de l’Intérieur, a redit qu’il n’y avait pas de possibilité de mesure d’urgence. La Ligue, elle, n’aura pas de problèmes… »

 

« Au centre droit paraît se profiler un règlement de comptes » (Massimo Franco, Corriere Della Sera) :

« Le ton monte au sein du PdL, avec quelques questions à la clef. Plus la date des élections approche, plus il semble que les listes électorales ne sont pas l’unique motif d’inquiétude de la coalition berlusconienne. Il y a une fragilité évidente dans le parti issu de la fusion Forza Italia -Alliance Nationale. Même si S. Berlusconi fait tout pour présenter le PdL uni, il n’a, autour de lui, ni alliés ni généraux dociles. Hier, GF Fini a déclaré : ‘le PdL tel qu’il est ne me convient plus’. Et R. Maroni a exalté l’expérience de la Ligue face à l’amateurisme du PdL. L’exclusion momentanée de la liste de la candidate R. Polverini a provoqué tensions et ironie. Quand Maroni exclut toute ‘mesure d’urgence’, il est vu par les berlusconiens comme le léghiste qui refuse de régler l’imbroglio. Autant d’indices de leur crainte de manquer le rééquilibrage des exécutifs régionaux par rapport au centre gauche. A. Di Pietro alimente la guerre des nerfs en évoquant la pire crainte de Berlusconi : la victoire des abstentionnistes. Berlusconi redoute que le PdL ne soit visé pour déstabiliser le gouvernement, et que l’affaire des listes ne devienne la preuve symbolique que rien ne fonctionne. Mais il y a pire encore : comme si certaines parties du centre droit se projetaient déjà au-delà des régionales, d’une victoire ou d’une défaite, l’œil fixé sur le règlement de compte qui, selon eux, s’ensuivra. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Manifestation à La Haye contre l’interdiction du port du foulard.

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La Haye. Cent hommes et femmes se sont rendus, en portant un foulard sur la tête, au bureau de vote du quartier de Riviersmarkt à La Haye (Den Haag). Le port du foulard sur la tête est une protestation contre l’intention, que le PVV de Geert Wilders a, d’instaurer une interdiction du port du foulard dans la fonction publique.

Le Député européen Nigel Farage de l'UKIP refuse de s'excuser.

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Nigel Farage, un des députés européens de l’UKIP, refuse de s’excuser : “ Si j’ai des excuses à présenter, elles sont destinées aux employés de banque. Si j’en ai blessé certains je suis vraiment désolé. ”

 

http://www.lameuse.be/actualite/liste/2010-03-02/3000-d-a...