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16/03/2010

Les risques d’abstention inquiètent Silvio Berlusconi.

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« Fini critiqué – le nouveau courant divise le PdL » (Carmelo Lopapa, La Repubblica) :
« Berlusconi est irrité. Les anciens AN nient tout projet de division mais parlent ouvertement de course au leadership dans le PdL. Fini évite les polémiques tandis que ses hommes préparent la machine de guerre. I. Bocchino, qui dirigera Génération Italie, explique au Corriere qu’elle ‘vise à ramener la démocratie dans le PdL et à rassembler toutes les forces disponibles pour soutenir le rôle dirigeant de Fini.’ Mais sur combien d’hommes la batterie finienne pourra-t-elle compter ? A part la fondation Farefuturo, le quotidien Il Secolo et le site Internet, il faut aussi des hommes. Selon les finiens, il y aurait une cinquantaine de députés et 25 sénateurs. Pour comprendre comment a réagi Berlusconi, il suffit d’écouter les commentaires des siens. F. Cicchito invite à ‘éviter les courants’ ; d’autres réclament un débat après les élections, ce qui paraît annoncer un règlement de comptes. A. Ronchi, ministre finien, tente d’arrondir les angles. Pour G. Quagliariello, ‘cette différenciation perpétuelle de la part des finiens a fatigué nos électeurs’. Selon le berlusconien G. Stracquadanio, ‘depuis 1993, chaque fois que Fini a essayé de se mettre contre Berlusconi, il a été mis K.O. Pour G. Rotondi ‘le risque est que le PdL finisse comme la DC, tué par les courants ; de toute façon le leadership n’est pas en débat : Silvio se représentera au Palais Chigi.’ »

 

Les risques d’abstention inquiètent Silvio Berlusconi.

 

« Une enquête, beaucoup de questions » (Carlo Federico Grosso, La Stampa) :

« Selon la presse, le parquet de Trani, enquêtant sur des faits d’escroquerie et d’usure, serait tombé par hasard sur 18 conversations suggérant des pressions pour faire cesser des émissions télévisées, avec à la clef des charges contre les trois personnalités mises en examen. Première question : est-il légitime que des écoutes dans le cadre d’une enquête X débouchent sur des poursuites Y ? Oui : si des écoutes à propos de corruption révèlent incidemment un meurtre, il est évident que les magistrats doivent enquêter. Nul abus, donc. Mais la question se complique si le délit découvert relève de la compétence d’un autre parquet. Dans notre ordre judiciaire, seul le juge doit se déclarer incompétent lors de l’enquête préliminaire, le procureur n’y est pas tenu. Mais un procureur scrupuleux ne devrait pas empiéter sur les compétences d’un autre parquet. Premier motif de perplexité : le parquet de Trani, compétent sur l’affaire d’usure, ne l’est manifestement pas pour les délits présumés commis par Berlusconi, Innocenzi et Minzolini. Il n’était pas tenu de transmettre ces éléments à un autre parquet. Mais n’eût-il pas été opportun qu’il le fît, vu l’affaire et les personnalités impliquées ? Troisième question : il s’agit évidement d’une affaire grave, d’un point de vue politique ou sociologique. Mais quel en est le poids pénal ? La procédure dira sur quelles preuves, et si elles sont fondées, repose l’enquête. Pour l’heure on ne peut que constater deux faits inquiétants : la violation du secret de l’instruction et l’envoi immédiat d’inspecteurs par le Garde des sceaux, avec un risque d’ingérence dans les enquêtes. D’autre part, il serait fâcheux que le gouvernement et la majorité en profitent pour passer en force sur la réforme de la justice, en limitant arbitrairement le pouvoir des parquets et le périmètre des écoutes autorisées. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome.)

Suisse : interview d'un cadre du MCG.

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Suisse. Une interview de David L’Epée, le fondateur du Mouvement des Citoyens Neuchâtelois (une extension du MCG), se trouve sur le site d'Egalité et reconciliation

http://www.egaliteetreconciliation.fr/Un-national-populis...

Ce texte permet de comprendre les différences existant entre le MCG et l'UDC.

Christoph Blocher : «Les pays n’ont pas d’amis, ils n’ont que des intérêts».

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Le quotidien suisse Le Temps donne la parole au véritable patron de l'UDC, premier parti de Suisse :

Lire un extrait de l'interview :

 http://www.letemps.ch/Page/Uuid/82f096b8-3103-11df-9e7d-a...

Elections municipales en Autriche.

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Ce dimanche, différentes élections ont eu lieu en Autriche. Le FPÖ s’est présenté seulement au sein de certaines municipalités.
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Tyrol : élection directe des maires et élections des conseils municipaux. Le FPÖ reste largement en dessous de ses attentes. Á Sankt Jakob in Defereggen, le chef de file du FPÖ du Tyrol, Gerald Hauser, emporte la mairie. Au sein du Conseil municipal de Sankt Jakob in Defereggen, le FPÖ emporte 6 des 13 sièges. Selon Gerald Hauser, les votes des jeunes lui ont permis de gagner.

 

Vorarlberg : élection directe des maires et élections des conseils municipaux. Le FPÖ obtient 3 postes de maire. Le FPÖ perd la mairie de Lustenau, qu’il détient depuis 50 ans. Le FPÖ récolte 18.532 voix (contre 17.185 en 2005) à 11,33 %.

 

Le BZÖ se présentait au Vorarlberg au sein de 3 des 96 municipalités du Land. Le BZÖ récolte 3 mandats de conseiller municipal.

 

En Basse-Autriche : élection des conseils municipaux.  le FPÖ obtient 61.292 voix ou 5,96%. Il double son score, en nombre de voix, par rapport à 2005. Le FPÖ obtient 478 mandats de conseiller municipal.

15/03/2010

Rotterdam : collaboration possible, au sein des quartiers, entre les travaillistes et Leefbaar Rotterdam.

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Rotterdam : le PvdA (Parti travailliste) et Leefbaar Rotterdam (Rotterdam vivante) pourraient travailler ensemble au sein de différents quartiers. La confiance entre les deux partis pourrait ainsi se développer.

 

Un accord de gestion entre le PvdA et Leefbaar Rotterdam afin de gérer ensemble Rotterdam est, pour le PvdA, impossible car les opinions des deux partis sont trop éloignées. 

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Le chef de groupe des élus du PvdA (Parti travailliste) à Rotterdam et Marco Pastor, le leader de Leefbaar Rotterdam.

La vie de Geert Wilders.

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Geert Wilders est marié depuis 1992 avec Krisztina Marfai, une Hongroise. C’est sa deuxième épouse. Il n’a pas d’enfant. Après l’assassinat du réalisateur Theo van Gogh, par un fanatique musulman, en novembre 2004, Geert Wilders a du quitter, du jour au lendemain, sa maison et son foyer à Venlo. Son appartement à Utrecht lui était aussi interdit, pour des raisons de sécurité. Il a du dormir dans des endroits protégés.

 

De nos jours, Geert Wilders et sa femme habitent à La Haye (Den Haag).

Umberto Bossi : « Que tous se calment et que le Cavaliere fasse plus attention ».

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« Places pleines, idées vides » (Sergio Romano, Corriere della Sera) :
« Les manifestations populaires démontrent la vitalité de la démocratie, c’est certain. Mais sommes-nous vraiment sûrs qu’il faille en organiser deux grandes à une semaine de distance ? Ces deux manifestations nationales, l’une du centre gauche samedi dernier, l’autre du PdL samedi prochain, ont déjà eu des effets pernicieux. Elles ont complètement mis de côté les programmes électoraux : on parle de tout sauf de ce que les régions ont le droit et le devoir de faire en matière de santé, sécurité, emploi, éducation...
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Entretien avec U. Bossi, chef de file de la Ligue du nord, dans le Corriere Della Sera de dimanche - « Que tous se calment et que le Cavaliere fasse plus attention » :
« Nous allons perdre des voix, mais il est difficile de dire combien. Berlusconi devrait faire plus attention, mais d’autre part, un président du Conseil doit pouvoir parler au téléphone. Je l’ai vu tendu et en colère, mais décidé à faire sa manifestation. Le problème de la présentation des listes aurait dû être réglé plus tôt, mais comme cela n’a pas été fait, il fallait les présenter correctement. Il est trop tard maintenant, mais il aurait mieux valu tout stopper et trouver ensemble une solution au lieu de faire de l’ironie et de se disputer… Il faut renouer le dialogue avec des partis honnêtes, comme le PD. Si on ne veut pas que la Vénétie devienne un autre Tyrol du Sud, il faut mener à bien le fédéralisme. Nous verrons dans les prochains mois si le Parlement est disposé à avancer sur ce sujet, et nous agirons en conséquence. Nous sommes des alliés fidèles de Berlusconi. Zaia est bien et il saura agir au niveau du territoire. A la différence de GC Galan, il plait au peuple. Il plait aussi aux femmes, c’est ce qui fait la différence et il n’y a que la Ligue à l’avoir compris. Je ne sais pas encore si j’irai en Israël. Il faut que j’en parle avec Berlusconi. C’est délicat, car si je vais en Israël, cela risque de déplaire aux Arabes. »
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« Feu vert à l’association Génération Italie, avec la bénédiction de Fini » (Paola Di Caro, Corriere Della Sera) :
« ‘Génération Italie’, créée par I. Bocchino, avec la bénédiction de GF Fini, semble être la réponse aux ‘Promoteurs de la liberté’ lancée par Berlusconi. Cette association aura un statut et une structure territoriale, et verra le jour les 8 et 9 mai prochains, au cours d’un congrès auquel participeront tous les délégués du PdL. Cette association qui soutient Farefuturo, est jumelée avec l’association des cercles de l’UMP en France. Elle vise à donner une nouvelle impulsion au PdL, qui ne fonctionne pas tel qu’il est, et donner leur chance aux personnes compétentes. On saura après les régionales ce qu’est exactement Génération Italie mais une chose est certaine, la succession de Berlusconi est en cours et l’ex leader d’AN ne restera pas en retrait. Berlusconi est inquiet et ne cesse de répéter ‘ Fini peut faire ce qu’il veut et il est même libre de s’en aller’, mais Fini n’a aucune intention de s’en aller. Il veut créer un parti différent. On ne saura qu’après les élections s’il s’agira d’une guerre ou d’une redistribution des pouvoirs. Pour le moment, I. La Russa conseille à tous de se concentrer sur la campagne électorale. Et pour U. Bossi ‘Génération Italie’ peut aller de l’avant pourvu que le fédéralisme se fasse. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome.)

UDC Suisse : débat sur l'islam: garder le sens de la mesure.

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Voici un communiqué de l'UDC Suisse, premier parti du pays, 29% des voix :

 

par Martin Baltisser, secrétaire général UDC Suisse.

 

Les rapports avec l'islam ont provoqué une fois de plus ces derniers jours des discussions politiques et médiatiques. D'un côté, la Coordination des organisations islamiques de Suisse a exigé des cimetières musulmans dans tous les cantons; de l'autre côté, des interventions ont été déposées dans plusieurs parlements cantonaux pour exiger l'interdiction de la burka. Au cœur de ce débat, il y a surtout la cohabitation des diverses communautés religieuses ainsi que l'intégration des musulmans dans le système social et légal suisse.

 

La position de l'UDC dans les discussions actuelles peut être résumée comme suit:

 

- La liberté religieuse et de conscience est garantie. Elle implique aussi que les musulmans peuvent se livrer à leurs prières et actes de foi.

- Chaque communauté religieuse doit se tenir au régime légal suisse, même si, par exemple, le coran devait édicter des normes divergentes pour les musulmans.

- Interdiction de la burka et du voile: le port du voile et de la burka est interdit aux personnes en service public, donc dans les écoles publiques (les enseignants comme les élèves), dans les universités et institutions publiques durant les heures de service et dans les bâtiments officiels.

- Il n'existe pas de droit établi à des règles funéraires s'écartant du régime légal dans les cimetières publics. Il est cependant acceptable que des cimetières privés soient autorisés pour des particuliers ou des communautés en vertu du règlement cantonal et communal des constructions. Le coût et l'entretien sont à charge des particuliers.

Règlement des jours fériés: les jours fériés prévus par la loi pour les écoles et le service public sont valables pour tous (enseignants et élèves). Les exceptions sont exclues, surtout dans les écoles.

- Dispenses de l'enseignement: les convictions religieuses ne dispensent pas des obligations quotidiennes. De ce point de vue, tous les élèves doivent suivre les disciplines obligatoires. Les cours de sport et de natation en font partie.

- Les mariages forcés, excisions, châtiments corporels et la polygamie ne sont pas imposés par l'islam, mais se rencontrent dans ces cultures. Ces actes doivent être poursuivis conformément au Code pénal.

Anvers : "Notre peuple en dernier."

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Le Vlaams Belang distribue un tract à Anvers. Un billet de 500 euros est représenté sur le folder. Un juge a décidé que certains demandeurs d'asile devaient recevoir 500 euros de dédommagement, par jour, pour ne pas avoir été pris en charge correctement par l'État belge. Le slogan utilisé sur le tract est "Le peuple étranger d'abord, notre peuple en dernier", afin de dénoncer les pratiques de la Belgique.
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14/03/2010

Stefan Petzner et son véhicule de société.

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Stefan Petzner, 29 ans, est député du BZÖ. Il a été le « fils spirituel de Joerg Haider ». Il se trouve deux fois par mois à Monaco, où il travaille pour la société PR CommunicationsLà, l’attend son véhicule de société : une Ferrari 430 Scuderia.
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Lorsque Stefan Petzner est en Autriche, il utilise une voiture normale.
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Stefan Petzner et son véhicule de société.

Le mouvement de jeunesse de pro NRW a distribué 20.000 tracts en 3 semaines.

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Le mouvement de jeunesse de pro NRW (Pour la Rhénanie du Nord – Westphalie) a distribué, au cours des trois dernières semaines, essentiellement à la sortie des écoles, 20.000 exemplaires du tract « Plus jamais d’extrémisme. Nous votons pour la liberté !»

 

Gereon Breuer, qui est responsable du mouvement de jeunesse de pro NRW, déclare que l’action sera poursuivie jusqu’aux élections pour le Parlement du Land de Rhénanie du Nord-Westphalie du 9 mai 2010.

FPÖ et demandeurs d'asile.

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Autriche. Le FPÖ veut étendre l’utilisation du bracelet électronique à certains demandeurs d’asile.

Suisse : Christoph Blocher prépare son retour.

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Voici un article du quotidien Suisse La Matin sur le sujet : http://www.lematin.ch/actu/-debat/christoph-blocher-prepa...

Le Député européen de la Ligue du Nord Mario Borghezio en Alsace.

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Mario Borghezio, député européen de la Ligue du Nord, était présent ce mercredi en Alsace :

http://www.alsacedabord.org/article.php3?id_article=824

Le parti a reçu un message de soutient du Député suisse de l'UDC Oskar Freysinger :

http://www.alsacedabord.org/article.php3?id_article=823 

Le MCG va déposer plainte contre une émission télévisée manipulée.

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Le Président du MCG Eric Stauffer a déclaré : « «Je mets en cause l'honnêteté, la probité et l'impartialité de la Télévision suisse romande lors du reportage intitulé 'L'esprit de famille', diffusé dans l'émission 'Mise au point' du 7 mars (2010)».

 

La plainte, dont l’auteur est le Député du MCG Mauro Poggia, sera déposée lundi matin auprès de l'Organe de médiation de la Radio télévision suisse (RTS) et de l'Autorité indépendante d'examen des plaintes en matière de radio-télévision (AIEP).

Pays-Bas : le PVV deuxième parti du pays dans un sondage.

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Un sondage en vue des prochaines élections législatives aux Pays-Bas donne le PvdA (Parti travailliste) premier devant le PVV de Geert Wilders. C’est la conséquence du retrait de Wouter Bos et de son remplacement par Job Cohen en tant que candidat de tête du PvdA. Selon ce sondage, le PVV qui détient 9 sièges passerait à 26 sièges (contre 27, il y a un mois).

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Parti                   Sièges à la Deuxième chambre.Sondage du 7 mars 2010. Sondage du 14 mars 2010.

Geert Wilders malade dans un hôtel allemand.

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Le président du PVV néerlandais, Geert Wilders, a été malade ce samedi soir, alors qu’il se trouvait dans un hôtel de Monschau (Montjoie) en Allemagne. Les médecins ont diagnostiqué que Geert Wilders souffre d’épuisement.

Geert Wilders a envoyé un SMS après minuit afin de dire que tout va bien.

Depuis l’assassinat de Theo Van Gogh en 2004, Geert Wilders vit sous protection policière permanente. Il est le chef de groupe parlementaire du PVV à la Deuxième chambre des Pays-Bas et est élu, depuis peu, conseiller municipal à La Haye (Den Haag).

12/03/2010

Berlusconi : "un plan contre nous".

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« Berlusconi : ‘un plan contre nous’ » (Barbara Fiammeri, Il Sole 24 Ore) :
« Pour Berlusconi, face au public du PdL, ce n’est pas d’un hasard si les problèmes sont apparus ‘seulement’ à Rome et Milan : un complot a été ourdi, une ‘saloperie’ de la ‘magistrature politisée’. Le centre droit a perdu 4 points dans les sondages, il le reconnaît mais ne baisse pas les bras. R. Polverini s’inquiète : ‘il faut dire aux gens qu’ils peuvent voter, qu’il n’est pas vrai qu’il n’y ait pas de candidature’. Berlusconi le redit : ‘s’il n’y a pas de liste PdL, il suffira de cocher le nom de Polverini’. Tout en disant ne plus vouloir de bureaucratie, il attend la décision du Conseil d’Etat samedi : ‘j’ai confiance (…) je ne vois aucune raison pour que le premier parti italien soit absent de Rome’. En attendant, hier, Bossi se demandait encore, irrité, comment le PdL pouvait ‘s’être laissé avoir par les Radicaux’. Le chef de la Ligue attend les résultats en Vénétie, en Lombardie et au Piémont. Puis on l’entendra, c’est sûr. »

« La rue, la Ligue, les doutes – Deux pièges pour le Cavaliere » (Francesco Verderami, Corriere Della Sera) :
« Cette ‘petite marche sur Rome’ n’enthousiasme ni Bossi ni l’état-major du PdL. Nul ne se défilera, nul ne veut faire perdre à Berlusconi son pari du 20 mars, ni Bossi, ni ceux qui, au PdL, avaient conseillé à Berlusconi d’autres sites. Mais lui a décidé que ce serait place Saint-Jean-de-Latran, là où tout a recommencé en 2006, après la défaite face à Prodi, là aussi où fut scellée la nouvelle alliance avec Bossi et Fini, qui allait le ramener 2 ans plus tard au palais Chigi. Selon un proche, ‘le climat n’est plus le même, et le président du Conseil doit donner au PdL l’image d’une force révolutionnaire et pacifique, pour ne pas laisser la Ligue apparaître comme seule force de changement’. Berlusconi, qui avait besoin de Bossi, a ravalé sa contrariété quand le chef de la Ligue les a traités ‘d’amateurs en déroute’ – boutade que ses hommes continuent d’utiliser en campagne pour prendre des voix au PdL. Bossi sera là, avec ses deux candidats (‘parce que nous sommes une équipe’), mais il marque ses distances. R. Maroni et R. Calderoli ne seront pas là ; comme ils l’ont expliqué : ‘nous sommes une force territoriale, mieux vaut rester à l’écart’. Une partie de la Ligue à Rome et l’autre dans le Nord, pour batailler contre ses alliés : en Vénétie, elle a 10 points d’avance sur le PdL ; au Piémont, elle a triché en diffusant une lettre électorale avec son seul logo ; en Lombardie, R. De Corato a déclaré lors d’un dîner ‘nous devons nous défendre de l’ennemi, et comme ce n’est pas la gauche qui peut nous créer des problèmes, mon allusion est claire’. Et dire qu’il faut remplir la place Saint-Jean-de-Latran. A Berlusconi de faire un miracle. »

« Dernier sondage : 4 régions en balance » (Renato Mannheimer, Corriere della Sera) :

« 3 régions sûres pour le centre droit (Lombardie, Vénétie, Calabre), 6 pour le centre gauche (Emilie-Romagne, Toscane, Marches, Ombrie, Pouilles, Basilicate) et 4 incertaines : Piémont, Ligurie, Latium et Campanie. Tels sont les résultats du dernier sondage, avant le black out imposé par la loi électorale. Mais 19 % n’ont pas encore décidé et 17 % ont changé d’avis après le chaos des listes ; enfin va peser l’abstention, prévue en hausse. Outre sa portée locale, vu les compétences des régions (dont, d’abord, la santé), le scrutin revêt une importance notable au plan des équilibres nationaux. Nul ne peut dire à ce stade avec précision quelle en sera l’issue. Les quinze jours à venir pourraient orienter le choix des 19 % d’indécis, voire modifier certaines intentions de vote. Au Piémont, Bresso a une très courte avance (1 point) sur son rival Cota. En Ligurie, l’écart est un peu plus net, mais toujours réduit : Burlando, centre gauche, affiche 2 points d’avance. Situation encore plus contradictoire dans le Latium : les dernières indications placent Bonino en tête, mais de très peu ; le cafouillage des listes a désorienté la campagne de Polverini et l’absence d’une liste importante comme celle du PdL nuit au centre droit. En Campanie, enfin, Caldoro, centre droit, paraissait en tête jusqu’ici, mais une dernière étude suggère une victoire de De Luca, centre gauche. Au total, le centre gauche, qui s’était s’adjugé 11 régions sur les 13 en 2005, pourrait en conquérir entre 7 et 9. Mais certaines pèsent plus lourd que d’autres, d’où l’intérêt de calculs globaux des voix allant aux principaux partis – et les derniers événements semblent avoir influé sur les intentions de vote : le PdL paraît s’être affaibli de deux points en un mois ; la Ligue, elle, tient bien ; le PD se renforce un peu, mais moins que le PdL ne baisse. Principale inconnue : l’abstention. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome.)

Rotterdam : recomptage des voix terminé.

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Le recomptage des voix obtenues par les différents partis lors des élections municipales de Rotterdam est terminé. Le PvdA (Parti socialiste) reste le premier devant Leefbaar Rotterdam (Rotterdam Vivante).

Le BNP peut recruter de nouveaux membres.

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Royaume-Uni. La Cour du comté de Londres a décidé de dégeler la liste de membres du BNP. Le parti est autorisé à recruter de nouveaux membres.

Le Conseiller municipal Geert Wilders entre en fonction.

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Jeudi soir, le nouveau Conseil municipal de La Haye (Den Haag) a été mis en place. Geert Wilders, le chef de file du PVV, en est membre. De nombreux médias ont assisté à la séance.

 

Le PvdA (Parti socialiste) a exclu le PVV des négociations. Les autres partis politiques ne trouvent pas cela normal et demandent des explications au PvdA (Parti socialiste).

 

Voir la vidéo : http://www.ad.nl/ad/nl/1421/Binnenland/video/detail/46938...

11/03/2010

Rapprochement entre pro Köln / pro NRW et l’UDC.

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Le président du groupe d’élus de l’UDC dans le canton suisse d’Aargau, Andreas Glarner, et le secrétaire général et adjoint du président de pro Köln, Markus Wiener, se sont rencontrés le 3 mars 2010.
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Lors de la conférence de pro Köln / pro NRW du 27 mars 2010 au château de Horst à Gelsenkirchen, un représentant de l’UDC sera présent.

Le PDL absout par Berlusconi. Bossi enrôlé pour la dernière bataille.

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« Berlusconi : ‘ils ont bloqué nos listes’. Le PdL absous : ‘la faute aux Radicaux et aux juges’ ; ‘même pénalisés, nous vaincrons’ » (Barbara Fiammeri, Il Sole 24 Ore) :
« le PDL absous par Berlusconi : à la conférence de presse convoquée pour ‘faire toute la lumière sur l’affaire des listes’, il a redit que les hommes du PdL n’avaient ‘aucune responsabilité’. Cela s’intègre à sa nouvelle stratégie en vue de souder le centre droit et de reconquérir une partie de l’électorat déçu, potentiellement abstentionniste. La Ligue a annoncé qu’elle serait avec Berlusconi à la manifestation du 20 mars. Gianfranco Fini, lui, n’y sera pas – absence motivée par son rôle institutionnel (‘le président de la Chambre ne participe pas à des manifestations’), ce que Berlusconi comprend, ne souhaitant pas de tension avec l’ex-chef d’AN, pour l’heure du moins. Si le Cavaliere a rejeté, lapidaire, toute idée de report du scrutin, la piste judiciaire n’est pas abandonnée : le PdL attend que le Conseil d’Etat se prononce, samedi, et il a déposé un recours contre la décision du bureau électoral de ne pas réadmettre la liste. Pour Berlusconi, il y a trop de bureaucratie et trop peu d’attention au fond. Il veut changer les règles de présentation des listes pour permettre aux partis déjà présents au Parlement ou au sein du conseil régional de ne pas devoir procéder au recueil de signatures ‘qui sert seulement à éviter que des partis sans représentativité effective ne se présentent’. »

« Bossi enrôlé pour la dernière bataille » (Amedeo La Mattina, La Stampa) :
« Le moral à zéro, les troupes ont 10 jours pour organiser la manifestation et remplir l’immense place Saint-Jean. Le 20 ou le 21 mars, d’ailleurs ? Les deux dates sont déjà prises par le mouvement contre la privatisation de l’eau le 20 et le marathon de Rome le 21. Alemanno n’était-il pas au courant ? Sans compter les complications politiques : U. Bossi n’exulte pas à l’idée d’envoyer ses candidats présidents exprimer leur solidarité au PdL du Latium, auteur du cafouillage romain, surtout le dernier week-end de campagne. Mais il a finalement confirmé sa présence. A la tribune, avec Berlusconi, il y aura les 13 candidats qui exposeront leur programme en synergie avec le ‘gouvernement du faire’ : le plan logement et la promesse bucolique de planter des millions d’arbres, mais surtout la défense du droit de vote. Berlusconi veut radicaliser l’affrontement pour redresser sa cote de popularité – et récupérer les 800 000 voix de la liste PdL qui n’est plus en les aiguillant vers la liste Polverini, quasi inconnue. Rude tâche, mais il l’a acceptée – tandis que les autres (lire Fini), dit-on dans son entourage, jouent les ‘filles de l’air’. Pour O. Napoli ‘ou Saint Silvio nous sauve ou nous sommes fichus ; une partie d’AN est critique et prend ses distances, et puis ils appellent Berlusconi au secours’. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Le MCG veut réserver certaines fonctions aux Suisses.

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Le Mouvement citoyens genevois (MCG) vient de déposer un projet de loi au Grand Conseil en vue de préserver aux Suisses les postes de policiers, gardiens de prison, gardes diplomatiques  et contrôleurs de parking. Raison invoquée : les personnes qui exercent ces fonctions sont détentrices de la puissance publique.

Rotterdam : recomptage des voix.

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Environ deux cent fonctionnaires de la municipalité de Rotterdam ont commencé, ce matin, le recomptage des voix obtenues par les différents partis lors des élections municipales.