16/05/2025
L'AfD obtiendra-t-elle la présidence de six commissions parlementaires ?
Allemagne. Ce mercredi 21 mai 2025, les dirigeants des 24 commissions permanentes de la Chambre des députés seront élus. L’AfD doit obtenir la présidence des 6 commissions suivantes : Intérieur, Finances, Budget, Affaires sociales, Affaires juridiques, Pétitions. La question qui se pose est de savoir si les possibles futurs présidents AfD de ces commissions obtiendront le vote des députés d’autres partis.
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Un député de l'AfD réprimandé par la vice-présidente de la Chambre pour avoir utilisé le mot "remigration".
Allemagne. Un député du parti patriotique AfD reçoit une réprimande de la vice-présidente sociale-chrétienne CSU de la Chambre des députés pour avoir utilisé le mot « remigration ».
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"Giorgia Meloni et l’appel téléphonique avec Léon XIV."
Italie. Revue de presse.
Les Unes du jour portent sur les négociations prévues à Istanbul entre la Russie et l'Ukraine « Aujourd’hui le sommet, insultes Moscou-Kiev » (Corriere della Sera), « Moscou-Kiev, négociations entre les piques » (Repubblica), « Ukraine, la farce d'Istanbul » (Stampa), « Ukraine, le sommet vers un flop » (Messaggero), « Insultes et accusations, la paix est loin entre Moscou et Kiev » (Giornale).
La Stampa : « Cette fois-ci, il sera difficile de ne pas être présent. À Tirana, Giorgia Meloni retrouvera les dirigeants du groupe des « Volontaires ». Après les photos historiques prises au Vatican dont elle a été exclue, après le voyage à Kiev de la semaine dernière dont elle s'est écartée, la Présidente du Conseil est désormais appelée à donner un signal. Être présent ou absent n'est plus une question de malchance ou de géographie. En Albanie, pour la Communauté politique européenne, les dirigeants de 47 pays seront prêts à discuter de l'avenir du Vieux Continent. Parmi eux, Emmanuel Macron et Keir Starmer, à la tête des volontaires qui ont l'intention de mener le conflit en Ukraine vers la paix aux côtés de Donald Trump. Une coalition qui, selon les informations qui filtrent de l'effervescence diplomatique albanaise, envisage une réunion en marge de la CPE qui débutera ce matin à Tirana. Afin de rétablir l'équilibre de la position italienne, liée au soutien à Kiev et aux initiatives de Trump, Meloni travaille à la mise en place d'une rencontre bilatérale avec Zelensky. Une rencontre en tête-à-tête aura lieu demain à Rome, avant que le président ukrainien ne participe dimanche à l'intronisation du pape Léon XIV ». Il Foglio : « La date limite initialement fixée par la coalition des volontaires était lundi à minuit. Elle a ensuite été repoussée à la fin de cette semaine afin d'attendre les réunions en Turquie. Les Européens auront-ils la capacité et la volonté d'aller de l'avant même sans les États-Unis ? S'ils ne le font pas, leur parole sur leur engagement en faveur de l'Ukraine ne vaudra plus rien. Poutine aura alors gagné son pari. En effet, lors de la ministérielle de l’OTAN à Antalya, le ministre français Jean-Noël Barrot a écrit sur les réseaux sociaux : ‘’ Avec le sénateur [américain] Graham, nous sommes prêts à renforcer les sanctions si la Russie continue à faire obstacle à la paix’’. ». Repubblica : « Il est possible que l'Ukrainien rejoigne les « volontaires » Emmanuel Macron, Friedrich Merz et Donald Tusk. La nouveauté, selon certaines informations, est que Meloni, après plusieurs jours d'exclusion, serait également prête à participer. L'autre option serait qu'elle reçoive le président ukrainien demain à Rome ».
La visite à venir de F. Merz à Rome. Repubblica : « L’Italie n’est plus un allié stratégique ;Pressions du SPD sur Merz » : « La CDU parle officieusement d’une « erreur ». Mais pour le gouvernement à tendance chrétienne-démocrate, la nouvelle publiée hier par le quotidien Welt est embarrassante. Et il a déjà déclenché une tempête en Italie. En outre, à la veille du premier voyage de Friedrich Merz à Rome. Et la nouvelle, c'est que lors des négociations pour la définition du contrat de coalition, le partenaire social-démocrate au gouvernement aurait insisté pour exclure l'Italie de Meloni des pays stratégiques avec lesquels élargir le « format Weimar » classique, à savoir l'Allemagne, la France et la Pologne. ». Corriere della Sera : « « Tajani lance une critique ouverte au gouvernement allemand à la veille de la visite de Merz à Rome. Le Chancelier cherche un rapport robuste avec Meloni mais les failles de la coalition allemande en politique intérieure pourraient se répercuter aussi en politique étrangère ». Foglio : « Dans l’agenda européen de Merz l’Italie est le grand absent, mais sur des dossiers comme la défense européenne, l’Allemagne aura nécessairement besoin de l’industrie et des financements italiens et la nécessité d’une stratégie commune sur l’énergie, qui est une priorité pour les industries des deux pays ».
Intronisation à venir de Pape Léon XIV. Messaggero : « Giorgia Meloni et l’appel téléphonique avec Léon XIV : ‘sur la Guerre comme sur l’IA, nous [sur la même ligne que] le Vatican’ ». « La Présidente italienne du Conseil téléphone au Pape et souligne dans le communiqué diffusé à l’issue que ‘l’Italie apprécie et soutient les efforts du Saint-Siège pour la paix et la cessation des conflits dans tous les théâtres de crise’. C’est leur premier contact, qui aura duré 15 minutes. L’IA semble être un thème qui tient particulièrement à cœur au Pape Léon XIV aussi, mathématicien et fort de son background scientifique. Giorgia Meloni a donc identifié ce dossier comme le point de départ de la construction d’un nouvel axe. Léon XIV pourrait apporter une contribution décisive à la gouvernance mondiale en matière d’intelligence artificielle. Ce dimanche, 250 000 fidèles sont attendus avec une nouvelle grande épreuve pour Rome, après que celle des obsèques du Pape François a été passée haut la main, tout ayant fonctionné à la perfection. » Messaggero : « Si Giorgia Meloni n’apparaissait pas sur la photo de groupe faite à l’occasion des funérailles du Pape François - entre Trump, Macron, Starmer et Zelensky immortalisés à Saint-Pierre – ni à Kiev aux côtés des autres leaders il y a quelques jours, la Présidente du Conseil tentera peut-être cette fois de faire davantage ressortir son rôle de protagoniste parmi les protagonistes face à un monde à remettre en ordre. D’ailleurs, même s’il ne sera peut-être pas présent dimanche pour représenter la France, le président E. Macron, dont les relations avec la droite italienne ne sont pas idylliques, a échangé hier au téléphone avec le pape Léon XIV. C’est le chef du gouvernement, F. Bayrou, centriste apprécié de Giorgia, qui pourrait être là. »
Réarmement. La Repubblica : « Meloni cherche à gagner du temps sur le ReArm » : « La dernière fois qu'elle en a discuté avec ses vice-présidents du Conseil, il y a quelques jours, Giorgia Meloni a résolu ainsi le dilemme concernant l'hypothèse d'activer la clause de flexibilité européenne pour dissocier les dépenses militaires du déficit : on en reparlera le 26 juin. La date n’est pas anodine : le 25 s’achèvera le Sommet de l’OTAN à La Haye, une fois que l’entité des engagements avec l’Alliance Atlantique sera fixée, jusque-là à 2% du PIB. Trump pourrait demander jusqu’à 5% mais un compromis est possible à 4%. Le Palais Chigi et le Trésor prendront les chiffres à disposition sur les comptes publics et tenteront de tracer des routes difficiles pour maintenir les engagements pris. Meloni ne pourra pas dire non à la clause de sauvegarde, car elle sait que sur la promesse d’un réarmement, Trump considère cela indérogeable. Le Palais Chigi attend ainsi la fin du sommet OTAN pour décider comment faire avec Bruxelles ». Sole 24 Ore : « A Antalya, le vice-président du Conseil Tajani (Forza Italia) a confirmé que l'Italie avait atteint l'objectif de 2 %. Le ministre de la Défense, Guido Crosetto (Frères d’Italie), l'a également annoncé hier depuis l'Italie. Mais les parlementaires d'Italia Viva, du M5S et de l'AVS contestent ces chiffres. En particulier, le député du M5S, Francesco Silvestri, a demandé « une information urgente au ministre Crosetto ou au ministre Tajani ». Corriere della Sera : « les déclarations de Tajani ont suscité la réaction du M5S « on oublie le système sanitaire, les salaires et la hausse des prix énergétiques » et d’Italia Viva « reste à comprendre où le gouvernement est arrivé à trouver l’argent pour ce faire » »
Corriere della Sera, Carlo Fidanza (Frères d’Italie), vice-président d’ECR : « « Je n’ai pas l’impression que l’activisme des « Volontaires » ait favorisé des accords de paix. On accuse l’Italie d’être marginalisée mais on ne comprend pas bien par rapport à quoi. Je pense que l’Europe parviendra à avoir un poids dans la phase de reconstruction après la guerre et sur cela l’Italie est déjà fortement engagée. Nous sommes favorables à une augmentation des dépenses de défense, mais dans le cadre de l'OTAN. Il serait absurde de ne pas disposer d'une défense solide ou de faire un double emploi en dépensant seize fois moins que ce qui existe déjà. Il existe des codes, des langages, des opérations qui font partie de l'expérience et du fonctionnement de nos forces armées, et ce dans tous les pays de l'OTAN. C'est sur cela qu'il faut travailler. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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André Ventura quitte l'hôpital.
Portugal. Le dirigeant de Chega André Ventura quitte l'hôpital et rentre chez lui.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2025/05/14/and...)
00:19 | Lien permanent | Commentaires (0)
15/05/2025
Le bulletin de vote pour le deuxième tour des élections présidentielles roumaines.
Roumanie.
18:31 | Lien permanent | Commentaires (0)
Hesse : l'AfD demande que le drapeau allemand soit déployé dans les écoles.
Allemagne. Hesse. Le groupe des élus du parti patriotique AfD au sein du Parlement de Hesse demande que le drapeau allemand soit déployé dans les écoles.
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"Affrontement entre Meloni et les oppositions"
Italie. Revue de presse.
Les Unes du jour portent sur l'absence annoncée de Vladimir Poutine lors des négociations d'Istanbul ("Ukraine, un sommet sans Poutine" Corriere della Sera, "négociations à Istanbul, Poutine renonce, Trump se défile aussi" Repubblica, "Paix, la faille de Poutine, Zelensky : je suis prêt à tout" Stampa, "Istanbul, la gifle de Poutine" Messaggero), ainsi que sur les discours de Sergio Mattarella et Mario Draghi sur l'Europe ("Europe, que personne ne dorme" Repubblica, "la secousse de Mattarella et Draghi, 'sur les droits de douane, l'Europe ne peut pas dormir'" Messaggero).
Les JT couvrent essentiellement, outre les sujets traités par les quotidiens, l’audition de Giorgia Meloni à la Chambre, les suites d’une enquête dans une affaire de féminicide, les intempéries prévues dans le sud de l’Italie et l’alerte météo en Sicile.
Repubblica : "Le "personne ne doit dormir" du président italien Sergio Mattarella adressé à l’UE qui parle d’ ‘urgence pour la Défense’ ». « Le chef de l’État italien à Coimbra, au Portugal, évoque le paysage européen aux côtés de l’ancien premier ministre italien Mario Draghi et du roi Felipe. Le Président italien cite l’opéra de Puccini et son appel à ce que ‘personne ne dorme’ qui ‘pourrait s’appliquer à notre Union’ avant de lancer un appel clair à l’action : ‘il est urgent, je dirais prioritaire, que l’Europe agisse car l’immobilité n’est plus une option’. L’entente particulière entre S. Mattarella et M. Draghi dure dans le temps, leur européisme passionné émerge ici et leurs discours respectifs se font écho et se superposent, en particulier sur la défense commune et la compétitivité. ‘Nous sommes en retard par rapport aux événements’ dit S. Mattarella à propos d’une armée européenne. Le Président italien rappelle que l’Europe est face à un choix historique. Il appelle à déployer une ‘stratégie industrielle pour la relance de la compétitivité’ dans des domaines tels que la robotique avancée, l’IA générative, la recherche pour la production d’énergie propre, les biotechnologies et l’aérospatial. Il demande de garantir la sécurité des approvisionnements, de redonner confiance aux marchés, invite à regarder vers l’avenir avec optimisme ‘sans sous-estimer la gravité de la situation’. Il souligne ‘l’exceptionnalité européenne’.
« Le discours de Mario Draghi sur l’Europe est une véritable secousse. "Sur les droits de douane, nous sommes à point de rupture dans un ordre mondial en crise" ». « Les anciennes règles sont sur la sellette, l’Europe doit se rendre plus autonome, c’est un pari risqué que de croire en des relations internationales normalisées’. ‘Le recours massif à des actions unilatérales pour résoudre les controverses commerciales a miné le multilatéralisme de manière difficilement réversible’. ‘Bien que nous ayons fourni près de la moitié de l’aide militaire à l’Ukraine, nous serons probablement spectateurs des négociations de paix’. Il appelle à miser sur la compétitivité interne en s’appuyant sur trois axes : l’énergie, la défense commune, la technologie. Sur le plan économique, ‘les espoirs que l’ouverture vers le monde puisse remplacer les Etats-Unis [à court terme] seront probablement déçus.»
Repubblica : « Israël, réarmement et santé ont été les principaux sujets de dispute hier à la Chambre, c'est l'affrontement entre Meloni et les oppositions ». « La leader intervient au sujet de Gaza dénonçant une situation de plus en plus injustifiable. C’est la première fois que la Présidente du Conseil réagit à l’annonce de l’invasion de Gaza par Netanyahou il y a dix jours mais reste plus évasive qu’au Sénat, prenant ses distances du premier ministre israélien de façon très diplomatique. En matière de politique intérieure, elle lance une série de piques à l'attention du Parti démocrate et du Mouvement 5 Etoiles. Elly Schlein fustige une série de "décrets qui sont du vent" donnant lieu à un véritable duel entre les deux. ‘’On se fait avoir sur la Défense" quant à lui Giuseppe Conte. » « Un litige éclate autour du Moyen-Orient car la droite, et Giorgia Meloni, ne se lève pas lors de la minute de silence demandée par Giuseppe Conte pour les victimes palestiniennes. » Corriere « Entre les deux leaders [G. Meloni et E. Elly Schlein], on a assisté hier un avant-goût de la bataille électorale qui ne sera pas pour tout de suite. Or il sera difficile que chacune reste campée sur ses positions, notamment pour faire évoluer la loi électorale vers davantage de proportionnelle les deux leaders devront se parler. » Messaggero : « Meloni travaille à l’axe avec Merz ‘Dialogue sur le secteur automobile et compétitivité’. « ‘Nous sommes en train de discuter sur la façon dont l’Italie et l’Allemagne peuvent relancer leur base industrielle’ affirme la Présidente du Conseil pendant son audition à la Chambre. Friedrich Merz avait promis à Giorgia Meloni qu’une de ses premières visites auraient été à Rome. La rencontre bilatérale devrait avoir lieu samedi à Rome à 18h. Sur le recul du spread elle revendique ce résultat : ‘le mérite revient à notre stabilité’. ‘Il est fondamental de supprimer les droits de douane internes qui minent l’économie européenne’. Et enfin, ‘le gouvernement italien ne rappellera pas son ambassadeur en Israël indique-t-elle. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Aue-Bad Schlema : les post-communistes votent une motion initialement rédigée par le parti nationaliste Freie Sachsen.
Allemagne. Saxe. Aue-Bad Schlema. Les démocrates-chrétiens de la CDU, les post-communistes de Die Linke, les nationalistes de l’AfD et les nationalistes de Freie Sachsen ont approuvé au conseil municipal une motion émanant de la CDU mais initialement rédigée par le parti nationaliste Freie Sachsen. La seule élue des sociaux-démocrates du SPD s’est abstenue. Suite à des actes de violence commis par des demandeurs d’asile, la proposition prévoit, entre autres, de ne plus héberger dans la zone urbaine les demandeurs d'asile ayant commis des délits dans le passé.
[Lors des dernières élections municipales à Aue-Bad Schlema, l'AfD est arrivée en tête avec près de 22 %, la CDU en deuxième position avec 21,4 %, les Saxons libres ont obtenu 12 % et Die Linke moins de 5 %. ]
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George Simion, Marion Maréchal, Giorgia Meloni, Mateusz Morawiecki.
Italie, Roumanie et UE. George Simion (Roumanie), Marion Maréchal (France), Giorgia Meloni (Italie), Mateusz Morawiecki (Pologne) et Antonio Giordano (Italie) se sont réunis à Rome afin de soutenir la candidature de George Simion au deuxième tour des élections présidentielles roumaines et celle du candidat de Droit et justice au premier tour de l'élection présidentielle polonaise Karol Nawrocki.
00:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
14/05/2025
Un célèbre journaliste magyarophone appelle à voter pour George Simion.
Roumanie. Alors que le vote des magyarophones de Roumanie s'annonce décisif pour le deuxième tour des élections présidentielles de ce dimanche, le célèbre journaliste magyarophone de Roumanie vivant en Hongrie Árpád Szakács appelle à voter pour le nationaliste roumain George Simion qui, selon lui, est moins dangereux pour les magyarophones de Roumanie que la marionnette roumaine du Nouvel ordre mondial Nicușor Dan.
Árpád Szakács
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Matteo Salvini soutient à Rome George Simion.
Italie et Roumanie. Le dirigeant de la Ligue et vice-Premier ministre italien Matteo Salvini a soutenu aujourd'hui à Rome le candidat nationaliste au deuxième tour de l'élection présidentielle roumaine George Simion.
George Simion et Matteo Salvini
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"Tajani, le coup de froid avec Meloni au sujet de Kiev."
Italie. Revue de presse.
Les Unes portent sur l'Ukraine ("Kiev le défie, Poutine se refuse" Corriere, "Poutine insulte l'Europe" Repubblica, "Ukraine : Poutine insulte et négocie" Stampa, "Ukraine : Poutine fuit la paix" Giornale), le voyage de D. Trump au Moyen-Orient (Repubblica), ainsi que la condamnation de G. Depardieu pour agressions sexuelles (Repubblica, Stampa, Messaggero).
Ukraine / déclarations A. Tajani (Forza Italia). Repubblica : « Antonio Tajani, lance un appel sur Kiev "Il faut maintenant du courage pour être des protagonistes". « Le raisonnement du ministre des Affaires étrangères n’est pas neutre, au contraire : il est empli d’inquiétude. Il est formulé après plusieurs jours où Rome est restée à l’écart des échanges de haut niveau sur l’Ukraine, entre les pays "volontaires", ou menés par le secrétaire d’État américain Marco Rubio avec les autres grands européens. S’exprimant au siège du Parlement européen à Rome, le ministre lance un appel. A Matteo Salvini, tout d’abord. Mais pas seulement. Il parle de l’Italie, de son rôle incontournable de pays de premier plan sur le continent européen. Et il semble dire, avec toute la nuance diplomatique qui lui incombe : ‘attention à ne pas perdre de terrain, à ne pas sortir du peloton de tête de l’Europe. En bref : rester dans le jeu’. Il demande davantage de courage, alors même que l’antagonisme avec Bruxelles, en particulier l’axe franco-britannique, a produit des fruits diplomatiques difficiles à gérer. Mais à qui, puisqu’il partage la responsabilité avec le Palais Chigi en matière de politique étrangère ? Selon lui, la difficulté nait de la pression ‘isolationniste’ exercée par Matteo Salvini. Si avec la Présidente du Conseil chaque position est concertée, concernant le voyage à Kiev des leaders européens, sans G. Meloni, c’est la surprise qui a prévalu. » Corriere : « Tajani, le coup de froid avec Meloni au sujet de Kiev ». « A la Farnesina on s’empresse de souligner que les relations avec Meloni sont excellentes. Pourtant, pour la première fois depuis qu’il est en poste, le ministre A. Tajani envoie une série d’avertissements : selon lui on ne peut pas trop s’éloigner ni des alliés européens, ni de Bruxelles sans risquer de finir dans les limbes de l’insignifiance ou d’être relégué au second plan. « Il faut avoir le courage de jouer un rôle de protagoniste pour la paix en Europe, en Ukraine, au Moyen-Orient ». Des propos qui semblent adressés également à la Présidence du Conseil et frôlent la critique à Giorgia Meloni pour s’être éloignée de Paris comme de Londres. ‘’Si certains voulaient ébranler l’UE, Forza Italia et moi-même resterions du côté de l’UE’’ précise le ministre. De son côté, G. Meloni poursuit son travail diplomatique en téléphonant à Erdogan. »
Cinéma/ pétition. Repubblica : « La révolte du cinéma "Notre secteur est en crise, le ministre Alessandro Giuli (indépendant) doit nous respecter". De Paolo Sorrentino à Marco Bellocchio, une pétition signée par cent artistes pour soutenir l’acteur Elio Germano et la présentatrice Geppi Cucciari. Le ministre italien de la Culture est accusé de ne pas faire grand-chose et mal face à la crise du cinéma, l’une des premières industries culturelles du pays. Les réalisateurs les plus célèbres et les visages les plus appréciés du grand et du petit écran s’unissent pour demander une rencontre avec les associations du secteur et cesser les attaques inacceptables contre ceux qui ont dénoncé les premiers la situation. Un cri de douleur qui traverse l’ensemble des professionnels du secteur, au-delà des sensibilités politiques. Le ministre répond en en appelant à Bruxelles : ‘il faut renforcer le modèle européen de financement’ établissant un parallèle avec les dépenses pour la Défense. Fratelli d’Italia dénonce des ‘attaques instrumentalisées’. Le Parti démocrate les encourage : ‘maintenant, le ministre doit venir s'expliquer devant le Parlement’. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Slovénie : le SDS est donné à 31 % et le SNS à 3 %.
Slovénie. Le SDS de Janez Janša est donné premier à 31 % et le parti patriotique SNS à 3 % au sein d’un sondage Mediana.
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Flandre : des offres d'emploi inconstitutionnelles.
Belgique. Flandre. Le Vlaams Belang dénonce le fait que le gouvernement flamand publie des offres pour des emplois dans l’administration qui sont ouvertes à des étrangers non ressortissants de l’Union européenne, alors que cela n’est pas conforme à la Constitution belge.
12:18 | Lien permanent | Commentaires (0)
André Ventura est hospitalisé.
Portugal. Alors que les élections législatives ont lieu ce dimanche 18 mai 2025, le dirigeant de Chega André Ventura a été hospitalisé à l'hôpital de Faro. Il espère sortir au cours des prochaines heures. Il a eu un malaise lors d’un rassemblement électoral alors qu’il tenait un discours.
André Ventura
12:13 | Lien permanent | Commentaires (0)
George Simion en Pologne.
Pologne et Roumanie. Le candidat nationaliste roumain au second tour de l'élection présidentielle George Simion a pris part en Pologne à un rassemblement électoral du candidat conservateur de Droit et justice (PiS) à l'élection présidentielle polonaise Karol Nawrocki.
George Simion et Karol Nawrocki
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13/05/2025
Le dossier secret de l'Office fédéral de protection de la Constitution est publié par des médias de réinformation.
Allemagne. Des médias de réinformation publient le rapport secret de 1.100 pages de l'Office fédéral de protection de la Constitution ayant conduit au classement de l'AfD en tant que « cas d’extrême-droite avéré »
20:05 | Lien permanent | Commentaires (0)
Karin Prien demande l’abrogation de l’incompatibilité décidée par la CDU envers Die Linke.
Allemagne. Le nouveau ministre de l'Éducation et vice-présidente du parti démocrate-chrétien CDU Karin Prien demande l’abrogation de l’incompatibilité décidée par la CDU envers le parti post-communiste Die Linke. Le ministre-président CDU de Thuringe Mario Voigt appelle lui aussi à une révision de la situation.
13:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les élections pour le Parlement de Saxe-Anhalt auront lieu le 6 septembre 2026.
Allemagne. Saxe-Anhalt. Les élections pour le Parlement de Saxe-Anhalt auront lieu le 6 septembre 2026.
13:37 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les deux candidats au deuxième tour de l’élection présidentielle roumaine donnés à égalité 50 % / 50 %.
Roumanie. Un sondage AtlasIntel donne les deux candidats au deuxième tour de l’élection présidentielle à égalité 50 % / 50 %.
13:10 | Lien permanent | Commentaires (0)
HC Strache accepte son mandat au sein du conseil de district de Floridsdorf.
Autriche. Vienne. District de Floridsdorf. L’ancien vice-chancelier Heinz-Christian Strache accepte son mandat au sein du conseil de district de Floridsdorf, obtenu lors du scrutin du 27 avril 2025.
13:06 | Lien permanent | Commentaires (0)
La polémique interne au sujet de l’absence de Giorgia Meloni à Kiev.
Italie. Revue de presse.
Les Unes du jour portent sur les possibles négociations de paix en Ukraine « Trêve : Trump convoque Poutine » (Corriere della Sera), « Trêve, le bougé de Trump » (Repubblica), « Trump convoque Poutine et Zelensky » (Stampa), « Istanbul, Trump invite Poutine » (Messaggero), « Ukraine, Poutine échappe à la paix » (Giornale), la libération de l'otage israélo-américain (Corriere, Repubblica) et les droits de douane entre la Chine et les États-Unis (Messaggero, Corriere, Repubblica).
L’Ukraine. La Stampa : « Les contremesures des Volontaires de l’UE : des sanctions contre la Russie » « pour être efficace, cette initiative devra être accompagnée d'une action similaire de la part des États-Unis qui semblent toutefois s'être légèrement écartés de la position européenne, selon laquelle le cessez-le-feu est une condition préalable à la reprise éventuelle des pourparlers entre Poutine et Zelensky ». Il Foglio « le ministre français Jean-Noël Barrot a énuméré les « sanctions particulièrement puissantes et massives » qui devraient convaincre Poutine d'accepter le cessez-le-feu. Ces mesures devraient viser « les secteurs énergétique et financier », en particulier « le pétrole, qui représente 25 % du budget de la Russie », avec un droit de douane de 500 % imposé par les États-Unis aux pays qui importent du pétrole brut russe », a expliqué M. Barrot ». Domani « Sceptique sur le plan des Volontaires et silencieuse sur ce qui se passe à Gaza, Meloni semble faire une allergie aux scénarii incertains. Du coup, la présidente du Conseil semble être dans une zone d’ombre. Si la politique internationale est une vitrine importante, il est vrai aussi que cela n’est pas perçu immédiatement par les électeurs italiens. Selon un récent sondage Tecné, 43% des sondés estime n’être ni du côté de Kiev ni du côté de Moscou »
L’absence de G. Meloni à Kiev. La Stampa : « Il y a eu sans doute une erreur d’évaluation de la part de Meloni (attendre la réaction de Trump sur une telle initiative qui s’est ensuite révélée positive au vu d’un soupirail de négociation entre les parties en guerre) et décider de participer uniquement en visioconférence à la réunion tenue à Kiev. Mais derrière cela se cache aussi la crainte de voir une Europe contrainte d’intervenir directement et déployer une force internationale de paix ; chose qui représenterait pour Meloni un problème non seulement du point de vue d’un envoi de soldats italiens mais aussi de devoir affronter l’allié Salvini, désormais engagé dans une campagne pacifiste sur les mêmes positions de Marine Le Pen ». Foglio : « C'est probablement un certain désintérêt, pour ne pas dire une certaine irritation, à l'égard de l'activisme du président français qui l'a poussée à faire ce choix. Nul peut douter de la fermeté de Meloni sur l’Ukraine mais la politique se nourrit aussi d’images, et sur le plan médiatique, l’absence de Meloni a eu des retombées. On a pu voir une rétrocession, du moins médiatique, de l’Italie et de Meloni sur l’échiquier international. Une erreur reste une erreur ». Sole 24 Ore « Avec des partis d’opposition divisés, Meloni peut gérer facilement le rapport avec les leaders européens à sa manière, soit opportuniste, selon la contingence du jour et à sa convenance. Faisant toutefois attention à ne pas soustraire de l’espace à l’allié Trump. Il y a toutefois un autre allié qu’il faut regarder de près : le Chancelier Merz, que Meloni ne peut pas laisser entièrement à Macron. En effet, l’axe franco-allemand n’a jamais été propice pour l’Italie et il serait prudent d’essayer de ne pas rester exclus ».
Cérémonie d’installation à venir du Pape. Messaggero : « Les yeux de la présidente du Conseil sont fixés sur les colonnes de la Place Saint-Pierre où dimanche prochain, à la cérémonie d’installation du Pape Léon XIV, et sur la place où ils feront leur apparition plusieurs leaders mondiaux : le vice-président Usa Vance, le Premier ministre canadien Carney, l’Allemand Merz à ses débuts en Italie et probablement l’homme sous les projecteurs du monde, Zelensky. Au Palais Chigi, ils espèrent que les routes de la diplomatie mèneront encore une fois à Rome. Peut-être en détournant les polémiques des oppositions pour les photos de groupe manquées ces dernières semaines ». Foglio : « Comme lors des funérailles de François, même si elles seront plus modestes, les délégations des chefs d'État et de gouvernement du monde entier sont attendues. Et donc, en marge de la cérémonie (qui est devenue historique), un autre match parallèle se jouera peut-être. Composé, mais ponctuel : celui de la diplomatie. On sait déjà, par exemple, que le Chancelier allemand Friedrich Merz sera à Rome pour l'occasion et rencontrera, pour la première fois, la présidente du Conseil ».
Sole 24 Ore : « Lors du sommet de l'Eurogroupe, le Mécanisme Européen de Stabilité (MES) est revenu sur le devant de la scène et le ministre Giorgetti (Ligue), représentant le gouvernement, a de nouveau été interrogé sur l'intention de Rome concernant la ratification du traité, qui est toujours en suspens. Il semble que le ministre de l'Économie ait répondu qu'il n'était « pas optimiste », étant donné qu'un vote du Parlement est nécessaire et qu'il n'y a pas de majorité en raison de l'opposition de la Ligue et du FdI. Inutile de rappeler que notre pays est le seul à ne pas avoir approuvé le MES et que cela bloque la possibilité d'accès à cet instrument financier pour tous les autres États, même à des fins telles que celles dont il est question ces dernières semaines, à savoir la défense commune européenne ».
Foglio, Galeazzo Bisignani, chef de groupe de Fratelli d’Italia à la Chambre : « Les résultats sont plus importants qu’un selfie. Parfois, il faut aussi savoir être présent sans paraître. Giorgia Meloni n'était pas absente. Elle était présente, mais en visioconférence. En réalité, le choix du président du Conseil a coïncidé avec le point d'équilibre le plus sage et le plus concret qui pouvait être adopté. À Kiev, il y avait les membres de la coalition des « volontaires », dont l'Italie ne fait pas partie. La présence physique de Meloni aurait donc été incongrue. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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12/05/2025
Mecklembourg-Poméranie occidentale : l’AfD se qualifie pour le second tour dans trois districts.
Allemagne. Mecklembourg-Poméranie occidentale. Lors du premier tour de quatre élections directes d’administrateurs de districts, les candidats de l’AfD se qualifient pour le second tour dans les trois districts dans lesquels l’AfD a présenté un candidat.
CDU : démocrates-chrétiens
AfD : nationalistes
SPD : aociaux-démocrates
parteilos : sans parti
(https://www.faz.net/aktuell/politik/inland/landratswahlen...)
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Le Royaume-Uni désire réduire l'immigration.
Royaume-Uni. Alors que le parti patriotique Reform UK de Nigel Farage a le vent en poupe, le Premier ministre travailliste Keir Starmer promet de « reprendre enfin le contrôle » des frontières du pays et dévoile de nouvelles mesures pour réduire l’immigration légale.
(https://www.7sur7.be/monde/au-royaume-uni-starmer-sous-pr...)
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L’AfD du Brandebourg a envoyé une mise en demeure judiciaire au ministère de l’Intérieur du Brandebourg.
Allemagne. Brandebourg. L’AfD du Brandebourg a envoyé une mise en demeure judiciaire au ministère de l’Intérieur du Brandebourg, suite au fait que l’AfD du Brandebourg est désormais classée par l’Office de protection de la Constitution du Brandebourg en tant que cas d’« extrême-droite avéré ». L'AfD du Brandebourg estime que ce classement est injustifié.
15:47 | Lien permanent | Commentaires (0)