Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

16/03/2018

Alice Weidel met en garde face à un possible écroulement complet de l’Allemagne.

AfD.jpg

Allemagne. La co-présidente du groupe des élus de l’AfD à la Chambre des députés Alice Weidel met en garde face à un possible écroulement complet de l’Allemagne.

Horst Seehofer : "L'islam n'appartient pas à l'Allemagne."

CSU.jpg

Allemagne. Le ministre CSU Horst Seehofer a déclaré lors d’une interview donnée à l’organe de presse Bild que l’islam n’appartient pas à l’Allemagne.

15/03/2018

"Tournant Ligue-M5S pour le gouvernement."

Ligue.jpg

M5S.jpg

FI-AN.jpg

FI.jpg

Italie. Revue de presse.

Élections législatives en Italie – Unes : « Ligue-M5S, test de gouvernement » - ‘’Salvini et Di Maio cherchent un accord sur une nouvelle loi électorale pour voter en automne’’ (La Repubblica), « Tournant Ligue-M5S pour le gouvernement » - ‘‘Hypothèse d’accord entre Salvini et Di Maio avec la bénédiction de Grillo. La colère de Berlusconi’’ (La Stampa), « La Chambre à la Ligue, ouverture du PD » - ‘’Les démocrates pourraient soutenir l’homme de la Ligue Giorgetti’’ (Il Messaggero), « Axe Ligue-M5S, colère de Berlusconi » (Il Mattino).

 ARTICLE, Corriere della Sera A. Trocino « Salvini ferme la porte au PD mais pas au M5S » : « Salvini a commencé ses ‘’consultations’’ pour les présidences des deux Chambres en appelant Luigi Di Maio (M5S), ‘’un appel franc et cordial’’, Maurizio Martina (PD) et Pietro Grasso (LeU). Un gouvernement à terme ayant comme objectif la réforme électorale pour ensuite aller au plus vite aux élections est un des scénarios. Salvini ne l’exclut pas et songe même à une prime de coalition. Pour ce faire, il faut un gouvernement. Lequel ? Encore Gentiloni ? Salvini n’exclut pas cette possibilité - ‘’nous verrons, c’est au Chef de l’Etat d’en décider’’ – mais à ce stade, il sert ses cartes, en gardant en tête l’idée d’un gouvernement de centre droit ».

 

ARTICLE, Corriere della Sera, P. Di Caro : « Berlusconi dit non : ce serait mieux avec le PD » : « Silvio Berlusconi est conscient que cette crise sera difficile à résoudre mais il est aussi très motivé par l’objectif d’arriver à former un nouveau gouvernement durable pour éviter de nouvelles élections. Il souhaite convaincre Salvini et Meloni, qui ne sont pas du tout favorables à des contacts avec le PD ».

ARTICLE, La Stampa, A. La Mattina : « Berlusconi inquiété par la Ligue et son possible gouvernement avec le M5S » : « Le centre-droit est en train de se désunir et Salvini s’éloigne de Berlusconi et Meloni. Le chef de la Ligue a refusé la proposition de ces derniers de devenir Président du Sénat car il préfère sa position de leader centre-droit, il a néanmoins indiqué que les choix seront ‘’des choix d’équipe’’ avec le centre-droit, ce dont doutent ses alliés. En effet Salvini a également affirmé que hormis le PD, toute coalition est possible pour créer un gouvernement ‘’plus fédéral’’. Berlusconi était en revanche prêt à s’allier avec le PD plutôt que le M5S, mais reste sur ses gardes en cas de nouveau vote, ce qui l’exclurait probablement de toute alliance. Tajani a appuyé les propos de Berlusconi en rappelant qu’une partie des députés de la Ligue ont été élus grâce aux votes Forza Italia et Fratelli d’Italia. »

RETROSCENA (Coulisses), La Repubblica, C. Tito : « Le plan Ligue-M5S : gouvernement pour refaire la loi électorale et voter en automne » : « La Ligue et le M5S ont entamé hier parallèlement des consultations pour trouver un accord sur les noms des présidents des deux Chambres et ils pourraient se rencontrer d’ici le 23 mars. Mais le rapprochement entre Salvini et Di Maio, au détriment de Silvio Berlusconi (FI), s’explique aussi par la recherche possible d’une entente sur l’hypothèse d’une nouvelle loi électorale pour organiser de nouvelles élections en automne. Le nouveau gouvernement serait dirigé par un juriste pour arriver à introduire la prime de majorité. Ces discussions ont provoqué la colère de Berlusconi, alors qu’il existe une ouverture venant du PD pour soutenir l’homme de la Ligue, Giorgetti, à la présidence de la Chambre ».

ARTICLE, Il Messaggero, M. Conti : « La Chambre et la tentation démocrate : voter Giorgetti anti M5S » : « Salvini endosse le rôle de leader centre-droit qui a longtemps été celui de Berlusconi, mais ses alliés centre-droit espèrent qu’ils seront consultés pour les nouveaux Présidents des Chambres. Le PD, conduit par Martina, se dit apte à entrer dans un gouvernement d’alliance, ce qui n’aide en rien Berlusconi qui comptait placer Romani à la Présidence du Sénat. Cependant, si le PD et le centre-droit s’allient pour élire Giorgetti (membre de la Ligue, ndt.) à la tête de la Chambre, le Sénat serait entre les mains de Forza Italia. De nombreux membres du PD sont convaincus que l’élection de Giorgetti pourrait être un plus, notamment en vue de sa longue expérience parlementaire et sa capacité à communiquer avec tout le monde, gauche comprise. Berlusconi est convaincu que cette possibilité pourrait empêcher tout gouvernement avec le M5S. Salvini imagine plutôt une Présidence des Chambres partagée entre le M5S et la Ligue. Cela assurerait un gouvernement plus représentatif, mais le placerait alors en leader solitaire de la Ligue plutôt que leader du centre-droit. Quoiqu’il en soit, une chose est la Présidence des Chambres et une autre est le gouvernement. Toutefois, l’éventuelle exclusion du M5S peut être un tournant dans la construction de ce gouvernement. » 

Londres-Moscou / Ancien espion russe empoisonné à Salisbury

ARTICLE Corriere della Sera M. Ricci Sargentini « L’Europe gagne du temps, en Italie l’axe Ligue-M5S déplore les sanctions contre la Russie » : « Les alliés et les leaders européens, à part la solidarité rituelle, ne prennent pas trop position. Si A. Merkel a assuré une position commune de l’UE, la réaction d’E. Macron a été beaucoup plus prudente. Ce n’est pas une surprise. Depuis l’arrivée à la présidence de l’Elysée du leader d’En Marche!, Paris a une attitude beaucoup moins dure avec Moscou. En Italie, Salvini (Ligue) s’est montré très sceptique sur l’histoire de l’empoisonnement de Salisbury. Di Maio s’est borné à évoquer les sanctions contre Moscou assurant : ‘’c’est un problème lié à des secteurs de notre économie, nous travaillerons dans l’intérêt des Italiens, pas de la Russie ou des Etats-Unis’’ ».

COMMENTAIRE, Corriere della Sera F. Venturini « Si Rome oublie le phare des alliances » : « La voix de l’Italie a tardé à se faire entendre et continue à tarder. Elle doit toutefois exister, malgré le chaos politique qui accompagne l’après-élection. Même si indirectement, nous avons parlé par le biais de l’Otan et de l’UE. Il y a d’ailleurs un problème tout italien. Salvini a dit hier que les sanctions contre Moscou pour l’annexion de la Crimée étaient une grande erreur. Le NYT, dans un article volontairement provocateur, a dit que l’Italie avait abandonné l’alliance avec l’Amérique pour préférer celle avec la Russie. Les ambassades occidentales sont en fibrillation dans la tentative de comprendre ce qui se passera, non seulement la nature du gouvernement mais aussi ses orientations. Une alliance Ligue-M5S serait considérée, au-delà de nos frontières, comme le déchirement le plus grave dans nos alliances ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Sondage IPSOS à propos des promesses de campagne qui doivent être avant tout réalisées.

Italie. Un sondage IPSOS à propos des promesses de campagne qui doivent être avant tout réalisées :

la suppression de la réforme des pensions : 35 %

le contrôle de l’immigration : 26 %

le revenu de base : 12 %

la flat taxe : 5 %

la réforme de la dette : 4 %

Aucune des solutions ci-dessus : 7 %

Italie 1.jpg

Alice Weidel et Alexander Gauland à propos de la réélection d'Angela Merkel.

AfD.jpg

Allemagne. Les deux co-présidents du groupe des élus de l’AfD au sein de la Chambre des députés Alice Weidel et Alexander Gauland estiment que la réélection d’Angela Merkel à la tête du pays est un événement négatif pour l’Allemagne et que l’AfD fera tout afin que le quatrième mandat d’Angela Merkel se termine bien avant 2021.

14/03/2018

Les nouveaux ministres de la CSU.

CSU.jpg

Allemagne. Les ministres de la CSU au sein du nouveau gouvernement national sont :

CSU 4.png

Ministre de l'Intérieur

CSU 3.png

Ministre des transports

CSU 2.jpg

Ministre du développement

CSU 1.jpg

Secrétaire d'Etat au Digital

Sylvi Listhaug critiquée.

Fpr.jpg 

Norvège. Le ministre de la Justice, de la Sécurité et de l’Immigration Sylvi Listhaug du Parti du Progrès a été critiqué pour avoir affirmé sur un média social que le Parti travailliste place les droits des terroristes au-dessus de la sécurité nationale, suite au fait que ce parti est opposé à une proposition d’établir la possibilité pour le ministre de la Justice d’enlever la citoyenneté et le passeport de Norvégiens accusés de combattre dans des groupes à l’étranger ou d’être des terroristes sans que des preuves doivent être établies à leur encontre.

16:33 Publié dans Sport, Sport | Lien permanent | Commentaires (0)

Luigi Di Maio et Matteo Salvini considérés comme les dirigeants les plus fiables.

M5S.jpg

Ligue.jpg

FI.jpg

Italie. Un sondage IPSOS à propos du dirigeant politique apparaissant comme le plus fiable :

Italie 2.jpg

Luigi Di Maio du M5S : 27%

Matteo Salvini de la Ligue : 23 %

Matteo Renzi du Parti Démocrate : 10 %

Silvio Berlusconi de Forza Italia : 6 %

Pas un de ceux-là : 23 %

Rappel de la politique migratoire du Jobbik.

Jobbik.jpg

Hongrie. Le vice-président du Jobbik Dániel Z. Kárpát a expliqué, lors d’une conférence de presse, une nouvelle fois la position de son parti à propos de l’immigration : le Jobbik ne désire pas que des migrants pauvres ou riches s’installent en Hongrie et s’oppose à la politique migratoire de l’actuel gouvernement qu’il trouve trop permissive.

"Règlement de compte entre Berlusconi et Salvini."

M5S.jpg

Ligue.jpg

FI-AN.jpg

FI.jpg

Italie. Revue de presse.

Élections législatives en Italie – Unes : Le M5S exclut un gouvernement de large coalition » - Di Maio : ‘’Padoan souffle sur les braises’’ (Corriere della Sera), « La tranchée Di Maio-Salvini ‘’non à un gouvernement de tous’’ » (La Repubblica), « Le mandat à Salvini pour désigner les présidents des Chambres » - ‘’Le centre droit confie au leader de la Ligue le rôle de négociateur’’ (La Stampa), « M5S-Ligue : ‘’non au gouvernement de tous’’ » (Il Messaggero), « Les conditions de Di Maio et de Salvini » - ‘’Di Maio exclut un exécutif institutionnel ; Salvini exclut une alliance avec le PD’’(Il Mattino).

 

ARTICLE, M. Conti, Messaggero, « Gouvernement : délais longs, hypothèse d’un nouveau vote plus lointaine » : « Ligue et 5 étoiles craignent les larges ententes et le pacte croisé sur les présidents des Chambres se retrouve bloqué par les vétos réciproques. Le Quirinal de son côté fait preuve de prudence. »

 

ARTICLE Il Foglio C. Cerasa « Pourquoi un gouvernement à terme n’aurait de sens qu’en modifiant la loi électorale prévoyant un second tour » : « Au moins jusqu’à Pâques, n’espérez pas donner un sens aux déclarations des deux vainqueurs des élections, Di Maio (M5S) et Salvini (Ligue). Tant qu’un des deux ne décidera pas de faire un pas en arrière, leurs déclarations seront adressées davantage à leurs électeurs qu’aux parlementaires. Le 4 mars derniers, plusieurs ont compris que sans un système  comme celui qui a été retoqué lors du référendum du 4 décembre 2016, l’Italie n’aura aucune possibilité d’avoir un gouvernement stable. Dans l’Italie d’aujourd’hui, les larges coalitions (les ‘’combines’’ comme disent les 5 étoiles) sont nécessaires. Sinon autant voter à nouveau ».

 

ARTICLE, La Stampa, A. La Mattina : « L’Europe et la Présidence des Chambres, règlement de compte entre Berlusconi et Salvini » : « Salvini, lors du sommet du centre-droit, a exprimé sa supériorité sur Berlusconi en indiquant : ‘’si besoin, on ne tiendra pas compte du taux maximum du déficit de 3%’’, mais aussi en soulignant sa perplexité vis à vis de l’Europe et ses dirigeants auxquels Berlusconi avait pourtant assuré un minimum de modération de la part du centre-droit. Il en va de même pour la politique intérieure puisque Salvini a affirmé que ‘’jamais il ne gouvernera avec ceux qui ont détruit le pays : Gentiloni ou Renzi’’. »

 

ARTICLE, La Stampa, I. Lombardo : « Di Maio furieux vis-à-vis de Padoan : ‘’Il empoisonne les puits européens’’ » : « Le leader M5S a indiqué son mécontentement concernant un possible gouvernement institutionnel, ce qu’il a étayé en rappelant : ‘’les Italiens ont voté pour un candidat, un programme, une équipe’’. Il en va de même pour Padoan que Di Maio traite ‘’d’irresponsable’’ et pour le PD qui s’est montré opposé à toute négociation concernant une alliance gouvernementale PD-M5S. Enfin le leader du parti souhaite rassurer : avec lui au gouvernement l’Italie restera membre de l’OTAN et de l’UE, en effet il compte, une fois premier ministre, se rendre avant tout à Bruxelles. » 

 

ARTICLE, La Repubblica, A. D’Argenio : « Le danger Italie revient en Europe » : « A l’issue de la réunion des ministres des Finances de l’UE, Pier Carlo Padoan exprime les préoccupations de ses collègues et déclare que l’Italie est une source d’incertitude pour la zone euro. Il affirme que le commissaire européen Moscovici est très préoccupé par la possibilité d’un gouvernement anti européen et que Bruxelles décidera en mai l’ajustement budgétaire pour l’Italie. La réaction de Di Maio a été très dure : ‘’C’est un irresponsable qui souffle sur les braises’’ ».

 

ARTICLE, La Repubblica, C. Lopapa : « La colère de Berlusconi pour l’axe Ligue-Grillo : ‘’ Vous trahissez les électeurs ’’ » : « Le sommet entre Silvio Berlusconi, Matteo Salvini et Giorgia Meloni, qui aurait dû sécuriser le centre droit, a montré au contraire que les équilibres du pouvoir ont été inversés, après les résultats des élections. L’axe du M5S avec la Ligue, pour tenter de trouver un accord pour la présidence des deux Chambres, met en colère Silvio Berlusconi qui menace la rupture de la coalition et qui se dit prêt pour l’opposition. Berlusconi a également déclaré qu’il est très préoccupé pour les positions de son allié en Europe ».

 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Le FPÖ est opposé au fait que l’Université d’Europe centrale s’implante à Vienne.

FPÖ.jpg

Autriche. Le FPÖ est opposé au fait que l’Université d’Europe centrale financée par George Soros s’implante à Vienne.

13/03/2018

Nigel Farage félicite Matteo Salvini.

Ligue.jpg

UKIP.jpg

Union Européenne, Italie et Royaume-Uni. Nigel Farage (UKIP) à félicité dans les couloirs du Parlement européen ce 13 mars 2018 le dirigeant de la Ligue Matteo Salvini pour sa victoire lors des élections législatives du 4 mars 2018 en Italie.

Farage Salvini.jpg

Matteo Salvini et Nigel Farage

Salvini Farage 2.jpg

Matteo Salvini et Nigel Farage

Le gouvernement autrichien désire ériger un mémorial pour les victimes autrichiennes de l’Holocauste.

FPÖ.jpg

Autriche. Le gouvernement réunissant les sociaux-chrétiens de l’ÖVP et les patriotes du FPÖ désire installer à Vienne un mémorial pour les victimes autrichiennes de l’Holocauste. Plus de 65.000 noms figureront sur ce monument.

Horst Seehofer participe à son dernier conseil des ministres de Bavière.

CSU.jpg

Allemagne. Le ministre-président CSU de Bavière Horst Seehofer a pris part pour la dernière fois ce 13 mars 2018 à une réunion du gouvernement de Bavière. Il siégera désormais à Berlin au sein du gouvernement national.

"Loi électorale avec la Ligue. Di Maio travaille maintenant à un plan de secours."

M5S.jpg

Ligue.jpg

Italie. Revue de presse.

Élections législatives en Italie – Unes : « Le signal du PD au Quirinal » : ‘’nous sommes dans l’opposition mais à disposition de Mattarella si nécessaire’’ (Corriere della Sera), « Le PD choisit Martina ‘’maintenant unité’’ » (La Repubblica), « Renzi : ‘’nous sommes l’aiguillon des négociations’’ » - ‘’L’intérim à Martina’’ (Il Messaggero), « Renzi : ‘’j’ai protégé le PD’’ » (Il Mattino), « Di Maio songe à un gouvernement sans hommes politiques » - ‘’Un gouvernement institutionnel pour revoir la loi électorale’’ (La Stampa).

 

EDITORIAL, Il Messaggero A. Campi « Les réformistes et la traversée du désert » : « Quand la voix de plusieurs intellectuels se lève en soutien d’une cause politique – en l’occurrence un gouvernement du M5S pouvant naître avec le soutien crucial du PD – il est légitime de croire que derrière toute cette passion se cache un mensonge conscient ou une erreur de bonne foi. Même un enfant comprend que si le PD soutenait le parti de Grillo à n’importe quelle condition, il se jetterait entre les mains de son bourreau. Il ne s’agit pas d’un problème de responsabilité devant l’Italie mais de survivance face à sa propre histoire. La renaissance du PD ne dépend pas de l’alchimie ou des jeux parlementaires de ces jours mais de la capacité qu’il aura à repenser entièrement sa stratégie, ses programmes et ses groupes dirigeants ».

 

COMMENTAIRE Sole 24 Ore L. Palmerini « Mattarella invoque la ‘’responsabilité’’, le PD ouvre une nouvelle phase avec le Quirinal » : « La réunion du PD, la première après la défaite électorale, voit la démission de son secrétaire M. Renzi qui laisse pourtant un héritage assez encombrant sur la ligne politique du parti : celle d’une opposition à tout prix. Mais une nouvelle phase s’ouvre : la déclaration finale du PD garantit ‘’au Président de la République son propre apport dans l’intérêt général’’. Un ton et un contenu qui conditionneront les prochaines étapes politiques et institutionnelles et les prochaines négociations qui s’ouvriront. Puisque la seule certitude venant du Quirinal est qu’il n’y aura pas de nouvelles élections d’ici un an, le fait d’avoir un PD davantage collaboratif est une chose importante ».

 

ARTICLE, La Repubblica, T. Ciriaco : « Martina, le leader qui compte rester, avec Delrio il y a déjà une dyarchie » : « Les actuels Ministres de l’Agriculture et des Transports, Martina et Delrio, sont à la tête du parti du PD. Martina, devenu secrétaire le temps de cette crise, est en effet soutenu aussi bien par les pros Renzi que les antis. Entre temps les membres du PD au Sénat n’ont pas réussi à trouver une entente concernant Renzi et son exclusion ou non du parti. L’Assemblée Nationale devra donc se charger de trouver un compromis pour les futurs postes au sein du PD. »

 

ARTICLE, Il Mattino, S. Piras : « M5S, le revenu de citoyenneté devient le ‘’minimum’’ » : « Une source importante du M5S a déclaré que le revenu de citoyenneté était identique au revenu d’inclusion du PD bien que ce soit inconfessable. Par ailleurs, il est impossible de l’insérer dans le Document économique et financier de 2018. Une véritable Realpolitik, donc. Le M5S espère que l’arrivée de Martina au sein du PD permettra au parti de détrôner totalement Renzi. Les doléances actuelles sont celles concernant le revenu de citoyenneté promis par Di Maio, qui ne s’exprime pas dessus mais laisse son ministre le faire. Tridico a ainsi indiqué que certains points devaient encore être fixés, tout en modifiant plusieurs fois le nom de ce revenu, de sorte à ce qu’il devienne moins accessible à tous. »

 

ARTICLE, La Stampa, I. Lombardo : « Loi électorale avec la Ligue. Di Maio travaille maintenant à un plan de secours » : « A la suite des résultats de la direction du PD, qui se termine avec aucune hypothèse d’accord avec le M5S ainsi qu’avec la décision de demeurer dans l’opposition, Luigi di Maio, leader du Mouvement, songe à un gouvernement institutionnel, sans hommes politiques, et à un accord avec la Ligue pour revoir la loi électorale et organiser de nouvelles élections d’ici un an. Le M5S serait donc prêt à soutenir un « gouvernement du Président » dans le seul but de changer les règles. Un premier accord entre le Mouvement et la Ligue a été signé pour la présidence des deux Chambres : Danilo Toninelli, M5S, au Sénat et Giancarlo Giorgetti, Ligue, à la Chambre des Députés ».

 

ARTICLE, G. Guccione, Corriere, « Jeux olympiques 2026 : les rebelles du M5S bloquent Appendino, mais elle insiste : ‘’la ville de Turin sera candidate’’ – L’aval de Grillo n’est pas suffisant, la majorité manque au conseil municipal.

 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

12/03/2018

Autriche : forte augmentation du nombre de délits avec une arme blanche.

Autriche. Délits avec une arme blanche :

Autriche.jpg

Allemagne : le contrat de coalition est signé.

CSU.jpg

Allemagne.  Les démocrates-chrétiens de la CDU, les sociaux-chrétiens de la CSU et les sociaux-démocrates du SPD ont signé ce 12 mars 2018 le contrat de coalition.

CSU 1.jpg

La chancelière CDU Angela Merkel

CSU 2.jpg

Le dirigeant de la CSU Horst Seehofer parle

CSU 3.jpg

Le contrat de coalition

Le FPÖ donné à 24 %.

FPÖ.jpg

Autriche. Un sondage Market réalisé entre le 6 et le 8 mars 2018 donne les sociaux-chrétiens de l’ÖVP à 33 % (soit 1,5 % de plus que lors des législatives de 2017), les sociaux-démocrates du SPÖ à 29 % (soit +2 %), les patriotes du FPÖ à 24 % (soit -2 %), les libéraux de NEOS à 8 % (soit +2,7 %), les écologistes à 3 % (soit -0,8 %).

"Salvini lance l’opération Sud : "une Chambre pour nous, une pour le M5S.""

M5S.jpg

Ligue.jpg

FI.jpg

FI-AN.jpg

Italie. Revue de presse.

Élections législatives en Italie – Unes : « Renzi : je laisse la place, allons à l’opposition’’ » (Corriere della Sera), « Renzi parti, le PD change de visage » (La Repubblica), « Berlusconi au PD : ‘’soutenez le nouveau gouvernement’’ » (La Stampa), « Le ‘’non’’ du PD au M5S. Voici Delrio » (Il Messaggero), « Les partis divisés, le plan B du Quirinal » - ‘’hypothèse d’un gouvernement institutionnel’’ (Il Mattino). 

ARTICLE, A. Mattioli, Stampa, « Salvini lance l’opération Sud : ‘’une Chambre pour nous, une pour le M5S’’ : « Bannon, ex conseiller de Trump, dit que la Ligue doit nouer une alliance nationale-populiste avec le M5S : ‘’merci’’, dit Salvini, ‘’mais nous offrons notre programme à tous, et aussi à Di Maio. Voyons qui veut réellement faire repartir ce pays’’. Il ajoute ‘’être le plus grand parti au nord est une grande satisfaction, mais elle est encore plus grande d’avoir des parlementaires dans tout le sud’’. L’élection des présidents des chambres est ‘’certes importante’’ dit Salvini, ‘’mais moins que le gouvernement car je veux transformer les votes en faits’’ ». 

ARTICLE La Repubblica M. Pucciarelli « ‘’Que les présidences aillent à la Ligue et au M5S’’, mais Forza Italia accueille froidement les projets de Salvini’’ » : « Le secrétaire de la Ligue, Matteo Salvini, explique aux journalistes au Palais Castiglioni de Milan ‘’nous sommes les vainqueurs avec le M5S : ces deux présidences (Sénat et Chambre Basse) sont à nous’’. Ensuite, il affirme qu’il ira au Parlement ‘’pour trouver une majorité et éliminer la réforme des retraites (Loi Fornero) et baisser les impôts à un niveau acceptable’’. Entretemps, le Mouvement 5 Etoiles serait –secrètement- favorable à la présentation d’une réforme de la loi électorale sur le modèle du précédent (Italicum, majoritaire) en modifiant les parties les plus critiquées... mais ce serait alors une trahison à l’égard de ce que la base du mouvement a toujours voté dans les blogs de Grillo : un système proportionnel » 

ENTRETIEN Silvio Berlusconi, Stampa, « Risque démocratique avec de nouvelles élections. Le PD aussi doit s’occuper du gouvernement » : « Le Cavaliere dit non au parti unique avec la Ligue : « les italiens ont choisi de donner une majorité au centre droit mais également de n’attribuer a aucun parti ou coalition la force de gouverner seul. Cela signifie deux choses : que le centre droit a le droit mais avant tout le devoir de guider le prochain gouvernement et personne, parmi ceux qui ont obtenu de nombreuses voix des électeurs, ne peut penser ne pas accepter la responsabilité de donner un gouvernement à l’Italie. Je ne peux pas imaginer un parti appartenant à notre coalition pouvant gouverner avec le M5S. Ce serait un choix en opposition avec notre électorat. Les présidents de la Chambre et du Sénat à la Ligue et au M5S ? Ce n’est pas automatique. Je ne serai pas favorable à un système majoritaire, l’allemand est plus cohérent avec mon idée de démocratie. » 

ARTICLE, Il Mattino, A. Bassi : « ‘’Le vote est le Brexit du Sud contre les désastres’’ » : « Le leader de Confindustria (Patronat italien, ndt.) met en garde le projet d’alliance Ligue-M5S en indiquant que ‘’la flat tax et le revenu de citoyenneté déboucheront sur une grosse dette publique’’. Boccia a aussi posé la question de l’Europe dans ce gouvernement : ‘’Allons-nous soutenir France et Allemagne ou d’autres pays ?’’, et a déclaré qu’il fallait se préparer dès maintenant aux élections européennes de 2019. » 

ARTICLE, La Repubblica G. De Marchis «  1547 jours en première ligne, victoires et défaite de l’envoyeur à la casse » : « Maire de Florence, Matteo Renzi devient secrétaire du Parti Démocrate en 2013. Ensuite, il devient président du Conseil, entre la réforme de l’emploi (Jobs Act) et les droits civils. Il se heurte avec D’Alema, n’appelle jamais Bersani, chasse Enrico Letta, il n’aime pas Prodi (chose partagée), il se met à dos tous les grands commis de l’Etat. L’estime pour Obama, puis la grande erreur du référendum constitutionnel. L’ami Farinetti (fondateur de Eataly, ndt.) l’avait pourtant prévenu : ‘’nous sommes devenus antipathiques’’ ». 

FN.jpg

ARTICLE, L. Martinelli, Stampa, « Le Pen change de nom à son parti : ‘’Union pour aller au gouvernement’’. La tsarine de la droite française fait l’éloge de Salvini : ‘’il a battu Renzi, le Macron italien’’ ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Horst Seehofer annonce vouloir un État fort afin de protéger les citoyens.

CSU.jpg 

Allemagne. Le futur ministre CSU de l’Intérieur Horst Seehofer annonce vouloir un État fort afin de protéger les citoyens, la tolérance zéro pour les délinquants, une surveillance vidéo des points chauds en matière de délinquance et un plan pour les expulsions. Il voit la Bavière comme un modèle en matière de sécurité qui peut être étendu à toute l’Allemagne.

11/03/2018

Campagne du PVV pour les municipales du 21 mars 2018 aux Pays-Bas.

PVV.jpg

Pays-Bas.

PVV 1.jpg

Geert Wilders :"Vote le 21 mars pour le PVV"

PVV 2.jpg

"Le seul parti qui se lève vraiment pour : 

moins d'islam

nos propres gens

le référendum local

plus de sécurité

notre identité

des impôts et taxes plus bas

notre culture

notre liberté

de meilleurs soins [de santé et pour les personnes âgées]"

L'ADR ouvre ses listes à des membres de Nee2015.

ADR.jpg

Luxembourg. L’ADR ouvre ses listes pour les élections législatives d’octobre 2018 à des membres de l’association Nee2015 qui avait conduit une campagne pour le « Non » aux trois questions posées lors du référendum de 2015, notamment celle portant sur le droit de vote des résidents étrangers.

10/03/2018

Gábor Vona : le Jobbik pourrait négocier avec le parti écologiste LMP.

Jobbik.jpg

Hongrie. Lors d’un meeting électoral ce 8 mars 2018 à Mako, le dirigeant du Jobbik Gábor Vona a déclaré que le Jobbik désire balayer la corruption, restaurer la démocratie, augmenter les salaires et assurer la sécurité du pays avant d’ajouter que le Jobbik ne se joindra à aucun parti ayant été impliqué dans les 28 dernières années de ruine et qu’après les élections le Jobbik pourrait négocier avec le parti écologiste LMP.

09/03/2018

Latium : le centre-gauche gagne les élections.

FI.jpg

Ligue.jpg

FI-AN.jpg

M5S.jpg

Riconquistare l’Italia.png 

Italie. Lors de l’élection du président de la région du Latium ce dimanche 4 mars 2018, le candidat du centre-droit Stefano Parisi (Energie per l'Italia) a été battu par le candidat du centre-gauche.

Au sein du Conseil provincial, le centre-gauche décroche 24 sièges sur 49, le centre-droit 14 (dont 6 pour Forza Italia, 4 pour la Ligue et 3 pour Frères d’Italie), le M5S 10 sièges, les radicaux de CasaPound 0 siège et les souverainistes de Riconquistare l’Italia (Reconquérir l’Italie) 0 siège.

(http://elezioni.interno.gov.it/regionali/scrutini/2018030...)

Herbert Kickl rencontre Viktor Orban.

FPÖ.jpg

Autriche et Hongrie. Le ministre autrichien FPÖ de l’Intérieur Herbert Kickl a rencontré, ce 9 mars 2018, lors d’une visite de travail à Vienne le Premier ministre démocrate-chrétien hongrois Viktor Orban. Ils ont parlé des défis qui se posent dans le domaine de l’immigration.

Kickl Orban.jpg

Herbert Kickl et Viktor Orban