26/05/2018
Article de Lionel Baland : Italie : au service du système, le président fait du blocage.
Article de Lionel Baland : Italie : au service du système, le président fait du blocage :
http://www.bvoltaire.fr/italie-service-systeme-president-...
Sergio Matterella
20:43 | Lien permanent | Commentaires (0)
Giorgia Meloni à propos de Paolo Savona.
Italie. La dirigeante de Frères d’Italie Giorgia Meloni estime qu’il est inacceptable qu’un gouvernement n’ait pas la liberté de se prononcer en faveur d’un ministre des finances non choisi par l’UE.
12:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
Italie : le président de la République s’oppose au fait que le futur ministre des finances soit Paolo Savona.
Italie. Le futur Premier ministre Giuseppe Conte s’est rendu chez le président de la République qui s’oppose au fait que le futur ministre des finances soit Paolo Savona, alors que celui-ci est soutenu par la Ligue. Le dirigeant de la Ligue Matteo Salvini écrit sur Facebook : « Je suis vraiment en colère. »
05:00 | Lien permanent | Commentaires (0)
25/05/2018
Les maisons pour "asociaux" de Rotterdam.
Pays-Bas. Rotterdam. Interview de l’adjoint au maire sortant Joost Eerdmans (Leefbaar Rotterdam) par Arte à propos des habitations pour asociaux :
https://www.arte.tv/fr/videos/082995-000-A/les-maisons-po...
16:09 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Les 5 Etoiles et la Ligue verrouillent Savona à l’Economie, Mattarella rejette tout dicktat."
Italie. Revue de presse.
Formation du nouveau gouvernement – Unes : « Ministres, la tension monte sur Savona » - ‘’Le Quirinal rejette les diktats’’ (Corriere della Sera), « Le Quirinal au M5S et à la Ligue : ‘’pas de diktats’’ » - ‘’Bataille sur l’Economie et la Justice’’ (La Repubblica, Il Sole 24 Ore), « Mattarella : ‘’arrêtez les diktats sur le gouvernement’’ » ‘’Salvini insiste sur Savona à l’Economie’’ (La Stampa), « Haut-là du Quirinal, bras de fer sur le Trésor » - ‘’Les 5 Etoiles et la Ligue verrouillent Savona à l’Economie, Mattarella rejette tout dicktat’’ (Il Messaggero, Il Mattino).
COMMENTAIRE, La Repubblica S. Folli « L’enjeu autour du Trésor » : « La diffusion de la note par le Quirinal, chose rare, a rendu évident un double objectif : préserver la sphère d’autonomie du Président du Conseil pressenti ainsi que celle des prérogatives du Président de la République. Il s’agit d’un enclos institutionnel, d’un patrimoine qu’il faut sauvegarder. Or, Conte ne dispose pas d’une force politique à lui : il ne peut que marcher sur la corde, afin de ne pas mécontenter les deux leaders actionnaires de la coalition dont il est le point d’équilibre. Nous voyons maintenant un Di Maio pragmatique et un Salvini plutôt idéologique. Ce dernier voit en Savona le défenseur d’une vision de l’Europe alternative à une Europe « Berlin-centrique ». Une ambition qui n’est pas du tout banale et qui est sans doute très audacieuse ».
ARTICLE La Repubblica T. Ciriaco et C. Lopapa « Massolo vacille, Berlusconi s’oppose à Di Maio au Développement économique » : « Les délais pour la finalisation de la liste des ministres se font plus important. Salvini et Di Maio n’ont aucune intention de renoncer à Paolo Savona au Ministère du Trésor. Cela malgré l’avis défavorable du Quirinal et les doutes de Giuseppe Conte qui leur a conseillé de bien réfléchir. Et surtout contre les résistances venant d’environ la moitié de l’Europe. Mais d’autres ministères font l’objet de bras de fer. Quant à la Farnesina (Affaires étrangères), le nom du diplomate Massolo ternit. A ce stade, seul le nom voulu par le Quirinal pour les affaires européennes, Enzo Moavero, semble être accepté par l’alliance jaune-verte. Une garantie d’européisme, certes, mais à quel point sera-t-il fort pour gérer les résistances dans un Conseil des Ministres hostile à l’Union européenne ? »
ARTICLE, Corriere della Sera, P. Di Caro : « L'obstacle Savona pour le gouvernement » : « La journée de consultations du Président du Conseil Conte s'est ouverte avec une polémique très dure et s'est fermée avec des déclarations de Matteo Salvini qui semblaient vouloir faire baisser la tension. En effet, l'insistance du leader de la Ligue sur le nom du possible ministre de l'Economie, Paolo Savona, a conduit à un affrontement très dur avec le Quirinal. Le Président de la République Mattarella a revendiqué ses prérogatives et a déclaré que les diktats sont inacceptables. Le Président du Conseil Conte a donc annoncé vouloir travailler encore aujourd'hui à la mise au point de la liste des ministres ».
ARTICLE, La Stampa, F. Geremicca : « De Scalfaro à Napolitano, les affrontements avec les Présidents du Conseil étaient même très durs, mais sans menacer de descendre dans la rue » " : « Oscar Luigi Scalfaro, Président de la République, démocrate-chrétien, avait arrêté Berlusconi, Président du Conseil à l'époque, en 1994, sur la nomination de Previti en tant que ministre de la Justice ».
ARTICLE, Messaggero, B. Acquaviti, « Justice et télécommunications, Berlusconi demande des garanties à Salvini » : « Berlusconi et Salvini se sont rencontrés en tête à tête et Salvini s’est montré rassurant : ‘’Meloni et toi serez satisfaits’’. Forza Italia votera non à la confiance pour le nouveau gouvernement mais Silvio Berlusconi a commenté : ‘’Conte est sympathique, il est sérieux’’ ».
ARTICLE La Repubblica A. D’Argenio « Salvini prend la parole et le Spread s’envole. La BCE craint la contamination » : « Il aura suffi d’un post Facebook du leader de la Ligue ‘’l’UE demande un budget correctif ? Nous ferons l’exact contraire’’ pour que le Spread revienne à hauteur de 193,4 points. Voici la réalité italienne, la fragilité d’un pays qui s’apprête à être gouverné par la coalition jaune-verte. Si de simples mots suffisent pour faire s’envoler les taux, d’éventuelles politiques en déficit pourraient engendrer des résultats bien plus dangereux. Le ministre des Finances maltais a dit ce que tous craignent : ‘’si les recettes du gouvernement italien devaient s’avérer, en s’endettant et en dépensant davantage, nous revivrons l’affaire de la Grèce’’. Sauf que l’Italie est un pays bien plus grand, difficile à sauver et dangereux pour la tenue de l’eurozone »
ENTRETIEN, Sole 24 Ore, Pier Carlo Padoan, ministre sortant de l’Economie « La flexibilité européenne possible selon les objectifs qui seront décidés » : « ‘’L’aspect le plus préoccupant du ‘’contrat’’ du gouvernent qui se forme est la sous-estimation des conséquences de certains choix. La réponse des marchés est immédiate. Et même sur le choix de mon successeur il y aura un signal car derrière le nom il y a toujours des idées. L’intérêt national est de ne pas augmenter la dette des caisses de l’Etat. Car avec des mesures insoutenables, on finit par dérailler’’ ».
ARTICLE Corriere della Sera « L’Europe se montre maintenant confiante » : « L’Allemagne, la France et l’Eurogroupe des ministres des finances ont lancés hier les premiers signes de dialogue avec le gouvernement M5S-Ligue. Les ministres Scholz et Le Maire ont salué le message du président pressenti Conte, respectant de fait les principes européens. Le Ministre Le Maire a souligné ‘’nous avons tous noté positivement les premières déclarations du président du Conseil italien qui s’est engagé à respecter les règles européennes. Un signe réellement positif. Nous voulons travailler de manière constructive avec l’Italie».
ARTICLE, La Stampa, M. Bresolin : « L'UE tend la main : " Bien pour le Président du Conseil, on aidera Rome " » : « Après les craintes et les alarmes, c'est le moment des mains tendues. La volonté " de donner une possibilité au nouveau gouvernement italien " filtre de Bruxelles et de principales capitales européennes. Une ligne politique plus souple a été confirmée hier par la Commission européenne. Les ministres de l'Economie des deux principaux pays de l'UE sont d'accord. Le ministre allemand Scholz a affirmé que le discours européen de Conte a été un bon signal et son homologue français, Bruno Le Maire, a assuré que la France n'a pas de préjugés et qu'elle a l'intention de continuer à travailler avec l'Italie d'une façon constructive. Mais le spectre d'Athènes continue à planer et avec lui les craintes des pays qui, depuis toujours, demandent une plus grande rigidité des comptes, comme les Pays-Bas et la Finlande ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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24/05/2018
L'UDC du canton de Zurich exige que les polices du canton précisent dans leurs communiqués la nationalité des auteurs présumés de délits.
Suisse. Canton de Zurich. L'UDC du canton de Zurich a déposé ce 23 mai 2018 une initiative exigeant que les polices du canton précisent dans leurs communiqués la nationalité des auteurs présumés de délits. La ville de Zurich renonce à cette précision depuis novembre dernier.
22:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
La direction du Jobbik engage une procédure contre László Toroczkai suite au lancement de sa plateforme.
Hongrie. La direction du Jobbik engage une procédure contre László Toroczkai suite au lancement de sa plateforme.
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2018/05/22/las...)
22:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
Italie : l'objectif du futur Premier ministre Giuseppe Conte est de former le gouvernement M5S-Ligue samedi.
Italie. L'objectif du futur Premier ministre Giuseppe Conte est de former le gouvernement M5S-Ligue samedi et d'obtenir la confiance du Parlement lundi ou mardi.
17:42 | Lien permanent | Commentaires (0)
"La Ligue défie le Quirinal en insistant sur l’eurosceptique Savona à l’Economie."
Italie. Revue de presse.
Gouvernement-Consultations au Quirinal – Unes : « La charge donnée à Conte, les conditions du Quirinal » - ‘’L’Italie restera en Europe’’ (Corriere della Sera), « Conte président du Conseil : ‘’oui à l’Europe’’ » - ‘’La Ligue défie le Quirinal en insistant sur l’eurosceptique Savona à l’Economie’’ (La Repubblica), « Conte : ‘’je serai l’avocat du peuple’’ » - ‘’Bruxelles annonce une correction budgétaire à hauteur de 10 milliards’’ (La Stampa), « Conte : ‘’conscient que l’Italie reste en Europe’’ » (Sole 24 Ore), « La charge à Conte, le Quirinal sera le garant » (Il Messaggero), « Conte, feu vert avec les conditions du Quirinal » (Il Mattino).
EDITORIAL, Corriere della Sera M. Franco « Le syndrome du siège » : « Le soulagement après la fin des discussions et la formation probable d’un gouvernement ne peuvent effacer la préoccupation. Le M5S et la Ligue ont le droit de diriger l’Italie après le mandat populaire très clair qu’ils ont obtenu. Le Quirinal a pris acte de l’indication de nommer le professeur G. Conte comme président du Conseil. Le problème sera de comprendre où veulent arriver les ‘’dyarques’’ di Maio et Salvini et si l’expression utilisée par Conte, ‘’avocat défenseur du peuple italien’’, est le prélude ou non à un déchirement anti-européen. Nous assistons à la prise du pouvoir central de la part d’une sorte de ‘’politique périphérique’’ à laquelle le vieux système a offert une autoroute vers le Palais Chigi. Mais la responsabilité de cela ne repose pas sur les vainqueurs : plutôt, sur ceux qui n’ont pas créé une alternative crédible et qui maintenant subissent une ‘’défense du peuple’’ qui laisse entendre des inconnues lourdes dans l’avenir de l’Italie ».
ARTICLE La Repubblica C. Lopapa « Salvini résiste sur Savona : ‘’défions l’Europe avec la Flat tax et la réforme des retraites’’» : « L’axe anti-Bruxelles se ressoude autour du nom du ministre (eurosceptique) de l’Economie Paolo Savona. Il s’agit de la dernière tranchée que les deux leaders Di Maio et Salvini ont décidé de défendre à outrance. La barricade a été érigée. Salvini en fait une question de principe et l’annonce à environ 80 élus léghistes, entre sénateurs et députés ‘’nous n’accepterons pas de vétos sur les ministres’’ ajoutant ‘’les vétos sur la composition du gouvernement, il faudra les expliquer aux 18 millions d’Italiens qui nous ont voté’’. Sinon, le plan B prévoit le léghiste Giancarlo Giorgetti au ministère de l’Economie. Les priorités : la révision de la réforme des retraites ‘’Fornero’’ et l’introduction d’un système d’impôt à deux taux, 15 et 20 % ».
ARTICLE, Corriere della Sera, E. Buzzi : « Economie, bataille sur le ministère. Et le jeu sur les Affaires Etrangères est rouvert » : « Un bras de fer qui a encore besoin de temps pour se résoudre et qui implique deux des plus importants ministères du futur gouvernement. Le nouveau Président du Conseil Conte devra décider les noms des deux ministres de l’Economie et des Affaires Etrangères. La Ligue souligne que Paolo Savona, indiqué comme futur ministre de l’Economie, sera une garantie pour tous les Italiens et le M5S est d’accord. La pression sur ce nom demeure, de toute façon, élevée. Cette situation est strictement liée au choix du responsable d’un autre ministère très important : celui des Affaires Etrangères. La Ligue et le M5S affirment que leur gouvernement doit être un gouvernement du peuple, et donc qu’ils ne veulent pas de ministres liés à l’establishment. Giampiero Massolo, indiqué depuis longtemps en tant que possible ministre des Affaires Etrangères, pourrait en pâtir. Il existe l’hypothèse que cette tâche puisse aller à Luigi Di Maio ».
ENTRETIEN de Roberto Maroni, ancien président de la Région Lombardie : « ‘’ J’aiderai Matteo (Salvini). Mais il ne peut pas être ministre et secrétaire ‘’ » (La Stampa) : « ‘‘ Il a été très important que Matteo m’appelle après une longue période de silence. Je n’étais pas d’accord avec un gouvernement Ligue-M5S, les 5 Etoiles auraient dû gouverner seuls et nous les aurions vus échouer. Matteo aurait pu avoir un gouvernement de centre droit beaucoup plus fort. Mais maintenant, je l’aiderai. Salvini m’a demandé des conseils, nous avons parlé du ministère de l’Intérieur. Je lui ai fait remarquer qu’il s’agit d’un ministère très délicat, et que s’il devient ministre il aura un rôle très important, de grande responsabilité, qui ne lui permettra pas d’être aussi secrétaire de la Ligue. Je ne pense pas à des dessous étranges pour le choix de Giuseppe Conte, je considère seulement qu’il s’agit d’un choix superficiel ‘’ ».
COMMENTAIRE La Repubblica T. Mastrobuoni « Un alibi offert à Merkel » : « L’humeur à Berlin est noire à l’idée qu’en Italie un gouvernement populiste, annonçant des dépenses folles et des contreréformes douloureuses, soit en train de s’installer. Les commentaires les plus gentils parlent d’ ‘’expérimentation dangereuse’’, ou d’ ‘’illusion’’ en encore de ‘’manque de responsabilité’’. Les moins gentils commencent à parler de ‘’cordon sanitaire à créer autour de l’Italie’’. C’est ce qu’a écrit sur son compte Twitter un des conseillers économiques du gouvernement, Lars Feld. L’Italie fait peur, elle est à nouveau le surveillé spécial de l’Europe. L’Italie risque d’offrir à Merkel un alibi formidable pour ne pas faire ce que de toute façon elle n’aurait pas fait : les réformes européennes. Merkel est enlisée et il est clair que le sommet de juin, qui aurait dû modifier le visage de l’Europe, n’aboutira pas à grand-chose. Mais la faute ne sera pas de Merkel : celle-ci pourra la faire retomber sur l’Italie ».
ARTICLE, La Stampa, E. Bonini : « L’Italie réussit l’examen. Mais l’UE : ‘’ Il faut intervenir sur dette et retraites ‘’ » : « A ce stade, il n’y aura aucune mesure contre l’Italie : la Commission européenne ne demande pas l’ouverture des procédures spéciales pour une dette excessive. Mais le message politique est clair : l’Italie doit continuer de la réduire. Il faut absolument continuer les efforts du gouvernement sortant et les réformes sur le travail, la justice, le cadastre, la réforme fiscale et de l’administration publique. Le pays doit continuer aussi de réduire son déficit, parce que, de toute façon, l’Italie va rester un surveillé spécial de la zone euro ».
SONDAGE, Eurobaromètre du Parlement européen, Il Messaggero, « Mais la majorité des Italiens est de plus en plus eurosceptique » : « Les Italiens sont en majorité eurosceptiques : l’appartenance à l’UE est positive pour seulement 39% d’entre eux. La donnée est meilleure qu’il y a trois mois cependant (+3%) mais l’Italie est seulement derrière les Croates (36%) et les Tchèques (34%). 61% des citoyens italiens sont convaincus de ne pouvoir compter sur les institutions européennes, alors que dans les autres pays la moyenne est de 46% ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
14:44 | Lien permanent | Commentaires (0)
Interview du politologue Marco Tarchi par Lionel Baland.
Italie. « M5S et Ligue : leurs vues ne sont pas, sur le fond, incompatibles. » :
http://eurolibertes.com/evenements/m5s-ligue-leurs-vues-n...
Marco Tarchi
07:29 | Lien permanent | Commentaires (0)
23/05/2018
HC Strache : "La protection des frontières extérieures de l’Union Européenne a la plus haute priorité."
:
Autriche et Union Européenne. Le vice-chancelier FPÖ autrichien Heinz-Christian Strache, en visite ce 23 mai 2018 à Bruxelles, a déclaré devant le Conseil [des ministres] de l'Union européenne, à propos de la politique migratoire, que la protection des frontières extérieures de l’Union Européenne a la plus haute priorité.
23:32 | Lien permanent | Commentaires (0)
Eric Stauffer définitivement acquitté.
Suisse. L’ancien homme politique suisse Eric Stauffer est définitivement acquitté :
https://www.letemps.ch/suisse/eric-stauffer-definitivemen...
20:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
Giuseppe Conte chargé de former le gouvernement M5S-Ligue.
Italie. Giuseppe Conte est chargé par le président de la République de former le gouvernement M5S-Ligue.
Giuseppe Conte
19:38 | Lien permanent | Commentaires (0)
Italie : le président reçoit Giuseppe Conte.
Italie. Le président Mattarella reçoit le candidat au poste de Premier ministre du gouvernement M5S-Ligue Giuseppe Conte.
Le président Mattarella et Giuseppe Conte
17:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
"La Troisième République commence aujourd'hui !"
Italie. Le dirigeant du M5S Luigi Di Maio déclare : "La Troisième République commence aujourd'hui !"
14:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
Italie : Giuseppe Conte est convoqué ce mercredi à 17h30 chez le président.
Italie. Le président de la République a convoqué ce mercredi à 17h30 le candidat proposé par le M5S et la Ligue au poste de Premier ministre Giuseppe Conte.
14:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Le Quirinal passera "scrupuleusement" au crible non seulement le président du Conseil mais aussi tous les ministres."
Italie. Revue de presse.
Gouvernement-Consultations au Quirinal – Unes : « Le CV de Conte devient une affaire, sa candidature en danger » - ‘’Le Quirinal reporte sa charge, son CV contesté par une université’’ (Corriere della Sera), « Conte trahi par son CV, le Gouvernement s’éloigne » (La Repubblica), « Tourmente sur Conte, le Gouvernement plus loin » (La Stampa), « L’affaire du CV bloque Conte » (Il Messaggero), « Polémique Conte, Di Maio revient » (Il Mattino), « Bruxelles : pas de marche arrière sur les comptes publics » (Sole 24 Ore).
ARTICLE, Corriere della Sera M. Breda « Mattarella prépare un plan B sur le candidat au Palais Chigi » : « Mieux vaut procéder avec prudence et se résigner à une autre pause – même si elle est irritante – si cela est nécessaire. Le Quirinal préfère attendre que les nuages se dissipent, après les doutes sur le CV de l’homme proposé par le M5S et la Ligue comme candidat au Palais Chigi. Le point de vue de Mattarella est de comprendre si la polémique sur les crédits académiques de Giuseppe Conte se réduit à la pratique assez répandue de ‘’gonfler’’ son CV sans pour autant qu’il soit faux ou s’il s’agit plutôt d’un véritable scandale pouvant ternir l’image d’un exécutif dirigé par ce dernier ».
COULISSES, U. Magri, Stampa, « Le Quirinal passera ‘’scrupuleusement’’ au crible non seulement le président du Conseil mais aussi tous les ministres – il est peu probable que le président du Conseil soit nommé dans la journée, Mattarella attend que les informations sur le CV de Conte soient plus claires puis il décidera ».
ARTICLE, La Repubblica, L. Milella : « ‘’ Je ne me retire pas. J’ai expliqué au M5S qu’il s’agit d’un malentendu‘’ » : « Il ‘’ne renonce pas’’ et il affirme que ni le M5S ni la Ligue ne lui ont demandé de se retirer. Mais Giuseppe Conte, juriste inconnu proposé par les deux partis populistes pour diriger le futur gouvernement italien, est en train de vivre ses heures les plus difficiles. Son profil a déjà provoqué des polémiques en raison de son CV, qui évoque des cours « de perfectionnement juridique » et qui est contesté par une université internationale interrogée à ce propos. Conte a précisé qu’il n’avait jamais dit avoir ces soi-disant diplômes mais plutôt qu’il était allé se perfectionner à l’étranger. La Commission européenne a mis en garde le gouvernement italien sur les comptes publics et contre les dérapages budgétaires. Le président Mattarella a demandé un délai supplémentaire avant de se prononcer sur cette candidature ».
ENTRETIEN de Giorgia Meloni, secrétaire de Fratelli d’Italia « Désormais le centre droit n’existe plus : Salvini a trahi et il s’est livré à Di Maio » (La Repubblica) : « ‘’ Salvini a pensé uniquement aux intérêts de la Ligue et il nous a abandonnés après une victoire d’ensemble. Le gouvernement qui va naître est à « traction 5 Etoiles » avec la circonstance aggravante d’avoir un président du Conseil, expression du M5S, qui, en outre, est un technicien. Matteo Salvini m’a déçue, nous pensions qu’il était le chef de la coalition. Les voix de Fratelli d’Italia pour un gouvernement 5 Etoiles ne seront jamais disponibles ‘’ ».
ENTRETIEN de Serghej Markov : « La Russie regarde le M5S-Ligue avec sympathie, mais nous restons pessimistes sur les sanctions » (La Repubblica) : « En Russie, il y a de la sympathie pour le gouvernement italien naissant, mais sans grand enthousiasme. Nous doutons sur le fait qu’ils tiennent parole sur les promesses de dégel avec notre pays. Nous avons été satisfaits de la victoire de la Ligue et du M5S parce qu’ils sont anti système qui peuvent servir à la Russie. D’abord, nous demandons la reprise du dialogue et de la diplomatie ; ensuite de cesser d’aider les néo-nazis en Ukraine et de rendre la liberté au peuple. Nous n’aimons pas les sanctions mais nous n’insistons pas sur leur abolition ».
REPORTAGE Sole 24 Ore F. Greco « Le côté français soutient la LGV ‘’son arrêt serait inconcevable’’ » : « Si en Italie environ 40 mairies s’opposent ouvertement à la Ligne Grande Vitesse Lyon-Turin, dans la Vallée de la Maurienne, 57 mairies sur 58 se disent en revanche favorables au projet. Seul Villarodin-Bourget, le petit village de 500 âmes où a défilé le cortège No-Tav (non à la LGV), résiste. Le débat en Italie suit une période de réflexion dans la politique française des grands chantiers. En septembre dernier, Macron et Gentiloni avaient rappelé l’engagement sur le tunnel de base de 57 kilomètres et les deux gares de Suse et de Saint Jean de Maurienne. Maintenant, sur le versant italien, le débat est à nouveau ouvert. D’où les perplexités du maire de Modane, Jean Claude Raffin, qui se dit toutefois optimiste. Pour le maire de Saint Jean de Maurienne, Marc Tournabien, ‘’la possibilité de suspendre le site semble improbable et cela créerait le plus grand gâchis d’énergie et d’argent public du siècle’’. ».
ARTICLE Sole 24 Ore F. Greco « Brinkhorst : ‘‘Ne faisons pas comme Trump, évitons un mur dans les Alpes’’ » : « Les deux délégations, italienne et française, se sont réunies hier à Turin pour la Commission intergouvernementale sur la Ligne Grande Vitesse. Jan Brinkhorst, représentant de l’UE, était également présent. Le coordinateur du couloir méditerranéen dont la ligne Lyon-Turin fait partie, a souligné à cette occasion : ‘’Le tunnel est présenté comme un projet bilatéral entre deux pays alors qu’il s’agit en réalité d’une œuvre stratégique pour l’Europe qui, pour cela, la finance à hauteur de 40% de son coût’’ ».
ARTICLE La Stampa, M. Tropeano, « Le coordinateur UE Jan Laurens Brinkhorst : ‘’Arrêter les travaux de la ligne à haute vitesse Lyon-Turin équivaudrait à faire un mur autour de l’Italie. Si Rome s’arrête, les fonds iront à d’autres pays. Pour vous l’adieu aura un coût élevé. La France : oui à la discussion mais on ne touche pas au tunnel’’ ».
ENTRETIEN de Marine Le Pen, présidente du Front National, Corriere della Sera, « L’enthousiasme de Marine Le Pen ‘’ de cette manière l’équilibre politique se déplace vers l’Est sceptique’’ » : « Je m’attends surtout de la part de notre allié Salvini qu’il trouve une solution sur l’immigration. Qu’il parvienne à faire preuve de fermeté également vis-à-vis de l’Union Européenne, faisant ainsi cesser les politiques d’austérité imposées par Bruxelles. La Ligue est passée de 4% de l’électorat à un parti de gouvernement. Cela est enthousiasmant car les prochaines élections européennes pourront représenter un véritable séisme : une majorité eurosceptique à Strasbourg pourrait déterminer la fin de cette folle course de l’Union Européenne
ARTICLE, Corriere della Sera A. Ducci « Emploi, Paris double l’Italie » : « La productivité italienne ne tient pas le rythme des autres pays européens. Les prévisions de croissance de l’Istat nous indiquent l’écart entre le système économique italien et celui de la France et l’Allemagne. La productivité du travail en Italie a augmenté de 0,6% contre 1,2% prévu à Paris et 1,3% à Berlin. Les données nous indiquent que depuis 2010, France, Espagne et Allemagne ont vu leur productivité augmenter en moyenne de 7%, alors que l’Italie affiche une augmentation d’1,1%. Cet écart de 6 points nous explique que le modèle de croissance italien a ‘’des caractéristiques différentes par rapport à celui de pays européens davantage orientés vers l’innovation et la création d’emploi qualifié’’ ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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22/05/2018
"En Italie, Conte n'y est pas encore."
Italie. Le président de la République a différé la nomination au poste de président du Conseil de Giuseppe Conte :
http://www.liberation.fr/planete/2018/05/22/en-italie-con...
21:37 | Lien permanent | Commentaires (0)
Frères d'Italie ne soutiendra pas le gouvernement dirigé par Giuseppe Conte.
Italie. La dirigeante de Frères d’Italie Giorgia Meloni a déclaré que son parti ne participera pas à un gouvernement dirigé par Giuseppe Conte, considéré comme un technicien de gauche, et ne soutiendra pas non plus ce gouvernement.
16:30 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le gouvernement autrichien réduit le nombre d’opérateurs dans le domaine de l’assurance sociale.
Autriche. Le gouvernement ÖVP-FPÖ a décidé de réduire le nombre d’opérateurs dans le domaine de l’assurance sociale afin de rendre cette dernière plus performante et d’en diminuer les coûts de gestion.
14:44 | Lien permanent | Commentaires (0)
László Toroczkai fonde une plateforme dans le but de ramener le Jobbik vers ses racines.
Hongrie. Le maire d’Asotthalom László Toroczkai annonce que, avec le soutien de 6 autres maires et du député Madame Dora Duro, il forme une plateforme appelée « Nous nous-mêmes » dans le but de ramener le parti vers ses racines nationalistes. Cette plateforme sera tournée vers la question des migrants, du contrôle des frontières et de la coexistence entre les Tsiganes et les autres citoyens.
László Toroczkai
(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2018/05/14/tam...)
12:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Le Quirinal demande un délai de réflexion."
Italie. Revue de presse.
Gouvernement-Consultations au Quirinal – Unes : « M5S et Ligue au Quirinal : Conte au Palais Chigi » - ‘’Délai de réflexion du Président Mattarella’’ (Corriere della Sera), « M5S et Ligue : voici le gouvernement. Perplexité du Quirinal » (La Repubblica), « Coup de frein de Mattarella sur Conte » (La Stampa), « Ligue et M5S indiquent le nom de Conte » (Sole 24 Ore), « Le Quirinal demande un délai de réflexion » - ‘’Di Maio et Salvini indiquent le nom du professeur Conte » (Il Messaggero), « Conte vers le Palais Chigi » (Il Mattino).
ARTICLE, Corriere della Sera, M. Franco : « Prémisses d’isolement de l’Italie dans l’Union » : « Le Chef de l’Etat se donne quelques heures pour réfléchir. Des réserves sur certains ministres auraient été soulevées. Bref, il pourrait y avoir quelques difficultés non pas sur le nom du candidat (Giuseppe Conte) mais plutôt sur l’équipe gouvernementale. La question est la suivante : que se passerait-il si certains ministres devaient être considérés par Mattarella comme inadaptés ? Les avertissements venant de l’étranger adressés à l’Italie ne peuvent pas être sous-estimés. Politiquement, elles ont un avant-goût d’isolement de l’Italie dans l’Union Européenne. La tension avec les institutions bruxelloises augmente. Il se peut qu’avec son « anomalie », l’Italie devienne le bouc émissaire d’une Europe essoufflée »
ARTICLE, Corriere della Sera, M. Sensini : « Le spread monte à hauteur de 185 pts, Ficht perplexe sur les dangers de déficit » : « Avant même de s’installer, le gouvernement devra vaincre la défiance des marchés. La pression sur les bons d’Etat italiens commence à être importante. La Bourse de Milan a été la moins performante, hier. Mais c’est surtout l’alarme des agences de notation sur les programmes économiques M5S-Ligue qui commence à se faire entendre. Le chef du PPE, M. Weber, prévient l’Italie : ‘’vous jouez avec le feu’’. La réplique de Salvini est sèche : ‘’laissez-nous commencer, il n’y a rien à crainte, nous visons à la croissance de l’Italie’’. ‘’Que Weber pense plutôt à l’Allemagne’’ ».
COMMENTAIRE, Corriere della Sera, Lorenzo Bini Smaghi : « L’enjeu de la crédibilité sur les traités internationaux » : « Le ‘’contrat de gouvernement a mis en évidence une série de propositions en opposition avec les accords internationaux et européens signés par l’Italie. Notamment, ceux sur l’Union économique et monétaire et la politique étrangère européenne. Ces traités peuvent être modifiés, certes. Toutefois, cela est impossible sans avancer des propositions destinées à les améliorer. Par exemple, sur les sanctions contre la Russie, si l’Italie ne devait pas arriver à convaincre ses partenaires, il n’y aurait que l’option d’une action unilatérale. Or, ce faisant, l’Italie s’exclurait toute seule des accords transatlantiques. Cela exposerait nos entreprises à des sanctions et actions de rétorsions de la part de nos partenaires européens et américains. En comparant les volumes d’affaires avec la Russie avec ceux avec l’UE et l’Amérique, le jeu n’en vaut pas la chandelle. Sur les 250 Mds d’annulation de la dette italienne, le projet n’est pas réalisable. La BCE perdrait sa crédibilité et ne pourrait plus entre garante de la stabilité de l’euro. La perte de crédibilité de l’Italie rendrait bien plus difficile le soutien d’autres réformes et initiatives dont le pays aurait vraiment besoin ».
COMMENTAIRE, Corriere della Sera, A. Polito : « Les nouveautés politiques et les dangers pour l’Italie » : « La réforme constitutionnelle prévue dans le programme déplace le cap vers des formes de démocratie directe. Si vraiment les référendums devaient être possibles, notre processus législatif deviendrait très semblable à celui de la Suisse. Par ailleurs, face aux marchés et aux gouvernements européens, nous sommes beaucoup plus ‘’interdépendants’’ par rapport à ce que les souverainistes veulent faire croire aux Italiens. Ces derniers préfèrent la naissance d’un nouveau gouvernement plutôt que des élections anticipées. Mais la tenue des comptes est bien plus importante qu’un exécutif de court terme. C’est au Président de la République d’exercer ses pouvoirs de nomination, selon ses prérogatives. C’est à l’opinion publique de surveiller ce changement tant attendu, pourvu qu’il ne se transforme en un saut dans le noir ».
ARTICLE, La Repubblica, A. Cuzzocrea : « Qui est Giuseppe Conte : le technicien otage des partis. ‘’Mais moi, je suis un médiateur né ‘’» : « Sur le bureau du Président de la République Mattarella il y a le nom de Giuseppe Conte, proposé par le M5S et la Ligue comme futur Président du Conseil italien. Giuseppe Conte est, à 54 ans, un élégant avocat et professeur de droit, inconnu du grand public et jusqu'à présent très éloigné du monde politique. Il s’agit d’un homme élégant décrit par tous ceux qui le connaissent comme réservé et compétent. Il est professeur de droit privé à l’université de Florence et à la Luiss (Libera Università Internazionale di Studi Sociali) de Rome. Il a passé toute sa vie dans les livres, il aime étudier et écrire. Catholique, il se décrit comme un grand médiateur capable d’écouter même quand les parties sont éloignées ».
ENTRETIEN de Graziano Delrio, ministre sortant des Infrastructures et des Transports : « Maintenant nous devons arrêter la menace populiste et stop aux bagarres dans le PD » (La Repubblica) : « ‘‘ Il y a deux mots clés : « arrêtons-les » et « arrêtons-nous ». D’abord, il faut les arrêter parce que ce gouvernement fera du mal aux gens, aux entreprises, à ce pauvre pays. Le départ est très mauvais, avec un risque d’inconstitutionnalité dans les propositions de la Ligue et du M5S. Ils ont fait un pacte de pouvoir dans lequel les citoyens n’ont rien à voir. Puis, nous devons absolument arrêter les bagarres au sein du PD. Cette situation est le signe d’une communauté qui a détourné de sa voie et qui a perdu le sens collectif. Nous devons définir comment lutter contre le populisme et à ce moment-là nous trouverons la personne capable de nous diriger ‘’ ».
COMMENTAIRE, La Repubblica, S. Folli : « Au Quirinal le jeu n’est pas encore fermé » : « on peut faire semblant de ne pas voir mais il est impossible de nier que la journée d’hier a marqué une innovation institutionnelle. Au point que le Président de la République, au lieu de signer tout de suite les textes et les noms que le M5S et la Ligue lui ont soumis, a convoqué ce matin les deux présidents des Chambres. Il s’agit d’un passage totalement inhabituel, mais il est illustre le désir de Mattarella de reconstruire un cadre procédural dans lequel placer l’épilogue bizarre mais prévisible de la crise. Di Maio et Salvini n’ont rien fait pour sauver les apparences, c’est-à-dire pour reconnaître au chef de l’Etat le respect authentique et pas seulement formel de ses prérogatives. Le Président de la République a demandé un délai de réflexion avant de se prononcer, parce qu’il a des perplexités, surtout sur le nom du possible ministre de l’Economie, Paolo Savona, économiste indiqué par la Ligue, dont les idées sont euro-sceptiques »
ARTICLE La Stampa M. Bresolin « Dernières négociations pour édulcorer la note sur les comptes publics italiens » : « Demain la Commission européenne donnera son verdict. A Bruxelles, on se creuse la tête sur les mots à utiliser pour rappeler à Rome un trou d’environ 5 milliards d’euros. Il n’y aura pas une demande de budget correctif, cela est certain. Cela créerait un conflit avant même la formation du gouvernement italien. Il s’agit alors d’utiliser des nuances pour faire ce rappel. A ce stade, aucune remise n’est prévue pour Italie. La Commission serait orientée à demander à Rome un budget détaillé. L’automne s’annonce très chaud ».
COULISSES, A. Bassi, Messaggero, « Bras de fer avec le Quirinal sur Savona, l’eurocritique, à l’Economie » : « Salvini souhaite que Savona soit nommé à l’Economie ‘’il fait partie de l’accord qui prévoit Conte à la présidence du Conseil’’. Le Quirinal, sans poser de véto, a cependant des doutes vu ses positions sur la monnaie unique – il a critiqué durement Merkel sur les avantages obtenus par l’Allemagne grâce à l’euro. Savona avait été choisi, par exemple par Guido Carli, ancien gouverneur de la Banque d’Italie, comme directeur de son bureau d’études, et l’ancien Président Ciampi l’avait désigné comme ministre de l’Industrie. »
ENCADRE, Messaggero, « Les économistes allemands lance un appel contre les réformes de Macron » : « FAZ a publié l’appel de 154 économistes allemands qui estiment que les propositions du Président français mettraient en danger le bien-être de la zone euro ».
ARTICLE La Stampa L. Martinelli « Le Pen exulte pour Salvini ‘’avec lui au pouvoir nous rêvons du retour des nations’’» : « L’entourage de Marine Le Pen fait savoir que la cheffe du Front National veut profiter de l’exemple italien pour récupérer de la crédibilité face à l’opinion publique française et dire ‘’si eux l’ont fait, nous aussi nous pouvons’’. Mais avec le système électoral français, ce sera bien difficile. Et sur la possibilité d’un rapprochement avec la France Insoumise de Mélanchon, Marine Le Pen la considère ‘’compliquée’’ car trop divergents sur ‘’un thème important : l’immigration’’ ».
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Val d'Aoste : élection du Parlement de la région.
Italie. Val d'Aoste. Lors de l’élection du Parlement de la Région, ce 20 mai 2018, la Ligue obtient 17,06 % et 7 sièges sur 35. Le M5S décroche 10,44 % et 4 sièges. La liste réunissant Forza Italia et Frères d‘Italie reçoit 2,92 % et 0 siège.
(http://elezioni.regione.vda.it/elezioni/VotiLista_i.aspx?...)
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21/05/2018
Italie : le président de la République reçoit ce mardi le président de la Chambre et la présidente du Sénat.
Italie. Le président de la République recevra ce mardi 22 mai 2018 à 11h le président de la Chambre des députés Roberto Fico (M5S) et à 12h la présidente du Sénat Maria Elisabetta Alberti Casellati (Forza Italia).
Roberto Fico et Maria Elisabetta Alberti Casellati
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Italie : le Premier ministre proposé est Giuseppe Conte.
Italie. Lors de leur rencontre avec le président de la République, les dirigeants du M5S et de la Ligue Luigi Di Maio et Matteo Salvini ont proposé comme Premier ministre Giuseppe Conte :
https://www.lecho.be/dossier/portraits/giuseppe-conte-un-...
Luigi Di Maio et Matteo Salvini
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