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25/11/2014

HC Strache et Aymeric Chauprade à Moscou.

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Autriche et Russie. Le président du FPÖ Heinz-Christian Strache (Autriche) prend part ce 25 novembre 2014 à une table ronde à Moscou sur le thème « Moyens de surmonter la crise en Europe » organisée par le président de la Commission de politique étrangère de la Douma Alexej Puschkow. 

Heinz-Christian Strache est accompagné du chef de file des élus FPÖ au sein du Parlement du Land / Conseil municipal de Vienne Johann Gudenus, du porte-parole du FPÖ pour les affaires étrangères le Député national Johannes Hübner et du porte-parole du FPÖ pour les affaires scientifiques Andreas Karlsböck. 

La conférence est dirigée par le président de la Douma Sergej Naryschkin et par le Ministre des affaires étrangères de la Fédération de Russie Sergej Lavrov. Les participants sont des experts venus de l’ensemble de l’Europe. 

Aymeric Chauprade du Front National (France) participe également à cette conférence.

Visite de la Douma

Ce 24 novembre 2014, la délégation du FPÖ a visité la Douma et rencontré son vice-président Sergej Geleznyak ainsi que d’autres députés. 

Le président du FPÖ déclare que son parti a pour objectif de respecter la neutralité de l’Autriche et de chercher un dialogue actif alors que le gouvernement autrichien ne respecte pas la neutralité du pays, pourtant ancrée dans la Constitution, en participant aux sanctions contre la Russie. HC Strache se demande si le Parti social-démocrate autrichien (SPÖ) reçoit de l’argent des États-Unis pour sa prise de position pro-Otan dans le cadre des sanctions contre la Russie.

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Aymeric Chauprade et le président de la Commission des affaires étrangères de la Douma Alexeï Konstantinovich Pouchkov

Le PVV critique les mesures d’économie envisagées au dépend du parquet.

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Pays-Bas. Le PVV critique les mesures d’économie envisagées au dépend du parquet. Le parti estime que plus d’argent devrait être attribué au ministère public afin de poursuivre les djihadistes. La menace d’un attentat aux Pays-Bas est, selon le PVV, très élevée.

Commémoration en mémoire des combattants de la guerre d’Indépendance de Croatie.

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Croatie et Hongrie. Le HÇSP (Croatie) et le HVIM (Hongrie) ont organisé à Laslovo (en hongrois : Szentlászló) en Croatie ce lundi 24 novembre 2014, avec la participation de membres du Jobbik (Hongrie), une commémoration en mémoire des combattants de la guerre d’Indépendance [de la Croatie] en 1991.

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"Matteo Renzi-Matteo Salvini : début de la bataille."

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Italie. Revue de presse.

UNES « Un tremblement de terre électoral, à risque le pacte Renzi-Berlusconi » (Repubblica), « Renzi-Salvini : début de la bataille » (Stampa), « L’effondrement secoue Forza Italia » (Messaggero) 

EDITORIAL, Corriere della Sera, A. Panebianco «  Le vote de qui ne vote pas » « Le nombre des abstentions n’a pas surpris ceux qui vivent dans ces régions. Même l’Emilie-Romagne, où les électeurs votent "par appartenance" a décidé de changer. Ils ont probablement accueilli l’appel lancé par la CGIL contre le Président Renzi et sa politique du travail. Mais ce vote sera-t-il capable d’influencer la politique au niveau national ? Oui, dans certaines limites. Il est possible que la minorité du PD qui est contre Renzi n’ait pas fait de son mieux pour convaincre les électeurs à voter et qui ait favorisé l’abstentionnisme. Mais les conséquences seront plus fortes à droite, avec le succès de la Ligue et l’humiliation de Berlusconi qui affaiblira encore plus sa capacité de contrôle du parti. Mais parmi les raisons les plus importantes du non-vote, il y a le rejet de l’institution régionale : si le sort des régions était décidé par référendum, il est probable que la majorité en proposerait l’abolition, ce qui favorise évidemment l’abstention ». 

COMMENTAIRE, La Repubblica, S. Folli, « Les 24 heures qui ont changé la législature » «  Le jour après on a vraiment compris comment le résultat des élections a  changé le scénario politique. La fuite des urnes anticipe la trappe parlementaire : celle qui s’ouvrira à la Chambre le jour où s’ouvrira l’élection du chef de l’Etat, si Renzi arrive à  l’échéance sans ententes politiques crédibles et sans instruments pour obliger à se rendre les plus combatifs de son parti. Après avoir fêté la victoire des deux gouverneurs en Emilie-Romagne et en Calabre, Matteo Renzi est préoccupé d’aboutir très vite à un résultat concret, c’est-à-dire la réforme de la loi électorale, selon le schéma décidé avec Berlusconi, mais Forza Italia a moins intérêt que jamais à faire aboutir cette loi. Le Président du Conseil sait qu’il doit jouer un match compliqué et délicat : il est convaincu de pouvoir adopter les réformes avec la majorité de son parti, mais la loi électorale est trop importante pour être approuvée de cette manière »  

EDITORIAL, La Repubblica, F. Merlo, «  La Ligue du Nord séduite par l’empire de Poutine » «  Lorenzo Fontana, chef de groupe de Salvini à Bruxelles, affirme que Poutine est leur leader. C’est Fontana qui est le Kissinger de Salvini et l’a convaincu de changer de stratégie ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)