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04/04/2024

Finlande : la frontière avec la Russie restera fermée "jusqu'à nouvel ordre".

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Finlande. Afin d’empêcher le passage de migrants, le ministre de l’Intérieur Mari Rantanen, des (Vrais) Finlandais, déclare que la frontière avec la Russie restera fermée « jusqu'à nouvel ordre ». De plus, la navigation des bateaux de plaisance aux points de passages maritimes entre les deux pays est désormais interdite.

La Hesse interdit l’utilisation par l’administration du langage "inclusif". 

Allemagne. Après la Bavière, la Hesse interdit l’utilisation par l’administration du langage « inclusif ». La Hesse est dirigée par les démocrates-chrétiens de la CDU et les sociaux-démocrates du SPD.

Le gouvernement allemand promeut, en arabe dans le monde arabe, la nouvelle loi sur la naturalisation rapide.

Allemagne. Le gouvernement promeut, en arabe dans le monde arabe, la nouvelle loi sur la naturalisation rapide, qui entrera en vigueur le 26 juin 2024. Il est également indiqué que les nouveaux citoyens allemands pourront conserver leur ancienne citoyenneté.

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Sahra Wagenknecht est opposée à la livrasion d'armes à Israël.

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Allemagne. La figure de proue du parti de gauche anti-immigration BSW Sahra Wagenknecht estime que les livraisons d’armes à Israël constituent une «  participation indirecte aux crimes du gouvernement israélien ».

"Salvini se repent et se sauve."

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Italie. Revue de presse.

Le rejet au Parlement de la motion de défiance contre Matteo Salvini, accusé par les oppositions d’entretenir encore des rapports avec le parti Russie Unie de V. Poutine, fait les unes : « Salvini, la motion de défiance a été rejetée » (Corriere), « Le Parlement absout Salvini sur l’affaire Poutine » (Giornale), « Salvini se repent et se sauve » (l’Unità). Le 75e anniversaire de l’Otan est aussi cité « L’Otan fête ses 75 ans et se divise sur le plan de 100 milliards pour l’Ukraine » (Avvenire), « Kiev implose alors que l’Otan demande de l’argent à ses membres » (Fatto Quotidiano). Enfin, l’appel de plusieurs médecins en faveur de la sauvegarde du système sanitaire, suite au rapport de l’OCDE constatant un recul par rapport aux standards européens, fait la une de Repubblica et de la Stampa : « « La Santé publique risque la faillite »», « L’alerte des Prix Nobel et des scientifiques : « le gouvernement tue le système sanitaire ». 

COMMENTAIRE, Corriere della Sera, de M. Franco, « La réforme dite du ‘’premierato’’ entre les tractations et la tentation du réferendum » : « La majorité italienne sort plus ou moins indemne du premier vote de défiance qui la visait, à savoir la motion de censure contre Matteo Salvini. Ses liens avec le parti de Vladimir Poutine n’ont pas été jugés suffisants pour accepter la demande de démission de l’opposition (sauf le parti de Matteo Renzi). Reste l’affaire concernant la ministre du Tourisme Daniela Santanchè (Frères d’Italie), sur laquelle le Parlement s’exprimera aujourd’hui dans l’attente des décisions des juges. La coalition de droite entend avancer sur le front des réformes institutionnelles : la réforme devant conférer davantage de pouvoir au Président du Conseil (‘’premierato’’), chère à Giorgia Meloni, et celle de l’autonomie régionale, chère à la Ligue. Concernant la première, on a pu voir hier que les questions du scrutin à deux tours, de la loi électorale et du seuil permettant d’obtenir la prime de majorité sont entourées d’incertitude et de confusion. On ne connaitra les modalités d’élections du chef du gouvernement qu’après l’approbation de la réforme. En commission Affaires constitutionnelles, chaque article est débattu et on cherche l’entente au sein de la majorité, laborieuse mais nécessaire, tout en tentant de dialoguer avec le M5S et la gauche bien déterminés à s’opposer à la réforme. Tout le monde se divise autour de normes qui réduiraient, entre autres, les pouvoirs du chef de l’Etat, ce que nient la majorité et le gouvernement et ce à quoi s’opposent plusieurs membres de la droite. Hier Fratelli d’Italia a lancé les ‘’comités civiques pour le premierato’’, une initiative visant à faire connaitre la réforme, notamment en vue d’une consultation populaire. Mais comment concilier la discussion au parlement et la création de ce qui semblent être des embryons de comités référendaires ? On peut se demander si la majorité, convaincue que le dialogue est destiné à échouer, ne s’adresse pas déjà aux citoyens. La Ligue obtiendrait quant à elle la réforme de l’autonomie régionale, contestée par ceux qui craignent une scission du pays, et Forza Italia une accélération sur la réforme de la justice. Un plan toutefois mis à mal par les divisions internes latentes mais porté par la conviction de battre l’opposition. » 

ARTICLE, Repubblica, de M. Pucciarelli, « La Ligue et Russie Unie, histoire étrange d’un pacte dénoncé seulement oralement » : « Si les paroles solennelles ont encore un sens, et si les signatures ont encore de la valeur, l'accord de coopération signé en mars 2017 entre la Ligue et Russie Unie, le parti de Vladimir Poutine, n'a jamais été rompu. Ou en tous cas seulement oralement, un peu à l’italienne en somme, vu qu’à Moscou, on s’est toujours gardé de le commenter. « Les parties se consulteront et échangeront des informations sur les questions d'actualité concernant la situation dans la Fédération de Russie et la République italienne, sur les relations bilatérales et internationales, sur l'échange d'expériences dans le domaine de la structure des partis, du travail, des politiques de la jeunesse, du développement économique, ainsi que dans d'autres domaines d'intérêt mutuel ». Voici ce qu’indique le premier point du pacte. Le point numéro huit précise que « le présent accord entre en vigueur dès sa signature par les représentants autorisés par les parties et est valable pour une durée de cinq ans. L'accord est automatiquement reconduit pour des périodes successives de cinq ans, sauf si l'une des parties notifie à l'autre, au plus tard six mois avant l'expiration de l'accord, son intention de le résilier ». Le constat est très simple : si, entre le 6 Septembre 2021 et le 6 Mars 2022, aucun des membres n’a informé l’autre de la fin de cette collaboration, alors celle-ci est automatiquement renouvelée pour cinq années supplémentaires, c’est-à-dire jusqu’en Mars 2027. « Il n’y a jamais eu de relations avec les Russes, l’accord parle de coopérations dans certains organismes spécifiques où la Russie n’est plus présente. Il n’est donc techniquement plus valable » a redit la Ligue hier. C’est déjà ce qui a été dit et redit ces dernières semaines par Salvini, par son vice-secrétaire Andrea Crippa et par Massimiliano Romeo, chef de groupe au Sénat. « L'accord d'amitié a cessé d'exister pour cause de force majeure, que nous ne pouvions pas prévoir au moment de la signature : d’abord la pandémie du Covid et ensuite le conflit en Ukraine », c'est donc « une étoile qui s'est éteinte il y a longtemps », écrit Gianluca Savoini l’un des acteurs de cet accord. En somme, c’est la minimisation d’un pacte politique, célébré il y a longtemps (Salvini parlait ce jour-là d'un « accord historique ») et qui quelques années plus tard est considéré comme une sorte de plaisanterie qui n'engageait rien ni personne. Le leader d’Azione, Carlo Calenda, réclame depuis longtemps que « la Ligue fournisse la lettre par laquelle elle a annulé l'accord avec Russie Unie », mais il est évident que cette notification formelle n'existe pas, étant donné que jusqu'à présent, malgré les sollicitations, personne à la Ligue ne l'a jamais montrée. « La question est la suivante : pourquoi n'ont-ils pas écrit un mail, puisque cela suffisait, pour l'annuler formellement ? Cela fait des mois qu'on le leur demande, en vain. Et ils ne l'ont pas fait parce qu'ils ne veulent probablement pas contrarier quelqu'un qui pourrait dire des choses » déclare Calenda.  » 

ENTRETIEN, Libero, de Matteo Salvini, vice-président du Conseil et ministre des Transports et des infrastructures : « Je suis avec l’Ukraine. Pour diriger l’UE, la Ligue est là aussi » par Mario Sechi : « Cette audition au parlement [sur la motion de défiance déposée contre le Ministre Salvini, ndlr] est la démonstration claire que la gauche vit sur la Lune. Ils cherchent quelque chose qui n’existe pas, un procès sur un accord – qui portait par ailleurs sur des organismes internationaux dont les Russes ont été exclus, j’aurais donc travaillé avec moi-même- que nous avions déclaré comme annulé depuis le début de la guerre en Ukraine. J’avais de l’estime pour Poutine comme homme de gouvernement, jusqu’à l’invasion, mais comme l’avaient aussi Berlusconi, Renzi, Prodi, bref comme tous les chefs de gouvernement qui se sont succédé. Je n’ai vue qu’une fois Poutine dans ma vie, tandis que ces autres ont fait des accords commerciaux, économiques. Le problème n’est pas le peuple russe, le problème, c’est d’avoir déclenché une guerre insensée dont on se serait bien passé. Donc, avant cette guerre, nous avions tous une certaine opinion sur Poutine – et je le répète, d’autres ont fait des accords commerciaux de plusieurs milliards, moi j’avais fait un accord culturel et à partir du moment où tu déclenches une guerre, tu passes du côté de ceux qui sont en tort, c’est tout. Il n’y a donc aucun accord à dénoncer, car il n’existe pas. En revanche, il s’agit de travailler à la fin de la guerre, comme l’a rappelé le Saint Père.   J’espère que 2024 sera l’année de la paix et pas de l’aggravation de la situation. Nous organisons la réunion du G7 la semaine prochaine à Milan avec les Américains, les Britanniques, les Japonais, et le ministre ukrainien des infrastructures sera invité, car le premier point à l’ordre du jour sera la reconstruction de l’Ukraine. Tandis que le parlement discute de motions de défiance surréalistes, le dangereux russophile Salvini a invité son collègue ukrainien à la table avec les puissants du monde pour parler de reconstruction. Et la reconstruction prévoit la cessation des hostilités. J’espère qu’elle arrivera bientôt, et j’attends avec impatience le résultat des élections américaines de novembre, car le tournant républicain veut dire un retour à l’équilibre, à la modération et à la paix. J’espère que nous aurons de bonnes nouvelles, sans effondrement militaire d’ici novembre. [Q : Etes-vous d’accord avec Marine le Pen qui a salué la résistance du peuple ukrainien ?] Absolument, oui, je suis d’accord avec Le Pen. Celui qui est agressé a le droit et le devoir de se défendre. Et c’est pourquoi je suis horrifié quand Macron, pour remonter dans les sondages en France (mais visiblement avec de piètres résultats) fait l’hypothèse d’envoyer des troupes européennes pour combattre et mourir en Ukraine. Sur ce point, le gouvernement italien s’est exprimé clairement, je pense que les Italiens apprécient plus l’attitude de Le Pen que celle de Macron. La Ligue a toujours voté tous les textes en défense de l’Ukraine agressée. Sans pour autant désigner tout le peuple russe comme une ennemi à abattre. Il y a d’un côté les hiérarchies et le gouvernement [et de l’autre le peuple], et je ne partage pas l’extrémisme de ceux qui, pour combattre Poutine, interdisent les ballets, les concerts, boycottent les sportifs, c’est absurde. Il n’y a plus d’accord avec le parti de Poutine. Calenda attend un recommandé avec accusé de réception, j’enverrai donc un courrier électronique certifié à Poutine... Il est clair que c’est de la mauvaise foi, tout comme dans le cas de ceux qui ont cherché pendant des années des fonds russes, qui n’ont jamais été demandés, ni vus, ni donnés. Mon refus de soutenir Von der Leyen n’est pas personnel. Je pense qu’en Europe, nous avons perdu cinq ans et on ne peut pas reconduire ceux qui se sont si mal illustrés. Regardez sur l’immigration -et Von der Leyen s’est rappelée de Lampedusa la dernière année de son mandat-, les agriculteurs, la folie écologiste sur les rénovations de maisons. Certains ont voté pour ça, pas la Ligue. Il y a un pays de l’UE par exemple, l’Autriche, qui bloque les entrées par le col du Brenner et tandis que Bruxelles s’en lave les mains, j’ai proposé un recours devant la CJUE contre un pays membre pour la première fois dans l’histoire. Mon objectif est de faire croître le score de la Ligue à ces élections. Le climat est favorable dans de nombreux pays, et mon espoir est que personne ne fasse barrage par principe. Quand Forza Italia par exemple dit « jamais avec Marine Le Pen », alors ils admettent qu’ils préfèrent un accord avec la gauche, ce qui me semble étrange. Sur Stellantis, je tiens à remercier votre journal, car d’autres semblent avoir perdu la mémoire sur une entreprise qui a coûté des milliards aux Italiens. Ce qu’il reste d’italien dans cette entreprise reste à prouver, il est fondamental qu’elle reste implantée dans notre pays. Je suis d’accord avec les politiques menées par ce gouvernement [à son sujet]. Je suis pour qu’il y ait d’autres producteurs automobiles. Je le vois depuis mon ministère, l’Italie attire des investisseurs du monde entier. Sur le pont de Messine, on a eu des manifestations d’intérêt même de la Chine, mais bien sûr je compte sur les puissances occidentales, sur les démocraties, sur les économies de marché et pas sur les autres. Je pense par exemple qu’Elon Musk pourra donner un apport fondamental à l’Italie justement sur l’automobile, les connexions, l’intelligence artificielle, la recherche spatiale. Je n’entre pas dans les détails de l’affaire TIM, mais comme ministre des infrastructures cela me plairait d’avoir un système comme Starlink dans les aires actuellement sans connexion. La loi sur l’autonomie régionale est au calendrier parlementaire, le 29 avril. J’ai pris ma carte à la Ligue il y a 34 ans. Après toutes ces années de tentatives, nous avons atteint des objectifs, et ce qui est positif c’est que [notre parti] est aussi vu comme une opportunité pour le sud de l’Italie. Je suis toujours remis en question, mais il faut se remettre en question. J’ai certes fait des erreurs, mais le rôle de la Ligue en Italie et en Europe est pour moi très clair. Nous avons 500 maires, 100 parlementaires, des gouverneurs et de bons ministres, et si je devais disparaitre demain, le mouvement aurait quelqu’un d’autre pour le porter. Mais je ne suis pas fatigué. Certains épisodes des années passées nous ont coûté, mais nous avons augmenté nos scores cette année, en arrivant à 8%, avec un gouvernement solide et crédible, pas comme les cinq étoiles quand ils faisaient 30%. [Q : Vous sentez-vous de droite ?]. Non, honnêtement. Je suis antifasciste, anticommuniste, je pourrais me référer au libéralisme, mais je me situe en dehors de toutes les catégories dépassées. Je crois en certaines valeurs, la famille, la patrie, la défense des frontières (…)». 

ARTICLE, Sole 24 Ore, D. Pesole « Une loi de finances rectificative inévitable après les élections européennes » : « L’impact sur les finances publiques du fonds pour la rénovation énergétique des bâtiments (dit « superbonus »), le niveau réel de l'inflation et l’inconnue sur la croissance : voilà les trois éléments qui rendent assez complexe la confirmation d’un parcours de réduction de la dette et rendent plus probable que le recours à la loi de finances rectificative se fasse plutôt fin juin. Ce glissement du calendrier viserait aussi à donner un signal à la Commission européenne, qui ouvrira une procédure d'infraction pour déficit excessif dans la même période. Et interviendra après les élections européennes tant attendues. Si on part du résultat de 2023, on constate que le rapport dette/PIB est arrivé à 137,3%, donc en dessous des 140,2% estimés par la Nadef - document de mise à jour de la loi de finances. Cette « baisse » par rapport aux estimations serait due à l’inflation, qui agit sur le PIB nominal avec un niveau de déflation du PIB à 4.5% selon le gouvernement et à 5.3% selon l’Istat.  Pour 2024, avec une inflation qui ralentit, la dette pourrait augmenter de nouveau par rapport aux estimations de la Nadef : avec un déflateur de PIB à 2.9%, et un PIB nominal à 4.1%, on avait prévu une légère baisse du rapport dette/PIB à 140.1% par rapport à l’estimation précédente de 140.2%. Un paramètre important sera le niveau de croissance du PIB (à 1% selon le gouvernement, soit deux décimales de moins par rapport à l’évaluation de la Nadef, et même à 0.7% seulement selon les estimations du FMI). Pour le ministre de l'économie Giancarlo Giorgetti (Ligue), nous sommes en présence d'un "cadre de croissance économique mondiale, et surtout européenne, plutôt modesteNous observons cette modeste croissance de 1 %, mais par rapport à l'Allemagne en récession, cela représente beaucoup". Le contexte géopolitique actuel sera pris en compte dans la loi de finances. En effet, l'héritage de 2023, avec un déficit qui explose à 7,2 % du PIB en raison du superbonus (mais la facture finale sera encore plus élevée), affiche près de deux points de plus que les 5,3 % prévus par le gouvernement. Pour l'année en cours, il est proche de 4,5%, mais il ne sera pas facile de le réduire. C'est dans ce contexte que se dérouleront les prochaines étapes envisagées au niveau européen, avec un premier rendez-vous, une fois que les élections pour le nouveau Parlement auront eu lieu, autour du 21 juin dans la définition de la "trajectoire technique" envisagée par les nouvelles règles du Pacte de stabilité pour les pays dont le rapport dette/PIB dépasse les 60 % et le déficit 3 %. Sur la base de la trajectoire de référence, les États membres intègrent ensuite une trajectoire d'ajustement budgétaire dans leurs plans structurels budgétaires nationaux à moyen terme, qui doivent être présentés en septembre prochain. »

ARTICLE, Corriere della Sera, C. Voltattorni « Le ministre Urso (Frères d’Italie) demande une production de 200 000 voitures à Mirafiori ; Stellantis souligne la nécessité d’avoir des subventions. » 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Tamás Deutsch est la tête de liste du Fidesz pour les élections européennes.

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Hongrie. Tamás Deutsch est la tête de liste du Fidesz pour les élections européennes :

https://fidesz.hu/ep-lista-2024

Brandebourg : l'AfD est donnée à 25 % et le BSW à 12 %.

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Allemagne. Brandebourg. L'AfD est donnée à 25 % et le BSW à 12 % pour les élections de septembre pour le Parlement du Brandebourg. (Seuil à 5 %)

(https://www.wahlrecht.de/umfragen/landtage/brandenburg.htm)

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SPD : sociaux-démocrates

AfD : nationalistes

CDU : démocrates-chrétiens

Grüne : écologistes

Die Linke : post-communistes

Électeurs libres

FDP : libéraux

BSW : gauche anti-immigration

Sonstige : autres