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29/04/2024

"Meloni se porte candidate : "Votez pour Giorgia.""

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Italie. Revue de presse.  

La presse titre largement sur l’annonce officielle de Giorgia Meloni de se présenter en tête de liste de son parti aux élections européennes : « Meloni se porte candidate : « votez pour Giorgia » » (Corriere della Sera), « Duel pour l’Europe » (Repubblica), « « Ecrivez « Giorgia » sur le bulletin de vote » » (Stampa), « Meloni et le défi en Europe » (Messaggero), « Meloni : « nous changerons également l’Europe » » (Giornale), « Meloni veut faire des élections européennes un référendum sur elle » (Domani). La visite du Pape François à Venise est aussi citée par certains quotidiens : « Le Pape : « Venise peut disparaitre, il faut la protéger »» (Repubblica), « Le Pape s’adresse aux jeunes : « Réveillez-vous, la vie est devant vous » » (Corriere della Sera).  

Sur X le hashtag #Vannacci, en référence aux propos du candidat de la Ligue pour les élections européennes, le général Roberto Vannacci, sur sa proposition de rétablir la séparation de classes pour les élèves handicapés. 

PREMIER PLAN, Il Messaggero, de F. Bechis, « ‘’Changeons l’Europe, sur votre bulletin écrivez ‘Giorgia’’’ appelle Giorgia Meloni » : « Giorgia Meloni a annoncé sa candidature aux élections européennes lors d’un meeting à Pescara ce dimanche : ‘’j’ai décidé de me lancer pour les européennes et de me présenter dans toutes les circonscriptions’’. L’annonce était très attendue et elle a reçu une véritable standing ovation de la salle comble. Giorgia Meloni fait des élections européennes un referendum pour ou contre son gouvernement en demandant ‘’aux Italiens s’ils sont satisfaits du travail que nous sommes en train de faire. Si vous croyez encore en moi, je veux que vous écriviez ‘’Giorgia’’ sur le bulletin’’. C’est donc à Pescara, fief historique de la droite, que la leader trouve ce regain de popularité, ‘’le pouvoir ne me domptera pas et ne m’isolera pas’’ assure-t-elle à la foule en délire. Elle affirme qu’elle fera ‘’enfin passer la gauche à l’opposition en Europe’’. Dans la salle comble, la photo de groupe serait au complet, avec AntonioTajani (Forza Italia) et Maurizio Lupi (Noi con l'Italia) présents, s’il ne manquait pas Matteo Salvini qui se connecte brièvement à distance. Les deux alliés plaisantent alors que le leader de la Ligue s’affiche avec sa fille affirmant ‘’profiter d’un dernier week-end en famille avant la campagne’’. Giorgia Meloni annonce aussi qu’elle se porte candidate partout mais prévoit une campagne ‘’light’’ : elle ne prévoit pas de tournée ni de meetings à travers la Péninsule pour continuer à se consacrer pleinement au gouvernement sans soustraire une minute à ses activités - mais beaucoup d’interventions à la télévision et de déplacements de ministres. L’appel à voter en écrivant son seul prénom fait beaucoup d’effet et avait été étudié de longue date, comme un slogan, avec son entourage le plus proche dont fait partie sa sœur Arianna. Son discours est empreint d’un ton guerrier et identitaire. Meloni cite le MSI, le Mouvement social identitaire italien qui ‘’avait voté en faveur des Traités de Rome en 1957’’, et le général De Gaulle. Reprenant les thèmes de prédilection du gouvernement, elle évoque le Plan Mattei et le soutien à l’Ukraine, et s’en prend au superbonus pour la rénovation énergétique des bâtiments instaurer par le gouvernement 5 Etoiles de Giuseppe Conte. Elle promet qu’elle ‘’ne cèdera rien aux Socialistes’’ et s’en prend au Pacte Vert ‘’conçu par des bureaucrates dans un palais de verre’’. Elle qualifie enfin de débat ‘’surréaliste’’ l’hypothèse de sa candidature à la tête de la Commission européenne avant d’avoir ‘’écouter les résultats électoraux’’. » 

ARTICLE, La Stampa, F. Perina « Ce bond supplémentaire vers le parti personnel » : « En 2019, Meloni avait prononcé ces mots ‘’l’Europe est un comité d’affaires, un club de bureaucrates dominé par la France et l’Allemagne, un « super-Etat » qui se met d’accord sur comment piller les autres Etats européens’’. Aujourd’hui, le changement majeur que l’on peut constater est un bond en avant dans ses ambitions. Giorgia Meloni dévoile à ses électeurs son défi ultime, un système pour chambouler les équilibres continentaux et imposer à l’Europe le modèle italien : les Conservateurs, souverainistes et populaires au gouvernement contre tous les autres. Son modèle peut représenter un coup d’arrêt pour l’intégration européenne (qui n’a jamais plu à Meloni) et limiter les compétences de l’Union à un rôle de simple régulateur du commerce. Une défense commune sera éventuellement possible à condition que le reste des compétences aille aux Etats membres. C’est un pas en arrière vers l’ancienne CEE des années Soixante qu’elle évoque lorsqu’elle cite le général De Gaulle ‘’il ne peut y avoir d’autre Europe que celle des Etats nationaux’’. C’est un objectif qui frôle l’utopie : imaginer que les Populaires européens aillent bras-dessous bras-dessus avec Marine Le Pen ou les néonazis du Afd. Chose improbable au vu des sondages. Mais c’est aussi une façon rusée d’unir les instances souverainistes – auxquelles Meloni ne veut pas renoncer –l’ancien accord du groupe de Visegrad avec le dialogue avec les modérés d’’Ursula von der Leyen (ou celui ou celle qui la remplacera à la tête de la Commission). L’aspect grandiose de son défi plaira aux électeurs de droite. C’est aussi un rehaussement des ambitions personnelles de la présidente du Conseil, qui sort de son rôle de cheffe de parti de majorité relative pour se présenter à l’électorat comme la titulaire d’une nouvelle marque, « votez Giorgia ». Le nom de famille ne sert plus, ce n’est qu’une suprastructure puisqu’il n’existe qu’une seule Giorgia. Cela aussi plaira à la droite. Le discours de Pescara dévoile ainsi la stratégie de Meloni : elle utilisera les élections européennes pour remporter un succès personnel, tout le reste (y compris le destin de ses alliés) est accessoire. » 

ARTICLE, Corriere della Sera, A. Arachi « Schlein critique Meloni « son discours est totalement coupé de la réalité » » : « Elly Schlein utilise une métaphore ‘’Meloni au pays des merveilles’’ , ‘’coupée de la réalitéentre la Présidence du Conseil et la télé-Meloni’’, car ‘’elle a caché les problèmes sous un fleuve de rhétorique : en une heure de discours, il n’y a eu aucune référence au système sanitaire et aux listes d’attente interminables qui sont de plus en plus longues en raison des coupes budgétaires’’. Dans ce discours, la secrétaire du Parti démocrate déplore le fait qu’il n’y ait ‘’aucune référence aux salaires trop bas, à la sécurité au travail, alors qu’on compte 1 041 morts en 2023 ; Selon Meloni l’Italie a changé, mais en pire’’. Les propos prononcés par Meloni à Pescara ont provoqué la réaction également du dirigeant d’Azione, Carlo Calenda, qui a annoncé hier sa candidature dans toutes les circonscriptions avec Elena Bonetti : ‘’c’est une disciple d’Orban, l’idée d’Europe de Meloni est en fait la fin de l’Europe. L’Italie est un grand pays fondateur de l’Union, certainement pas la Hongrie des amis de Poutine’’. Selon Matteo Renzi, dirigeant d’Italia Viva ‘’Meloni est une influenceuse, elle nous demande de voter pour elle en Europe mais elle sait très bien qu’elle n’ira jamais au Parlement Européen’’. Giuseppe Conte (M5S) pour sa part, souligne que ‘’nous avons laissé une Italie qui parvenait à obtenir 209 milliards d’euros du PNRR pour les infrastructures, les investissements et la santé publique ; elle a donné son feu vert à un accord [le Pacte de Stabilité] avec des coupes à hauteur de 13 milliards par an qui pénaliseront les Italiens et leurs finances, tout comme le système sanitaire, les services, les écoles, avec une vague d’austérité’’. Pour Riccardo Magi de +Europa ‘’l’idée d’Europe des nations dont parle Meloni est celle des vétos des petits nationalismes, des chantages entre pays, des suspensions de l’accord de Schengen, des murs et des ports fermés’’. » 

ENTRETIEN, La Stampa, de Matteo Piantedosi (Indépendant), ministre de l’Intérieur, par F. Olivo « Aucune loi spéciale n’est prévue dans les universités ni contre les manifestations ; en matière d’immigration, le modèle [des centres d’accueil en] Albanie sera reproduit » : « Concernant la situation actuelle au sein des universités italiennes, nous sommes plus attentifs qu’inquiets. Il faut veiller à ce qu’il n’y ait pas d’infiltration ou d’instrumentalisation menant à la violence. La ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Anna Maria Bernini, a proposé des mesures drastiques et je suis d’accord avec elle sur la nécessité de maintenir un climat pacifique au sein des universités. La bataille idéologique contre les collaborations avec les universités israéliennes n’a aucun sens. Au ministère de l’Intérieur, nous n’avons pas l’intention de changer les règles de l’ordre public dans les universités et encore moins de restreindre la liberté de manifester. Le seul point qui sera soumis au Parlement est une hausse des peines pour ceux qui commettent des violences contre les forces de l’ordre, mais cela n’impacte en rien la liberté de manifester. Il n’y a pas de raison d’être alarmiste quant aux défilés, mais chacun doit jouer son rôle. L’ordre public ne s’impose pas mais se maintient, en premier lieu grâce au comportement responsable des manifestants. Les forces de police interviennent sur les campus seulement lorsque c’est nécessaire, lorsqu’elles sont contraintes de s’interposer pour défendre quelqu’un ou quelque chose qui est menacé. [Q : Il existe un risque concret pour les Juifs en Italie ?] Toutes les initiatives possibles en matière de prévention ont été prises. Mais il y a surtout un problème d’ordre culturel, il faut à veiller à ce que personne n’instrumentalise le conflit à Gaza ou les choix du gouvernement israélien pour relancer la vieille polémique antisioniste ou les théories antisémites. Empêcher un journaliste de s’exprimer parce qu’il est Juif est une dérive barbare, cela n’a rien à voir avec le débat sur la crise au Moyen-Orient. Concernant le niveau de l’alerte terroriste, le contexte international génère des tensions, il n’y a toutefois pas d’éléments particuliers sur des actions préparatoires en cours sur notre territoire. L’affaire de la répression de la manifestation étudiante à Pise est un cas isolé. Il y a eu une hausse de 40% des manifestions en Italie mais seulement 2% ont posé problème. On l’a notamment vu le 25 avril [anniversaire de la Libération], date d’une grande valeur symbolique qui célèbre la liberté après la fin du régime, de l’occupation nazi-fasciste et de l’horreur de la guerre. Il ne faut pas tenter de récupérer cette date au profit d’un camp politique plutôt qu’un autre. Le G7 à Venaria près de Turin pourrait être utilisé, comme on le voit avec ce type d’événement, comme une vitrine pour mener des actions violentes, mais tous les moyens nécessaires ont été déployés pour la prévention. En matière de flux migratoire, nous nous attendons à ce que la collaboration croissante avec les pays de départ et de transit amène des résultats de plus en plus significatifs. Dans les prochains jours je recevrai au ministère mes homologues algérien, libyen et tunisien. Les centres d’accueil de migrants en Albanie pourraient donner de très grands résultats et tous nos partenaires européens prêtent attention à ce projet. Un hotspot basé en Tunisie est absolument exclu, il n’y en a pas besoin. Nous travaillons à des projets communs de rapatriements volontaires assistés. Quant aux déclarations de la Garde Côtière italienne, les activités de recherche et de sauvetage menées par les autorités sont indépendantes de quelque indication ou ingérence politique que ce soit. Les rumeurs sur ma candidature à la présidence de la région Campanie sont infondées. » 

ARTICLE, Corriere della Sera, F. Chiesa « L’Italie dit adieu au charbon et oui au nucléaire. Les altermondialistes protestent au G7 » : « Nous devons sortir du charbon et nous tourner vers le nouveau nucléaire, pour un mix énergétique n'incluant pas seulement les énergies renouvelables afin d’atteindre la décarbonisation. Le ministre de l'environnement et de la sécurité énergétique Gilberto Pichetto Fratin, qui a participé à une série de réunions hier à Turin à la veille de la réunion du G7 sur l'énergie, le climat et l'environnement prévue aujourd'hui et demain à Venaria Reale sous la présidence italienne, s'est exprimé clairement : "L'objectif pour 2050 est la décarbonisation totale, le terme est long, nous devons procéder progressivement. La première étape est le charbon, puis le pétrole et la production d'énergie propre avec les énergies renouvelables et, pour assurer la continuité, également le nouveau nucléaire". Ce dernier point est critiqué par les Verts allemands et, dans une large mesure, par les mouvements écologistes italiens. L'après-midi d'hier a été tendue : des manifestants ont mis le feu à des photographies géantes représentant les visages des dirigeants, dont celui de Giorgia Meloni. En ce qui concerne le charbon, la fermeture définitive des dernières centrales existantes était déjà prévue pour 2025, avant que la crise du gaz avec la Russie n'oblige à en relancer certaines, mais maintenant que le deuxième nouveau regazéificateur de l’entreprise SNAM est également lancé, le ministre a déclaré qu’il serait possible de ne plus recourir à cette source d’énergie polluante "dans les prochains mois, bien qu'avec le scénario géopolitique actuel, il est plus raisonnable de compter un an". Confirmant l'objectif italien, le ministre Pichetto a adressé un message à l'Allemagne, qui a fermé ses derniers réacteurs l'année dernière, mais qui utilise encore du charbon et du lignite. Le gouvernement italien a pris les premières mesures pour introduire l'énergie nucléaire de nouvelle génération : hier, le ministère pour la transition écologique a adhéré à l'Alliance industrielle européenne sur les Smr, les petits réacteurs modulaires. L'Italie ne part pas de zéro "puisque, explique le ministre, nous avons maintenu un niveau élevé de connaissances dans les universités et les centres de recherche". Après avoir créé la plateforme nationale pour un nucléaire durable, M. Pichetto a chargé il y a deux jours le professeur Giovanni Guzzetta de réviser le cadre législatif. "Nous nous appuyons aussi sur la science et pas seulement sur les idéologies". L'Italie et l'Allemagne mises à part, tous les pays du G7 (France, Royaume-Uni, États-Unis, Canada et Japon) disposent non seulement de centrales nucléaires, mais investissent également dans la construction de nouvelles centrales.  Dans la stratégie d'alliances que le ministre construira également par des rencontres bilatérales, Faith Birol, directrice de l'AIE, qui a parlé d'une "erreur" de l'Europe en tournant le dos au nucléaire, lui a donné un coup de pouce. » 

ARTICLE, La Repubblica, P. Mastrolilli « Washington lance l’alerte : la propagande russe soutiendra Salvini » : « On décompte environ une dizaine de sites liés aux services de renseignement russe et que le département du Trésor américain a sanctionné car ils publiaient de la désinformation. Une propagande qui visait tout particulièrement le gouvernement italien et la présidente du Conseil Giorgia Meloni. Peut-être le Kremlin se sent-il trahi par cette dernière, qui a étroitement conservé l’alliance avec les Etats-Unis au lieu de suivre la dérive souverainiste et anti-occidentale à laquelle Moscou se serait attendue de la part d’une coalition incluant la Ligue. Matteo Salvini, lui, est mise en valeur par ces mêmes sites. Cela pourrait avoir des retombées également sur la campagne des élections européennes. Quand on regarde ces sites de plus près, on décèle en effet une attention particulière pour l’Italie. Le 11 mars dernier, le Southfront avait consacré un article au gouvernement italien et à ses critiques vis-à-vis de la volonté de la France et de la Pologne d’envoyer des soldats en Ukraine. Le 23 octobre 2023 ce site avait accusé l’Italie de ‘’trahir la cause palestinienne et sa tradition pro-arabe’’. Le 20 mai, il nous reprochait d’avoir livré à Kiev les « B1 », et le 14 janvier d’avoir ‘’accepté de donner à l’Ukraine le système de défense Samp-T’’ qui est, en réalité, encore en discussion. Le 13 octobre ce site avait critiqué Meloni de se ‘’rendre’’ face au ‘’Grand Remplacement, c’est-à-dire la substitution des Italiens avec les migrants, contrairement à l’eurosceptique Matteo Salvini. Le 16 janvier, le site avait ajouté que ‘’pour prévenir les critiques d’être anti-UE et anti-Otan, Meloni a juré fidélité aux deux, alors que Berlusconi et Salvini avaient fait des déclarations en faveur de la Russie’’. Un autre site, le Strategic Culture avait publié en juin 2023 un article reprochant à Meloni les accords signés avec la Tunisie sur les migrants, car ‘’elle soutenait ainsi l’un des dictateurs les plus brutaux’’. Le 1er avril, il avait accusé Meloni de ‘’jouer la carte du chantage avec l’UE concernant l’immigration africaine’’. En revanche, en avril 2019, il avait fait l’éloge de Salvini, car il avait ‘’osé défier Angela Merkel au Parlement Européen’’. Si le département du Trésor américain a raison, et que ces sites sont liés aux services de renseignements russes pour diffuser de la désinformation, que faut-il en déduire concernant les attaques contre Meloni et l’éloge de Matteo Salvini ? »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Reportage photo à la conférence de l'AUR à Bucarest : "Make Europe great again."

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Roumanie. Lors de la conférence Make Europe great again le 27 et 28 avril 2024 au Parlement à Bucarest, les orateurs des partis autres que ceux de l'AUR ont été :

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Le président du Parti du Peuple danois Morten Messerschmidt

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Le président de la Cour suprême du Likoud Michael Kleiner

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Le président du parti nationaliste slovaque Republika Milan Uhrik 

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Derk Jan Eppink du parti néerlandais des agriculteurs BBB 

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Le président du parti nationaliste tchèque PRO Jindrich Rajchl

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Roberts Ozols du parti nationaliste letton Alliance nationale 

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Janusz Kowalski de Pologne souveraine

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 Filip Dewinter du parti nationaliste flamand Vlaams Belang 

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 Enzo Alias, président des Patriots Network et membre du Rassemblement national

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 Le député européen de la Lega originaire de Sicile Annalisa Tardino 

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Le vice-président du parti nationaliste bulgare Renaissance Petar Petrov 

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Le député européen du parti conservateur polonais Droit et justice (PiS) Kosma Zlotowski

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Nicolas Bay de Reconquête 

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Nikola Zborilova du parti nationaliste tchèque SPD

La photo de groupe :

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(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/04/14/con...)

Harald Vilimsky estime que le regroupement familial pour les demandeurs d’asile ne doit être possible que dans le pays d’origine.

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Autriche. La tête de liste du FPÖ pour les élections européennes Harald Vilimsky estime que le regroupement familial pour les demandeurs d’asile ne doit être possible que dans le pays d’origine car, selon lui, l’asile est une protection temporaire.

Le FPÖ donné premier à 29 %.

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Autriche. Un sondage Market donne les patriotes du FPÖ premiers à 29 %, les sociaux-démocrates du SPÖ à 23 %, les sociaux-chrétiens/conservateurs de l’ÖVP à 20 %, les libéraux de NEOS à 10 %, les écologistes à 9 %, le parti satirique BIER à 5 % et les communistes du KPÖ à 3 %.