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08/03/2013

Silvio Berlusconi condamné à un an de prison.

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Italie. Silvio Berlusconi est condamné à un an de prison, lors du procès sur le rachat de la banque Unipol dans lequel il est accusé d'avoir violé le secret de l'instruction. Il est reconnu coupable d'avoir fait publier en 2005 dans Il Giornale, le journal de son frère Paolo, la transcription d'un enregistrement, qui aurait dû rester secret, d’une conversation téléphonique entre le chef de la gauche de l'époque, Piero Fassino, et le président de l'assureur Unipol.

Résultats en siège de l’élection 2013 du législatif du Canton du Valais.

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Suisse. Canton du Valais. Résultats en sièges de l’élection du dimanche 3 mars 2013 pour le Grand Conseil valaisan.

Force du parti

Sièges 2009 

Sièges 2013 

+/-

PDC/PCS (démocrates-chrétiens)

68

61

-7

PLR (libéraux)

28

28

0

UDC

12

21

+9

PS/Verts 

22

20 

-2

Manifestation du Jobbik à Konyár contre la délinquance tsigane.

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Hongrie. Comitat de Hajdú-Bihar. Konyár. Le Jobbik a manifesté à Konyár le samedi 2 mars 2013 contre la délinquance tsigane en présence des Députés du Jobbik Tamás Sneider et Gergely Kulcsár.

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Jobbik 2.jpg

07/03/2013

Oskar Freysinger: "J’ai été opéré deux fois."

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Suisse. Oskar Freysinger : « J’ai été opéré deux fois. » :

http://www.lematin.ch/suisse/freysinger-j-opere-deux-fois...

Mogens Camre désire être candidat aux municipales.

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Danemark. Mogens Camre du Parti du Peuple Danois, 76 ans, désire se présenter une nouvelle fois aux élections municipales de l’automne 2013 au sein de la municipalité de Gladsaxe.

Mogens Camre a, à partir en 1968, siégé au Parlement pour les sociaux-démocrates puis est passé au Parti du Peuple danois en 1999 et a siégé dix ans en tant que député européen de ce parti patriotique. 

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Mogens Camre

Italie : "Nouvelles élections ? Le mode de scrutin actuel favoriserait la non-gouvernabilité."


« Nouvelles élections ? Le mode de scrutin actuel favoriserait la non-gouvernabilité » (Roberto D’Alimonte,Il Sole 24 Ore) : « Il existe un problème que plusieurs acteurs de la politique italienne et les marchés n’ont pas très bien saisi. L’Italie d’aujourd’hui se retrouve dans une situation qui est pire que celle de la Grèce d’hier (qui a réussi à former un gouvernement après un nouveau vote). Chez nous, retourner au vote sans une réforme du mode de scrutin pour le Sénat signifierait jouer à la roulette. La petite bille pourrait tomber sur la bonne case comme sur la mauvaise. La probabilité d’un mauvais résultat est même majeure. Que faire alors ? Continuer à voter tant que la chance n’arrive pas ? Cela fait trois fois que nous votons avec le mode de scrutin appelé ‘Porcellum’. Seulement une fois il a donné un vainqueur clair au Sénat, en 2008. Cette fois-ci le contexte est bien différent. Il y a eu une compétition quadripolaire et aucun pôle n’a pu distancier nettement les autres. Au contraire, sur ces 4 pôles, 3 avaient plus ou moins le même poids. Si on devait aller voter à nouveau, quel serait le résultat ? Celui de 2008 ou celui de février 2013 ? Il est possible que l’offre politique ou que les préférences des Italiens changent, donnant une majorité claire au Sénat, comme l’espère Grillo, qui compte remporter une victoire dans toutes les 17 régions ? Ou comme l’espèrent ceux qui misent sur Renzi pour réussir là où Veltroni avait échoué ? A priori cela n’est pas à exclure. Toutefois, aujourd’hui nous nous retrouvons dans une situation tellement fluide qu’il est permis de douter. Le bon cap à suivre pour la gouvernabilité est celui d’une réforme du mode de scrutin. Avec quel système et quelle majorité ? Nul ne sait. Le plus simple serait d’introduire une prime de majorité nationale au Sénat à l’instar de celle prévue à la Chambre basse. Mais cela n’est pas suffisant. Il pourrait y avoir deux majorités différentes. Il faudrait alors permettre aux jeunes de 18 ans de voter aussi pour le Sénat. Cela signifierait faire une réforme constitutionnelle. Cela est-il possible en peu de temps ? Difficile. Il faudrait alors jeter les bases pour une vraie gouvernabilité avec des choix clairs sur le mode de scrutin, la forme de gouvernement et le bicaméralisme. On en a longtemps discuté. Il faudrait choisir entre le modèle italien et le modèle français. Le premier est celui des communes, des provinces et des régions : élection directe du chef du gouvernement (avec un ou deux tours) et une majorité de sièges garantie à celui qui gagne (grâce à la prime). Le second est celui basé sur une double élection : élection directe du président de la République en deux tours et élection des parlementaires aux collèges uninominaux avec un système à deux tours. Pour ces deux possibilités, il faut quand même réduire le nombre de d’élus et mettre fin au bicaméralisme parfait laissant uniquement à la Chambre basse le rôle de voter la confiance au gouvernement. Le système italien a un avantage : il assurerait une majorité. Le système français, en revanche, offre un collège uninominal majoritaire. L’actuelle crise politique pourra-t-elle favoriser un gouvernement pouvant affronter de telles questions ? La stabilité et le bon fonctionnement de notre démocratie dépendent de ce que les partis sauront faire sur le plan des réformes institutionnelles et politiques. Il s’agit là de questions qu’il n’est plus possible de reporter. Il faut aussi que le M5S prenne ses responsabilités sur ce front. Sinon, nous continuerons à jouer à la roulette. Et nous perdrions tous, y compris la banque. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Le Vlaams Belang s'oppose à l'ouverture d'un supermarché halal à Merksem.

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Belgique. Flandre. Anvers. District de Merksem. Le Vlaams Belang a conduit une action contre l’arrivée d’un supermarché halal à Merksem. Une vingtaine de cadres du parti, parmi lesquels Filip Dewinter, Anke Van dermeersch et Jan Penris, ont récolté des signatures sur le marché de Merksem contre l’ouverture du supermarché « Tanger ». Le groupe s’est ensuite rendu à l’endroit où le commerce doit être édifié. Le parti va également s’opposer au sein du Conseil municipal d’Anvers et au sein du Conseil de district de Merksem à cette implantation.

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Filip Dewinter, Jan Penris et Anke Van dermeersch 

2/3 des députés FPK du Parlement de Carinthie ont renoncé à leur mandat.

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Autriche. Carinthie. Le nouveau président du FPK Christian Ragger demande la démission de l’ensemble des députés FPK du Parlement de Carinthie afin qu’ils laissent la place à de nouvelles têtes. Il a obtenu jusqu’à présent que 2/3 des nouveaux députés FPK du Parlement de Carinthie signent une déclaration de renonciation à leur mandat.

06/03/2013

Le SNS remporte deux sièges lors d'élections partielles pour le Parlement de Voïvodine.

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Serbie. Voïvodine. Lors d'élections partielles de ce dimanche 3 mars 2013 pour l’Assemblée de Voïvodine, le SNS a emporté un élu à Zrenjanin et un à Srbobran. Son allié au sein du gouvernement serbe, le Parti socialiste de Serbie a remporté le siège à Apatin.

Uwe Scheuch renonce à un mandat de député au Parlement de Carinthie.

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Autriche. Carinthie. L’ancien président du FPK et ministre de Carinthie sortant Uwe Scheuch renonce également à son mandat de député au sein du Parlement de Carinthie. Il a remis au nouveau président du FPK Christian Ragger un acte de démission en blanc de son mandat de député au Parlement de Carinthie.

Le Gouverneur FPK sortant Gerhard Dörfler et le Ministre FPK de Carinthie sortant Harald Dobernig vont-ils faire de même ? Selon le président du FPK Christian Ragger, d’autres doivent suivre l’exemple d’Uwe Scheuch. Selon Christian Ragger, Uwe Scheuch a rendu beaucoup de services au parti mais a également, comme les autres dirigeants du parti, commis des erreurs.

Uwe Scheuch a, par contre, été confirmé en tant que président du FPK de la circonscription de Spittal ce 5 mars 2013.

Le FPÖ a salué, via le Secrétaire général du parti Herbert Kickl, la décision d’Uwe Scheuch de renoncer à son mandat de député au sein du Parlement de Carinthie.

Siegfried Kampl, le maire FPK de Gurk, s’est prononcé pour le départ de tous ceux qui ont siégé au sein du Parlement de Carinthie sous les couleurs du FPK afin de voir de nouvelles personnes occuper les fonctions de député FPK du Parlement de Carinthie. Plusieurs maires FPK de Carinthie vont dans le même sens. Le maire de Winklern désire par contre qu’Uwe Scheuch exerce son mandat de député afin que la circonscription de Spittal dispose d’un député au Parlement de Carinthie.

Le gel de Grillo sur la proposition de Monti d’un gouvernement technique.


La presse italienne publie de nombreux éditos s’interrogeant sur le futur gouvernement italien – relatant entre autres le « refus de Grillo d’un gouvernement technique » (Stampa)-, sa place en Europe et la crise qui « continue de peser » (Sole).

Réunion de direction du PD : Pour le Foglio, la « vraie bataille de Bersani ne sera pas celle de la réunion de direction. Il prépare son far-west et découvre ses ennemis au sein du PD », malgré les nombreuses « assurances de fidélité, de Renzi à D’Alema » (Repubblica). La Repubblica annonce que « Bersani renonce à son ultimatum : d’autres possibilités, à part de nouvelles élections, existent après moi », le leader PD précisant « mais jamais un gouvernement avec Berlusconi ». Le quotidien de centre gauche rapporte des « frictions avec le Quirinal ». D’un point de vue interne aux Démocrates, Renzi serait « le favori à la succession de Bersani à la tête du parti en cas d’échec du gouvernement PD-M5S ».

Sur le futur gouvernement : Avant tout, « le Quirinal rappelle qu’il est impossible d’anticiper la convocation des Chambres, prévue le 15 mars » (Repubblica). La Stampa rapporte le « gel de Grillo sur la proposition de Monti d’un gouvernement technique » : « l’unique solution est un gouvernement M5S ». « L’impasse actuelle cache une campagne électorale qui en réalité continue » pour l’éditorialiste du Corriere. La Repubblica s’interroge sur « la longue marche des institutions » Pour l’éditorialiste du Sole, « si un gouvernement technique était nommé, il faudra un Président de la République qui le garantisse », rappelant que « un fort appui du Quirinal est nécessaire » et que « le mandat de Napolitano touche à son terme ». Pour le Sole, il existe « Le temps de la protestation et celui des responsabilités », notamment de la part du M5S, dont il critique le manque de crédibilité du programme économique. La Stampa se penche d’ailleurs sur « la politique qui oublie l’économie » (Stampa).

Le M5S continue de faire l’objet de nombreuses analyses : Dans un entretien à La Repubblica, Umberto Eco estime que « Grillo a du succès car il ne passe pas à la télévision mais l’aristocratie des blogs n’est pas suffisante ». L’écrivain résume par ailleurs ainsi un sentiment diffus dans la majorité de la presse italienne : « Il est difficile de passer de la protestation à la gestion de la représentation ». Pour le Corriere, « De Rousseau à Grillo », c’est « l’illusion de la démocratie directe » (Corriere). Le Sole fait état d’une « tentative de dialogue sur l’Europe » : « Grillo n’est pas contre l’Europe mais contre l’Europe actuelle, loin des intérêts des citoyens ». L’Unità se penche sur la « diplomatie choc de Grillo entre missions à l’étranger, Syrie, Iran ».

Le Fatto quotidiano, qui publiait hier une enquête de son journaliste d’investigation Marco Lillo (p.m. qui a le premier publié sur l’affaire MPS) sur les accusations de dépenses irrégulières formulées à l’encontre du président de la région autonome de Bolzano [Tyrol du Sud – Haut-Adige] Luis Durnwalder, de la part de R. Schulmers (magistrat à la cour des comptes du Trentin-Ht Adige), fait aujourd’hui état de ‘’pressions du Quirinal’’ pour protéger Durnwalder – ‘’l’intouchable du règne de la province autonome de Bolzano’’, le procureur Schulmers étant accusé de calomnie contre Napolitano.

« Bruxelles, un gouvernement rapidement en Italie ou la zone euro sera en danger » (Avvenire).

« Taux d’intérêt : le gap Italie-Espagne et France-Allemagne se creuse » (Sole).

(Traduction : Ambassade de France à Rome)

Elections 2013 du législatif du Canton de Soleure.

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Suisse. Canton de Soleure. Lors des élections pour le Grand Conseil [Parlement] du Canton de Soleure de ce dimanche 3 mars 2013, l’UDC a obtenu 20,9 % (+0,8%). L'UDC devient le deuxième parti du canton et dépasse pour la première fois le Parti démocrate-chrétien PDC et le Parti socialiste PS. Les perdants sont le Parti libéral PLR (-2%; désormais 24,8%), le PS (-1,6%; 19,1%) et le PDC (-2,4%; 18,4%).

Force du parti

2009

2013

+/-

 

Nb. de sièges

2009

2013

+/-

PLR

26.8%

24.8%

-2.0%

 

 

27

26

-1

PS

20.7%

19.1%

-1.6%

 

 

21

19

-2

PDC

20.8%

18.4%

-2.4%

 

 

25

22

-3

UDC

19.4%

20.2%

+0.8%

 

 

18

19

+1

(http://www.so.ch/fileadmin/internet/sk/skrde/pdf/abstimmu...)

Meeting-débat organisé par Jeune Bretagne sur le thème “Que faire face à la crise sociale européenne ?”

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France, Italie et Flandre. Un représentant de Casapound (Italie) et un autre de l'association étudiante nationaliste flamande NSV (Flandre-Belgique) participeront à un meeting-débat organisé par Jeune Bretagne sur le thème « Que faire face à la crise sociale européenne ? »

http://www.jeune-bretagne.com/2013/02/23-mars-2013-demand...

Jeune Bretagne.png

05/03/2013

L’UDC et la place de la Suisse au Conseil de sécurité de l'ONU.

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Voici un communiqué de l'UDC :

Les parlementaires UDC ont examiné le projet du Conseil fédéral de faire siéger la Suisse au Conseil de sécurité de l'ONU. Ils exigent qu'une telle décision soit prise par le Parlement et soumise au référendum facultatif. Le groupe a donc décidé d'apporter son soutien à l'initiative parlementaire du conseiller national Luzi Stamm. Du point de vue de l'UDC, un siège au Conseil de sécurité est absolument incompatible avec la neutralité helvétique et remettrait en question la tradition des bons offices de la Suisse. Un choix d'une telle portée doit absolument être soumis au Parlement et au peuple.

Après les élections, Gianfranco Fini fait ses cartons.

Futuro e Libert+á per l'Italia.jpg

Italie. Gianfranco Fini fait ses cartons : 

http://fr.novopress.info/133336/italie-apres-les-election...

Alessandra Mussolini dénonce "les attaques de la magistrature contre Silvio Berlusconi."

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Italie. Le Sénateur du Peuple de la Liberté (PdL) Madame Alessandra Mussolini déclare : « La magistrature n'a pas d'autre but que de construire des accusations imaginaires contre Berlusconi. » et « Ce serait risible si ce n'était pas inquiétant par le calendrier et le contenu des nouvelles accusations contre M. Berlusconi. C'est un disque rayé qui ne sert qu'à montrer comment une partie de la magistrature n'a pas d'autre but que de construire des accusations imaginaires contre Berlusconi. Bien que les Italiens ont maintenant compris, comme l'a montré l'échec de la liste électorale Ingroia (procureur de Palerme et membre du PdCi - Parti Communiste) / Di Pietro / De Magistris; reste l'indignation à propos de ces événements. »

 (Source : le blog de Valentin Beziau)

Le MCG et l'UDC vont travailler ensemble lors des élections pour le Canton de Genève.

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Suisse. Canton de Genève. Au début du mois de mars 2013, le MCG et l'UDC ont diffusé un communiqué au sein duquel ils confirment leur alliance en vue des élections cantonales d'octobre 2013. Les deux partis apparenteront leurs listes pour le Grand Conseil [législatif du canton]. Ils mettront par ailleurs sur pied des listes de traverse pour le Conseil d'Etat [exécutif du canton].

En ce qui concerne l'exécutif, l'opportunité de déposer, dès le premier tour, une seule liste MCG-UDC réunissant les candidats des deux partis, ou d’attendre le deuxième tour, fait encore l'objet de discussions.

Le MCG dispose de 17 députés au sein du Grand Conseil de Genève et l'UDC 9.

Geert Wilders sur la liste noire d’Al-Qaïda.

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Pays-Bas. Le politicien néerlandais Geert Wilders se trouve en quatrième place sur la nouvelle liste d’Al-Qaïda qui classe les « incroyants » qui doivent être, selon l’organisation, tués aussi vite que possible.

Le premier sur la liste est Carsten Juste, le rédacteur en chef de l’organe de presse danois Jyllands-Posten qui a placé en 2005 les caricatures de Mohamed au sein du journal.

En deuxième place se trouve Terry Jones, le pasteur américain qui a appelé plusieurs fois à brûler le Coran.

Kurt Westergaard, le caricaturiste qui a représenté en 2006 le Prophète Mohamed avec une bombe en tant que turban se trouve en troisième place.

Le nom de Girt (sic) Wilders figure en quatrième place. Geert Wilders dirige le PVV néerlandais.

En dixième place se trouve Ayaan Hirsi Ali (http://fr.wikipedia.org/wiki/Ayaan_Hirsi_Ali)

À côté de la liste figure le texte en anglais : « Oui, nous pouvons. Une balle par jour garde éloigné les infidèles.»

(http://www.nieuwsblad.be/article/detail.aspx?articleid=DM...)

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Citoyenneté suisse uniquement pour les étrangers bien intégrés.

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Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse :

Le groupe parlementaire UDC a discuté aujourd'hui de la révision totale de la loi sur le droit de la nationalité. Il est très inquiet devant les décisions erronées - notamment au niveau des tribunaux - et les graves abus dans le domaine des naturalisations. Le groupe UDC plaide en faveur d'une ligne rigoureuse et dure et s'oppose à la tendance qui consiste à dégrader la naturalisation au niveau d'un simple acte administratif sans exigence particulière à l'égard des étrangers.

Le groupe UDC exige notamment qu'un permis d'établissement soit la condition sine qua non pour une naturalisation. De plus, la durée minimale de 12 ans de séjour en Suisse doit être maintenue. Un étranger souhaitant se naturaliser doit habiter au moins trois à cinq ans dans la commune dont il veut demander la citoyenneté. Voilà la seule manière de vérifier s'il est réellement intégré sur place. Un candidat à la nationalité suisse doit être bien intégrée, ne pas avoir d'antécédents criminels et savoir s'exprimer correctement par oral et par écrit dans la langue de sa commune de domicile.

Le FPK opposé à une aspiration par le FPÖ.

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Autriche. Carinthie. Le nouveau président exécutif du FPK Christian Ragger désire que son parti reste indépendant du FPÖ au niveau national (tout en restant proche du FPÖ).

Les cadres du FPK vont discuter de la question de la relation future entre le FPK et le FPÖ.

Notons qu’un FPÖ de Carinthie existe toujours et que le FPÖ de Carinthie et le PFK vont probablement fusionner au sein du FPK.

La chef de groupe des élus à la Chambre du mouvement de Grillo estime le fascisme positif à ses débuts.

Le Peuple de la liberté.jpg

Pour le Corriere, la convocation de Berlusconi, Bersani et Grillo, par Monti [qui doit rencontrer séparément les leaders] est une « initiative décidée avec le Quirinal, pour empêcher la fuite de la réalité de l’UE ». Selon le quotidiens, « si Grillo se refuse à rencontrer Monti, alors tout dialogue ou médiation » serait impossible. « Mais l’Europe n’attend pas » avertit le Corriere, qui rappelle que « L’UE demande à l’Italie que les partis politiques trouvent une solution ». L’éditorialiste du Sole estime que les partis devraient « cesser de se renfermer dans leur tour d’ivoire » et « faire confiance à Napolitano ».

Les journaux continuent d’évaluer les hypothèses possibles concernant le gouvernement et sont nombreux à évoquer l’hypothèse d’une forme de gouvernement technique (après des déclarations de membres du M5S contre un « gouvernement des partis »). L’éditorialiste du Sole plaide en sa faveur : « si Grillo montre une ouverture à l’hypothèse d’un gouvernement technique », le PD, qui « pour le moment rejette cette idée, devrait plutôt écouter ». D’autres en revanche sont plus sceptiques : C. Maltese dans la Repubblica, tout en se félicitant de la qualité des nouveaux parlementaires grillistes, craint que « rien ne change vraiment » avec un « gouvernement technique encore pire » que le précédent. G. Ferrara, directeur du Foglio, conservateur, déplore l’absence d’entente PD-PDL et revendique le droit de ne respecter les grillistes que « jusqu’à un certain point ».

L’ensemble des quotidiens met en avant les propos de Roberta Lombardi, élue hier chef de groupe M5S à la Chambre, qui, sur son blog le 21 janvier 2013, estimait que « le fascisme, avant de dégénérer, avait une dimension nationale de communauté puisée largement dans le socialisme, un haut sens de l’Etat et de la famille », provoquant de vives polémiques. L’éditorialiste de la Stampa demande sa démission.

(Traduction : ambassade de France à Rome)

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Roberta Lombardi

04/03/2013

Le FPÖ désire aspirer le FPK.

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Autriche. Le FPÖ veut, suite à la défaite du FPK lors des élections pour le Parlement de Carinthie, aspirer le FPK. Le président national du FPÖ Heinz-Christian Strache désire voir organiser un congrès de réunification au cours duquel le FPK entrera dans le FPÖ. Il désire que le nouveau président exécutif du FPK Christian Ragger devienne le président du FPÖ de Carinthie.

Répartition des mandats au sein du Parlement de Carinthie

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Autriche. Carinthie. Suite aux élections pour le Parlement de Carinthie du 4 mars 2013, les 36  mandats de député au sein du Parlement sont répartis entre les partis suivants :

FPK : 6

SPÖ (Parti social-démocrate) : 14

ÖVP (Parti conservateur) : 5

Écologistes : 5

Équipe Stronach : 4

BZÖ :  2

Kurt Scheuch quitte la présidence du FPK.

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Autriche. Carinthie. Kurt Scheuch s’est retiré, suite à une réunion de la direction du FPK ce lundi 4 mars 2013, de la présidence du FPK. Christian Ragger, ministre FPK de Carinthie sortant, prend sa succession à la tête du parti. Kurt Scheuch n’occupera pas non plus la fonction de ministre FPK de Carinthie (les sièges au sein du gouvernement de Carinthie sont répartis proportionnellement aux résultats obtenus par les partis lors du scrutin pour le Parlement du Land).

Au cours des mois à venir, le FPK va se rénover complètement. Un congrès aura lieu au printemps. Une discussion aura lieu au cours des jours à venir au sein du FPK afin de déterminer qui occupera les 6 mandats dont dispose le FPK au sein du Parlement de Carinthie. La mission assignée à Christian Ragger est de sauver le parti.

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Christian Ragger et  Kurt scheuch lors de la conférence de presse de ce 4 mars 2013.

Élections du Parlement du Canton du Valais.

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Suisse. Canton du Valais. Élections du Parlement du canton du 3 mars 2013.

 Voici un communiqué de l’UDC à ce propos :

Hier, les Valaisannes et les Valaisans n’ont pas seulement voulu qu’un représentant de l’UDC entre au Gouvernement. Ils lui ont aussi donné, pour le soutenir, une assise parlementaire renforcée de manière spectaculaire.

Ainsi, malgré la maladie de son fer de lance et le retrait d’une locomotive dans le district de Brigue, l’UDC du Haut-Valais a vu l’effectif de son groupe passer de 5 à 6. Voilà un bel hommage à nos amis UDC du Haut et à leur président Franz Ruppen, brillamment réélu (le mieux élu, même) dans son district et que tous nos voeux de santé accompagnent.

Dans le Valais romand, l’UDC a progressé dans tous les districts où elle disposait déjà d’élus (Sierre et Sion +1, Martigny et Monthey +2), effectuant de surcroît une percée remarquée dans deux districts (Hérens et Conthey) où elle n’en avait pas, manquant de peu un second siège sur Conthey. Le nouveau groupe UDC voit ainsi son effectif plus que doubler, passant de 7 à rien moins que 15 !

 Cette victoire historique, qui marque l’avènement d’un vrai pluralisme en Valais, l’UDC la doit à une ligne claire et à son engagement sans faille dans les causes qui touchent les Valaisans (tourisme, hôpitaux, R3, Weber, LAT, lignes THT, sans parler encore de l’asile ou des divers aspects de l’immigration).

  Mais cette victoire, qui donne à un groupe renforcé des responsabilités nouvelles en appui au représentant que les Valaisans ont voulu lui donner au Gouvernement, nous la devons avant tout à l’engagement de toutes ces personnes (31 dans le Haut, 90 dans le Valais romand), de tous ces jeunes (près du tiers des candidats dans le Valais romand) qui se sont mises à disposition. Félicitations, bien sûr, aux candidats réélus et aux nouveaux élus. Et surtout, MERCI à toutes celles et à tous ceux qui sont peut-être déçus de n’avoir pas été élus. Qu’ils sachent que sans eux, sans chacune et chacun, l’UDC et le Valais n’en seraient pas là aujourd’hui. Qu’ils acceptent la reconnaissance du parti et de ses élus. Nous comptons plus que jamais sur leur soutien pour nous aider à assumer les responsabilités gouvernementales que les Valaisans viennent de donner à l’UDC.