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28/03/2013

"Vraiment indépendant !"

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Belgique. Flandre. Le Vlaams Belang lance le nouveau slogan « echt.onafhankelijk » (vraiment indépendant). Le parti met ainsi en avant le fait qu’il n’a pas de liens avec les syndicats, les mutuelles ou les banques et aussi que le parti réclame l’indépendance de la Flandre.

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L’Aube dorée manifeste contre la télévision antinationale.

 

Grèce. L'aube dorée manifeste contre la télévision antinationale :

http://fr.novopress.info/134995/athenes-laube-doree-manif...

Le Jobbik donné à 16 %.

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Hongrie. Un sondage Tarki donne le Jobbik stable à 16%, le Fidesz (Parti conservateur) à 50 % et le Parti socialiste à 19%.

Le vice-président du SNS Igor Mirović réclame une nouvelle fois des élections en Voïvodine.

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Serbie. Voïvodine. Le vice-président du SNS Igor Mirović a déclaré une nouvelle fois que des élections en Voïvodine sont nécessaires et que le président de l’exécutif doit démissionner.

Filip Dewinter persécuté pour des collages d’affiches.

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Belgique. Anvers. La direction de la ville veut que Filip Dewinter du Vlaams Belang  paye une amende de 2.800 euros pour « affichage illégal » lors des élections communales [municipales] d’octobre 2012. L’amende porte sur 24 affiches et est de 120 euros par affiche. Seuls sont visés Filip Dewinter et le Vlaams Belang : Filip Dewinter estime que cette amende est une mesure antidémocratique utilisée par le parti national-centriste flamand N-VA afin de tenter d’intimider l’opposition politique. Filip Dewinter ne désire pas payer cette amende et va en appel devant le tribunal de police d’Anvers [juridiction qui s’occupe des infractions peu importantes].

Brême : Rebecca Sarnow rejoint BIW.

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Allemagne. Land de Brême. Bremerhaven.  La conseillère municipale Rebecca Sarnow, ex-membre de die Linke (gauche de la gauche), annonce ce 28 mars 2013 qu’elle rejoint BIW (Bürger in Wut - Citoyens en colère). Disposant désormais de quatre élus au sein du Conseil municipal de Brême, BIW reçoit le statut de groupe et ainsi des droits étendus de contrôle sur l’exécutif. Malte Grotheer, 59 ans, devient le chef du groupe des élus de BIW. Il se félicite de la démarche de  Rebecca Sarnow. Le chef adjoint du groupe des élus de BIW est Heinrich Grotstück, 64 ans. Le président exécutif du groupe des élus de BIW est Jan Timke, 42 ans.

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Rebecca Sarnow

Dernières heures avant de se présenter au Quirinal : Bersani toujours sans accord.

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« Bersani-PdL, bataille sur le Quirinal » (Repubblica), « Le PdL à Bersani : pas d’accord » (Stampa) « Dernières heures avant de se présenter au Quirinal : Bersani toujours sans accord » (Corriere).

Les quotidiens confirment que « Bersani se rendra aujourd’hui au Quirinal pour donner forme à son hypothèse de gouvernement » – jouant « ses dernières cartes » (Sole, cf infra) – reprenant les propos d’Alfano selon lesquels le leader du PD est « dans une impasse » : « le PdL a fait savoir qu’il n’apportera aucun soutien à un exécutif Bersani sans un accord préalable pour la succession de Napolitano au Quirinal » – « le nom pressenti par le PdL serait désormais celui de M. Pera, ancien président du Sénat » (Corriere). Ils rapportent également que le M5S refuse de « lui donner sa confiance », estimant que « s’il échoue », ce sera à eux « de reprendre les rennes » (Stampa). La Stampa voit Bersani « sur le grill », passant de « la poêle à frire de Grillo au barbecue de Berlusconi ». Pour M. Franco, au Corriere, « Bersani, nerveux, tente de dépasser les inconnues mais doit tenir compte de l’hostilité déclarée du M5S ». Selon un sondage du Corriere, « 70% des Italiens sont pessimistes sur la réussite de Bersani », qui pourrait proposer à Napolitano, selon La Repubblica, « Enrico Letta ou Matteo Renzi pour une nouvelle tentative politique, visant plutôt un gouvernement de grande coalition ». Dans un entretien à Repubblica, Vendola considère « qu’il ne faut surtout pas revoter, ce serait un désastre ».

« Dernières cartes » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) : « A l’heure où Bersani se prépare à se rendre au Quirinal, des questions se posent sur la ‘convention’ pour les réformes, soit la forme concrète du double registre parlementaire (comme la bicamérale tentée pendant les années 90 dont nous connaissons le résultat). L’organisme proposé par Bersani, ouvert également ‘à des personnalités externes’ ressemble beaucoup à ce qui a été fait jadis : destiné à mettre à point en un an un projet réformateur que le Parlement voterait sur la base d’un ‘à prendre ou à laisser’. Hormis les précédents peu encourageants, le schéma semble aujourd’hui la seule carte raisonnable pour tenter d’enrayer la paralysie. Hier encore, Bersani n’avait pas le nombre de voix suffisant pour se présenter aux Chambres. En apparence, sa tentative semblerait n’avoir aucune chance. Toutefois, le fil de la ‘convention’ représente une petite nouveauté. Surtout parce que Maroni semblerait s’y identifier avec une certaine conviction. La Ligue représente toujours le principal espoir de Bersani, après l’échec du long effort de séduction du Mouvement 5 Etoiles. Maroni, qui ne veut pas de gouvernement technique, représente un allié objectif pour le secrétaire du PD dans la course contre la montre pour éviter le ‘gouvernement du président’, c’est-à-dire un scénario institutionnel non politique. Est-ce cependant suffisant pour trouver le nombre de voix nécessaires ? Ou assistons-nous à une valse-hésitation de courte haleine où manque le joueur principal, Berlusconi ? Nous le saurons bientôt, car la ‘convention’ nécessite des conditions précises pour qu’elle soit crédible. 1/ Elle doit représenter une voie pour ‘légitimer’ les différents groupes parlementaires. L’accord de Berlusconi est sans doute lié à cette perspective de légitimation finale de lui-même. Sans cela, il est difficile que la ‘convention’ puisse travailler sereinement et que ses propositions soient adoptées par les Chambres. 2/ L’entente devrait prévoir un accord sur le nom du prochain Président de la République entre les principaux partis. Il est impensable que d’une part se forme une ‘mini-assemblée’ et de l’autre ait lieu une bataille déchirante sur l’élection du Chef de l’Etat. Il est clair que l’accord devrait retomber sur un candidat avec les mêmes qualités d’équilibre et de sensibilité que celles montrées par Napolitano. Un candidat qui soit voté au premier scrutin. Là aussi, trop de pourparlers et rien de concret. 3/ Une déclaration explicite devrait venir de certains groupes (Ligue ou autres) s’orientant sur l’abstention ou sur l’appui extérieur pour favoriser la naissance du gouvernement Bersani. La solution est courageuse mais fragile et ne doit pas être perçue comme un ‘’escamotage’’ trouble. Ce ne serait pas la meilleure solution pour assurer l’unité au sein du PD. ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

27/03/2013

350 jeunes nationalistes manifestent contre le gouvernement polonais à Bełchatów.

 

Pologne. Voïvodie de Łódź. Bełchatów. 350 jeunes nationalistes ont manifesté ce samedi 23 mars 2013 à Bełchatów contre le gouvernement, à l’initiative de Młodzież Wszechpolska (Jeunesses de toutes les Polognes).

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La coalition Kenya pour gouverner la Carinthie.

 

Autriche. Carinthie. Les conservateurs (ÖVP), les sociaux-démocrates (SPÖ) et les écologistes ont décidé de former ensemble une coalition Kenya (noire, rouge, verte). Les députés de cette coalition au sein du Parlement de Carinthie éliront au cours des jours prochains Peter Kaiser du SPÖ au poste de gouverneur de Carinthie.

Les candidats à la mairie de Munich contre les patriotes.

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Allemagne. Bavière. Munich. Les candidats des quatre partis du système (SPD, écologistes, CSU, FDP) à la mairie de Munich se sont rencontrés le 19 mars 2013 afin de signer un « Appel munichois » au sein duquel ils s’obligent à ne pas exploiter des thèmes de campagne électorale qui préparent le terrain aux partis patriotiques et nationalistes.

L’Union européenne désirerait recevoir des États membres 11,2 milliards d’euros.

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Pays-Bas. Le quotidien Volkskrant prétend que l’Union européenne désire recevoir des États membres 11,2 milliards d’euros supplémentaires afin de combler un gros trou dans son budget et de pouvoir ainsi payer toutes ses factures.

(http://www.volkskrant.nl/vk/nl/7264/Schuldencrisis/articl...)

Les Députés du PVV Barry Madlener et Geert Wilders ont posé à ce propos des questions aux ministres néerlandais concernés.

49,3 % d'élèves musulmans au sein de l'enseignement fondamental de la Ville d'Anvers.

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Belgique. Anvers. 49,3 % des enfants inscrits au sein de l’enseignement fondamental (enseignement suivi jusqu’à, normalement, l’âge de 12 ans) de la commune d’Anvers choisissent les cours de religion islamique, 27,7 % des élèves suivent des cours de morale laïque, 20,5 % suivent l’enseignement catholique. Les cours d’autres religions sont suivis par très peu d’élèves. (Précisons que les élèves sont tenus de choisir un cours de la religion de leur choix ou de morale laïque.)

À côté des écoles de la municipalité existent également des écoles catholiques, juives, ... subventionnées par les pouvoirs publics.

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"Proportion d'élèves musulmans au sein de l'enseignement fondamental d'Anvers." (Elle est passée en quatre ans de 33,6 % à 49,3 %.)

Italie : Bersani au PdL : "uniquement pour les réformes".

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Italie. Consultations en vue de la formation du gouvernement : les quotidiens rapportent que dans « la grande négociation » en cours (Stampa) « la voie pour un accord avec le Peuple de la Liberté serait celle d’une commission pour les réformes guidée par le centre droit » (Corriere). « Bersani au PdL : "uniquement pour les réformes" ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Le Député BZÖ Madame Martina Schenk passe chez Stronach.

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Autriche. Le Député national du BZÖ Madame Martina Schenk a annoncé, à la mi-mars 2013, quitter le parti et rejoindre l’équipe Stronach, le parti du milliardaire du même nom. Martina Schenk a été auparavant un cadre très important du FPÖ.

Suite au départ du Député national de l’équipe Stronach Elisabeth Kaufmann-Bruckberger (équipe Stronach et ex-FPÖ, puis ex-BZÖ) du Parlement national pour le gouvernement de Basse-Autriche [suite aux élections pour le Parlement de Basse-Autriche, l’équipe Stronach a obtenu un poste de ministre au sein du gouvernement de Basse-Autriche - les postes de ministre du gouvernement de Basse-Autriche sont attribués proportionnellement aux résultats obtenus par les partis lors de l’élection pour le Parlement du Land, indépendamment de la formation d'une majorité], l’équipe Stronach ne disposait plus d’un groupe parlementaire au sein du Parlement national. L’arrivé de Martina Schenk permet à l’équipe Stronach de maintenir son groupe parlementaire.

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Martina Schenk

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Elisabeth Kaufmann-Bruckberger devant la photo de Frank Stronach

26/03/2013

Le MCG Éric Stauffer condamné pour violation du secret de fonction.

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Suisse. Canton de Genève. Le MCG Éric Stauffer condamné pour violation du secret de fonction : 

http://www.rts.ch/info/regions/geneve/4767628-le-mcg-eric...

Le Conseil fédéral se méfie du peuple.

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Voici un communiqué de l'UDC : 

Tenant conférence de presse aujourd'hui, le Conseil fédéral [gouvernement suisse] a argumenté contre l'élection des conseillers fédéraux par le peuple. Ce mode d'élection menace la stabilité de la Suisse, affirme-t-il. Une argumentation qui illustre surtout la méfiance du gouvernement à l'égard des citoyennes et des citoyens. La conseillère fédérale Simonetta Sommaruga a déclaré que les conseillers fédéraux se préoccuperaient davantage de l'opinion du peuple pour être réélus. Pareilles déclarations vous laissent bouche bée: n'est-ce pas justement le devoir du Conseil fédéral de s'inquiéter des besoins de la population et d'accepter les décisions du souverain populaire? Serait-ce une mauvaise chose si, par exemple, le Conseil fédéral prenait au sérieux et appliquait rapidement les initiatives acceptées par le peuple - par exemple, l'initiative sur le renvoi des étrangers criminels? Pour les auteurs de l'initiative exigeant l'élection du Conseil fédéral par le peuple, il est évident que, par exemple, la politique d'asile qui menace la sécurité de la population ou les tentatives du Conseil fédéral de lier institutionnellement la Suisse à l'UE auraient été corrigées depuis longtemps si le peuple pouvait élire son gouvernement national.

De plus, l'argumentation du Conseil fédéral est fausse sur plusieurs points. Le gouvernement affirme que les initiateurs ont oublié les Rhéto-Romanches. C'est d'une parfaite mauvaise foi. La garantie de deux sièges au minimum pour la Suisse latine inscrit enfin dans la Constitution fédérale une pratique appliquée depuis de nombreuses années lors des élections au Conseil fédéral et améliore donc incontestablement la situation actuelle où il n'y a aucune garantie de sièges pour les Latins. Si le 16 septembre 2009 Urs Schwaller du PDC avait été élu à la succession du radical Pascal Couchepin, la Suisse latine n'aurait eu plus qu'un seul représentant au Conseil fédéral!

Si l'initiative pour l'élection du Conseil fédéral par le peuple est acceptée, la Suisse latine aurait la garantie constitutionnelle de disposer d'au moins deux sièges au gouvernement fédéral (par analogie au modèle bernois des élections à l'exécutif cantonal avec un siège garanti au Jura bernois). On pourrait même facilement imaginer plus de deux sièges.

Concrètement, la Suisse latine comprend la Suisse romande, le Tessin et les régions italianophones des Grisons. Les Rhéto-Romanches des Grisons n'étant pas organisés dans une circonscription délimitée, mais le rhéto-romanche constituant la langue officielle de diverses communes (parfois l'allemand et le rhéto-romanche font ensemble la langue officielle), le comité d'initiative ne pouvait pas, pour des raisons pratiques évidentes, mentionner la population rhéto-romanche comme une région indépendante dans l'initiative constitutionnelle.

Le Conseil fédéral critique la dépendance de forts groupements lors d'une élection par le peuple. Pour lui, une campagne électorale nationale et des campagnes d'image prendraient trop de temps. Avec le paysage médiatique actuel et compte tenu des élections au Conseil national et au Conseil des Etats se déroulant parallèlement, les candidats au Conseil fédéral auraient sans doute un gros défi à relever, mais cela reste parfaitement faisable grâce aux interventions à la télévision et sur internet, aux interviews dans les journaux, etc. Pour les conseillers fédéraux sortants, l'engagement ne serait pas plus important qu'aujourd'hui dans le contexte des élections au Conseil national. Enfin, il ne faut pas oublier que dans le système actuel, les conseillers fédéraux doivent plaire au Parlements et que leurs actes de servilité à l'égard du législatif sont manifestes aujourd'hui. C'est une évidence: une élection du Conseil fédéral par le peuple apporterait plus de transparence et contraindrait le gouvernement à rendre des comptes au peuple.

Le FPÖ et le FPK se réunifient.

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Autriche. Le président national du FPÖ Heinz-Christian Strache a annoncé ce mardi 26 mars 2013 lors d’une conférence de presse donnée en présence du président du FPK Christian Ragger et du président du FPÖ de Carinthie Christian Leyroutz que le FPK et le FPÖ vont être réunifiés.

L’actuel président du FPÖ de Carinthie Christian Leyroutz exercera un mandat de député au Parlement de Carinthie et dirigera le groupe de six élus au sein du Parlement de Carinthie. (Christian Leyroutz s’est présenté lors des dernières élections pour le Parlement de Carinthie sur la liste FPK).

Kurt Scheuch se consacre désormais au travail de base dans sa circonscription de Spittal. Harald  Dobernig exercera une fonction dans le privé mais également une fonction de conseiller économique auprès du FPÖ. Gerhard Dörfler renonce à son mandat de député du Parlement de Carinthie et siègera au Sénat pour le parti. Hannes Anton exercera son mandat de député au sein du Parlement de Carinthie. 

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Christian Ragger, Heinz-Christian Strache et Christian Leyroutz lors de la conférence de presse

Italie : condamnation de Marcello Dell’Utri.

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« Bersani : je ne négocie pas avec Berlusconi » (Repubblica), « Bersani : il faut un miracle » (Stampa). Consultations en vue de la formation du gouvernement : « Jeudi, Bersani se présentera au Quirinal » (Stampa). En attendant, les quotidiens reviennent sur le « refus de Bersani de négocier avec Berlusconi, qui avait proposé le secrétaire du Peuple de la Liberté, Angelino Alfano, à la vice-présidence du Conseil » (Corriere) et la Stampa souligne « qu’aucun progrès n’est enregistré dans ses ‘’étranges consultations’’ ». « Bien que les chiffres soient incertains, Bersani demande d’aller au Parlement » (Repubblica). La presse italienne souligne « les risques d’implosion au sein du PD » (Stampa) et le Corriere en particulier fait état d’une éventuelle « fronde qui prépare le plan B, si Bersani échouait : un exécutif ‘’à basse intensité politique’’, permettant de mener à bien les réformes ».

Tous les quotidiens annoncent la « condamnation de Dell’Utri [accusé de collusion avec la mafia] à 7 ans de prison en appel » et « la demande d’arrestation du Parquet à son encontre » (Stampa).  [Marcello Dell'Utri est un proche de Silvio Berlusconi.]

Lyon-Turin : pour le Giornale (berlusconien), « le PD se divise sur la ligne à haute vitesse. »

(Source : ambassade de France à Rome)

Harald Dobernig renonce à son mandat de député au sein du Parlement de Carinthie.

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Autriche. Carinthie. Ce vendredi 23 mars 2013, Harald Dobernig s’est rendu à Vienne afin de rencontrer le président du FPÖ Heinz-Christian Strache et le Secrétaire général du FPÖ Herbert Kickl.

Ce lundi 25 mars 2013, Harald Dobernig, ministre FPK sortant de Carinthie, a annoncé qu’il renonce à son mandat de député au sein du Parlement de Carinthie.

Le FPK dispose ainsi de quatre mandats au sein du Parlement de Carinthie et donc d’un groupe parlementaire.

Harald Dobernig va se réorienter professionnellement.

25/03/2013

Le SNS ne désire pas voir remplacer le Premier ministre.

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Serbie. Le vice-Premier ministre SNS Aleksandar Vučić a déclaré que le Premier ministre socialiste du gouvernement regroupant le Parti socialiste de Serbie et le SNS ne sera pas remplacé car cela consisterait à envoyer un message négatif. Si le SNS n’était pas satisfait de l’actuel Premier ministre, ce qui n’est pas le cas en ce moment, le SNS demanderait des élections anticipées. Aleksandar Vučić a ajouté que l’important pour lui n’est pas de savoir quelle fonction il occupera, mais de moderniser le pays.

Entretien Bersani-Alfano.

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« L’entretien avec Alfano et l’ouverture sur le Quirinal » (Francesco Verderami, Corriere della Sera de lundi) : 

« L’entretien entre Bersani et Alfano [le dauphin de Silvio Berlusconi] (Peuple de la Liberté) avant la rencontre officielle était inévitable, voire nécessaire. Ce genre de contacts évitent les formalités des rendez-vous rituels et permettent de discuter librement sur des arguments tels que le gouvernement et le Quirinal. Sur ces deux points, le chef du PD a expliqué au secrétaire du PdL ses idées qui confirment une certaine rigidité sur la formation de la structure de son gouvernement et révèlent aussi un signe clair d’ouverture au centre droit sur le choix du prochain chef de l’Etat. Les intentions de Bersani sont claires et le langage employé avec Alfano a été lui aussi explicite. Le ‘pré-mandaté’ espère que PdL et Ligue du Nord assurent au Sénat les conditions pour que le gouvernement puisse naître. Bersani serait donc disponible pour discuter sur certains points de programme à concorder, se réservant même d’insérer dans son équipe des ministres avec lesquels le centre droit pourrait se voir en quelque sorte représenté. Il s’agit du ‘Plan A’ basé sur une fermeté contre l’hypothèse d’un gouvernement de large coalition (‘governissimo’) qui, toutefois, prévoit une offre semblable au geste de discontinuité montré lors de la nomination des présidents des Chambres dont il se dit ‘très fier’. Selon Bersani, si le plan A devait être accepté, il y aurait disponibilité pour discuter sur le nom d’un représentant venant du monde modéré pouvant être nommé au Quirinal : une personnalité non identifiable avec le PdL mais qui pourrait permettre aux partisans du centre droit de se voir finalement représentés. Voici donc le tournant de Bersani, qui n’est pas une tactique pour arriver à mettre en place sa mission (impossible) pour le Palais Chigi. Il s’agit plutôt d’une certitude mûrie par le secrétaire du PD, avec son parti. Car au sein des démocrates, certains reconnaissent un ‘fondement historique’ aux thèses de Berlusconi qui demande un geste de discontinuité au Quirinal après les ‘quatre chefs d’Etat de gauche’. L’argument est toujours débattu, pourvu que ce soient des personnalités de renom, étrangers aux partis et marquées par un esprit fortement républicain. Ce n’est pas pour une question uniquement culturelle que Bersani serait disposé à concorder avec le centre droit la nomination d’un modéré à la présidence de la République. Au parlement il n’y a aucun parti qui puisse imposer l’élection d’un chef d’Etat, pas même au quatrième scrutin. Le PD est divisé, Scelta Civica est déchiré, le M5S a déjà montré qu’il n’arrivait pas à rester uni lors d’un vote secret et la solidité de l’axe PdL-Ligue du Nord doit être vérifiée dans les moments décisifs. Avec un contexte pareil, la candidature de Prodi – qui d’ailleurs ferait hurler Berlusconi – perdrait vis-à-vis de candidats tels que Mme Cancellieri, ministre de l’Intérieur, ou de De Rita, fondateur du Censis (institut de recherche socio-économique), qui a jusqu’à présent rejeté toute charge politique. En cas de négociation, le PdL devrait proposer au PD une liste où figurerait même le nom d’Urbani. Quand au ‘plan B’, ce dernier n’a pas été dévoilé par Bersani. Des spéculations, même sans crédibilité, circulent dans le milieu allant d’un Bersani au Quirinal pour laisser la place à Renzi à une entente avec les ‘grillini’ pour le Quirinal en échange d’une faisabilité du gouvernement au Sénat. Ce qui est sûr, et Bersani l’a dit clairement au secrétaire du PdL, ‘je ferai tout mon possible mais je ne veux pas de gouvernement de large coalition. Mes partisans préfèreraient plutôt de nouvelles élections’. La seule solution, que Bersani et Alfano connaissent bien, est celle d’une réélection de Napolitano ‘au premier bulletin’, comme l’a dit un ministre. Même si Napolitano l’a répété encore récemment ‘pas de temps supplémentaire à mon âge’, il ne pourrait pas ‘refuser un mandat du Parlement’, comme répète le Cavaliere. Il pourrait alors dissoudre les Chambres pour de nouvelles élections. Peut-être avec un gouvernement Bersani sans confiance. » .

(traduction : ambassade de France à Rome)

Le Parti du Peuple danois donné à 29 sièges.

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Danemark. Un sondage donne, en cas d’élections législatives,  le Parti du Peuple danois à 29 sièges sur 179 au sein du Parlement. Lors des élections législatives de 2011, le Parti du Peuple danois a recueilli 22 sièges. Lors des législatives de 2007, le Parti du Peuple danois a récolté 25 sièges.

Le parcours de Pier Luigi Bersani en vue de former un gouvernement.

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Italie. Les éditorialistes résument ainsi ce week-end le parcours de Pier Luigi Bersani en vue de former un gouvernement, à la demande du président de la République Giorgio Napolitano : « une course à obstacles » (Stampa), « un passage acrobatique » (Corriere). Les quotidiens italiens font aujourd’hui état « d’agitation » au sein du PD et dans un entretien à La Repubblica, son responsable économique, Fassina déclare « qu’aucun changement n’est possible avec le PdL. Avec la Ligue, c’est différent », résumant la « ligne Bersani » qui, rapportent les quotidiens du week-end, « écarte tout accord avec le PdL » et « demande au M5S de faire preuve de responsabilité » (Repubblica).

Les quotidiens de dimanche se font l’écho de la « manifestation organisée par Berlusconi à Rome » (« 300.000 personnes selon les estimations du Peuple de la Liberté, la moitié pour la préfecture » (Corriere)) où il a affirmé qu’il y aurait un « coup d’état si le Quirinal allait à la gauche ».

M5S : « Pas de confiance au gouvernement même si vous faites cesser les travaux de la ligne Lyon-Turin.» I. Diamanti, dans Repubblica lundi, rapporte que « la base du mouvement de Grillo est divisée à moitié entre ceux qui souhaitent apporter leur soutien à un gouvernement PD et les autres » : selon un sondage de l’observatoire électoral Lapolis « 53,6% des électeurs M5S seraient favorables à un accord avec le PD » – « premières fêlures au sein du M5S » (Stampa).

(Source : ambassade de France à Rome)

Congrès du FPK le 21 avril 2013.

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Autriche. Carinthie. Le congrès du FPK doit avoir lieu le 21 avril 2013. Le parti doit y confirmer l’actuel président du FPK Christian Ragger à son poste, décider de la possible réunification avec le FPÖ et d’une possible exclusion du parti de Gerhard Dörfler, Harald Dobernig et Hannes Anton.

Tweet de Geert Wilders à propos de la situation à Chypre.

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Pays-Bas. Tweet de Geert Wilders à propos de la situation à Chypre :PVV 1.jpg

"Et oui, [le Premier ministre néerlandais] Mark Rutte signe pourtant encore une fois un chèque, maintenant pour Chypre en faillitte. L'euro est mort et l'épargne n'est pas en sécurité. Merci Mark [Rutte]!"