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18/12/2010

René Stadtkewitz à Paris.

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René Stadtkewitz, le président du parti allemand die Freiheit, qui s’est rendu en Israël avec différents représentants de partis patriotiques européens, était présent ce samedi 18 décembre à Paris, lors des Assises internationales sur l’islamisation de nos pays.  

Oskar Freysinger parle d'une tentative d'agression au couteau à Paris.

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Le célèbre Député de l'UDC Suisse et écrivain Oskar Freysinger parle d'une tentative d'agression au couteau :


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Les patriotes allemands à l’origine du mot de l’année 2010 ?

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Allemagne. Le mot « Wutbürger » a été désigné mot de l’année 2010 par la Gesellschaft für deutsche Sprache (Société pour la langue allemande). Ce mot est employé par de nombreux médias allemands afin de désigner une indignation du peuple. Il semblerait que ce mot ait été utilisé à partir de 2007 par l’édition de Brême du TAZ, un quotidien de gauche allemand, pour parler de l’action du Député patriote au sein du Parlement de Brême Jan Timke, qui dirige le parti Bürger in Wut (Citoyens en colère).

 

Voir le site du parti Bürger in Wut : http://www.buerger-in-wut.de/cms/

 

Rappelons qu’en Autriche, le mot Lebensmensch (la personne de ma vie) est devenu le mot de l’année 2008 suite à son utilisation par Stefan Petzner lors du décès de Jörg Haider.

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Jan Timke

17/12/2010

Histoire de Młodzież Wszechpolska (Jeunesse Toute Polonaise).

Dans le cadre du développement d’un réseau patriotique d’information en Europe, nous vous présentons un autre site Internet partenaire. http://narodowcy.net/ dépend de Młodzież Wszechpolska (Jeunesse Toute Polonaise).

 

Les racines du mouvement Jeunesse Toute Polonaise remontent à 1893, date à laquelle a été fondée la Liga Narodowa (LN – Ligue nationale) par Roman Dmowski, un grand homme d’État polonais. C’est la première organisation moderne de nationalistes polonais. Son but premier est le réveil de la conscience nationale et le recouvrement de l’indépendance nationale. Durant la Première guerre mondiale, Roman Dmowski est la principale personne du Comité national [polonais] à Paris, dont l’objet est de reconstruire un État polonais. Il est le père des frontières occidentales de la Seconde République polonaise (1918 – 1939).

 

Młodzież Wszechpolska (Jeunesse Toute Polonaise) est fondée en 1922 par de jeunes étudiants polonais, en tant qu’organisation académique d’étudiants. À cette époque, de nombreux jeunes vétérans combattent contre l’Armée rouge lors de la guerre entre les Polonais et les Soviétiques. La Pologne gagne et sauve l’Europe de l’Armée rouge et du communisme.

 

Le premier Président de Młodzież Wszechpolska est Jan Rembieliński, mais le président d’honneur est Roman Dmowski (http://fr.wikipedia.org/wiki/Roman_Dmowski). Il a une grande influence sur les nationalistes polonais. Le but de Młodzież Wszechpolska est  de travailler, dans un environnement académique, pour la Grande Pologne. Młodzież Wszechpolska supporte le ZLN (Związek Ludowo-Narodowy – Union Nationale du Peuple), le principal parti nationaliste en Pologne entre 1919 et 1926 et un des plus importants de Pologne à cette époque. Młodzież Wszechpolska essaye d’éviter les grèves émanant des socialistes et des communistes qui peuvent conduire à une paralysie du pays.

 

En décembre 1922, Młodzież Wszechpolska proteste contre le Président polonais franc-maçon cosmopolite Gabriel Narutowicz, élu par les socialistes, les franc-maçons et les minorités nationales (Ukrainiens, Juifs, Allemands). Il est tué le 16 décembre 1922 par le Peintre Eligiusz Niewiadomski, supporter de l’Union Nationale du Peuple.

 

En décembre 1926, les nationalistes polonais créent l’OWP (Obóz Wielkiej Polski – Camp de la Grande Pologne), une nouvelle organisation politique, mais pas un parti, dirigée par Roman Dmowski. Młodzież Wszechpolska soutient l’OWP et aide à la création de la branche jeunesse de cette organisation.

 

Lors des élections législatives de 1928, Młodzież Wszechpolska supporte le nouveau parti nationaliste SN (Stronnictwo Narodowe – Parti national). En 1932, Stronnictwo Narodowe intègre le catholicisme en tant qu’élément important de son idéologie.

 

Roman Dmowski décéde avant la seconde guerre mondiale. Durant le conflit, les nationalistes polonais sont les victimes des soviétiques et des nationaux-socialistes. Les membres de Młodzież Wszechpolska combattent au sein des forces de la Résistance armée nationale (Narodowe Siły Zbrojne – NSZ), qui est un des éléments importants de la Résistance polonaise.

 

Après la seconde guerre mondiale, Młodzież Wszechpolska survit de manière souterraine en Pologne. Młodzież Wszechpolska est restauré lors de la chute du communisme, en 1989. Au sein de Młodzież Wszechpolska, l’idéologie de l’Entre-deux-guerres est confirmée. Durant la période qui suit la chute du communisme, le courant nationaliste est divisé.

 

En 2001, la Ligue des Familles polonaises (LPR – Liga Polskich Rodzin) est fondée. Cette organisation catholique est dirigée par Roman Giertych. Młodzież Wszechpolska devient l’organisation de jeunesse de ce parti. En 2003, les militants de Młodzież Wszechpolska bloquent le port de Władysławowo où se trouve le bateau d’une organisation féministe néerlandaise qui propose que les Polonaises puissent avorter dans les eaux neutres de la Baltique (En Pologne, l’avortement est interdit). En 2004, Młodzież Wszechpolska proteste contre l’Union européenne. En 2006, Roman Giertych devient ministre de l’éduction. Des membres de Młodzież Wszechpolska sont dans le gouvernement.

 

Mais la Ligue des Familles polonaises perd son caractère nationaliste  et devient un parti fort catholique. L’électorat catholique choisit cependant le PiS (Prawo i Sprawiedliwość – Loi et Justice). En 2007, la Ligue des Familles polonaises perd les élections et les membres de Młodzież Wszechpolska sont désorientés. Ils décident de se réorganiser. Młodzież Wszechpolska redevient fortement nationaliste. L’organisation reste catholique, mais considère que le nationalisme est l’élément le plus important. Les membres de Młodzież Wszechpolska espèrent que l’heure du nationalisme a de nouveau sonné en Pologne.

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Rencontre du Nouvel an 2011 de HC Strache.

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Autriche. Heinz-Christian Strache, le président national du FPÖ, organise une rencontre du Nouvel an 2011, le 22 janvier 2011 à Vösendorf, près de Vienne.

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Gianni Alemanno, le maire nationaliste de Rome, a réagi durement à la libération des casseurs de gauche.

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« Les libérations et le risque d’un nouvel incendie » (Marcello Sorgi, La Stampa) : « La libération des jeunes arrêtés à la suite de l’après-midi de violences et de dévastation du centre historique de Rome jeudi dernier a provoqué une dure réaction de Gianni Alemanno, maire [nationaliste] de Rome : comme nombre d’habitants du centre historique, le maire attendait une punition exemplaire qui n’est pas venue. Les juges ont non seulement fait droit aux requêtes de la défense, mais ils ont contesté les chefs d’accusation mis en avant par la police. Au-delà des polémiques entre le maire et les magistrats, la décision de remettre en liberté ceux qui avaient été arrêtés risque d’avoir des répercussions sur le débat final au Sénat, prévu pour la semaine prochaine, et la probable adoption de la réforme Gelmini. Alors que la loi sera sans doute adoptée sans heurts, vu les intentions de vote annoncées par FLI et l’UdC, le risque est grand, dans la rue, d’un retour de flamme des manifestations et de nouveaux affrontements avec la police – une nouvelle vague de manifestations qui pourrait avoir des conséquences plus graves encore que jeudi dernier. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

 

 

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Gianni Alemanno, maire nationaliste de Rome.

Conférence de presse de Josef Bucher à Klagenfurt.

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Autriche. Carinthie. Klagenfurt. Josef Bucher, le président national du BZÖ, a tenu une conférence de presse ce vendredi 17 décembre 2010. Il a annoncé que le BZÖ lancera sa campagne en vue des élections législatives de 2013 lors d’une réception de la nouvelle année qui aura lieu au Casino de Velden am Wörthersee (Carinthie) le 30 janvier 2011. Selon Josef Bucher, le BZÖ se trouve dans les sondages, au niveau national, entre 5 et 9%. Le BZÖ poursuit son cours libéral. Josef Bucher considère que le BZÖ n’appartient plus au « Dritte Lager » (le Troisième camp, c’est-à-dire la famille nationale-libérale) car, selon lui, c’est une conception qui est révolue.

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Josef Bucher.

Conférence de presse de HC Strache et Uwe Scheuch à Klagenfurt.

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Autriche. Carinthie. Klagenfurt. Ce vendredi 17 décembre 2010, les présidents du FPÖ et du FPK, Heinz-Christian Strache et Uwe Scheuch, ont tenu une conférence de presse. Ils estiment que le rapprochement, survenu il y a un an, entre le FPÖ et le FPK est un succès. Les relations entre les deux partis vont être optimisées d’un point de vue structurel et organisationnel. 

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HC Strache et Uwe Scheuch.

Article de Robert Spieler dans Rivarol sur le voyage en Israël de représentants de partis européens.

Robert Spieler, délégué général de la Nouvelle Droite Populaire et rédacteur à Rivarol, publie un article au sein de cet hebdomadaire sur le voyage de dirigeants de partis patriotiques européens en Israël.

Au sein de la première partie de l’article, Robert Spieler explique qu’en Allemagne les autorités développent des mesures anti-démocratiques envers les partis patriotiques. Les autorités utilisent la provocation ainsi que la manipulation des milieux nationalistes et ultranationalistes en infiltrant des agents provocateurs. Robert Spieler explique ensuite que l’idée d’un pèlerinage en Israël est venue de Patrik Brinkmann, le richissime homme d’affaire germano-suédois.

Voici la fin de l’article de Robert Spieler :

Les raisons qui ont guidé la décision des Allemands, des Flamands et des Autrichiens.

 

Dans le cas des Allemands, il y a d’évidence une recherche de respectabilité et le souhait d’être enfin reconnus comme de vrais « démocrates » et non comme des extrémistes, fruits d’une lourde Histoire. Un véritable cordon sanitaire isole tous ceux qui ne se situent pas strictement dans la ligne du politiquement correct. On l’a encore constaté récemment avec l’affaire Tilo Sarrazin, personnalité éminente, membre du SPD et qui fut voué aux gémonies pour avoir écrit que l’intégration des Turcs ne fonctionnait pas et que l’Allemagne courait à la catastrophe. Même des mouvements patriotiques allemands, tels les Republikaner et la Pro-Bewegung, qui fusionneront en mars prochain pour fonder un nouveau rassemblement et qui ne furent pas invités à être du voyage, ont exprimé leur soutien à cette initiative. Gageons qu’il est très improbable que cette stratégie de soumission puisse réussir. Leurs adversaires et les médias ne manqueront pas de rappeler que l’extrême droite européenne a en fait rencontré en Israël l’extrême droite raciste israélienne. Quant aux électeurs allemands, dont nous avons relevé la faible sympathie pour Israël, il est peu probable qu’ils gardent, au moment de voter, un souvenir ébloui de cette initiative.

 

Le Vlaams Belang, quant à lui, est actuellement dans une phase difficile. Après trente ans de progression constante, la chute aux dernières élections du Parlement flamand a été sérieuse, perdant plus du tiers de ses électeurs. 21 sièges au lieu de 32, 2 députés européens au lieu de 3. Cela entraîne bien sûr les sempiternelles frustrations, reproches et tensions qui suivent les échecs électoraux. En l’occurrence, Filip Dewinter ne porte aucune responsabilité dans cet échec. La faute en incombe à l’émergence d’un nouveau mouvement indépendantiste, le NVA dont le leader, Bart de Wever est très populaire et médiatique et aussi à un certain épuisement de l’électorat, las d’attendre la victoire. Philippe Dewinter peut-il obtenir grâce à ce voyage la complaisance des medias flamands qui sont très hostiles au Vlaams Belang ? Il est sérieusement permis d’en douter.

 

Le seul à pouvoir retirer, avec un cynisme total, un vrai avantage à avoir entrepris ce pèlerinage, est Heinz-Christian Strache, le leader du Fpö. L’ancien parti de Haider connaît une progression fulgurante. Un récent sondage place Strache en tête des souhaits des Autrichiens pour le poste de Chancelier. Il peut réussir là où Haider avait échoué en 2000 devant la pression internationale, et notamment celle d’Israël. Alors que les élections l’avaient placé en situation d’obtenir cette fonction, le hourvari général l’en avait empêché. Il n’est pas certain cependant que les Américains et les Israéliens oublient la sympathie manifestée à la Russie par H-C Strache lors d’une rencontre, le 15 juin 2010, avec des dirigeants russes. Strache déclarait : « Les Etats-Unis cherchent à abuser des Etats en tant qu’instrument de leur politique afin de provoquer une guerre froide. Nous ne devons pas devenir les satellites de Washington ».

Conclusion.

Quel intérêt les Européens ont-ils à se mêler des affaires du Proche-Orient ? Les Palestiniens, les Iraniens et même les Talibans ne portent aucune responsabilité dans l’invasion que subissent la France et l’Europe. Il est permis de ne pas être d’accord avec Filip Dewinter quand celui-ci déclare : « Vu qu’Israël est le poste avancé de l’Ouest libre, nous devons unir nos forces et combattre ensemble l’islamisme ici (en Israël) et chez nous (en Europe) ». C’est ici, sur notre terre d’Europe que nous devons mener la nécessaire Reconquista, pas en Israël, en rassemblant toutes les forces de la Résistance nationale et européenne ! Nos soldats n’ont pas vocation à mourir, ni pour Washington, ni pour Tel Aviv.

Bruno Gollnisch réagit à l’article du Nouvel Obs sur le souhait de rassemblement des partis nationalistes en Europe.

Voir la réaction de Bruno Gollnisch à l'article et la position de Marine Le Pen :

http://www.gollnisch.com/2010/12/14/%C2%AB-notre-%C2%BB-europe-en-gestation%E2%80%A6/

16/12/2010

Umberto Bossi au centre du jeu.

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« La Ligue avertit : ‘si c’est ainsi, autant aller voter’ » (Rodolfo Sala, La Repubblica) : « La répétition générale du 3e pôle déplaît aux léghistes : si c’est ainsi, les élections anticipées approchent. A peine Umberto Bossi a-t-il donné son accord, avec beaucoup de réticence, à l’entrée de l’UdC dans la majorité, voici que Casini, Fini, Rutelli et Lombardo, au lendemain du vote de confiance, annoncent que leurs troupes iront de l’avant ensemble dorénavant. On sent chez les lieutenants de Bossi une forte inquiétude face aux signaux négatifs qui montent du terrain : comme le dit plus d’un parlementaire, ‘on se demande comment on peut être adversaire des centristes au conseil municipal et allié avec eux à Rome’. Même si c’est motus et bouche cousue, on commence à percevoir ce que fera la Ligue si la tentative d’associer l’UdC au gouvernement échouait contre l’écueil du troisième pôle : ‘dans ce cas, il ne sera pas possible de continuer 3 ans avec des chiffres aussi serrés’. Retour donc à l’option numéro 1 : mieux vaut aller voter que de vivoter. Quant au 3e pôle, le PdL y voit de la poudre aux yeux : ‘le bipolarisme est loin d’être fini. Ce pôle est destiné à mourir car il y a de tout là-dedans, du centre gauche au centre droit’. Au PD, on voit les choses de tout autre façon. Pour A. Finocchiaro, ‘la formation de ce pôle empêche un élargissement formel de la majorité à l’UdC et marque le premier échec de la stratégie du président du Conseil, démontrant la fragilité du projet berlusconien et de sa ‘victoire’ au Parlement’. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Conférence sur l’histoire politique française à Kiev en Ukraine.

Un lecteur ukrainien de Synthèse nationale et de ce site Internet me signale l’organisation à Kiev d’une conférence sur la poésie et la politique dans la perspective de Charles Maurras et de l’idéologie de l’Action Française.

 

Plus d’info :

http://uktk.org/fr/synthese-de-la-poesie-et-la-politique-...

Initiative populaire contre l’entrée planifiée de la Turquie au sein de l’Union européenne : pro NRW et les Republikaner sont les partenaires du Vlaams Belang en Allemagne.

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Markus Beisicht, le président de pro NRW, a poursuivi ce jeudi 16 décembre 2010 l’entretien qu’il a eu hier avec Filip Dewinter du Vlaams Belang à Bruxelles et est retourné en fin de journée en Allemagne. 

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Photo : Markus Beisicht et Filip Dewinter.

Lors de la rencontre d’hier, Monika Ewert des Republikaner était présente. Le sujet principal a été l’organisation d’une initiative populaire contre l’entrée planifiée de la Turquie au sein de l’Union européenne.  Pro NRW et les Republikaner sont les partenaires du Vlaams Belang en Allemagne.  

Voici les informations sur les initiatives populaires au sein de l'Union européenne : 

4. Des citoyens de l'Union, au nombre d'un million au moins, ressortissants d'un nombre significatif d'États membres, peuvent prendre l'initiative d'inviter la Commission européenne, dans le cadre de ses attributions, à soumettre une proposition appropriée sur des questions pour lesquelles ces citoyens considèrent qu'un acte juridique de l'Union est nécessaire aux fins de l'application des traités.  

Les procédures et conditions requises pour la présentation d'une telle initiative sont fixées conformément à l'article 24, premier alinéa, du traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. 

(source : http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:C:2008:115:0001:01:FR:HTML) 

Voir la vidéo (en allemand) de la rencontre  :

 

Christoph Blocher voit l'économie suisse en surchauffe.

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Voici un communiqué d’awp/ats à propos de l’homme fort de l’UDC Suisse. 

Christoph Blocher estime que l'économie helvétique est en surchauffe. "Si la Suisse se porte aussi bien, c'est parce qu'elle n'est pas membre de l'Union européenne", dit l'ancien conseiller fédéral dans une interview accordée au magazine "Bilan" à paraître mercredi. 

Selon le vice-président de l'UDC, la surchauffe de l'économie suisse est provoquée indirectement par la forte demande en provenance de la Chine et de l'Inde. Au-delà, il ne voit pas de nécessité absolue de réformes afin de garantir la poursuite de la tendance favorable constatée ces derniers mois. 

"Avant de parler réformes, défendons avant tout nos avantages. Pour cela, restons maîtres de notre destin en n'adhérant jamais à l'UE et conservons notre démocratie directe, surtout dans les domaines des impôts ainsi que de notre monnaie", explique l'industriel dans les colonnes de "Bilan". 

Selon les chiffres du Secrétariat d'Etat à l'économie publiés début décembre, le produit intérieur brut (PIB) de la Suisse a progressé de 0,7% au troisième trimestre par rapport au précédent. En rythme annuel, il affiche une croissance de 3%, soit un niveau correspondant aux années d'avant la crise de 2008 et 2009.

Nouveau numéro du journal de l'UDC Suisse.

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Suisse. Le nouveau numéro de Franc-parler, le journal de l'UDC, est sorti. Le consulter en ligne : http://www.svp.ch/display.cfm/id/101375

 

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15/12/2010

Réaction du Laos à propos du nouveau dispositif d'austérité en Grèce.

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Enfin, le président du LAOS (droite traditionnaliste), Georges Karadzaferis, a exprimé ses oppositions à de nouvelles coupes de salaires, aux changements dans les relations de travail et aux choix politiques de la politique du gouvernement. 

"En tant que LAOS, nous avons fait preuve de sérieux, en votant l'article 1 du Mémorandum, afin que puissent être payés les salaires et les retraites. A présent, les salaires sont taillés en pièces, et nous ne l'acceptons pas. J'ai accepté le consensus, mais je ne peux à présent devenir un croque-mort", a souligné M. Karadzaferis. 

Source : ANA-MPA.

Un député quitte Ataka.

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Bulgarie. Kamen Petkov a quitté le groupe parlementaire des élus d’Ataka. Il veut rejoindre le parti centriste de l’ancien Roi Simeon de Saxe-Coburg. Ataka dispose maintenant de 20 députés au lieu de 21 au sein du Parlement. Kamen Petkov n’est pas d’accord avec le soutien apporté par Ataka au gouvernement de centre-droit.

Kieren Trent a été élu à la tête de l’organisation de jeunesse du BNP.

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Royaume-Uni. Le nouveau dirigeant de l’organisation de jeunesse du British National Party (BNP) Les Croisés veut que son organisation « devienne un mouvement des droits civiques orienté  vers la préservation de nos droits constitutionnels, fixés par des milliers d’années de combat. ». Kieren Trent a été élu lors de la récente Conférence du parti.

Le président de pro NRW à Bruxelles.

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Belgique. Le Président de pro NRW Markus Beisicht est ce mercredi 15 décembre 2010 à Bruxelles. Il a discuté durant plusieurs heures, au sein du Parlement flamand, avec Filip Dewinter du Vlaams Belang. Les thèmes principaux de la conversation ont été : une initiative populaire européenne contre l’entrée de la Turquie au sein de l’Union européenne, la Marche de la liberté du 7 mai 2011 à Cologne (Köln) en Allemagne et la construction de l’alliance regroupant le Vlaams Belang, le mouvement PRO, le FPÖ et d’autres partis patriotiques en Europe. 

Rolandas Paksas réélu à la tête d'Ordre et Justice.

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Lituanie. Ce dimanche 12 décembre 2010, le IXème congrès du parti politique Ordre et Justice a eu lieu au Palais des Congrès de Vilnius. Plus de 1000 délégués venus de l’ensemble du pays et représentant plus de 13.000 membres y ont pris part. 

Lors de cette réunion, le programme politique du parti en vue des élections municipales a été adopté. Le Député européen Rolandas Paksas a été réélu à la tête du parti. Lors de son discours, il a proposé de passer d’un système de démocratie représentative à un système de démocratie directe au sein duquel les citoyens prennent les décisions et adoptent les lois depuis leur écran d’ordinateur : « La démocratie représentative ne peut pas relever les défis actuels, elle ne correspond pas aux opportunités offertes par la technologie actuelle et ne répond pas aux niveaux et attentes actuels des citoyens . » 

Le Député européen du Parti des vrais Finlandais Timo Soini a participé au congrès, ainsi que des représentants de différents partis lituaniens.

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 Rolandas Paksas

Berlusconi n’est pas optimiste, sa majorité est trop faible.

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« Sur les décombres de FLI, l’axe Berlusconi-Bossi se renforce » (Massimo Franco, Corriere della Sera) : « Si depuis hier les élections anticipées semblent plus proches, Berlusconi, après avoir humilié Fini et son parti, fait preuve d’un aplomb qui cache en fait l’incertitude dans laquelle est plongé le gouvernement. Berlusconi compte sur les finiens déçus par le résultat de la motion de censure et assure qu’il n’y aura pas de répétition du syndrome ‘Prodi’, tombé suite à l’usure d’une majorité trop étroite. Il considère FLI comme politiquement inexistant – prêt cependant à en accueillir les ‘repentis’ en fuite – et affirme que l’axe PdL-Ligue sort plus fort de la crise et reste uni en vue d’une éventuelle victoire électorale. Enfin, on peut constater la victoire du bipolarisme. Pourtant la Ligue serait plutôt favorable aux élections anticipées, et seule la pression du Quirinal semble pour l’instant suspendre ce projet. Et si la situation empire, Fini pourra toujours être accusé d’avoir provoqué la crise. Berlusconi n’est pas optimiste, sa majorité est trop faible. Avec trois voix de plus on peut résister, certainement pas gouverner. Pour l’instant Casini reste sur ses positions : d’abord démission du Cavaliere, ensuite on verra. Toutefois, le centre-droit peut maintenant entrer dans une nouvelle phase qui pourrait malgré tout offrir à Berlusconi une certaine sérénité. ».

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Le Vlaams Belang Jongeren distribue de la soupe à Louvain.

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Belgique. Flandre. Dans le but de mettre en avant le problème de la pauvreté, le Vlaams Belang Jongeren (le Vlaams Belang Jeunesse) de la région de Louvain (Leuven) a organisé, en coopération avec la section locale du parti, une distribution de soupe. Le Vlaams Belang Jongeren dénonce le fait que l’attention médiatique est accordée aux réfugiés et que pendant ce temps la situation des Flamands pauvres est ignorée.

Oskar Freysinger confirme à la Télévision Suisse Romande (TSR) qu’il viendra bien à Paris ce 18 décembre 2010.

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Communiqué de la TSR : 

Oscar Freysinger créée la polémique autour d'un meeting anti-islam samedi à Paris. Des partis de gauche français ont appelé à manifester contre la tenue de cette conférence, alors que le maire de la ville B.Delanoë souhaite annuler le meeting. Le Conseiller national UDC a confirmé qu'il se rendrait à cette manifestation comme orateur. 

14/12/2010

Pourquoi Berlusconi a-t-il obtenu la confiance au sein du Parlement ?

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L’avis de Christine Fauvet-Mycia, journaliste au Figaro :

 

Geert Wilders, politicien néerlandais de l'année 2010.

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Pays-Bas. Geert Wilders, le dirigeant du PVV, a été choisi par le public en tant que politicien de l’année 2010. Lors de l’élection annuelle de EenVandaag, il a obtenu 17,5% des voix. 30.000 personnes ont participé, du 15 novembre au 9 décembre 2010, à cette élection.

 

Le top15 des politiciens néerlandais de l’année 2010 :

 

1. Geert Wilders 17,5% : le leader du PVV

2. Mark Rutte 16,0% : le Premier ministre du VVD, le Parti libéral de droite

3. Emile Roemer 11,2%

4. Femke Halsema 10,3%

5. Alexander Pechtold 6,5%

6. Camiel Eurlings 4,1%

6. Jan Kees de Jager 4,1%

8. Jan Peter Balkenende 3,6%

9. Wouter Bos 3,0%

10. Maxime Verhagen 2,1%

10. Ab Klink 2,1%

12. Job Cohen 2,0% : le leader du PVDA, le Parti social-démocrate.

13. Agnes Kant 1,8%

14. André Rouvoet 1,6%

15. Henk Bleeker 1,5%