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17/12/2010

Gianni Alemanno, le maire nationaliste de Rome, a réagi durement à la libération des casseurs de gauche.

Le Peuple de la liberté.jpg

« Les libérations et le risque d’un nouvel incendie » (Marcello Sorgi, La Stampa) : « La libération des jeunes arrêtés à la suite de l’après-midi de violences et de dévastation du centre historique de Rome jeudi dernier a provoqué une dure réaction de Gianni Alemanno, maire [nationaliste] de Rome : comme nombre d’habitants du centre historique, le maire attendait une punition exemplaire qui n’est pas venue. Les juges ont non seulement fait droit aux requêtes de la défense, mais ils ont contesté les chefs d’accusation mis en avant par la police. Au-delà des polémiques entre le maire et les magistrats, la décision de remettre en liberté ceux qui avaient été arrêtés risque d’avoir des répercussions sur le débat final au Sénat, prévu pour la semaine prochaine, et la probable adoption de la réforme Gelmini. Alors que la loi sera sans doute adoptée sans heurts, vu les intentions de vote annoncées par FLI et l’UdC, le risque est grand, dans la rue, d’un retour de flamme des manifestations et de nouveaux affrontements avec la police – une nouvelle vague de manifestations qui pourrait avoir des conséquences plus graves encore que jeudi dernier. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

 

 

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Gianni Alemanno, maire nationaliste de Rome.

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