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30/11/2010

La construction du groupe parlementaire FPÖ-FPK se poursuit.

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Autriche. Parlement national à Vienne. Ce lundi 30 novembre 2010, le Député du FPK Martin Strutz a été élu au poste de vice-président du groupe parlementaire FPÖ-FPK. Martin Strutz désire être une voix forte pour la  Carinthie à Vienne.

Le Jobbik discriminé par les médias.

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Hongrie. Suite à une plainte introduite par le Jobbik, la « Nemzeti Média and Hírközlési Hatóság », l’agence qui contrôle l’objectivité des médias de radiodiffusion,  a trouvé que RTL Klub, TV2 et ATV ont réalisé des reportages biaisés. En effet, le 23 novembre 2010, ces stations de télévision ont diffusé des reportages sur la célébration de la fête nationale par les autres partis politiques, mais pas par le Jobbik.

FLI : "abstention" - et non plus "censure".

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« Au sein de FLI certains sont tentés par l’abstention » (Fabio Martini, La Stampa) : « Jusqu’à il y a une semaine, les futuristes y auraient vu un gros mot mais, depuis quelques jours, dans les entretiens entre Fini et ses nouveaux colonels, le mot en vogue est ‘abstention’ – et non plus ‘censure’. Fini et ses amis commencent à réfléchir à l’idée d’une abstention qui laisserait en vie le gouvernement et son chef. A ce stade, rien de décidé, et FLI parle toujours de présenter une motion de censure et de la voter avec l’opposition. Mais le seul fait de parler entre soi d’une possible abstention en dit long sur les tensions qui divisent les finiens. L’idée est venue des modérés (Ronchi, Viespoli, Moffa, Menia, Consolo), pour qui le cadre, interne et international, a évolué. Pour eux, l’idée d’un gouvernement technique ou d’union nationale ne tient pas debout, de même que les élections anticipées leur paraissent très risquées. Fini, dirigeant doté d’une forte capacité d’écoute, a entendu tous les sons de cloches (même ceux de Bocchino, Briguglio, Perina et Granta, fervents partisans de la censure) et n’a rien exclu à ce stade. Selon Urso, le plus au centre de tous, ‘s’il y avait un signal de changement, l’idée de s’abstenir pourrait être étudiée’ mais ‘ce n’est pas du tout le cas’. La balle revient, plus que jamais, entre les mains de Berlusconi et de son doigté politique. Mais s’il ne changeait pas de tactique, le problème pour Fini sera de garder son groupe uni. Une hémorragie, même réduite, au sein de FLI, serait décisive pour assurer à Berlusconi la confiance, fût-elle éphémère. » 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Avec le même score, Plateforme pour la Catalogne décrochera des dizaines d'élus locaux en 2011.

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Enrique Ravello, qui s’occupe des relations extérieures de Plateforme pour la Catalogne (PxC), m’envoit les résultats obtenus par le parti lors des élections de ce dimanche 28 novembre 2010 pour le Parlement de Catalogne. 

Importante percée du PxC lors des élections régionales de Catalogne. 

Le PxC a obtenu au total 75.321 voix, soit 2,42%.

Province de Barcelone : 2,47%.

Province de Tarragona: 2.59%

Province de Gerona: 2.21%

Province de Lerida: 1.79%

Á l’Hospitalet, deuxième ville de Catalogne, le PxC obtient 4,1%.

Résultats à remarquer : Canovelles : 7,7% ; Manellu : 7,7% ; Torelló : 5,1% ; Vic : 5,8% ; Sel : 4,9%; Mollerusa : 4,2%; El Vendrell : 7%.

Avec un tel score, le PxC décrochera des dizaines d’élus locaux lors des élections de 2011.

Autres partis nationalistes :

Phalange espagnole de las JONS (pro-immigration et pro-métissage) 1781 voix - 0,06%  

 MSR, membre de l’alliance regroupant le Jobbik, FN, BNP,... 778 votes, 0,02%.

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Josep Anglada

L'UDC Suisse autorisée à organiser son congrès dans un champ.

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Suisse. L’UDC, premier parti de Suisse, 29% des voix, pourra tenir le samedi 4 décembre 2010 son congrès dans une prairie à Coinsins. 700 délégués et 300 invités sont attendus. Rappelons que l’UDC s’est vu refuser le Palais de Beaulieu puis l'Université de Lausanne et a été contrainte de choisir un champ.

Danemark : conflit entre les règles juridiques européennes et nationales.

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Danemark. Le Parti du Peuple danois s’insurge contre le fait que suite à un accord passé entre l’Union européenne et la Turquie, les Turcs peuvent immigrer vers le Danemark sans passer le test linguistique et de connaissance du pays imposé aux ressortissants des autres pays. C'est pourquoi le Parti du Peuple danois demande que le Parlement danois débatte afin de décider qui, de l'UE ou de la législation danoise, doit avoir une voix prépondérante en la matière.

Plateforme pour la Catalogne obtient des résultats positifs en certains endroits.

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Espagne. Catalogne. Plateforme pour la Catalogne (PxC) qui a obtenu 2,42% des voix devait atteindre la barre des 3% afin d’entrer au Parlement de Catalogne. Au sein de certaines municipalités, le parti obtient plus de 4% des voix. Exemples : Vic, 1006 votes (5,82%); El Vendrell, 898 voix (7,02%); Manlleu : 636 voix (7,67%).

29/11/2010

Croatie : les patriotes commémorent la chute de Vukovar.

Croatie. Le 18 novembre 2010, des Croates venus de l’ensemble du pays se sont réunis à Vukovar afin de commémorer le 19ème anniversaire de la chute de la ville et de son occupation par les forces communistes serbes. Le slogan de la commémoration de cette année est « Vukovar a gagné parce qu’elle était la victime. »

La bataille de Vukovar s’est terminée le 18 novembre 1991 lorsque les forces croates se sont rendues à l’armée yougoslave après 86 jours de siège. De petits combats se sont poursuivis jusqu’au 20 novembre 1991, date à laquelle le dernier groupe de défenseur a été éliminé. Durant la bataille, 30.000 soldats ont combattu au sein de l’armée yougoslave et d’unités paramilitaires serbes et au cours des derniers jours de la bataille, ce nombre est passé à 80.000. Vukovar était défendue par 2.000 hommes, un nombre qui a augmenté à 6.700 au cours des derniers jours de la bataille. 2000 hommes ont péri, 2500 ont été blessés et 7.000 ont été internés dans des camps de concentration en Serbie. Deux volontaires étrangers combattant du côté croate ont été tués à Vukovar : l’Allemand Ivan Herman et le Français Jean-Michel Nicolier. Après la chute de la ville, les soldats serbes ont emprisonné les 264 blessés de l’hôpital. Après la guerre, les corps de 200 hommes ont été trouvés dans une fosse commune à Ovčara près de l’hôpital de Vukovar, mais 64 hommes sont toujours portés disparus. 500 autres civils croates ont disparu durant la bataille. La bataille de Vukovar s’est terminée par une défaite pour les forces croates, mais ces 86 jours de Vukovar ont donné le temps à la Croatie d’organiser ses forces armées pour les futures opérations de libération. En outre, cela a forcé la communauté internationale à aider la Croatie et à reconnaître l’indépendance de la République de Croatie en février 1992. La Croatie a récupéré Vukovar en 1998.

20.000 personnes ont participé à la commémoration de la tragédie de Vukovar, principalement des vétérans, des familles de victimes et de jeunes patriotes. Les nationalistes croates s’opposent à la politique du gouvernement croate en place qui vise à un rapprochement avec la Serbie, alors que, selon eux, la Serbie place sur le même pied les actes accomplis par les Serbes et Croates durant la guerre de Croatie en 1991-1995.

Résumé d’un texte transmis par Trpimir Gudar, nationaliste croate.

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De nombreux partis patriotiques européens se félicitent des résultats de la votation suisse sur le renvoi.

Manifestation de pro Deutschland au coeur de Berlin.

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Allemagne. Malgré des températures en dessous de zéro, le samedi 28 novembre 2010, soixante membres et sympathisants de pro Deutschland ont participé à une manifestation dans le centre de Berlin. Le parti poursuit son implantation au cœur de la capitale allemande.

Le président de Democracia nacional commente les élections en Catalogne.

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Espagne. Le Président de Democracia nacional Manuel Canduela a déclaré que les résultats des élections en Catalogne sont très mauvais pour les Catalans et Espagnols. Le seul point positif est l’effondrement du Parti socialiste et la percée de Plateforme pour la Catalogne qui multiplie ses résultats par vingt.

Ataka : incident frontalier avec la Serbie.

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Bulgarie. Ataka veut avertir la Commission européenne du comportement des autorités serbes. Le Député national d’Ataka Dimitar Stoyanov va soumettre le problème personnellement au Président de l’Union européenne Jose Manuel Barroso. Le samedi 27 novembre 2010, les autorités frontalières serbes ont refusé de laisser une délégation composée de membres et de supporters d’Ataka pénétrer en Serbie. Ces personnes se rendaient à Bosilegrad pour commémorer le 91ème anniversaire du Traité de Neuilly-sur-Seine. (Traité au cours duquel la Bulgarie a cédé à l’issue de la Première guerre mondiale des territoires à la Serbie et la Grèce). Le dirigeant d’Ataka, Volen Siderov, a demandé des excuses officielles de la Serbie et menacé de faire bloquer le point frontière de Kalotina entre les deux pays par ses partisans. Le ministère des affaires étrangères bulgare a envoyé une lettre officielle afin de demander une clarification du problème. Des membres d’Ataka, dont le leader du parti, ont protesté devant l’ambassade de Serbie à Sofia le jour de l'incident, le samedi 27 novembre 2010. 

Le gouvernement minoritaire, dernière carte de Berlusconi.

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« Le gouvernement minoritaire, dernière carte du président du Conseil » (Marcello Sorgi, La Stampa de samedi) : « L’idée d’un gouvernement minoritaire, vue ces jours-ci comme l’issue la plus probable de la crise, a trop de pères. Finiens et centristes en parlent. Peut-être le craignent-ils, mais ils feignent d’en être les vrais stratèges, en y voyant l’humiliation ultime de Berlusconi. Les proches du Cavaliere, bien plus circonspects, la susurrent, y voyant la seule façon de faire échouer la censure annoncée par Fini et Casini. Certes, il n’y a rien de glorieux à passer d’un gouvernement très largement élu à une situation minoritaire, mais on se console comme on peut. Le plan serait assez simple. Plutôt que de courir après l’objectif difficile des 316 votes pour, il suffira d’avoir la majorité des présents. La tactique a fonctionné en juillet, mais marchera-t-elle encore avec le passage de FLI dans l’opposition ? Cela étant, si gouvernement minoritaire il y a, Berlusconi ne voudra certes pas rester dans cette position inconfortable. S’il parvient à avoir la confiance au Sénat et une demi-confiance à la Chambre, il en usera d’abord pour se vanter d’avoir vaincu Fini. Ensuite, et officiellement par esprit de responsabilité, le gouvernement s’engagera à mener à bien les réformes en cours – notamment le fédéralisme, question de vie ou de mort pour la Ligue – et finalement, début 2011, le Cavaliere ira au Quirinal demander des élections anticipées. S’ouvrira alors pour Napolitano un jeu entièrement nouveau : celui d’un gouvernement encore debout, même si ce n’est que sur une jambe et demie, mais qui veut retourner devant les électeurs. Le chef de l’Etat voudra sans doute creuser la question. Mais si, à bon droit, il objectait qu’on ne peut dissoudre les Chambres que s’il n’y a plus majorité, Berlusconi est prêt au dernier coup de théâtre : Bossi ouvrirait alors une vraie crise, qui marquerait la fin de la législature. » 

«Sondage ISPO pour le Corriere – Confiance pour l’exécutif : 25% des électeurs léghistes diraient non » (Renato Mannheimer, Corriere de dimanche) : « Nul ne sait quelle sera l’issue du vote du 14 décembre, mais si c’étaient les citoyens qui votaient directement la confiance, aujourd’hui le résultat serait probablement négatif pour l’exécutif. A la question ‘si vous étiez parlementaire, comment voteriez-vous le 14 décembre ?’, la majorité des sondés (un peu plus de 60%) répondent qu’ils voteraient contre la confiance. En bonne logique, les réponses résultent d’abord de l’orientation politique. 90% des électeurs PdL voteraient la confiance. Même à la Ligue, c’est le choix majoritaire, mais dans une moindre mesure : 65% – près d’un quart des léghistes (23%) refuseraient la confiance à l’exécutif. Dans l’opposition, bien sûr, la plupart des électeurs seraient contre le gouvernement – 95% au PD, et 86% chez les électeurs FLI. Plus intéressant encore : parmi les ‘indécis’ en termes de partis, 59% optent pour un choix contre le gouvernement. Une majorité des Italiens rejette le gouvernement Berlusconi mais, en même temps, une part consistante d’entre eux restent avec lui malgré les difficultés actuelles. Mais il n’est pas dit que le cadre ne change pas, et de façon significative, en cas d’élections ou du fait d’une campagne où les leaders se mobiliseraient. »

(Traduction : ambassade de France à Rome).

28/11/2010

Plateforme pour la Catalogne n'entre pas au Parlement de Catalogne.

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Espagne. Catalogne. Plateforme pour la Catalogne (PxC) n’obtient pas d’élus. Le parti récolte cependant 2,42% des voix. Democracia nacional ne s’est pas présenté lors du scrutin afin de ne pas faire de l’ombre à Plateforme pour la Catalogne, sans toutefois appeler ses électeurs à voter pour Plateforme pour la Catalogne. Le MSR obtient 0,2% des voix.

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http://resultados.elpais.com/elecciones/2010/catalanas/09/ et http://www.3cat24.cat/especials/Eleccions/parlament2010/c...

Un des prisonniers politiques hongrois quitte la prison.

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Hongrie. La cour d’appel a renversé la décision du tribunal de première instance et ordonné l’assignation à domicile de József S., un des trois prisonniers politiques hongrois. Les deux autres prisonniers politiques restent en prison : Budaházy et Szaszka. Leur appel en vue d’être libéré a été rejeté.

József S. a été arrêté à Százhalombatta, il y a 19 mois, et a été interdit de contacts avec sa famille durant les huit premiers mois de sa détention. En juin 2010, il a été assigné à son domicile et autorisé à quitter la prison, mais le procureur est allé en appel et József S. a été réincarcéré un mois après sa libération, malgré le fait qu’il ait respecté les conditions d’assignation à résidence. 

La décision judiciaire à propos de József S. est définitive est ne peut pas faire l’objet d’un appel. Elle permet d’avoir de l’espoir de voir dans le futur les deux autres prisonniers politiques être relâchés.

Rappelons que j'ai réalisé l'interview de la femme et de la mère de Gyorgy Budaházy cet été en Hongrie : http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2010/08/11/int...

Interview de mon éditeur par l'écrivain Franck Abed.

L'écrivain Franck Abed (http://www.franckabed.com/) réalise des inteviews de personnalités. Il a intérrogé l'éditeur et écrivain Philippe Randa.


Franck ABED reçoit Philippe RANDA 1/3

Franck ABED reçoit Philippe RANDA 2/3


Franck ABED reçoit Philippe RANDA 3/3

Communiqué de la victoire de l'UDC Suisse.

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Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse, 29 % des voix :

Pour une intervention rigoureuse contre la criminalité étrangère.

 

Le peuple suisse a aujourd'hui donné un mandat clair et net à ses autorités: les étrangers criminels doivent être systématiquement expulsés et interdits de séjour. Le oui du peuple d'aujourd'hui est un premier pas vers le renforcement de la sécurité en Suisse. Il s'agit maintenant de concrétiser fidèlement cette initiative au niveau de la loi. L'UDC ne manquera pas de rappeler aux partis du centre leurs belles promesses de vouloir combattre "sévèrement" la criminalité étrangère. Ils doivent maintenant apporter la preuve par l'acte. L'UDC mettra tout en œuvre pour que le Conseil fédéral et le Parlement réalisent rapidement et correctement ce travail législatif. Elle exige du Conseil fédéral qu'il mette un projet de loi en consultation d'ici à l'été 2011.

 

Le résultat la votation d'aujourd'hui exprime aussi le grand malaise de la population face à la politique d'immigration pratiquée ces dernières années. L'ouverture des frontières, la libre circulation des personnes avec l'UE et une politique d'asile laxiste ont généré une immigration incontrôlée qui pose de gros problèmes à notre pays. Il est grand temps de s'y attaquer. La Suisse doit retrouver sa capacité d'agir dans ce domaine. Diverses mesures de politique d'immigration doivent être examinées. L'immigration doit davantage être déterminée par les besoins de l'économie. La politique d'asile doit être strictement limitée aux authentiques réfugiés et les procédures d'asile doivent être accélérées. La pratique de naturalisation doit elle aussi être durcie. Toute personne immigrant en Suisse doit signer une déclaration dans laquelle elle s'engage à respecter la Constitution et les lois suisses. L'UDC entend donner une grande priorité à la lutte contre la criminalité. Le droit pénal doit être durci, surtout pour les crimes graves, aussi bien à l'égard des étrangers que des Suisses. A ce niveau également, le verdict sorti des urnes aujourd'hui exprime clairement la volonté du souverain.

Suisse. L'initiative UDC sur le renvoi des étrangers criminels l'emporte par 53,4 % de "Oui".

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Suisse. L'initiative de l'UDC Suisse sur le renvoi des étrangers criminels l'emporte. La Suisse germanophone et italophone a voté "Oui". La Suisse francophone a voté "Non".

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Le contre-projet est rejeté dans toute la Suisse :

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UDC Suisse : "L'application du programme socialiste a été stoppée."

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Voici un communiqué de l'UDC Suisse, premier parti du pays, 29 % des voix :

L'UDC se félicite du rejet de l'initiative fiscale du PS. Par ce verdict, les votantes et les votants ont mis le holà à l'application du programme socialiste. La décision prise aujourd'hui par le peuple est aussi un engagement clair et net en faveur d'une imposition modérée et du fédéralisme. Il est temps désormais de procéder à quelques optimisations du secteur fiscal.

 

Cette initiative fiscale était une partie du programme socialiste dont les principaux objectifs sont l'élimination du capitalisme, la suppression de l'armée et l'abandon de l'indépendance et de la neutralité suisses. L'application de ce programme a été stoppée pour le moment par les citoyennes et les citoyens. La décision du peuple signifie aussi un clair engagement en faveur de la concurrence fiscale, d'une imposition modérée et d'un fédéralisme proche des citoyens, autant d'atouts de la Suisse dans la compétition économique internationale.  

 

L'UDC considère le résultat de cette votation comme un mandat d'optimiser le secteur fiscal. Cette réforme de la fiscalité suisse doit comprendre, entre autres, l'admission de déductions fiscales également pour les familles gardant elles-mêmes leurs enfants (initiative populaire UDC pour les familles), mais aussi la suppression du droit de timbre et de l'imposition de la valeur locative qui pénalise les propriétaires de leur propre logement.

Vidéo de la 4 ème journée nationale et identitaire de Synthèse nationale : Mario Borghezio.

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Paris. Lors de la 4ème Journée nationale et identitaire de Synthèse nationale, le 11 novembre 2010, différents dirigeants de la Résistance nationale française et européenne ont pris la parole. Voici la vidéo réalisée par le mouvement suédois Salemfonden. On y voit Mario Borghezio, ancien vice-ministre italien et député européen de la Ligue du Nord (Italie), Robert Vesterlund du Salemfonden (Suède) et Markus Wiener de pro NRW et pro Köln (Allemagne).

Vidéo en français :

Les invités européens : Robert Vesterlund, Markus Wiener et Mario Borghezio. Les francophones : Annick Martin, Thomas Joly, Pierre Vial, Robert Spieler, Lionel Baland, Roland Hélie.

Suisse. L'initiative socialiste sur la fiscalité est rejetée.

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Suisse. L’initiative du Parti socialiste intitulée « Pour des impôts équitables » est rejetée. Cette initiative  demande l'introduction dans tous les cantons de taux d'imposition minimaux pour les hauts revenus et les grandes fortunes.

 

Pourquoi l’UDC s’oppose à ce projet du Parti socialiste :

 

L'initiative du PS nuit aux cantons, parce que les cantons, les communes et donc les citoyens ne pourraient plus décider eux-mêmes de la hauteur des impôts et de l'offre de prestations publiques. L'initiative du PS restreindrait considérablement l'autonomie financière des cantons et des communes et réduirait massivement la marge de manœuvre des cantons pour la fixation des déductions fiscales et du niveau des impôts.

 

L'initiative du PS entraîne des augmentations d'impôts, parce que, en cas d'acceptation, ce serait la Confédération qui fixerait les impôts : quatorze cantons devraient relever leurs impôts sur le revenu et/ou la fortune. Les cantons et les communes seraient contraints de percevoir des impôts dont elles n'ont même pas besoin.

 

L'initiative du PS affaiblit la place économique suisse, parce qu’elle saperait le modèle suisse de concurrence fiscale, un modèle couronné de succès. Les hausses d'impôts feraient partir les bons contribuables et qu'elles dissuaderaient des particuliers et des entreprises de s'installer en Suisse. Les recettes actuelles et supplémentaires seraient menacées et la charge fiscale de la classe moyenne s'alourdirait.

Le Vlaams Belang mène une journée d'action contre l'abus d'asile.

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Belgique. Flandre. Le Vlaams Belang a mené ce samedi 27 novembre 2010 une journée d’action contre l’abus d’asile. Alors que l’année 2010 est une année record en matière de demande d’asile, le gouvernement belge, plutôt que de prendre des mesures restrictives, a décidé de créer de nouvelles places d’accueil. En Flandre, deux nouveaux centres d’accueils doivent voir le jour : un à Houthalen-Helchteren et l’autre à Ravels. Les manifestants du Vlaams Belang, ainsi que des habitants du quartier, ont manifesté à Houthalen-Helchteren devant l’entrée du domaine militaire qui doit accueillir des demandeurs d’asile puis se sont rendus à Ravels.

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Filip Dewinter et Bruno Valkeniers.

27/11/2010

Congrès de l'UDC (suite).

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Suisse. Le conseil d'État vaudois a donné à l'UDC l'autorisation de tenir le samedi 4 novembre 2010 son congrès dans la prairie de Coinsins.

Des représentants du FPÖ ont visité l’Exposition universelle de Shanghai.

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Une délégation du FPÖ composée du Député national Andreas Karlsböck, du dirigeant du groupe parlementaire du FPÖ au sein du Parlement de Vienne Johann Gudenus et de la Vice-présidente de la Plateforme économique « Pro Mittelstand » (Pour les Classes moyennes) et Conseillère municipale de Vienne Barbara Kappel a visité l’Exposition universelle de Shanghai et conduit un entretien avec des représentants de haut rang de la « Shanghai Trade and Investment Promotion Agency » (Agence de Promotion du Commerce et de l'Investissement de Shanghai). La délégation du FPÖ a visité l’Exposition universelle en compagnie du consul général d’Autriche à Shanghai.

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Johann Gudenus, Barbara Kappel, Andreas Karlsböck, le directeur adjoint du pavillon chinois et le consul général d’Autriche à Shanghai.

La Ministre Mara Carfagna s’est à nouveau accordée avec le Peuple de la Liberté et a retiré sa menace de démission.

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« Berlusconi : le 14 (décembre 2010), la confiance, ou je demande les élections – mais un scrutin anticipé serait la faute d’irresponsables. La semaine prochaine, réforme de la justice » (Luca Ostellino, Il Sole 24 Ore) : « Berlusconi poursuit sa contre-attaque : il renoue avec Mara Carfagna et, hier, à la réunion du bureau de présidence du PdL, il tire à vue sur Fini et Casini, ‘dévoilant’ leur projet tendant à porter au Quirinal le président de la Chambre et au palais Chigi le leader de l’UdC, à une condition : que Berlusconi soit ‘mis sur la touche’. Bossi, soutenu par Tremonti, a, pour sa part, attaqué durement Montezemolo – qui pourrait être le 4e élément du 3e pôle formé par Fini, Casini et Franceschini. Puis le chef de la Ligue a invité l’UdC à soutenir le gouvernement sans y participer. Face à l’état-major du PdL, Berlusconi s’est montré résolu à aller de l’avant, sûr d’obtenir in extremis la confiance le 14 décembre : il aurait dit à ses proches compter sur le vote de 316 députés sans pouvoir dire ‘rien de plus’… Une conviction fondée sur le fait que la crise économique internationale est si grave qu’il est funeste de revenir aux urnes dans une période requérant le maximum de stabilité. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)