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17/11/2010

Johann Gudenus est élu à la tête du groupe des élus du FPÖ au sein du Parlement de Vienne.

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Autriche. Vienne. Ce mercredi 17 novembre 2010, Johann Gudenus a été élu, lors d’un conclave du FPÖ de Vienne, comme annoncé, à la tête du groupe des élus du FPÖ au sein du Parlement de Vienne.

L'initiative de l'UDC Suisse sur le renvoi passerait la rampe.

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Un sondage réalisé auprès de 1207 personnes entre le 8 et le 13 novembre 2010 par l’institut "gfs.bern" dans toutes les régions de Suisse donne, à deux semaines des votations fédérales du 28 novembre 2010, l’initiative UDC sur le renvoi des criminels étrangers à 54% de « Oui », alors que 43% s’y opposent et 3% se déclarent indécis.

Le président du MCG débouté dans l'affaire des affiches contre le Colonel Kadhafi.

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Affiche du MCG (suite). Suisse. Genève. Le Mouvement des citoyens genevois (MCG) et son président le Député genevois Éric Stauffer ont été déboutés par le Tribunal pénal fédéral dans l’affaire de leur affiche électorale.

Opération du Vlaams Belang à Merchtem contre l'abattage rituel d'animaux.

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Belgique. Flandre. Ce mercredi 17 novembre 2010, des mandataires du Vlaams Belang se sont rendus à Merchtem dans le Brabant flamand afin de distribuer des tracts sur le marché hebdomadaire. Objet de l'opération : s'opposer à l'abattage rituel d'animaux.

Italie : une partie d’échecs de 27 jours.

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 « Un succès institutionnel du Quirinal, mais dans une ambiance exacerbée » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) : « Sur le plan institutionnel, G. Napolitano a remporté un succès : avec lui, les présidents des Chambres ont fixé un schéma préservant le minimum de stabilité vital pour le pays. Le budget 2011 restera prioritaire sur les deux motions de confiance (Sénat) et de censure (Chambre). Le budget sera adopté d’ici au 10 décembre, avant le lancement d’un rapide ‘comptage’, après des discours du président du Conseil aux Chambres. L’autorité du chef de l’Etat a donc permis une solution équilibrée évitant la funeste ‘guerre des motions’. Celles-ci seront votées en parallèle dans les deux Chambres le 14/12, soit la date prévue pour la décision de la Cour constitutionnelle sur l’empêchement légitime, qui protège le Cavaliere. Certes l’éventuelle censure à la Chambre le pousserait à une démission immédiate, mais la crise de la zone euro pourrait plaider contre des élections à court terme. Au plan politique, on a d’un côté Fini, Casini et le centre gauche pour un nouveau gouvernement avec un autre président du Conseil, de l’autre un axe PdL-Ligue campant sur la position ‘la confiance ou les élections’. A l’évidence, Bossi n’est pas enthousiaste à l’idée d’élections précipitées, compte tenu peut-être des fragilités de Berlusconi comme candidat vu les scandales (connus ou à venir). Mais la Ligue paraît solidement aux côtés de son vieil allié. On voit mal comment les partisans d’un ‘autre gouvernement’ prévaudraient. Il faudrait ou qu’après une démission de Berlusconi le groupe PdL au Sénat se scinde assez nettement pour justifier qu’on écarte du gouvernement le PdL et la Ligue, vainqueurs en 2008 et toujours majoritaires relativement, ou que le Cavaliere se retire volontairement, sous l’effet de la fatigue ou d’autres coups durs judiciaires. Mais ce serait un tel coup de théâtre qu’il est impossible de rien prévoir de tel. »

« Un compromis pour sauver les comptes de l’Etat » (Massimo Franco, Corriere) : « Le Quirinal a fixé hier une date, le 14 décembre, qui marquera un tournant capital. Ce jour-là, Berlusconi devra faire face à la crise de sa majorité. Napolitano veut garantir l’adoption des lois de stabilité et de budget et les soustraire aux manœuvres d’une phase confuse qui risquait et risque encore en partie de les menacer. Les présidents des Chambres ont accepté, voire un peu subi ce choix. La Ligue ajoute une autre échéance, le 27 mars, présentée à demi-mot comme la fin du gouvernement Berlusconi. On voit mal si Bossi veut dire que la coalition durera jusqu’au printemps car il n’y aura pas de crise après le budget ou s’il évoque le 27 mars comme date d’élections anticipées. N’oublions pas qu’il y a peu, Maroni avait déjà cité le 27 mars comme date possible pour des élections. La Ligue approuve la décision du Quirinal – compromis ‘utile à la paix’ selon Bossi. Elle force tout le monde à la transparence. Mais une coïncidence qui peut alimenter la tension : le 14 décembre, la Cour constitutionnelle doit aussi rendre sa décision sur l’‘empêchement légitime’ qui met le président du Conseil à l’abri des procès. La confirmation de l’‘axe du Nord’ rend de plus en plus hasardeuse l’hypothèse d’un gouvernement technique, d’autant que le parti de Di Pietro semble décidé à ne pas la soutenir. Pour la Ligue reste l’inconnue de l’adoption du fédéralisme fiscal. Mais Bossi est sûr qu’elle se fera avant les élections - et quiconque en doute, menace-t-il, est un ‘homme mort’. »

 

« Une partie d’échecs de 27 jours » (Marcello Sorgi, La Stampa) : « La confirmation que les deux motions, à la Chambre et au Sénat, seront votées le 14 décembre après débat le 13, grâce à l’accord entre les trois premiers personnages de l’Etat, n’exclut pas la possibilité qu’au bout du compte le gouvernement obtienne une majorité PdL-Ligue au Sénat mais se retrouve battu à la Chambre, sans les finiens. Berlusconi aurait préféré un déphasage entre les deux débats, à la fois pour profiter de la confiance au Sénat pour faire pression sur les députés et obtenir une majorité, ou pour se présenter au Quirinal, lors de sa démission, avec juste une ‘demi-censure’ ou une défiance-confiance, poussant ainsi Napolitano à écarter toute tentative de gouvernement alternatif, vu l’assurance d’une majorité contre au Sénat du fait de la solidité de l’axe PdL-Ligue. Raisonnement qui tient toujours même si les votes contradictoires ont lieu le même jour. Reste à voir si cela contraindrait le Chef de l’Etat dans ses choix en lui imposant de dissoudre. Non qu’il soit en faveur d’un autre gouvernement, bien au contraire. Mais Napolitano, comme par le passé, s’en tiendra aux résultats de ses consultations et, si un certain nombre de partis lui demande de tenter de former un gouvernement, il ne le fera que si une nouvelle majorité se dessine autour d’un programme clair et consensuel. La simple expression d’un vote pour Berlusconi par les sénateurs pourrait ne pas suffire au chef de l’Etat pour exclure tout à fait la possibilité d’un autre gouvernement. Napolitano pourrait donc devoir vérifier si parmi les sénateurs qui auraient soutenu le Cavaliere, certains ne seraient pas prêts à soutenir un autre gouvernement, fût-il provisoire, avant des élections (comme après la chute de Prodi) : un cas de figure lourd de risques pour le Cavaliere, mais qui pourrait se révéler inévitable s’il devait sortir des consultations des indications en ce sens. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome).

16/11/2010

Le PVV a un problème avec un de ses députés.

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Pays-Bas. Un élu du PVV pose problème à la majorité. Le gouvernement CDA-VVD soutenu de l’extérieur par le PVV de Geert Wilders dispose d’une très courte majorité au sein de la Deuxième chambre du Parlement (76 sur 150). Le chef de file du PVV, Geert Wilders, a, après réflexion, décidé de maintenir en place un député du PVV qui a « oublié » d’informer son parti de certains faits. Le Député Éric Lucassen, 36 ans, était sous-officier en 2002 au sein de l’armée néerlandaise. Il a été sanctionné par sa hiérarchie pour avoir eu des relations sexuelles avec deux jeunes recrues féminines. Entre 2006 et 2009, il a eu des problèmes de dispute avec ses vosins. Geert Wilders a enlevé à Éric Lucassen des compétences qu’il exerce au sein du parti.

Les femmes UDC soutiennent l'initiative sur le renvoi.

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Voici un communiqué des femmes UDC :

 

La violence juvénile fait désormais partie du quotidien. Nombre de jeunes délinquants violents sont issus du contexte migratoire. Les femmes sont fréquemment victimes d'actes de violence, notamment de la part d'étrangers. Grâce à l'initiative sur le renvoi, les étrangers qui ont commis des crimes graves en Suisse seront enfin systématiquement expulsés et frappés d'une interdiction de séjour de cinq ans au moins. C'est donc à l'unanimité que les Femmes UDC ont décidé d'apporter leur soutien à l'initiative sur le renvoi alors qu'elles rejettent un contre-projet manifestement inefficace.

 

La statistique indique une disproportion d'individus issus du contexte migratoire parmi les jeunes délinquants. La progression de la violence et de la criminalité juvéniles confirme la nécessité de prendre des mesures efficaces également contre les délinquants âgés de moins de 18 ans. On ne peut plus tolérer la violence à l'école et la criminalité parmi les jeunes. Pour rétablir et sauvegarder l'ordre et la sécurité publics, l'Etat doit avoir la possibilité d'expulser des jeunes malfaiteurs étrangers incorrigibles qui ont commis des crimes particulièrement graves. Grâce à son effet dissuasif, cet instrument accroît la sécurité pour tous.

 

Les femmes sont fréquemment la cible d'attaques verbales grossières, voire de violence brutale. Là encore, les malfaiteurs sont fréquemment des étrangers. Faut-il rappeler que la proportion d'étrangers parmi les personnes accusées de viol est de 62%? On peut illustrer ce propos par un viol particulièrement odieux commis il y a deux ans à Bienne. Des malfaiteurs originaires du Sri Lanka, qui étaient accompagnés de deux mineurs, avaient tiré une femme de 22 ans de sa voiture et l'avaient violée à plusieurs reprises dans une forêt. Il est évident que dans cette affaire la victime est la femme violée alors que les malfaiteurs étrangers ont commis un acte épouvantable qui justifie amplement une expulsion.

 

Les Femmes UDC réclament davantage de sécurité et exigent que les étrangers, qui ne respectent pas nos règles et commettent des crimes graves, soient systématiquement expulsés de Suisse. Pour cette raison, les Femmes UDC Suisse ont adopté à l'unanimité le mot d'ordre "OUI à l'initiative sur le renvoi".

Menus halal au sein du Conseil municipal de Rotterdam.

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Pays-Bas. Rotterdam. Leefbaar Rotterdam a reçu une réponse à sa demande écrite d’informations concernant le fait que des menus halal ont été placés sur les cartes de menu des repas pris par les conseillers municipaux de Rotterdam. Le Maire de Rotterdam Ahmed Aboutaleb (PvdA – Parti social-démocrate) a répondu que cela a été fait consciemment.

Apéritif genièvre et têtes de porc à Anvers.

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Belgique. Flandre. Ce 16 novembre 2010, le Vlaams Belang a organisé une action de protestation contre les pratiques barbares de l’abattage rituel sur la Damplein à Anvers. Pour Filip Dewinter, les étrangers doivent s’adapter à nous et pas l’inverse. Et si cela n’aboutit pas, il vaut mieux qu’ils retournent dans leur pays d’origine.

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Filip Dewinter prend la parole.

Svoboda obtient plus d'élus à Ivano-Frankivsk que le parti n'a présenté de candidats.

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Ukraine. La commission électorale de la ville d’Ivano-Frankivsk a nommé 59 des 60 membres du Conseil municipal. Svoboda, le parti nationaliste ukrainien, a gagné 35 des 60 sièges du Conseil municipal d’Ivano-Frankivsk lors des élections du 31 octobre 2010, soit 11 candidats concourant sur la liste du parti et 24 présents lors du scrutin uninominal par circonscription. La liste de Svoboda ne comptant que 10 membres, il en manque un.

Article du quotidien Le Temps consacré à Gianfranco Fini.

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Le quotidien suisse Le Temps publie un long article sur Gianfranco Fini :

 http://www.letemps.ch/Page/Uuid/639bfd08-f100-11df-b64f-e...

« Les finiens sortent du gouvernement, c’est la crise. »

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« Au Quirinal, premier pas pour gérer une crise déchirante » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) : « Deux événements symétriques donnent une idée de la façon dont les choses évoluent rapidement dans la politique italienne. Rome. Comme prévu, les finiens et le représentant du MPA sicilien quittent le gouvernement. La crise était déjà là. La voici encore plus explicite. Manque la solution – à moins de reconnaître les élections anticipées comme de plus en plus probables. En tout cas, l’atteinte portée au PdL est cinglante. Milan. Le PD de Bersani subit aussi un rude coup : G. Pisapia, candidat de Vendola, gagne les primaires municipales. Le PD paraît glisser vers la gauche, abandonnant un espace important au centre, situation idéale pour le ‘3ème pôle’ de Fini-Casini-Rutelli, sous réserve d’un autre mode de scrutin. A ce stade, deux choses sont sûres. D’abord, Bossi confirme sa loyauté envers Berlusconi mais réaffirme fièrement l’identité de la Ligue : ‘nous volons haut, Berlusconi préfère voler bas’ – signal déjà électoral dans le cadre d’une alliance concurrentielle. Ensuite l’aspect institutionnel. La convocation des présidents de la Chambre et du Sénat au Quirinal est le premier pas dans la gestion de la crise, que G. Napolitano craint de voir se muer en guerre de chacun contre tous. Priorité, on le sait, à la loi de stabilité financière. Mais les anti-Berlusconi craignent qu’au Sénat la majorité ne poursuive une tactique dilatoire pour gagner du temps. A l’arrière-plan, la question non réglée de savoir laquelle des deux chambres votera en premier la confiance ou la défiance. Terrain sur lequel pas même le Quirinal ne peut s’aventurer, sinon pour conseiller le bon sens. Mais il n’y pas de règle stricte et on doute que Berlusconi, avant de passer sous les fourches caudines de la Chambre, renonce à un succès au Sénat, s’il en a la possibilité. »

 

« Une crise quasi ouverte avec avant-goût amer de campagne électorale » (Massimo Franco, Corriere della Sera) : « L’accusation de ‘trahison’ à l’encontre de Fini a comme un avant-goût de campagne électorale. Et certains propos venimeux autour de son audience d’aujourd’hui au Quirinal suggèrent ce qui pourra venir ensuite. Les démissions du ministre et des 4 secrétaires d’Etat FLI ont causé, quoique annoncées, un vif émoi au PdL. Et la menace, chez certains finiens, de s’allier à la gauche pour éviter les élections ont encore attisé la polémique – un tir de barrage verbal pour écarter tout moyen terme entre le gouvernement et les urnes. Face à une alternative, aussi fragile soit-elle, G. Napolitano pourrait ne pas exclure un report de la dissolution des chambres. Mais ce scénario est prématuré et improbable, nul ne sachant la date exacte de la crise gouvernementale. On sait juste qu’elle devrait s’ouvrir après l’adoption de la loi de stabilité. Napolitano a convoqué Fini et Schifani pour éviter que les choses ne se précipitent inopinément. Bossi redit son soutien à Berlusconi, tout en se montrant plus prudent que lui sur d’éventuelles élections anticipées. Prudence justifiée par les erreurs du PdL envers la minorité finienne, sous-estimée, puis diabolisée, puis attaquée dans l’espoir de la diviser. Mais la guerre Berlusconi-Fini, qui n’a fait qu’envenimer la situation, continue – ‘Il ne sait pas ce qui l’attend si on vote, il n’aura pas un bon score’ aurait dit Berlusconi. Les finiens se défendent : ‘Nous ne sommes pas des traîtres, nous proposons un autre centre droit’ – position que contredit néanmoins l’hypothèse d’une coalition ‘d’urgence’ avec le PD. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Ataka vote le budget.

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Le Parlement bulgare a adopté en première lecture, jeudi 11 novembre 2010, le budget 2011, qui prévoit une croissance de 3,6% et un déficit public de 2,5% du Produit intérieur brut (PIB). Outre le parti de centre-droit qui gouverne le pays (GERB), seul le parti nationaliste ATAKA a voté en faveur de ce budget. Les autres partis politiques ont soit voté contre, soit se sont abstenus.

Oskar Freysinger prendra la parole pour la première fois en France.

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Le 18 décembre 2010, Oskar Freysinger, artisan de la votation citoyenne contre les minarets en Suisse, prendra la parole pour la première fois en France.

 

Infos :

http://www.bloc-identitaire.com/actualite/1592/samedi-18-...

Représentants de partis européens à Villepreux.

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Le forum  organisé par  Thibault de la Tocnaye en tant qu’adjoint de Bruno Gollnisch aux Relations internationales a pu réunir lors de la fête patriotique organisée à Villepreux, dans la région parisienne, des soutiens européens de Bruno Gollnisch, notamment  les députés européens Andréas Mölzer (FPÖ - Autriche) et Belà Kovacs (Jobbik - Hongrie), ainsi que Duarté Branquinho (PNR – Portugal) qui est un lecteur de ce site Internet et que nous saluons.

15/11/2010

Le FPÖ donné deuxième parti d'Autriche dans un sondage.

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Si des élections avaient lieu dimanche prochain, pour qui voteriez-vous?

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La colonne de gauche représente les résultats du sondage actuel. Celle de droite représente le sondage du mois d’août 2010. Le FPÖ + le BZÖ obtiennent ensemble 32% des voix.

Johann Tschürtz est réélu président du Burgenland en présence de HC Strache.

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Autriche. Burgenland. Johann Tschürtz a été réélu au poste de président du FPÖ du Burgenland en présence du Président national du parti HC Strache. Ilse Benkö, Norbert Hofer et Gerhard Kovasits sont les vice-présidents du FPÖ du Burgenland.

 

En 2011, le FPÖ du Burgenland se concentrera sur le développement de son organisation interne. Le Burgenland comptant peu de zones urbaines, le parti doit disposer d’une perfecte organisation afin de pouvoir atteindre les 15 à 20% des voix.

 

HC Strache a déclaré que le FPÖ a pour objectif de devenir le premier parti d’Autriche. Les trois principales formations politiques (SPÖ, ÖVP, FPÖ) sont plus au moins au même niveau. Le FPÖ vise le poste de chancelier. Le FPÖ veut continuer à se profiler en tant que parti de la famille et de l’économie.

 

HC Strache dénonce le fait que le gouvernement n’a pas beaucoup entrepris afin de prolonger le délai qui empêche les ressortissants des pays de l’Est de l’Union européenne de travailler en Autriche. Si HC Strache était chancelier, ce délai, qui prend fin le 1 mai 2011, serait prolongé.

Christoph Blocher devient conseiller auprès du Basler Zeitung.

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Suisse. Christoph Blocher, l’homme fort de l’UDC, devient conseiller auprès de "Basler Zeitung Medien" (BZM - Journal de Bâle). Son mandat concerne "le cap organisationnel et stratégique". Il ne peut s’impliquer dans les choix philosophiques de l’organe de presse. L’objectif est d' amener les finances du quotidien vers les bénéfices.

Pauline Hanson renonce à immigrer au Royaume-Uni.

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Australie. Pauline Hanson, qui a dirigé durant plusieurs années le parti One Nation qui s’opposait à l’immigration en provenance d’Asie, a renoncé à immigrer vers le Royaume-Uni. Raison : « c’est rempli d’immigrants et réfugiés ». Elle a déclaré que la France est dans la même situation que le Royaume-Uni. En février 2010, Pauline Hanson avait décidé d’immigrer en Europe, mais après un voyage de dix semaines sur ce continent, elle a conclu que le vie en Australie n’est pas si mal.

 

(Article qui annonce qu’elle jette l’éponge en février 2000 :

 http://www.voxnr.com/cc/etranger/EkZppkZkZpNlZrzyWL.shtml).

 

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Pauline Hanson

Markus Beisicht est confirmé en tant que président de pro Köln.

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Allemagne. Cologne. Ce dimanche 14 novembre 2010, 100 membres de pro Köln (Pour Cologne) se sont réunis afin d’écouter la représentante du Vlaams Belang (Flandre-Belgique) Hilde De Lobel tenir un discours à l’encontre de l’islamisation de la société. 

L’élection des instances dirigeantes du parti a ensuite eu lieu. Markus Beisicht est confirmé en tant que président de pro Köln, Judith Wolter et Markus Wiener en tant que vice-présidents. Karel Schiele est le nouveau comptable et Bernd M. Schöppe le secrétaire. L’élection des autres membres de la direction s'est déroulée ensuite. 13 personnes étaient candidates et 7 places étaient disponibles. Sont élus lors du premier tour ceux qui obtiennent au moins 50% des voix: Jörg Uckermann, Regina Wilden, Ellen Sänger, Waldemar Staudenherz. Un deuxième tour a eu lieu : Jana Schiele, Manfred Rouhs et Klaus Arlt ont été élus. 

 

L’objectif de la direction de pro Köln est de préparer les élections municipales de 2014, ainsi que la « Marche pour la Liberté » du 7 mai 2011.

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Markus Beisicht réélu président de pro Köln.

La sortie du berlusconisme – même sans Berlusconi – s’annonce longue et difficile.

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«Sondage ISPO-Corriere – PdL et PD perdent des points, Ligue et Fini : bon score » (Renato Mannheimer, Corriere de samedi) : « Perte de vitesse pour le PdL et pour le PD, la Ligue tient son rang, les ‘futuristes’ de FLI sont à 8%, un bon score et l’axe Berlusconi-Bossi tient la majorité : voici quel serait le paysage électoral si on votait aujourd’hui. La majorité des Italiens désire désormais des élections anticipées, mais avec un autre mode de scrutin. 32% seulement des Italiens proposent que Berlusconi continue de gouverner. Une majorité relative (45%) demande un retour immédiat aux urnes. C’est le cas d’une large part de la base du PD (59% – mais 33% préfèrent un gouvernement technique, prudence que partagent les dirigeants du PD) et de celle de FLI (54% pour les élections, 30% pour un gouvernement technique). Au contraire, pour près de 90% des électeurs PdL et Ligue, le gouvernement actuel doit rester en place. Nul ne peut savoir quelle serait l’issue de nouvelles élections car beaucoup dépend de la campagne – un domaine où Berlusconi est maître, faut-il le rappeler ? Mais les sondages fournissent quelques indications importantes sur l’état actuel des intentions de vote. L’écart PdL-PD paraît se resserrer mais le parti de Bersani semble pouvoir compter sur un électorat potentiel plus important (42% contre 31% pour le PdL), bien qu’encore indécis. Face à la baisse du PdL, on voit remonter FLI à 8% (voire 9% selon certains sondeurs). Les indices recueillis révèlent la persistance d’une majorité PdL-Ligue, suivie de près néanmoins par un ensemble PD-IdV-SeL. Et l’existence d’un 3e pole centriste se confirme. Un cadre qui, à mode de scrutin constant, verrait sans doute le centre-droit gagner à la Chambre mais une situation plus confuse au Sénat – et un pays peu gouvernable. » 

« L’effet ‘ciment’ du Cavaliere est terminé » (Ilvo Diamanti, La Repubblica) : « Derrière le déclin de Berlusconi, on aperçoit une majorité en pièces et un pays qui s’effrite, sans plus de ciment ni de cadre. Car Berlusconi était, et reste, le seul ciment et le seul cadre pour son parti, pour sa majorité et pour la base sociale qui, des années durant, s’est identifiée à lui et à sa majorité, désormais mises en pièces par sa rupture avec Fini qui n’a jamais accepté l’annexion d’AN. La naissance de FLI a fait du PdL un ex-parti. La majorité n’existe plus et ne tient que grâce à la Ligue. Le PdL aussi est en pièces, divisé de l’intérieur, où Tremonti est désormais vu comme le vrai président du Conseil et la référence d’une éventuelle majorité alternative. Mais le PdL est aussi divisé à la base : au Nord, il est supplanté par la Ligue. Au Sud, il est rattrapé par FLI. Berlusconi n’est pas seulement le leader du PdL et de l’actuelle majorité centre-droit, il en est l’inventeur, le seul ciment : sans lui, le projet s’effondre. Le mythe de l’Italien en mesure de réagir à tout, de s’arranger de tout et aimant vivre, dont il a tant joué, est usé. Aujourd’hui, beaucoup d’Italiens cherchent moins à vivre qu’à survivre, à la crise ou à la précarité, pour les jeunes, dans un cadre qui se dégrade. Les tensions territoriales vont croissant entre le Nord, Rome et le Sud, tandis que l’on fête les 150 ans de l’Unité. Berlusconi ne réussit plus à donner des réponses d’unité, non seulement pour des raisons conjoncturelles mais aussi parce que la structure sociale et le système de valeurs qu’il a construits et interprétés durant plus de 15 ans sont en crise. Problème : les alternatives, sociales et politiques, peinent à émerger. Et nous nous retrouvons dans un pays autre et divisé, plein d’individus isolés et vulnérables. La sortie du berlusconisme – même sans Berlusconi – s’annonce longue et difficile. »

 

« Jusqu’à quel point le président du Conseil réussira-t-il à résister ? » (Marcello Sorgi, La Stampa de samedi) : « Du jamais vu : deux motions, symétriques et opposées, devraient être présentées au Parlement. D’un côté une motion de confiance au Sénat voulue par le PdL, de l’autre une motion de défiance présentée par le PD et l’IdV à la Chambre. Théoriquement, le gouvernement pourrait obtenir la confiance au Sénat grâce aux voix PdL-Ligue – même sans les finiens – avant d’être mis en minorité à la Chambre par le vote ‘contre’ d’une nouvelle majorité FLI-UdC-PD-IdV (qui a déjà battu le gouvernement, comme pour le traité sur la Libye et la motion sur l’immigration). En temps normal, les présidents des deux chambres du Parlement se coordonneraient pour éviter une situation aussi embarrassante, mais c’est fort improbable car le président de la Chambre est en même temps le chef du parti qui veut le plus la démission du Cavaliere. Même si on n’arrivera pas tout de suite à ces deux votes (Bersani ayant assuré vouloir attendre l’adoption du budget), Berlusconi pourrait accélérer au Sénat, où il est sûr d’avoir la majorité, pour pouvoir ensuite influencer le vote final à la Chambre, car un vote contre vaudrait automatiquement fin de la législature, ce qui pourrait amener les députés à se raviser. Mais même si Berlusconi obtenait la majorité à la Chambre, quel genre de gouvernement et de majorité en sortirait-il et surtout jusqu’à quand pourraient-ils durer ? »

 

« Le Cavaliere tente un sursaut » (Marcello Sorgi, La Stampa) : « Hormis l’idée de ne dissoudre que la Chambre en cas de défiance, Berlusconi veut montrer clairement qu’il n’a nulle intention de démissionner et qu’il se battra de toutes ses forces pour rester à son poste ou y revenir grâce à la colère populaire. L’idée de lâcher prise ne l’effleure pas. Il ne se laisse impressionner ni par la campagne des finiens, dont les rangs s’étoffent, ni par la nouvelle enquête sur de la prostitution, voire de la drogue, dans ses résidences. On dira sans doute que l’homme est aveuglé, qu’il ne se rend pas compte, qu’il devra finir par céder quand le Parlement, tôt ou tard, le fera tomber. Possible, mais pas sûr. Le Cavaliere a encore quelques cartes à jouer : il sait qu’il gagnera au Sénat et qu’il pourrait s’en sortir aussi à la Chambre, malgré les pronostics. Berlusconi fera du porte à porte, comme il l’a fait il y a 1 mois ½ pour le programme en 5 points, car maintenant chacun sait que voter contre le président du Conseil pourrait signifier ne plus être élu à la prochaine législature. Même en cas de défaite, le Cavaliere est convaincu que cela se traduira par sa résurrection, neutralisant le projet finien. Si ses proches ont du mal à lui faire comprendre que cela ne peut pas tenir lieu de stratégie, les colombes du PdL, elles, n’ont plus prise sur lui. Le Cavaliere est contre un gouvernement Berlusconi-bis (un piège, selon lui), contre un gouvernement de centre droit dont il ne serait pas le chef, contre le gouvernement technique allant de Vendola à Fini dont tout le monde parle. Sa conviction : pour arriver aux élections, il suffit de ne pas bouger. Et son pari c’est qu’au bout du compte l’agitation confuse de ses adversaires, au Parlement et dans les médias, jouera en sa faveur auprès des électeurs. Bien sûr, il peut se tromper, mais s’il devait encore avoir raison, soyons certains qu’il y aura des surprises et qu’on en verra de toutes les couleurs. »

 

« La décision qui appartient au Quirinal » (Marzio Breda, Corriere) : « Napolitano s’est contenté, comme il l’a fait tout l’été, de rappeler les termes de la Constitution, en particulier l’article 88 qui établit qu’en cas de chute du gouvernement, le ‘président de la République peut, en accord avec leurs présidents, dissoudre les chambres, ou seulement l’une d’entre elles’. Telle est la réponse du Quirinal à ceux qui demandent une réaction sur le développement de la crise et l’ultimatum lancé par Berlusconi. ‘Toute décision relative à cet article relève de la compétence exclusive du chef de l’Etat, qui entend l’exercer avec toute la rigueur nécessaire.’ Les hypothèses péremptoires du président du Conseil concernant ce qui suivra le vote de confiance à Montecitorio sont donc inappropriées : après avoir pris acte de la crise, c’est le Quirinal qui doit mener le jeu. La proposition faite hier par le Cavaliere de ne dissoudre que la Chambre est surréaliste : l’article 88, qui prévoit la possibilité de ne dissoudre que l’une des deux chambres, avait été conçu pour équilibrer la durée de vie de la Chambre et du Sénat, respectivement de 5 et 6 ans à l’origine. Cette soupape de sécurité technique a donc été rendue caduque par le nouveau mode de scrutin. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome.)

14/11/2010

Vienne. Réaction de HC Strache à la coalition rouge-verte au sein du Land de Vienne.

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Autriche. Vienne. La ville et le Land de Vienne vont être gouvernés par une coalition entre les sociaux-démocrates et les écologistes. Le président du FPÖ, HC Strache, a déclaré ce vendredi 12 novembre 2010 : « Je dis seulement « Bonne nuit, Vienne » lors de ce projet rouge-vert. » et annoncé l’organisation d’un journée d’action du FPÖ afin d’informer la population.

 

Selon Heinz-Christian Strache, la vice-maire écologiste de Vienne, Maria Vassilakou, qui a dans ses compétences l’organisation des transports va chercher des problèmes aux automobilistes.

Des députés européens de l'UKIP ont commémoré le 11 novembre à Bruxelles.

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Belgique. Des députés européens de l’UKIP (Royaume-Uni) ont joint leurs forces à la cérémonie devant le monument dédié à l’Armée secrète, place Frère Orban à Bruxelles. Ce monument commémore les morts de la Résistance durant la Seconde guerre mondiale.

Les Démocrates suédois poursuivent leur progression dans les sondages.

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Les Démocrates suédois sont donnés à 6,9% dans un sondage alors qu'ils ont obtenu 5,7% lors des élections législatives du 19 septembre 2010.

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(Source : http://www.svd.se/nyheter/inrikes/s-backar-i-ny-sifo_5668...).

Spot électoral de Plateforme pour la Catalogne.

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Josep Anglada, le dirigeant de Plateforme pour la Catalogne (PxC), poursuit sa campagne en vue des élections pour le Parlement de Catalogne. Il a subi des attaques diverses : insultes, menaces de mort, agression physique, attaques au sein de la presse.

Voici le clip de campagne électoral de son parti :