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01/12/2010

Berlusconi et Bossi en sont sûrs : il n’y aura pas de censure.

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« Berlusconi et Bossi en sont sûrs : il n’y aura pas de censure » (Paola Di Caro, Corriere della Sera) : « ‘Si on votait demain sur la motion de censure, FLI voterait contre Berlusconi, sans hésitations’, tel sont les mots tranchants de Fini à ses hommes pour expliquer qu’à ce jour il n’y a aucun motif de ne pas présenter avec l’UdC de Casini une motion de censure contre le gouvernement d’ici au fatidique 14 décembre. Aucune ouverture n’est venue du gouvernement au sujet d’un nouveau programme face à la crise ni surtout d’une réforme du mode de scrutin avec prime de majorité au-delà des 45%. Fini rassure : ‘si Berlusconi était battu, vous verriez qu’un nouveau gouvernement se formerait quand même’. Hier, les voix finiennes ont été essentielles à l’adoption de la réforme de l’université, mais FLI l’a dit clairement : ‘le gouvernement n’a plus notre soutien, nous demandons un nouvel exécutif avec un programme restreint et une majorité élargie afin de gagner en crédibilité’. Pourtant la ligne dure de Fini se heurte à certaines réticences des ‘colombes’ de FLI, qui ne voient dans la censure qu’un ultime recours et misent sur les tentatives de médiation de Letta. Berlusconi, loin de céder, continue d’affirmer qu’il aura assez de voix et que certains finiens feront défection le 14 décembre. Selon des proches du Cavaliere, le seul accord possible serait le soutien de l’UdC sans les voix de FLI : le gouvernement passerait Noël puis, si rien n’évoluait, fort du soutien des deux Chambres, Berlusconi irait au Quirinal présenter sa démission. Le 14 n’est plus si loin mais Fini peut encore convaincre les indécis de rester fidèles à FLI (en montrant de la bonne volonté envers le PdL) et Berlusconi retourner les sceptiques pour arriver au seuil de 316, qui ne règlerait pas tout mais permettrait, comme dit Bossi, de ‘tenter d’avancer’. » 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

L'hebdomadaire Minute consacre sa "une" à la votation suisse sur le renvoi.

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Trots op Nederland obtient un conseiller municipal à Oss.

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Pays-Bas. Le mercredi 24 novembre 2010, des élections partielles ont eu lieu au sein d’une vingtaine de municipalités des Pays-Bas. Trots op Nederland a pris part au scrutin au sein de trois municipalités et a obtenu un élu à Oss.

Au total, Trots op Nederland est représenté au sein de 39 municipalités et dispose de 60 conseillers municipaux. Á Den Helder, Trots op Nederland participe à la coalition qui gère la ville et dispose d’un adjoint au maire (pour les lecteurs français) / d’un échevin (pour les lecteurs belges).

Municipalités qui disposent de conseillers municipaux de Trots op Nederland :

Alkmaar 2

Almelo 1

Almere 1

Alphen aan den Rijn 1

Amersfoort 1

Amsterdam 1

Arnhem 1

Breda 1

Brunssum 1

Capelle aan den Ijssel 1

Den Bosch 2

Den Helder 5

Deventer 1

Eindhoven 1

Gouda 3

Grave 1

Haarlem 1

Haarlemmermeer 2

Heerhugowaard 1

Heerlen 1

Helmond 2

Landgraaf 1

Lelystad 2

Maastricht 2

Nieuwegein 1

Nuth 1

Oss 1

Purmerend 3

Schiedam 2

Sittard-Geleen 1

Spijkenisse 2

Teylingen 1

Tilburg 3

Utrecht 1

Vlaardingen 2

Leidschendam-Voorburg 1

Zaanstad 2

Zoetermeer 1

Zuidplas 2

Le frère de Pim Fortuyn devient trésorier de Leefbaar Rotterdam.

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Pays-Bas. Rotterdam. Le dimanche 28 novembre 2010, Leefbaar Rotterdam s’est choisi, en présence de nombreux membres, une nouvelle direction. Dick van Sluis devient président, Marchel van Gent secrétaire et Simon Fortuyn, le frère de Pim Fortuyn, trésorier du parti. 

Suisse : la liberté d'opinion et de réunion est en péril.

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L’UDC, premier parti de Suisse, publie un communiqué à propos des attaques dont elle est victime :  

L'UDC est profondément inquiète devant certains développements de ces dernières semaines. La liberté d'opinion et de réunion est systématiquement menacée et violée par des casseurs gauchistes alors que les autorités font preuve d'une passivité coupable devant ces agissements. La tenue du congrès de programme de l'UDC à Lausanne a été empêchée et les locaux de travail de l'UDC ont été envahis. Le but de ces actions est évidemment d'empêcher l'UDC de faire son travail politique. L'UDC n'accepte pas cette violation de la liberté d'opinion et de réunion, deux droits fondamentaux centraux de la démocratie. Elle lance un appel aux autorités de tous les niveaux afin qu'elles s'opposent elles aussi à ces agissements antidémocratiques. L'UDC demande l'ouverture d'un débat urgent sur ce thème durant la session d'hiver en cours. Une intervention parlementaire dans ce sens a été déposée.  

La liberté d'opinion et de réunion a été violée, voire foulée au pied, à plusieurs reprises en Suisse durant les semaines passées. L'UDC ne pourra tenir son congrès de programme du 4 décembre 2010 ni dans la grande salle de Beaulieu, ni à l'Université de Lausanne, donc à l'endroit même où le Parti socialiste suisse a pu tenir sans être dérangée son congrès il y a un mois. Après avoir reçu quelques menaces et protestations, l'Université de Lausanne, une institution largement financée par les contribuables, a décommandé l'UDC. Les autorités cantonales approuvent cette attitude. Faute d'un local pouvant l'accueillir, l'UDC a donc été contrainte de tenir son assemblée de samedi prochain en plein air dans un champ près de Gland/VD.  

Avant et après la votation du 28 novembre 2010 des assemblées et des locaux de travail de l'UDC ont été attaqués violemment. Le secrétariat de l'UDC du canton de Vaud à Lausanne a été occupé par des casseurs. Le secrétariat de l'UDC Suisse a également été attaqué et a subi des dégâts importants, tout comme le lieu de rencontre fixée par l'UDC pour le dimanche des votations. Il y a eu de surcroît plusieurs actes de vandalisme et agressions ces derniers jours contre des secrétariats cantonaux et des stands tenus par l'UDC dans la rue. Le but de ces exactions est manifestement d'empêcher l'UDC de faire son travail politique.  

La passivité des autorités 

Ces attaques systématiques d'ennemis de la démocratie contre le plus grand parti politique de Suisse sont sans exemple dans l'histoire de ce pays. Elles doivent être sévèrement condamnées. Le plus inquiétant, cependant, est de constater la passivité des autorités qui sont incapables ou qui n'ont pas la volonté de protéger la liberté d'opinion et de réunion. Par leur attitude, elles tolèrent des menées extrémistes. Parallèlement, il est possible sans problème de garantir moyennant un important dispositif de sécurité des conférences internationales comme le Sommet de la Francophonie dans le canton de Vaud ou des visites de chefs d'Etat représentant un important risque de sécurité.

 Les droits fondamentaux de la démocratie sont en péril 

La liberté d'opinion et de réunion sont des droits fondamentaux démocratiques qui permettent aux citoyennes et aux citoyens de se forger librement une opinion pour ensuite l'exprimer tout aussi librement. Ces droits de la liberté ont toujours servi dans l'histoire à protéger les citoyens contre les excès du pouvoir de l'Etat. Aujourd'hui nous nous retrouvons dans une situation où certes l'Etat n'invalide pas officiellement ces libertés constitutionnelles, mais où il refuse de les garantir pour une partie de la société: quand des casseurs peuvent décider qui peut se réunir, quand comment et où, la Suisse tombe au niveau de systèmes totalitaires dans lesquels l'Etat se fait complice de mouvements violents réprimant systématiquement l'opinion non conforme d'un parti démocratique. 

Combattre les forces hostiles à la démocratie 

L'UDC ne se laisse pas museler par des casseurs et des autorités complaisantes à l'égard de ceux-ci. Elle attend cependant de toutes les forces politiques de ce pays qui s'engagent pour la démocratie à s'opposer à ce dangereux développement. Les autorités de tous les niveaux de l'Etat sont appelées à garantir et à protéger la liberté d'opinion et de réunion.

L'UDC veut limiter le nombre d'étudiants étrangers en Suisse.

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L’UDC Suisse veut limiter l’afflux d’étudiants étrangers en Suisse. Ce nombre a doublé entre 2000 et  2009.