Silvio Berlusconi sauve son gouvernement.

Silivio Berlusconi obtient la confiance à la Chambre. Deux députés finiens votent pour lui. Voir l'article et la vidéo de France24 :

http://www.france24.com/fr/20101214-italie-gouvernement-s...

Qui est Oskar Freysinger ?

Le Bloc identitaire publie un article sur Oskar Freysinger, qui sera à Paris le 18 décembre 2010 :

http://www.bloc-identitaire.com/actualite/1642/assises-co...

Affaire des partisans d’Ataka refoulés de Serbie (suite 4) : une manifestation de sympathie devant l’Ambassade de Bulgarie.

Hongrie. Une cinquantaine de supporters du HVIM, dont des élus du Jobbik, et membres de la communauté bulgare de Hongrie ont tenu une manifestation de sympathie devant l’Ambassade de Bulgarie à Budapest afin d’exprimer leur support aux organisations nationalistes bulgares qui ont été empêchées par les autorités serbes de commémorer en Serbie la perte de territoires bulgares au profit de la Serbie au lendemain de la Première guerre mondiale.

 Manifestation devant l'Ambassade de Bulgarie en Hongrie.

Patrik Brinkmann : « La vraie droite a maintenant une chance historique ».

 

     

Le site Internet en allemand freiheitlich.org a eu un entretien avec Patrik Brinkmann à propos de Berlin et du futur des partis patriotiques en A1lemagne.  

freiheitlich.org dit à Patrik Brinkmann : « La Frankfurter Allgemein Zeitung écrit qu’il y a enfin une droite allemande non-opposée à Israël. Vous devez vous en réjouir. Pour votre option contre l’antisémitisme, vous avez reçu beaucoup de critiques. » Patrik Brinkmann répond que la vraie droite a enfin compris qu’elle est plus liée à Israël qu’à l’islam.  La seule manière de construire une relation de confiance avec le peuple allemand est d’avoir une droite sans antisémitisme. Les temps sont mûrs pour une percée en Allemagne.  

Selon Patrik Brinkmann, le voyage en Israël a prouvé que le point commun entre les partis patriotiques a pu être trouvé : la défense de l’Occident. Le mouvement pro (pro NRW, pro Köln, pro Berlin, pro Deutschland, ...), die Freiheit, le FPÖ, le Vlaams Belang ont été impliqués dans ce voyage. 

Patrik Brinkmann est favorable à un rapprochement en Allemagne du mouvement pro, des Republikaner et de die Freiheit. Il ne sait pas si la situation est mûre pour un tel rapprochement. Il pense que pour les élections pour le Parlement du Land de Berlin en 2011, le laps de temps est trop court.  

Patrik Brinkmann parle ensuite de ce qui s’est passé à Berlin. Il n’est pas arrivé à se mettre d’accord avec Manfred Rouhs. Il est cependant prêt à s’engager à Berlin avec lui et avec René Stadtkewitz, le dirigeant de die Freiheit. 

Patrik Brinkmann a fait traduire en allemand le livre Inch'Allah de Filip Dewinter et le diffuse sur le marché allemand. Il participe activement à l’organisation de la « Marche de la Liberté » organisée à l’initiative de pro NRW le 7 mai 2011 à Cologne (Köln). 

En 2011, Patrik Brinkmann tiendra des séances de lecture avec Filip Dewinter à propos du livre Inch'Allah. Il veut également essayer de rassembler, au moins une fois, lors d’une réunion, les différents représentants de formations patriotiques allemandes. L’objectif n’est pas seulement de rassembler l’électorat nationaliste, mais de pénétrer profondément au sein de l’électorat de la CDU et du SPD.

http://www.freiheitlich.org/2010/12/14/patrik-brinkmann-„die-echte-rechte-hat-jetzt-eine-historische-chance“/ 

 Filip Dewinter et Patrik Brinkmann présentent la traduction en allemand du livre Inch'Allah.

 Heinz-Christian Strache, Filip Dewinter et René Stadtkewitz à Jérusalem.

Voyage de représentants de partis patriotiques en Israël : Robert Spieler en parle dans le prochain numéro de Rivarol.



Communiqué transmis par Robert Spieler, rédacteur à Rivarol :  

Pèlerinage en Israël de mouvements nationalistes européens : quel intérêt ?  

Il n’est pas dans nos habitudes de nous immiscer dans les stratégies de mouvements européens avec lesquels nous entretenons d’excellentes relations.  

Filip Dewinter, leader du Vlaams Belang, Heinz-Christian Strache, Président du FPÖ autrichien, et des représentants allemands et suédois se sont rendus récemment en délégation en Israël, suscitant pour le moins quelques interrogations. Reçus à la Knesset, déposant une gerbe au Mur des Lamentations, se rendant à la frontière séparant l’Etat hébreu des territoires palestiniens, visitant une escadrille de chasse, ils exprimèrent leur soutien à Israël, « avant-garde de l’Occident dans la lutte contre l’islamisation ». De fait, ils furent reçus par des partisans du Grand Israël, dont le rabbin Nissim Zeev, député du mouvement extrémiste Shas, perçus par leurs adversaires comme étant l’« extrême droite raciste ».  

Leurs motivations procèdent de l’espoir qu’un tel pèlerinage pourrait leur donner, dans leurs pays respectifs, une sorte de respectabilité et neutraliserait des médias et des lobbys très hostiles.  

Cela nous paraît être une pure chimère.  

Dans le prochain numéro de Rivarol [du 17 décembre 2010], j’analyse dans un long article les raisons de ce pèlerinage, dévoile qui est à l’origine de cette démarche et décris l’environnement des mouvements concernés, notamment en Allemagne, où le terrorisme intellectuel est particulièrement contraignant.  

Quel intérêt les Européens ont-ils à se mêler des affaires du Proche-Orient ? Les Palestiniens, les Iraniens et même les Talibans ne portent aucune responsabilité dans l’invasion que subissent la France et l’Europe. On a pourtant pu entendre un des membres de la délégation déclarer : « Israël est le poste avancé de l’Ouest libre, nous devons unir nos forces et combattre ensemble l’islamisme ici (en Israël) et chez nous (en Europe) ». Il se trompe.  

C’est ici, sur notre terre d’Europe, et non en Israël, que nous devons mener la nécessaire Reconquista en rassemblant toutes les forces de la Résistance nationale et européenne ! De plus, nos soldats n’ont pas vocation à mourir, ni pour Washington, ni pour Tel Aviv. Et puis, n’oublions pas la responsabilité écrasante de lobbys qui, tout en défendant sans restriction Israël, ont toujours soutenu et encouragé l’immigration musulmane en France et en Europe.

Plateforme pour la Catalogne espère prendre des mairies en 2011.

Espagne. Catalogne. Le dirigeant de Plateforme pour la Catalogne, Josep Anglada, a annoncé que son parti sera présent au sein de plus de cent municipalités lors des élections municipales de mai 2011 - contre 32 en 2007. Plateforme pour la Catalogne a pour objectif de prendre le contrôle de municipalités telles que Vic, El Vendrell et Sant Martí de Riucorb.

Le président du MCG soutient la Savoie libre.

Éric Stauffer, le président du Mouvement des Citoyens Genevois, est allé en Savoie. Il a déclaré : « début 2011, nous déposerons un texte parlementaire pour que le gouvernement genevois reconnaisse les textes en vigueur qui ne sont pas appliqués, et par ce biais l’indépendance de la Savoie. »

Voir l'article : http://www.ledauphine.com/savoie/2010/12/12/les-savoisien...

Le Jobbik suspend un de ses députés.

Hongrie. Le Comité exécutif du Jobbik a suspendu Lajos Pősze de son appartenance et mandat au sein du groupe parlementaire. Il y a quelques mois, Lajos Pősze avait été suspendu de sa fonction de dirigeant du groupe parlementaire des élus du Jobbik au sein du Parlement de Hongrie. Ses relations avec les autres députés du Jobbik et avec le Président du parti Gábor Vona se sont fortement détériorées. La pierre d’achoppement sont les relations du Jobbik avec la mouvance « dure » du courant national, Lajos Pősze étant opposé à ces relations. Il siégera en tant que député indépendant. 

BNP : vers plus de démocratie interne.

Royaume-Uni. La Conférence annuelle du British National Party (BNP) a adopté une proposition de réforme des statuts du parti qui permet la création d’un Comité national exécutif indirectement élu pour remplacer le Comité consultatif afin que la hiérarchie du parti devienne représentative de la base active. Le leader du parti sera toujours élu directement par les membres. Le Comité national exécutif aura un pouvoir réel de contrôle sur la gestion du parti. Une procédure de révocation sera introduite, y compris pour le leader du parti. Les modalités d’élection du président du BNP seront également revues. La durée de son mandat sera fixée à quatre années. Ces propositions de réforme des statuts devront être ratifiées par l’assemblée générale.

Italie : la censure suspendue à sept voix.

« L’offre du Cavaliere aux colombes » (Francesco Bei, La Repubblica) : « Les murs sont consolidés pour repousser l’assaut final des futuristes et, au fond, le Cavaliere commence à y croire : ‘nous aurons un bon résultat à la Chambre. L’entretien télévisé de Fini est un autre indice de faiblesse’. On refait sans cesse les comptes et l’écart en faveur de Berlusconi serait de trois voix – ‘si nous obtenons la confiance à la Chambre’, prévoit-il, ‘ce sera un coup fatal pour FLI et Fini devra démissionner’. Il prépare le discours ‘noble et haut’ qu’il tiendra ce matin au Sénat, aussi fait pour attirer à lui l’UdC. En privé, il émet sur Fini des jugements très négatifs – ‘il veut juste me détruire, la politique n’a plus rien à y voir’. Berlusconi sait bien qu’à la Chambre va se jouer non seulement son poste au palais Chigi mais aussi son avenir politique. Il est sûr d’être irremplaçable. La tension est forte dans son camp mais elle n’est pas moindre chez ses adversaires : I. Bocchino a tenté, jusque tard dans la nuit, de rassembler ses troupes, assurant notamment à Moffa qu’il pourra agir à son gré au sein de FLI, malgré la lettre-appel signée avec les parlementaires du PdL. G. Fini ne bouge pas. Son message sera : ‘si on gagne, ou on peut former un autre gouvernement dans le périmètre du centre droit, ou on retourne voter’. L’hypothèse d’un nouveau gouvernement conduit par Tremonti vient de là : Fini pense qu’offrir cela à Bossi pour mener à bien le fédéralisme pourrait lui être bénéfique et éviter de nouvelles élections. Berlusconi espère pouvoir rattraper Casini, Fini espère pouvoir détacher Bossi du Cavaliere. La dernière partie de la législature est suspendue à ces deux paris. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Articles de la presse du système sur les partis nationalistes en Europe.

La presse du système consacre divers articles aux partis nationalistes en Europe. Les analyses - ainsi que le vocabulaire utilisé - sont celles de la presse du système.

 

Articles du Nouvel Obs :

 

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/politique/20101212.OBS4592/les-extremes-droites-europeennes-en-mutation.html

 

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/politique/20101213.OBS4622/extremes-droites-pas-une-dynamique-irresistible-mais-une-lente-impregnation-ideologique.html

 

Article du JDD :

 

http://www.lejdd.fr/International/Europe/Actualite/Extreme-droite-Une-percee-a-l-echelle-de-l-Europe-242055/?sitemapnews

La Garde hongroise a un nouveau dirigeant.

Hongrie. Tamás Juhász est devenu le leader de la Garde hongroise. Il a reçu l’appui de Gábor Vona, le président du Jobbik.

Affiches MCG (suite) : le président du MCG a été auditionné par la justice.

 

Suisse. Genève. Éric Stauffer, le président du MCG, n’a répondu à aucune des questions qui lui ont été posées par la justice. Il a seulement décliné son nom et domicile. Son avocat est Soli Pardo. Le MCG considère l’article 296 du Code pénal sur l’outrage à État étranger comme une atteinte grave à la liberté d’expression : il empêche toute critique, même vraie, et octroie aux chefs d’États étrangers un privilège dont ne jouissent même pas les ministres suisses. Une pétition pour l’abrogation de cet article est déposée aux chambres fédérales. Elle porte les signatures d’une dizaine d’élus proches du MCG. 

 Éric Stauffer

RechtsActueel est un site d'information nationaliste flamand.

Dans le cadre du développement d’un réseau patriotique d’information  en Europe, nous allons vous présenter différents sites Internet partenaires.

 

Belgique. Flandre. RechtsActueel est un site Internet en néerlandais dont le rédacteur en chef est Yves Pernet. RechtsActueel est une chaîne d’informations alternatives nationalistes. Le but des organisateurs de ce site est de diffuser des connaissances parmi les mouvements nationalistes et d’apporter un support où cela est nécessaire. En ces temps de changements, les dirigeants du site RechtsActueel désirent montrer que le combat des patriotes flamands n’est pas solitaire. Ils sont favorables à une Flandre indépendante de la Belgique et à la réunion avec les Pays-Bas. Ils ont de bons contacts avec le Voorpost, qui est un groupe d’action nationaliste, les étudiants de l’organisation NSV (Nationalist Student Organisation) et la KVHV (Catholic Flemish HighStudents Organisation).

 

Voir le site en néerlandais : http://rechtsactueel.eu/

Réunion du Conseil exécutif de Plateforme pour la Catalogne.

Espagne. Catalogne. Ce samedi 11 décembre 2010, Plateforme pour la Catalogne (PxC) a organisé à Vic une réunion de son Conseil exécutif. Les sujets abordés ont été : les résultats des élections pour le Parlement de Catalogne, la préparation des élections municipales de 2011 et l’organisation d’un congrès qui aura lieu le 27 mars 2011 à Barcelone.

Le gâteau porte le nombre de voix récoltées par le PxC lors des dernières élections pour le Parlement de Catalogne.

Josep Anglada, le président de Plateforme pour la Catalogne, parle. 

Les personnes présentes.

Nouveau logo du British National Party.

Royaume-Uni. Le dirigeant du BNP (British National Party) Nick Griffin  a présenté le nouveau logo officiel du parti lors du premier jour de la Conférence annuelle du BNP dans les Midlands de l'Est (East Midlands). Il a déclaré : « Ce logo illustrera exactement ce qu’est le parti ».

Le nouveau sigle du British National Party.

Histoire politique : conférence sur la Révolution conservatrice allemande.

Le Professeur François-Georges Dreyfus a tenu une conférence à Paris, au Local, sur la Révolution conservatrice allemande. Robert Spieler a introduit le conférencier. Voir la vidéo : http://rutube.ru/tracks/3863337.html?v=516de953ac0ea32c2b...

Oskar Freysinger et Elisabeth Sabaditsch-Wolff seront à Paris le 18 décembre 2010.

 

 

Parmi les invités des Assises internationales sur l’islamisation de nos pays figurent le Député suisse de l’UDC Oskar Freysinger, artisan de la votation contre les minarets en Suisse, qui prendra la parole pour la première fois en France, ainsi que Elisabeth Sabatisch-Wolff. 

Elisabeth Sabaditsch-Wolff est poursuivie par la justice autrichienne pour avoir tenu des propos à l’encontre de l’islamisation de l’Europe lors d’un séminaire organisé par l’Institut de formation du FPÖ. Elisabeth Sabaditsch-Wolff s’est rendue en Israël avec la délégation de représentants de différents partis patriotiques européens, dont HC Strache, le président du FPÖ, et Filip Dewinter, l’homme fort du Vlaams Belang, ainsi que Rene Stadkiewitz de die Freiheit et Patrik Brinkmann de pro NRW.

Elisabeth Sabaditsch-Wolff et Geert Wilders à Berlin.

Le Député de l'UDC suisse Oskar Freysinger.

La vidéo de présentation des Assises internationales sur l'islamisation.

Affiches du MCG : Éric Stauffer est convoqué lundi par la justice.

 

Suisse. Éric Stauffer, le président du Mouvement Citoyens Genevois (MCG), est convoqué ce lundi 13 décembre 2010 devant le Ministère public de la Confédération pour avoir publié la photo d'Hannibal Kadhafi sur une affiche pour le renvoi des criminels étrangers. Qu'a-t-il à dire pour sa défense? Son interview radio :http://medias.rsr.ch/la-1ere/programmes/forum/2010/forum_... 

Le FPÖ deuxième parti d’Autriche dans un sondage Gallup.

Selon un sondage Gallup, si des élections législatives avaient lieu en Autriche, le FPÖ dépasserait le Parti conservateur (ÖVP). 

SPÖ (Parti social-démocrate) : 27%

FPÖ : 25%

ÖVP (Parti conservateur) : 24%

Grünen (écologistes) : 14%

BZÖ : 5 %

Les deux partis nationalistes (FPÖ + BZÖ) obtiennent ensemble 30 % des voix.

Le PVV présente sa liste pour les élections provinciales de 2011 au Limbourg.

Pays-Bas. Ce vendredi 10 décembre 2010, le PVV de Geert Wilders a présenté sa liste électorale pour les élections provinciales de 2011 au Limbourg. Une conférence de presse a eu lieu à Roermond (Limbourg) en présence de Geert Wilders. Celui-ci est originaire du Limbourg (Venlo) qui est devenu un bastion du PVV. 

La tête de liste, Laurence Stassen, a 39 ans. Avant qu’elle ne rejoigne le PVV, elle était connue en tant que présentatrice freelance d’émissions sur la chaîne locale TVLimburg. Depuis juillet 2009, Laurence Stassen est député européen du PVV. Elle est mariée, a deux enfants et habite à Echt dans le Limbourg néerlandais. 

Ronald van Vliet, de Nederweert, occupe la deuxième place sur la liste. Il est député national du PVV. Le PVV espère décrocher 12 sièges au Limbourg lors des élections provinciales de 2011 et devenir le premier parti du Limbourg (néerlandais). Le PVV veut entrer dans l’exécutif de la Province du Limbourg (néerlandais) en coalition avec le VVD (Parti libéral) et le CDA (Parti démocrate-chrétien). 

Le PVV pense participer aux élections provinciales de 2011 dans toutes les provinces des Pays-Bas. Geert Wilders a amélioré ses méthodes de choix des candidats afin d’éviter les problèmes qu’il a rencontré avec certains députés de son parti qui avaient caché des éléments de leur passé lors de la procédure de sélection des candidats.

Geert Wilders et Laurence Stassen

Laurence Stassen

BZÖ : récolte de signatures pour le rappel de l'ambassadeur de Turquie.

Suite de l’affaire de l’ambassadeur de Turquie en Autriche. Le porte-parole du BZÖ pour les affaires européennes, Ewald Stadler, et le secrétaire général du BZÖ, Christian Ebner, ont présenté ce vendredi 10 décembre 2010 l’initiative de récolte de signatures du BZÖ en faveur du rappel en Turquie de l’Ambassadeur de Turquie en Autriche Tezcan, suite au propos que ce dernier a tenu. Site sur lequel la récolte de signatures a lieu : www.botschafter-ade.at.

Le leader du LAOS attaque la chancelière allemande.

La crise financière grecque entraîne des relations tendues entre la Grèce et l’Allemagne.  

Grèce. Le dirigeant du parti patriotique Laos, Giorgos Karatzaferis, a déclaré sur les antennes de Mega TV que la Chancelière allemande « Angela Merkel parle comme Göring, nous expérimentons à nouveau le Troisième Reich. » et exige de manière véhémente des réparations pour les atrocités et les destructions de l’occupation allemande durant la Seconde guerre mondiale : « Ainsi nous n’aurions pas de déficits ».  Giorgos Karatzaferis a ajouté « Merkel nous doit cet argent ». 

Source : http://www.swp.de/ulm/nachrichten/politik/Ein-Vampir-behe...

Fini veut désormais la tête de Berlusconi.

 

« Berlusconi met en oeuvre plusieurs stratégies en ces jours décisifs pour la survie » (Marcello Sorgi, La Stampa) : « Entre pourparlers et frictions alternant de jour en jour, voire d’heure en heure, le Cavaliere met en oeuvre plusieurs stratégies en même temps, comme il l’a toujours fait, quitte à choisir au dernier moment la meilleure. S’il envoie Letta, Alfano et Confalonieri en mission chez l’ennemi en quête de médiations (qui semblent aboutir à une impasse), il demande en même temps à Verdini et à d’autres fidèles de trouver en cachette des voix dans l’opposition, en vue d’obtenir un chiffre suffisant d’ici au 14 décembre. L’euphorie semble gagner le camp berlusconien, d’autant que les tensions internes à FLI peuvent entraîner des ‘fuites’ au profit du Cavaliere. Berlusconi serait optimiste, malgré ses doutes quant aux chances d’un accord avec l’axe Fini-Casini en vue du retrait de la motion de censure conjointe (à l’heure actuelle improbable, en effet). Son ‘non’ ferme le place à ce stade en position de force. S’il remportait la confiance à la Chambre, il pourrait tirer parti des turbulences qui s’ensuivraient, notamment au sein de FLI, où les colombes finiennes se font entendre. Fini, lui, a décidé qu’à moins d’une ouverture du Cavaliere à l’idée d’un Berlusconi-bis, la censure était la seule option. A ceci près que si Berlusconi était prêt à démissionner, FLI favoriserait la formation ‘sous 72 heures’ d’un nouvel exécutif conduit par le Cavaliere. Si au contraire la censure passait, le ‘bis’ serait pour de bon caduc. De toute façon, les élections anticipées restent probables. Si le Cavaliere l’emporte, le gouvernement aura encore un mois pour vivoter, avant de constater l’impasse que constitue une majorité trop étriquée. Si en revanche Casini et Fini l’emportaient, la chute de la majorité sans alternative claire mènera plus vite encore à la dissolution. » 

« Les pourparlers continuent. Coup de froid entre l’UdC et FLI » (Paola Di Caro, Corriere della Sera) : « Les chances d’éviter le compte à rebours sont désormais quasi nulles. Le ton et les accusations de traîtrise, ainsi que la mine des finiens les plus pessimistes, le prouvent. La méfiance réciproque, les soupçons et une rancune mûrie pendant huit mois (après la fracture du 22 avril) compromettent de fait toute réconciliation. I. Bocchino, n°1 du groupe FLI à la Chambre, le dit : ‘Ils nous ont invités à une rencontre. Nous sommes allés voir ce qu’ils avaient à nous dire, puis ils ont tout rendu public pour nous ridiculiser’. Au PdL, on insiste : ‘ils n’ont jamais vraiment voulu la paix. Demander la démission du président du Conseil, c’est un acte de guerre’. Jeudi, au serment d’un juge constitutionnel au Quirinal, Berlusconi et Fini se sont serré la main, sans dire un mot. Nous voici aux jours les plus noirs de la crise, qui font douter même les plus optimistes. Entre Casini et Fini, net coup de froid : l’UdC n’a pas apprécié de voir Bocchino se rendre à son insu chez le Cavaliere. Les colombes comme Viespoli, n°1 du groupe FLI au Sénat, veulent encore y croire, espérant de la part du Cavaliere un geste d’ouverture que Fini puisse se sentir tenu d’accepter. Emmené par Moffa, ce front des colombes pourrait présenter une demande formelle d’inflexion in extremis. Mais Fini veut désormais la tête de Berlusconi : ‘nous lui avons offert d’être conduit, mais il peut oublier notre offre ; qu’il donne sa démission et qu’on en finisse’. Si le vote de la censure par FLI est désormais inévitable, le résultat, lui, n’est pas acquis. L’incertitude croît chez les finiens, tout comme l’inquiétude pour l’après-14 décembre. L’atmosphère de règlement de comptes l’emporte sur toute autre hypothèse, des deux côtés. »

« Bertone confirme l’‘harmonie’, Bagnasco absent » (Carlo Marroni, Sole 24 Ore) : ... Mais il y a dans l’Eglise consensus contre Fini, jugé trop laïque.  ... 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Suisse : suppression du visa pour l'Albanie, la Bosnie et l'Herzégovine: problèmes de sécurité en hausse.

 Voici un communiqué de l'UDC, premier parti de Suisse, 29 % des voix :

A partir du 15 décembre 2010 les ressortissants d'Albanie, de Bosnie et d'Herzégovine n'auront plus besoin de visa pour entrer en Suisse. Le Conseil fédéral justifie cette mesure insensée par le développement de l'acquis de Schengen que la Suisse doit prendre à son compte. Le Parlement européen et le Conseil de l'Union européenne (UE) ont en effet adopté cette ordonnance le 24 novembre dernier. L'adhésion de la Suisse à l'accord de Schengen n'a pas augmenté la sécurité, mais a fait exploser l'immigration en Suisse. Quand le Conseil fédéral cessera-t-il de se soumettra au diktat de l'UE, quand s'inquiètera-t-il enfin de la sécurité de notre pays?

 

L'UDC avait déjà attiré l'attention des autorités sur les problèmes de sécurité posés par la suppression du visa pour les ressortissants du Monténégro, de Serbie et de Macédoine. Sans succès. Quand le Conseil fédéral fera-t-il enfin un bilan honnête de l'accord de Schengen qu'il a vendu aux Suisses avec l'argument fallacieux d'un accroissement de la sécurité?