27/10/2010
Conférence de presse de pro NRW et du FPÖ.
Allemagne. Harald Vilimsky, le secrétaire général du FPÖ (Autriche), atterrit à 10h30 en Rhénanie du Nord – Westphalie. Aux environs de 12h, une conférence de presse débute à Leverkusen.
Le secrétaire général du FPÖ met en avant l’importance de l’Allemagne au sein de l’Union européenne. L’Allemagne est le plus grand pays de l’Union et a besoin d’un parti du même type que le FPÖ. Harald Vilimsky indique que le Président du FPÖ Heinz-Christian Strache, grand vainqueur de l’élection pour le Parlement du Land de Vienne, sera présent lors de la manifestation « Marche pour la Liberté », organisée par pro NRW le 7 mai 2011 à Cologne.
Vers 12h40, les journalistes posent des questions aux organisateurs de la conférence de presse. Le Président de pro NRW Markus Beisicht annonce la réunion des forces démocratiques allemandes sérieuses qui se trouvent à droite de la CDU et se réjouit du soutient du FPÖ dans cette tâche. Le FPÖ n’ouvre pas de bureau en Allemagne. Le FPÖ considère que pro NRW et pro Köln sont les partis qui mènent la politique du FPÖ en Allemagne. Ceux qui sont intéressés par la politique du FPÖ et résident en Allemagne doivent s’adresser directement à pro NRW et pro Köln.
Markus Wiener, Harald Vilimsky (FPÖ), Markus Beisicht, Judith Wolter.
Un représentant de pro NRW participera le jeudi 11 novembre 2010 à la 4ème Journée nationale et identitaire organisée au Forum de Grenelle (5, rue de la Croix-Nivert Paris XVème - métro Cambronne) par Synthèse nationale.
18:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
Gianfranco Fini est blanchi des accusations à propos du logement monégasque.
« La règle et l’exception » (Marcello Sorgi, La Stampa) : « Un détail frappe dans la journée d’hier, même s’il s’agit d’affaires très différentes : tandis que Fini était blanchi des accusations sur l’affaire du logement monégasque, enflait la rumeur de nouveaux soucis judiciaires pour Berlusconi, à propos de mœurs. Après une campagne politico-médiatique très dure de 4 mois, Fini a appris simultanément que l’enquête se concluait de façon favorable pour lui et qu’il avait été mis en examen. Pour une fois, on a évité les fuites qui font de tous les hommes politiques mis en examen des condamnés avant l’heure. Hélas, l’exception confirme la règle : presque au même moment, le mécanisme du pilori préventif se déclenchait encore contre Berlusconi. L’écart de traitement entre les deux hommes saute aux yeux alors même qu’au Sénat, le centre droit rouvre la négociation sur la loi Alfano. Or on voit bien comment l’addition des affaires visant Berlusconi, anciennes et nouvelles, sortant à un rythme quasi-quotidien, peut influer sur cette négociation dont dépend la survie du gouvernement. Berlusconi devient une sorte de monstre prenant, jour après jour, dans les dossiers le visant, une allure de plus en plus grotesque, et à qui le Parlement, ne l’oublions pas, est censé trouver une échappatoire. Naturellement, Berlusconi se doit de répondre à toutes les accusations portées contre lui. Mais il serait souhaitable qu’il pût le faire dans les mêmes conditions que celles dont Fini a pu bénéficier. La séparation entre plan politique et plan judiciaire a permis au président de la Chambre de rester en place. Le mélange des genres que favorise au contraire la façon dont est rendue publique toute accusation, même infâmante, contre Berlusconi, risque de finir d’envenimer le débat politique, paralysant totalement le gouvernement, et le pays. »
« Berlusconi et la loi Alfano : ‘il faut trouver une solution’ » (Marco Galluzzo, Corriere della Sera) : « A l’occasion de la sortie de son dernier livre, le journaliste B. Vespa a interviewé le Président du Conseil : le Cavaliere est convaincu de la nécessité de faire approuver ce texte et de ‘trouver une solution’. Et pourtant, il a récemment affirmé que ce n’était pas lui mais sa majorité qui voulait la loi Alfano et qu’il aurait même demandé à ses proches de la retirer. Mais il a dit à B. Vespa que la loi Alfano était ‘indispensable’. ‘Je pense qu’une loi qui suspend les procès contre les principaux personnages de l’Etat dans l’exercice de leurs fonctions est opportune voire absolument indispensable avec la magistrature qu’on a’ a-t-il expliqué. ‘Contre cette magistrature politisée, nos parlementaires vont demander une commission parlementaire d’enquête. C’est une initiative largement consensuelle, à mon avis, qui doit éclairer plusieurs procès douteux’. Berlusconi a ajouté qu’il s’agit d’une initiative en faveur des citoyens et ‘des milliers de juges qui travaillent sérieusement et qui ont perdu la confiance des Italiens à cause d’une minorité’. Le Cavaliere a aussi parlé de sa situation personnelle : ‘c’est uniquement grâce à la sérénité et à la force d’âme qui me viennent du fait que je n’ai commis aucun délit que je parviens à me désintéresser des nombreuses enquêtes à charge qui sont quotidiennement amplifiées par les médias’. Concernant le procès Mediaset, Berlusconi a souligné qu’‘on assiste encore une fois à l’utilisation politique de la justice pour essayer de dénigrer le Président du Conseil.’ »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
17:23 | Lien permanent | Commentaires (0)
Des sondages donnent 4 à 6 députés à Plateforme pour la Catalogne.
Espagne. Catalogne. Ce samedi 23 octobre 2010, Josep Anglada, le dirigeant de Plateforme pour la Catalogne (PxC), a tenu un discours devant 500 personnes à l’Hospitalet. Selon certains sondages récents le parti obtiendrait entre 4 et 6 députés au sein du Parlement de Catalogne.
Voir la vidéo :
01:05 | Lien permanent | Commentaires (0)
Nouvelles pseudo-révélations sur Jörg Haider.
Autriche. Dans le cadre des fausses révélations en tous genres concernant Jörg Haider, que la presse du régime publie depuis le décès de l’ancien gouverneur de Carinthie, le magazine autrichien Profil prétend que les services secrets allemands (BND) ont pris en charge l’organisation d’un des trois voyages de Jörg Haider chez le dirigeant irakien Saddam Hussein, ainsi que le coût du voyage.
Livre de Jörg Haider : "Invité chez Saddam". Au sein de cet ouvrage, Jôrg Haider décrit ses trois voyages en Irak, chez Saddam Hussein.
(Rappelons qu’au mois d’août 2010, le magazine Profil avait publié des informations sur Jörg Haider et l’Irak qui se sont avérées ridicules :
http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2010/08/16/nou...)
00:20 | Lien permanent | Commentaires (0)
26/10/2010
La fusion entre le FPÖ de Carinthie et le FPK est en vue.
Autriche. Carinthie. Le dirigeant du FPÖ de Carinthie, Christian Leyroutz, pense que le FPÖ de Carinthie et le FPK vont fusionner. Le premier objectif est que le FPÖ et le FPK se présentent ensemble lors des prochaines élections. Le congrès du FPÖ de Carinthie est déplacé de la mi-novembre 2010 au mois de janvier 2011. Ce congrès ne sera cependant pas celui de la fusion. Christian Leyroutz, qui a succédé à Harald Jannach à la tête du parti, se présentera lors de cette réunion pour la première fois au vote des délégués.
23:13 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le maire FPK de Klagenfurt élu président du FPK de Klagenfurt.
Autriche. Carinthie. Le Maire nationaliste (FPK) de Klagenfurt Christian Scheider a été élu lors d’un congrès, ce samedi 23 octobre 2010, à la tête du FPK de Klagenfurt, en obtenant 100% des voix.
20:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
La ministère public demande à la ministre de la justice l'autorisation d'engager des poursuites contre l'affiche du MCG.
Suisse. La ministère public demande à la ministre de la justice l'autorisation d'engager des poursuites contre l'affiche du Mouvement des Citoyens Genevois. Voir l'article du quotidien Le Matin : http://www.lematin.ch/actu/affiches-anti-kadhafi-mcg-widm...
19:58 | Lien permanent | Commentaires (0)
Podcast de l'émission de RBN avec Duarte Branquinho du PNR (Portugal).
Duarte Branquinho, du PNR (Portugal), était l'invité de la radio RBN ce 24 octobre 2010. Duarte est un lecteur de ce site Internet. Nous le saluons. Voici l'enrégistrement de l'émission : http://meridienzero.hautetfort.com/archive/2010/10/25/pod...
19:38 | Lien permanent | Commentaires (0)
Gianfranco Fini se rapproche des syndicats et de la gauche.
« Loi, Justice, Fiat : l’offensive politique de Fini s’intensifie » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) : « ‘Finiet ses proches doivent dire avec qui ils sont’, tel est le leitmotiv de cet automne troublé où le PdL voudrait obtenir de FLI une preuve de loyauté ou les acculer à la rupture totale. Mais l’idée d’amener Fini à conclure un ‘pacte de législature’ avec Berlusconi semble peu réaliste – même si ce serait l’intérêt du centre droit. Le seul ‘troc’ envisageable entre Fini et le président du Conseil pourrait avoir lieu si Fini obtenait l’assurance de succéder au chef historique du centre droit – idée inconcevable pour ce dernier, à ce jour. Ni paix ni guerre, donc, avec des effets négatifs et paralysants sur l’activité du gouvernement. Quoi qu’il en soit, Fini intervient sur tout et s’assure ainsi une forte visibilité. Ces dernières heures, après les déclarations fortes du Quirinal, il a ouvert la polémique sur le caractère ‘non reconductible’ de la loi Alfano – ce qui devrait in fine aboutir à un compromis avec le Garde des Sceaux – puis déclaré que les désaccords sur la réforme de la justice, loin d’être secondaires, faisaient planer le risque d’une crise gouvernementale. Enfin, il a critiqué Marchionne, qualifié de ‘canadien’ : renouant avec un certain nationalisme en défense de ‘l’italianité’ de FIAT, Fini se rapproche des syndicats et de la gauche. Le PdL, qui voudrait une trêve à moyen terme, subit en fait une offensive quasi-quotidienne de la part de Fini. Offensive maligne car tendant à user peu à peu le président du Conseil et non à entraîner sa chute immédiate. Sur la loi Alfano, comme à propos de justice, le jeu est ouvert et c’est FLI qui a les meilleures cartes en main. Sauf si le Cavaliere décidait de reprendre la main par quelque idée imaginative – mais quand et comment ? »
« Sans clarification entre les deux dirigeants, l’immunité restera bloquée » (Marcello Sorgi, La Stampa) : « Après un week-end marqué par une tension accrue entre PdL et FLI et une journée d’hier où le thème du gouvernement technique a animé la conversation, l’annonce du ministre de la Justice selon laquelle le gouvernement serait prêt à chercher une solution alternative à celle, contestée, d’une loi Alfano ‘reconductible’ a suggéré que tout n’était pas perdu : les négociations se poursuivent. En fait, malgré cette éclaircie et l’offre du Garde des Sceaux, la situation reste bloquée : Fini a demandé à ses proches de préparer un amendement pour supprimer la possibilité qu’en vertu de la loi, le président du Conseil puisse bénéficier plus d’une fois de la protection contre ses procès. Le président de la Chambre a aussi affirmé publiquement que le thème de la justice était dangereux pour la stabilité du gouvernement. Le PdL a répliqué durement, notamment les anciens colonels d’AN. Même si cela n’a rien d’une nouveauté, le grand froid se confirme entre les deux cofondateurs du parti. A moins d’un débat d’homme à homme et d’une trêve authentique, on peine à envisager que la négociation demeurée ouverte grâce à quelques bonnes volontés puisse mener à un résultat quelconque. Qu’on songe seulement à ce qui se produira au Sénat au moment de voter l’amendement finien refusant la reconductibilité du ‘bouclier’ : PdL et FLI voteraient l’un contre l’autre et, même si au Sénat Berlusconi obtient une majorité pour rejeter cet amendement, il la perdra aussitôt à la Chambre. Avec pour effet de se retrouver avec une loi paralysée dès la première des quatre lectures nécessaires au complexe processus constituant que doit suivre le texte. »
« Berlusconi : je ne tomberai pas dans le piège » (Francesco Bei, La Repubblica) : « Berlusconi voit approcher le spectre d’un gouvernement technique. ‘Fini, Casini et Bersani tiennent prête une nouvelle majorité, mais je ne tomberai pas dans le piège’ explique-t-il à ses proches. Si les finiens ont choisi le terrain de la justice pour faire tomber le gouvernement, Berlusconi ne leur offrira pas ce prétexte, en tablant sur un objectif minimal : l’adoption rapide au Sénat du bouclier judiciaire non reconductible d’ici le 14 décembre, date à laquelle la Cour constitutionnelle commencera l’examen de la ‘loi-pont’ sur l’‘empêchement légitime’. Il faut vite bâtir un ‘pilier’ sur l’autre rive avant que la Cour ne se prononce définitivement. Selon des indiscrétions, l’issue pourrait être favorable, assurant ainsi la prolongation du gouvernement jusqu’en septembre prochain, date de péremption de l’empêchement légitime. La prudence prônée par Gianni Letta a prévalu sur les chefs de groupe du PdL, qui insistaient sur la reconductibilité du bouclier. Le Cavaliere, qu’on dit démoralisé, tranche : ‘ils veulent jouer avec nos nerfs, mais je ne leur donnerai pas cette satisfaction. Pour ce qui me regarde, je ne parlerai jamais plus de loi Alfano’. Un groupe de sénateurs PdL, conduit peut-être par Beppe Pisanu, serait prêt, dit-on, à soutenir un nouveau gouvernement. Mais Berlusconi rassure : ‘il a fallu deux ans pour faire tomber Prodi, alors que son gouvernement était très fragile. Pensez-vous qu’il soit facile d’en faire autant avec un gouvernement qui a une majorité solide et qui bénéficie d’une grande popularité auprès des Italiens ?’ »
(Traduction : aùmbassade de France à Rome)
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25/10/2010
Budapest : manifestation en faveur des prisonniers politiques.
Hongrie. Budapest. Les supporters des prisonniers politiques se sont rassemblés ce samedi 23 octobre 2010 devant la prison de la rue Kozma afin d’exiger leur libération. Parmi les personnes présentes figuraient les Députés du Jobbik Gyula Zagyva et Tamás Gaudi Nagy ainsi que Krisztina Morvai, député du Jobbik au Parlement européen. Certains des participants ont entamé une grève de la faim devant l’établissement pénitentiaire à laquelle participent, à l’intérieur de la prison, les trois prisonniers politiques. Au cours des dernières semaines, des mesures restrictives ont été prises à l’encontre de ceux-ci. Il est, par exemple, plus difficile pour des membres du Parlement de leur rendre visite.
Krisztina Morvai, député du Jobbik au Parlement européen.
Grévistes de la faim.
La femme de György Budaházy, le prisonnier politique le plus célèbre de Hongrie.