05/09/2012
Comment Draghi continue à réanimer l’euro.
« Comment Draghi le politique continue à réanimer l’euro – Compromis avec Merkel et créativité politique : la BCE calme ainsi les marchés » (Il Foglio) : « Les analystes étaient hier unanimes : les investisseurs croient de nouveau en l’euro après avoir écouté les mots prononcés par Mario Draghi. La seule idée que la BCE puisse intervenir en soutien des pays en difficulté, en achetant des titres d’Etat de façon systématique, laisse entendre que l’euro repose sur des bases plus solides que celles garanties par les vagues accords auxquels parviennent périodiquement les leaders de la zone euro. L’actuel président de l’institut de Francfort a raison de mettre en œuvre des ‘mesures justifiées quand les marchés cessent de fonctionner correctement’ a ainsi déclaré à CNN l’ancien président de la BCE Jean-Claude Trichet, pourtant peu enclin durant son mandat à la tête de la BCE (2003-2011) à imiter les banques centrales japonaise, américaine ou anglaise, qui ont joué le rôle de prêteur en dernier ressort auprès de leurs pays respectifs dès le début de la crise. Avec Draghi, les choses ont bien changé : l’italien est parvenu ces derniers mois à arracher à Berlin des compromis politiques fondamentaux et a ainsi pu commencer à concevoir les détails d’une intervention de la BCE, inconcevable pour plusieurs gouvernements de la zone euro il y a encore quelques mois. Avec Le Prince de Machiavel dans une main et Les Exercices spirituels d’Ignace de Loyola dans l’autre, Draghi aiguise les flèches qu’il lui reste’ écrivait ainsi cet été Stefano Cingolani, dans une longue enquête publiée dans Panorama. Avec Draghi, ‘la BCE est devenue plus pragmatique et beaucoup de tabous ont été levés’ ajoute Christian Schulz, ancien économiste à la BCE. L’institut de Francfort a fait comprendre qu’il était prêt à refinancer les banques et à soutenir les dettes publiques à condition que les gouvernements s’accordent sur la naissance d’institutions supranationales, et plus seulement en échange de rigueur et de réformes pays par pays. Cela explique les progrès réalisés en faveur d’un pacte budgétaire (voulu par Berlin), d’un pacte de croissance (voulu par tous les autres) et enfin d’une supervision bancaire commune (dont Berlin ne veut pas). Tels sont les fruits du compromis créatif et très politique rendu possible par le banquier central Draghi. »
(Traduction : ambassade de France)
16:01 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le DPK favorable au neuro.
Pays-Bas. Le DPK est opposé au retour à l'ancienne monnaie des Pays-Bas. Le parti désire cependant voir le pays quitter l'euro et adhérer au neuro, un euro pour les pays du nord de l'Europe.
"Le retour au florint est un faux sentiment. Hors de l'euro et dans le neuro !"
00:34 | Lien permanent | Commentaires (0)
04/09/2012
Vers un changement de majorité à Novi Sad ?
Serbie. Voïvodine. Novi Sad. Les nationalistes du SNS, qui sont dans l’opposition au niveau municipal, auraient conclu un accord politique avec d’autres groupes politiques, dont les socialistes, au sein du Conseil municipal de Novi Sad. L’actuelle majorité qui gouverne la ville n’aurait donc plus de majorité.
19:58 | Lien permanent | Commentaires (0)
Geert Wilders le 8 septembre 2012 à Tilbourg et Roermond.
Pays-Bas. Le PVV de Geert Wilders va à la rencontre du pays ce 8 septembre 2012 à Tilbourg à partir de 12h et à Roermond à partir de 14h15. Geert Wilders et d’autres candidats aux postes de député seront présents.
19:09 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Vlaams Belang obtient à Bruxelles le numéro "7" pour les élections communales d'octobre 2012.
Belgique. Bruxelles. Pour les élections communales au sein des 19 communes, les numéros des partis importants sont connus.
1 - N-VA (Parti national-centriste flamand)
2 - Open VLD (Parti libéral de droite flamand)
3 - FDF (Parti qui a pour objectif de défendre les francophones)
4 - Groen (Parti écologiste flamand)
5 - MR (Parti libéral francophone)
6 - CDH (Parti ex-social-chrétien francophone devenu humaniste)
7 - Vlaams Belang (Parti nationaliste flamand)
8 - Ecolo (Parti écologiste francophone)
9 - SP.A (Parti socialiste flamand)
10 - CD&V (Parti social-chrétien flamand)
11 – PS (Parti socialiste francophone)
18:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Vlaams Belang obtient en Flandre le numéro "3" pour les élections d'octobre 2012.
Belgique. Flandre. Les numéros des principaux partis pour les élections communales, provinciales et de districts du dimanche 14 octobre 2012 sont désormais connus :
1 – Open VLD (Parti libéral de droite)
2 - N-VA (Parti national-centriste)
3 - Vlaams Belang (Parti nationaliste)
4 - SP.A (Parti socialiste)
5 – LDD (Parti populiste de droite)
6 – Groen (Parti écologiste)
7 - CD&V (Parti social-chrétien)
18:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
Zone euro : le volcan de la crise recommence à fumer.
« La voie étroite de Francfort » (Adriana Cerretelli, Il Sole 24 Ore) : « A 48 heures des décisions très attendues de Francfort, la tension Nord-Sud est de plus en plus marquée entre les 17 de la zone euro, avec la BCE dans le collimateur et son président, Draghi, qui fait le choix de confirmer fermement la ligne déjà exprimée le 2 août dernier : refus du financement monétaire des Etats membres mais accord pour l’achat sur le marché secondaire de bonds de courte durée (jusqu’à trois ans) des pays en difficulté. Bien qu’elle jouisse de l’appui d’une large majorité du Conseil de la BCE et de l’approbation de Merkel, la ligne Draghi, on le sait, n’est pas du goût de la Bundesbank. En ce début de campagne électorale en Allemagne, aux critiques des chrétiens-démocrates s’ajoutent celles des socialistes et des verts, car l’opinion publique reste durablement hostile, allergique même, à tous les risques (véritables ou présumés) que le sauvetage de l’euro pourrait entraîner. Quoi qu’il en soit, la douche froide est arrivée hier de Berlin. Selon Wolfgang Schäuble, ministre allemand des Finances : ‘La politique monétaire ne doit pas être utilisée pour financer la dette publique, par conséquent toute action de ce genre doit être rejetée avec fermeté’. Après l’accalmie du mois d’août, le volcan de la crise recommence à fumer, menaçant d’exploser à nouveau. Car la voie sur lequel peut avancer la BCE est très étroite et celle de la politique, de Berlin à Athènes en passant par Madrid et Rome, l’est tout autant, si ce n’est plus. Le bouclier anti-spread devient nécessaire sur un marché européen fragmenté, où la perception des risques, souvent arbitraire, déforme les taux. Résultat : les pays à genoux se retrouvent à financer ceux qui se portent le mieux, creusant le fossé Nord-Sud, au lieu de favoriser la convergence. Après-demain, Draghi devrait lever le voile, même si la nécessité d’éviter toute rupture avec la Bundesbank pourrait faire éclore une série de lois par trop indigeste, politiquement et socialement impraticable surtout par temps de récession – et donc inutile et contreproductive. Comment réussir à l’éviter, dépasser la crise et relancer l’Europe : c’est le grand dilemme de la BCE et des gouvernements, avec leur lot d’intérêts contradictoires et d’ambitions en perpétuel conflit. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
18:13 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Député BZÖ Madame Elisabeth Kaufmann-Bruckberger passe chez Frank Stronach.
Autriche. Le parti du milliardaire Frank Stronach a capté le Député BZÖ Madame Elisabeth Kaufmann-Bruckberger. Cette dernière est entrée au Parlement autrichien en décembre 2011 afin de remplacer Ewald Stadler qui est devenu député européen du BZÖ lorsque ce parti a obtenu un député suite à l’augmentation du nombre de députés européens de l’Autriche.
C’est la première fois que Frank Stronach attire au sein de son parti un député actif du BZÖ. Robert Lugar et Erich Tadler viennent également du BZÖ, mais avaient quitté ce parti lorsqu’ils ont rejoint le parti de Frank Stronach. Ce dernier parti, ayant capté également un ancien député social-démocrate, compte désormais 4 députés. Il lui faut 5 députés pour pouvoir former un groupe au Parlement.
Le président du BZÖ Josef Bucher a parlé, face au départ d’Elisabeth Kaufmann-Bruckberger, d’achat de Mandat. Frank Stronach a démenti. Josef Bucher a qualifié Elisabeth Kaufmann-Bruckberger de mercenaire politique.
Lors des prochaines élections législatives, le milliardaire Frank Stronach devrait être le candidat de tête de son parti. Frank Stronach désire voir l’Autriche quitter l’euro et retrouver le schilling. Il est opposé au MES (Mécanisme européen de stabilité).
Elisabeth Kaufmann-Bruckberger
Frank Stronach est cité au sein des pages 105 et 109 du livre « Jörg Haider, le phénix. Histoire de la famille politique libérale et nationale en Autriche. »
13:52 | Lien permanent | Commentaires (0)
Harald Dobernig, président exécutif du FPK de Klagenfurt.
Autriche. Carinthie. Le Ministre FPK de Carinthie Harald Dobernig est devenu le président exécutif du FPK de Klagenfurt.
Adi Stark, le président du FPK de Klagenfurt, et Haral Dobernig, le président exécutif du FPK de Klagenfurt. "Ensemble, fort pour Klagenfurt."
12:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Grand Rabbin d’Israël écrit à Geert Wilders.
Pays-Bas. Le Grand Rabbin d’Israël Yona Metzger a averti le néerlandais Geert Wilders que ses tentatives visant à interdire l’abattage rituel finira par forcer les juifs à quitter le pays :
http://alyaexpress-news.com/2012/08/abatage-rituel-israel...
11:49 | Lien permanent | Commentaires (0)
Des chômeurs étrangers affluent dans les campings suisses.
« La façade s'effrite » par Martin Baltisser, secrétaire général UDC Suisse :
Les offices cantonaux du travail et de la migration tirent la sonnette d'alarme. De plus en plus de ressortissants UE au chômage affluent en Suisse. Et, parallèlement, l'immigration en provenance des Etats en crise d'Europe du Sud augmente constamment, comme celle d'Europe de l'Est. C'était prévisible: la clause de sauvegarde, dont l'effet n'est de toute manière que ponctuel, est tout simplement contournée. Les permis de séjour de courte durée remplacent les autorisations longues. Finalement, l'effet amortissant de cette mesure est quasi nul. Les chômeurs UE n'ont pas besoin d'autorisation. Ils s'installent sur des campings et partent à la recherche de travail. La construction tant vantée de la libre circulation des personnes se fissure partout.
Les observateurs attentifs constataient depuis longtemps que les promesses et fanfaronnades des partisans de la libre circulation des personnes n'étaient que de la fumée. La légende d'une immigration de professionnels hautement qualifiés est démasquée depuis belle lurette. On peut certes s'étonner devant les diplômes présentés par les immigrants. La France, par exemple, s'est récemment vantée que 80% des jeunes ont un baccalauréat en poche, ce qui était un fort ancien objectif des gouvernements socialistes. Mais, parallèlement, seuls 70% de la population âgée de 15 à 64 ans travaille. Les immigrants de France possèdent donc avec une probabilité de 80% un baccalauréat, alors que cette proportion n'est que de 20% en Suisse. Mais en Suisse près de 83% des 15 à 64 ans travaillent. Et le fait est aussi que la grande majorité des immigrants ne travaillent pas du tout à des postes exigeant de hautes qualifications. Le bac n'y change rien. C'est dire que les tableaux donnés par la statistique peuvent différer fortement.
[...]
00:53 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le chef de file des élus FPK au sein du Parlement de Carinthie Gernot Darmann.
Autriche. Carinthie. Le nouveau chef de file des élus FPK au sein du Parlement de Carinthie Gernot Darmann est le père d’un nouveau-né. Il vit avec sa compagne à Klagenfurt, la capitale de la Carinthie, et est juriste de formation. Il a étudié à l’Université de Vienne. Ses hobbys sont le sport, la chasse et la politique. Avant que Kurt Scheuch ne quitte sa fonction de chef de file des élus FPK au sein du Parlement de Carinthie pour devenir ministre FPK de Carinthie, Gernot Darmann était chef de file adjoint des élus FPK au sein du Parlement de Carinthie.
Gernot Darmann
00:09 | Lien permanent | Commentaires (0)
03/09/2012
Aleksandar Vučić : bientôt les premiers résultats de la lutte contre la corruption.
Serbie. Le Vice-premier ministre et Ministre de la défense Aleksandar Vučić du SNS a déclaré que les citoyens verront bientôt les premiers résultats de la lutte contre la corruption. Les enquêtes couvriront l’ensemble des entreprises suspectées par les autorités d’avoir commis des délits lors des privatisations. Il a demandé de la patience, car les preuves doivent être collectées. Il a ajouté que jusqu’à présent, il n’y avait pas en Serbie de mécanisme de lutte contre la corruption et que celui-ci est en train d’être mis au point. 20 équipes d’enquêtes ont été mises sur pied jusqu’à présent.
23:31 | Lien permanent | Commentaires (0)
Un signe du destin ?
Parlement européen à Bruxelles. Le secrétaire général du Parlement européen a envoyé un courriel au personnel du Parlement européen et aux députés afin d’annoncer un danger de chute du toit du bâtiment Paul-Henri Spaak, où se tient l’assemblée plénière du Parlement.
21:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
Tomislav Nikolić sera un des premiers à prendre la parole lors de l’Assemblée générale des Nations Unies.
Serbie. Le président Tomislav Nikolić sera un des premiers à prendre la parole lors de l’Assemblée générale des Nations Unies.
17:30 | Lien permanent | Commentaires (0)
Italie : pas d’élections à l’automne. Le pays dans la tourmente économique.
« Pas d’élections à l’automne, les leaders penchent désormais pour mars » (Marcello Sorgi, La Stampa de samedi) : « Les élections n’auront pas lieu cet automne mais il s’agit plus d’une capitulation que d’un choix. Les partis de la large majorité soutenant Monti en ont pris acte : inutile de se battre sur le calendrier alors qu’un accord sur la réforme du mode de scrutin est encore loin. Par conséquent, pas de dissolution des Chambres le 20 septembre ou le 10 octobre (comme évoqué pour d’éventuelles élections début ou fin novembre) mais une fin de législature sans doute légèrement anticipée. Les leaders des trois partis sont d’accord pour la clore fin mars-début avril et affronter plus calmement la fin du septennat de Napolitano et celle de la législature, qui coïncident. En effet, si les nouvelles Chambres étaient en place d’ici avril et si un résultat clair sortait des urnes, permettant un retour à un gouvernement politique, il échoirait à Napolitano de nommer le président du Conseil – probablement le dernier acte de sa présidence. D’ici là, le problème du mode de scrutin doit être résolu. Or la négociation est au point mort et la confusion devrait perdurer. Un seul exemple montre à quel point il apparaît délicat de laisser ouverte une négociation si importante. L’hypothèse, chère à Berlusconi, d’abaisser le seuil minimum de représentation (il veut brosser la Ligue dans le sens du poil dans l’optique d’une nouvelle alliance) permettrait l’entrée au Parlement de partis ne se présentant que sur une partie du territoire, du moment qu’ils dépassent localement le seuil de 5%. Ce projet alimente de fortes tensions au sein de la Ligue : une partie des maires léghistes se demandent en effet s’il ne serait pas plus judicieux de présenter une liste propre – soit pour concurrencer le parti, soit pour négocier avec Berlusconi et passer un accord direct avec lui. Si le seuil pour être élu devient mobile, le déplacement d’un seul point ou d’une fraction de point peut aider à atteindre la prime de majorité. La phase finale du gouvernement Berlusconi a donné lieu à maints marchandages ; ceux-ci risquent de repartir de plus belle dans les circonscriptions et de durer jusqu’à la veille des élections. Voilà pourquoi la réforme du mode de scrutin reste urgente, même si la législature regagne en espérance de vie. »
« Un taux de chômage à 10,7%, le plus haut depuis 13 ans » (Luigi Grassia, La Stampa de samedi) : « Au second trimestre 2012, le taux de chômage a atteint 10,7% de la main d’œuvre (+ 2,7% par rapport au second trimestre 2011). L’Istat souligne que c’est le chiffre le moins bon depuis le second trimestre 1999. Les demandeurs d’emploi sont passés de 758 000 à 2 750 000. Comme d’habitude, les femmes sont davantage touchées que les hommes. Les jeunes aussi payent le prix fort de la crise : le taux de chômage des 15-24 ans au mois de juillet s’élevait à 35,3%. Du côté de l’emploi, on note également une autre opposition entre générations, avec une hausse de l’emploi des plus de 50 ans, tandis que baisse celui des plus jeunes, mais aussi des 35-49 ans. L’Istat précise aussi qu’en une année, alors que le chômage des Italiens n’a cessé de croître (-133 000 travailleurs), l’emploi des étrangers s’est accru (+ 85 000). Malheureusement, sous les effets de la crise économique, non seulement les emplois sont moins nombreux, mais ceux qui restent sont toujours plus précaires (2,455 millions à durée déterminée, niveau record depuis 1993). L’Italie n’est pas le seul pays à être confronté au problème du chômage et d’ailleurs, en moyenne, dans les pays de l’euro, la situation est encore pire : le taux de chômage dans la zone euro a atteint un nouveau pic de 11,3%. »
« La crise encercle le commerce » (Corriere della Sera)
« Monti : ‘Tous unis pour éviter le séisme de l’emploi’ » (Marco Iasevoli, Avvenire de dimanche) : « Le message que Monti veut adresser aux syndicats et aux entreprises s’affine d’heure en heure : la situation financière incertaine ne permettrait pas à l’exécutif de résister à un éventuel ‘séisme sur l’emploi’ pire encore que l’actuel. Les entreprises et les syndicats doivent donc s’unir à l’exécutif et relancer les conventions collectives d’entreprise afin de combler le retard de productivité et d’éviter les conflits sociaux. […]
(Traduction : ambassade de France à Rome)
17:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
Kurt Scheuch élu président du FPK.
Autriche. Carinthie. Ce dimanche 2 septembre 2012 après-midi, Kurt Scheuch a été élu, lors d’un congrès ordinaire du parti qui s’est tenu au Centre de congrès de Villach, président du FPK en récoltant 97 % des voix des délégués du parti.
373 délégués ont participé au vote. Une voix est nulle. Kurt Scheuch, seul candidat, a obtenu 362 voix. Il a accepté son élection. Kurt Scheuch a reçu comme cadeau un assortiment de cravates.
Quant au frère de Kurt, Uwe Scheuch, qui avait quitté la présidence du FPK au début du mois d’août 2012, il devient directeur de campagne électorale.
Au cours de leurs discours, le Gouverneur de Carinthie FPK Gerhard Dörfler, Kurt Scheuch et le président du FPÖ de Carinthie Christian Leyroutz s’en sont pris aux médias.
Parmi les personnalités présentes figuraient l’ancien Vice-chancelier patriote Herbert Haupt et le troisième président (FPÖ) du Parlement national Martin Graf.
Six vice-présidents ont été élus : Gernot Darmann, Harald Dobernig, Gerhard Dörfler, Christian Ragger, Josef Lobnig, Wilma Warmuth.
"Main dans la main pour la Carinthie." Kurt Scheuch parle.
Kurt Scheuch, Uwe Scheuch, le gouverneur de carinthie Gerhard Dörfler. Ce dernier remet des cravates à Kurt Scheuch.
Les 4 membres FPK du gouvernement de Carinthie : Gerhard Dörfler, Kurt Scheuch, Harald Dobernig et Christian Ragger.
14:32 | Lien permanent | Commentaires (0)
02/09/2012
Reportage sur la manifestation de die Freiheit à Munich le 25 août 2012.
Allemagne. Bavière. Munich. Un grand centre pour l’islam en Europe doit être ouvert au sein de la capitale de la Bavière. Cette grande mosquée doit être construite dans la rue du Duc Guillaume (Herzog-Wilhelm-Strasse) près du Stachus. L’Émir du Quatar doit payer les 30 millions d’euros nécessaires à cette réalisation. Le parti die Freiheit (La liberté), fondé en 2011 à Berlin, récolte les 30.000 signatures nécessaires afin d’organiser une consultation de la population de Munich sur le sujet.
Die Freiheit est un parti qui est lié au PVV néerlandais de Geert Wilders. Il se profile avant tout en tant que parti opposé à l’islamisation. J’ai pu assister au sein du centre piétonnier de Munich à un rassemblement organisé ce samedi 25 août 2012.
Un gauchiste a réalisé un gros trait noir sur les signatures.
Une musulmane.
Les musulmans.
Le chef de la police n'est pas très favorable à l'action des patriotes.
A gauche : les musulmans. A droite : moi-même.
A gauche, un dirigeant de die Freiheit en Bavière. Au centre : moi-même. A droite, un gauchiste.
Les musulmans.
Arrestation d'un gauchiste qui s'est emparé d'une feuille contenant des signatures et l'a jetée à ses copains.
23:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
FPÖ : fête à la mairie de Vienne.
"Invitation à la fête de la mairie, le mercredi 26 septembre 2012, dans la cour des arcades de la mairie de Vienne. Entrée à 18h, fin à 23 h. Musique : John Otti Band."
22:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
Tomislav Nikolić compte voir le gouvernement investir dans le renouvèlement du matériel militaire et améliorer la situation financière de l’armée.
Serbie. Le president Tomislav Nikolić compte voir le gouvernement investir dans le renouvèlement du matériel militaire et améliorer la situation financière de l’armée. C’est ce qi’il a déclaré lors d’un meeting aérien.
19:40 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le FPÖ de Vienne invite 20 orphelins ukrainiens.
Autriche. Le FPÖ du Parlement du Land de Vienne a, à l’initiative du Député FPÖ du Parlement du Land de Vienne Madame Barbara Kappel, invité 20 orphelins ukrainiens à séjourner en Autriche. L’ambassadeur d’Ukraine en Autriche a reçu les enfants au sein de son ambassade. Après avoir visité Vienne, les enfants se sont rendus au Tyrol.
13:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
Retour sur la Journée Identitaire du 18 août 2012.
Au sein de la revue Identitaires n°11 d’août 2012, est annoncée la conférence que j’ai tenue le 18 août 2012 au sein de la Journée identitaire. L’événement (camp identitaire durant une semaine qui se termine par la Journée identitaire) n’a pu se tenir, suite à des pressions, au Château de Lignières dans le Berry. Un autre endroit a cependant été trouvé près de Gien.
Alors que l’événement a donné lieu à trois articles au sein du journal local, l’incendie, par la racaille locale, du bar tabac et d’une salle de sport situés dans la ville voisine n’a pas attiré autant l’attention des journalistes.
Lorsque Philippe Vardon a décidé de convoquer les journalistes pour une conférence de presse devant le lieu de l’incendie, ceux-ci n’ont pas voulu car ils estiment trop dangereux de se rendre dans cet endroit. De plus, il ont déclaré que leur rédaction leur déconseille d’y aller. La conférence de presse s’est donc tenue près de la gare.
Quant à la gendarmerie, elle a préféré que la conférence de presse ne se déroule pas près du lieu de l’incendie. Le fait que Philippe Vardon ait accepté de la tenir près de la gare, n’a pas empêché la gendarmerie de patrouiller devant le lieu où se tenait la Journée identitaire, de contrôler les identités de personnes quittant les lieux et de contrôler la gare. 50 gendarmes sont entrés en action afin de protéger ou surveiller la Journée identitaire, alors qu’aucun incident n’a eu lieu.
Conférence de presse en plein air de Philippe Vardon :
13:10 | Lien permanent | Commentaires (0)
Pays-Bas : les électeurs du PVV parmi les plus sceptiques.
Pays-Bas. Selon une analyse ANP et Sargasso, les électeurs du SP (gauche de la gauche) et du PVV ont plus de méfiance à l’égard des politiciens que les électeurs des autres partis.
Les votes de 3.750 personnes au cours de 13 élections qui se sont déroulées au cours des 40 dernières années ont été analysés. Les enquêteurs posent des questions telles que « Pensez-vous que les partis veulent seulement votre voix, mais pas votre avis ? » ou « Pensez-vous que vous pouvez avoir de l’influence sur les décisions du gouvernement ? » afin de déterminer le degré de septicité des électeurs.
Dans le passé, la Liste Pim Fortuyn et le Centrumdemocraten (deux partis patriotiques disparus) ont attiré beaucoup d’électeurs sceptiques.
Par contre, GroenLinks (gauche écologiste) semble être le parti qui capte le moins d’électeurs sceptiques envers les politiciens.
(La gauche sociale-démocrate est représentée par le PvdA. Le SP est un parti post-communiste. Groenlinks est un parti écologiste de gauche).
12:39 | Lien permanent | Commentaires (0)
01/09/2012
Le 12 septembre 2012, jour fatidique.
« Angela interroge Mario : ‘Qui gouvernera l’Italie après toi ? La vague de populisme nous inquiète’ » (Francesco Bei, la Repubblica) : « Pour une fois, ce n’est pas le spectre du retour de Berlusconi qui préoccupe la chancelière – qui aimerait de toute façon le maintien de Monti au palais Chigi. Le Professore l’a rassurée en parlant du ‘principe de responsabilité’ qui, selon lui, aurait désormais gagné de façon irréversible les trois partis qui le soutiennent au Parlement : ‘Je suis extrêmement confiant sur le fait que les partis politiques ont mûri’, a-t-il dit en conférence de presse, ajoutant que ‘désormais, il y a des obligations européennes que tout le monde doit respecter’. La principale inquiétude, ressentie de Berlin à Bruxelles, est la montée du ‘populisme’ de droite et de gauche, en Italie et ailleurs – notamment aux Pays-Bas, où l’on votera le 12 septembre. Le même jour la Cour de Karlsruhe rendra sa décision sur la compatibilité du fonds de stabilité ‘sauve-Etats’ avec la loi fondamentale. Un jour fatidique, donc : le couperet des juges allemands (jaloux de la souveraineté nationale) et des électeurs néerlandais (en colère contre l’Europe : les sondages donnent les deux principaux partis anti-UE en tête) pourrait ébranler tout l’édifice érigé ces derniers mois. Or en Italie aussi on voit monter des forces hostiles à l’UE – tels le Mouvement 5 étoiles de Grillo ou la Ligue. Pour Merkel et Monti, il faut vite dresser un cordon sanitaire autour de l’euro et du processus d’intégration politique. Avant tout, la chancelière a fait taire ses faucons par un message à visée d’abord interne : laissez Draghi tranquille, et ok à des ‘mesures non-conventionnelles’ pour défendre la monnaie unique. Autre front sur lequel accélérer : l’intégration – union bancaire, supervision européenne des budgets nationaux, pouvoirs élargis pour la BCE et la Commission. Le projet d’union bancaire, auquel le commissaire Barnier a travaillé tout l’été, sera présenté en septembre. Mardi, Barroso l’a présenté en primeur à Monti, lui demandant son aide pour convaincre Merkel – l’Allemagne souhaiterait que la BCE ne contrôle que les 25 plus grandes banques européennes, sans toucher aux caisses d’épargne régionales. Selon des sources italiennes, ‘des avancées ont eu lieu sur tous les thèmes’. Un compromis aurait aussi été trouvé sur la révision des traités souhaitée par Merkel. Pragmatique, Monti connaît bien, d’expérience, les dangers de l’exercice : il sait que dans certains pays un référendum pourrait tout faire sauter. Un sherpa, présent à Berlin, dit ‘d’abord l’intégration puis, dans un second temps, on examinera l’idée d’un nouveau traité’. Il faut faire vite, la maison brûle. Même sur la Grèce (question la plus épineuse), l’accord Monti-Merkel semble un compromis dicté par le réalisme politique : une approche plus ‘soft’ envers Athènes est à l’ordre du jour, mais sans le dire clairement. L’important est parvenir à éteindre rapidement l’incendie. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
22:30 | Lien permanent | Commentaires (0)
Dans une grande gare en Allemagne...
Allemagne. Au sein d'une librairie d'une grande gare du Sud de l'Allemagne, les deux livres du social-démocrate Thilo Sarrazin sont largement exposés. Lorsqu'un social-démocrate dénonce l'immigration et l'euro, cela passe mieux que lorsque cette dénonciation émane d'un nationaliste.
"L'Europe n'a pas besoin de l'euro." et "L'Allemagne se suicide."
22:23 | Lien permanent | Commentaires (0)