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19/04/2012

Marine Le Pen répond à la question « La Russie de Poutine est-elle une démocratie ? »

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France et Russie. Marine Le Pen répond, au sein d’une interview de Nouvel observateur, à la question « La Russie de Poutine est-elle une démocratie ? » : 

«  Rien ne permet d’affirmer du point de vue constitutionnel qu’elle ne l’est pas. Il n’y a pas de parti unique que je sache et aucun analyste sérieux ne pourra affirmer que Vladimir Poutine ne jouit pas d’une solide légitimité populaire et qu’il ne dispose pas d’une solide majorité. Si vous lisez la presse russe vous verrez que le ton de la presse d’opposition y est bien plus libre et virulent à l’encontre de Poutine qu’elle ne l’est en France à l’égard de Sarkozy. Le problème que nous avons, par rapport à la Russie, est que notre perception est influencée par les représentations stratégiques que les réseaux idéologiques américains et européens, hostiles au national-pragmatisme russe, ont installées au cœur de nos médias dominants. »

(http://tempsreel.nouvelobs.com/election-presidentielle-20...)

18/04/2012

Proposition de loi PVV pour combattre la violence en groupe.

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Pays-Bas. Le Député du PVV Madame Lilian Helder a déposé une proposition de loi afin de combattre les violences commises en groupe. (Lorsque par exemple des violences ont été commises en groupe et ont entraîné une blessure, il est difficile pour le ministère public de démontrer qui au sein du groupe est l’auteur des faits qui ont conduit à la blessure.) La proposition de loi a pour objet de tenir pour pénalement responsable l’ensemble des personnes du groupe.

Marche de l'ONR à Katowice.

Pologne. Le samedi 14 avril 2012, l’ONR (Camp national radical) a organisé  à l’occasion de l’anniversaire de sa fondation.une marche à Katowice.

Au sommet à 4 du palais Chigi se superpose la rencontre Monti-Berlusconi.

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« Au sommet à 4 du palais Chigi se superpose la rencontre Monti-Berlusconi » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) :  « Singulier télescopage au palais Chigi : hier soir le sommet du trio politique Alfano-Bersani-Casini avec Monti, long et non sans tensions ; demain la rencontre à deux Monti-Berlusconi, rare occasion de contact entre le titulaire et son prédécesseur. Au plan politique, la coïncidence surprend. Avec cette question : qui fixe la ligne au PdL ? Alfano [secrétaire général du Peuple de la Liberté (PdL)] hier soir ou Berlusconi demain ? Car des résultats d’hier soir, impliquant aussi Bersani et Casini, dépend l’équilibre global sur lequel s’appuie l’exécutif au Parlement. Le Cavalier, tel qu’on le connaît, voudra avoir son mot à dire sur des points controversés : mesures pour la croissance, impôts, et bien sûr attribution des fréquences TV et projet de loi anticorruption, thèmes qui lui tiennent à cœur. L’‘ingérence’ sera sens doute discrète, voire non médiatisée. La stratégie de Berlusconi paraît claire : soutenir Monti jusqu’à la fin de la législature et user de l’écran de l’exécutif technicien pour éviter la ‘diaspora’ à droite et consolider son camp. Mais l’affaire des fréquences est douloureuse et, dans l’optique berlusconienne, appelle une réaction (voire une autre négociation pour l’exécutif). Berlusconi pèse encore assez lourd dans le paysage pour éclipser, en partie au moins, le sommet d’hier – d’où un problème pour ses trois acteurs politiques. Hier soir chacun d’eux avait besoin d’un résultat concret à exhiber à sa base (vu la proximité des municipales). Bersani sait qu’il doit porter les inquiétudes des communes et les angoisses des couches frappées par la crise. Alfano, lui, veut voir reconnu le rôle du PdL dans le remodelage de la réforme du marché du travail et l’amorce d’un léger allègement fiscal (la TVA par exemple). Et Casini veut rester le barycentre de la majorité. Les trois ont été pris au dépourvu par l’irruption de la question des fréquences TV. Bersani n’avait aucun intérêt à en parler, au palais Chigi, et Alfano ne pouvait pas ne pas relayer la frustration de Berlusconi et de qui, à droite, estime que le ministre Passera n’a pas respecté les accords. La soirée, on le voit, n’a pas été des plus sereines. Mais le point est que demain Berlusconi voit Monti. Et reste à savoir comment ce dernier va gérer cette rencontre si près du sommet à 4. » 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Manifestation de Młodzież Wszechpolska à Łódź.

Pologne. Le samedi 14 avril 2012, le mouvement Młodzież Wszechpolska (Jeunesse de toutes les Polognes) a organisé une manifestation à Łódź contre la propagande homosexuelle. 250 personnes ont été présentes.

Voir les photos et la vidéoo de la manifestation  :

http://marsznormalnoscilodz.blogspot.com/2012/04/marsz-no...

Sondage pour l'Assemblée de Londres.

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Royaume-Uni. Un sondage pour les élections de l'Assemblée de Londres, réalisé par YouGov pour l’Evening Standard, donne l’UKIP à 5 % et le BNP à 1%. Un tel résultat permettrait à l'UKIP d'avoir des élus au sein de l'Assemblée de Londres et le BNP n'en aurait plus.

Article du Rf sur la Conférence nationaliste internationale du HČSP à Zagreb.

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Le Renouveau français publie sur son site un article intéressant sur la Conférence nationaliste internationale du HČSP à Zagreb qui a suscité une réaction du président croate, notamment à cause de la présence des deux principaux dirigeants du HVIM (Hongrie) qui sont également des élus du Jobbik (Gyula György est député national et László Toroczkai est un élu régional) : http://renouveau-francais.com/?p=703

Royaume-Uni : sondages.

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Royaume-Uni. Un sondage réalisé par youGov auprès de 1.783 personnes donne l’UKIP en troisième position à 9%, en cas d'élections législatives, devant le Parti libéral-démocrate : 

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Un autre sondage, réalisé par Populus, auprès de 1.003 personnes donne l’UKIP à 5% : 

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Congrès des FA de Basse-Autriche.

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Autriche. Lors du congrès des FA (Freiheitliche Arbeitnehmer – Travailleurs libéraux [nationalistes]) de Basse-Autriche, Johann Burgstaller a été réélu à l’unanimité president. La Présidente du FPÖ de Basse-Autriche Madame Barbara Rosenkranz l’a félicité. Plusieurs jeunes ont fait leur entrée au sein de la direction des FA de Basse-Autriche. Lors de son discours, Johann Burgstaller a mis l’acccent sur le travail réalisé et avant tout sur la création de la Jeunesse des FA de Basse-Autriche.

17/04/2012

Déclaration de Tomislav Nikolić à propos du Kosovo.

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Serbie. Le Président du SNS Tomislav Nikolić a déclaré qu’une Serbie dirigée par le SNS dira « Non » à l’adhesion à l’Union européenne si la condition à celle-ci est l’abandon du Kososvo par la Serbie. 

Le SRS opposé à l'adhésion de la Serbie à l'Union européenne.

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Serbie. Le Vice-président du SRS Zoran Krasić a déclaré lors d’un rassemblement électoral à Šabac que la Serbie n’a pas besoin de l’Union européenne. Il a décrit le SRS en tant que seul parti combattant l’intégration européenne de la Serbie : « Nous n’avons pas besoin de l’Union européenne qui est en train de nous voler le Kosovo, pendant que ses entreprises sont en train de voler les emplois de notre peuple. Nous sommes en train de financer ses entreprises qui créent peu d’emplois pendant que nos entreprises sont en ruine(s).»

Aleksandar Martinović, autre vice-président du SRS, a declaré que les politiciens serbes doivent agir d’une manière responsable et a dénoncé les pratiques du gouvernement en place dont les membres mettent en avant des promesses qu’ils n’ont pas réalisées au cours des douze dernières années.

Suisse : "Pas d'éducation sexuelle avant l'âge de 12 ans!"

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Suisse. Un comité, qui comprend notamment les UDC Oskar Freysinger et Dominique Baettig, a lancé une initiative contre la «sexualisation à l'école». Il a six mois pour récolter 100.000 signatures.

Histoire politique : conférence de Jean-Claude Rolinat sur Salazar.

Vidéo de la conférence de Jean-Ckaude Rolinat sur le dirigeant du Portugal Salazar au Local le 5 avril 2012 :


Un an et demi après son acceptation, l'initiative pour le renvoi des criminels étrangers n'est toujours pas appliquée.

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Suisse. L'UDC accuse le Conseil fédéral de bafouer l'avis du peuple. Un an et demi après son acceptation, l'initiative pour le renvoi des criminels étrangers n'est toujours pas appliquée :

http://www.lematin.ch/suisse/L-UDC-accuse-le-Conseil-fede...

Un cadre du SNS estime que Ratko Mladić est un héros.

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Serbie. Lors d’une émission de télévision, Madame Jorgovanka Tabaković, haut cadre du SNS, a déclaré que Ratko Mladić (emprisonné à La Haye) a été un honnête soldat serbe et mérite d’être un héros. Elle a ajouté que « si ils établissent et prouvent qu’il est un criminel et que quelqu’un me convainc de cela, je changerai peut-être d’avis. »

Entretien avec Gianfranco Fini dans La Repubblica.

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Entretien avec Gianfranco Fini, président de la Chambre, dans La Repubblica – « Le monde politique est en train de danser sur le Titanic. Il faut tout de suite diviser par deux les remboursements électoraux » : « On risque d’assister à une implosion de tout le système politique. Il faut réagir sans tarder ou on sera face à trois options, toutes pires les unes que les autres : un abstentionnisme sans précédent, une fragmentation de la représentation ou un populisme exacerbé visant les partis et l’Europe. Un mélange explosif. La crise actuelle est bien plus grave que celle qui a conduit à la fin de la Ière République. Réformer le système des remboursements électoraux ne suffit pas : il faudrait les diviser par deux. Réformer le mode de scrutin ne suffit pas non plus, si l’on ne réduit pas le nombre de parlementaires dès la législature à venir. Il faut s’y mettre maintenant. D’autre part, les Italiens réclament à grands cris des parlementaires élus et non, de fait, nommés. Gardons-nous de donner l’impression qu’on parle de réformes institutionnelles sans les mener à bien. A propos de corruption, il faut aussi que les partis marchent main dans la main : la corruption aujourd’hui est un problème généralisé, ce ne peut être un étendard brandi par un parti contre un autre. Soyons positifs : dans cette phase critique, l’exécutif dispose d’une large majorité. Les partis ont fait preuve de sens des responsabilités pour remettre le pays sur les rails. Certes la situation exceptionnelle qui a porté Monti au pouvoir ne peut être vue comme la règle. Les élections à venir rendront le choix aux électeurs. En attendant, dans certains cas, le président du Conseil paraît plus supporté que soutenu par le PD et le PdL, partis qui composent la majorité. Pour ce qui est du 3e pôle, le projet que je porte avec Casini et Rutelli est celui d’un grand mouvement propre à rassembler des hommes et des femmes de bonne volonté du centre, de droite et de gauche pour rebâtir notre système politico-institutionnel et relancer l’économie. Dans les semaines à venir, après les municipales de mai, tout sera plus clair. S’agissant de Berlusconi : ‘qu’il est pénible de voir qui était appelé à gouverner l’Italie se divertir de façon aussi vile, entouré de courtisans qui de peur de la disgrâce n’avaient pas le courage de lui dire que c’était honteux. »

(Traduction : ambassade de France à Rome.)

16/04/2012

Conférence nationaliste internationale du HČSP à Zagreb.

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Croatie. Le HCSP a organisé une conférence nationaliste internationale à Zagreb. L’objectif du congrès est de soutenir les généraux croates emprisonnés à La Haye (Pays-Bas). 

Le mouvement nationaliste flamand (Belgique) Voorpost a envoyé Seth Van Passel. Laszlo Toroczkai et Gyula Zagyva, dirigeants du HVIM (Hongrie) et élus du Jobbik (Hongrie), étaient présents ainsi que des représentants de l’ORIM (Organisation révolutionnaire intérieure macédonienne), du Bulgarski Nationalen Soyuz, des Allemands et des Français, parmi lesquels Thibaut de Chassey, dirigeant du Renouveau français. 

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Thibaut de Chassey (tout à gauche), 4ème Laszlo Toroczkai et 5 ème Gyula Zagyva.

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Thibaut de Chassey parle. Troisième à droite : Seth Van Passel.

Tyrol du Sud / Haut-Adige : « Sans Rome vers le futur ».

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Italie. Tyrol du Sud / Haut-Adige.  Plusieurs milliers de personnes ont participé sous la devise « Sans Rome vers le futur » à une marche pour la liberté en vue de réclamer la séparation du Tyrol du Sud de l’Italie. Parmi les personnes présentent figuraient Eva Klotz et Sven Knoll du Süd-Tiroler Freiheit, Andreas Pöder de l’Union für Südtirol et les Députés autrichiens du FPÖ Werner Neubauer et Mathias Venier. Par contre, le parti die Freiheitlichen a refusé de participer à cette manifestation car il estime qu’elle peut déservir la cause de l’indépendance du Tyrol du Sud.

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"Marche pour la liberté. Sans Rome vers le futur. Bozen, le 14 avril 2012."

Livre : « De jonge Fortuyn ».

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Pays-Bas. Un nouveau livre en néerlandais paraît sur Pim Fortuyn : « De jonge Fortuyn » (Le jeune Fortuyn). C’est la première partie de la biographie de Pim Fortuyn écrite par le journaliste Leonard Ornstein. L’auteur raconte les débuts de l’existence de Pim Fortuyn depuis sa naissance en 1948 jusque la fin de ses études en 1972. 

Marten Fortuyn, le frère de Pim, et Marco Pastors étaient présents lors de la présentation du livre.

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"Le jeune Fortuyn."

Livre : « 10 jaar zonder Pim. »

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Pays-Bas. Un nouveau livre en néerlandais paraît sur Pim Fortuyn : « 10 jaar zonder Pim » (10 ans sans Pim). Ce livre de Joost Eerdmans et Martijn van Winkelhof donne la parole à des personnes qui ont joué un rôle important avant et après le décès de Pim Fortuyn : Harry Mens,  Felix Rottenberg, Lidy Nicolasen, Wouke van Scherrenburg, Ivo Opstelten, Hans Wiegel, Paul Schnabel, Marcel van Dam, Herman Heinsbroek, Marco Pastors. 

Les personnes interrogées répondent à des questions afin de déterminer ce qui a été perdu et appris : « Quelles leçons les politiques ont-ils tiré après la mort de Pim Fortuyn ? », « Geert Wilders est-il le successeur de Pim Fortuyn ? »,  « Pim Fortuyn, un tremblement de terre politique ou une tempête dans un verre d’eau ? », « Les médias ont-ils tiré des conséquences de l’assassinat de Pim Fortuyn ? », « Dans un an, l’assassin de Pim Fortuyn sera libre. Qu’en pensez-vous ? » [Condamné à 18 ans de prison en 2003, pour les faits commis en 2002, l'assassin de Pim Fortuyn pourrait sortir en 2014, bénéficiant d'une remise de peine de 1/3].

« 10 ans sans Pim » est un livre au sein duquel est analysé, de différents points de vues et opinions politiques,  la manière dont la pensée de Pim Fortuyn continue à exister. 

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"10 ans sans Pim. 12 personnes qui ont joué un rôle important font le bilan de l'héritage de Fortuyn."

Le Jobbik commémore les victimes de Katyn.

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Hongrie. Le Jobbik a célébré, dans un parc de Budapest consacré aux victimes de Katyn, la mémoire des morts de Katyn. Le Parti conservateur Fidesz a également tenu une cérémonie en cet endroit.

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Le Député du Jobbik István Szávay.

Hémorragie pour la Ligue.

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« Hémorragie pour la Ligue qui tombe à 6,6%. Ceux qui s’en vont : jeunes, ouvriers et retraités » (Renato Mannheimer, Corriere de dimanche) : « La Ligue du Nord est dans la tourmente. Les graves problèmes internes du mouvement de Bossi ont eu des répercussions à la fois sur la Ligue et sur l’ensemble du cadre politique. Tout d’abord, la Ligue est tombée de 9% fin février (et 8% aux législatives de 2008, 10% aux européennes en 2009), à 6,6% des intentions de vote. Certes, le scandale y est pour beaucoup mais la crise interne de la Ligue, depuis quelques mois déjà, lui coûte des points. Ceux qui l’ont quittée (surtout les jeunes, les ouvriers et – dans une moindre mesure – les retraités) ne se sont pas particulièrement tournés vers d’autres partis : à ce stade, ils vont grossir les rangs des indécis et des abstentionnistes potentiels. De ce fait, Maroni s’est dit quasi-sûr de les faire revenir en ‘faisant le ménage’. Le problème est de savoir s’il peut y arriver. Car plus de 80% des sondés ne croient pas que la Ligue soit en mesure de redresser la barre et d’échapper au déclin. 14% seulement (et 38% à droite, soit une minorité) estiment que Maroni peut y arriver. L’opération qu’il envisage apparaît donc très ardue. En théorie, il a à disposition un large vivier d’électeurs potentiels, fût-ce en concurrence avec d’autres mouvements d’opposition. La profonde défiance envers les partis suscite un désir répandu de forces politiques ‘nouvelles’, totalement différentes des partis traditionnels. Le phénomène s’est encore amplifié ces jours-ci. Les scandales touchant la Ligue et la réponse insuffisante des partis en matière de financement public ont contribué la semaine dernière à réduire encore la considération dont jouissent les partis actuels : à peine 2% de la population dit avoir confiance dans les partis, contre 4% le mois dernier. 2% de la population adulte, soit à peine un million d’Italiens. Plus grave : cette perte de confiance finit par toucher aussi désormais les principales institutions démocratiques : la confiance dans le Parlement, par exemple, qui était à 25% l’an passé, est tombée à 11% aujourd’hui. Presque 9 Italiens sur 10 ne croient plus au principal organe électif de notre pays et ne se sentent plus représentés par lui. Le signe d’une crise de confiance institutionnelle gravissime, qui demande à être contrecarrée par une réaction forte et immédiate. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Elections municipales 2012 à Innsbruck.

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Autriche. Tyrol. Élections municipales à Innsbruck du dimanche 15 avril 2012. Lors de l’élection directe du maire, le candidat du FPÖ August Penz a récolté 5 % des voix. Lors de l’élection du Conseil municipal, le FPÖ passe de 5 % en 2006 à 7,7 % des voix en 2012. Le parti dispose de 3 mandats de conseiller municipal.

(http://wahlen.innsbruck.gv.at/)

15/04/2012

Élections pour le Parlement de Thurgovie.

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Suisse. Lors des élections pour le Parlement de Thurgovie qui se sont déroulées ce dimanche 15 avril 2012, l’UDC reste premier parti mais perd 10 sièges et tombe à 41 sièges. 

Selon Walter Marty, président de l'UDC du Canton de Thurgovie, environ la moitié des mandats perdus sont liés à la réorganisation des circonscriptions électorales, au nombre de 5 cette année, contre 8 il y a quatre ans. 

La mise en cause par Hermann Lei et d'autres responsables de l'UDC des pratiques du Président de la Banque nationale suisse Hildebrand aurait également influencé négativement l'électorat. M. Lei, contre lequel une enquête pénale est en cours a néanmoins été réélu (le Ministère public zurichois a ouvert une enquête pénale pour infraction au secret bancaire contre les Députés UDC Hermann Lei et Claudio Schmid. Christoph Blocher a aussi été entendu dans le cadre de l'enquête).

Pascal Bertschinger, président du PBD, estime que son parti a gagné ses cinq mandats principalement au détriment de l'UDC. (Le PDB est une dissidence centriste de l’UDC).

( http://www.tg.ch/documents/NR11_c_11334503481804.pdf )

Répartition des sièges (en Suisse allémanique, l'UDC s'appelle SVP). 

(En vert : 2008. En rouge 2012).

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Résultats en % :

(En vert : 2008. En rouge 2012).

La perte en % de l'UDC équivaut preque totalement au résultat du PDB (BDP en allemand).

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Participation électorale entre 1968 et 2012 :

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La participation électorale est tombée à 30,8 %.

Csanád Szegedi estime que la Hongrie doit quitter l'Union européenne.

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Hongrie. Le Député européen du Jobbik Csanád Szegedi déclare que la Hongrie devrait quitter l’Union européenne. C’est selon lui la clé du redressement économique.

Le Jobbik est favorable à une alliance des nations européennes indépendantes, mais estime que la Hongrie doit quitter l’Union européenne pour différentes raisons : le système européen des quotas suffoque la croissance économique hongroise et le pays ne peut dans un tel contexte sortir de la crise économique qui le frappe, la Hongrie doit équilibrer ses relations économiques entre l’Allemagne, la Russie et la Turquie plutôt qu'’être totalement dépendante du marché européen. Csanád Szegedi pense qu’à l’instar de la Norvège ou de la Suisse, la Hongrie doit maintenir ses frontières ouvertes avec les pays membres de l’Union européenne tout en n’étant pas membre de cette dernière. Il ajoute que l’économie hongroise doit se réapproprier son propre marché et également pénétrer les marchés turcs et russes en redémarrant la production hongroise, l’Union européenne ayant éradiqué l’industrie et l’agriculture hongroise. De plus, les énergies renouvelables doivent être développées au même titre que les ressources en eau.

Selon Csanád Szegedi, la Hongrie est en mesure de fournir des produits agricoles à 30 millions de personnes (la Hongrie compte 10 millions d’habitants). Le système des quotas de l’Union européenne l’en empêche.

Il ajoute que le Jobbik supporte le concept de l’Europe des nations indépendantes. Cependant, cet idéal ne peut être basé sur la colonisation, l’exploitation, et la stigmatisation des autres nations, mais seulement sur la confiance et la coopération. Cette association de nations indépendantes ne peut accepter les lois linguistiques discriminatoires slovaques, le maintien des décrets Benes et le fait que les agriculteurs hongrois reçoivent moins d’aide que leurs collègues de l’Ouest. 

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Csanád Szegedi