19/08/2010
Merci à Anne Kling, l'auteur de "La France LICRAtisée".
Merci à Anne Kling d’avoir placé un lien sur son site Internet renvoyant à un de mes articles, à propos des manipulations de la presse à l'encontre de Jörg Haider.
Le document publié par le magazine autrichien « Profil », le 9 août 2010, et qui s’est avéré être un faux.
16:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
Australie : où sont Pauline Hanson et son parti "One nation"?
Hors, un parti patriotique s’est développé dans le passé en Australie, puis a été éliminé suite à l'utilisation de méthodes répugnantes :
14:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
La revue espagnole Identidad publie un(e) interview de HC Strache.
La revue espagnole Identidad publie un(e) interview du Président du FPÖ autrichien Heinz-Christian Strache.
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L'UDC Suisse s'oppose à la constitution d'un groupe de travail pour préparer l'adhésion à l'UE.
Le Conseil fédéral continue de dissimuler ses véritables intentions en politique européenne. Pendant que la présidente de la Confédération parle de poursuivre sur la voie bilatérale, la ministre des affaires étrangères évoque au cours de la même conférence de presse la conclusion d'un accord-cadre avec l'UE ainsi que l'adhésion à l'EEE. L'UDC rejette la constitution d'un groupe de travail pour régler les relations institutionnelles avec l'UE. Un tel organe ne répond à aucune nécessité. Une fois de plus on fera débattre et négocier la poursuite de la politique européenne suisse par des fonctionnaires qui n'ont d'autre souhait que de pousser la Suisse dans l'UE. Il est hors de question que de telles négociations intègrent institutionnellement la Suisse dans l'UE. L'UDC s'oppose aussi à tout automatisme dans la reprise de droit UE, de même qu'à un dit accord-cadre. Les déclarations de la ministre des affaires étrangères, Micheline Calmy-Rey, font clairement comprendre que ce groupe de travail serait chargé de préparer l'adhésion de la Suisse à l'UE. Or, l'UDC refuse catégoriquement une adhésion à l'UE ou à l'EEE et combattra tout projet dans ce sens.
Les rapports entre la Suisse et l'UE devront à l'avenir également passer par des négociations concrètes dans des domaines intéressant les deux partenaires. Nul besoin à cet effet de former un groupe d'accompagnement dont la mission réelle est de faciliter la reprise du droit UE par la Suisse et de préparer l'adhésion à l'UE. L'accord de Schengen nous donne une idée précise des conséquences réelles de ce genre de processus: en une période extrêmement brève, la Suisse a dû procéder à plus de 100 adaptations de son droit à l'acquis de Schengen. L'UDC s'oppose avec détermination à un dit accord-cadre avec l'UE ou à l'adhésion de la Suisse à l'EEE, projets que la ministre des affaires étrangères, Micheline Calmy-Rey, a une fois de plus relancés à la conférence de presse d'aujourd'hui. L'UDC invite le Conseil fédéral à enfin faire preuve d'honnêteté et à révéler ses véritables intentions en politique européenne.
(Traduction : ambassade de France à Rome)
14:09 | Lien permanent | Commentaires (0)
18/08/2010
Reportage : quoi de neuf en Haidérie (Carinthie) ?
Les dirigeants et cadres du FPK, le parti patriotique qui dirige la Carinthie, sont très occupés en ce moment. Ils travaillent beaucoup pour la Carinthie et pour le FPK.
La façade du bâtiment du gouvernement de Carinthie est en travaux de rénovation (photo : Lionel Baland).
L'entrée du bureau du Gouverneur (FPK) de Carinthie Gerhard Dörfler (photo : Lionel Baland).
Le bâtiment du BZÖ est devenu celui du FPK (photo: Lionel Baland).
16:26 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le PdL s’adresse au Quirinal : "si la confiance n’est pas votée, aux urnes. Tout le reste est manœuvre politicienne."
(Traduction : ambassade de France à Rome)
16:24 | Lien permanent | Commentaires (0)
Livre en allemand sur Karl-Theodor zu Guttenberg, l’étoile montante de la CSU.
00:38 | Lien permanent | Commentaires (0)
17/08/2010
Elections de Vienne : les nouvelles affiches de Heinz-Christian Strache.
"Plus de courage pour notre "Sang viennois". Trop d' "étranger" (dans le sens de choses étrangères) n'est bon pour personne. C'est pourquoi "Oui" à Strache". (Wiener Blut, Sang viennois, est une célèbre valse viennoise de Johann Strauss fils écrite en 1873).
20:13 | Lien permanent | Commentaires (0)
Nouveau parti : Gianfranco Fini freine.
« En ce moment, les finiens ont deux visages, selon que la balance penche en eux en faveur du faucon ou de la colombe. Le FLI n’est encore qu’un groupe parlementaire à la Chambre et au Sénat, premier exemple depuis 1946 de groupes autonomes sans parti derrière eux. Pour Briguglio, ‘le nouveau parti naîtra à bref délai’. Selon F. Rossi, directeur du site Farefuturo, il marquera le passage du ‘non-berlusconien’ à l’‘anti-berlusconien’. Urso, s’inspirant du mouvement Tea Party américain, dit que ‘ce ne sera pas un parti traditionnel’ : ‘nous serons innovants et modernes, comme nous l’avons été sur le plan des contenus.’ Que fera Fini le 5 septembre à Mirabello pour sa première sortie officielle ? Aura-t-il dit quelque chose la veille, en allant voir à Rieti l’ApI de Rutelli ? Une chose est sûre : il ne lancera pas le parti. ‘La formule du nouveau parti n’est pas à l’ordre du jour’, assure Silvio Moffa, coordinateur des groupes FLI. Il est bien plus urgent de trouver un modus vivendi au sein du centre droit et du PdL, en régénérant le pacte de législature, et de sortir le gouvernement de l’impasse. Fini est pour la clarification demandée par Berlusconi, mais sans passer par ses fourches caudines : relancer le programme pour ôter aux berlusconiens l’alibi du schisme et d’élections inévitables. Pour l’heure, on discute plus du quotidien que d’avenir : le plus urgent reste d’endiguer la boue déversée par les journaux berlusconiens. L’intervention institutionnelle de Napolitano a été extrêmement appréciée. Dans son discours, le président de la Chambre abordera le problème de la loi électorale à réviser – une affaire indigeste pour le président du Conseil. Pour la ligne dure, représentée par le pasdaran finien Briguglio, ‘rester comme avant n’est plus possible’ : il faut prendre acte qu’il y a maintenant au centre droit trois partis : PdL, Ligue et FLI, voire idéalement quatre, ‘en faisant revenir Casini dans la majorité’. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Belgique : LVCI organise le 11 septembre 2010 une manifestation contre la construction d'une mosquée à « Ground Zero » à New-York.
Filip Dewinter du Vlaams Belang, qui dirige l'association LVCI , déclare : « Barack Hussein Obama se couche devant les musulmans et montre son vrai visage de musulman. Une mosquée à « Ground Zero » à New-York est une provocation musulmane et une claque au visage de toutes les victimes du 11 septembre. »
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Le Parti du peuple danois veut l'arrêt total de l'immigration en provenance du Tiers-monde.
Le Parti du peuple danois a annoncé son intention d’appeler à un arrêt complet de l’immigration en provenance du Tiers-monde. Il s’agit d’une évolution idéologique au sein de la direction du parti.
Rappelons que le Parti du peuple danois soutient le gouvernement conservateur et libéral de l’extérieur. En échange de son soutient, au sein du Parlement, au gouvernement, le Parti du peuple danois impose sa politique restrictive en matière d’immigration.
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Un rassemblement mondial des patriotes tous les deux ans?
Selon Adam Walker du BNP (British National Party - Royaume-Uni), le rassemblement, qui a eu lieu au Japon et a réuni 90 délégués venus du monde entier, devrait avoir lieu tous les 2 ans.
Une partie des délégués.
13:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
16/08/2010
Congrès nationaliste au Japon (suite) : manipulation de la presse.
Le Député européen du Vlaams Belang Philip Claeys, qui était du voyage, apporte des précisions.
Lors du séjour, au cours duquel des débats - portant sur les thèmes tels que l’immigration, l’intégration, l’identité et la globalisation - ont eu lieu, différentes visites de curiosités touristiques ont été réalisées, parmi lesquelles une a été dédiée au sanctuaire Yasukuni. Cet endroit est consacré à la mémoire de 2,5 millions de personnes décédées au service de l’Empereur du Japon depuis 1867.
Environ cinq millions de personnes visitent annuellement ce site. Giulio Andreotti (qui fut ministre puis Premier ministre en Italie), le roi de Thaïlande, le président du Pérou, le président de Taiwan et le Dalai Lama s’y sont rendus. Prétendre, comme l’on fait certains organes de presse, que les représentants de ces différents partis européens seraient allés à cet endroit pour rendre hommage à la politique expansionniste pratiquée par le Japon au cours des années 1930-1940 est complètement ridicule.
Koen Dillen du Vlaams Belang (Flandre - Belgique), Alberto Torressano (Madrid - qui assistait en novembre 2009 à la réunion de Synthèse nationale à Paris et lit ce blog Internet. Nous en profitons pour le saluer) et Adam Walker (BNP).
Enrique Ravello est également du voyage (il était lui aussi présent lors de la la réunion de Synthèse nationale à Paris et lit ce blog Internet. Nous avons réalisé ensemble l'article "Espagne : la résistance identitaire fait irruption dans le paysage politique catalan…" paru dans Synthèse nationale N°17. Nous le saluons également).
Article sur le séjour
Voici un lien vers un article sur la visite de patriotes européens au Japon :
23:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le BZÖ de Styrie présente 108 candidats pour les élections du Parlement du Land.
Autriche. Lors d’une conférence de presse, le BZÖ de Styrie a présenté, ce 16 août 2010, ses listes pour les élections du Parlement du Land. 108 candidats, le maximum possible, figurent sur les listes du BZÖ qui se présente sous l’étiquette « Liste Gerald Grosz – BZÖ ».
22:34 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'UDC Suisse présente sa propre candidature aux élections complémentaires au Conseil fédéral.
Le groupe parlementaire UDC s'est réuni aujourd'hui pour discuter de la marche à suivre concernant les élections complémentaires au Conseil fédéral du 22 septembre 2010. S'engageant clairement pour la concordance, les parlementaires UDC insistent par conséquent sur le droit de leur parti à un deuxième siège au Conseil fédéral. Parti réunissant de loin le plus grand nombre de suffrages, soit près d'un tiers des électrices et électeurs suisses, l'UDC a de tous les partis le droit le mieux établi à occuper deux sièges au gouvernement national. Le groupe parlementaire a donc décidé aujourd'hui de présenter sa propre candidature aux élections gouvernementales complémentaires de la session d'automne des Chambres fédérales. Les partis cantonaux et les membres du groupe sont invités à annoncer les éventuelles candidatures d'ici au 31 août 2010.
Les quatre démissions de conseillers fédéraux durant cette seule législature sont une illustration du mauvais état dans lequel se trouve le gouvernement fédéral. Toutes ces démissions ont été involontaires et sont la conséquence d'insuffisances dans la conduite des affaires et/ou de pressions extérieures. La capacité de fonctionner du Conseil fédéral suscite des doutes depuis longtemps déjà. La raison profonde en est la dégradation des élections au Conseil fédéral qui sont tombées au niveau de manipulations politiciennes indignes. C'est précisément dans l'idée de redonner aux élections gouvernementales l'importance qu'elles méritent que l'UDC a lancé son initiative pour l'élection du Conseil fédéral par le peuple.
Pour l'UDC, la crise actuelle du Conseil fédéral est surtout une crise des élections au Conseil fédéral. Des intrigues parlementaires de bas étage ont conduit en 2007 à la destruction de la concordance - un système qui a pourtant fait ses preuves, mais qui n'a pas été rétabli depuis. Avant les élections gouvernementales de 2007, l'UDC avait clairement fait comprendre qu'elle n'accepterait pas l'élection d'autres personnes que celle de ses conseillers fédéraux sortants. Tous les milieux concernés étaient donc conscients des conséquences d'une non-élection.
Près d'un tiers de la population, soit les électrices et électeurs de l'UDC, est aujourd'hui sous-représenté au Conseil fédéral. C'est dire aussi que des idées politiques de fond comme l'indépendance de la Suisse (non à l'adhésion à l'UE), la sécurité intérieure (renvoi de criminels étrangers) et la liberté (baisse des impôts pour tous) sont insuffisamment défendues au gouvernement. Cette situation est avant tout le résultat des propositions et des votes de la gauche. La responsabilité en incombe donc avant tout au PS. De ce fait, le PS dispose donc même après la démission du conseiller fédéral Moritz Leuenberger de deux sièges qui doivent lui être attribués.
L'UDC s'engage en faveur de la concordance. Elle a donc invité le PDC, le PLR et le PS à une discussion. Le principe de la concordance a été appliqué entre 1959 et 1999 et entre 2003 et 2007; concrètement, les trois principaux partis pouvaient revendiquer chacun deux sièges et le quatrième parti un siège au Conseil fédéral, et cela malgré leurs conceptions politiques différentes. Cette concordance a non seulement été source de stabilité pour la Suisse, mais elle a aussi assuré la capacité de direction du gouvernement. Si le gouvernement est en crise depuis deux ans et demi, c'est surtout parce que la concordance ne fonctionne plus. Malheureusement, cette discussion sur la concordance n'a pas pu avoir lieu.
L'UDC s'engageant pour la concordance, elle doit logiquement se présenter à chaque nouvelle élection au Conseil fédéral avec son propre candidat, car, conformément aux règles de la concordance, elle a le droit le mieux établi à disposer de deux sièges au gouvernement. Le groupe parlementaire a confirmé aujourd'hui ce principe et ce procédé.
Les partis cantonaux et les membres du groupe parlementaire sont invités à présenter d'éventuelles candidatures au Conseil fédéral d'ici au 31 août 2010. Le groupe désignera le 14 septembre prochain un candidat qui sera ensuite à disposition des autres groupes pour des auditions.
21:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
Fini répond aux accusations.
« Hier, veille du 15 août 2010, restera comme le jour où, au cœur de la politique, il y avait une cuisine. Une cuisine dont l’acquéreur s’appelle Tulliani, et qui, selon les témoins du Giornale, était destinée au logement de Monte-Carlo. Et hier, toujours, Fini souriait. Dans un communiqué, il confirme que cette cuisine existe, mais qu’elle ‘n’est pas à Monte-Carlo’, ajoutant que Feltri, directeur du Giornale, aura à rendre compte aux juges de ses accusations. Fini ironise : ‘c’est sur de telles preuves que je devrais donner ma démission ?’. Une bonne humeur qui contraste avec la mauvaise humeur des derniers jours. Pourtant Feltri promet de donner des preuves des visites de Fini et Tulliani dans l’appartement. Pendant ce temps, à travers la presse, finiens et ex-AN se chamaillent à coups de casseroles. Bien que l’humeur de Fini s’arrange, ses vacances sont désormais gâchées : la famille quittera Ansedonia prochainement, vers une destination plus protégée. »
« Bossi : pas question de gouvernement technique – la Ligue prête à manifester » ‘Luca Ostellino, Il Sole 24 Ore de dimanche) :
« Depuis Ponte di Legno, où il passe ses vacances, Umberto Bossi insiste sur son opposition totale à l’hypothèse d’un gouvernement technique, ainsi que sur sa loyauté envers Berlusconi. Il se dit aussi prêt à protester dans la rue avec le PdL si on cherchait à imposer toute autre solution que des élections anticipées. Pour Bossi, il est impossible de continuer à gouverner avec Fini dans la majorité, et il est trop tard pour trouver un accord avec FLI. Un gouvernement technique étant exclu, pour Bossi, la seule solution permettant de préserver le fédéralisme serait un scrutin anticipé. Mais il admet qu’‘en cas de crise, Napolitano devra écouter tout le monde’. Le chef de l’Etat, lui, clarifie sa position après les polémiques consécutives à son interview à L’Unità : pas de gouvernement technique naissant de la volonté du chef de l’Etat, mais un exécutif auquel le Parlement accorde la confiance. Dans les faits, cela signifie que Napolitano ne considère pas le retour aux urnes comme la solution évidente. Pour Berlusconi, c’est Daniele Capezzone qui parle. Il considère qu’une majorité qui n’est pas le fruit des élections est ‘un tort fait au pays’ : le PdL serait prêt à manifester contre un éventuel gouvernement usurpé. Quant à l’appartement d’AN à Monte-Carlo, il reste au cœur de la polémique, avec Feltri qui promet la publication de preuves sur les visites effectuées sur place par le président de la Chambre. »
« La Ligue au-delà de 11% – Le troisième pôle prend des voix au PD et au PdL » (Renato Mannheimer, Corriere della Sera de dimanche) :
« La perspective d’élections anticipées suggère de profiter de la pause du 15 août pour imaginer quel pourrait être le score des différentes forces en présence. Côté centre droit, le parti en meilleure forme est la Ligue : elle possède une forte cohésion interne, un leadership solide et reconnu, un ancrage sur le territoire. Les sondages de fin juillet lui attribuent environ 10-11% de l’électorat. Mais elle pourrait faire mieux vu l’état des autres forces en présence. Le parti de Berlusconi continue à recueillir de nombreux suffrages (environ 30-31%), surtout grâce au charisme de son leader, dont 40% des Italiens approuvent toujours l’action. Mais en cas d’élections le parti pourrait avoir des soucis au Sud, notamment du fait de son alliance avec la Ligue et de son différend avec Fini et ses lieutenants, bien implantés. Le positionnement de Fini semble donc décisif. Sa formation est donnée à 5-6%, en baisse par rapport aux prévisions précédentes (8-10%). Cette baisse pourrait pousser Fini à s’allier avec l’UdC et Rutelli pour constituer un ‘troisième pôle’ auquel certains attribuent un potentiel de 20%. Des voix qui seraient prises au PdL et au PD, du fait de la lassitude de leur électorat. Le PD semble particulièrement faible, tant sur le plan des intentions de vote (25-26%) que de l’ancrage territorial – absence de leader, difficultés internes, faiblesse du parti. Quant aux autres formations de gauche, elles devraient rester stables sur leurs positions. Mais ce tableau pourrait changer radicalement dans l’hypothèse où le retour aux urnes se concrétiserait : la campagne électorale est décisive quant au choix final des électeurs. Et c’est un art dans lequel Berlusconi est un maître incontesté. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
18:26 | Lien permanent | Commentaires (0)
La nouvelle manipulation médiatique à l’encontre de Jörg Haider est éventée.
Étant il y a une semaine en Autriche, afin de terminer le livre que j’écris sur Jörg Haider, je constate que ce dernier fait, une fois de plus, la une des magazines du pays. Jörg Haider et Ewald Stadler auraient reçu 5 millions de dollars de l’ancien Président irakien Saddam Hussein.
La presse ayant déliré après le décès de Jörg Haider en inventant des histoires d’homosexualité sur Jörg Haider et ses proches, je me demandais, sur ce blog, il y a seulement trois jours, s’il y avait quelque chose de vrai dans ces nouvelles pseudo-révélations.
Voici qu’une enquête menée par le « Presse am Sonntag » met à jour le fait que le document publié il y a une semaine par l’hebdomadaire « Profil », établissant le versement des 5 millions de dollars, est, à l’évidence, un faux.
Le reporter du « Presse am Sonntag » à Bagdad s’est rendu au sein du département d’où le papier est censé émaner. La personne concernée, dont la signature figure sur le document, n’a jamais vu ce document auparavant, la signature n’est pas la sienne et le sceau qui figure sur le document n’était plus utilisé en 2008, date à laquelle ce document est censé avoir été établi.
De plus, ce document est censé avoir été établi par un ministère irakien, puis envoyé à Damas en Syrie, où il aurait été traduit en anglais. C’est peu plausible.
16:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
Franc-parler, le mensuel de l'UDC Suisse.
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Les franc-maçons ont-ils fait assassiner Jörg Haider ? A-t-il été la victime d’un meurtre rituel ?
Pour Guido Grandt, l’auteur d’un livre en allemand qui vient de paraître, Jörg Haider a été assassiné. Selon lui, des symboles occultes ont été trouvés sur les lieux de l’attentat. Il montre pour la première fois le parallélisme qui existe entre l’assassinat de l’héritier du trône d’Autriche-Hongrie François-Ferdinand en 1914 et celui de Jörg Haider.
Jörg Haider combattait les privilèges et instruments non-démocratiques des dirigeants en s’opposant à la politisation et lotisation de l’Autriche, à l’Union européenne, aux banques et à la politique active des loges maçonniques.
Le livre décrit les méthodes médiatiques qui ont été utilisées pour calomnier Jörg Haider.
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15/08/2010
Nouvelles d’Italie, du 3 au 15 août 2010 : Fini tient Berlusconi, mais subit des attaques.
Futuro e Libertà per l’Italia (FLI) est un groupe parlementaire, au sein du Parlement italien, constitué autour de Gianfranco Fini. Il a été fondé le 30 juillet 2010 au sein de la Chambre et le 2 août 2010 au sein du Sénat.
Article de Le Point.fr : http://www.lepoint.fr/monde/italie-32-deputes-proches-de-gianfranco-fini-quittent-le-parti-de-berlusconi-30-07-2010-1220696_24.php
« Motion Caliendo, les finiens pour l’abstention » (Antonella Rampino, La Stampa) :
« A moins d’un revirement soudain, les finiens s’abstiendront, mercredi, lors du vote sur la motion de défiance contre Caliendo. L’alerte a sonné pour les berlusconiens lorsque Fini a reconnu le droit à l’opposition de présenter la motion. D’intenses pourparlers ont alors suivi, exhortant les ‘futuristes’ à retrouver le chemin d’un accord. Fini semble accepter, et propose à Berlusconi un ‘pacte de législature’, qui seul pourrait ‘sauver le gouvernement’. La déchirure totale semble évitée mais la décision finale sera prise ce soir par les 33 députés et les 10 sénateurs finiens de FLI, dont le groupe au Sénat s’est formé hier. Mais ce qui est politiquement relevant, c’est qu’au-delà des finiens, Casini et Rutelli devraient aussi s’abstenir, formant ainsi un ‘troisième pôle’ de 84 députés qui soulignerait la force de conditionnement de FLI. Mais bien qu’un axe Casini-Fini puisse irriter Berlusconi, le gouvernement ne tombera pas mercredi : la motion de censure sera votée par les 227 membres de l’opposition, mais le gouvernement peut compter sur le soutien de 297 députés. »
Entretien avec F. Frattini, ministre des Affaires étrangères, dans La Stampa - « ‘Hors du PDL, Fini n’a pas d’avenir’ » :
« Frattini demande à Fini de ‘revoir ses positions’, car hors du centre-droit, il n’a pas, selon lui, d’avenir politique. Le Ministre se montre confiant : ‘il n’y aura pas de rupture totale, à commencer par la motion de défiance contre Caliendo’. Il ne voit pas Fini comme le leader d’un pôle centriste et croit en un accord. Mais il confirme qu’en cas de conflit, Berlusconi n’hésitera pas à demander des élections anticipées. Il écarte donc l’hypothèse d’un gouvernement de transition : ‘je suis sûr que le chef de l’Etat ne s’y prêterait pas et qu’aucun membre du gouvernement ne se mettrait à la tête d’un gouvernement non élu’. L’option d’un gouvernement Tremonti, qui plaisait à une partie du PD, est donc à exclure. Tout aussi bien qu’une ouverture vers l’UdC, dont les positions sont trop divergentes de celles de la Ligue. Le gouvernement doit continuer à compter sur Fini, ‘une ressource importante’, mais, ‘qui n’est plus le leader naturel du centre-droit’. La solution est donc d’établir une relation avec le FLI, comme celle avec la Ligue. La requête des finiens d’établir un nouveau ‘pacte de législature’ reste peu claire pour Frattini. »
« Berlusconi, en septembre le règlement de comptes : relance, sinon élections » (Ugo Magri, La Stampa) :
« A moins d’un revirement soudain, Berlusconi adoptera la politique de l’autruche et ignorera la faiblesse numérique de sa majorité. Il a des choses plus urgentes auxquelles penser : rénover le parti, relancer le calendrier du gouvernement. Tandis qu’enfle la rumeur d’un Cavaliere furieux contre Fini, Berlusconi en fait aurait la tête ailleurs : vers les réformes et, surtout, vers l’avenir du parti. Berlusconi souhaiterait éloigner les dirigeants nationaux et redonner une nouvelle vie au parti, le rajeunir, instaurer une gestion plus collégiale, où les anciens d’Alliance nationale qui lui sont restés fidèles seraient bien représentés. Une manière de se protéger des attaques de Fini sur la question morale dont ce dernier s’est fait le porte-parole. Le Cavaliere veut éviter une crise, alors que le gouvernement est au pied du mur. Et des pourparlers entre Bersani et Boniauti en sont un signe : l’adversaire commun est au centre. »
Entretien avec R. Maroni, ministre de l’Intérieur, dans le Corriere della Sera – « La situation s’est détériorée, si nous chutons de nouvelles élections auront lieu en automne » :
« Il a passé la journée au Sénat et obtenu un vote unanime sur le plan antimafia, ‘un résultat historique’ pour le ministre de l’intérieur Roberto Maroni. Mais cette unanimité fait exception, en ces temps de troubles politiques. Maroni l’admet : ‘la décision de Fini de quitter le PdL nous oblige à vivoter’, et si le navire chavire, ‘on retourne aux urnes’. L’hypothèse d’un gouvernement technique est donc écartée, et en cas de crise politique, il ne serait possible d’obtenir une nouvelle majorité sans la Ligue, qui s’oppose à une alliance avec l’UdC. Quant à l’existence d’un troisième pôle, Maroni souligne la diversité des groupes en présence et dément cette appellation. Il souligne aussi sa difficulté à comprendre la stratégie politique de Fini, dont ‘la présence avec Berlusconi au sein du PdL aurait pu être fondamentale’. Maroni assure en tous cas le soutien de la Ligue au parti en cas de nouvelles élections. »
« L’erreur politique et les chiffres exacts » (Il Foglio) :
« Les chiffres du vote parlementaire sur la demande de démission de G. Caliendo sont incontestables [299 non, 75 abstentions, 229 oui] : la majorité à la Chambre, même si la différence de voix n’est pas énorme, aujourd’hui n’existe plus. Cela signifie que la décision de S. Berlusconi de chasser G. Fini du PdL, fondée sur une sous-estimation du suivi parlementaire dont il pouvait disposer (probablement amplifié par la façon dont cela s’est produit), a été une erreur. Une erreur qui pouvait, et donc devait, être évitée. Le problème est de comprendre s’il est ou non possible d’y remédier. Dans son intervention au nom des ‘futuristes’, B. Della Vedova a soutenu que ‘la majorité reste solide’, ce qui est faux à ce jour, mais qui pourrait le devenir si les protagonistes de cette affaire passaient le mois d’août à se regarder dans les yeux plutôt que d’examiner leur nombril. L’ambiance de match de foot, hier dans l’hémicycle, reflète cependant une attitude des leaders plus prompts à réitérer leurs idées qu’à rechercher des marges de cohabitation. Fini et Berlusconi ont promis à leurs électeurs la stabilité et ceux qui apparaîtront coupables de l’avoir sabotée, par calcul personnel ou mesures de rétorsion, seront retenus responsables non de la trahison mais de ne pas avoir honoré leur engagement auprès des Italiens. Si l’affrontement ne se calmait pas, l’erreur politique finira par conduire au résultat exact des chiffres et à la fin, c’est-à-dire bientôt, ce seront les électeurs qui décideront des rapports de force. »
« L’automne le plus difficile pour le Président du Conseil » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) :
« Comme prévu, Giacomo Caliendo reste secrétaire d’Etat, et Parlement et gouvernement partent en vacances. Mais le vote d’hier a démontré que le gouvernement ne rejoint pas le seuil des 316 voix, nécessaires pour la majorité absolue, restant par ailleurs en-dessous du seuil des 300 voix (299). Un maigre résultat qui annonce une saison difficile pour le gouvernement Berlusconi : en additionnant les abstentions et les ‘non’, on arrive à 304 voix, plus de la majorité actuelle. Le Cavaliere pour l’instant fera contre mauvaise fortune bon cœur, s’appropriant la thèse de Cicchitto d’une ‘défaite du ‘justicialisme’’ et reportant les problèmes à septembre. Mais l’atmosphère est lourde, surtout entre ex-An finiens et berlusconiens. Berlusconi n’a pas encore de plan alternatif aux élections mais, comme Bossi le rappelle, ‘maintenant il faut résister, et non voter’. Pour éviter la guerre de position, la majorité devra négocier avec les finiens à un coût bien plus élevé que par le passé, un élément qui confirme l’erreur de fond commise par Berlusconi au moment de l’éloignement des dissidents finiens. L’hypothèse des élections est plausible uniquement en cas de crise formelle du gouvernement. Mais c’est au chef de l’Etat d’en décider et il faudrait que cette crise ait lieu pour des raisons d’intérêt national. On ne peut exclure que la majorité entre en crise pour des questions mineures. Alors le chemin serait bien plus tortueux et Napolitano serait le seul à pouvoir décider de l’épilogue de la législature. »
« Berlusconi furieux : ‘élections en novembre’ » (Ugo Magri, La Stampa) :
« Juste après le vote, S. Berlusconi est furieux. ‘Nous étions le gouvernement le plus fort et le plus stable du continent, une référence à l’étranger que tous enviaient et voilà : regardez la dévastation produite par Fini, avec un facteur aggravant : on ne comprend pas ses motivations !’. Berlusconi s’était voulu rassurant mais le vote balaie toutes les fausses illusions. Le président des Sénateurs PdL, M. Gasparri, a fait un discours exemplaire à cet égard : ‘quelles sont les alternatives au vote anticipé ? Je n’en vois pas. En septembre nous nous retrouverons dans les mêmes conditions que maintenant, voire pire. Nous devrons tout négocier avec Fini, dont l’objectif stratégique est notre démantèlement à travers une nouvelle loi électorale ou un gouvernement institutionnel…’. Personne ne consulte le calendrier mais il est clair que la mi-novembre (le 19 peut-être) serait la date idéale pour appeler les Italiens à voter. »
« Avant de penser aux élections, le président du Conseil devrait s’efforcer de gouverner » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) :
« Aucun des protagonistes de la confusion politique actuelle n’a les idées claires sur l’avenir. Sans doute la crise du gouvernement nous a-t-elle tous surpris. Il faut faire la distinction entre les effets d’annonce et la réalité. Nous arriverons sans doute à des élections anticipées mais, à ce stade, personne n’est prêt pour ce défi, et pas même Berlusconi – malgré la rhétorique avec laquelle il alimente son mythe de ‘d’homme d’action’ qui ne veut pas se faire avoir par le ‘théâtre des salons romains’. En reportant tout à l’automne, il a montré qu’il lui fallait gagner du temps pour s’éclaircir les idées. Il ne faut pas oublier que le Quirinal est le principal décideur, et peut-être Berlusconi n’est-il pas si certain de l’issue du vote. La majorité est toujours sienne même si elle est affaiblie et le groupe FLI a réitéré sa loyauté au gouvernement – jusqu’à preuve contraire, il n’y a pas de raison d’en douter. Se résigner à des élections au printemps 2011 signifierait condamner le pays à des mois de mauvais gouvernement. En septembre, le président du Conseil devra donc présenter, avec un PdL à la structure rénovée, une initiative de gouvernement crédible. »
« Appartement à Montecarlo. Les magistrats : ‘aucun motif d’entendre Fini’ » (Francesco Grignetti, La Stampa) :
« Affaire Montecarlo : la première commission rogatoire internationale est partie. Le Parquet de Rome a envoyé à la Principauté de Monaco la commission rogatoire des magistrats enquêtant sur la vente de l’appartement de Montecarlo d’AN à une société mystérieuse dont le siège se trouve aux Antilles. Il est cependant exclu que le président de la Chambre soit entendu : ‘aucun motif pour ça’ dit-on. Pour le moment d’ailleurs, aucune convocation de témoin n’est prévue. Sur la table du magistrat Laviani se trouvent les actes récupérés au siège d’AN il y a quelques jours : l’acte de vente, le testament signé par AM Colleoni, remontant à 1997, qui laisse une partie de son patrimoine à Alliance Nationale pour que le parti continue la ‘bonne bataille’. Mais en a-t-il été ainsi ? L’appartement a-t-il été vendu à un prix correspondant à sa valeur sur le marché ? L’hypothèse du délit est celle d’escroquerie. Il faudra mieux étudier l’estimation de l’appartement pour bien comprendre les choses. »
Entretien avec B. Della Vedova, numéro 2 des députés de FLI, dans La Repubblica – « ‘Assaut digne des stalinistes, la demande de démission est pour nous irrecevable’ » :
« ‘Capezzone demande improprement les démissions de Fini’, dont ‘les explications quant à l’appartement monégasque sont exhaustives’, considère Benedetto Della Vedova. Mais il n’en demeure pas moins que l’affaire Montecarlo aura terni l’image du président de la Chambre : ‘à force de calomnier, quelque chose reste’. Della Vedova critique donc la campagne du PdL contre Fini : ‘ils utilisent l’autorité du pouvoir, l’autorité médiatique dont ils disposent, mais je crois qu’à la fin c’est la donnée politique d’un leader qui veut construire une droite libérale, modérée et européenne, qui prévaudra’. Della Vedova est cependant optimiste : ‘je continue à espérer que le front berlusconien fasse preuve de bon sens’.
« Le président du Conseil pense à diviser et à récupérer les finiens bien plus qu’à des élections » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) :
« Certains évoquent un gouvernement de transition mais cette éventualité semble caduque. Deux objections à ce sujet : 1. La discorde au Parlement ne permettrait pas de travailler sur la réforme du mode de scrutin, tous voudraient changer la loi, chacun ayant un avis ben arrêté (centre gauche, UdC, IdV, FLI) et, du reste, faire une loi électorale contre deux partis (PdL et Ligue) représentant une majorité relative très large n’est pas aisé ; 2. Cet éventuel gouvernement serait trop fragile, sans horizon ni programme, et il serait exposé de manière permanente à l’ire de Berlusconi et Bossi qui cireraient à la trahison pour récupérer des voix, et y réussiraient probablement. Cette perspective n’est donc pas crédible et son principal obstacle est que Berlusconi lui-même préfère explorer d’autres voies, sachant que les élections représentent toujours une inconnue. La Ligue pourrait en effet récupérer des électeurs berlusconiens (les élections régionales avaient déjà indiqué cette tendance) et Berlusconi est affaibli au Sud où finiens et UdC sont plutôt forts et où le cas Sicile est ouvert. Avant de céder à Bossi, le président du Conseil insiste, il veut récupérer une partie consistante des finiens. Il a fait l’éloge, hier soir, d’un document ‘constructif’ des sénateurs adhérant à FLI. A la Chambre, le problème reste entier et Berlusconi met la pression : éloges et ouverture aux dissidents dans le doute, attaques dévastatrices contre le président de la Chambre, pour parvenir à le faire tomber. Un psychodrame qui révèle cependant l’intention de Berlusconi, s’il peut, d’aller de l’avant et non de voter. »
« FLI ouvre au dialogue : ‘il faut une confrontation sérieuse’ » (Monica Guerzoni, Corriere della Sera) :
« La lettre des sénateurs de FLI laisse entrevoir la possibilité d’une trêve et révèle les deux âmes de la créature finienne. D’un côté les ‘responsables’, qui cherchent à calmer le jeu, de l’autre les ‘pasdarans’, anti-berlusconiens. ‘En septembre, la chemin principal doit être une confrontation en terme de calendrier gouvernemental. L’intérêt de l’Italie doit être central et il faut en affronter les priorités : fisc, fédéralisme, Mezzogiorno, réformes, justice’. Une initiative qui tente de rapprocher FLI et PdL et qui souligne les différentes ‘humeurs’ au sein du groupe – dont celle de la majorité, lasse des tons belliqueux de Bocchino, Briguglio et Granata, qui a déclaré ‘les petits jeux de Berlusconi ne nous diviseront pas, nous sommes un groupe solidaire’. La note des sénateurs et les louanges de Berlusconi arrivent à la fin d’une journée où la rumeur d’un groupe de finiens prêt à revenir auprès du Cavaliere circule. Quelques-uns ont déjà exprimé leur mécontentement face aux ‘semeurs de zizanie’. Un autre communiqué, signé Bocchino, Viespoli et Moffa, arrive dans la journée : ‘nous espérons retrouver un climat de respect mutuel entre les institutions, qui doivent être respectées, et non dévalorisées par des requêtes inacceptables’. Une manière de montrer que le groupe est uni pour repousser les attaques contre Fini. Moffa souligne : ‘parmi nous, c’est vrai, il existe des sensibilités différentes, mais il serait faux de compter sur une faible résistance du groupe’. »
(Traductions : ambassade de France à Rome).
04:30 | Lien permanent | Commentaires (0)
Reportage : visite du président du Jobbik, Gábor Vona, au festival Magyar Sziget.
Hongrie. Le 8 août 2010, Gàbor Vona, le président du Jobbik, troisième parti au Parlement de Hongrie, s’est rendu au festival Magyar Sziget.
Des discours tenus par le président du Jobbik, par le président du HVIM et par deux autres députés du Jobbik, on peut retenir que les députés du Jobbik sont complètement méprisés par la droite classique. Le Jobbik continuera à entretenir de bonnes relations avec le HVIM et à soutenir les prisonniers politiques hongrois.
02:46 | Lien permanent | Commentaires (0)
Congrès nationaliste au Japon.
Des représentants de différents partis nationalistes, dont certains sont membres de l’Alliance Européenne des Mouvements Nationaux (AEMN), se sont rendus au Japon à l’invitation du mouvement nationaliste japonais Issuikai.
02:01 | Lien permanent | Commentaires (0)
14/08/2010
Cologne : la construction de la mosquée géante se poursuit.
La construction d’une mosquée géante à Cologne Ehrenfeld se poursuit. Pro Köln (Pour Cologne) avait organisé différentes manifestations contre le projet de construction.
De nouvelles manifestations vont être planifiées par pro Köln dans le but de dénoncer la réalisation de ce bâtiment.
01:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
13/08/2010
Jörg Haider, Saddam Hussein et le Colonel Kadhafi.
Les attaques à l’encontre de Jörg Haider n’en finissent plus. Les photos de Jôrg Haider se trouvent, une fois de plus, en couverture des magazines de la presse autrichienne.
Jörg Haider aurait reçu de Saddam Hussein, l’ancien président irakien, la somme de 5 millions de dollars. Cette somme aurait été remise à Jörg Haider et Ewald Stadler lors d’une visite qu’il ont rendue à Saddam Hussein en mai 2002. Le Colonel Kadhafi, qui dirige la Libye, lui aurait également versé de grosses sommes d’argent. En tout, Jörg Haider aurait reçu au maximum 45 millions d’euros, déposés sur des comptes au Liechtenstein.
Au vu des informations en tous genres parues sur Jörg Haider depuis son décès, on peut se demander ce qui est vrai dans ces affirmations à propos de l'ancien gouverneur de Carinthie.
12:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
Conclave des membres FPÖ du Parlement du Tyrol.
Le Président du FPÖ du Tyrol Gerald Hauser a déclaré que la ligne politique du groupe parlementaire pour l’automne est déterminée de manière claire. En matière d’immigration, le FPÖ a toujours tenu un discours clair. Il s’oppose à l’immigration incontrôlée.
« Les migrants doivent disposer d’une connaissance suffisante de l’allemand et accepter notre culture et notre système de valeurs en tant que culture dominante. Cela afin d’empêcher l’établissement d’une société parallèle au Tyrol. »
En matière sociale, la politique de la préférence nationale doit être appliquée. Les petites et moyennes entreprises doivent être soutenues, ainsi que les familles.
11:47 | Lien permanent | Commentaires (0)