Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

17/08/2010

Nouveau parti : Gianfranco Fini freine.

Le Peuple de la liberté.jpg

Ligue du Nord.jpg
 
Futuro e Libertà per l'Italia.jpg
« Nouveau parti : l’ex-chef d’AN freine » (Claudio Rizza, Il Messaggero) :
« En ce moment, les finiens ont deux visages, selon que la balance penche en eux en faveur du faucon ou de la colombe. Le FLI n’est encore qu’un groupe parlementaire à la Chambre et au Sénat, premier exemple depuis 1946 de groupes autonomes sans parti derrière eux. Pour Briguglio, ‘le nouveau parti naîtra à bref délai’. Selon F. Rossi, directeur du site Farefuturo, il marquera le passage du ‘non-berlusconien’ à l’‘anti-berlusconien’. Urso, s’inspirant du mouvement Tea Party américain, dit que ‘ce ne sera pas un parti traditionnel’ : ‘nous serons innovants et modernes, comme nous l’avons été sur le plan des contenus.’ Que fera Fini le 5 septembre à Mirabello pour sa première sortie officielle ? Aura-t-il dit quelque chose la veille, en allant voir à Rieti l’ApI de Rutelli ? Une chose est sûre : il ne lancera pas le parti. ‘La formule du nouveau parti n’est pas à l’ordre du jour’, assure Silvio Moffa, coordinateur des groupes FLI. Il est bien plus urgent de trouver un modus vivendi au sein du centre droit et du PdL, en régénérant le pacte de législature, et de sortir le gouvernement de l’impasse. Fini est pour la clarification demandée par Berlusconi, mais sans passer par ses fourches caudines : relancer le programme pour ôter aux berlusconiens l’alibi du schisme et d’élections inévitables. Pour l’heure, on discute plus du quotidien que d’avenir : le plus urgent reste d’endiguer la boue déversée par les journaux berlusconiens. L’intervention institutionnelle de Napolitano a été extrêmement appréciée. Dans son discours, le président de la Chambre abordera le problème de la loi électorale à réviser – une affaire indigeste pour le président du Conseil. Pour la ligne dure, représentée par le pasdaran finien Briguglio, ‘rester comme avant n’est plus possible’ : il faut prendre acte qu’il y a maintenant au centre droit trois partis : PdL, Ligue et FLI, voire idéalement quatre, ‘en faisant revenir Casini dans la majorité’. »

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Les commentaires sont fermés.