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11/05/2010

Le secrétaire général du BZÖ écarte toute réunification avec le FPÖ.

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Autriche. Pour le nouveau Secrétaire général du BZÖ, Christian Ebner, le paquet de sauvetage de l’euro est une grave erreur.

 

Christian Ebner écarte toute possibilité de réunification du BZÖ et du FPÖ.

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Christian Ebner

La montée en puissance de Tremonti.

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« L’ère de l’austérité modifie aussi les priorités de la politique » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) : « Quel impact le crucial week-end européen qui a évité l’écroulement de l’euro aura-t-il pour l’Italie ? Sous l’angle politique, Rome ‘a tenu son rôle’, a dit le président Napolitano. Un communiqué du palais Chigi enfonce le clou en rappelant les mérites du président du Conseil – comme pour éclipser, dirait-on, le rôle joué par le ministre de l’économie (lequel a d’ailleurs lui-même insisté sur l’habileté de Berlusconi). Reste un point de fond : le président du Conseil a compris que rien ne serait plus comme avant – l’austérité avouée ou non exigée par l’Europe sera la norme pour 2-3 ans. En Europe, tous serrent les boulons, quitte à réexaminer certaines priorités. Le rôle de Tremonti est voué à grandir : outre son réseau en Europe et son rôle pivot entre Berlusconi et la Ligue, lui seul peut faire adhérer Bossi à la logique d’un budget bien tenu, fût-ce au prix de sacrifices. Hier, la conférence des évêques a vivement critiqué le projet actuel de fédéralisme fiscal ; de fait, les coûts de la réforme, restés à ce stade dans le flou, paraissent désormais trop lourds pour un pays soucieux de garder ses finances sous contrôle par faible croissance. Assujettir la Ligue et le Peuple de la Liberté à une ligne de rigueur, même au prix d’un peu de popularité : c’est l’objectif de Tremonti, dont il devient le garant aux yeux de l’Europe. Qui dit rigueur pour 2-3 ans dit aussi stabilité, ce qui va contre la tentation d’élections anticipées – un penchant récurrent de Berlusconi avec lequel le besoin de stabilité incarné par Tremonti est en contradiction potentielle, assurément. Le jeu reste ouvert, mais la crise de l’euro pourrait bien avoir changé la donne de façon décisive. »
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(Traduction : ambassade de France à Rome)

Une affiche du FPÖ contestée.

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Autriche. La campagne du FPÖ pour les élections de Vienne présente le Président du FPÖ, Heinz-Christian Strache, parlant avec des citoyens, des retraités, des policiers.

L’affiche qui présente Heinz-Christian Strache et des policiers fait l’objet d’attaques d’opposants au parti qui prétendent que des policiers ne peuvent pas être utilisés à cette fin.

Les 7 du FPÖ.

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Autriche. Heinz-Christian Strache, le président du FPÖ, rejette toute évolution de son parti vers le néo-libéralisme.

Sept personnes de la direction du parti vont être mises en avant : Norbert Hofer, Harald Stefan, Hans Tschürtz, Herbert Kickl, Harald Vilimsky, Dieter Egger und Gerald Hauser.

 

Á Vienne, Barbara Kappel va être promue pour ses compétences économiques.

 

Le troisième Président du Parlement national Martin Graf, le Député européen Andreas Mölzer ainsi que Barbara Rosenkranz ont un rôle important dans les fonctions qu’ils exercent.

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Herbert Kickl

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Harald Vilimsky

10/05/2010

Pro NRW va poursuivre son implantation en Rhénanie du Nord - Westphalie.

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Le mouvement de citoyens pro NRW a obtenu 106.932 voix et 1,4% des voix lors du scrutin de ce dimanche pour le Parlement du Land de Rhénanie du Nord-Westphalie.
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Les Republikaner obtiennent, avec 23.430 votes, 0,3% des voix.

 

Pro NRW annonce qu’il va poursuivre son développement et son implantation à travers la Rhénanie du Nord – Westphalie.

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Voici des résultats intéressants obtenus par pro NRW au sein de certaines circonscriptions : Duisburg IV (4,6 %), Gelsenkirchen II (4,1 %), Gelsenkirchen I (4,0 %), Duisburg II (3,9 %), Duisburg III (3,8 %), Leverkusen (3,8 %), Remscheid (3,6 %), Rhein-Erft-Kreis I (3,5 %), Rhein-Kreis Neuss II (3,1 %).

Le N° 18 de la revue Synthèse nationale est paru !

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Mondialisme, libéralisme, la fin des illusions...

Revue bi-mestrielle nationaliste et identitaire

dirigée par Roland Hélie

Avec des contributions de Franck Abed, Lionel Baland, Francis Bergeron, Nicolas Bonnal, Roberto Fiorini, Patrick Gofman, Günther Palikao, Patrick Parment, Luc Pécharman, Arnaud Raffard de Brienne, Philippe Randa, Alain Renault, Jean-Claude Rolinat, Marc Rousset, Chahpour Sadler, Robert Spieler...

114 pages, 12,00 €

L'article que j'ai réalisé pour la revue a pour objet la comparaison entre le Danemark et la Flandre (Belgique). Au Danemark, la droite classique s'allie aux nationalistes. En Belgique, la droite classique refuse une telle alliance.

150 ans de l'Unité italienne.

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« Berlusconi : ‘C’est un moment amer’ et Silvio se découvre affligé » (Amedeo La Mattina, La Stampa) :

 

« A Lesmo, à quelques kilomètres de Macherio où vit son ex-épouse, Silvio Berlusconi s’était décrit comme un magicien dans beaucoup de secteurs : édition, télévision, sport, urbanisme, administration publique. Mais en ce qui concerne les mariages, même politiques comme avec GF Fini, il a admis n’avoir pas eu de ‘résultats particulièrement heureux’. L’épilogue après 30 ans ‘d’une grande histoire d’amour m’afflige et m’attriste immensément, surtout vu la façon dont elle s’achève’ continue de répéter Berlusconi alors que tout est fini, que les avocats font les comptes des millions de la séparation. Il aurait voulu voir cette histoire personnelle rester dans la ‘sphère privée’. Mais son histoire personnelle et familiale n’est pas la seule à l’attrister. Il y en a tant d’autres qui le préoccupent : la déception pour le ‘comportement incompréhensible’ de Fini ; les attaques judiciaires continuelles qui ont frappé Scajola, Verdini, Bondi ; et puis, en tête de ses soucis, la crise européenne. Il est vraiment inquiet que l’incendie parti de Grèce ne s’abatte sur l’Italie, quoique publiquement il montre son optimisme sur la bonne tenue des comptes italiens. Par-dessus le marché, il doit tenir la majorité soudée et défendre ses plus proches collaborateurs ‘d’une véritable agression politique de la part d’une magistrature politisée’. Mais, dit-il au palais Chigi : ‘comme si, avec tout ce qui arrive dans le monde, les vrais problèmes étaient ceux posés par les finiens’. »

 

« L’Unité italienne : une bonne chose pour 7 sympathisants de la Ligue sur 10 » (Renato Mannheimer, Corriere della Sera) :

 

« La commémoration des 150 ans de l’Unité a déchaîné des controverses politiques. Le président et plusieurs membres éminents du Comité ont démissionné. Et d’influents dirigeants de la Ligue ont dit ne vouloir prendre part à aucune manifestation au programme. Qu’en pense l’opinion publique ? En général, l’unification du pays est vue comme une ‘bonne chose’ par une très grande majorité (87%). Pour 89%, ‘l’Unité italienne est une valeur importante à soutenir’ ; 11% seulement la jugent ‘un mal’. Parmi les électeurs de la Ligue, 70% disent approuver la création de l’Etat unitaire ; les avis contraires ne dépassent pas 25%, mais c’est parmi les jeunes (moins de 24 ans) qu’on voit se renforcer ceux qui déclarent voir une erreur dans la formation de l’Italie. Parmi les critiques prévaut l’idée que ‘l’Italie a fait perdre les valeurs et les traditions locales’ ; pour d’autres, l’idée de nation est obsolète : ‘plutôt que de parler d’Unité italienne, aujourd’hui, on devrait parler d’Union européenne’. Mais la raison principale du scepticisme sur l’unité nationale réside dans la perception du caractère infondé du concept même de ‘peuple italien’. Plus de la moitié des Italiens estiment qu’il y a ‘un ensemble de peuples’ plutôt qu’‘un peuple unique’. Les freins au sentiment d’appartenance nationale dépassent donc dans une certaine mesure la base léghiste. Reste que la grande majorité (90%) s’accorde sur l’opportunité de fêter l’Unité italienne, tout en suggérant une certaine modération compte tenu de la crise. Les 150 ans peuvent constituer une grande occasion de (ré)éducation sociale pour l’opinion publique. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome)

Préface de la réédition de "La Révolution du XXème siècle" de José Streel.

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Dans le cadre du livre que j’ai publié sur « Léon Degrelle et la presse rexiste », l’Éditeur Philippe Randa, de la maison d’édition Déterna, m’a demandé de réaliser la préface de la réédition du livre «La Révolution du XXème siècle.» de l’écrivain belge José Streel.

 

José Streel joue un rôle déterminant, au cours des années 30, au sein de la presse rexiste. Il est un des principaux penseurs du mouvement rexiste dirigé par Léon Degrelle. Son objectif est l’instauration de l’État rexiste : chrétien, autoritaire, sous l’égide du Roi.

 

Lors de la seconde guerre mondiale, José Streel, fervent défenseur de la Belgique, est partisan d’une collaboration limitée avec l’Allemagne. En 1943, Léon Degrelle et le mouvement rexiste se dirigeant vers la collaboration totale avec l’Allemagne, José Streel rompt les ponts avec eux.

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José Streel est fusillé en 1946. 

09/05/2010

Elections en Rhénanie du Nord – Westphalie : résultats encourageants pour pro NRW.

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Voici les résultats du scrutin :

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Répartition des sièges

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La coalition CDU (conservateurs)-FDP (libéraux) en place a perdu les élections et ne dispose plus de majorité. Le parti "die Linke" (héritiers du Parti communiste d'Allemagne de l'Est + partisans d'Oskar Lafontaine) entre au Parlement du Land de Rhénanie du Nord -Westphalie.
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Les autres partis obtiennent ensemble 6,5%.

 

La CDU, parti de la Chancellière Angela Merkel, subit les conséquences du prêt par l"Allemagne d'argent à la Grèce en chutant de 10%. Le SPD, Parti social-démocrate, chute légèrement en pourcentage. En nombre de voix, le Parti social-démocrate poursuit sa chute.

 

La perte de la Rhénanie du Nord - Westphalie par la CDU et le FDP a pour conséquence la perte au niveau national de la majorité de la CDU-CSU-FDP au Sénat

 

Les résultats de pro NRW dans certaines villes sont encourageants :

 

Bergheim – 5,4  %

Duisburg – 3,77 %

Leverkusen – 3,9 %

Gelsenkirchen – 4,2 %

Au sein d'autres parties du Land, le mouvement de citoyens pro NRW manque totalement d'implantation locale et obtient de faibles résultats. Le parti "die Republikaner" était également présent. Ces deux partis patriotiques ont subit la concurrence des ultranationalistes du NPD ainsi que les attaques en provenance de certains milieux politiques de la gauche de la gauche qui ont empêché pro NRW et les Republikaner de mener une campagne correcte et d'avoir des contacts directs avec leurs électeurs. La Rhénanie du Nord compte 18 millions d'habitants, c'est-à-dire près du 1/4 de la population de l'Allemagne. Les moyens dont pro NRW a disposé, tant humains que matériels et financiers, sont faibles par rapport à ceux déployés par les partis établis.

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Afin d'améliorer son score, pro NRW doit chercher à développer son implantation locale jusque dans le moindre petit village et doit tenter de s'allier avec les Republikaner.

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Résultats par circonscription : http://www.wahlergebnisse.nrw.de/landtagswahlen/2010/aktuell/index.html

Le BZÖ de Carinthie ouvre un premier bureau de circonscription.

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Le BZÖ de Carinthie a ouvert en cette fin de semaine un premier bureau de circonscription électorale, dans la commune de Feistritz an der Drau, circonscription du Land de Villach. Stefan Petzner a répété le crédo du BZÖ : « Qui travaille plus doit avoir plus que celui qui ne travaille pas. Celui qui est performant doit gagner assez. »

 

L’ouverture d’un deuxième bureau ce circonscription est prévu en ce mois de mai 2010.

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Le bureau de circoncription à Feistritz an der Drau.

Le mouvement Arbeit Familie Vaterland appelle à voter pro NRW.

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Allemagne. Le mouvement Arbeit Familie Vaterland dirigé par l’ancien député CDU Henry Nitzsche et qui est présent en Saxe appelle les électeurs de Rhénanie du Nord – Westphalie à voter pour pro NRW lors des élections de ce dimanche pour le Parlement du Land.

Le PVV s'oppose au prêt à la Grèce.

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Pays-Bas. Le PVV s’est opposé ce vendredi, au sein de la Deuxième chambre du Parlement, au prêt par les Pays-Bas de 4,7 milliards d’euros à la Grèce. Selon le PVV, ce prêt d’argent coûtera 750 euros à chaque Néerlandais qui travaille.

Geert Wilders s’est rendu à Groningen et Leeuwarden.

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Pays-Bas. Geert Wilders s’est rendu à Groningen et Leeuwarden.  De nombreuses personnes lui ont serré la main ou se sont faites photographier à ses côtés.

08/05/2010

Reportage sur le dernier meeting de pro NRW à Düsseldorf.

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Reportage sur le dernier meeting de pro NRW à Düsseldorf.

La tournée mise en place par le richissime Patrik Brinkmann en vue des élections pour le Parlement du Land de Rhénanie du Nord – Westphalie de ce dimanche s’est terminée cette après-midi à Düsseldorf sur la Deutscher Einheit Platz. Différents représentants du mouvement politique pro NRW (Pour la Rhénanie du Nord – Westphalie) ont pris la parole.

Je me suis rendu à ce meeting afin d’interviewer Patrik Brinkmann. Voici le récit de ce meeting :

 

Je marche vers la place et entends du bruit. Ce sont des slogans criés par la contre-manifestation. La place est barrée par des barrières métalliques et des policiers. Je demande à la police comment on peut accéder à la place. Une policière me dit de faire le tour du pâté de maison. Je suis ses conseils et me retrouve dans une autre rue qui donne accès à la place. Elle est barrée par la police et par des barrières métalliques. Je demande l’autorisation de passer pour réaliser mon reportage. Les policiers, après avoir consulté via un talkie-walkie leurs supérieurs, me laissent passer. Plusieurs dirigeants de pro NRW sont présents. Ils tiennent un discours à tour de rôle devant un micro.

 

L’autre côté de la place est également barré par des barrières, des camionnettes de police et des policiers afin de protéger le meeting que tentent de perturber par des bruits et des cris les contre-manifestants, constitués de communistes et antidémocrates en tous genres.

 

Les sympathisants ou simples curieux intéressés par le meeting se voient, dans les faits, dans l’impossibilité d’assister décemment au meeting de pro NRW. La police fait son travail correctement et protège les dirigeants de pro NRW qui sont présents, ainsi que les spectateurs qui ont pris le risque d’assister à la réunion.

 

Patrik Brinkmann brandit une bible devant les opposants. Ceux-ci sifflent et l’insultent. J’interroge Patrik Brinkmann et les dirigeants de pro NRW.  Les discours se poursuivent : Patrik Brinkmann, Manfred Rouhs, Jörg Uckermann, Bernd M. Schöppe prennent la parole. Manfred Linn est présent.

 

Il est 17 h. Le meeting se termine. Le matériel est rangé dans une des camionnettes du convoi de pro NRW. Le convoi doit quitter les lieux. La police recule deux de ses véhicules afin de faire croire aux antidémocrates que le convoi va sortir par là. Le convoi part en réalité en direction de la rue que j’ai empruntée pour me rendre sur la place. Les motos de la police escortent  le convoi.  

 

Reste à évacuer les quelques personnes, membres ou sympathisants de pro NRW, qui se sont risquées à venir assister au meeting. Les antidémocrates, furieux que le convoi leur ai échappé, attendent le public afin de se venger sur lui.

 

La police évacue le public. Je quitte les lieux avec le public. Après avoir quitté la place, nous nous trouvons face à des contre-manifestants qui veulent nous barrer la route. Nous passons à un mètre d’eux. Ils nous suivent. Trois rangs se forment : un à gauche, constitué des antidémocrates, un au centre constitué de policiers et un à droite constitué de sympathisants de pro NRW. La tension est à son comble. Les antidémocrates cherchent l’incident. Nous ne répondons pas à leurs provocations. Nous restons stoïques.

 

Arrivée plus loin, la police oblique sur la gauche, vers les bâtiments, et empêche les antidémocrates de poursuivre leur chemin. Nous continuons à marcher et nous dispersons. Les antidémocrates lancent la chasse à l’homme ou plus exactement aux spectateurs de meeting de pro NRW. Je me retrouve avec trois autres personnes. Nous nous dépêchons et arrêtons un taxi. Le taxi roule. Arrivé au carrefour suivant, nous voyons des membres de la meute antidémocrate tenter de nous trouver. Ils ne s’aperçoivent pas que nous sommes dans le taxi.

 

Espérons que les autres personnes présentes au sein du public aient pu échapper aux hordes lancées à leurs trousses.

 

La manière dont s'est déroulé le meeting en dit long sur le degré de démocratie en Allemagne. Des partis politiques se retrouvent dans l’impossibilité d’organiser leur campagne électorale dans des conditions décentes.

 

La liberté d’expression n’est pas assurée. Le fait d’exprimer certaines idées en public amène des violences à l’encontre de ceux qui les émettent. Le simple fait d’assister à un meeting public entraine des menaces physiques.

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Patrik Brinkmann brandit une bible.

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Le stand de pro NRW et une partie des véhicules.
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Patrik Brinkmann parle dans le micro.
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La contre-manifestation
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La manifestation terminée, la police quitte les lieux.
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Les antidémocrtates attendent le public de pro NRW
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La police accompagne le public de pro NRW
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La police protège le public.
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La police maintient les contre-manifestants du côté des bâtiments (à droite sur cette photo).
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Interview de Patrik Brinkmann :

 

Patrik Brinkmann m’accorde une interview. Je l’interroge en tant que journaliste de Synthèse nationale. L’interview a lieu en allemand. Son garde du corps et un photographe du parti sont présents.

 

Je demande ce qu’il pense de la campagne électorale menée par pro NRW. Il est content. Les dirigeants, cadres et militants ont travaillé de manière très intensive. Il y a eu beaucoup de contacts avec le public, de nombreuses personnes se sont données à connaître.

 

La réaction des opposants a également été énorme. La police a demandé à Patrik Brinkmann de ne plus brandir une bible lors des meetings, car la police n’est pas en mesure d’assurer complètement sa sécurité. Patrik Brinkmann me dit « Vous voyez où on en est arrivé. On ne peut même plus tenir une bible en main en public. Les islamistes veulent imposer la Charia.».

 

Je demande à Patrik Brinkmann si, après les élections de ce dimanche, il va aller à Berlin mener une campagne électorale. Il me dit qu’il en est certain, qu’il ne s’arrêtera plus.

 

Á l’issue de l’interview, Patrik Brinkmann me remet l’original de son discours de ce 8 mai 2010. Ce document se compose de 6 pages. Il me serre la main et me regarde droit dans les yeux.

 

Cela me rappelle la phrase d’une étudiante autrichienne de Carinthie à propos de Joerg Haider : « Je le connais depuis longtemps et ai appris de lui. Il m’a appris comment on donne la main. » (Kleine Zeitung du 12 octobre 2008.)

 

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Le discours original de ce 8 mai 2010 que m'a remis Patrik Brinkmann.

Le FPÖ et le BZÖ critiquent l’aide européenne à la Grèce.

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Autriche. Le chef de file du FPÖ, Heinz-Christian Strache, a déclaré que l’aide à la Grèce va profiter aux banques et aux sociétés d’assurance. Il a également dit que cet argent ne sera jamais remboursé par la Grèce.

Le président du BZÖ, Josef Bucher, veut également faire examiner la conformité de ce prêt d’argent à la Grèce à la constitution européenne.

07/05/2010

Le FPÖ et Plataforma per Catalunya signent une convention d'amitié.

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Autriche. Vienne. Le FPÖ a signé ce vendredi une convention d’amitié avec « Plataforma per Catalunya » (Plateforme pour la Catalogne). Les présidents des deux partis, Heinz-Christian Strache et Josep Anglada i Rius, ont tenu une conférence de presse commune.

 

Le Président du FPÖ, Heinz-Christian Strache, a déclaré que les requêtes des deux partis sont très proches : arrêt de l’imigration et engagement en faveur de l’Europe des patries basé sur le principe du fédéralisme. Les deux partis sont également opposés à l’islamisation et favorables à la justice sociale, à une politique de la famille et au droit à l’autodétermination pour tous les peuples d’Europe.

 

Le président de la Plateforme pour la Catalogne s’est dit convaincu que ses idées, avec le temps, se propageront à l’ensemble de l’Espagne. Le président du FPÖ se présentera aux élections pour le Parlement du Land de Vienne en automne et la Plateforme pour la Catalogne aux élections régionales en Catalogne en automne et l’année prochaine aux élections municipales à Vic où le parti est déjà la deuxième force politique.

 

Les deux partis sont opposés à l’entrée de la Turquie au sein de l’Union européenne. Le Secrétaire général du FPÖ Harald Vilimsky a déclaré que Plateforme pour la Catalogne n’a pas d’orientation séparatiste.

Berlusconi préoccupé recherche la trêve avec Fini.

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« Berlusconi préoccupé recherche la trêve avec Fini » (Ugo Magri, La Stampa) :
« Le Cavaliere a réuni l’équipe dirigeante du ministère de l’Economie et l’a assurée qu’il resterait le temps juste nécessaire pour consulter ses alliés et choisir un remplaçant. Il aimerait bien, pourtant, rester dans ce ministère qui s’occupe de développement économique, d’entreprises, de business alors qu’au Palais Chigi on est toujours sur des charbons ardents. Il minimise ses déclarations contre les juges mais craint l’émulation entre parquets, après leur succès dans l’affaire Scajola. Si la situation empirait, il aurait besoin de sa majorité unie, or tel n’est pas le cas. Berlusconi a envoyé deux ambassadeurs à Fini, Letta et Verdini, pour comprendre si le président de la Chambre veut l’effondrement berlusconien (et prendre ses distances pour sauver sa peau) ou s’il veut prêter main forte. Quoique pour l’heure Fini envoie des signaux contradictoires, Silvio insiste. Cela l’inquiète au point qu’il a proposé à un groupe de finiens modérés une ‘zone franche’ où discuter au sein du parti, l’‘Espace ouvert’ auquel adhèreraient des parlementaires de FI – façon de faire baisser la tension. Augello, Vespoli et Moffa, ex AN passés de son côté, l’ont mis en garde : s’il créait des ‘zones grises’, bon nombre s’y réfugieraient. Alemanno conseille de traiter directement avec Fini, de faire une ultime tentative. Les ambassadeurs lui offriront ‘dialogue et écoute’. Cela suffira-t-il ? »
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« Tension autour du mini remaniement. Le PdL veut contenir la Ligue » (Amedeo La Mattina, La Stampa) :

« Deux ministres berlusconiens, peu enclins à toujours s’incliner devant l’axe Bossi-Tremonti, acceptent de parler sous réserve d’incognito. Comment endiguer la Ligue et le super-ministre de l’économie qui réclament le Développement économique ? Tremonti voudrait Romani, plus malléable que Scajola, lequel avait engagé une bataille contre les coupes budgétaires et était le point de référence de tous ceux qui cherchaient désespérément un contrepoids à l’axe Tremonti-Bossi. Scajola n’est plus là et, si Berlusconi mettait une personnalité faible, ce serait le signe qu’il est ‘otage’ de la Ligue. L’équilibre Nord-Sud serait compromis, ce qui donnerait raison à Fini. Nos deux ministres craignent que Berlusconi, aux prises avec des ennuis judiciaires, n’ait qu’une idée en tête : sauver l’alliance avec Bossi. Le Cavaliere avait pensé à Montezemolo, mais Tremonti l’a refusé, estimant que cela créerait un autre problème au gouvernement, qui a déjà celui de Fini. Mais la Ligue est résolue à tirer bénéfice du remplacement de Scajola, ce qui inquiète Fini et les berlusconiens anti-Ligue. L’idée d’un technicien paraît écartée, quoique certains y croient encore. Tout comme paraît peu probable le choix d’A. Urso, fût-ce sur l’autel d’une paix avec Fini. Selon des sources du Palais Chigi, ce serait Romani avec un sous-secrétaire léghiste – G. Fava, de la commission des Activités productives. Mais ‘on en parlera aujourd’hui au Conseil des ministres’, a dit Bossi. Bon nombre pensent qu’au bout du compte Tremonti aura le dessus. »

 

(Traduction : ambassade de France à Rome.)

Le BNP n'obtient pas de député.

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Royaume-Uni. Le BNP augmente son nombre de voix mais n’obtient pas de siège au Parlement. Le parti récolte plus de 500.000 voix. Le chef de file du parti, Nick Griffin, s’est retrouvé en troisième position dans la circonscription de Barking où il se présentait. Il a déclaré à l’issue des premiers résultats : « Je dirais ceci aux habitants de Grande-Bretagne : il est en train de devenir trop tard pour Barking, mais il n’est pas trop tard pour la Grande-Bretagne. »

06/05/2010

Une délégation du FPÖ se rend en visite à Moscou.

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En réponse à l’invitation du Président adjoint de la Douma (le Parlement russe) Oleg Morozov, les mandataires du FPÖ (Autriche) Andreas Karlsböck (Député national) et Johann Gudenus (Député de Land) se sont rendus à Moscou. De nombreux entretiens de travail ont eu lieu avec des députés du parti « Russie Unie » du Président Vladimir  Poutine.
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Les deux mandataires du FPÖ devant le sigle du parti "Russie Unie" de Vladimir  Poutine.
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Les deux mandataires du FPÖ rencontrent des personnalités russes.

Silvio Berlusconi assure l’intérim du ministère du développement économique.

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« L’intérim ne suffit pas. Le PDL apparaît isolé sur la thèse d’une conjuration » (Massimo Franco, Corriere della Sera) :

« Ayant besoin de temps pour trouver un candidat qui plaise à toute la majorité, Berlusconi assure l’intérim du ministère du développement économique. Mais si cela devait durer, on pourrait l’accuser de conflit d’intérêts, comme l’a déjà fait l’opposition. La nouvelle attaque, hier, du président de la Chambre contre l’axe Berlusconi-Bossi montre que la guérilla au sein de la majorité n’est pas près de se calmer. Et l’évocation d’un autre conflit d’intérêt de Berlusconi, comme propriétaire d’Il Giornale, confirme un affrontement sans trêve. Quant au rejet par Fini de la thèse ‘conjuration et acharnement des juges’ contre le gouvernement, défendue par certains berlusconiens, cette position n’est pas isolée au sein du centre droit. Bossi lui-même admet que ‘les magistrats font leur travail’. Encore n’est-ce là que la partie émergée de ce qui oppose Fini au Palais Chigi : Berlusconi et la Ligue suivent une stratégie que Fini conteste et combat désormais ouvertement ; tout en défendant son impartialité dans la conduite des travaux de la Chambre, il revendique ‘le droit d’avoir des opinions politiques’. Les célébrations du 150e anniversaire de l’Unité sont un autre motif de polémique au sein du centre droit ; hier, à Quarto, d’où partit l’expédition des Mille de Garibaldi, les Léghistes n’étaient pas là, symptôme de la résistance du parti de Bossi aux célébrations. Les propos du chef lombard sur le Nord ‘qui ne voulait pas l’Unité’ répondent aux critiques contre ‘l’axe padanien’ Berlusconi-Tremonti-Bossi et finissent par légitimer les perplexités de Fini sur la réforme fédéraliste. Les échéances parlementaires sur la justice, sur fond d’enquête G8, promettent de nouveaux affrontements. »

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(Traduction : ambassade de France à Rome.)

Huitième anniversaire de l'assassinat de Pim Fortuyn.

Pays-Bas. Rotterdam. Pim Fortuyn a été assassiné il y a huit ans. Une cérémonie rassemblant 25 personnes a été organisée. Une minute de silence et un dépôt de couronne ont eu lieu. Un bus au sein duquel les participants ont pris place a roulé entre l’ancienne maison de Pim Fortuyn et l’endroit où il a été assassiné.

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Cérémonie devant la statue de Pim Fortuyn.

Le bus de pro NRW poursuit sa route à travers la Rhénanie du Nord - Westphalie.

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Patrik Brinkmann en action.

Nouveau secrétaire général du BZÖ.

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Autriche. Josef Bucher, le président du BZÖ, a présenté sa nouvelle équipe fédérale. Le nouveau secrétaire général sera Christian Ebner (40 ans). Le coordinateur fédéral reste Markus Fauland, qui est également le directeur de l’Académie du futur (le centre de formation de cadres du BZÖ).

Christian Ebner se décrit lui-même en tant que libéral de droite. Il a été membre du Parti conservateur (ÖVP). Il remplace au poste de secrétaire général Stefan Petzner, qui a quitté cette fonction pour ce concentrer sur le BZÖ de Carinthie.

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La nouvelle équipe dirigeante du BZÖ : Christian Ebner, Josef Bucher et Markus Fauland.

05/05/2010

Geert Wilders exige un débat sur l'aide néerlandaise à la Grèce.

 

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Le chef de file du PVV, Geert Wilders, veut que la Deuxième chambre (Chambre des députés) débatte de l’aide européenne à la Grèce. Les Pays-Bas vont prêter 4,7 milliards d’euros à la Grèce. Le SP (Parti socialo-communiste) et le VVD (Parti libéral) soutiennent la demande du PVV.

BZÖ : cession particulière du Parlement.

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Autriche. L’aide financière à la Grèce planifiée par l’Autriche a amené le BZÖ à demander l’organisation d’une session supplémentaire du Parlement, qui a eu lieu ce matin.