30/06/2010
3 membres du FPÖ ont été cooptés au sein de la direction du FPK.
Heinz-Christian Strache, le Président national du FPÖ, n’était pas à Klagenfurt, car il était occupé ailleurs. Il sera coopté lorsqu’il assistera à une prochaine réunion de la présidence du FPK.
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La fidélité de Bossi à Berlusconi n’est pas un chèque en blanc.
« Bossi entre en scène et le bras de fer avec les régions sur la ‘manœuvre’ pourrait cesser : ‘il est possible de faire quelques retouches, je vais tâcher de convaincre Tremonti’. Depuis le Brésil, Berlusconi avait déjà laissé entrevoir une ouverture en faveur des collectivités locales les plus vertueuses. Dans la soirée, l’ouverture se concrétise par un amendement de ‘flexibilité’ : les coupes demeurent – 4 Md€ en 2011 et 4,5 Md€ en 2012 – mais seront conduites selon des critères et des modalités fixées par un accord Etat-régions. La rigueur est respectée et, comme l’a expliqué GF Fini, ‘il s’agit d’un plan de redressement nécessaire pour éviter l’accroissement de la dette publique’. Avec les régions, le jeu porte sur plusieurs tableaux. Aujourd’hui, G. Tremonti rencontrera les sénateurs PdL pour faire le point sur les 11 amendements à l’examen de la commission budget du Sénat. »
Aldo Brancher, un nouveau membre du gouvernement de Silvio Berlusconi qui avait demandé à bénéficier de l'immunité ministérielle afin de surseoir à son procès pour détournement de fonds y a finalement renoncé sous la pression des critiques de la classe politique italienne.
« Affaire Brancher : quatre leçons pour la majorité » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore de mardi) :
« L’affaire Brancher est loin d’être finie et son venin se distille de façon lente mais inexorable dans les rapports politiques au sein de la majorité de centre droit. Depuis le Brésil, Berlusconi a souhaité une ‘grève des lecteurs contre les quotidiens qui se moquent d’eux’. Le fait qu’il soit loin de l’Italie n’aide pas à assainir un climat politique très dégradé, pour plusieurs raisons. 1. Brancher reste à son poste mais le bouclier judiciaire pour le moment ne peut le protéger : tout fait relatif à son dossier ne sera pas juste son affaire personnelle mais bien un fait politico-judiciaire touchant le gouvernement. 2. Berlusconi a choisi de ne pas s’opposer au chef de l’Etat, il ne peut se le permettre en ce moment mais sa frustration est grande ; au-delà de l’affaire Brancher, la fracture avec les régions sur la loi de finances rectificative, par exemple, est grave ; une initiative gouvernementale s’impose mais les délais sont courts. 3. U. Bossi a lancé l’idée – significative même si ce n’est qu’une idée – de transférer au nord le ministère de l’économie : le fédéralisme est loin d’être fait et la Ligue doit tenir son électorat : l’affaire Brancher en est emblématique : Bossi était impliqué dans sa nomination, mais il a dû prendre ses distances car son électorat ne comprenait pas et se faisait soupçonneux. 4. Corollaire du précédent : la relation Bossi-Berlusconi. L’axe du Nord, pivot de la majorité, paraît en perte de vitesse. Il n’y a pas d’autre option possible actuellement mais Bossi a besoin que Berlusconi exerce jusqu’au bout son rôle politique de président du Conseil. L’embrouille Brancher tient aussi, surtout même, aux difficultés politiques au sommet de la majorité – et la fidélité de Bossi à Berlusconi n’est pas un chèque en blanc. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Le centre d'appels du BNP permet de maintenir le contact avec les sympathisants du parti.
Le call-center du BNP récolte £26,330 par mois et coûte £8,000 par mois.
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29/06/2010
Le BZÖ a choisi un ancien journaliste économique pour conduire sa liste à Vienne.
Le journaliste à la retraite veut prendre des voix au Parti conservateur (ÖVP) en mettant en avant les possibilités de réaliser des économies. Le BZÖ espère également récolter une partie des voix du FPÖ.
Le BZÖ sera aussi présent au sein de chaque circonscription électorale. Le budget de la campagne est de 200.000 euros.
Walter Sonnleitner
15:26 | Lien permanent | Commentaires (0)
28/06/2010
Charge de Berlusconi contre les régions.
« La charge de Berlusconi contre les régions : ‘stop au gaspillage’ » (Ugo Magri, La Stampa) :
« Giulio Tremonti ne croit pas du tout que l’engagement souscrit par les 20 dans la déclaration finale (réduire les déficits avant 2013, stabiliser ou réduire le rapport dette/PIB avant 2016) soit une loi gravée dans le marbre. Berlusconi est d’accord avec son ministre, le texte final du G20 manque ‘d’optimisme’. Lors de la conférence de presse de bilan du sommet, le Premier ministre a coupé court à la question de savoir ce que ça changeait pour l’Italie :’C’est trop tôt pour le dire maintenant, mettons-nous au travail avec entrain pour atteindre les 3% du rapport déficit/PIB que demande justement l’Europe avant 2012’. Avec les régions, il est déterminé à passer en force, mettant en avant ‘qu’elles devront se résigner à diminuer leurs dépenses. Elles ne peuvent continuer ainsi à gaspiller l’argent des citoyens’ s’est-il exclamé l’air scandalisé. En gros, l’issue du G20 l’a satisfait. »
Entretien avec Luca Zaia, gouverneur léghiste de Vénétie – « Les régions sont à genoux, tout autre que du gaspillage ! » :
« Deux choses sont inacceptables. Premièrement, faire endosser aux régions la casaque des gaspilleurs. Deuxièmement, des coupes budgétaires sans discrimination, égales pour toutes qui permettront à certains de continuer à faire la fête. Je ne nie pas que le moment est très grave, tous les pays font des économies mais si sur le budget de la Vénétie qui était de 1 671 M€ cette année, on nous coupe 350 M, nous sommes à genoux. Comme je l’ai déjà dit à Giulio Tremonti, la Vénétie est prête à servir de laboratoire et être l’ouvreur de la piste du fédéralisme. Nous sommes prêts à accueillir des inspecteurs mais est-ce que toutes les régions sont dans les conditions de les accepter ? Il faut avoir le courage de faire la révolution. Qu’on attribue l’autonomie obligatoire aux régions. Nous aurons ainsi la responsabilité totale. Actuellement nous ne sommes plus responsables de rien et il faut que les citoyens le sachent. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Berlin : la gauche extrême ne veut pas d'un drapeau allemand placé par une personne issue de l'immigration.
Allemagne. Berlin. Ibrahim Bassal ne veut pas enlever le drapeau allemand qui pend sur une façade de la Sonnenallee (Allée du soleil), malgré les problèmes que cela lui occasionne. Depuis le début de la coupe du monde de football, l’ambiance au sein du quartier, peuplé de nombreuses familles originaires du monde arabe, a changé : des personnes issues des milieux de la gauche extrême tentent par tous les moyens d’enlever ce drapeau allemand qui représente à leurs yeux une marque de patriotisme. Le drapeau, qui a coûté 500 euros, a été attaqué plusieurs fois par l’extrême-gauche. Malgré ces attaques, Ibrahim Bassal refuse d'enlever le drapeau.
Ibrahim Bassal et le drapeau allemand qui pend sur la façade.
19:36 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Ministre de Carinthie Christian Ragger en tournée à travers la Carinthie.
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Journalisme idéologique à la place de comptes rendus objectifs.
La Télévision suisse alémanique SF a donné samedi dernier un navrant exemple de journalisme idéologique dans son émission sur l'assemblée des délégués UDC. Tout spectateur du téléjournal devait penser que la réunion de Delémont était avant tout marquée par des disputes sur la manière dont le groupe parlementaire UDC avait voté concernant le traité d'Etat UBS. Or, il n'en était rien. Ce thème a fait l'objet de deux interventions et d'une brève réplique de la direction du parti, soit au total 10 minutes des trois heures de l'assemblée. Le sujet principal était bien plus un tour d'horizon sur l'UE et la libre circulation des personnes ainsi que l'adoption de la consigne de vote sur l'assurance-chômage. Mais la TV alémanique n'a pas jugé nécessaire d'en parler.
La rédaction du téléjournal alémanique et venue à Delémont dans une unique intention: réaliser une émission sur l'assemblée des délégués qui attise le conflit sur l'accord UBS au sein du parti et, surtout, mettre en évidence la divergence entre Romands et Alémaniques à ce sujet. L'assemblée n'a pas donné matière à une telle historiette médiatique, mais cela n'a nullement gêné les gens de la télévision. Deux délégués, dont un de Suisse romande, sont brièvement intervenus pour évoquer l'accord UBS. Une raison suffisante pour la TV alémanique de parler de "rumeurs", de "malaise" et de "colère". L'absence d'Yvan Perrin - pour cause d'obligations professionnelles - et d'Oskar Freysinger - en vacances - a été avancée comme "preuve" supplémentaire des tensions entre Romands et Alémaniques. Pas un mot pour rappeler qu'Yvan Perrin avait annoncé la semaine dernière dans le cadre d'une conférence de presse (crise libyenne) dirigée par Toni Brunner, président de l'UDC Suisse, qu'en cas de besoin il restait à disposition comme vice-président jusqu'à la fin de la législature. A la fin de la séquence télévisée, qui a duré plus de deux minutes, Christoph Blocher, membre de la direction du parti, a juste eu 11 secondes pour rectifier les allégations des journalistes de la télévision. Introduction du speaker en voix off avant l'intervention du vice-président de l'UDC: "Christoph Blocher tente de minimiser le conflit interne de l'UDC". Difficile de trouver un meilleur exemple de "journalisme" mélangeant sournoisement compte rendu et commentaire. On est loin d'une information objective sur l'assemblée des délégués de l'UDC. Le téléjournal de la télévision suisse romande s'est lui aussi concentré sur les affaires internes de l'UDC, mais son émission était tout de même un peu moins déséquilibrée en évoquant le thème réel de l'assemblée.
13:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
27/06/2010
Convention du BZÖ à Graz.
Le BZÖ dispose de deux conseillers municipaux à Graz. Il entend utiliser cette ville afin d’obtenir un mandat direct au sein de cette circonscription électorale. Pour obtenir ce mandat direct, le BZÖ doit doubler le nombre de voix qu’il a réalisées lors des élections municipales.
Les récipiendaires de la médaille Jörg Haider sont l’ancien Ministre fédéral Michael Schmid, le Député national Harald Fischl, l’ancien Maire adjoint de Graz Paul Temmel, le député national Kurt List, Herbert Scheibner, Peter Westenthaler et la sœur de Jörg Haider : Ursula Haubner.
Convention du BZÖ de Styrie.
20:09 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les délégués de l'UDC Suisse se sont réunis à Delémont.
Voici un communiqué ATS :
A une année et demi des élections fédérales, l'UDC relance l'un de ses principaux chevaux de bataille, l'Union européenne. Christoph Blocher appelle les Suisses à s'opposer à tout rapprochement avec Bruxelles. Il a ensuite dénoncé la gestion de la crise libyenne par Berne.
Le vice-président de l'UDC a dressé devant les délégués le portrait d'une Union européenne (UE) en pleine déroute avec une monnaie qui perd de sa valeur et des Etats confrontés à d'importants déficits. «Cette UE est condamnée à l'échec. Non pas l'Europe, mais l'UE», a déclaré avec virulence Christoph Blocher.
Pour la figure charismatique de l'UDC, la Suisse se trouve dans une situation bien plus enviable que d'autres pays européens grâce à la démocratie directe. Christoph Blocher estime que la Suisse ne doit plus conclure de nouveaux accords avec l'Union européenne pour préserver sa souveraineté.
Conseil fédéral fustigé
Comme le président du parti Toni Brunner, Christoph Blocher a dénoncé la gestion de la crise libyenne par le Conseil fédéral, parlant d'amateurisme. Il s'en est pris tout particulièrement à la conseillère fédérale socialiste Micheline Calmy-Rey.
«Nous ne voulons pas d'une armée qui fasse des engagements à l'étranger», a lancé sous les applaudissements Christoph Blocher. L'ancien conseiller fédéral a estimé qu'une action militaire suisse à l'étranger pour libérer les deux otages aurait pu déclencher des actions de représailles.
Sans surprise, l'UDC se présente comme le seul parti politique à même de défendre ces valeurs. «La majorité du Conseil fédéral, de l'administration et du Parlement veut toujours entrer dans l'UE malgré le désastre évident de cette organisation». Le parti dit être prêt à se battre tout seul si nécessaire.
18:36 | Lien permanent | Commentaires (0)
26/06/2010
Manifestation à Strasbourg pour la Garde Hongroise et la libération de György Budaházy.
Voir l'article du HVIM France sur le sujet :
http://hvim-france.hautetfort.com/actualites_du_hvim_france/
20:24 | Lien permanent | Commentaires (0)
Geert Wilders se demande si les Pays-Bas sont encore une démocratie.
Le nouvel informateur Tjeenk Willink reçoit lundi l’ancien informateur Uri Rosenthal et et les président du VVD, PvdA, CDA, D66 et GroenLinks.
20:18 | Lien permanent | Commentaires (0)
25/06/2010
Geert Wilders ignoré par la Reine Béatrix.
Le chef de file du PVV, Geert Wilders, dénonce le fait que la Reine Béatrix ait invité seulement les présidents des groupes parlementaires du VVD, PvdA, CDA, D66 et de GroenLinks.
Le PVV, qui a gagné les élections, se retrouve placé hors-jeu.
19:58 | Lien permanent | Commentaires (0)
Italie : la révolte des gouverneurs divise le PdL et la Ligue.
« La révolte des gouverneurs divise le PdL et la Ligue » (Marcello Sorgi, La Stampa) :
« La protestation des Régions contre le gouvernement, qui décharge sur les administrations locales le poids le plus important de la loi de finances rectificative, prend des allures de révolte. Les présidents menacent de renoncer à leurs compétences dans de nombreuses matières où le pouvoir central n’intervient plus depuis longtemps. L’explication, donnée au nom de tous par le président de la Conférence Etat-Régions, V. Errani, est qu’en coupant les fonds prévus pour une série de services, la manœuvre empêche de les continuer à les garantir, à moins de mettre en place de nouveaux impôts locaux pour les financer. Tout ça était assez prévisible : dès que la manœuvre a été expliquée, l’affaire du gouvernement de Rome qui se vante de ‘ne pas mettre la main aux poches des Italiens’ mais oblige les administrations locales à le faire était claire. Dans notre pays, plus que dans d’autres, coupes budgétaires et impôts sont équivalents. Comme les maires qui, mercredi, avaient appris par la presse l’éventuelle création d’une nouvelle taxe communale – pour remplacer l’ICI, abolie en 2008, et jamais réintégrée avec transferts de fonds du gouvernement – aujourd’hui, les présidents de régions aussi voudraient savoir ce qui les attend. Dans ce cadre général, où la discussion sur le fédéralisme a été submergée, celle sur le fédéralisme fiscal en particulier redevient dramatiquement d’actualité, et ce n’est pas un hasard si U. Bossi a été en parlé avec G. Napolitano au Quirinal. La sensation est qu’un gouvernement aux caisses vides, avec une capacité famélique de couper les fonds aux régions et aux communes, n’est pas du tout prêt à renoncer au centralisme des impôts. La tension politique entre PdL et Ligue semble en passe de s’accroître sur un des points-clefs qui cimentent le pacte entre les deux partis. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
19:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
24/06/2010
Le PNR et Nationaldemokraterna rejoignent l'Alliance européenne des mouvements nationaux.
22:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
Patrik Brinkmann sera présent lors de la manifestation de pro NRW à Dortmund-Hörde.
22:11 | Lien permanent | Commentaires (0)
Gerald Grosz sera désigné samedi prochain tête de liste du BZÖ en Styrie.
21:56 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Parti du Peuple danois fête les jours les plus longs de l'année.
21:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le FPÖ et les partis patriotiques en Europe.
Heinz-Christian Strache a, de nouveau, réclamé l’expulsion de la zone euro des pays qui ont des problèmes financiers (Grèce, Italie, Espagne, Portugal).
Les deux représentants du FPÖ ont dénoncé la politique pratiquée par l’Union européenne dans la question du Kosovo. Le FPÖ est favorable à la Serbie.
Le FPÖ entretient de bons contacts avec les partis appartenant à deux groupes différents au sein du Parlement européen
Groupe Europe de la liberté et démocratie :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_Europe_libert%C3%A9s_d%C3%A9mocratie
Groupe des conservateurs et réformistes européens :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Conservateurs_et_r%C3%A9formistes_europ%C3%A9ens
20:37 | Lien permanent | Commentaires (0)
23/06/2010
Le BZÖ de Styrie délivre des médailles "Jörg Haider".
Trois des personnes concernées ont été des proches de Jörg Haider au cours de sa carrière politique et les quatre autres ont été actives d’un point de vue politique en Styrie.
La médaille Jörg Haider.
18:09 | Lien permanent | Commentaires (0)
Bossi : "La Padanie, c’est 10 millions de personnes prêtes à se battre".
« Ecoutes : le Cavaliere bat en retraite » (Ugo Magri, La Stampa) : « Berlusconi, ses valises prêtes pour une tournée sud-américaine – et, de ce fait sans doute, d’humeur radieuse – renvoie vers ses hommes les problèmes à affronter : le budget ? ‘Parlez-en à Tremonti’, les écoutes ? ‘Voyez vous-même’, Fini ? ‘Faites ce que vous voulez mais laissez-moi en-dehors de ça’. Ses proches s’inquiètent de cette nouvelle façon de faire, un laissez faire berlusconien totalement inédit pour le champion de l’activisme. Certains parlent de ‘réalisme’, estimant que Silvio ne peut empêcher Bossi et Fini de se disputer, que si Tremonti insiste sur certains points du texte budgétaire, c’est que le cadre général n’est pas rassurant et, sur les écoutes, il ne peut forcer Napolitano à signer des lois contraires à la Constitution. Cette lente dérive fataliste, zen pour ainsi dire, résume le déjeuner à sa résidence romaine de Palais Grazioli avec les coordinateurs Bondi, La Russa, Verdini, les chefs de groupe Cicchitto, Gasparri et le n°2 Quagliariello, Alfano et Ghedini, Letta et Bonaiuti. Sur les écoutes par exemple, on approche de la retraite, l’objectif devenant : ‘faire passer la loi le plus vite possible’ en acceptant les corrections. L’interlocuteur, comme suggéré par Bossi, sera le Quirinal. Alfano traitera donc avec la Présidence de la République, en toute discrétion. Silvio, distrait et déçu, l’admet : l’important désormais est de ‘sauver ce qui peut l’être’. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Patrik Brinkmann ne mènera pas la campagne du PRO à Berlin.
L’homme d’affaire suédois Patrik Brinkmann déclare qu’il n’est plus disponible pour occuper un poste au sein de la direction de pro Deutschland (Pour l’Allemagne).
Selon Patrik Brinkmann, l’Allemagne a besoin d’un mouvement patriotique semblable au PVV de Geert Wilders ou au Vlaams Belang de Filip Dewinter. Il veut que pro Deutschland devienne un parti pro-israélien opposé à l’islamisation de l’Allemagne et de l’Europe.
Si pro Deutschland prenait cette direction, Patrik Brinkmann serait prêt à mener la campagne du parti à Berlin.
Il souhaite une bonne continuation à pro Deutschland.
00:25 | Lien permanent | Commentaires (0)
22/06/2010
Oskar Freysinger dénonce l'attitude de son parti lors de l'accord UBS.
23:13 | Lien permanent | Commentaires (0)
Accord UBS: Yvan Perrin, furieux contre l'UDC, renonce à la vice-présidence du parti.
Voici un communiqué ATS :
Berne (awp/ats) - Yvan Perrin jette l'éponge: le vice-président de l'UDC a annoncé à la direction du parti son intention de démissionner de son poste. En cause, le zigzag de l'UDC dans l'accord UBS. "Un autre que moi devra jouer le rôle d'alibi en Suisse romande", a déclaré le Neuchâtelois.
Très fâché, le conseiller national a confirmé dimanche dans l'hebdomadaire "Sonntag" son intention déjà évoquée vendredi à la Radio suisse romande. Sa colère trouve ses racines dans les volte-face de l'UDC - un "slalom" selon lui - au sujet de l'accord d'entraide administrative avec les Etats-Unis.
"Même si on m'assure que le slalom des dernières semaines n'est pas un problème en Suisse alémanique, en Suisse romande, c'en est un", assure-t-il.
"L'UDC s'est battue pour une commission d'enquête parlementaire, nos conseillers aux Etats se sont prononcés contre elle. L'UDC était contre l'accord, puis a soudain donné son aval, avant de s'abstenir de voter. Comment est-ce que je peux expliquer cela aux gens?", a déclaré Yvan Perrin, l'un des cinq vice-présidents de l'UDC.
Dans l'interview parue dimanche, le Neuchâtelois laisse libre cours à sa colère. "Après cette session, c'était définitivement clair pour moi. Je n'investis pas du temps et de l'argent en faveur de mon parti, pour ensuite me faire traiter d'idiot à l'interne".
Yvan Perrin a indiqué avoir refusé l'accord avec les Etats-Unis et donné son aval à une commission d'enquête parlementaire. Il a voté oui jeudi à la question du référendum facultatif, malgré la consigne écrite d'abstention reçue le matin du vote et signée du président du parti Toni Brunner et du chef du groupe Caspar Baader.
Interrogé par l'ATS, son collègue fribourgeois Jean-François Rime n'a "rien à dire" sur cette affaire. Porteur de la parole du parti en Suisse romande sur l'accord UBS, il n'a pas non plus souhaité préciser s'il serait candidat à la succession d'Yvan Perrin.
Caspar Baader a indiqué pour sa part ne rien savoir d'une notification formelle de cette démission, ni que quiconque ait traité M. Perrin d'idiot. Il entend maintenant prendre langue avec les parlementaires mécontents, le Valaisan Oskar Freysinger ayant également exprimé un certain courroux.
A la télévision alémanique SF et la TSR, Toni Brunner a déclaré qu'Yvan Perrin lui a annoncé sa démission la semaine dernière. Il est parti du principe que le Neuchâtelois allait revenir sur sa décision une fois les esprits calmés: "Je vais chercher le dialogue avec lui", a-t-il promis.
22:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
Un député UDC prépare la "Grande Suisse".
22:32 | Lien permanent | Commentaires (0)