31/05/2010
Reporter sans frontières dénonce les pratiques de la télévision d'Etat belge francophone.
Selon Reporter sans frontières, les pratiques de la radiotélévision publique belge francophone ne sont pas compatibles avec les standards démocratiques européens.
Voir l'article du journal belge Le Soir :
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Italie : le paradoxe fédéraliste.
« Avec la loi de finances rectificative, la Ligue fait face au ‘paradoxe fédéraliste’ » (Stefano Folli, Il Sole de samedi) : « Dans un entretien à La Repubblica, Formigoni avoue clairement que le fédéralisme fiscal coûte cher et que la réforme devient de fait impossible si les ressources nécessaires sont mobilisées en réponse aux exigences européennes. Le fédéralisme reste pour la Ligue, et officiellement pour tout le gouvernement, la priorité de la législature. Mais même Bossi se laisse parfois aller à reconnaître que la situation est difficile. Cela étant, le seul espoir de maintenir en vie le rêve fédéraliste est justement la rigueur de Tremonti et son aptitude à tenir les comptes. Le pacte implicite entre le léghisme et le ministre de l’Economie est le suivant : plein soutien à la politique actuelle du gouvernement en échange de la garantie que la perspective de la réforme sera sauvegardée. En attendant, on ressasse le slogan pour le bon peuple : ‘le fédéralisme ne coûte rien’. Dans La Stampa, L. Ricolfi explique clairement le paradoxe vers lequel Bossi risque d’aller : ‘si les sacrifices demandés à la Lombardie et à l’Emilie-Romagne, les deux régions les plus ‘fourmis’ devaient équivaloir à ceux demandés à la Calabre et la Sicile, les plus ‘cigales’, alors s’imposerait une amère conclusion : le fédéralisme est mort avant de naître, par le fait non de ses ennemis historiques mais d’un gouvernement dont la Ligue est une composante fondamentale’. Telle est la contradiction qui pèse sur l’axe Tremonti-Bossi et dont Berlusconi devra tenir compte. »
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(Traduction : ambassade de France à Rome)
17:36 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le Grand Conseil genevois balaie une réforme du système électoral
A Genève, le système d'élection au Conseil d'Etat ne sera pas réformé. Le Grand Conseil a balayé un projet de loi UDC demandant des élections au système majoritaire. Le texte avait pour objectif de favoriser les candidats hors alliances.
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Soutenu par le Mouvement Citoyens genevois, le projet de loi voulait interdire les bulletins de partis, d'associations et de groupements. "L'élection à l'exécutif est un vote de dupes. Les partis veulent nous faire croire qu'ils partagent des unités de vues alors que ce n'est pas le cas", a fait valoir Mauro Poggia, député MCG.
Et de rappeler que le MCG, qui compte 17% d'élus au parlement, n'a aucun représentant au gouvernement. "Est-ce légitime? Il faudra bien réfléchir à un changement de système", a-t-il mis en garde.
Ce projet de loi a été déposé par Yves Nidegger, ex-député de l'Union démocratique du centre et candidat malheureux à l'exécutif genevois en novembre dernier. Pour la majorité des députés, les électeurs sont bien informés, et le système leur permet de choisir librement, éventuellement en remplissant un bulletin électoral vierge.
17:22 | Lien permanent | Commentaires (0)
Judith Wolker de pro NRW en Espagne.
Judith Wolter à la tribune.
Josep Anglada, le dirigeant de la Plateforme pour la Catalogne.
17:12 | Lien permanent | Commentaires (0)
Rencontre entre pro NRW et les Republikaner.
Le site en français de Rolf Schlierer : http://www.rolfschlierer.de/fr/index.htm
15:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
30/05/2010
Élections au Burgenland : le FPÖ gagne deux sièges.
Autriche. Ce dimanche, les élections pour le Parlement du Burgenland ont vu le FPÖ augmenter son score de 3,6 % et atteindre 9,3%. Le parti double son nombre de sièges au sein du Parlement du Burgenland en passant de 2 à 4 députés. Le FPÖ a subi la concurrence de la Liste Burgenland (LBL) qui s'oppose, elle aussi, au système de la carte de parti (politisation des nominations).
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Le Parti social-démocrate (SPÖ) perd sa majorité absolue en chutant à 48,55% des voix. Les écologistes, ne passant pas la barre des 4%, n'obtiennent pas de mandats. (Ils en détenaient deux).
22:12 | Lien permanent | Commentaires (0)
Congrès électoral du VB à Anvers.
Cet après-midi, le congrès électoral du Vlaams Belang en vue des élections législatives du 13 juin 2010 a eu lieu à Anvers. La salle était pleine.
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Anke Van dermeersch a tenu le discours de bienvenue. « Si vous allez voter le 13 juin, vous votez pour ou contre vous-même, vous votez pour ou contre votre pays, vous votez pour ou contre votre peuple, vous votez pour ou contre votre avenir. »
Les candidats ont apporté les salutations des différentes provinces. Gerolf Annemans, Joris Van Hauthem, Alexandra Colen et Nele Janseghers ont ensuite tenu un discours.
Filip Dewinter a présenté les faits criminels qui ont défrayés la chronique, au cours de ces derniers temps, à Anvers. Il a déclaré « Ce n’est pas le peuple qui est protégé contre les criminels. Ce sont les criminels qui sont protégés contre le peuple. »
Le Président du parti Bruno Valkeniers a déclaré que « le vote pour le Vlaams Belang est la meilleure garantie que votre voix soit prise en considération, aussi après le 13 juin » et « une voix pour le Vlaams Belang reste aussi après le 13 juin une voix pour la Flandre et pour les Flamands d’abord ».
Anke Van dermeersch
21:31 | Lien permanent | Commentaires (0)
Henry Nitzsche participe à un congrès des Burschenschaften.
00:18 | Lien permanent | Commentaires (0)
29/05/2010
BNP : 14.000 membres.
23:25 | Lien permanent | Commentaires (0)
Filip Dewinter : « An-Sofie est la charmante version féminine de moi-même ».
Filip Dewinter a donné une interview au Nieuwsblad. La figure de proue du Vlaams Belang possède une vingtaine de bouteilles de Whisky dans sa salle de séjour. Il les a obtenues lors de l’ouverture du Parlement écossais. Á peine 5.000 de ces bouteilles ont vu le jour.
Le chien Ako pose pour la photo au côté de Filip Dewinter qui déclare en riant : « Si tu veux des amis en politique, prends donc un chien. »
Filip Dewinter est marié et a trois filles. Il essaye de parler le moins possible de politique à la maison. Cependant, il leur présente les actions politiques et campagnes prévues en premier, afin de connaître leurs premières impressions.
La deuxième des filles de Filip Dewinter, An-Sofie (19 ans), est la plus active en politique. An-Sofie fait attention aux détails lorsque son père passe à la télévision ou à la radio : « Je l’observe. S’il utilise des mots trop difficiles, je le lui dis. Si ces habits ne sont pas beaux ou ses cheveux pas bien coiffés, je le lui dis aussi.»
En plus des éléments physiques, il y a d’autres ressemblances entre le père et la fille : « Je suis têtue et exprime volontier mon opinion. Je supporte difficilement les critiques ». Filip Dewinter ne le dément pas : « An-Sofie est la charmante version féminine de moi-même ».
Est-ce que dans le futur An-Sofie Dewinter figurera sur une liste ? Elle ne le sait pas encore. Elle doit d’abord terminer ses études.
22:52 | Lien permanent | Commentaires (0)
Manifestation de pro NRW à Dortmund le 17 juillet 2010.
22:31 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le président du FPK siégera au sein de la direction du FPÖ.
Autriche. Lors de la prochaine réunion de la direction du FPÖ, le président du FPK, Uwe Scheuch, siégera au sein de l’instance dirigeante du FPÖ. Un traité de coopération sera signé entre les deux partis. Des règles vont également être établies afin de réguler la constitution des listes électorales lors des élections pour le Parlement de Carinthie.
Le FPK dirige la Carinthie avec le Parti conservateur (ÖVP). L’ÖVP de Carinthie a réagi à cette annonce. Le travail du gouvernement de Carinthie doit se poursuivre sans influences du FPÖ national et de son président Heinz-Christian Strache. Si tel n’était pas le cas, l’ÖVP de Carinthie en tirerait les conséquences.
Uwe Scheuch a rassuré l’ÖVP de Carinthie en déclarant que personne ne viendrait s’immiscer dans la ligne politique du FPK. Le FPK garde sa pleine indépendance. D’un autre côté, le FPK aura son mot à dire sur la scène politique nationale grâce à l’entrée de Uwe Scheuch au sein de la direction du FPÖ.
Stefan Petzner, qui dirige le BZÖ en Carinthie, a déclaré que Uwe Scheuch s’est agenouillé devant Heinz-Christian Strache et que la constitution de listes FPK/FPÖ lors des élections pour le Parlement de Carinthie aura pour conséquence de nombreuses pertes de mandats pour les cadres du FPK.
Uwe Scheuch, le président du FPK, siégera au sein de la direction du FPÖ.
17:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
Suisse : l'UDC était dès le départ pour soumettre l'accord UBS au référendum facultatif.
Plusieurs médias ont analysé hier et aujourd'hui la nécessité de soumettre ou de ne pas soumettre au référendum facultatif l'ccord d'entraide administrative conclu avec les Etats-Unis dans l'affaire UBS. L'UDC avait demandé dès le début de cette discussion que cet accord soit soumis au référendum facultatif conformément à la Constitution fédérale qui l'exige pour les traités internationaux contenant des dispositions fixant des règles de droit (art. 141 cst.). Elle avait rappelé cette exigence le 14 avril 2010 déjà, jour où le Conseil fédéral avait adopté son message. Le communiqué de l'UDC était intitulé "L'accord doit être soumis au référendum". L'UDC a également défendu ce point de vue dans les commissions parlementaires préparatoires.
Pour l'UDC, il s'agit dans cette affaire d'une question de principe, indépendamment du fait que l'on soit pour ou contre l'accord UBS. La Constitution fédérale prescrit expressément que les traités de droit public doivent être soumis au référendum s'ils contiennent des dispositions fixant des règles de droit ou si leur application exige l'adoption de lois fédérales. Il est incontestable que l'accord UBS contient des dispositions fixant des règles de droit, si bien que ce traité doit être soumis au référendum facultatif dans le respect de la démocratie directe.
17:25 | Lien permanent | Commentaires (0)
28/05/2010
Hémorragie à la CDU.
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Le retour aux affaires de Christoph Blocher.
18:04 | Lien permanent | Commentaires (0)
Berlusconi veut redessiner aux yeux de ses électeurs son image de patron absolu du gouvernement.
Voici un communiqué de l’AFP :
Le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi a justifié jeudi son rapport au pouvoir par une référence historique inhabituelle au dictateur fasciste Benito Mussolini.
Interrogé lors d'une conférence de presse à Paris sur le risque que le plan d'austérité adopté par son gouvernement ne lui fasse perdre de futures élections, il a fait une digression sur son rapport au pouvoir.
«J'ose vous citer une phrase de celui qui était considéré comme un dictateur, un grand et puissant dictateur, c'est-à-dire Benito Mussolini: «Ils disent que j'ai du pouvoir. C'est faux. Peut-être que les hiérarques en ont, mais je n'en sais rien. Je sais que je peux seulement ordonner à mon cheval d'aller à droite et à gauche et je dois m'en réjouir»«, a-t-il déclaré.
«Donc le pouvoir, s'il existe, n'appartient pas à ceux qui dirigent les gouvernements des différents pays», a conclu Silvio Berlusconi, souvent accusé par l'opposition et les intellectuels italiens de mettre en place un régime rappelant le fascisme.
«Je suis au service de tout le monde et tout le monde peut me critiquer, voire m'insulter», a-t-il assuré, aux côtés d'autres dirigeants, dont le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, présents à Paris pour une réunion de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
Et voici un article de La Stampa :
« Les sacrifices et les deux visages du Cavaliere » (Marcello Sorgi, La Stampa) :
« Paradoxe apparent que de voir Berlusconi prendre ses distances par rapport au collectif budgétaire voulu par son gouvernement. C’est pourtant ce qu’il fait publiquement depuis 2 jours face à des salles étonnées par ses déclarations – comme, hier, de citer Mussolini pour expliquer son impuissance face à un tournant de la rigueur excessif à son goût. En réalité, sa stratégie de communication est très claire et bâtie sur les réactions, mesurées par les sondages, à la loi de finances rectificative. Premier signal en réponse aux doutes de son électorat : la conférence de presse de mercredi, où il n’a pas nié les divergences avec Tremonti – investi du rôle du ‘méchant’ – comme pour dire ‘si je n’avais pas tenu bon, ça aurait pu finir plus mal encore’. Mais ne risque-t-il pas, ce faisant, de délégitimer le plan de redressement aux yeux de l’Europe ? C’est possible, même si pour les observateurs ce sont les faits et les chiffres qui comptent, avec Tremonti en sentinelle sur la frontière de l’Union. A moyen terme, Berlusconi veut redessiner aux yeux de ses électeurs son image de patron absolu du gouvernement. Dans l’ignorance où l’on se trouve de la façon dont les choses vont évoluer pour l’Italie, l’euro et l’Europe ces prochains mois, le Cavaliere veut suggérer qu’il continue à faire tout ce qu’il peut, mais que si le vent demeure contraire, alors il faudra se préparer à des temps plus durs. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
17:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
Belgique : débats électoraux à la télévision.
Dans la partie francophone du pays, la démocratie est quasi-inexistante. Seuls quatre partis politiques ont accès à la télévision d’État, la RTBF.
La chaîne de télévision publique néerlandophone et francophone devaient organiser un débat en commun, mais la présence du Vlaams Belang au sein du débat posait problème à la télévision francophone. Deux débats séparés seront donc organisés. Un par la chaîne francophone et l’autre par la chaîne néerlandophone.
Voir un article du journal belge La Dernière Heure : http://www.dhnet.be/infos/elections-2010/article/312721/pas-de-debat-commun-rtbf-vrt.html
17:34 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le magazine des Séniors parle de Synthèse nationale.
16:10 | Lien permanent | Commentaires (0)
Rotterdam : mise en place du nouvel exécutif.
Pays-Bas. Rotterdam. Ce jeudi, le nouvel accord de coalition 2000 – 2014 a été discuté au sein du Conseil municipal de Rotterdam. Le nouvel exécutif de la ville a été mis en place.
Leefbaar Rotterdam a été exclu des accords de coalition malgré le fait qu’il a obtenu 14 sièges au sein du Conseil municipal, à égalité avec le PvdA (Parti travailliste), et que Marco Pastors, le chef de file de Leefbaar Rotterdam, a récolté 51.000 voix.
14:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
27/05/2010
Carinthie : panneaux de noms de lieux.
Le FPK ne veut plus négocier sur la question du bilinguisme de ces panneaux au sein de certaines municipalités tant que les attaques à la bombe qui ont été perpétrées au cours des années 70 n’ont pas été élucidées.
Le FPK veut avoir accès aux dossiers des services secrets autrichiens sur ce sujet.
17:40 | Lien permanent | Commentaires (0)
Berlusconi-Fini : vers le dégel.
« La révolte des provinces abolies » (Gianni Trovati, Il Sole 24 Ore) :
« Les polémiques sur la suppression des provinces se sont immédiatement concentrées sur les critères retenus (220 000 habitants, appartenance à des régions au statut ordinaire et absence de frontières avec l’étranger) qui divisent les ‘disparues’ et celles qui seront ‘sauvées, au point que l’UdC et les finiens ont demandé une abolition de toutes les provinces, point. Bossi a réagi estimant que les abolir toutes mènerait ‘à la guerre civile’, ‘pour l’instant, nous en restons là’ a-t-il déclaré. Tremonti et Berlusconi ont souligné que pour abolir la totalité des provinces, il faudrait modifier la Constitution. Parmi les provinces directement intéressées, la révolte a déjà démarré : ‘c’est anticonstitutionnel’ déclare sèchement F. Cesetti (centre-gauche), président de la province de Fermo ; pour R. Simonetti, député et président léghiste de la province de Biella : ‘ce serait une offense à notre dignité’. »
« Berlusconi-Fini : vers le dégel » (Barbara Fiammeri, Il Sole 24 Ore) :
« Berlusconi dément toute tension avec Tremonti, mais le malaise persiste face à tous les ‘non’ opposés par le ministre de l’économie, au sein du PdL et jusque chez le Cavaliere lui-même. Ce qui préoccupe le PdL et Berlusconi lui-même, c’est l’axe Ligue-Tremonti, l’idée qu’une fois de plus le parti de Bossi ait payé moins cher que ses alliés le prix de l’inévitable impopularité de cette loi de finances. Berlusconi, conscient que le moment est très délicat, veut réduire le plus possible les fronts conflictuels, à commencer par celui avec Fini. On tente la réconciliation : à les finiens Bocchino et Augello sont venus à la résidence de Berlusconi discuter avec Alfano et Ghedini, notamment des projets de loi ‘écoutes’ et anti-corruption. Par delà l’imminente réconciliation avec Fini, les coupes imposées aux ministères et surtout aux régions alarment le PdL. Hier, R. Formigoni a fait une déclaration très dure. Berlusconi a tenté de rassurer les parlementaires, en défendant le texte budgétaire et en offrant de coopérer avec les oppositions, à commencer par l’UdC (‘nous attendons Casini’), tout en évoquant une possible (‘à l’avenir’) fusion-fédération avec la Ligue. En attendant, il faut décider qui sera le nouveau ministre de l’Industrie, dont Berlusconi fait l’intérim – ‘nous réfléchissons, y compris avec le Quirinal’. »
« Berlusconi l’admet : ‘des sacrifices sont nécessaires’ » (Amedeo La Mattina, La Stampa) :
« Au bout du compte, Berlusconi signe la loi de finances rectificative de Tremonti et donne une conférence de presse au palais Chigi, avec le ministre, pour expliquer le texte. Le président du Conseil dément tout forme de désaccord ou d’affrontement avec le ministre de l’Economie qui fait ‘un métier difficile : il est obligé de dire non en permanence pour le bien commun’. Il remercie aussi le chef de l’Etat pour sa demande d’effort unitaire mais sans rien faire pour convaincre l’opposition de voter les mesures économiques proposées, imputant au contraire aux gouvernements de centre gauche la responsabilité du mauvais état des comptes publics. Berlusconi entend démontrer qu’il est le co-auteur du texte. Bossi présente les choses autrement, disant que Berlusconi ‘au départ était inquiet’ mais ‘maintenant dit que le texte est aussi le sien’. Finalement, Berlusconi s’est résolu à faire sien le mot ‘sacrifices’, ‘nécessaires et indispensables pour défendre euro, salaires, économies des familles et entreprises’. C’est la première fois qu’il demande aux Italiens de faire des sacrifices ; il le fait à sa façon, ajoutant : ‘je suis un optimiste incurable, je suis sûr que cette fois encore nous réussirons, et bien’. »
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(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Le FPÖ du Burgenland consacre une partie de sa propagande aux jeunes.
00:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
Un député européen du PVV exige des excuses de la part d'un ministre turc.
Le député européen du PVV Barry Madlener exige des excuses de la part du ministre turc des affaires étrangères qui l’a traité de raciste suite au fait qu’il ai critiqué une réunion commune entre parlementaires turcs et européens à Istanbul.
00:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
26/05/2010
Clôture de la campagne du FPÖ au Burgenland.
Autriche. Ce mercredi, le FPÖ a clôturé sa campagne électorale en vue des élections de ce dimanche pour le Parlement du Burgenland. Le Président national du FPÖ Heinz-Christian Strache est venu soutenir le FPÖ du Burgenland à Oberwart.
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Des cadres du parti en veste bleue ont distribué de petits cadeaux : des ours, des stylos et des livres sur l’histoire du FPÖ.
L’objectif principal du FPÖ est, selon Heinz-Christian Strache, de briser la majorité absolue des sociaux-démocrates (SPÖ) au sein du Parlement du Burgenland.
Johann Tschürtz, le candidat de tête du FPÖ veut que les emplois aillent aux Autrichiens et un renforcement des frontières.
Le FPÖ vise 10% des voix.
23:25 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le chef du BZÖ veut réunifier les libéraux.
Le BZÖ fondé en 2005 par Joerg Haider veut devenir le parti de tous les libéraux en Autriche. Le BZÖ a fait une offre de réunification au Forum Libéral. C’est ce que le Président du BZÖ Josef Bucher a déclaré ce mercredi au rédacteur en chef des Salzburger Nachrichten. Des discussions seraient également en cours entre le BZÖ et les Jeunes libéraux. Le Forum libéral et les Jeunes libéraux n’ont pas encore donné de réponse.
Josef Bucher estime le potentiel d’un parti libéral en Autriche à 18%. Il veut que le BZÖ adhère au niveau européen à la famille libérale. Le nouveau député europeen du BZÖ, Ewald Stadler, sera chargé du rapprochement avec la famille libérale au sein du Parlement européen.
Ewald Stadler devient l’unique député européen du BZÖ grâce à l’entrée en vigueur du Traité de Lisbonne. Dés septembre 2010, il sera observateur au sein du Parlement européen. Á partir de 2011, il disposera du droit de vote au sein du Parlement européen.
Rappel historique
Rappelons que Joerg Haider prend le contrôle du FPÖ, le parti libéral autrichien, en 1986 lors du Congrès d'Innsbruck et qu’il mène ensuite son parti de victoires en victoires jusqu’à l’entrée du FPÖ au sein du gouvernement autrichien en 2000.
En 1993, cinq députés du parti font sécession, parmi lesquels Heide Schmidt, et créent le Forum libéral. Ces députés reprochent au FPÖ la nomination d’Andreas Mölzer à la direction de l’institut de formation du parti, alors que celui-ci a parlé de « Umvolkung » (inversion ethnique).
(Pour celui qui veut plus d'informations sur le Forum libéral, l'article en français de Wikipedia sur le sujet est un article qui comprend des informations exactes).
Heide Schmidt a fondé le Forum libéral en 1993.
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