05/05/2010
Le convoi de pro NRW poursuit sa route à travers la Rhénanie du Nord - Westphalie.
Voir la vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=a1HKNobS_gU&feature=pl...
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Italie : le Ministre Scajola a jetté l'éponge.
(Traduction : ambassade de France à Rome.)
16:13 | Lien permanent | Commentaires (0)
Sites Facebook du BNP hackés.
15:56 | Lien permanent | Commentaires (0)
Une autre affiche de H-C Strache.
00:36 | Lien permanent | Commentaires (0)
04/05/2010
Pro NRW : un car et ... un avion.
17:29 | Lien permanent | Commentaires (0)
Strache exige l’expulsion de la Grèce de la zone euro.
Autriche. Heinz-Christian Strache, le chef de file du FPÖ, exige l’expulsion de la Grèce de la zone euro et la réintroduction de l’ancienne monnaie grecque.
17:06 | Lien permanent | Commentaires (0)
Défi de Fini : il lance les cercles de Generazione Italia.
« Deux semaines d’attente avant des éclaircissements, c’est un peu trop » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) : « C. Scajola compte donc aller devant les juges comme témoin puis se rendre au Parlement pour fournir les éclaircissements réclamés par l’opposition et une partie de la majorité sur les conditions d’acquisition de son appartement romain et ses rapports avec l’entrepreneur Anemone. Scajola a pris la bonne décision, mais malheureusement il l’a prise trop tard. Dans les heures qui ont suivi les révélations de la presse, et lors des interviews de samedi dernier, il avait exclu d’aller devant le Parlement – ligne peu réaliste qu’il a dû abandonner. Trop tard, car son rendez-vous chez les juges a été fixé au 14 mai. Les chambres devront donc attendre deux semaines avant de l’entendre. Deux semaines pendant lesquelles l’assaut médiatique ne se calmera pas. Pourquoi a-t-il tant attendu ? Sans doute espérait-il que ça se tasserait. Une illusion. Il y a beaucoup de preuves contre lui, mais il en existe aussi en sa faveur. Il devrait donc accélérer le tempo au lieu de le ralentir. Dans ce climat de tension, deux semaines c’est trop, tant pour le gouvernement de Berlusconi que pour la majorité – qui qui n’a pas vraiment fait preuve de solidarité envers lui. Inutile aussi d’accuser les procès médiatiques quand on attend trop longtemps pour les transférer dans leur siège institutionnel : ce n’est pas un signe de force mais de faiblesse, et même de peur. S’il veut s’en sortir avant qu’il ne soit trop tard, il a intérêt à agir en respectant le Parlement et l’opinion publique. »
« Berlusconi ‘préoccupé’. Il pense déjà à l’après Scajola – On parle de Romani, mais Galan et la Ligue sont sur les rangs » (Virginia Piccolillo, Corriere della Sera) :
« Dimanche, le président du Conseil reconnaissait être très préoccupé, mais se croyait encore assez solide pour pouvoir affronter un scandale de plus. Hier, Berlusconi était beaucoup plus inquiet. L’affaire a pris de telles proportions qu’elle a dépassé la cote d’alerte : la gestion politique en est trop risquée. On ne peut pas attendre le 14 mai pour une explication et la démission de Scajola paraît inéluctable. Berlusconi a déjà pensé à sa succession : il aurait lancé en plaisantant le nom de L. di Montezemolo ; plus sérieusement, il pense à Romani, n°2 de Scajola. Mais G. Galan, à peine nommé ministre de l’Agriculture, a posé sa candidature, comme l’état-major de la Ligue. Hier un ministre de premier plan déclarait ‘les accusations contre Scajola sont incroyables, mais ses propres déclarations le sont tout autant ; notre parti ne peut accepter une affaire de corruption sans explications’ – et la majorité lui a fait écho. Aujourd’hui Berlusconi doit rencontrer son ministre pour des éclaircissements et, selon certains, ce pourrait être leur dernier entretien comme collègues au sein du gouvernement. »
« Défi de Fini : il lance les cercles de Generazione Italia » (Corriere Della Sera) :
« GF Fini soutient l’association d’I. Bocchino qui déclare ‘Berlusconi a les ‘cercles des promoteurs de la liberté’, Fini a maintenant les ‘cercles de Génération Italie’. Dans une vidéo de 2 minutes 30, Fini explique que ‘l’objectif principal est de garantir sur tout le territoire national la présence de nombreux cercles composés de volontaires’, auxquels il invite tout le monde à participer. L’initiative, qui reste dans le contexte du PdL, vise à ‘trouver quelques bonnes idées à mettre au service d’une bonne politique.’ Y ont déjà adhéré 500 élus locaux – on en prévoit 1000 – en vue d’un grand congrès à Rome. Selon Fini lui-même son projet est ‘de construire, non de détruire’. Les choses bougent : au Sénat, on envisage une association-fondation pour plus de dialogue avec le PdL ‘loyaliste’ ; à la Chambre, avec le plein appui de Fini, c’est sur des thèmes essentiels qu’on se concentre : Bocchino et Granata envisagent de demander une procédure accélérée pour débattre tout de suite, avant ou en même temps que le projet de loi sur les écoutes, le texte anticorruption qui vient de recevoir l’aval du Quirinal. »
Entretien avec Umberto Bossi, ministre des Réformes, dans La Repubblica, - « Des célébrations inutiles ; j’irai si le Président me le demande » :
« Après Roberto Calderoli, ministre léghiste de la Simplification, U. Bossi rêve lui aussi d’avoir le fédéralisme en place avant d’assister aux 150 ans de l’Unité. Selon lui, ce serait la seule façon de sauver le pays et de lui éviter de finir comme la Grèce , mais aussi de tenir la promesse de Cavour que le roi n’a pas tenue : les Lombards n’auraient jamais accepté d’être assujettis au Piémont, mais le roi a trahi Cavour et imposé le centralisme. ‘Il est temps de reprendre le cours de l’Histoire. Avec le fédéralisme nous aurons finalement des règles. Ce qui fera du bien au Nord et au Sud. Parce qu’après la crise le Nord ne pourra plus donner d’agent au Sud et le Sud ne pourra plus se permettre de gaspiller. Il faudrait réécrire l’Histoire, qui a deux faces : d’un côté, il y a le peuple et, de l’autre, la classe dirigeante qui domine ; d’un côté ceux qui dépensent, de l’autre ceux qui payent. Je ne sais pas encore si j’assisterai aux cérémonies de l’Unité d’Italie, cela me semble un peu inutile. Mais je dois encore y réfléchir. Et si Napolitano me demande d’y assister … vous savez bien que le Président m’a toujours été sympathique.’ »
Entretien avec Gianfranco Fini, président de la Chambre, dans La Stampa – « Mais pourquoi le PDL reste-t-il à regarder ? » :
« Je désapprouve l’attitude du ministre Calderoli qui snobe les 150 ans de l’Unité de l’Italie. Dans le fond, la Ligue n’est pas un parti national. Je m’étais permis de demander pour quelle raison un grand parti national comme le nôtre n’avait pas présenté un seul projet pour célébrer dignement cet anniversaire. Etait-ce, avais-je demandé, parce que les amis de la Ligue excluaient qu’il y eût quoi que ce fût à célébrer ? Les institutions sont en première ligne, particulièrement depuis la forte impulsion donnée par le président Napolitano. Nous travaillons à l’idée de réunir les deux Chambres devant lesquelles le chef de l’Etat prendrait la parole. Ayant contribué à la fondation du PdL, je pense qu’il est très grave que le parti ne prenne pas d’initiatives pour célébrer l’Unité. L’anniversaire est l’occasion de s’interroger de façon très sérieuse sur ce que veut dire être italien aujourd’hui et non hier. La célébration doit permettre de porter le regard vers l’avant, en mettant en avant les défis de demain, les réformes structurelles dont nous avons besoin, en tentant de réconcilier la politique et la société. Si nous voulons un avenir partagé, il faut avoir mémoire partagée, et de là identifier ce qui nous rassemblet. Les 35 M€ que le gouvernement a budgétés sont une bagatelle, la preuve de sa myopie. Le fédéralisme n’est pas un instrument d’unité ; c’est une façon de rendre plus efficace le fonctionnement de l’Etat. En ce qui concerne le fédéralisme fiscal, nous sommes encore dans la phase de recueil de donnée, nous avons besoin de comprendre ce que cela comporte en termes de coûts et de cohésion sociale. »
(Traduction : ambassade de France à Rome.)
16:58 | Lien permanent | Commentaires (0)
Filip Dewinter désigné pour mener la liste du Vlaams Belang au Sénat.
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03/05/2010
Magazine à Barking et Dagenham.
Le Parti travailliste se voit attaquer à Barking et Dagenham, où le BNP a des chances de l’emporter, au sein d'une publication qui n'est pas publiée directement par le BNP, mais par des personnes indépendantes. Un magazine de 12 pages est distribué. Le député, du Parti travailliste, de la circonscription est le sujet de cette revue intitulée : Barking and Dagenham Sentinel.
Le magazine explique que cette dame était une gauchiste qui avait le buste de Lénine sur son bureau. Le sexe, l’argent et les personnalités sont également abordées. La fortune de ce député travailliste est estimée à 50 millions de livres sterling.
Voir le magazine : http://margarethodge.files.wordpress.com/2010/05/sentinel...
23:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
La Russa lance ‘Notre droite’ mais ce n’est pas un courant
« La guérilla des finiens ne se calme pas » (Ugo Magri, La Stampa) :
« Berlusconi est peut-être génial, mais s’être débarrassé d’I. Bocchino n’a sans doute pas été une très brillante idée. L’ex n°2 du groupe PdL à la Chambre, n’ayant plus rien à perdre, passe son temps en embuscade, toujours prêt à intervenir dans les médias pour critiquer Berlusconi, qui n’arrive pas à le faire taire. Bocchino est insaisissable, il en rajoute et compromet les réformes. Au stade où on en est, le choix est entre chasser Bocchino du PdL, en en faisant un martyr de la résistance anti-berlusconienne, ou le supporter, ainsi que Granata voire Briguglio, qui a adhéré à la proposition de Bersani sur la réforme des partis – avec pour effet de porter devant les tribunaux tous les litiges internes. On peut imaginer la joie de Berlusconi – une vraie guerre civile. Et les Berlusconiens loyaux se mettent en marche : La Russa avec ‘Notre droite’, Gasparri en demandant au président du Conseil de remettre de l’ordre en Sicile où les anti-Alfano se sont alliés au PD pour soutenir Lombardo. Heureusement, il y a la Ligue qui soutient le Cavaliere bec et ongles : ‘si Berlusconi tombe, on va aux urnes’ – simple menace, l’objectif de la Ligue étant d’utiliser les 3 ans à venir pour faire le fédéralisme fiscal. »
« La Russa lance ‘Notre droite’ mais ce n’est pas un courant » (Giannino della Frattina, Il Giornale) :
« Hier I. La Russa, ministre de la Défense, a organisé un séminaire ‘Notre droite dans le PdL’, pour lancer un nouvel ensemble propre à endiguer le pouvoir de la Ligue au sein de la majorité. La Russa insiste ‘il ne s’agit pas d’un courant, nous voulons renforcer le PdL et soutenir notre culture politique. Il n’y aura pas de scission, il s’agit d’une tendance politique et culturelle avec des idées claires qui travaillera à la croissance du PdL’. Il est évident que la droite craint d’être écrasée entre le charisme de S. Berlusconi et les slogans populistes, mais terriblement efficaces, d’une Ligue devenue un panzer. Dans un an, Milan élira un nouveau maire ; à l’évidence, la bataille se jouera au sein du centre droit. ‘Il est juste qu’au PdL il y ait une droite forte, comme il y a une tendance socialiste, catholique et même radicale. Nous devons être plus présents sur le territoire. Nous devons beaucoup à GF Fini, mais nous ne lui devons pas tout. Et s’il y en a qui lui doivent tout, ils sont parmi les 11, à la direction du PdL, qui ont voté pour lui. Qui a raison et qui a tort ne nous intéresse pas, mais personnellement, j’avoue avoir dû admettre, au prix d’un sacrifice et de beaucoup d’amertume, qu’il fallait suivre une autre voie : rester dans le PdL’. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
22:46 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le BZÖ de Carinthie sort une chanson.
Le BZÖ de Carinthie sort une chanson intitulée « Aufbruch für Kärnten » (Départ pour la Carinthie). La chanson sera disponible en CD et sur Internet.
Stefan Petzner, l'ancien fils spirituel de Joerg Haider dirige le BZÖ de Carinthie.
22:20 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le MCG veut envoyer l'armée aux frontières de la Suisse.
Suisse. Le Mouvement citoyen genevois (MCG), qui siège au parlement cantonal de Genève, a déposé une résolution devant le parlement pour demander au gouvernement l’assistance de l’armée afin d’effectuer des rondes de nuit aux postes frontières du canton de Genève, selon un communiqué.
"La Confédération ne donne plus les moyens suffisants au Corps des gardes-frontière qui n'est plus en mesure d'assurer ses nombreuses tâches", explique-t-il, précisant que seulement "60 à 70" douaniers effectuent un service 24h/24 tout au long de l’année.
Pour le MCG, qui dénonce régulièrement la venue en Suisse de travailleurs frontaliers français, "la justice pénale française a été durcie pour la petite criminalité poussant les malfrats à venir en Suisse".
Face au manque d’effectifs sur la frontière helvétique et les peines "laxistes" en vigueur dans le canton de Genève, le MCG a réclamé l’aide de l’armée pour au moins six mois.
22:06 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le convoi électoral de pro NRW attaqué à Bielefeld.
Le convoi électoral de pro NRW a été encerclé et des vitres du bus ont été brisées par des assaillants. Ulrich Manes, un élu local de pro NRW, a été attaqué par plusieurs douzaines d’antidémocrates et n’a pu quitter Bielefeld que sous une protection policière massive.
Il semblerait qu’une partie de ces excités ait été amenée dans un bus affrété par le Parti social-démocrate (SPD).
17:22 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'Autriche et l'aide à la Grèce.
Le Député européen du FPÖ Andreas Mölzer réclame le retour à la situation existante avant la création de l’Euro qui voulait que l’Autriche ou les Pays-Bas voient leur monnaie respective liée à la monnaie allemande. Il s’agissait d’une sorte de noyau dur de la zone euro. Selon Andreas Mölzer, un pays comme la Grèce, l’Espagne ou le Portugal doit suivre sa propre voie monétaire.
Le chef du FPK, Uwe Scheuch, exige une consultation populaire sur l’aide que l’Autriche doit apporter à la Grèce.
Le BZÖ se prononce également en faveur d’une consultation populaire.
16:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le chef de file du PVV demande que les Pays-Bas examinent la possibilité de quitter l'Eurozone.
Le chef de file du PVV, Geert Wilders, estime que le temps est venu pour les Pays-Bas de penser à quitter la zone Euro. Il appelle le gouvernement à examiner la question.
Geert Wilders réagit au problème de la dette grecque « La Grèce a fait une faute. Cela va nous coûter beaucoup d’argent. La question est de savoir si nous le reverrons un jour». Selon lui, les chances de voir l’Espagne et le Portugal suivre sont grandes.
15:24 | Lien permanent | Commentaires (0)
Interview de l'auteur du livre "La nouvelle Europe : Paris, Berlin, Moscou."
Marc Rousset est l'auteur du livre : "La nouvelle Europe : Paris, Berlin, Moscou" (Editions Godefroy de Bouillon, 2009, 538 pages). Il publie des articles dans la revue Synthèse nationale. Il répond aux questions de Franck Abed.
12:42 | Lien permanent | Commentaires (0)
02/05/2010
Leefbaar Rotterdam ne participera pas à l’exécutif de la ville de Rotterdam.
Pays-Bas. Rotterdam. Le PvdA, le VVD, D66 et le CDA vont gouverner ensemble Rotterdam. Les quatre partis détiennent ensemble 25 des 45 sièges du Conseil municipal. Leefbaar Rotterdam (Rotterdam Vivante) a été mis de côté par les autres partis lors des négociations. Leefbaar Rotterdam représente pourtant 30% des électeurs de Rotterdam et détient 14 sièges au sein du Conseil municipal de la ville.
Conseil municipal de Rotterdam
22:47 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le convoi électoral de pro NRW sur la ligne de départ.
22:26 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le nouveau programme du BZÖ a été adopté à l’unanimité.
15:40 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les délégués de l'UDC partent en guerre contre l'accord de Schengen.
L'UDC estime en outre que les coûts liés à la mise en oeuvre de Schengen ont "explosé". Selon le conseiller national Hans Fehr, ils ont passé de 7,4 millions de francs par an lors du vote à 50 millions aujourd'hui. Les 400 délégués présents ont donc demandé une analyse détaillée des conséquences de l'accord. "Si elle confirme le désastre observé jusqu'ici, il faudra dénoncer l'accord", a conclu Hans Fehr. L'UDC avait lancé en 2004 le référendum, mais il n'avait pas abouti. Enfin, l'UDC a fustigé la volonté de Lausanne d'autoriser des sans-papiers à suivre une formation professionnelle.
15:19 | Lien permanent | Commentaires (0)
01/05/2010
Manifestation de pro NRW à Solingen.
22:40 | Lien permanent | Commentaires (0)
Premier mai du Vlaams Belang à Vilvoorde.
Belgique. Ce 1 mai 2010 se tenait à Vilvoorde la manifestation du 1 mai du Vlaams Belang. Le Député national Filip De Man a souhaité la bienvenue aux nombreux militants. Il a adressé en ce jour du travail un message clair aux travailleurs et indépendants qui sont appelés le 13 juin aux urnes : « La Belgique est aussi dans le domaine économique et social une vraie catastrophe ».
Après un dépôt de fleurs devant un monument, le Président du parti Bruno Valkeniers a pris la parole.
Bruno Valkeniers a déclaré : « Notre parti n’est plus le seul qui dit que le Belgique ne fonctionne plus. Il est le seul qui dit tout haut que la Belgique doit disparaître. » et « Le 13 juin 2010, l’électeur a la chance de briser la Belgique et de choisir la Flandre. Et choisir la Flandre, c’est choisir le Vlaams Belang. »
Le 1 mai 2010 à Vilvoorde.
18:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
Burgenland : le FPÖ lance sa campagne électorale.
L’objectif du FPÖ est de briser la majorité absolue du Parti social-démocrate (SPÖ) au sein du Parlement du Burgenland et de s’emparer d’un siège au sein du gouvernement du Burgenland.
Le président national du FPÖ, Heinz-Christian Strache, a dénoncé les pratiques du Parti social-démocrate du Burgenland et de son dirigeant « L’empereur de la « Proporz » (système de lotisation et de politisation des nominations dans la fonction publique, ou système de « la carte de parti ») ne doit plus avoir de majorité absolue le jour des élections. Il y a un besoin de plus de démocratie, transparence et contrôle au Burgenland. »
16:54 | Lien permanent | Commentaires (0)
Judith Wolter parle des relations entre partis patriotiques en Europe.
Judith Wolter est avocate et dirige le groupe des élus de pro Köln (Pour Cologne) au sein du Conseil municipal de Cologne. Elle a donné une interview au magazine allemand « Zuerst ».
La couverture du magazine : "Attaque d'un bastion. L'Eglise catholique dans le viseur de la gauche."
Judith Wolter est née en 1978. Elle est avocate à Leverkusen et est mariée. Elle dirige le groupe des élus de pro Köln au sein du Conseil municipal de Cologne et est trésorière du mouvement pro NRW.
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Voici un extrait de l'interview:
Madame Wolter, lors du congrès de pro NRW au château Horst à Gelsenkirchen des représentants d’autres partis européens de droite de France, Flandre, Autriche, Espagne et Suède sont venus. Quelles est l’importance et l’intensivité des réseaux européens ?
Judith Wolter : Très important ! Le problème de l’islamisation et de l’immigration de masse en provenance de l’espace culturel islamique est un problème commun à l’Europe.
Chacun peut profiter de l’expérience, de la stratégie et des concepts politiques pratiques des autres partenaires européens. Ensemble, nous pouvons organiser des événements sensationnels, comme pro NRW l’a démontré plusieurs fois à Cologne et, à présent, dans la Ruhr.
De plus, les démocrates de droite doivent directement, aussi à l’intérieur de l’Union européenne, mener des actions communes afin de se battre pour leurs valeurs libérales et conservatrices et afin également de faire front contre le courant politique répandu de gauche en Europe. »
13:38 | Lien permanent | Commentaires (0)