17/05/2010
Le FPÖ dénonce les pratiques de l'ORF.
15:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
UDC Suisse : Résistez, s'il vous plaît!
par Martin Baltisser, secrétaire général UDC Suisse
C'était prévisible: en marge du programme de stabilisation de la monnaie européenne des voix se sont élevées pour faire pression sur la Suisse afin qu'elle augmente ses contributions financières. Aussi grossières que bruyantes, ces interventions témoignent surtout d'une ignorance crasse de la situation réelle - la Suisse apporte déjà une contribution financière notable à l'euro via le Fonds monétaire international (FMI). Mais il suffira quelques jours à l'UE pour se concerter et cibler ses revendications plus précisément. Le Conseil fédéral fait preuve - pour le moment en tout cas - de fermeté (il a agi de la même manière dans d'autres cas avant de s'écrouler). Mais en déclarant qu'il n'avait pas reçu de demande officielle jusqu'ici de la part de Bruxelles, le gouvernement suisse n'oppose pas un refus clair et net, mais signale plutôt qu'il est prêt à discuter. On ose espérer que pour une fois au moins il ne fasse pas passer les contribuables suisses à la caisse pour payer les erreurs de l'UE.
La participation de la Suisse au programme de stabilisation du FMI en faveur de la Grèce et de la zone euro est déjà suffisamment irritante. Bien sûr, il ne s'agit "que" de garanties accordées par la Banque nationale suisse, mais en fin de compte ces moyens financiers ne sont plus à disposition pour d'autres engagements et, en cas de perte, le contribuable suisse serait tout de même touché du fait que les dividendes versés par la BNS diminueraient. L'UDC avait à l'époque refusé l'adhésion au FMI dont l'utilité pour la Suisse est plus que douteuse. Le bien-fondé de ce scepticisme est confirmé aujourd'hui. Le Parlement serait bien inspiré d'examiner d'un œil critique d'éventuels nouveaux crédits accordés au FMI au lieu d'accepter sans discuter les propositions du Conseil fédéral.
Pour l'UDC, il est hors de question que la Suisse verse des contributions financières aux pays de la zone euro au-delà du cadre du FMI. Si la Suisse est en bonne position aujourd'hui face à la crise économique et financière, c'est parce qu'elle a plus au moins bien réussi à contrôler ses finances et qu'elle a mené une politique monétaire indépendante et efficace. La majorité des Etats de la zone euro n'ont pas fait leur travail et ont abandonné les grands principes qu'ils se sont donnés. On entend déjà des voix proposant une fuite en avant sous la forme d'une intégration encore plus forte des pays euro avec à la clé une centralisation de la politique économique et financière. Il n'est dès lors pas étonnant que la crise actuelle ait provoqué des tensions politiques internes dans la zone euro. Et comme de coutume en pareil cas, les politiques lancent des accusations contre l'étranger pour détourner l'attention de leurs propres défaillances. La Suisse a largement fait l'expérience de cet état d'esprit durant les années écoulées. Ce qui serait nouveau, en revanche, c'est que le Conseil fédéral ne se laisse pas intimider par ces gesticulations et qu'il reste ferme.
15:40 | Lien permanent | Commentaires (0)
65 ans de " 't Pallieterke".
Belgique. L’hebdomadaire national-flamand Pallieterke fête ses 65 ans. ’t Pallieterke paraît chaque mardi.
Le site internet de « 't Pallieterke » : www.pallieterke.info
15:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
16/05/2010
Elections municipales au Tyrol du Sud ou Haut-Adige.
Italie. Des élections municipales ont lieu ce dimanche au Haut-Adige ou Tyrol du Sud. Voici les listes en présence selon les municipalités :
http://www.gemeindewahlen.bz.it/preindex_ld_vg.htm
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Le Haut-Adige ou Tyrol du Sud est une région peuplée de germanophones et de personnes parlant l'italien.
Au sein de 111 des 116 municipalités du Tyrol du Sud ou Haut-Adige de nouveaux conseils municipaux et maires sont élus ce dimanche 16 mai 2010. Au sein des municipalités de Feldthurns, Abtei, Brenner, Mals et Plaus, les élections ne sont pas organisées car elles ont eu lieu de manière anticipée.
Le SVP, un parti germanophone de centre-droit qui domine la région, mène le jeu. En 2010, il y a 20 municipalités au sein desquelles le SVP est le seul parti qui présente des listes, contre 32 en 2005.
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Les listes patriotiques :
Les Freiheitlichen sont présents sur les listes de 56 municipalités dont celle de Bozen / Bolzano. Ils présentent 27 candidats aux postes de maire dont un à Bozen / Bolzano.
Südtiroler Freiheit se présente au sein de 31 municipalités. C’est un parti issu, en 2007, d’une scission au sein du parti Union für Südtirol. Le Député de Südtiroler Freiheit au Parlement du Land Sven Knoll est candidat maire à Meran et Evan Klotz à Brixen.
Union für Südtirol est présente sur les listes au sein de 21 municipalités et son dirigeant, Andreas Pöder, est candidat à la mairie de Lana.
Le Peuple de la Liberté se présente au sein de 11 municipalités et la Lega Nord Südtirol (Ligue du Nord du Tyrol du Sud) au sein de 9 municipalités. Unitalia est aussi présent.
16:38 | Lien permanent | Commentaires (0)
La CSU participe aux Deuxièmes Journées œcuméniques de l’Église à Munich.
Horst Seehofer est le ministre-président de la Bavière et le président de la CSU : « Valeurs chrétiennes – une boussole pour l’avenir ».
14:53 | Lien permanent | Commentaires (0)
15/05/2010
Organes de presse du BNP.
19:52 | Lien permanent | Commentaires (0)
14/05/2010
Italie : Fini s’organise : ‘mais pas d’embuscades’.
Entretien avec R. Cota et L. Zaia, gouverneurs (Ligue) du Piémont et de Vénétie dans La Stampa : « Le Nord n’a pas à payer pour les erreurs des autres » :
« Nous faisons des sacrifices et ne pouvons accepter qu’on se moque de nous. Tolérance zéro contre ceux qui ne respectent pas les contraintes. Nos électeurs veulent rigueur, efficacité et lutte contre le gaspillage. Le fédéralisme est une véritable prise de responsabilités, disait Napolitano, et la responsabilité commence par les choses concrètes. S’il y a des trous dans le budget de la santé, c’est parce qu’on n’a jamais eu le courage de rationaliser en fermant les établissements hospitaliers indignes de ce nom, en investissant dans la technologie et l’innovation. Nous ne voulons pas enfoncer la Campanie ou la Calabre, mais les rappeler à leurs responsabilités. Ces régions devront en passer par les corrections budgétaires que nous avons faites. Ces dernières années, la Calabre a reçu plus de ressources que la Vénétie pour la santé, mais les résultats sont là. Les seuls à ne pas être responsables sont les 4 nouveaux gouverneurs qui héritent d’une situation désastreuse. Il faut maintenant un sursaut dans les mentalités : tirons un trait et repartons de là. Le Sud n’est pas ainsi car il a moins reçu, mais car il a eu plus et a mal utilisé les fonds, résultat de classes dirigeantes qui ont semé la dévastation. »
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« Fini s’organise : ‘mais pas d’embuscades’ » (Paola di Caro, Corriere della Sera) :
« Le grand froid se poursuit entre Berlusconi et Fini, mais ce dernier se veut clair : quiconque pense qu’il pourrait chercher ‘à faire tomber le gouvernement, à rester embusqué et à compliquer l’action du gouvernement, n’a absolument rien compris’. Une déclaration presque forcée puisque, hier, la complexe galaxie finienne a vu une série de naissances, de baptêmes et d’évolutions de planètes qui pourraient faire penser à mal. Après son refus de rencontrer Verdini comme médiateur, Fini a été hier l’hôte d’au moins trois initiatives de cercles qui lui sont très proches. D’abord, plus de 30 parlementaires, finiens pour la plupart et anciens de Forza Italia pour 6 d’entre eux, qui ont formé la fondation Spazio aperto pour débattre sereinement des thèmes lancés par le cofondateur, sous l’égide d’Augello et Moffa : l’idée est de rapprocher les chefs sur la base d’un large accord sur des points durs – justice et question morale, fédéralisme fiscal, organisation du parti en vue du congrès ; elle a tout de suite plu à Berlusconi tout en suscitant des soupçons chez les ex-colonels de Fini. Dans le même temps, Generazione Italia, structure par cercles s’adressant aux ex-cadres d’AN et dirigée par I. Bocchino, a annoncé sa nouvelle direction : 25 députés, 6 sénateurs et 4 parlementaires européens très fidèles à Fini et décidés à étendre les cercles et les adhésions. En somme, si Spazio Aperto représente la force diplomatique de Fini, Generazione Italia est son armée. Vient s’y ajouter une troisième créature : Area Nazionale de R. Menia, composante qui se donne pour objectif d’agréger ce qui était la droite pure et dure d’AN et du MSI. »
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« Pour la première fois, la Ligue paraît soutenir Tremonti plus que Berlusconi » (St. Folli, Il Sole 24 Ore) :
« Le propos de Bossi, qui parle rarement par hasard, frappe : ‘Le gouvernement ne tombera pas car nous sommes là pour le soutenir : la Ligue et Tremonti.’ Le seul fait d’évoquer une possible crise gouvernementale, fût-ce pour la nier, donne à réfléchir. Mais surtout Tremonti est cité non comme simple ministre de Berlusconi, mais comme figure centrale dotée d’une forme d’autonomie par rapport au PdL dont il relève formellement, et en qui la Ligue reconnaît un point de repère irremplaçable. Bossi a choisi : il appuiera les mesures imposées par la crise ; naguère eurosceptique, son parti est désormais converti à la rigueur dans l’intérêt de l’Europe (comme Tremonti, ex-eurosceptique). Certes, la centralité du ministre de l’économie résulte de l’urgence financière, mais, de fait, le centre de gravité du gouvernement est transféré Via XX settembre et l’axe Berlusconi-Bossi en partie occulté (et à terme surplombé) par l’axe Bossi-Tremonti, que cela plaise ou non à Berlusconi. Le Cavaliere se retrouve les mains liées. Pour la première fois, sa tâche est d’arrière-garde : démêler le réseau Anemone en évitant de finir étouffé par les révélations et les soupçons visant des proches, au risque que passe dans l’opinion l’idée d’un vrai ‘système’ affairiste – thèse de l’opposition et péril pour Berlusconi. D’où l’intérêt lui d’une contre-offensive sérieuse : pour limiter les dégâts et récupérer la scène médiatique, il lui faut séparer son propre destin de celui d’un certain nombre de collaborateurs avant qu’il ne soit trop tard. Il ne peut apparaître comme celui qui favorise l’omertà et protège les suspects. Une petite ‘révolution culturelle’ est nécessaire, y compris pour ne pas laisser à Fini l’espace de la défense de la légalité façon ‘loi et ordre’. Mais le temps est compté et le risque de fragilisation toujours grandissant. »
(Traduction : ambassade de France à Rome.)
21:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
Belgique : campagne "Les Flamands d’abord."
Le Vlaams Belang a présenté, ce mardi, sa campagne en vue des élections législatives du 13 juin 2010. L’événement a eu lieu au cœur de Bruxelles. Bruno Valkeniers et Filip Dewinter ont distribué des textes et des explications.
Le slogan de campagne est « Les Flamands d’abord ».
Voir la video : http://www.youtube.com/watch?v=Q31FhlrpyHI&feature=pl...
21:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
Italie : Tremonti et Fini ont gagné des marges de manœuvre.
« Pourquoi Tremonti et Fini ont plus d’espace dans un scénario qui change » (Stefano Folli, Il Sole 24 Ore) :
« Dans le nouveau contexte politique qui se dessine, deux hommes focalisent l’attention : G. Tremonti et Gf. Fini. Le premier a été projeté à l’avant-scène par la crise grecque : position incommode mais cruciale, le ministre de l’économie étant au centre des choix à venir (25 Md€ d’ajustement) et l’interlocuteur obligé du Parlement, centre gauche inclus. Car la défense de l’euro intéresse aussi l’opposition : si les 2 ou 3 ans à venir sont sous le signe de l’austérité, comment le centre gauche pourra-t-il laisser seul le ministre engagé dans la défense des finances publiques et, au fond, de l’Europe ? La ligne de la rigueur butera d’ailleurs sur des difficultés au sein même du centre droit, au PdL plus qu’à la Ligue. Le texte ‘Grèce’ devrait être adopté à l’unanimité du Sénat, un premier signe : pour la première fois, majorité et opposition discuteront sérieusement des exigences liées à la crise – en attendant le débat sur le collectif bugétaire. Quant à Fini, rien d’étonnant à ce qu’il ait ignoré les signaux de paix un peu confus émis par le président du Conseil. A ce stade, celui qui voudrait clore l’affaire est Berlusconi, inquiet des enquêtes assaillant ses hommes et soucieux de ne pas être exposé sur deux fronts : d’un côté Fini, dont les idées contribuent à fragiliser le gouvernement et son chef ; de l’autre Tremonti, dont l’autonomie de décision grandit. Or l’intérêt de Fini est inverse, d’où le caractère improbable d’une pacification. La crainte – justifiée – du président du Conseil d’être acculé ‘comme en 1994’ l’aurait poussé, en d’autres temps, vers le scrutin anticipé dont il rêve. Mais la Grèce a modifié le paysage : difficile d’imaginer des élections au beau milieu d’un ajustement budgétaire douloureux pour les citoyens, a fortiori avec diverses enquêtes pendantes. De fil en aiguille, Tremonti et Fini ont gagné des marges de manœuvre. »
21:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
Burgenland : des panneaux du FPÖ vandalisés.
Autriche. Le FPÖ du Burgenland mène une campagne électorale en vue des élections pour le Parlement du Land. Le parti attache aux arbres situés le long des routes des panneaux grandeur nature des deux candidats de tête du parti.
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2.000 panneaux supportant l’affiche de Johann Tschürtz et Ilse Benkö sont disséminés à travers le Land. Une vingtaine de ces panneaux ont fait l’objet d’attaques de vandales.
"Le Burgenland t'appartient. Nous combattons pour cela. FPÖ. Le Parti social-patriotique."
17:09 | Lien permanent | Commentaires (0)
Oslo Freedom Forum 2010.
Norvège. Lors du Oslo Freedom Forum 2010, la dirigeante du Parti du progrès, Siv Jensen, a introduit Lubna Al – Hussain lors de la cession « Héros des droits humains », le 29 avril 2010 au théâtre Christiana.
Lubna Al- Hussain est une journaliste soudanaise et une activiste qui a été persécutée en 2009 pour avoir porté des pantalons. Elle a refusé de plaider coupable et a demandé un procès. Lorsqu’elle a été condamnée à une amende, elle a refusé de la payer et est restée en prison. Le gouvernement soudanais l'a cependant faite libérer afin d’éviter des embarras sur la scène internationale.
Lubna Al- Hussain
16:04 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les candidats du Vlaams Belang à la Chambre des représentants.
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Anvers :
http://vlaamsbelang.org/files/20100514kamerlijstantwerpen.pdf
Limbourg :
http://vlaamsbelang.org/files/20100514kamerlijstantwerpen.pdf
Flandre orientale :
http://vlaamsbelang.org/files/20100514kamerlijstoostvlaanderen.pdf
Flandre occidentale :
http://vlaamsbelang.org/files/20100514kamerlijstoostvlaanderen.pdf
16:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les candidats du Vlaams Belang pour la liste du Sénat.
Parmi les candidats effectifs :
1. Filip Dewinter
2. Anke Van dermeersch
5. Karim Van Overmeire
23. Hilde de Lobel
25. Hugo Coveliers
Parmi les candidats suppléants :
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14. Marijke Dillen
Voir la liste complète :
16:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le PVV suspend toute activité politique jusque lundi.
15:12 | Lien permanent | Commentaires (0)
13/05/2010
La présidente du Parti du progrès rencontre des ambassadeurs du monde arabe.
Le 5 mai 2010, la Présidente du Parti du progrès (Norvège) Siv Jensen a parlé lors d’un repas organisé par le Conseil des ambassadeurs arabes de Norvège.
Des représentants des ambassades du Maroc, du Soudan, d’Algérie, de Tunisie, d’Irak et de Palestine (OLP) étaient présents.
Siv Jensen rencontre des représentants des ambassades.
21:26 | Lien permanent | Commentaires (0)
Réunion patriotique au Japon au mois d'août 2010.
Une rencontre de mouvements patriotiques va avoir lieu au Japon à l’invitation du mouvement nationaliste nippon Issuikai du 11 au 18 août 2010.
Des patriotes venus d’Espagne, de Hongrie (Jobbik), de Flandre – Belgique (Vlaams Belang), d’Italie (Fiamma Tricolore), d’Ukraine (Svoboda), de Bulgarie (Ataka), du Portugal (PNR), du Royaume-Uni (BNP), de France (Bruno Gollnisch) seront présents.
20:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
Norvège : le président du Comité national républicain des Etats-Unis envoit ses salutations à la convention du Parti du progrès.
18:22 | Lien permanent | Commentaires (0)
La progression du BNP au fil du temps.
- En 1983, le BNP conteste 54 sièges et obtient 14,000 votes.
- En 1987, le BNP conteste 2 sièges et obtient 563 votes.
- En 1992, le BNP conteste 13 sièges et obtient 7,000 votes.
- En 1997, le BNP conteste 54 sièges et obtient 35,000 votes.
- En 2001, le BNP conteste 33 sièges et obtient 47,000 votes.
- En 2005, le BNP conteste 117 sièges et obtient 192,746 votes.
- En 2010, le BNP conteste 339 sièges et obtient 563,743 votes.
14:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le BNP est le quatrième parti du Royaume-Uni.
Si les élections avaient eu lieu selon un mode de scrutin proportionnel, le BNP aurait obtenu 13 sièges.
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Voici des résultats intéressants :
Ashton-Under-Lyne: David Lomas 2,929 votes (7.6%)
Barking: Nick Griffin 6,620 (14.6%)
Barnsley Central: Ian Sutton 3,307 (8.9%)
Barnsley East: Colin Porter 3,301 (8.6%)
Burnley: Sharon Wilkinson 3,747 (9.05%)
Dagenham & Rainham: Michael Barnbrook 4,952 (11.2%)
Leeds Central: Kevin Meeson 3,066 (8.2%)
Leeds East: Trevor Brown 2,947 (7.8%)
Normanton, Pontefract and Castleford: Graham Thewlis-Hardy 3,864 (8.4%)
Rother Valley: Will Blair 3,616 (7.7%)
Rotherham: Marlene Guest 3,906 (10.4%)
Sheffield Brightside; John Sheldon 3,026 (7.8%)
Stoke-on-Trent Central: Simon Darby 2,502 (7.7%)
Stoke-on-Trent North: Melanie Baddeley 3,196 (8.0%)
Stoke-on-Trent North: Michael Coleman 3,762 (9.4%)
Thurrock: Emma Colgate 3,618 (7.9%)
Walsall North: Christopher Woodall 2,930 (8.1%)
Wentworth & Dearne: George Baldwin 3,189 (7.6%)
West Bromwich West: Russ Green 3,394 (9.4%)
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Au sein de 200 circonscriptions, les résultats du BNP tournent autour de 4% des voix.
Le BNP dépasse l’UKIP au sein de 178 circonscriptions électorales et l’UKIP dépasse le BNP au sein de 123 circonscriptions électorales. Rappelons que l’UKIP dispose de 13 députés européens et le BNP de deux députés européens.
Le BNP dépasse les écologistes au sein de 134 circonscriptions et les écologistes dépassent le BNP au sein de 23 circonscriptions.
14:36 | Lien permanent | Commentaires (0)
12/05/2010
pro NRW : objectif : les élections municipales de 2015.
Les résultats obtenus par le parti ce dimanche lui permettent de recevoir de l’argent du financement public. Grâce à cette argent, pro NRW va pouvoir mener de nombreuses campagnes au niveau local et régional.
21:46 | Lien permanent | Commentaires (0)
Italie : vers le fédéralisme fiscal.
« La mise en garde du Quirinal révèle les tentations du léghisme extrémiste » (Massimo Franco, Corriere della Sera) :
« La clarté du chef de l’Etat ne pouvait, cette fois, se prêter à une lecture ambiguë. En qualifiant hier matin à Marsala toute idée de sécession de ‘véritable saut dans l’obscurité’, G. Napolitano a été on ne peut plus net. Et la vive réaction de certains milieux léghistes radicaux révèle une fragilité inattendue de la Ligue et risque de la ramener à son passé pré-gouvernemental et extrémiste, au détriment de son lien avec le Quirinal. Le chef de l’Etat, voulant faire sentir à chacun l’enjeu de l’unité du pays, a profité d’une cérémonie des 150 ans pour rappeler que ‘la seule garantie pour notre avenir commun’ est un Etat qui ne se divise pas – avec à l’arrière-plan la crainte que la crise, ralentissant la réforme fédéraliste, ne renforce les franges sécessionnistes de la Ligue, jusqu’ici jugulées par Bossi et sa stratégie gouvernementale. Tandis que des seconds couteaux léghistes (Borghezio, Salvini) exaltent la sécession, les chefs répondent au Quirinal avec pondération. Zaia, président de Vénétie, freine les purs et durs : Napolitano ‘est le gardien de la Constitution, son garant ; il sait très bien que, nous concernant, le danger de la sécession n’existe pas’. Ferme sur l’immigration, la Ligue sait qu’elle ne peut se battre sur trop de fronts, vu l’incertitude qui pèse sur le fédéralisme. Elle tente donc de relativiser le désaccord avec les évêques, en contestant l’idée selon laquelle ils seraient hostiles à la réforme – objection confortée par les propos conciliants, hier, du cardinal Bagnasco – et d’éviter une polémique frontale avec le Quirinal, disant juste avec le ministre Maroni que ‘la crise sera un accélérateur du fédéralisme fiscal’. Bossi sait que le chef de l’Etat sera un interlocuteur nécessaire pour faire avancer le fédéralisme au Parlement et dans l’opinion, tout comme il est conscient de la ligne rouge que représente l’unité italienne. »
(Traduction : ambassade de France à Rome.)
16:06 | Lien permanent | Commentaires (0)
Congrès du VB le 30 mai 2010 à Anvers.
Le Vlaams Belang a obtenu aujourd’hui, lors du tirage au sort, le numéro 1. Cela correspond au slogan du parti « Vlamingen eerst » (Les Flamands en premier). Serait-ce un signe du destin ?
16:06 | Lien permanent | Commentaires (0)
Des dirigeants du MCG exclus d'un syndicat.
(Il faut entendre par position anti frontalières la fait que le MCG dénonce la concurrence déloyale des travailleurs qui vivent de l’autre côté de la frontière).
15:19 | Lien permanent | Commentaires (0)
Selon un spécialiste de la science politique, les résultats de pro NRW doivent être pris en considération.
Le spécialiste de la science politique Andreas Blätte, professeur à l’université de Duisburg-Essen, a déclaré que les résultats obtenus par le mouvement de citoyens pro NRW doivent être pris en considération. Le parti obtient 1,4% en se présentant pour la première fois aux élections pour le Parlement du Land de Rhénanie du Nord – Westphalie et atteint 4 % au sein de certaines circonscriptions électorales.
14:22 | Lien permanent | Commentaires (0)
11/05/2010
La marche sur Düsseldorf se poursuit.
Les résultats obtenus par pro NRW lui permettent d’avoir accès au financement public pour sa campagne électorale.
Le président de pro NRW, Markus Beisicht, a rappelé que les Verts (écologistes) ont du se présenter trois fois aux élections pour le Parlement du Land de Rhénanie du Nord - Westphalie avant de faire leur entrée au sein de ce Parlement.
22:47 | Lien permanent | Commentaires (0)