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17/04/2025

Le magnat Reinhold Würth change d'avis à propos de l'AfD.

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Allemagne. L'entrepreneur milliardaire Reinhold Würth se prononce désormais en faveur d'une coopération entre les démocrates-chrétiens de la CDU/sociaux-chrétiens bavarois de la CSU et les patriotes de l'AfD. Il désire voir l’avènement d’un gouvernement allemand CDU/CSU soutenu de l’extérieur par l’AfD.

(http://lionelbaland.hautetfort.com/archive/2024/03/20/le-...)

Affiches géantes du candidat nationaliste à l'élection présidentielle polonaise Sławomir Mentzen.

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Pologne. Affiches géantes du candidat nationaliste à l'élection présidentielle Sławomir Mentzen :

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"Une Pologne forte et riche"

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Nigel Farage : "La Cour suprême a déclaré qu'une femme est quelqu'un qui est biologiquement née femme. Un sursaut de bon sens de notre justice."

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Royaume-Uni. Nigel Farage : « La Cour suprême a déclaré qu'une femme est quelqu'un qui est biologiquement née femme. Un sursaut de bon sens de notre justice. »

"Meloni chez Trump, l'attente de l'UE."

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Italie. Revue de presse.

Les Unes du jour portent sur la visite de G. Meloni à Washington « Trump, l'affrontement avec les juges » (Corriere della Sera), « Le plan Meloni-Von der Leyen » (Stampa), « Meloni chez Trump, l'attente de l'UE » (Messaggero), « Droits de douane, le jour-J de Meloni » (Giornale) et sur les droits de douane « Les risques sur le PIB mondial » (Repubblica), « La guerre des semi-conducteurs entre les Etats-Unis et la Chine » (Sole 24 Ore).

Les JT couvrent essentiellement, outre les sujets traités par les quotidiens, l’état de santé du Président Sergio Mattarella, les faits divers, la décision de la Cour Suprême britannique sur la définition légale d’une femme et les intempéries.

La mission de G. Meloni à Washington. Repubblica : « La présidente du Conseil sera reçue à 18h, heure italienne, à la Maison Blanche. Elle tentera de convaincre le président d’ouvrir une discussion directe avec la présidente de la Commission européenne. (...) C’est pourquoi la présidente du Conseil a assuré à von der Leyen qu’elle fixerait avec Trump un jalon très clair : ‘’je ne viens pas ici avec un mandat européen pour conclure des accords, mais je suis engagée à favoriser un échange de haut niveau entre la Commission et la Maison-Blanche sur les barrières douanières’’. Il s’agit d’une garantie fondamentale que la présidente du Conseil a donnée à Mme von der Leyen, effrayée par la volonté du président américain de l’exclure des négociations. (...) Bien sûr, ce ne sont pas seulement les droits de douane qui seront évoqués lors du colloque de Washington. Meloni veut obtenir de Trump l’engagement de participer à la conférence pour la reconstruction de l’Ukraine qui se tiendra cet été en Italie. Et il apportera au tycoon un plan assez détaillé pour offrir des garanties de sécurité à Kiev. ».  Corriere della Sera : « Le pari de Meloni consistera à arriver à faire dialoguer Trump et Ursula dans la perspective d’une bilatérale dont le but serait d’éviter une guerre commerciale. Les droits de douanes ne seront pas le seul dossier important dans la relation transatlantique, il y a aussi l’Ukraine et le rôle de l’UE dans les négociations pour la paix. Quant à la rencontre avec Vance qui se tiendra à Rome, le dossier StarLink pourrait être évoqué. Quoi qu’il en soit, la Chine sera l’éléphant dans la pièce dans le Bureau Ovale ». Stampa : « Ce sera une visite très délicate pour Meloni. C’est le rôle même de médiatrice entre l’UE et les Etats-Unis qui est en jeu. La présidente du Conseil proposera à Trump un « bouclier » militaire pour Kiev sur le modèle de l’article 5 de l’Otan. Côté commercial, elle rassurera Trump sur l’achat du gaz et relancera l’idée d’un grand marché ouvert euro-américain ». Sole 24 Ore : « C’est la visite la plus difficile pour G. Meloni, d’autant plus qu’il n’est pas clair encore quels seront les dossiers traités, la présidente du Conseil n’ayant pas de mandat formel de la part de l’UE pour négocier sur le gaz ou sur le commerce en général. Encore moins sur la défense, qui voit plusieurs pays européens sur des positions différentes. Il est donc difficile qu’elle puisse faire une synthèse. Il est probable que Meloni mettra en avant tout d’abord ses affinités idéologiques avec Trump. Par ailleurs, les entrepreneurs italiens ont passé un message bien clair à Meloni : il faut garder une négociation sous l’égide européenne et cultiver le multilatéralisme ». Il Messaggero : « Le jour-J est arrivé. Il s'agit de la première rencontre bilatérale officielle. Une rencontre pleine d'incertitudes. La dirigeante italienne est en mission pour le compte de l'Italie et avec un mandat européen. Mardi soir, Meloni a eu une longue conversation téléphonique avec la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. Une ligne directe pour se coordonner sur le véritable problème transatlantique : les droits de douane. C'est la Commission européenne qui s'en charge. Mais la dirigeante italienne tentera néanmoins d’huiler les rouages rouillés par les tensions et les ruptures. En d'autres termes, elle invitera le magnat à négocier en tête-à-tête avec von der Leyen et les dirigeants européens, reconnaissant aux institutions bruxelloises la légitimité, refusée jusqu'à présent. Meloni espère jeter les bases dans le Bureau Ovale. Quant à la liste des investissements italiens aux Etats-Unis, Meloni peut rappeler qu’il existe de grandes entreprises telles que Leonardo, qui pourrait vendre au gouvernement américain un système de contrôle et de surveillance des frontières. Une idée qui plaira certainement à Trump. Et encore, dans le dossier de Meloni, les plans d'investissement aux États-Unis de Ferrovie dello Stato - l'état « désastreux » des infrastructures américaines est un autre vieux cheval de bataille du magnat - ainsi que de Fincantieri et Eni. ».

Le colloque Etats-Unis-Iran à Rome. Repubblica : « Les pourparlers entre les Etats-Unis et l’Iran sont prévus ce samedi à Rome mais JD Vance n’y sera pas ». « Nouveau revirement : la deuxième série de pourparlers entre les Etats-Unis et l’Iran aura lieu à Rome après-demain. D’après nos informations, c’est bien ce qu’aurait confirmé le ministre des Affaires étrangères d’Oman, pays qui joue le rôle de médiateur dans ce jeu compliqué, après avoir échangé avec le vice-Président du Conseil italien A. Tajani. Il y a trois jours, la nouvelle avait circulé, avant d’être vigoureusement démentie par le porte-parole du ministère des Affaires étrangères iranien ». « C’est précisément le ministre des Affaires étrangères de Muscat, Al Busaidi, qui jouera les intermédiaires. La délégation américaine sera menée par l’envoyé spécial de Trump, Steve Witkoff, et pour Téhéran par le ministre des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, qui avant d’atterrir en Italie passera aujourd’hui par Moscou chez Poutine. Les Etats-Unis auraient insisté pour que ces échanges – qui resteront indirects – se tiennent à Rome, malgré l’irritation du Royaume-Uni, de l’Allemagne et de la France. Téhéran et Oman ont obtenu que JD Vance n’y prenne pas part malgré sa présence à Rome. Le ministère italien des Affaires étrangères ne jouera pas de rôle direct dans les négociations mais Antonio Tajani (Forza Italia) devrait rencontrer les trois chefs de délégations après s’être entretenu avec Riad et Abu Dhabi ces jours-ci. Au même moment, le président de la Commission Affaires étrangères au Sénat (Fratelli d’Italia) jugeait l’idée que l’Iran ‘parvienne au désarmement nucléaire pas crédible’. »

Immigration. La Stampa : « La Commission publie une première liste avec 7 pays qualifiés comme « sûrs » pour des rapatriements plus rapides. Cette fois-ci, G. Meloni semble avoir marqué un point. Dans la partie à échec qui se joue sur le « modèle Albanie », il s’agit d’une petite victoire pour le gouvernement italien. Une victoire obtenue grâce à décision prise par Mme von der Leyen. Meloni remercie la présidente de la Commission, en attendant la décision de la Cour de Justice européenne qui devra se prononcer d’ici le début de l’été sur les centres en Albanie. Ces centres pourraient être à nouveau fermés. Il s’agit toutefois d’un amendement, qui devra passer au crible du Parlement Européen et du Conseil Européen et qui n’anticipe pas l’entrée en vigueur du pacte sur la migration et l’Asile. Les retombées positives sur le protocole signé avec Tirana doivent par conséquent être entièrement vérifiées ».  

(Traduction : ambassade de France à Rome) 

Le Forum voor Democratie dénonce la politique d'asile du PVV.

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Pays-Bas. Le Forum voor Democratie de Thierry Baudet dénonce la fait que le PVV  – de Geert Wilders  – qui prend part au gouvernement alloue 900 millions d’euros supplémentaires à la politique d'asile de son ministre Marjolein Faber et affirme que le gouvernement néerlandais conduit la politique d’asile la plus coûteuse jamais mise en œuvre, sans aucune restriction sur l’afflux de réfugiés.