24/04/2012
Le Vlaams Belang félicite Marine Le Pen.
Belgique. Flandre. Le Président du Vlaams Belang Bruno Valkeniers et les dirigeants des différents groupes parlementaires du Vlaams belang ont envoyé une lettre à Marine Le Pen afin de la féliciter pour le résultat obtenu lors des élections présidentielles. Selon le parti nationaliste flamand, cela montre que les idées nationales sont en marche en Europe : « identité nationale, justice sociale, combat contre l’immigration de masse, l'islamisation et la criminalité. » Le Vlaams Belang estime également que la position eurosceptique de Marine Le Pen a joué un rôle dans son succès.
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Vladimir Poutine cède la direction de Russie unie à Dmitri Medvedev.
Russie. Le président russe n'étant traditionnelement membre d'aucun parti, Vladimir Poutine quittera la présidence de Russie Unie : http://fr.ria.ru/politique/20120424/194427760.html
16:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
L’aile ex-AN du PdL célèbre avec chaleur l’affirmation de Marine Le Pen.
« Les partis italiens entre France et gouvernement » (Marcello Sorgi, La Stampa) : « Le choc négatif sur les marchés, avec un spread revenu au-delà des 400, après les résultats du 1er tour en France et Hollande devant Sarkozy, a convaincu Monti de rappeler la ligne italienne d’équidistance entre les deux candidats et de rester prudent sur la croissance, thème au centre des commentaires au sujet de l’élection. Pour Monti, on le sait, à moyen terme il n’existe pas d’alternative aux politiques de maîtrise des finances publiques –et en tout cas ce n’est pas à l’Italie, pays sous observation, de bouger la première en ce sens. Mais les réactions politiques en Italie poussent dans cette direction. Fait nouveau : après Tremonti, le PdL se montre froid à l’égard du président sortant et attentif, Cicchitto l’a dit, au signal français à rebours de la ligne de rigueur exclusive défendue jusqu’ici par l’axe ‘Merkozy’. Le souvenir qu’on garde au PdL des sourires dédaigneux de fin octobre a aussi sa part dans cette approche. Et l’aile ex-AN du PdL célèbre avec chaleur l’affirmation de Marine Le Pen, autre indice de rapports dégradés entre les droites française et italienne. A gauche, les dirigeants du PD font la fête comme s’il c’était leur propre victoire et comme si le changement de cap en faveur de la croissance était irréversible, quel que soit le résultat final de la présidentielle. Interviewé sur RAI3, D’Alema soutient que Merkel aussi devra en tenir compte à l’avenir – manière indirecte de pousser Monti à réfléchir à la nécessité que l’Italie envisage de desserrer l’étau des sacrifices. Sous cet angle il y a convergence substantielle des deux principaux partis soutenant l’exécutif, qui ne voient pas comment on peut aborder dans ces conditions l’année qui précède les élections de 2013. Hier Cour des comptes et Banque d’Italie ont à nouveau rappelé qu’une pression fiscale comme celle atteinte ces derniers mois doit être exceptionnelle et temporaire (autrement dit elle est insoutenable à long terme), avant un retour rapide à des niveaux plus acceptables. »
(Traduction : ambassade de France à Rome.)
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Siv Jensen réélue à la tête du Parti du Progrès.
Norvège. Le Parti du Progrès a tenu son 39ème congrès annuel ce vendredi 20, samedi 21 et dimanche 22 avril 2012. La dirigeante du parti, Siv Jensen, a déclaré : « Nous avons une ambition, avoir de l’influence. Il n’y aura aucune majorité [non-socialiste] sans nous. »
Le Parti du Progrès est avide de gouverner. Siv Jensen désire être Premier ministre, mais son parti ayant reculé suite à différents problèmes survenus au cours de l’année 2011 et aux actions conduites par Anders Breivik, le poste de Premier ministre devrait revenir au Parti conservateur.
La ligne politique plus modérée adoptée par le Parti du Progrès a pour conséquence un rapprochement avec le Parti libéral. Les deux formations politiques sont d’accord sur un certain nombre de points. Le Parti du Progrès est prêt à des compromis et à des négociations, mais cependant limitées.
Le Parti du Progrès a réaffirmé vouloir utiliser plus les revenus du pétrole afin d’investir dans les infrastructures, les écoles et les maisons de repos, plutôt que de placer cet argent dans un fonds pour les générations futures. Cependant, les sommes supplémentaires engagées doivent être limitées. La différence entre ce qui se pratique actuellement et ce que propose le Parti du Progrès n’est pas énorme.
Durant le congrès, trois nouveaux membres ont été élus au sein du Comité central : Anders Anundsen, Kari K. Kjos et Tom Cato Karlsen. Siv Jensen a été réélue présidente.
(La Norvège est gouvernée par une coalition de gauche. Les élections législatives doivent avoir lieu en 2013).
Siv Jensen.
00:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les Démocrates suisses félicitent le MCG.
Suisse. Les Démocrates suisses félicitent le MCG :
http://www.democrates-suisses.ch/documents/PL-DS-Felicita...
00:44 | Lien permanent | Commentaires (0)
23/04/2012
Josep Anglada félicite Marine.
Espagne. Catalogne. Le Président de Plateforme pour la Catalogne (PXC) Josep Anglada a envoyé ses félicitations à la Présidente du Front national Marine Le Pen.
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Démission du gouvernement néerlandais.
Pays-Bas. Le Premier ministre néerlandais Mark Rutte a présenté à la Reine, ce lundi 23 avril 2012, la démission de son gouvernement.
20:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
Christoph Blocher, collectionneur de toiles helvétiques.
Suisse. Le Monde publie un article sur Christoph Blocher, collectionneur de toiles helvétiques :
http://www.blocher.ch/uploads/media/Le-Monde-14-04-2012_0...
20:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le CDA et le VVD tentent de faire porter l'échec des négociations sur le PVV.
Pays-Bas. La Haye. Le dirigeant du PVV Geert Wilders trouve incroyable la manière dont le VVD (Parti libéral de droite) et le CDA (Parti démocrate-chrétien) ont tenté de faire porter la responsabilité de l’échec des négociations au PVV.
Les points importants que le PVV désire mettre en avant en cas d’élections : « moins d’Europe », « être plus le chef dans son propre pays » et « nous ne laisseorns pas nos personnes âgées payer pour les Grecs qui fraudent. »
17:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
Hypothèse ambiguë qui plane d’un vote anticipé.
« La vraie menace sur l’exécutif : l’hypothèse ambiguë qui plane d’un vote anticipé » (St. Folli, Il Sole 24 Ore) : « Aussi peu réaliste soit-elle à ce jour, l’idée d’élections anticipées plane toujours dans le ciel gris de la politique. Elle seule explique bon nombre des initiatives récentes, qui autrement ne font qu’ajouter à la confusion. On voit, par exemple, l’activisme de Casini inquiéter Alfano et Berlusconi : à l’UdC qui cherche la voie d’un ‘parti de la nation’ élargi d’obédience montienne, les chefs du PdL répondent ‘après les municipales, il y aura des nouveautés de taille’. Nul ne sait bien lesquelles, mais le sous-entendu électoral est clair. Or à quel point une marche aux élections de près d’un an est-elle tenable ? Si Berlusconi et Alfano ont en vue la rupture des équilibres figés du PdL pour proposer au pays une offre nouvelle et de nouvelles têtes, ils auront du mal à assurer à Monti d’ici 2013 un fort appui. Quant au PD, à qui le PdL prête le désir d’élections à l’automne, sa principale inquiétude tient à la montée de l’‘anti-politique’ : si Grillo est crédité de 5,5 à 7%, que peut-il se passer au printemps ? Etrange analyse, qui tient pour acquise l’inertie du système politique et consiste à préférer le mal au pire. A l’évidence, la dissolution du Parlement d’ici 5 mois (impossible avant) serait l’ultime aveu d’échec des partis : ni réforme des institutions (avec moins de parlementaires), ni réforme du mode de scrutin, ni relance de l’économie. Plus encore : après avoir choisi en novembre la voie de l’exécutif ‘technicien’ de préférence à des élections, changer d’idée si tôt revient à condamner sans appel l’expérience Monti – signal dévastateur pour l’Europe et le monde. Etonnant que Bersani n’éprouve pas le besoin de balayer les rumeurs sur ses calculs et ceux du PD – silence qui trahit au moins son incertitude sur la voie à suivre. La bonne reste celle que prône Napolitano : la politique doit se rénover, en remédiant à son ‘appauvrissement culturel’. Or les annonces à sensation vont en sens inverse – à la fois éclat médiatique et aveu d’impuissance. Mais l’ambiguïté est aujourd’hui la plus grave menace sur la législature. Le seul à assurer à Monti un appui total est Casini. Mais lui aussi demande à l’exécutif un sursaut propre à rendre un peu d’espoir à un pays qui ploie sous la récession. Le désir d’élections naît aussi de l’impression d’un exécutif technicien un peu engourdi, sans idées ni élan. Plus que jamais l’avenir de la législature est dans les mains de Monti – bien plus que des partis. »
« Monti : ‘L’Italie s’en sortira mais pas de dérogation à la rigueur’ » (G. Santamaria, Avvenire de dimanche) : « […] Côté politique intérieure, Monti a répliqué aux critiques de la Ligue au sujet de l’absence d’un ministre du fédéralisme (‘je n’ai pas une vision ‘padane’ de la réalité italienne’) et à celles sur l’‘impôt foncier-bis’ ‘absent de la pensée de l’exécutif’. […] Il s’agit de retrouver confiance et élan, mais sans pouvoir compter comme par le passé sur les ressources publiques, car cela ‘remettrait en cause les progrès des derniers mois’. Il faut surtout ‘éviter que d’ici un, cinq ou dix mois un krach financier ne dégrade la situation de chacun’. ‘Cela ne signifie pas’, explique Monti, ‘que l’exécutif refuse de prendre en compte des propositions’, mais ‘celles de bon sens’ seulement. Autre pique visant la Ligue, celle sur les crédits de l’UE débloqués pour le Sud : ‘nous n’avons pas de ministre du Mezzogiorno, nous avons un ministre de la cohésion territoriale’, ajoutant ‘nous avons commencé à réaliser quelque chose en utilisant de l’argent qui était resté au fond des tiroirs et que l’on n’avait pas transformé en dépenses’. […] »
(Tarduction : ambassade de France à Rome)
17:14 | Lien permanent | Commentaires (0)
Heinz-Christian Strache félicite Marine Le Pen.
Autriche. Le président du FPÖ Heinz-christian Strache félicite la présidente du Front national pour les résultats qu'elle a obtenus lors de l'élection présidentielle : « Félicitations à Marine Le Pen pour son succès remarquable. »
16:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
Filip Dewinter quitte sa fonction de chef de file des élus du Vlaams Belang au sein du Parlement flamand.
Belgique. Flandre. Filip Dewinter choisit de s’engager à 100 % pour Anvers et quitte sa fonction de chef de file des élus du Vlaams Belang au sein du Parlement flamand. Joris Van Hauthem qui prend la succession a déclaré qu’une lourde tâche pèse sur ses épaules dans le fait d’occuper ce poste à la suite de Filip Dewinter. Joris Van Hauthem vient du Brabant flamand et est très engagé au sein du débat communautaire (défense de la langue flamande dans les zones menacées de francisation).
16:51 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Le nom de parti de la Nation n’est que le nom provisoire du chantier."
« Hollande devant ; l’ouragan Le Pen » (La Repubblica)
« Casini, un pas de plus vers l’après-UdC » (Ugo Magri, La Stampa) : « Casini a fait un pas de plus en démissionnant de la présidence du groupe UdC à la Chambre, lui qui vendredi a engagé le processus de dissolution du parti. Il dit vouloir se concentrer sur l’Internationale démocrate-chrétienne. Il reste aussi le leader reconnu du 3e pôle dont il s’agit avant tout de manifester l’harmonie interne, surtout pour lancer cette phase constitutive, comme le confirme l’interview de Fini, dimanche, dans La Stampa : aucune jalousie, mais au contraire un fort engagement pour construire tous ensemble le parti censé naître sur les cendres de l’UdC, de FLI et d’ApI. Le finien Della Vedova le redit ‘le nom de parti de la Nation n’est que le nom provisoire du chantier’, l’objectif étant ‘de bâtir rapidement une force électorale propre à lutter à armes égales avec tous les autres : voilà le projet de Fini, Casini et Rutelli qui se sont remis en cause’. Tout dépend maintenant de l’adhésion qu’il va recueillir. Il est significatif que Pisanu, auteur d’un document signé de 26 sénateurs PdL, promette d’aller vers le centre ‘avec tout le parti ou une bonne part’.[...] Tout le monde politique a l’œil fixé sur les prochaines municipales, dans deux semaines. Berlusconi lui-même va revenir faire campagne – pour le PdL dans la Brianza. »
(Traduction : ambassade de France à Rome)
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Tomislav Nikolić veut éradiquer la pauvreté et la corruption.
Serbie. Le dirigeant du SNS Tomislav Nikolić a déclaré lors d’un meeting ce dimanche 22 avril 2012 à Kragujevac qu’il éradiquera la pauvreté et la corruption. Il estime que la coalition conduite par le SNS gagnera les élections locales, parlemantaires et présidentielles du 6 mai 2012. Il désire otganiser la Serbie sur le modèle de l’Allemagne « où vous payez des taxes, et savez ce que l’État vous doit, où vous avez un bon système économique et où les juges ne sont pas sous l’influence du gouvernement et de criminels. »
00:29 | Lien permanent | Commentaires (0)
22/04/2012
Le torchon brûle entre le CDA et le PVV.
Pays-Bas. Province de Limbourg. Le chef de file des élus du PVV au sein de l’organe législatif de la province du Limbourg et Député européen du PVV Laurence Stassen a rejeté les critiques du Député européen du CDA (Parti démocrate-chrétien) Corien Wortmann qui a lors d’une émission de radio décrit Laurence Stassen en tant qu’une sorte de tante rigide, qui se comporte comme un petit dictateur et qui n’est pas souvent présente au Parlement européen.
Laurence Stassen
23:14 | Lien permanent | Commentaires (0)
2 sondages contradictoires : le FPÖ donné premier parti d'Autriche.
Autriche. Alors qu'un sondage IMAS paru dans le Krone donne le FPÖ en troisième place à 21 % et le BZÖ à 7 %, un sondage Galup paru dans le quotidien Österreich donne le FPÖ à 28 % et le BZÖ à 3 %.
Sondage Imas :
Sondage Galup :
FPÖ : Parti patriotique.
SPÖ : Parti social-démocrate
ÖVP : Parti conservateur
écologistes
Andere : autres (dont les Pirates. Ce parti a fait sont entrée, en Allemagne, au sein des parlements de Berlin et de Sarre et a obtenu lors des élections municipales à Innsbruck en Autriche 1 conseiller municipal avec plus de 1.800 voix, soit 3,8 % des voix).
BZÖ : Parti libéral et patriotique.
14:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
70 % des personnes qui ont voté en 2010 pour le PVV lui restent fidèle.
Pays-Bas. Un sondage réalisé par Maurice de Hond auprès de 4.500 personnes montre que 70 % des personnes qui ont voté en 2010 pour le PVV lui restent fidèle. 83 % des électeurs du PVV estiment que le CDA ( Parti démocrate-chrétien ) et le VVD ( Parti libéral ) auraient, lors des négociations avec le PVV, dû ménager plus les pensionnés au sein du plan d’économie. 40 % des partisans du PVV pensent qu’il est dommage que les négociations aient échoué, mais font porter la responsabilité sur le VVD et le CDA ou sur les 3 partis ( VVD, CDA, PVV ).
Parmi l’ensemble des personnes interrogées ( tous partis confondus ), 49 % attribuent l’échec des négociations à Geert Wilders.
Au sein du sondage :
le PVV est donné à 19 sièges, soit 5 de moins que lors des élections de 2010. Les électeurs qui quittent le vote PVV se dirigent vers le VVD ( Parti libéral de droite ) ou le SP ( gauche de la gauche ). Le VVD est donné à 33 sièges ( soit 2 de plus qu’en 2010 ), le SP à 30 ( le double du nombre de sièges obtenus en 2010 ). Le CDA est donné à 11 sièges ( soit 10 de moins qu’en 2010 ), le PvdA ( Parti travailliste ) à 24 sièges ( moins 6 ), D66 ( Parti libéral de gauche ) à 15 ( plus 5 ), GroenLinks ( écologistes / gauche de la gauche ) à 5 (moins 5), ChristenUnie ( Parti social-chrétien / conservateur protestant ) à 6 ( plus 1 ), le SGP ( conservateur / protestant ) à 3 ( plus 1 ) et le Parti des animaux à 3 ( plus 1 ). Le parti 50plus ( Parti des pensionnés ) est donné à 1 siège ( plus 1 ).
Si ce sondage est confirmé lors d’élections, la formation d’un gouvernement sera difficile. Une coalition est possible à 3 partis, mais celle-ci doit comprendre le VVD ( Parti libéral de droite ) et le SP ( gauche de la gauche ), deux partis aux idées difficilement conciliables. Sinon, il devra y avoir au minimum 4 partis au sein de la nouvelle coalition.
14:17 | Lien permanent | Commentaires (0)
La coalition qui dirige le Limbourg néerlandais tombe suite à la visite du président turc.
Pays-Bas. Province du Limbourg. La coalition qui gouverne la Province du Limbourg, constituée du PVV (Parti patriotique), du VVD (Parti libéral de droite) et du CDA (Parti démocrate-chrétien) est tombée ce vendredi 20 avril 2012.
Le CDA s’en est pris lors d’un débat au sein de l’assemblée législative de la Province au comportement de membres PVV de l'exécutif de la Province lors de la visite d’État du Président turc Abdullah Gül aux Pays-Bas. Le chef de file des élus du CDA au sein de l’organe législatif de la Province a déclaré que la confiance dans la coalition n’existe plus. Selon lui, le PVV a endommagé l’image du Limbourg et sa position dans le domaine du commerce international.
La dispute a débuté lorsque deux membres PVV de l’exécutif de la Province du Limbourg, Theo Krebber et Antoine Janssen, ont fait savoir qu’ils ne seraient pas présents lors d’un repas réunissant le président turc et les membres de l’exécutif provincial. Ils ont ensuite changé d’avis, au grand déplaisir des élus PVV au sein du législatif de la Province, lorsqu’il a été établi que la Reine Beatrix serait présente.
Le groupe des élus travaillistes (PvdA) a introduit une motion de méfiance à l’encontre de Theo Krebber et Antoine Janssen. Le PvdA prétend que les deux PVV ont annulé sous la pression de leur parti. Theo Krebber dément. Il prétend avoir raté un courriel au sein duquel était annoncée la présence de la Reine Beatrix. Lorsqu’il a appris que la Reine viendrait, il a décidé d’assister au repas. Le PvdA a retiré sa motion de méfiance lorsque le CDA s’est retiré de la coalition qui dirige la Province du Limbourg.
Précisions :
1/ Le Limbourg néerlandais est devenu un bastion du PVV, alors qu’il a été durant des décennies un bastion CDA.
2/ Le PVV, parti opposé à l’islam, obtient de très bon résultats dans cette province qui compte peu de musulmans, pas beaucoup d’étrangers et peu de problèmes économiques et de chômage.
3/ La fin de la coalition qui dirige la Province de Limbourg s’est déroulée vendredi 20 avril 2012, donc avant la chute du gouvernement national.
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21/04/2012
Le PVV de Geert Wilders fait tomber le gouvernement.
Pays-Bas. Le PVV de Geert Wilders fait tomber le gouvernement minoritaire VVD-CDA (Parti libéral de droite et Parti démocrate-chrétien) qu’il soutenait de l’extérieur.
Geert Wilders a déclaré devant les caméras de la télévision que les mesures prévues par le gouvernement vont atteindre la croissance, faire augmenter le nombre de chômeurs et atteindre le pouvoir d’achat, avant tout des personnes âgées. Il estime que ces mesures ne vont pas dans le sens des intérêts des électeurs du PVV. De plus, ces décisions ont pour objectif de ramener, selon les exigences de l’Union européenne, le déficit des Pays-Bas à 3%, ce qui constitue pour Geert Wilders un non-sens.
Geert Wilders réclame l'organisation le plus tôt possible d'élections.
23:01 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les députés d'Ataka ont retiré leur soutien à une motion de censure socialiste.
Bulgarie. Les 40 députés socialistes ont obtenu le 6 avril 2012 le soutien de huit des dix députés d'Ataka pour atteindre les 48 signatures nécessaires pour le dépôt d'une motion de censure. Les députés d'Ataka ont ensuite retiré leur soutien à cette motion.
( http://www.romandie.com/news/n/_Bulgarie_annulation_d_une... )
22:27 | Lien permanent | Commentaires (0)
L’iceberg du vote modéré se désagrège.
« PdL, la fronde des sénateurs » (Il Messaggero)
« L’iceberg du vote modéré se désagrège » (Massimo Franco, Corriere) : « Les icebergs qui, depuis plus de 15 ans, ont capté le vote modéré [centre-droit], sont en train de fondre : la Ligue du fait d’enquêtes qui s’accélèrent et un PdL dans l’entre-deux ambigu d’un leadership berlusconien tentant de survivre la tête sous l’eau. On assiste à une série de simulations sur ce que pourrait être le système politique post-berlusconien. D’abord la décision de PF Casini de briser la coquille du 3e pôle pour créer un ‘parti de la Nation’, aussi ambitieux qu’encore mal défini. Ensuite il y a les manœuvres des sénateurs qui suivent Pisanu, prêts à aller ‘au-delà’ du PdL, et la volonté d’Alfano et du Cavaliere de résister aux forces centrifuges en misant sur un parti populaire ‘à l’européenne’. Sans oublier la tentation du PD de Bersani de surfer sur une possible victoire socialiste en France lors des échéances italiennes. De ces remous, l’exécutif Monti est à la fois l’origine et l’otage, pouvant devenir ou l’ultime môle d’équilibre au milieu de partis en voie de recomposition, ou l’exutoire de tensions incontrôlées. Toute entorse à la neutralité qu’il revendique serait vue par les 3 partis de son alliance atypique comme violant un pacte tacite (cf. les réactions à l’idée que des ministres montiens adhèrent au projet Casini). Et elle accentuerait la contradiction entre deux idées de l’exécutif technicien, parenthèse ou accélérateur de la mutation du système. Au PdL, on est nerveux : on entend des berlusconiens dire que Casini ne doit pas s’imaginer qu’il va les ‘englober’ – étonnant : avant, c’est l’UdC qui était sur la défensive. Bersani aussi suggère que toute tentative de Casini d’annexer les ‘techniciens’ déstabiliserait Monti. Seul le statu quo, paradoxalement, assure le maintien de l’actuelle coalition jusqu’en 2013 : plus Monti et les siens restent à l’écart des dynamiques partisanes, mieux ils survivront. Le problème est d’y parvenir dans un cadre voué à changer en profondeur d’ici là. Même le ‘parti de la Nation’ paraît n’être qu’une autre étape tactique de la transition visant à mieux préciser les rapports de force dans le ‘3e pôle’ agonisant – en affirmant la primauté de Casini. Son mérite : avoir saisi le premier qu’une phase s’est close et d’avoir adhéré sans réserve à l’exécutif technicien qui sonnait le glas du bipolarisme. Mais à moins d’une réforme proportionnelle du mode de scrutin et d’une vision claire des relations avec PdL et PD, le risque est qu’au lieu de la stabilité dans le changement, on se retrouve avec Monti en balance et une classe politique agonisante mais apte à figer les équilibres du passé. »
(Traduction : ambassade de France à Rome.)
21:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'ADR ne soutient aucun candidat lors de la présidentielle française.
Luxembourg. L'ADR ne soutient aucun candidat lors de l’élection présidentielle en France car il « veut sauvegarder la souveraineté des pays ».
21:57 | Lien permanent | Commentaires (0)
Jan Slota ne concourra pas pour un nouveau mandat à la tête du SNS.
Slovaquie. La réunion de la direction du SNS qui s’est tenue le mardi 17 avril 2012 a décidé de postposer le prochain congrès du parti jusqu’en automne 2012. L’actuel président du SNS Jan Slota ne concourra pas pour un nouveau mandat à la tête du parti.
Le SNS désirant voir organisé un référendum sur l’utilisation exclusive du slovaque dans le domaine des communications officielles, le parti a récolté les 350.000 signatures nécessaires. Il est apparu que seulement 3337.000 des 361.000 signatures sont valables. Le SNS demande que les signatures lui soient restituées par la présidence slovaque, afin que le SNS poursuive la récolte des signatures. La présidence du pays refuse de rendre les signatures en prétendant qu’une fois remises, elles ne peuvent être restituées.
15:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
Dossier sur les élections en Serbie du 6 mai 2012.
La fondation Robert Schuman publie un dossier sur les élections du 6 mai 2012 en Serbie :
http://lecercle.lesechos.fr/sites/default/files/analyse_e...
14:32 | Lien permanent | Commentaires (0)
20/04/2012
Le Jobbik confirme vouloir présenter Krisztina Morvai à la présidence hongroise.
Hongrie. Lors d'une conférence de presse, le Jobbik a confirmé qu’il présentera à l’élection indirecte du president de la République sa propre candidate, le Député européen élu sur les listes du Jobbik Madame Krisztina Morvai. Afin de pouvoir présenter Madame Morvai, le Jobbik doit récolter 78 signatures de parlementaires. La chasse aux signatures de députés appartenant aux autres partis politiques est ouverte.
23:34 | Lien permanent | Commentaires (0)