L’Alliance européenne pour la liberté exige plus de réalisme.

Parlement européen de Strasbourg. L’Alliance européenne pour la liberté a exigé, le mercredi 21 novembre  2012, par la voix de son nouveau président le Député européen du FPÖ Franz Obermayr, plus de réalisme en Europe. L’Alliance européenne pour la liberté s’oppose à l’idée envisagée d’une collecte d’impôts par un super-État européen et estime que les fonds doivent être récoltés par les États-membres. La vice-présidente Marine Le Pen déclare que les résultats obtenus jusqu’à présent par l’Union européenne dans quelques domaines, comme par exemple le sauvetage de l’euro, sont catastrophiques : « Il n’y a pas jusqu’à présent de réponse pragmatique aux problèmes des peuples d’Europe. » Elle ajoute que l’argent n’aide pas le peuple grec, mais sauve les banques. L’Alliance s’oppose à la libre circulation des Bulgares et Roumains qui ne peut que conduire à une explosion de l’immigration alors que le chômage est élevé, ce qui aura pour conséquence une explosion du sentiment anti-européen et anti-étranger.